Because I have a brother I'll always have a friend

Thomas & James

La journée est finie, je ferme le dernier dossier avant de pousser la porte de mon bureau. Il me faut à peine quelques minutes pour me rendre chez mon père. Assis sur le sol, il joue avec Mathis aux petites voitures et c’est presque un déchirement de les séparer. Heureusement ma famille est toujours présente pour me donner un coup de main avec mon fils sinon je serais sans doute bien embêté. « Tu me l’amènes demain ? » En regardant mon père il me semble voir briller dans ses yeux une lueur enfantine. C’est presque étrange, ça m’amuse même un instant. « J’ai congé demain, mais tu peux passer à la maison. Freya sera heureuse de te voire. » Elle ne va pas tarder à accoucher et j’aime être le plus présent possible au cas ou les contractions arriveraient. Je dépose rapidement Mathis dans la voiture et nous partons en direction de la maison.

Une fois arrivé devant la maison j’attrape mon fils sous le bras, la poussette dans l’autre main alors que je remonte l’allée jusqu’à ma porte. C’est pourtant une surprise qui m’attend devant la porte. « Thomas ? » Je m’étonne un peu, en général il appelle avant de passer. Et je lui trouve petite mine. «Salut » Il ce même petit tique un peu nerveux qui me met la puce à l’oreille et je reste un instant sans parler à juste le regarder. Comme si il était logique que j’attends la suite. «Tu tombes bien James, j'voulais justement te parler. T'aurais peut-être deux ou trois minutes … voire plus, à m'accorder ? » Son malaise est palpable et si il m’inquiète un peu, pour autant je tente de ne pas le relever. « Oui oui, j’ai fini ma journée viens. » J’avance un peu cherchant désespérément mes clefs au fond de ma poche.« Puis c’est toi qui tombe bien ! Tiens prend-le. Il commence à peser. » Mathis tend déjà les bras vers son oncle et parrain alors que j’ai à peine parlé. « Si déjà à son âge il  te préfère ça sent les ennuies pour moi. » Je finis enfin par trouver les clefs et ouvrir à mon frère qui tient encore son filleul dans les bras. Une fois la poussette à l’intérieur je referme la porte. « Tu veux boire quelque chose ? Une bière peut-être ? » Vu son ton sérieux j’ai comme l’impression qu’un petit verre d’alcool ne lui fera pas de mal.

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Thomas & James

J’étais aussi surpris qu’heureux de trouver Thomas devant ma porte. Lui refilant son filleul sans aucune gêne pour ouvrir la porte. Depuis que j’avais décidé de demander à Thomas d’être le parrain de mon fils je ne l’avais pas regretté un seconde, il était absolument adorable avec lui et savait tenir son rôle mieux que personne. Mais je n’en avais jamais douté. Pourtant j’avais pressenti qu’aujourd’hui sa visite n’était pas de courtoisie. Et une fois rentré dans la maison j’étais allé nous chercher deux bières dans le frigo. J’avais rapidement retrouvé mon frère au salon, qui tenait toujours Mathis contre lui, s’amusant un peu avec lui ce qui faisait gazouiller mon fils. «Merci » Avait-il simplement répondu en prenant la bière. Puis j’avais patiemment attendu la suite. N’osant pas trop poser de questions. Comme apeuré que mon intérêt ne le pousse à se rétracter. Il semblait évident pourtant qu’il avait quelque chose à me dire. Et au vu de sa tête ça ne devait pas être une nouvelle des plus faciles.  «écoute James, je ne vais pas passer par quatre chemin » Il était lancé.   « Ida et moi. C'est fini» Mon visage avait du se décomposer d’un seul coup alors que mon bras retombait instinctivement. « Quoi ? » J’avais du mal entendre c’était absolument impossible. Thomas et Ida étaient le couple parfait, le seul qui semblait tenir la route. Et je n’avais presque  rien vu de leurs problèmes. Certes j’avais bien vu que la naissance de la petite avait crée quelques tensions mais au point de se séparer ? Non je ne pouvais décemment pas y croire. « je … j'ai foutu la merde tout seul et donc … voilà. Je … on va … divorcer, sûrement » La bouche toujours grande ouverte je n’avais que bégayé bêtement… « J-je comprends pas. » C’était le cas j’étais complètement sur le cul. Et ma réaction ne devait pas vraiment aider mon frère. « Désolé de te l'apprendre comme ça, mais je … enfin t'es le premier au courant » Ces paroles avaient enfin semblé me réveiller. Je prenais conscience que ce moment devait être des plus dur pour Thomas et que réagir comme un imbécile naïf n’allait pas l’aider. « Qu’est ce qui c’est passé Thomas ? Qu’est ce que t’as fait ? » J’avais évidement ma petite idée derrière la tête. La tromperie semblait être la meilleure explication. Mais pourquoi ? Avec qui ? Et Ida comment l’avait-elle su ? Elle devait être anéantie elle aussi. Bon dieu mes frères étaient-ils tous des briseurs de cœur en herbe ? Gardant mes propos pour moi j’avais pourtant tenté d’être un support pour mon frère, me positionnant comme quelqu’un de non jugeant. Puis, qui pouvait se dire assez parfait pour ne jamais avoir fait d’erreur de toute façon ? En tout cas pas moi.

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Thomas & James

Je n’arrive pas à croire ce que Thomas vient de m’annoncer. C’est comme un coup de massue sur ma tête et je mets plusieurs secondes à reprendre mes esprits. Je ne sais même pas ce qu’il attend de moi - ce que je suis sensé dire maintenant… Désolé ? Ou pas… Il semble dire que c’est lui qui a tout foutu en l’air. J’ai juste besoin d’en savoir plus. « Je l'ai trompé» Je hoche la tête mais mon coeur s’accélère je ne peux pas le croire… Non pourquoi… J’ai envie de lui hurler pourquoi. « Je.... avec … avec un autre homme» La c’est le chaos dans ma tête je ris d’abord un peu nerveusement. « Non ? » Mon ton est presque amusé comme si je voulais croire à une blague un peu puérile. Il me joue un tour. C’est quoi ? On est le premier avril ? Mais Thomas continue de me regarder aussi sérieusement et je commence à déchanter. « T…T’es sérieux ? » Il hoche la tête à ma question et continue son explication. Plus il parle et plus j’ai l’immersion de me décomposer. Ses mots sonnent à mes oreilles mais je ne peux pas le croire - c’est comme si c’était un inconnu qui me parlait. Qui est cet homme en face de moi ? Où est mon frère droit et loyal celui que je tenais en presque en héros ? que je considérais comme un modèle ? Celui qui était fidèle à sa femme et pas une homme qui la trompait avec un jeune homme de dix ans de moins que lui. Je reste pourtant silencieux alors qu’il continue son histoire. J’ai du blanchir un peu mais je ne fais aucun bruit. Je me demande comment j’ai pu ne pas me rendre compte que ça allait si mal… Comment tout ça a pu arriver. Je me sens bête… Et presque un peu trahis même si je sais que ce n’est pas ma place de ressentir ça. Que je n’ai pas le droit - que si il me parle de toute ça c’est pour que je sois un soutient mais… Moi aussi j’ai été trompé et bordel ça fait mal… «Je ne suis pas fier de ce que j'ai fait, bien au contraire. Mais je ne pouvais pas faire autrement ... » Je me réveille un peu à cette dernière phrase.  « T’as tord Thomas… Il y a des meilleurs moyens de faire… » Si je veux bien tenter d’être un soutien je refuse de le laisser se voiler la face. Je me passe une main dans le cou un peu mal à l’aise ne sachant trop ce que je dois dire maintenant. « Je suis désolé Thomas… Pour ton mariage et de ne pas m’être rendu comte que ça allait si mal… J’aurais aimé pouvoir faire quelque chose. Au moins te soutenir… » Je tends ma main pour la poser sur l’épaule de mon frère. « Je suis un peu choqué… Et c’est… Un peu trop d’information. » Un homme, plus jeune, la tromperie, le voyage il y a plusieurs années. Tout s’embrouille dans ma tête. « Mais t’es mon frère et je te soutiendrais toujours. » Au final est-ce que j’ai droit de lui en vouloir de ne pas être parfait - de ne pas respecter cette étiquette pleine de pression qu’on lui a mis sur le dos depuis toujours ? Personne ne peut-être à la hauteur de ça… Pas même Thomas c’est n’est qu’un humain. « Tu… Tu es amoureux ? De… Ce garçon. » Ca me brûle un peu la gorge, comme si les mots n’étaient pas prêt à sortir et mon esprit pas plus capable d’imaginer Thomas avec un autre homme…

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La tromperie ça me semble tellement violente comme moyen de dire à l’autre qu’on ne l’aime plus, ou que les choses ont changé. Evidement le plus souvent l’autre le sait déjà, ce sont des choses qui se sentent dans un couple et pourtant ça n’empêche pas la trahison d’être suprême.   «En fait, je n'avais pas le choix dans le sens où je ne pouvais plus rester avec Ida alors que Myrddin est là, à m'attendre et que je l'aime beaucoup. Enormément. P … plus même qu'Ida... » Je peux comprendre l’amour, je peux entendre, même si imaginer mon frère avec un autre homme m’est difficile. Mais dans cette situation il y avait d’autres facteurs à prendre en compte, deux petites têtes blondes qui étaient ses enfants et il me semblait un peu violent de mettre plusieurs années de bonheur derrière lui aussi brusquement. Pour autant je tentais réellement de le comprendre sans émettre de jugement, je pouvais deviner qu’il avait déjà eu sa dose avec Ida. « Merci James» Je souris un peu à mon frère qui a  l’air aussi chamboulé que moi au final.   « Je … je comprends totalement que ce soit trop d'informations. Prends tout le temps qu'il te faut pour y réfléchir à tout ça» Je ne suis pas vraiment sur d’avoir envie de trop y réfléchir… Certaines choses méritent qu’on ne tente pas de trop les analyser si on ne veut pas se prendre la tête. Je dois juste l’accepter.

Finalement j’ose lui demander si il est amoureux - bien que la réponse me semble évidente maintenant.  Oui je l'aime. Beaucoup. Plus que de raison» C’est un choc et un soulagement à la fois. Je me sens un peu perdu encore alors que Thomas enchaine. « Je suis sûr que tu pourras l'apprécier aussi tu sais ? Il est gentil, adorable, cultivé, il sait tenir une conversation sans problème, un peu timide mais pas trop, juste ce qu'il faut. Il … je pense sincèrement que vous pourrez être amis tous les deux…» Cette fois je beuge un peu, le regardant étonné pendant quelques secondes. Il va trop vite pour moi, j’ai a peine eu le temps de digérer son annonce qu’il me parle déjà de rencontrer l’amant. « Je… Je n’en doute pas t’as toujours eu bon gout. » Je souris un peu faiblement. « Mais laisse moi un peu de temps… D’accord ? » Je n’ai pas envie qu’il ait l’impression que je veux rejeter cet homme qu’il aime mais pour le moment l’idée de le rencontre n’est pas vraiment envisageable pour moi.

« Je pense bien que tu puisses ne pas lui faire confiance » Je hoche la tête de droite à gauche. « C’est pas ça… » C’est juste que la fin de cette relation est un deuil que je dois faire et pour le moment je n’ai fait que commencer. Ce couple parfait auquel je croyais tant vol en éclat, après le mien et celui de Samuel et Livia ça fait beaucoup de déception. «Mais il n'y es pour rien. Que ce soit claire : ce n'est pas lui a gâché mon mariage. J'en suis le seul et unique responsable. Il ne m'a obligé en rien » « Je n’en doute Thomas… » Et je ne diabolise pas cet autre homme. « Mais tu viens de me lâcher deux bombes d’affilés là ! Ta séparation et ton homosexualité, ou bisexualité je sais pas…  j’ai… Ca fait beaucoup ! » Je peux le comprendre et j’espère que lui aussi me comprend. « Oh putain… » Moi qui jure si peu souvent ça me sort d’un coup comme si c’était le seul mot qui me venait à la bouche. « Qu’est ce que tu vas dire à papa ? » Il n’y a pas besoin que je lui explique pourquoi je me pose la question. Nous connaissons tous deux notre père et son esprit fermé… Ce n’est pas le genre de chose qu’il risque d’accepter et venant de Thomas, son fils prodige, la nouvelle risque d’être encore plus difficile.

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Je crois qu’il a l’air heureux, du moins son visage s’illumine quand il parle de cet autre homme et pourtant j’ai réellement de la peine à m’y faire. De la peine à croire que ce qu’il vient de m’annoncer et vrai, qu’il veut que je rencontre celui qui fait voler une partie de notre famille en éclat. Evidement je pense aussi à Alex et à Clara mais je n’ose pas vraiment poser la question pour le moment, me doutant aussi qu’il a sans doute besoin de temps pour mettre les choses au claire. La séparation est récente et je n’ai pas envie de l’assaillir de questions tout de suite. J’aurais de toute façons les réponses bien assez vite à n’en pas douter. « Je … je comprends. Prends ton temps » J’hoche la tête reconnaissant qu’il ne me stresse pas pour le moment et accepte que ça soit aussi une sacré nouvelle pour moi. « Mais ne m'en veux pas s'il te plaît » Mes sourcils se froncent légèrement à cette dernière supplication, ma  main venant automatiquement se poser sur l’épaule de mon frère pour la serrer délicatement. « Hey, on est une famille Thomas… Je serais toujours la pour te soutenir tu le sais bien. » Même si parfois ce n’est pas si simple. Même si la situation dans laquelle je me trouve en ce moment avec Sam peut laisser penser le contraire. Contrairement à ce que notre frère le solitaire pense, je suis prêt à le soutenir lui aussi, et je n’ai pas pris parti… Enfin pas totalement.

La question suivante est relativement délicate, je le sais bien et j’hésite d’ailleurs à la poser. Mon frère ayant toujours eu une relation spéciale avec notre père. Ainé de la famille et fils parfait il a mis la barre haute pour nous tous. Et sans doute aussi pour lui même d’une certaine façon.   « Aucune idée... Je … la vérité, peut-être... ? » Je continue d’hocher stupidement la tête sans trop savoir quoi dire. Evidement nous savons tous les deux que ce n’est pas une vérité qu’il est prêt à accepter mais je reconnais bien mon frère dans ses propos. Thomas a toujours accepter d’être qui il était jusque là sans se cacher, mais il n’a sans doute jamais eu à faire face à une telle révélation et a une certaine désapprobation de la parte de notre père. « Je n'en sais rien. Je me pose la question depuis le début de ma relation avec Myrddin et je n'ai pas encore trouvé de solution. » Je n’ai malheureusement aucun conseil à lui donner. Quand sa concerne notre père et ses pensées cloitrés, je suis sans arme. « Il va me détester. Il va me rayer de son testament. Peut-être devrais-je même abandonner mon nom de famille. Non enfin … je … si je lui annonce ça, pour lui, je ne serais plus son fils, clairement ... » Je déglutis difficilement. Evidement ma première envie est de le contredire mais ça serait mentir de lui dire que notre père va accepter les choses sans problème, qu’il n’a pas à avoir peur. « Il se peut que ça soit un peu difficile… » C’est tout ce que je trouve à dire alors que je regarde Thomas qui joue avec ses doigts un peu nerveusement. « Mais… Tu es son fils et… Il se fera une raison Thomas… Ca prendra peut-être du temps mais regard Kate… Il ne l’a pas reniée, même si il désapprouve clairement son mode de vie. » Evidement la relation avec ma sœur est encore bien différente, étant la petite dernière, la seule femme et le portait craché de sa femme, et donc de la seule femme que notre père ait jamais aimé. « Je sais pas ou tu dors Thomas… Mais il y a toujours de la place ici pour toi si tu veux. » L’avantage d’avoir une maison bien trop grande pour moi et prévu pour la famille que je voulais avoir avec Savannah, mais que je  n’aurais sans doute jamais.

Je comprends totalement que James soit déboussolé. Même s'il essaie de le cacher, je le connais mon frère, je sais qu’il aura besoin d'un certain temps pour digérer ces nouvelles, ces trois bombes que je viens de lui lancer. Il y arrivera, je le sais. Je sais qu'il finira par s'y faire, à cette idée que je ne suis pas celui que j'ai prétendu être pendant toutes ces années. De mon côté, il faut juste que je lui laisse le temps de s'y habituer, ne pas le brusquer, rester patient. Dans tous les cas, je sais que je peux compter sur lui et sur son soutient infaillible. Il me le fait bien comprendre en posant une main sur mon épaule, la serrant gentiment et en me disant que nous sommes une famille et qu'on sera toujours là les uns pour les autres. Je lui offre un petit sourire et hoche doucement la tête.

 « Merci James, vraiment» dis-je avec sincérité en plongeant un regard reconnaissant dans le sien. Cette loyauté envers sa famille, c'est ce qui fait notre force à nous, les Beauregard. C'est grâce à ce soutient que nous avons réussi à traverser toutes les épreuves devant lesquelles nous a foutu la vie. Le décès prévisible de notre mère, la mort brutal de Ian, l'accident d'Ezra et moi l'année dernière... même lors de ce mois que Clara a passé sous couveuse j'ai pu compter sur ma famille. Je pose à mon tour une main sur l'épaule de James, la sers silencieusement puis la relâche et soupire doucement en me reculant.

Le prochain sujet ? Notre père. Et comment lui annoncé ces nouvelles. Au moins, là aussi, nous sommes d'accord : ça ne va être facile. James, en tant qu'éternel optimiste, me dit que je reste le fils de papa, qu'il se fera bien une raison. Il prends l'exemple de Kate qui n'a pas été totalement renié et je grimace  «Y a une différence entre foutre sa vie en l'air parce qu'on rêve de changer le monde et foutre en l'air son mariage parce qu'on est amoureux d'un autre homme  » je relève mon regard sur James  « je crois que, dans le fond, papa accepte plus facilement les principes de Kate que l'orientation sexuelle de son fils ...» je soupire doucement puis hausse les épaules et reprends une gorgé de ma bière.  « Enfin bref. On verra bien » je lance un coup d’œil à mon frère lorsqu'il me dit que je peux très bien dormir ici.  « Merci, c'est gentil. Mais Myrddin et Nathan m'hébergent déjà» répondais-je  «Enfin, j'y penserais si jamais je les emmerde trop » je rigole un peu, sans joie.

L'après midi se fini en soirée, je reste encore longtemps là, sur le canapé de James à chercher une solution avec lui mais nous n'en trouvons aucune. Du coup, après deux bières et une pizza que nous avons décidé de commander, je repars, bien plus léger et détendu.