Et ça m'énerve en même temps que ça me déprime. Le pire dans tout ça, c'est que je ne sais pas à qui j'ai volé cette clé et même si je connaissais le propriétaire, je ne me vois pas le rendre directement. Je ne pourrai pas faire atterir la clef par magie non plus. Alors cette situation me déprime encore plus et je sais que ce n'est pas une pinte de bière qui va arranger ça. Encore pire, la bière d'Australie n'a pas le même goût du tout que les bières d'Angleterre... C'est carrément pas la même ambiance et j'avais oublié ce 'détail', bon c'est pas non plus la fin du monde. Je ne veux pas dénigrer les bars Australiens, c'est juste particulier et déroutant pour moi, je m'y habituerai, je finis toujours par m'habituer.
Je ne sais pas à combien de pinte j'en suis, mais je ne dois pas avoir dépassé trois, c'est sûr. Je n'ai pas une descente rapide, donc j'ai tendance à mieux tenir l'alcool. C'est fou de se dire que j'ai déjà trente-six ans et que mon corps commence à avoir du mal à se remettre des cuites, alors j'ai intérêt à ne pas trop en faire. Ce dont je ne risque pas, puisque je n'ai personne avec moi. En même temps... Une clé volée... ça se fête pas.
Je soupire et joue avec la clef qui danse entre mes doigts. Je la regarde et me pose la question. Comment est-ce arrivé ? Aucune idée. Je ne sais pas comment j'ai vu la clé et comment j'ai eu l'idée de voler... J'en avais envie et puis ça donnait un peu de l'action, une sensation qui me manque de plus en plus quand j'y pense. Comment l'ai-je volée ? En fouillant dans la poche de quelqu'un ? Une clé d'un meuble, ce dont je doute parce que ça n'a pas l'air d'être une clé d'un meuble mais pour un portail ou un cadenas à vélo... Aucune idée. Je peux m'y connaître dans les clefs à molettes, mais pour les portes ... Je ne sais franchement pas et je ne vais pas devenir un expert ce soir.
Alors je joue avec la clé alors que je bois une petite gorgée, sans trop regarder autour de moi. Je n'ai pas trop envie d'engager la conversation avec moi ... Quoique ça peut être fun, mais là, je ne suis pas d'humeur pour. J'aurai pu appeler Saul aussi, pour lui dire que j'ai recommencé mais je ne me sens pas prêt à vouloir lui dire ça. Hé ? La clé se bloque entre mes doigts, je n'arrive plus à la faire bouger. Je grimace et essaye de décoincer tout ça, mais au moment où je la relâche avec un doigt, elle fait un joli vol plané de l'autre côté du comptoir où je me trouve, pour se cogner sur la main de l'autre gars.
Eh merde.
Faut vraiment que ça n'arrive qu'à moi ça. Je me mords intérieurement la lèvre et regarde la personne, mon voisin de comptoir comme j'aime bien appeler. Je ne lui ai jamais parlé mais je le vois assez souvent et on est toujours là, à la même place. J'avoue que ça fait des jours que je viens ici, mais je ne vois que lui. Pas parce qu'il m'a tapé à l'oeil, c'est à cause de ses cheveux longs. J'ai toujours respecté les types qui réusissent à entretenir leurs cheveux longs, c'est tout. Rien de plus.
Enfin peut-être si, parce qu'il va falloir que je lui parle si je veux récupérer cette clé. Alors je le regarde, un peu hésitant et pas trop sûr qu'engager la conversation soit une bonne idée vu la tête qu'il tire.
" Euh ... C'est à moi en fait cette clé. Désolé, je ne voulais pas vous déranger. "
Ah ah ah. Très drôle. La clé qui m'appartient, mais oui.
I wanted the fame, but not the cover of Newsweek, Oh well, guess beggars can't be choosey, Wanted to receive attention for my music, Wanted to be left alone public, excuse me, Been wanting my cake, and eat it too, and wanting it both ways, Fame made me a balloon cause my ego inflated, When I blew, see, it was confusing, Cause all I wanted to do is be the Bruce Lee of loose leaf, Abused ink, used it as a tool when I blew steam (wooh!), Hit the lottery, oh wee, But with what I gave up to get was bittersweet, It was like winning a used mink, Ironic cause I think I'm getting so huge I need a shrink, I'm beginning to lose sleep: one sheep, two sheep, Going cuckoo and cooky as Kool Keith,But I'm actually weirder than you think cause I'm...
Et c'est repartie comme chaque soir, comme à chaque fois que j'ai besoin de me libéré mes pensées, de ne plus pensées a cette femme qui n'arrête pas de me hanter, à ce boulot qui n'arrête pas de me prendre la tête chaque seconde, à cette opération qui n'arrête pas de me hanter, moi qui n'aime pas me retrouver sur une table d'opération pour la moindre chose, même pour mes dents de sagesse j'avais la trouille alors imaginez pour un genoux infecter. Mais le pire c'est que je dois passer des tests par rapport à mon cœur car celui-ci me joue énormément de tour aussi. Enfin, tout tout me travaille en ce moment et je ne peux pas pensée a autre chose que ça. Mes benjamins ne savent rien du tout et je pense que c'est la meilleur chose a faire, ne pas leur dire, ou du moins leur dire qu'une toute petite partie qu'ils ne s'inquiète pas. Mais je ne pense pas leur dire que j'ai des soucis d'alcool et encore moins leur montré. S'ils le découvrent, oui je mériterais leur foudre mais non, non je ne répliquerais pas mais je pense que tout, touts ses problèmes ressortirons en un rien de temps en un claquement de doigt sans même que je m'en rende compte mais surtout je n'aurais pas envie de les blesser a nouveau, de leur faire du mal comme j'ai pu faire adolescent. Mais c'est comme ça. Peut-être que les Grimes sont destinés à ne pas être heureux ? Je ne sais pas du tout.
Comme chaque soir je me dirige vers le pub, toujours à la même heure, sans réellement m'en rendre compte en faite. Quand je pousse la porte du pub, je salue les serveurs puis vais m'installer à ma place, là ou j'ai l'habitude de m'asseoir depuis plusieurs jours voir semaines maintenant. Je commande comme d'habitude un whisky, verre que j'apporte doucement a mes lèvres, j'avais connus mieux comme alcool mais je n'est pas à me plaindre, quand j'ai goûter les pintes je n'avais pas l'impression d'avoir le goût de bière, d'une vrai bière comme on peu trouver a Los Angeles ou même a Londres. Je soupire doucement en buvant un gorgé de ma boisson, puis la finit rapidement, j'en demande un deuxième puis un troisième. Je ne fais pas spécialement gaffe aux personnes qui m'entourent, en réalité, je vois bien qu'il y a toujours les même personnes chaque soir ou presque, mais je ne vais pas aller leur parler. Je ne me vois pas aller les voir et leur dire « Salut, toi aussi tu bois pour oublier ? » Non ce n'est pas moi ni même mon genre.
J'étais entrain de prendre mon verre entre mes mains doigts puis de l'apporter à mes lèvres, la chaleur commence à me monter, je ne suis pas encore saoule, mais je suis bien, je ne pense à plus rien pour le moment. Je suis seul dans ma bulle sans que personne ne me dérange, du moins c'est se que je pensais. Quand je sens cette clef me taper contre les doigts, je plisse doucement les sourcils en la prenant dans ma main libre et dépose mon verre, coupé dans ma lancer, je relève le regard me demandant à qui elle peut être. Je viens alors la regarder a nouveau pour voir quel genre de clef, j'ai bien l'impression que c'est une clef de portail. " Euh ... C'est à moi en fait cette clé. Désolé, je ne voulais pas vous déranger. " Je relève rapidement mon visage sur ta personne pour t'observer, les traits de ton visage ne mets pas inconnue mais je ne serais dire d'où je t'es vue. De toute façon je vois tellement de monde que par moment je me perds moi-même. « Euh.. oui tenez, si vous voulez rentré chez vous c'est mieux, surtout pour passer votre portail. » Je dis avec un léger sourire, te tend ta clef, puis j'apporte rapidement mon verre pour enfin boire la gorgé de ma boisson. Mais je viens a nouveau te regarder. « Du moins je pense que c'est votre portail, elle ressemble fortement à celle que l'on a dans mon quartier. Vous êtes de quel quartier par hasard ? » Même si je ne parle pas aux personnes, quand elles viennent vers moi c'est plus simple pour moi de parler en réalité.
Et voilà que cette personne me regarde ... Pour que son visage ne m'ait pas l'air inconnu. Sérieusement ? Je me fais toujours cette réflexion à chaque inconnu que je croise ou parle. Je ne peux pas connaître tout le monde parce que ce n'est pas possible, à moins que j'ai rencontré son sosie sans le savoir... Ca arrive des visages qui ressemblent à d'autres, sans pour autant que ce soit la même personne et je crois que c'est ça justement. Oui bon, ce gars me regarde et je vois que je l'ai dérangé dans ses pensées avec mes bêtises, j'en suis désolé pour ça parce que je sais bien ce que font les gens dans un bar, quand ils sont tous seuls : ils boivent pour oublier. Sauf qu'à force de faire ça souvent, on tient de mieux en mieux l'alcool et c'est de plus en plus nul.
« Euh.. oui tenez, si vous voulez rentré chez vous c'est mieux, surtout pour passer votre portail. »
Je réponds à son sourire par un petit sourire, je me penche un peu pour récupérer 'ma' clé, je le remercie d'un hochement de tête contrôlé. Je ne réponds pas parce que je crois que je panique intérieurement : j'ai fait quelqu'un d'un SDF par ma bêtise. Si sa clé du portail était une clé du portail comme le dirait l'autre (qui semble être expert en clé), le propriétaire se retrouvait tout bête à ne pas pouvoir ouvrir pour entrer chez lui. Il va passer la nuit dehors... J'aurai vraiment pas dû lui voler cette fichue clé ! Je me mords vraiment la joue, déjà pour contrôler mes expressions parce que je suis sûr que si je ne me retiens pas, j'aurai grimacé et passé la main sur une partie de mon visage par dépit. Je regarde la clé alors que je joue avec le verre de l'autre main, si je ne l'avais pas volée, je n'en serais pas là... Bon au moins, pour que ma conscience aille pas mieux, je sais maintenant grâce à l'autre gars que c'est une clé de portail.
« Du moins je pense que c'est votre portail, elle ressemble fortement à celle que l'on a dans mon quartier. Vous êtes de quel quartier par hasard ? »
Ou pas.
Bon, il pense que c'est une clé de portail, ça fait pas de lui un expert. Et je suis un peu embêté. Je fais face à un habitant australien qui doit connaître la ville du bout de ses doigts, si je lui dis que je vis dans un loft à Pine Rivers, il va comprendre que je n'ai pas de portail pour entrer ... ? Et si c'était vraiment le propriétaire de cette clé ? Ok, il faut que j'arrête de paniquer, mais c'est ça l'effet post-vol : on devient parano.
" C'est bien une clé de portail, mais ... Euh ... Ouais, je serai embêté si je ne pouvais pas rentrer chez moi et je ne tiens pas à passer la nuit dehors."
Faudrait que je dise ça au gars à qui j'ai volé la clé, il serait content.
" Je vis à Pine Rivers sinon. Je sais que je suis un peu loin du centre ville, mais j'aime bien ici, c'est agréable et ça change un peu des bars du centre... Enfin, si vous pensez que cette clé ressemble à celles de votre quartier, vous devriez vivre aussi à Pine Rivers non ? " dis-je en montrant la clé avec un léger sourire.
I wanted the fame, but not the cover of Newsweek, Oh well, guess beggars can't be choosey, Wanted to receive attention for my music, Wanted to be left alone public, excuse me, Been wanting my cake, and eat it too, and wanting it both ways, Fame made me a balloon cause my ego inflated, When I blew, see, it was confusing, Cause all I wanted to do is be the Bruce Lee of loose leaf, Abused ink, used it as a tool when I blew steam (wooh!), Hit the lottery, oh wee, But with what I gave up to get was bittersweet, It was like winning a used mink, Ironic cause I think I'm getting so huge I need a shrink, I'm beginning to lose sleep: one sheep, two sheep, Going cuckoo and cooky as Kool Keith,But I'm actually weirder than you think cause I'm...
En faite rester dans ses pensées seul, devant son verre a boire comme un trou je ne sais pas si c'est vraiment la meilleure des solutions. Par moment, même si ça nous fait totalement chier au plus profond de nous, ça nous fait du bien de se faire déranger sans réellement le vouloir mais ça fait toujours du bien de pouvoir discuter avec d'autre personne malgré tout. La dernière fois que je suis venu il y avait une jeune femme qui avait juste besoin de se confier alors j'ai joue au psychologue et malgré tout nous n'avions pas tant bu que ça, on avait assez d'alcool dans le sang pour savoir se que l'on fait mais surtout, nous avions vider chacun notre sac et ça fait du bien de parler a une inconnue malgré tout. De tout lui dire, de lui dire se que tu as sur le cœur mais bien sur je ne fais pas ça tout les soirs, ça reste encore ma vie privée. Comme là, avec toi, t'es traits me disent tellement quelque chose, comme de vieux souvenir mais je n'arrive pas a mettre le doigt dessus, a mettre sur quel période de ma vie ça pouvait être. Sûrement a cause de l'alcool je n'ai pas tant les idées claires. Quand j'ai ta clef entre mes doigts mais surtout que je te la redonne, je me permets de dire qu'elle ressemble à la mienne, qui est toujours accrocher a mes clefs de voiture. " C'est bien une clé de portail, mais ... Euh ... Ouais, je serai embêté si je ne pouvais pas rentrer chez moi et je ne tiens pas à passer la nuit dehors." « Ca serait embêtant en effet, puis je ne vois pas a quoi elle me servira pour ma part j'ai déjà la mienne. Vaux mieux que vous soyez au chaud ce soir. » L'habitude du vouvoiement, l'habitude avec mon boulot. Qu'il met assez difficile de tutoyer les gens aussi vite. Puis tu parais aussi plus vieux que moi, sûrement pas de beaucoup mais c'est un respect pour moi. Je suis toujours aussi respectueux malgré que je peux être un vrai connard sous l'effet de l'alcool.
Sauf ce soir, en réalité, je ne le suis pas. Déjà hier quand je me suis retrouver dehors a me battre parce qu'un pauvre connard me cherchait mais surtout n'arrêtait pas d'emmerder tout le monde que j'ai ouvert ma gueule pour le calmer. Sa à finit avec les points. Je ne sais pas si tu étais là mais bon c'est comme ça. Par chance je n'est que des éraflures sur le haut des mains. Quand je dépose a nouveau mon regard sur ta personne, je peux remarquer que tu joues avec ton verre comme gêner d'être venu me voir par rapport a ta clef. Donc c'est un petit sourire que je te demande ou tu vie. Plus vieux que moi mais bien plus nerveux. Je fais aussi peur que ça avec ma taille de géant ? Je n'ai pas l'impression de toute façon je suis assis alors on ne peut pas trop s'en rendre compte a moins que tu m'as déjà vue debout et que là, oui je suis géant. " Je vis à Pine Rivers sinon. Je sais que je suis un peu loin du centre ville, mais j'aime bien ici, c'est agréable et ça change un peu des bars du centre... Enfin, si vous pensez que cette clé ressemble à celles de votre quartier, vous devriez vivre aussi à Pine Rivers non ? " Je t'écoute attentivement en continuant de te regarder. Bien sur je ne te coupe pas la parole. Puis quand tu me poses la question je hoche doucement là tête. « Oui je suis aussi de Pine Rivers, mais plus du coter des villa... Vous savez l'endroit ou tout le monde fait son jogging et envie les gens qui vivent là-bas ou les regarde de travers parce qu'ils peuvent se permettre d'avoir une belle maison. » Je soupire doucement en venant boire le fond de mon verre en une seule gorgé. Puis je reprends alors la parole en riant doucement. « Désoler je m'emporte un peu. Mais vous avez raison, ici c'est bien plus agréable qu'au centre ville puis c'est chaleureux cette endroit. C'est plus espacé, on se sent comme... Chez soit presque. » Je rie a nouveau en haussant doucement des épaules. « Ca me rappelle surtout les pubs dans les quel j'allais a Los Angeles, vous savez les pubs familiales ou ils ont toujours excité ceux ou tu peux être tranquille pour boire un verre sans que les ivrognes insupportables mais surtout très con viennent vous emmerder. Vous voyez ? » Je dis avec un sourire aux lèvres, mais ta présence ne me dérange pas du tout bien au contraire et ça pouvais se comprendre dans mes gestes mais aussi dans ma façon de parler.
« Ca serait embêtant en effet, puis je ne vois pas a quoi elle me servira pour ma part j'ai déjà la mienne. Vaux mieux que vous soyez au chaud ce soir. »
J'hoche encore une fois la tête avec un petit sourire, je devrais me calmer un petit peu là, je me sens trop nerveux alors que le gars veut juste me parler. Je pensais pas qu'il aurait envie de taper une discussion mais finalement ... En même temps, je peux respirer un petit peu, ce n'est pas le propriétaire qui est en train de noyer sa peine dans l'alcool et je sais bien qu'on parle de Brisbane, une ville de deux millions d'habitants. J'ai quand même une chance sur deux millons de croiser le propriétaire, alors normalement je devrais respirer et me dire que tout va bien ... Mais la paranoïa et le mauvais karma sont mes amis. Après faut penser au bon côté des choses : je ne suis pas celui qui s'est fait voler les clefs. Je serai bien tranquille chez moi, à m'occuper d'Oona et travailler un peu pour demain, mais pas trop au chaud. Je souffre déjà un peu de la chaleur australienne, alors je vais pas ajouter du chauffage dans mon loft.
Allez je peux me calmer, tout va bien, c'est juste une petite discussion anondine. Rien de bien méchant et ce gars n'est pas de la police non plus... Enfin, je n'en sais trop rien et je sais pas si j'ai envie de le savoir, parce que si je me retrouve avec un flic, je vais paniquer davantage. Aaah, je déteste ça, ces moments post-vol. Il a l'air détendu, il ne s'imagine pas ce qui se passe dans ma tête, alors vraiment, tout va bien. Je vais me calmer... Après avoir terminé ma phrase, je reprends ma pinte pour boire une gorgée dans l'espoir de me resaissir, sans le quitter du regard.
« Oui je suis aussi de Pine Rivers, mais plus du coter des villa... Vous savez l'endroit ou tout le monde fait son jogging et envie les gens qui vivent là-bas ou les regarde de travers parce qu'ils peuvent se permettre d'avoir une belle maison. »
La bouche pleine, je fais une moue et j'hoche la tête pour lui dire oui, je vois très bien ce qu'il voulait dire. Je vois très bien à quoi ressemblent les villas et dire que j'ai failli être là-bas, mais ça ne m'aurait pas trop plu parce que c'était trop grand pour moi et j'avais eu un coup de coeur au loft que j'avais trouvé.
« Désoler je m'emporte un peu. Mais vous avez raison, ici c'est bien plus agréable qu'au centre ville puis c'est chaleureux cette endroit. C'est plus espacé, on se sent comme... Chez soit presque. »
" Oui. " réponds-je avec un petit rire qui m'a échappé.
« Ca me rappelle surtout les pubs dans les quel j'allais a Los Angeles, vous savez les pubs familiales ou ils ont toujours excité ceux ou tu peux être tranquille pour boire un verre sans que les ivrognes insupportables mais surtout très con viennent vous emmerder. Vous voyez ? »
" Oui oui ! Je vois très bien ce que vous voulez dire ! J'ai été à Los Angeles une fois, seulement de passage, j'ai eu l'occasion de passer à un pub, j'en garde un bon souvenir. C'est également un endroit où on peut rencontrer des gens avec qui on peut discuter de tout et de rien, sans forcément garder contact après. Vous pouvez être tranquille dans votre coin, on viendra pas embêter et on comprend vite, mais vous pouvez aussi engager la conversation et le courant passe souvent. C'est ce qui rend les gens accro aux pubs parce que c'est bénéfique pour eux, le contact avec l'autre et c'est ce pourquoi il y en a plein dans de grandes villes. Ici, comme vous le dites bien, c'est un endroit chaleureux et assez espacé ... Un peu trop d'ailleurs pour permettre une bagarre comme hier. Ca chauffe aussi les esprits à force de parler et ne pas surveiller la consommation. "
Ok, je peux dire que le courant avec lui, ça commence à passer et j'ai l'impression de me sentir un peu plus à l'aise, plus bavard et moins stressé maintenant, je me mets à gesticuler un peu dans tous les sens. C'est bon signe ça et puis, la conversation n'a pas l'air de le déranger, moi non plus. Je crois qu'on en a besoin, sans trop forcément demander qu'est-ce qui nous a ammené ici, mh, ça me plait bien ça.
I wanted the fame, but not the cover of Newsweek, Oh well, guess beggars can't be choosey, Wanted to receive attention for my music, Wanted to be left alone public, excuse me, Been wanting my cake, and eat it too, and wanting it both ways, Fame made me a balloon cause my ego inflated, When I blew, see, it was confusing, Cause all I wanted to do is be the Bruce Lee of loose leaf, Abused ink, used it as a tool when I blew steam (wooh!), Hit the lottery, oh wee, But with what I gave up to get was bittersweet, It was like winning a used mink, Ironic cause I think I'm getting so huge I need a shrink, I'm beginning to lose sleep: one sheep, two sheep, Going cuckoo and cooky as Kool Keith,But I'm actually weirder than you think cause I'm...
La conversation commence par une simple histoire de clef. Et pourquoi pas, de toute façon le monde est tellement petit que l'on peut rencontré notre voisin dans le magasin ou vous faites vos courses sans même vous en apercevoir. Mais bon aussi vous vous imaginez que le monde est tellement immense que tout vous avez l'impression d'être dépeuplé, d'être seul au monde mais surtout que personne ne peut comprendre votre souffrance, vous avez tellement l'impression que tout le monde vous juge simplement par votre physique ou bien même votre comportement sans même comprendre quel secret se cache derrière ce problème. On vous juge même par votre propre métier, certes certains métiers sont considéré comme mauvais, mais avant de les juger vaux mieux apprendre a les connaître que dire des conneries. Mais aussi on vous juge bien trop rapidement sur votre richesse. Certes, si on a n'a les moyens on se permets plusieurs choses, mais nous ne sommes pas tous les petits bourgeois hautain, égocentrique a vouloir montré que l'on a de l'argent. Non, nous ne sommes pas tous comme ça, nous ne sommes pas tous entretenu par papa et maman, même si par moment un héritage est en jeu, mais beaucoup travaille dur pour avoir cette argent, font des sacrifices pour garder et être au mieux avec cette argent. Quand on peu on aide aussi les plus démunie. Mais je m'emporte un peut trop rapidement sur l'histoire de vivre a Pine Rives dans une villa, j'ai déjà eu tellement de critique, mais aussi de regard assez méchant car je vie dans une villa. Et alors ? Si je peux me le permettre je le fais, c'est pas pour autant que je suis un sombre connard qui ne pense qu'à son argent non! Un sombre connard qui noie son mal être dans l'alcool du a ses critiques mais surtout qui commande tout les jours du champagne. Non je ne suis pas de ce genre et je ne le serais jamais. C'est pour ça que je dévie rapidement la conversation sur le pub. J'avoue qu'il est chaleureux mais aussi que l'on se sent comme chez soit. " Oui. " cette conviction, cette réponse me fait sourire, je me sens un peu moins seul alors. Bien évidemment je me permets de faire une petite exemple de ce de Los Angeles, un seul me manque celui ou j'allais souvent, celui ou je connaissais très bien le patron car plus d'une fois il ma ramener chez moi... " Oui oui ! Je vois très bien ce que vous voulez dire ! J'ai été à Los Angeles une fois, seulement de passage, j'ai eu l'occasion de passer à un pub, j'en garde un bon souvenir. C'est également un endroit où on peut rencontrer des gens avec qui on peut discuter de tout et de rien, sans forcément garder contact après. Vous pouvez être tranquille dans votre coin, on viendra pas embêter et on comprend vite, mais vous pouvez aussi engager la conversation et le courant passe souvent. C'est ce qui rend les gens accro aux pubs parce que c'est bénéfique pour eux, le contact avec l'autre et c'est ce pourquoi il y en a plein dans de grandes villes. Ici, comme vous le dites bien, c'est un endroit chaleureux et assez espacé ... Un peu trop d'ailleurs pour permettre une bagarre comme hier. Ca chauffe aussi les esprits à force de parler et ne pas surveiller la consommation. " Je souris quand tu me dis que tu es aller a Los Angeles, j'entre ouvre mes lèvres comme pour dire quelque chose mais bien sur tu parles de la bagarre de hier soir. Je baisse doucement mon regard, puis je replis lentement ma main autour de mon verre en l'apportant a mes lèvres. « Vous … Vous étiez là hier quand ça ses produit alors ? » Je déglutis doucement, je ne suis pas fier quand je me bats, qui peut l'être ? « Je veux dire, qu'avez vous entendus par rapport à cette bagarre ? Parce que je sais qu'ici les rumeurs vont assez vite mais surtout beaucoup essaye de précher le vrai du faux et déforme assez les dires. La violence n'est pas quelque chose qui résous tout mais... je pense qu'hier ce mec là bien mérité. » Je « Vous … Vous étiez là hier quand ça ses produit alors ? » Je fronce doucement les sourcils en détournant un peu le regard. Je l'avais remarquer plus d'une fois a essayer d'emmerder les jeunes filles qui viennent ici après l'université ou bah des femmes qui veulent juste souffler après leur travaille. Ce mec essaye surtout de détourner le tout pour les avoirs dans leur lits tout simplement. Et je déteste ce genre de mec. Je deviens assez violent quand je vois ça. Mais surtout forcé ou lever la main sur une femme n'est pas mon point de vue. « Après si tu as des questions j'en suis le principal concerner de cette bagarre et je pense que tu as du me reconnaître, je ne passe inaperçu généralement. » Je viens te regarder, je ne suis pas agressif dans mes paroles bien au contraire si je peux faire taire ses fausses rumeurs...
J'ai peut-être un peu trop pris mes aises que j'ai tellement parlé sans faire attention à ce que j'étais en train de dire, je pensais nous mettre à l'aise mais je viens de comprendre que ce n'est pas le cas quand je remarque la réaction de mon voisin. Il s'est immédiatement tendu comme si j'ai dit quelque chose qui n'allait pas et je sais tout de suite de quoi il s'agit puisqu'il me le dit maintenant.
« Vous … Vous étiez là hier quand ça ses produit alors ? »
Je ne réponds pas, parce que je n'ai pas eu le temps de répondre qu'il enchaine déjà et je ne me sens pas capable de l'arrêter juste pour lui dire que je n'ai pas envie d'en savoir plus. Je voulais juste dire qu'il est possible d'avoir des bagarres, c'est tout. Je ne pensais pas aller plus loin !
« Je veux dire, qu'avez vous entendus par rapport à cette bagarre ? Parce que je sais qu'ici les rumeurs vont assez vite mais surtout beaucoup essaye de précher le vrai du faux et déforme assez les dires. La violence n'est pas quelque chose qui résous tout mais... je pense qu'hier ce mec là bien mérité. »
Je comprends qu'il a été temoin de la bagarre et donc, il sait de quoi il parle. Je regarde le brun aux cheveux longs et c'est là que je remarque les écorchures aux mains. Je fronce légèrement les sourcils, un peu intrigué et me tourne légèrement vers lui sans pour autant lâcher mon verre.
Non je n'étais pas là hier soir, enfin si, j'étais juste arrivé après la guerre (pour une fois), y avait presque personne et le barman qui râlait en rangeant les chaises cassées. J'ai appris par la suite en écoutant les conversations ce qui s'était passé, mais je ne me suis jamais fait un avis, parce qu'après tout, ça ne me concerne pas et je n'aime pas trop les bagarres. Ironique venant d'un ancien pilote de chasse.
« Après si tu as des questions j'en suis le principal concerner de cette bagarre et je pense que tu as du me reconnaître, je ne passe inaperçu généralement. »
" N... Ha ? " réalise-je.
Ah je suis en face d'un gars qui s'est véritablement bagarré. Je comprends mieux pourquoi il réagit comme ça. Ok, faut que je mette les choses au clair parce que franchement ... Les histoires au bar ne m'intéressent pas plus que ça et en même temps, je ne veux pas trop non plus me montrer indifférent de ce qui lui est arrivé si je veux me faire un copain pour la soirée.
" Ecoutez. Je suis juste un gars qui vient boire un verre, qui ne cherche pas des histoires, je fais toujours mon possible pour rester en dehors de ça parce que je n'aime pas la violence dans toutes les formes, même si c'est mérité ou non. Je n'étais pas là non, je suis venu après la scène en fait, j'ai entendu les conversations là-dessus, mais je n'ai pas trop fait attention parce que justement, j'ai entendu deux versions différentes de l'histoire. On disait que quelqu'un portait le secours d'une demoiselle qui se retrouvait coincée avec un homme assez lourd et l'autre version c'était que c'était une bataille de coq. J'ai également entendu dire que la fille l'avait bien cherché aussi." Je fais une pause et je me mords intérieurement la lèvre, le regard dans le vide. " C'est quoi finalement la version finale de cette histoire tant qu'on y est finalement ? Puisque vous êtes le concerné. "
Aussi je dis ça parce que j'ai l'impression qu'il ressent le besoin d'expliquer ce qui s'est passé.
I wanted the fame, but not the cover of Newsweek, Oh well, guess beggars can't be choosey, Wanted to receive attention for my music, Wanted to be left alone public, excuse me, Been wanting my cake, and eat it too, and wanting it both ways, Fame made me a balloon cause my ego inflated, When I blew, see, it was confusing, Cause all I wanted to do is be the Bruce Lee of loose leaf, Abused ink, used it as a tool when I blew steam (wooh!), Hit the lottery, oh wee, But with what I gave up to get was bittersweet, It was like winning a used mink, Ironic cause I think I'm getting so huge I need a shrink, I'm beginning to lose sleep: one sheep, two sheep, Going cuckoo and cooky as Kool Keith,But I'm actually weirder than you think cause I'm...
Je crois que je me suis un peu emporté, mais en réalité je pensais que tu étais là lors de cette fameuse bagarre, donc oui je continue mon récit en réalité ça m'évite même de boire, un peu trop, mais ça m'évite de boire tout simplement. Parler, m'occuper l'esprit m'évite de boire, de me noyer dans mon chagrin qui est assez sombre comme ça. Alors je me permets de faire un peut récit, résumer de se qui a pu se passer hier soir, mais je remarque que je te mets aussi un peu mal à l'aise. C'est pour ça qu'à la fin de mon résumer, je dis clairement que je ne pas pas inaperçu quand il arrive quoi que ce soit, où bien même dans la rue tout simplement. Je suis le géant et je le resterais. Ma sœur et mon frère sont même bien plus petit que moi. Je me demande par moment si en réalité je suis leur frère mais bon j'essaye de ne pas me foutre ça en tête pour ne pas trop perturbé mon esprit déjà bien torturé. " N... Ha ? " A ta .. question je hoche positivement la tête, puis je viens alors me dresser sur mes deux jambes pour te montré la taille que je peux avoir, mais aussi tu peux remarquer que je fais clairement une tête voir une tête et demi de plus que toi. Je soupire doucement puis je redéposer mon cul sur le tabouret. « 1 mètre 94 debout et sûrement moins quand je suis assis c'est pour ça que les personnes peuvent prendre peur quand je suis debout et évite de m'approcher ou ceux qui ose comme toi. » sans me rendre compte je t'ai tutoyer sûrement parce que l'alcool est là et aussi parce que ça fait quand même plusieurs minutes voir même plus que l'on est entrain de discuté l'un et l'autre.
Je hausse a nouveau mes épaules puis je prends enfin une gorgé de ma boisson, j'étais assis a moitié sur le tabouret appuyer sur ma jambe droite mais moi aussi je te fais un peu face quand tu reprends la parole pour mieux t'écouter. " Ecoutez. Je suis juste un gars qui vient boire un verre, qui ne cherche pas des histoires, je fais toujours mon possible pour rester en dehors de ça parce que je n'aime pas la violence dans toutes les formes, même si c'est mérité ou non. Je n'étais pas là non, je suis venu après la scène en fait, j'ai entendu les conversations là-dessus, mais je n'ai pas trop fait attention parce que justement, j'ai entendu deux versions différentes de l'histoire. On disait que quelqu'un portait le secours d'une demoiselle qui se retrouvait coincée avec un homme assez lourd et l'autre version c'était que c'était une bataille de coq. J'ai également entendu dire que la fille l'avait bien cherché aussi." Je n'ose pas interrompe, je pense clairement que tu vas rajouter quelque chose et ce n'est pas louper. " C'est quoi finalement la version finale de cette histoire tant qu'on y est finalement ? Puisque vous êtes le concerné. " J'inspire doucement en secouant un peut la tête, qu'est-ce que ça peut être le téléphone arabe ici quand même. Tout déformé comme ça c'est grave. « Alors, la bonne version c'est qu'un lourdeau, un des hommes bien saoule qui se permet de s'en prendre aux femmes. Et venu chercher ma compagne de bar d'hier soir. Au début elle la envoyer balader mais il est partie. C'est au moment ou nous sommes sorties parce qu'elle ma demander de la raccompagner qu'il est revenu a l'attaque. J'étais aller chercher ma veste que j'avais oublier, sauf qu'il était là a essayer de la tripoté … Enfin je ne te fais pas de dessin. Sauf que je n'ai pas trop accepter, au début j'ai essayer la parole, se qui n'a pas marcher, et il en est venu aux mains, il a donner le premier coup et j'ai riposter. » Je hausse doucement des épaules, peu fière mais au moins la demoiselle n'était pas entrain de faire a nouveau harceler. « Enfin voilà, en gros ce lourd pensait qu'il allait pouvoir continuer d'harceler cette demoiselle alors que non. Je m'en suis mêler, puis je ne comprends pas comme un homme peut être aussi con avec une femme, la forcer a des choses qu'elle ne veut pas surtout quand elles disent non. » Je soupire a nouveau, voilà tu as la vrai version mais aussi mon point de vue. Je ne sais pas comment, mais je te tutoie assez facilement. Ce n'est pas parce que je ne te respecte pas, bien au contraire, c'est que je me sens a l'aise.
Et il se lève, je me redresse un peu, signe que je suis légèrement tendu avant de comprendre ce qu'il voulait faire : se lever tout simplement pour me faire rendre compte la taille de géant. En fait, c'est un vrai géant et j'approuve ses dires en penchant la tête sur le côté, avec l'air presque impressionné. Enfin moi, ça ne me dissuaderait pas, mais je ne dirai rien parce que je n'ai pas trop envie qu'on parle de l'armée et de ce que j'ai pu faire là-bas. Au moins, j'ai vu des gens assez grands et je me suis déjà battu contre eux, bien que je suis une petite mouche à côté d'eux ... Je comprends où il voulait dire par là, qu'il ne passe pas inaperçu. Bon sang, oui, il est vachement grand...
Ca m'étonne quand même qu'on lui soit venu chercher les emmerdes... Alors je me demande si ce n'est pas lui qui a commencé les hostilités. Je n'en sais trop rien et je ne suis pas sûr que je voudrais connaître l'histoire, mais finalement, ça a l'air de vraiment gêner le gars que j'ai décidé de le laisser en parler. Après tout, peut-être que ce j'ai entendu hier n'est pas si vrai que ça.
« Alors, la bonne version c'est qu'un lourdeau, un des hommes bien saoule qui se permet de s'en prendre aux femmes. Et venu chercher ma compagne de bar d'hier soir. Au début elle la envoyer balader mais il est partie. C'est au moment ou nous sommes sorties parce qu'elle ma demander de la raccompagner qu'il est revenu a l'attaque. J'étais aller chercher ma veste que j'avais oublier, sauf qu'il était là a essayer de la tripoté … Enfin je ne te fais pas de dessin. Sauf que je n'ai pas trop accepter, au début j'ai essayer la parole, se qui n'a pas marcher, et il en est venu aux mains, il a donner le premier coup et j'ai riposter. »
Je relève la tête et me redresse un peu alors que je me suis légèrement accoudé au comptoir pendant que j'écoutais son histoire, j'en ai profité pour commander une autre pinte de bière. Je comprends mieux en fait, là, il n'avait pas eu le choix de devoir en venir aux mains parce qu'il ne faisait que se défendre et il avait même essayé les paroles en premier lieu. Je me sens un peu bête pour avoir dit que je ne supporte pas la violence tout à l'heure et c'est drôle hein. Ancien militaire qui ne supporte pas la violence, disons que je ne la supporte plus.
« Enfin voilà, en gros ce lourd pensait qu'il allait pouvoir continuer d'harceler cette demoiselle alors que non. Je m'en suis mêler, puis je ne comprends pas comme un homme peut être aussi con avec une femme, la forcer a des choses qu'elle ne veut pas surtout quand elles disent non. »
On me sert la bière et je paye aussitôt le verre, je me rends compte qu'il me tutoie et ça ne me gêne pas, au contraire, pourquoi pas. J'ai bien compris que c'est venu au fur et à mesure, juste comme ça parce que nous sommes en train de discuter tranquillement, comme si nous nous connaissions déjà et c'est ça qui est assez étrange. Puis le point de vue qu'il vient de me donner ... Je crois qu'il n'aurait jamais dû faire ça parce que j'ai un peu peur qu'il me perde dans mon monologue.
" Si tu savais ... " fais-je en laissant la phrase en suspend, juste pour boire une gorgée de bière parce que j'en ai besoin. " On est arrivé aujourd'hui dans une société où la plupart des hommes pensent que les femmes sont inférieures à eux, suffit de regarder un peu l'Amérique, où est ce qu'elle en est aujourd'hui ... Un président mysonyme et qui lance des propos sexistes sur les femmes... C'est assez révoltant dans le sens où ils pensent que non pour eux, ça ne veut pas dire non. Ils lancent l'excuse que c'est à cause de la tenue, de l'ambiance de la soirée, de tout ça et aussi le fait d'insister pourrait la faire changer d'avis. Sauf que non, c'est non. Alors dans ce cas là la plupart leur balance des insultes verbales et que sais-je, ils finissent aussi par la harceler. J'ai vu ces hommes-là et on en voit tous les jours. C'est désolant et je sais que c'est la société d'aujourd'hui qui fait que ça n'a pas arrangé les choses. " une pause et je hausse les épaules " Heureusement qu'il existe encore de types biens, comme toi qui a pu défendre la demoiselle hier, mais c'est rare je trouve... Ca me rappelle l'époque quand j'étais à l'école, j'avais un copain avec qui je faisais un peu la loi dans la cour. On protégeait les filles qui se faisaient embêter par les plus grands que nous et on terminait quelques fois au bureau du directeur. Aujourd'hui, je ne sais pas si je continuerai à faire ça, probablement oui ... J'ai toujours fait ça durant ma vie. "
Qu'est ce qui a changé ? Le fait que je ne puisse pas être capable de supporter une bagarre, je n'ai jamais essayé depuis mon accident et je n'ai pas envie de faire un test. Je préfère me tenir sage et rester dans mon coin, à profiter d'une discussion avec un gars qui est un preux chevalier, qui sauve les demoiselles en détresse.
I wanted the fame, but not the cover of Newsweek, Oh well, guess beggars can't be choosey, Wanted to receive attention for my music, Wanted to be left alone public, excuse me, Been wanting my cake, and eat it too, and wanting it both ways, Fame made me a balloon cause my ego inflated, When I blew, see, it was confusing, Cause all I wanted to do is be the Bruce Lee of loose leaf, Abused ink, used it as a tool when I blew steam (wooh!), Hit the lottery, oh wee, But with what I gave up to get was bittersweet, It was like winning a used mink, Ironic cause I think I'm getting so huge I need a shrink, I'm beginning to lose sleep: one sheep, two sheep, Going cuckoo and cooky as Kool Keith,But I'm actually weirder than you think cause I'm...
Parler de bagarre c'est pas super mais au moins c'est mit au clair. On sait les raisons pour les quels cette bagarre c'est produite et voilà plus de mauvaise langue, plus de contradiction plus rien ne se passera maintenant après t'avoir expliquer les raisons pour la quel je me suis battus, je t'écoute attentivement quand tu prends la parole. " On est arrivé aujourd'hui dans une société où la plupart des hommes pensent que les femmes sont inférieures à eux, suffit de regarder un peu l'Amérique, où est ce qu'elle en est aujourd'hui ... Un président mysonyme et qui lance des propos sexistes sur les femmes... C'est assez révoltant dans le sens où ils pensent que non pour eux, ça ne veut pas dire non. Ils lancent l'excuse que c'est à cause de la tenue, de l'ambiance de la soirée, de tout ça et aussi le fait d'insister pourrait la faire changer d'avis. Sauf que non, c'est non. Alors dans ce cas là la plupart leur balance des insultes verbales et que sais-je, ils finissent aussi par la harceler. J'ai vu ces hommes-là et on en voit tous les jours. C'est désolant et je sais que c'est la société d'aujourd'hui qui fait que ça n'a pas arrangé les choses. " Je te regarde, ne te coupant pas la parole en t'écoutant toujours. " Heureusement qu'il existe encore de types biens, comme toi qui a pu défendre la demoiselle hier, mais c'est rare je trouve... Ca me rappelle l'époque quand j'étais à l'école, j'avais un copain avec qui je faisais un peu la loi dans la cour. On protégeait les filles qui se faisaient embêter par les plus grands que nous et on terminait quelques fois au bureau du directeur. Aujourd'hui, je ne sais pas si je continuerai à faire ça, probablement oui ... J'ai toujours fait ça durant ma vie. " Je ris doucement en hochant la tête pour te remercier. Puis j'écoute la suite de ton histoire. « Je pense que pour ma part j'étais toujours était un peu comme ça, j'ai toujours protéger les plus jeunes que moi, surtout les filles/femmes, vue que ma petite sœur était dans les mêmes écoles que moi. » je hausse doucement des épaules en te regardant puis je viens prendre mon verre quand tout à coup mon téléphone se mets a vibré dans ma poche. « Excuse moi. » je te dis en venant doucement me lever puis sortir du bar pour répondre a mon amie. L'entendant paniquer qui me supplie de venir la voir je ne pouvais pas refuser. J'essaye de la calme puis je lui dis de ne pas bouger que je vais arriver. Je reviens vers toi et d'une mine désoler. « Je dois y aller, je suis désolé. Heureux de t'avoir connu et a bientôt. » je te dis en venant te serrer la main amicalement puis je paye mes verres avant de sortir du bar pour me diriger vers chez mon amie.