« Oh, merde! » lâchai-je bien malgré moi à voix haute en sentant la brûlure sur ma main, ma récompense de la journée faisant maintenant une belle flaque à mes pieds. Mon café, ma délivrance, envolé et gaspillé parce que j’étais apparemment incapable de faire deux choses en même temps. Bon, ce n’était rien de nouveau pour moi, mais c’était tout de même très frustrant. Je balançai le verre en carton dans la poubelle la plus proche et secouai ma main maintenant collante pour l’en débarrasser du liquide à moitié séché. Que faire maintenant? Je n’avais même pas eu la chance d’en prendre une toute petite gorgée avant de le renverser et dieu sait que j’avais besoin de ma dose de caféine sinon je risquais de faire un meurtre dans la prochaine heure –ou une tentative de suicide, c’est selon.
Soupirant fortement, j’entrepris donc de me rendre au prochain café le plus proche, non pas chez Nate comme à mon habitude, mais ça ferait l’affaire. Enfin, il le fallait. J’entrai et regardai rapidement autour de moi, jugeant mon entourage avant de décidé que ça ferait l’affaire. J’allai ensuite directement à la salle de bain pour me laver les mains et constatai par la même occasion que mes cheveux partaient dans tous les sens et que mon chignon d’abord soigné avait désormais prit l’apparence d’un chignon complètement négligé. Cool ou pas? Pff, ce n’était définitivement pas ma journée. Je replaçai quelques mèches, soufflai sur une autre et retournai au comptoir pour me commander leur plus gros et plus fort café –pronto! Un sourire à la gentille serveuse et elle m’avisa qu’elle viendrait me le porter, je n’avais plus qu’à m’assoir. Génial!
J’analysai une seconde fois mon environnement avant d’opter pour une table près de fenêtre, deux places seulement avec pour seul voisin un géant aux cheveux long qui semblait plongé dans son livre. J’haussai un sourcil, me mordillai inconsciemment la lèvre et marchai vers lui avec une nouvelle assurance, zieutant sans aucune subtilité le bouquin qu’il avait entre les mains. « Qu’est-ce que vous lisez? » demandai-je finalement en posant mon sac à main et mon propre roman sur la petite table près de la sienne. Je retirai mon manteau, attendant sa réponse ma foi assez intrusive.
Depuis qu'ils sont entrés en ma possession, j'ai étudié sans cesse tous les documents en rapport avec ce monstre ; et plus je les étudiais plus m'apparaissait la nécessité absolue de le détruire. - Anno Dracula.
Plus les jours passes plus je m'ennuie. C'est vrai que cette histoire d'opération ma bien retourner, mais quand est-ce qu'elle va arriver ? Je ne sais pas du tout. J'ai peur, j'appréhende. Oui moi l'homme fort d'esprit -enfin se qui en reste, l'homme qui montre qu'il n' a peur de rien du tout et bien c'est totalement faux. J'ai peur, j'ai affreusement peur, peur de se qui va se passer par la suite. Elle est déjà bien atteinte alors quoi ? Que va t'il m'arriver quand il vont m'opérer. De toute façon je dois réduire sur la boisson pour qu'au moment venu il accepte de m'opérer et que je ne soit pas sous l’emprise d'alcool ou autre. Enfin bon je sais que je ne peux plus marcher normalement alors je dois toujours avoir un béquille pour m'appuyer dessus, mais je vais toujours a l'envers des contraintes que l'on ma mise : ne pas marcher des kilomètres et des kilomètres avec ma jambe. Mais je ne respect pas du tout ça. Je le fais sans hésiter. Comme aujourd'hui, aujourd'hui ou j'avais envie de sortir de chez moi, où j'avais envie de souffler de prendre l'air. De toute façon, j'avais laisser Léo, mon chien chez mon frère, je n'arrivais pas spécialement a m'occuper de lui alors je lui ai laisser pendant quelques temps. Je sais qu'il sera heureux là-bas surtout en voyant mon frère complètement gaga de lui.
J'enfile ma veste, puis je prends dans ma poche mon petit bouquin que j'ai déjà bien commencer pour le continuer au coffee shop. Je sais que je n'y vais pas souvent mais quand j'y vais j'y reste des heures entières sans même me rendre compte que les personnes entre et ressorte dans aucune délicatesses par moment. Le long du chemin c'est assez dur, difficile je sens ma jambe me lancer et me montré que la douleur est bien présente. Je soupire a plusieurs reprise mais je prends mon mal en patiente. Pour une bonne cause vue que j'arrive assez rapidement au coffee. Je pousse doucement la porte puis je m'avance vers le comptoir, je commande un grand cappuccino puis elle me dit de m'installer et qu'elle arrive avec ma commande. Je la remercie puis je vais m'installer à une table un peu éloigner du monde. Je sors mon bouquin de ma poche puis je dépose ma béquille sur le coter pour ne pas gêner le passage. La chaleur du magasin me fait me sentir bien, je retire alors ma veste et je prends mon bouquin entre mes mains pour commencer a le lire. Je n'avais même pas fait attention que tu venais de t'installer en face de moi, c'est le son de ta voix qui me sort de mon bouquin. « Qu’est-ce que vous lisez? » Je relève mon regard noisette vers toi et un petit sourire se fait sur mes lèvres. « Il s'appelle « Les Résidents » c'est une édition qui fait que des bouquins assez noir, surprenant mais aussi psychologique. » Je ris doucement puis je vois que toi aussi tu as un bouquin. Je te le montre avec mon regard. « Et vous, que lisez-vous ? » Ca ne me dérange pas d'avoir une présence. Au contraire.
Heureusement pour mon manque de tact légendaire, j’étais tombé sur un gentil géant qui voulait bien partager ses trésors de la littérature avec moi. Un sourire prit place sur mon visage bien malgré moi alors qu’il me sourit. « Il s'appelle "Les Résidents" c'est une édition qui fait que des bouquins assez noir, surprenant mais aussi psychologique. » J’hoche la tête, n’ayant jamais entendu parler de ce livre, mais assez curieuse d’en apprendre d’avantage. Puis, j’ai ma petite idée quant à la maison d’édition qui fait ce genre de roman. Il rit doucement et ce son ne peut que me faire sourire d’avantage. Il est pas mal dans son genre, mon gentil géant. « Et vous, que lisez-vous ? » J’hausse les sourcils, comme surprise qu’il me retourne la question, mais tout de même contente qu’il le fasse. J’attrape mon bouquin usé à la corde et le retourne quelques fois dans mes mains en lui jetant un regard de biais. « Oh ça? C’est une vieille copie du grand classique de Jane Austen. » Je ris un peu, presque embarrassé de ne pas avoir quelque chose de plus exotique sous la main. « Orgueil et Préjugés, je présume que vous connaissez? »
Sauvé par la cloche, la serveuse arrive avec deux tasses dans les mains. « Un grand cappuccino et un très grand café corsé. » Un léger soupir s’échappa de mes lèvres à la simple idée d’enfin pouvoir mettre de la caféine dans mon système. Je souris à cette charmante serveuse et attrapai rapidement ma tasse pour en humer les effluves. « Mmh… parfait. » Je fermai les yeux, complètement en transe avec mon liquide brûlant et ne m’aperçus même pas que la serveuse avait disparu et que j’avais probablement l’air complètement folle ou alors d’une simple fanatique. Je pris tout de même une gorgée –sachant que c’était brûlant- et étouffai un juron en m’embrasant pratiquement la langue. Je sortis de ma torpeur et posai promptement la tasse en regardant mon nouvel ami de la lecture. « Oh pardon…. Le café, une passion que je vous déconseille. » Je ris pour ce qui me semblait la millième fois en quelques minutes et me mordillai la lèvre, tentant de faire bonne figure. Quelle journée!
Depuis qu'ils sont entrés en ma possession, j'ai étudié sans cesse tous les documents en rapport avec ce monstre ; et plus je les étudiais plus m'apparaissait la nécessité absolue de le détruire. - Anno Dracula.
C'est affreusement agréable d'avoir une personne à qui parler qui est totalement différent de se que je peux parler tout les jours mais là, c'était autre chose que de ma vie ou bien même de la vie des autres. Quand tu me poses la question sur mon livre je réponds simplement se que c'est. Bien sûr je ne parle pas de la maison d'édition parce que, je n'en trouve pas la peine. Après tout, tout le monde ne connait pas tout les éditions possibles à moins que l'on travaille dedans. Quand je te retourne la question je garde mon regard brun déposer sur ton visage, assez doux et fin, c'était agréable de parler avec une femme qui n'a pas un verre d'alcool en main. « Oh ça? C’est une vieille copie du grand classique de Jane Austen. » Je ris doucement avec toi en voyant l'état de ton livre, je me sens moins seul a avoir des livres aussi délabré que le tien. « Orgueil et Préjugés, je présume que vous connaissez? » Je fais un oui de la tête. « J'ai déjà lu ce livre une fois quand j'étais en étude oui. Mais après je ne peux pas vous faire de résumer car je ne m'en souviens plus... » Je rigole doucement en haussant doucement des épaules.
Quand la serveuse arrive je dépose mon livre sur la table en ayant plier le haut de la page. « Un grand cappuccino et un très grand café corsé. » Je garde un sourire aux lèvres en haussant la tête quand elle parle du grand cappuccino. Je viens alors prendre la tasse a mon tour en la remerciant. « Mmh… parfait. » je rigole doucement. « Je suis d'accord avec vous. » je viens alors faire comme toi, sauf que je viens doucement prendre une petite gorger vue que c'était chaud. Quand je te vois faire je me permets de rire doucement, ce n'est pas pour me moquer mais tout simplement parce que tu laisse un jurons sortir de t'es lèvres sans même te préoccuper du monde autour de toi. « Oh pardon…. Le café, une passion que je vous déconseille. » Je rigole a nouveau. « Je connais parfaitement. Quand j'ai commencer a goûter le café Italien que ma mère faisais j'en suis devenu accro. Alors je comprends tout à fait, mais à cette heure là je préfère un bon petit, enfin grand cappuccino » Je souris amuser en te voyant faire. « Puis un peu de caféine ne fait jamais de mal a personne de toute façon. Je paris que vous avez une journée un peut trop mouvementé pour apprécier cette grande gorgée brûlante. » Je rigole a nouveau en prenant une nouvelle gorgé de ma boisson a mon tour en t'observant.
Et voilà la serveuse qui disparaissait après nous avoir tous les deux apporté nos breuvages. Apparemment, ce grand gaillard était arrivé tout juste avant moi. Tant mieux dans ce cas, je ne le dérangeait pas alors qu’il était en profonde lecture de son roman. Je m’exclamai sur la perfection de mon café ce qui me valut un joyeux : « Je suis d'accord avec vous. » de la part de mon nouvel ami –dont je ne connaissais toujours pas le nom d’ailleurs- juste avant de me brûler la langue avec ma tasse de réconfort. Je m’excusai rapidement d’avoir ainsi juré devant lui, disons juste que ce n’est pas exactement approprié pour une première rencontre et il se contente d’en rire. Tant mieux. « Je connais parfaitement. Quand j'ai commencé à goûter le café Italien que ma mère faisais j'en suis devenu accro. Alors je comprends tout à fait, mais à cette heure-là je préfère un bon petit, enfin grand cappuccino » Café italien? Non attendez, c’est qu’il est d’origine italienne alors? Je le détaille un moment du regard, oui, ça fait totalement du sens. Il est bien bâti et a ce teint légèrement olivâtre qu’on parfois les italiens. Mmh..
« Puis un peu de caféine ne fait jamais de mal à personne de toute façon. Je paris que vous avez une journée un peu trop mouvementé pour apprécier cette grande gorgée brûlante. » Il me sort de mes rêveries en présumant que j’ai eu une journée mouvementé. En effet, il n’a pas complètement tort. Il rigole à son tour et je ne peux m’empêcher de sourire, contente de voir que notre bonne humeur est contagieuse l’un sur l’autre. « Disons simplement que j’ai connu des journées moins…. Collantes. » Je ris à nouveau et me rend compte à quel point cette phrase peut sembler étrange hors de son contexte. « J’ai échappé mon premier café sur mes mains avant d’arriver ici. » J’hausse les épaules en secouant la tête et me calle dans ma chaise ne lâchant plus ma tasse que pour lui tendre la main. « Moi c’est Dea… et toi? –On peut se tutoyer, pas vrai? Il me semble qu’on a le même âge…. Ou presque. » Je souris, légèrement gêné tout à coup. Ce n’est pas mon genre et pourtant. C’est peut-être parce qu’il est franchement sympathique avec moi et qu’il subit mon étrange caractère sans broncher jusque-là. J’ai l’habitude de faire fuir les gens alors ça me change pour une fois. HJ: Pardon pour l'attente, j'ai été pas mal occupé ><
Depuis qu'ils sont entrés en ma possession, j'ai étudié sans cesse tous les documents en rapport avec ce monstre ; et plus je les étudiais plus m'apparaissait la nécessité absolue de le détruire. - Anno Dracula.
C'est vrai que j'aurais pu être l'homme le plus désagréable au monde puis ne pas t'accepter a ma table, mais en réalité, ça fait quoi ? Ce ne fait rien du tout bien au contraire c'est comme ça que l'on fait des rencontres et tu as l'air plutôt sympathique, même si le coup du café me fait doucement rire et que moi aussi j'ai déjà eu cette situation : brûlage de gorge par un café bouillant dont tu as tellement envie de boire. Mais ça ne me dérange pas au contraire, je rester sympathique, je rigole même. Se qui me surprend moi-même avec ma situation d'en ce moment. Je ne rie pas assez voir même pas du tout. Je viens alors me permettre de t'expliquer que je suis devenu accroc au café a cause de ma mère, un café Italien. Je viens de révélé une petite partie de mes origines mais ça ne fais pas de mal du tout. Après tout, je le porte assez bien et je ne le cacherais pas du tout même.
Après ça je me permets aussi de te faire une sorte de suggestion comme pour te demander se qui c'est passer pour que tu sautes sur ce pauvre café qui vient tout juste de couler. « Disons simplement que j’ai connu des journées moins…. Collantes. » je souris amuser a t'es paroles, mais je te laisse alors finir voyant que tu vas rajouter quelque chose juste derrière. « J’ai échappé mon premier café sur mes mains avant d’arriver ici. » Je hausse des sourcils en souriant un peu amuser. « On va dire que c'est l’excitation de vouloir boire son café trop vite. Il sait échapper par peur de se faire boire. » je dis amuser en te regardant. Je m'installer un peu mieux dans mon siège en souriant, c'était agréable d'avoir une personne face à soit qui est quand même un peu comme moi. Enfin, à se que je remarque par rapport au café. Quand tu me tends ta main je viens la prendre, sans lâcher ma tasse aussi en la serrant amicalement. « Moi c’est Dea… et toi? –On peut se tutoyer, pas vrai? Il me semble qu’on a le même âge…. Ou presque. » Je souris a t'es paroles, en lâchant doucement ta main. « Enchanté Dea, Sean, Sean Grimes. » J'ai trop l'habitude de dire mon nom de famille derrière faut que j'arrête... « Je suis tout à fait d'accord pour le tutoiement. Si je peux me permettre tu as quel âge ? Parce que c'est totalement possible qu'on soit du même âge ou presque. » je dis en souriant. Tu pouvais voir que ça ne me dérange pas du tout bien au contraire.
Wow, je regarde rapidement l’heure sur le mur un peu plus loin et me rend compte que ça fait déjà un bon moment qu’on parle tous les deux. C’est fou comme, dans la vie, on rencontre parfois des gens avec qui on s’entend comme si on les connaissait depuis toujours. Alors qu’avec d’autre, on les connait réellement depuis des années et on ne trouve toujours pas de quoi parler lorsqu’on se voit une fois par année durant le temps des fêtes. J’esquisse un sourire à cette idée et reporte mon attention sur mon nouvel ami qui invente des théories de conspiration du café. « On va dire que c'est l’excitation de vouloir boire son café trop vite. Il sait échapper par peur de se faire boire. » J’éclate de rire cette fois, ne pouvant qu’imaginer mon café soudainement en vie qui tente de s’enfuir pour ne pas se retrouver dans mon estomac avec ses confrères et qui se jette finalement sur mes mains, les rendant à la fois légèrement brûlées et complètement collantes. Il a un sens de l’humour que j’apprécie ce gars-là! Ce n’est pas donné à tout le monde alors autant en profiter.
Je me présente donc finalement, avec une main propre cette fois, lui proposant qu’on se tutoie. Il ne semble pas offusqué par ma demande, au contraire, ce qui le rend d’autant plus chaleureux à mes yeux. « Enchanté Dea, Sean, Sean Grimes. » J’hoche la tête, c’est un nom sympa. Pas de consonance italienne, mais je présume que ça ne change rien à ses origines. « Enchantée! » Je ne lui précise pas mon nom de famille, je n’en vois pas particulièrement l’intérêt. Au fond, je pourrai toujours le lui donner plus tard s’il est intéressé. Pour le moment, ce n’est pas le sujet de conversation. « Je suis tout à fait d'accord pour le tutoiement. Si je peux me permettre tu as quel âge ? Parce que c'est totalement possible qu'on soit du même âge ou presque. » Je fronce les sourcils un instant, prenant un air légèrement outré. « Tu oses demander l’âge d’une femme? Tu es plus culotté que je ne le croyais Sean! » Je prends une pause, bois une grande gorgée de mon café et souris finalement. « Je blague, bien sûr. J’ai 32 ans bien assumé! Et toi? » J’aime bien taquiner les gens, les rendre mal à l’aise même si possible. Je sais, c’est étrange. Mais c’est mon sens de l’humour à moi.. On aime ou on n’aime pas!
Depuis qu'ils sont entrés en ma possession, j'ai étudié sans cesse tous les documents en rapport avec ce monstre ; et plus je les étudiais plus m'apparaissait la nécessité absolue de le détruire. - Anno Dracula.
Plus le temps passait plus on continuait a discuté, déjà on parlait de café. C'est vrai que je peux être un "expert" la dedans mais non je ne suis pas du tout un expert même si j'en ai beaucoup bu durant mes années ou j'étais a la fac. C'est vrai que ça me tenais en forme durant mes cours mais bon j'ai pu ralentir la dessus et c'est une bonne chose en réalité. Mon corps me suppliait a lui donner du sommeil mais j'étais tellement éveiller que non, non je n'y arrivais pas du tout. Mais bon c'était comme ça quand on boit trop de café.
Alors que l'on était mutuellement entrain de boire notre boisson préféré on sait demander l'un et l'autre de se tutoyer, je n'ai pas refuser c'était plus simplement pour le reste de la conversation de toute façon. Alors que je te demande ton âge, je vois une petite pointe d'amusement dans ton regard mais aussi dans t'es paroles que je ne peux pas m'empêcher de rire mais aussi de passer pour l'homme qui ta offusquer. Voyant que tu plaisantes toi aussi et que tu me donnes ton âge je fais de même. En effet nous avions le même âge, je suis légèrement plus âgé que toi, mais nous sommes du même âge. Je rigole a nouveau puis en réalité je te pose des questions sur ton livre, et répond aux tiennes sur le mien. Sauf que mon téléphone nous tire de notre conversation, je réponds en voyant que c'est mon frère, je pouvais entendre dans sa voix que ça ne va pas. Je m'excuse au près de toi et espère te revoir un de ses jours ici, dans se même café.