| #TEAMPIZZA - on parle pas la bouche pleine ! |
| | (#)Dim 14 Mai 2017 - 18:30 | |
| Elle se demande comment ils ont pu laisser rentrer un type comme lui dans le train, mais après tout il y a peut-être des gens qui se posent la même question à propos d’elle et de son apparence trop peu soignée. Lydia se dit que si elles l’ignorent il finira par partir, généralement si on ne leur donne pas matière à répondre ils finissent par se lasser, c’est l’expérience de toutes ces soirées passées seule dans un bar qui parle. Elle avait également proposé de lui jeter un verre au visage si jamais il décidait de rester planter là, même si elle n’était pas réellement sérieuse et Debra avait pris ses propos au pied de la lettre et lui jetait rapidement son verre en plein visage. Un peu étonnée, elle se mit à rire en même temps que Liviana en voyant la tête du type, surpris qu’elle ait eu l’audace d’un tel geste. Elle finit par l’applaudir légèrement lorsqu’elle revient s’assoir à côté d’elle, se disant qu’il lui aurait fallu trois verres de plus pour avoir le courage de faire une chose pareille. « T’as définitivement perdu en tout cas. » ajoute-t-elle après Debra, lorsqu’elle lui dit qu’il faudrait qu’elle boive plus vite. Elle ne va pas la contredire, elle dont la descente s’est considérablement améliorée ces derniers mois. Elle reprend une gorgée de sa bière, se disant intérieurement que l’alcool commence à faire effet, et que deux pintes plus tard, elle commencera très certainement à marcher de travers. « Je pense qu’on pourra difficilement rencontrer pire que lui, ou alors c’est qu’ils se sont donnés rendez-vous. » Ce n’était pas tant l’apparence physique, que l’odeur et le regard lubrique qu’il leur avait lancé. « Maintenant qu’on a partagé tous ces moments ensemble, t’es obligée de tout nous dire. » ajoute-t-elle, un sourire amusé au coin des lèvres. Oh oui maintenant qu’elles se connaissent depuis une bonne dizaine de minutes il est temps de se raconter toute leur vie.
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| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 18:47 | |
| Généralement, les personnes étaient surprises du comportement de Penelope, elle pouvait discuter avec n’importe qui assez rapidement. La plupart de ses amis, la compare souvent à un véritable rayon de soleil, toujours prête à aider les autres, à les écouter s’ils avaient le moindre problème. Lorsqu’elle venait de demander l’occupation quotidienne de ses personnes, elle fut légèrement surprise par le regard de Priam, il semblait hésitant à répondre mais finalement il se lança. « J’suis dans le domaine du sport et toi ? » Penelope n’avait aucun doute, c’était le fameux Priam dont Iris n’arrêtait pas de lui parler, il était charmant, c’est certain. Légèrement déconcentrée par la situation, Penelope ne savait plus comment agir. L’autre brune présente à ses côtés avait comme qui dirait jeter son dévolu sur le jeune rugbyman. Naturellement, ce n’était pas dans la nature de la brunette de réagir au quart de tour mais au contraire, elle pourrait d’autant plus le surveiller sans que personne ne le sache. « Moi c'est Angelina ! Je suis barmaid au Canvas alors peut-être qu'on s'et déjà croisé. » Penelope esquissa un sourire à la fameuse Angelina et se tourna vers Priam qui lui avait retourné la question précédemment. « Je travaille en tant que mécanicienne dans un garage en ville, Mécanor. » C’était le garage le plus réputée de la ville, la plupart des personnes le connaissaient de nom au moins. Une gorgée de sa boisson en bouche, Penelope souriait à ses compatriotes. La plupart du temps, les gens étaient étonnée de la voir mécanicienne surtout lorsqu’on sait qu’elle a failli devenir miss usa lorsqu’elle était plus jeune. « Dites-moi, qu’est-ce qui vous amène dans ce charmant train à l’odeur divine de sauce tomate brûlé ? » Angelina éclata de rire tellement fort que Penelope fut prise d’un léger sursaut, vraiment surprise. Elle ne comprit pas tout de suite mais lorsqu’elle aperçut le regard de la jeune brune envers un garçon accompagné d’une jeune brune, elle ne mis pas longtemps à comprendre. « J’essaie de prouver à mon père que je suis capable de cuisiner. Malheureusement, ce n’est pas une grande réussite, et vous ? » Elle retournait la question à toutes les personnes qui l’entouraient.
Dernière édition par Penelope Haesting le Dim 14 Mai 2017 - 20:59, édité 1 fois |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 19:02 | |
| Pas mécontente d’être montée dans ce train pour passer une journée qui sortait un peu de l’ordinaire, Théo avait chercher à rejoindre le wagon où se déroulait le concours de mangeur de pizzas. Et c’est là qu’elle s’était faite marcher sur les pieds par un jeune homme qui de toute évidence cherchait à fuir. Du moins c’est ce qu’elle en avait déduit en remarquant qu’il l’avait bousculer parce qu’il marchait en marche-arrière. Il s’était immédiatement excusé et ne cherchant pas l’embrouille, Théodora avait préféré plaisanter pour tenter de détendre l’atmosphère plutôt que de jouer les divas outrées. « C’est l’histoire la plus vieille du monde, mon ex participe au concours et disons que je lui sers de punching ball en ce moment. Elle adore me frapper de joutes verbales diverses, on a besoin d’un peu de temps avant de pouvoir discuter sérieusement de notre situation. » La jeune maman hocha simplement la tête afin de se pencher légèrement pour tenter d’apercevoir la jeune femme qui devait participer au concours. « Les ex, c’est pas franchement évident à gérer. » lança-t-elle en pleine connaissance de cause. D’ailleurs, elle ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil alentours. Est-ce qu’Emre avait eu la même idée qu’elle et avait lui aussi décidé de passer la journée à bord de ce train ? Non… Non ! Et quand bien même, elle était là pour s’amuser alors s’il fallait qu’elle le croise… Elle opterait probablement pour la même technique que le jeune homme qui se trouvait face à elle. « Moi c’est Arthur. » Un nouveau sourire se dessina sur les lèvres de la brune. « Théo ! Enfin, c’est Théodora, mais Théo c’est suffisant. » Son sourire était bienveillant. Les seules personnes utilisant son prénom complet étaient ses profs ou ses frères quand elle leur tapait un peu trop sur le système. Un éclat de rire finit par attirer l’attention de l’étudiante, et elle tourna à nouveau la tête en direction d’un petit groupe de personnes. Elle reconnut rapidement Penelope, une amie à elle à qui elle adressa un bref signe de la main accompagné d’un sourire lorsqu’elle lui lança un coup d’œil puis jeta ensuite un coup d’œil à l’autre jeune femme du groupe qui semblait la dévisager. « Laissez-moi deviner. Grande, brune, plutôt jolie et les yeux clairs capables de lancer des regards à en défriser un caniche ? » demanda-t-elle tout en reportant son attention sur Arthur, non sans perdre le sourire. « Je dis ça parce que la personne que je décris est en train de nous dévisager de façon plutôt intense… » @Penelope Haesting @Arthur Iver @Angelina Gilmore |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 19:05 | |
| Matteo se permet de plaisanter à propos du célibat de Milena face au jeune homme qui vient de la bousculer. Il espère qu’elle ne le prendra pas mal, parce qu’il cherche simplement à détendre un peu l’atmosphère et à se sentir mieux au milieu de tous ces inconnus qui n’en sont au final peut-être pour ce qu’il sait. « Eh, on sait jamais. » lui dit-il dans un sourire lorsqu’elle le réprimande gentiment. Après ça il ne sait plus quoi faire, un peu gêné, un peu embarrassé de se retrouver face à ces gens qu’il ne connait pas. Milena commence alors à faire la conversation qu’il écoute d’une oreille distraite ne sachant trop où se placer. Il n’ose pas s’interposer et il préfère rester dans son coin, lui pour qui la vie en société est parfois encore une énigme après ces mois passés en dehors de la civilisation. Il essaie de se ré-adapter petit à petit, mais c’est une question de patience. C’est long, parfois un peu trop pour lui qui aimerait simplement reprendre sa vie, faire comme si rien ne s’était jamais passé. Même s’il ne le pourra jamais surtout pour ses compagnons d’arme qui ont perdu la vie, quand lui a encore la chance d’être debout et de respirer. Ce n’est sans doute pas la meilleure des pensées à avoir lorsque l’on essaie de se sociabiliser et il essaie de la chasser rapidement pour se reconcentrer sur les deux jeunes femmes. Son regard fait l’aller-retour entre les deux brunes au fur et à mesure qu’elle parle, et il trouve finalement le courage d’ouvrir sa bouche pour répondre à une question. « Je ne sais pas non plus quelle est la récompense, mais j’espère qu’elle inclut un bon lavage d’estomac. » dit-il, à moitié sérieux. Parce que s’il s’agit avant tout d’une plaisanterie, il s’imagine mal manger autant de pizza sans avoir besoin de faire un tour par l’hôpital avant de rentrer chez lui.
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| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 19:52 | |
| Bon clairement, monter dans ce train pour oublier tes problèmes et passer une journée loin de Brisbane, c’était loupé. Dès que ton regard s’était posé sur Angelina, tu savais que c’était loupé. En plus de ça tu étais rentré dans une demoiselle en essayant de t’échapper. Tu avais réellement envie de te cacher aux toilettes. Non mais franchement, ce serait plus sûr que cette situation. Et voilà que tu te trouvais à déballer ta vie à cette demoiselle alors qu’elle n’avait rien demandé. Aujourd’hui tu faisais décidément tout à l’envers … « Les ex, c’est pas franchement évident à gérer. » Ouais, c’était le moins qu’on puisse dire. La manière dont la brunette avait dit cette phrase te laissait penser que peut-être tu n’étais pas le seul à avoir des ex au placard que tu aurais préféré ne jamais croiser. Mais bon, chacun son histoire sentimentale, cela ne te regarde pas. A la place, tu préfères largement te présenter, tu aurais d’ailleurs dû commencer par ça mais bon, fuir Angelina restait tout de même ta priorité numéro un il ne faut pas l’oublier. « Théo ! Enfin, c’est Théodora, mais Théo c’est suffisant. » Un sourire se dessine sur ton visage. Prénom aux sonorités différentes, prénoms que tu n’as pas l’habitude d’entendre. Mais il lui va bien. « Enchanté. » Lui dis-tu parce que tu l’étais vraiment. Faire de nouvelles rencontres tu aimais ça. Alors que tu allais continuer la conversation, Théodora te demanda : « Laissez-moi deviner. Grande, brune, plutôt jolie et les yeux clairs capables de lancer des regards à en défriser un caniche ? Je dis ça parce que la personne que je décris est en train de nous dévisager de façon plutôt intense… » Tu pousses un grand soupir avant de grogner. Sérieusement ? Voilà, ta tâche numéro une tu venais de la louper. Angelina t’avait repéré. « Ouais c’est elle. » Dis-tu à Théodora. Tu te serais bien passé de ce genre de situation mais alors que tu te retournes brièvement, tu vois qu’en effet, Angelina vous lance des regards meurtriers. Tu soupires, voilà pourquoi tu aurais préféré ne jamais recroiser Angelina. « Je suis désolé. » Oui, tu ne voulais pas mettre Théodora mal à l’aise ou quoi que ce soit. « On a été ensemble pendant six mois il y a quatre ans, elle me faisait des crises de jalousie pas possible et apparemment ça ne lui ait pas passé. On a un fils ensemble, j’ai découvert son existence il y a quelques jours. Elle est persuadée que chaque jeune femme qui m’approche va souiller son fils, je suis désolé. » Oui, expliquer la psychologie d’Angelina à d’autres, c’était une tâche bien difficile.
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| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 20:27 | |
| Faire la conversation c’était quelque chose de naturel pour toi. Même s’il n’y avait apparemment rien à dire, il semblerait qu’il y avait toujours quelque chose à dire. Alors tu lançais ton entourage sur leur présence dans ce train avant qu’Eliane ne prenne le relais et ne ramène la conversation sur ce concours complètement débile et sans aucune utilité. Il touche à sa fin cependant, les concurrents commencent à se faire de moins à moins nombreux. Tu ne peux t’empêcher de te demander comment personne n’a vomi. Un rapide coup d’œil autour de toi te fait voir que certains des concurrents n’ont tout de même pas la meilleure mine. Cela te fait sourire et tu as envie de leur dire : ‘Bien fait pour vous !’. Réaction d’adolescente, d’enfant mais peut-être que vous étiez tous en train de régresser face à ce spectacle que tu qualifierais d’animal parce que franchement, il n’y avait pas d’autre moyen de le qualifier. Tu finis par proposer des prix qui te viennent à l’esprit pour ce genre de bêtise mais quelque chose te dit que le prix n’est pas spécialement ce qui est le plus recherché au final. « Je ne sais pas non plus quelle est la récompense, mais j’espère qu’elle inclut un bon lavage d’estomac. » Tu te retournes vers Matteo et tu lui souris. Cela te fait plaisir de le voir essayer de faire la conversation. Depuis que ce petit groupe s’est formé autour de vous il a été plus silencieux, plus tendu aussi. Tu poses ta main sur son bras, simplement pour lui dire que tu es là, qu’il ne doit pas s’en faire. Toi aussi tu décides d’en rire un petit peu : « Qui sait ? Peut-être qu’il y a un wagon dédié pour les gros mangeurs. » Dis-tu un sourire en coin sur les lèvres. « Ce serait dégoûtant mais ça ferait un peu comme dans Hunger Games. Les gens se font vomir pour pouvoir goûter à tout et continuer à manger. » Ce livre t’avait complètement bouleversé le cerveau à plusieurs niveaux mais ce passage t’avait bouleversée.
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| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 20:45 | |
| L’avantage de se retrouver ici était de pouvoir rencontrer des gens sur qui il ne serait pas forcément retourné habituellement, même si tout le monde semblait être de bonne compagnie le sportif ne se retrouvait pas dans ses camarades. Il se présenta et tout le semble l’imita dans la seconde "Moi c'est Angelina ! Je suis barmaid au Canvas alors peut-être qu'on s'et déjà croisé." il allait régulièrement dans ce bar mais le visage de la jeune femme n’évoquait aucun souvenir dans la mémoire de Priam. Il ne fit cependant aucune remarque à ce sujet et s’installa près du bar avec tout le monde ; Penelope fut la première à prendre la parole en interrogeant le groupe sur leur activité professionnel, il ne considéré pas la curiosité comme un défaut du moment qu’elle ne se faisait pas trop intrusive. Il jeta un œil très rapide à son téléphone mais le signal était trop faible pour qu’il puisse recevoir quoi que ce soit « Je travaille en tant que mécanicienne dans un garage en ville, Mécanor. » il releva son regard en entendant la brunette parler, il arqua un sourcil en entendant son métier, c’était surprenant mais dans le bon sens du terme « Une passionnée de voiture alors ? » demanda-t-il avec un sourire sur le visage, c’était tellement rare de rencontrer une fille qui aime les voitures qu’il ne put s’empêcher de s’intéresser un peu à sa vie ; il imagina qu’elle avait grandi avec des garçons ou un père passionné de mécanique. Il fut sur le point de commander la première tournée quand Angelina posa une nouvelle question concernant son métier « C'est vaste le domaine du sport, tu fais quoi exactement ? » c’était un peu le genre de question qu’il redoutait mais il ne pouvait pas la blâmer « Je suis rugbyman » dit-il simplement, il espérait que cette réponse soit suffisante pour la jeune femme même s’il en doutait sérieusement. Il changea de sujet dans la seconde en interrogeant le groupe sur leur présence dans le train, il était d’ailleurs surpris de constater qu’autant de monde était venu à cet événement « J’essaie de prouver à mon père que je suis capable de cuisiner. Malheureusement, ce n’est pas une grande réussite, et vous ? » c’était une excellente raison d’être venu ici, meilleure que sa simple envie de se changer les idées « La curiosité pour ma part, puis j'me suis dit qu'on pourrait manger gratis » son regard fut attiré par Angelina qui semblait rire aux éclats afin d’attirer l’attention d’un des hommes derrière elle, mais il ne dit rien, ce mêler de ce genre d’histoire n’était pas son genre. |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 21:08 | |
| Penelope, comme à son habitude était plus que ravis d’être ici. Son sourire s’agrandit encore plus lorsqu’elle aperçut son amie Théodora. Amicalement, la demoiselle lui fit un signe de la main accompagné d’un sourire sincère. Son regard se tourna ensuite vers Angelina qui ne semblait pas ravis de la présence de la demoiselle. Sortant son téléphone de sa poche, Penelope envoya un message avec son amie Théo. « J’espère te croiser tout à l’heure. Xo, P. » Posant son téléphone sur le bar, celui-ci se ralluma et affichait son fond d’écran, l’une de ses photos favorites. Elle et sa meilleure amie Iris lors de leurs dernières vacances à Cancun. Lorsqu’elle aperçut la photo, elle tourna sa tête vers Priam qui était en train de la regarder. Elle lui adressa un petit sourire gênée et n’ajouta rien de plus. Que pouvait-elle lui dire ? « Bonjour, je suis la meilleure amie de ta petite-amie. Ne t’approche pas trop de Angelina. » Non, ce n’était pas du tout le genre de Penelope. Premièrement, elle ne se mêler jamais des affaires de sa blonde. Deuxièmement, elle était trop timide pour ce genre de chose. « Une passionnée de voiture alors ? » Tout ce qui avait un moteur passionnée réellement la jeune P. « Je dois l’avouer. dit-elle avec un sourire. C’est ce qui arrive quand on est élevée par une bande de garçon fou de voiture, de maçonnerie et de moto. Je suis un vrai garçon manqué. » Elle aurait surement du dire, j’étais. Qui pourrait le croire de toute manière ? Et encore, personne ne sait que s’est une ancienne miss. Penelope ne put s’empêcher de sourire lorsqu’elle entendit la dernière remarque de Priam. « La curiosité pour ma part, puis j'me suis dit qu'on pourrait manger gratis » Buvant la dernière gorgée de son verre, Penelope regarde ses coéquipiers un à un. « C’est une bonne idée, je n’y avais pas pensé. Il est vrai que si son père ne l’avait pas inscrit, Penelope ne serait surement pas venue par elle-même. D’ailleurs, je meurs de faim. Pizza ? » |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 21:41 | |
| WARNING ! A PARTIR DE CE POST MERCI DE PRENDRE EN COMPTE LE DÉRAILLEMENT DU TRAIN. Des petits groupes commençaient à se former, l'ambiance était bonne enfant et les gens semblaient tous prendre goût dans tous les sens du terme. On pouvait entendre des éclats de rire et il n'y avait presque plus de pizza. Il était clair que l'event était un franc succès et que le journal local ne manquerait pas d'en parler demain, il n'y avait qu'à voir les grands sourires des invités. Finalement, peut-être que son retour à Brisbane ne serait pas si dur. Peut-être qu'elle allait réussir à se faire de nouveaux amis qui ne connaitraient pas son passé et qui lui permettraient d'avoir une véritable vie sociale. Chose qui lui manquait cruellement depuis qu'elle était revenue et surtout depuis qu'elle était maman. Angelina était sur le point de reprendre une bière, profitant de rencontrer de nouvelles personnes lorsque soudainement elle sentit le wagon trembler puis se renverser totalement. "Attention ! On déraille !" hurla t-elle, mais c'était trop tard le wagon entier venait de se plonger dans la panique et Angelina ferma les yeux pour ne pas voir le pire arriver. Les gens se mirent à hurler, un bruit de glace brisé se fit entendre, Angelina perdit l'équilibre et tomba sur quelqu'un puis elle sentit une vive douleur au niveau des côtes. Putain. Elle avait tellement mal. Elle vit d'autres gens tomber comme elle, comme si tout était au ralenti. Un silence de mort se fit soudainement entendre et Angelina ensevelit sous une table et quelqu'un d'autre s'arrêta de bouger. Elle crut un instant qu'elle était totalement morte, ses oreilles sifflaient et elle sentit un liquide chaud lui courir le long du ventre. Du sang, sans aucun doute. Elle sentait son odeur désagréable... Elle songea à sa bouteille de bière qu'elle avait avant que tout vire au cauchemar. Elle porta la main à son ventre, là où elle avait senti une vive douleur quelques secondes avant et senti son tshirt humide. Bordel mais qu'est-ce qu'il venait de se passer... |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 22:05 | |
| C’était une journée vraiment sympathique, jamais Penelope n’aurait pensé s’amuser autant. La brunette qui déteste cuisiner s’était retrouvé dans le train itinérant à cause de son père, pourtant à ce moment précis elle ne regrettait pas d’avoir embarqué, bien au contraire. Premièrement il y avait de la pizza et elle avait hâte d’en déguster. Avant d’arriver au bar, elle avait été au cours de cuisine et avait vu des pizzas qui avaient l’air délicieuses, excellente même. Rien ne pouvait gâcher cette journée. Posant son verre sur le bar, la jeune demoiselle fait signe au serveur de lui servir un nouveau verre de son cocktail favori, le mojito. Alors qu’elle apportait son verre à ses lèvres une nouvelle fois, le cri de terreur d’Angelina la fait sursauter. « Attention ! On déraille ! » Le regard de Penelope devient livide, elle n’eut le temps de comprendre ce qu’il allait se passer. Lançant un regard à Priam, Jeremy et Théodora, elle sentit la peur l’envahir assez rapidement. D’un seul coup, elle sentit le wagon se coucher rapidement sur le sol. La jeune brune se sentit partir, projeter d’une telle violence contre l’un des murs du train juste entre deux vitres. Le bruit du verre qui tombait sur le sol l’effrayait. Penelope était tellement légère que rien ne pouvait la retenir à sa place, même pas l’un de ses coéquipiers. Son corps avait été propulsé à l’autre bout du wagon. Tout son corps la faisait souffrir. Elle regardait les autres passagers, c’était un carnage sans précédent. Elle se croyait dans un épisode de grey’s anatomy. « Réveille-toi P, réveille toi. » Mais Penelope ne revait pas, elle n’allait pas se sortir de ce cauchemar, tout était réel. La demoiselle regarda son corps, elle ne saignait pas, bien que son flanc gauche lui faisait horriblement mal, elle n’avait pas l’air d’avoir quelque chose de grave. Apercevant Angelina au loin, elle vit le sang qui s’écoulait de son ventre. « Angelina. Penelope rampa dans le train, ayant du mal à se déplacer vers la demoiselle. oh mon dieu… » Sa voix venait de trahir sa peur. Enlevant sa veste, elle le plaça sur la blessure de la brune pour éponger le sang qui couler. « Tout va bien se passer. » Elle n’était pas vraiment convaincante mais au moins, elle essayait de l’aider. |
| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 22:46 | |
| A la remarque de son compagnon, ma victime du jour se contente de rire, et au final j’en fais de même, je ne suis pas de ceux qui se prennent trop au sérieux, d’autant plus que je suis en paix avec ma conscience, tout ceci n’était qu’un accident… à moins que le destin s’en soit mêlé et que nous étions destinés à nous rencontrer ici et à vivre l’histoire la plus passionnée de Brisbane qui donnera lieu à une saga. « Oui, tout va bien ne vous inquiétez pas. Il semblerait que je n’ai rien de casser. » Je hoche la tête, rassuré pour le coup. « Moi c’est Milena, lui Matteo. » Je n’ai pas le temps de répondre que je remarque Lola au sol, elle aussi victime d’une petite secousse du train et en bon gentleman, je me lance vers elle afin de l’aider à se relever et nous rejoignons rapidement les autres. « Je suis Eliane et voici Félix, Et j’ai cru entendre que vous êtes Lola. Je ne me trompe pas ? » Un nouveau hochement de tête de ma part « Enchanté » que je réponds à mon tour avec un petit sourire. Lola à mes côtés se présente également avant de retourner à l’inspection minutieuse de son téléphone, un geste qui ne m’est pas inconnu, sachant que cet objet est sans doute ce que nous avons de plus important, ça et mon matériel de vidéo. La discussion se poursuit, évidemment la question de savoir ce qu’on fait ici « Je suis venu me remplir la panse gratis » entre qu’Eliane venue jouer les spectatrices, moi les ventres sur pattes, on peut dire qu’on forme une chouette équipe, elle pourra au moins me ramener à la maison en un seul morceau. Ceci dit, ça me fait un autre point commun avec Milena, peut-être que cette histoire de destin était vraie. On finit par se demander quel est le prix pour se rendre malade de la sorte et je ne peux qu’être à nouveau d’accord avec Milena, concernant l’argent « Je crois me souvenir qu’il y a un sacré pactole en jeu » de toute façon, c’est ça qui fait vibrer les gens le plus souvent. « J’espère alors qu’ils ont prévu une équipe médicale parce qu’il risque d’avoir de sacré dommage » je réponds ainsi à la comparaison de Milena avec Hunger Games, elle n’a pas tort et ces gens restent humains, même avec un ventre superpuissant. « Je reviens » je m’excuse du petit groupe pour prendre la direction des toilettes, ne pouvant plus des cris de douleur de ma vessie pleine –le thé vert, mauvais plan. Et alors que je vais pour me laver les mains, un immense choc me projette en arrière suivi d’un autre sur la tête et fais de beaux rêves Félix Gonzalès.
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| | | | (#)Dim 14 Mai 2017 - 23:33 | |
| « Maintenant qu’on a partagé tous ces moments ensemble, t’es obligée de tout nous dire. » Lydia vint appuyer les paroles de Debra et cette dernière ne peut s’empêcher de sortir un sourire satisfait. Cependant, Liviana n’eut pas le temps de leur raconter des potins croustillants que le train commençait déjà à faire de drôles bruits. Des bruits qui n’étaient pas réellement rassurant. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Debra sentit un objet très - trop - lourd venir lui appuyer sur l’arrière de la tête. Une douleur intense vint lui parcourir la tête, les bras, les jambes et tout le reste du corps, et sans qu’elle ne puisse rien faire, elle se retrouva à terre. Le trou noir intervint ensuite. Lorsque la jeune femme rouvrit les yeux, le train ne semblait pas avoir un angle normal, et les gens semblaient tous plus ou moins par terre - est-ce réellement le sol ? -, comme elle. D’ailleurs, qu’est-ce qu’elle faisait par terre, dans un train. « Bordel… » Clignant des yeux plusieurs fois d’affilé pour s’habituer à la lumière du jour, Debra tenta plus ou moins de bien se relever sur ses coudes, pour dégager l’une de ses mains et venir tâter l’arrière de son crâne. Apparemment, vu la consistance que ses doigts touchaient, sa tête était toujours entière mais du sang y coulait. « Génial… » Elle soupira, s’asseyant comme le pu. Sa vision commençait à se clarifier petit à petit, et sa tête arrêtait doucement de ne plus tourner comme si elle se trouvait sur un bateau - ou dans son lit un lendemain de cuite. En tournant la tête un peu à droite, à gauche, elle commençait cependant à ne pas trop comprendre ce qu’il lui arrivait. Aux dernières nouvelles, elle devait retrouver Elea cet aprèm-midi, mais cette rencontre ne nécessitait pas de prendre un train. Et puis, le soleil était vachement ultra puissant pour Dublin en hiver. Et… « Qu’est-ce que je fous en short en plein hiver, merde ? » |
| | | | (#)Lun 15 Mai 2017 - 7:28 | |
| En pleine discussion avec Théodora, tu ne pouvais t’empêcher de lui expliquer un peu la situation pour ne pas qu’elle prenne les regards meurtriers d’Angelina trop au sérieux. Cela serait idiot, Angelina avait une jalousie maladive mal placée, ce n’était pas de sa faute. Ni de la tienne d’ailleurs. Mais ce comportement allait rapidement devoir cesser. Angelina et toi vous alliez devoir former une équipe pour votre fils mais votre couple était bien mort et il était hors de question que tu reviennes à l’époque des crises de jalousie perpétuelles. Et puis ce n’était pas comme si tu étais en train de draguer ouvertement Théodora, vous discutiez simplement, il n’y avait pas mort d’homme. Alors que tu étais en train de finir d’expliquer la situation à Théodora, quand soudain, le wagon se mit à trembler. Au départ, ce n’est pas la panique qui t’envahit, cela peut arriver sur un train non ? Sauf que le tremblement au lieu de se calmer s’accentue et cette fois tu paniques. Tu entends alors la voix d’Angelina donner le diagnostic de ce qui se passe : « Attention ! On déraille ! » Ton cœur loupe un battement à cette annonce, oh putain ! Vous savez, dans les fils, c’est le genre de moments qui passent complètement au ralenti. Mais ce n’est pas le cas dans la vraie vie. Tu te sens projeté à quelques mètres de Théodora, ce sont quelques secondes certainement de plus avant que le train ne s’immobilise. Ta première constatation c’est que tu respires. C’est déjà pas mal, tu n’es pas mort. Tu regardes ensuite ton corps et c’est presque avec stupéfaction que tu découvres que ta jambe est rentré dans un objet qui s’est renfersé, tu as une petite douleur mais rien de grave. Tu bouges une jambe, puis l’autre, tu passes tes mains sur ton corps puis tes bras. Il y a quelques égratignures, tu rattrapes un petit peu de sang mais rien de grave. Soupirant, tu finis par te lever doucement. Oui, le choc a été violent. Et alors que ton regard fait le tour du wagon, tu es sur le point de vomir. Clairement, tout le monde n’a pas été si chanceux. Ton regard se pose sur Angelina, tu vois le sang à côté d’elle mais une demoiselle est à ces côtés. Tu vois du sang partout, des blessés dans tous les sens et tu sens la panique t’envahir. Tout d’un coup, tu vois une femme, une femme @Debra Brody qui parlait avec Lydia debout elle aussi en train de dire : « Qu’est-ce que je fous en short en plein hiver, merde ? » Oh gosh, tu vois une trace de sang derrière sa tête et tu paniques. Tu vas la voir en premier parce que même si elle semble ne plus se rappeler ce qu’elle fait là, si elle n’est pas blessée physiquement, tu risques d’avoir besoin de son aide. « Madame, vous êtes en Australie. Ecoutez, vous êtes blessée ? » Tu regardes sa tête, tu n’es pas un expert mais une compresse suffira. « Si vous n’êtes pas blessée je vais avoir besoin de votre aide. » Il y avait trop de blessés, pour l’instant tu cherchais ceux en état de fonctionner. « Je vais aller à la recherche d’un kit de secours. » Tu espérais qu’il y en avait plusieurs parce que là ça allait être plus qu’utile. Tu sors du wagon difficilement avant de te diriger vers les toilettes. Là tu finis par trouver l’infirmerie, la porte est défoncée. Tu trouves un kit puis deux, pour l’instant cela fera l’affaire. Alors que tu passes devant les toilettes, tu décides de vérifier que personne n’est à l’intérieur. Alors que tu pousses la porte, c’est @Félix Gonzalès que tu vois allongé par terre. « Oh mon Dieu ! Félix ! » Tu ne sais pas s’il a mal quelque part, tu décides alors de lui prendre le pouls, il respire. Tu lui tapotes alors les joues pour qu’il se réveille, il devait se réveiller. « Allez Félix réveille-toi ! »
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| | | | (#)Lun 15 Mai 2017 - 8:36 | |
| C’était toujours agréable de faire de nouvelles rencontres. Tu ne pouvais t’empêcher de penser que chaque nouvelle rencontre était un nouveau client potentiel si la personne rencontrait des problèmes judiciaires. C’était une grosse déformation professionnelle dont tu faisais très souvent l’expérience. Mais clairement, au milieu d’un concours du plus gros mangeur de pizza, cela n’avait pas vraiment d’importance. Vous étiez un petit groupe hétérogène, clairement. Deux hommes, trois femmes, vous n’étiez pas tous là pour les mêmes raisons mais cela n’avait pas d’importance, l’essentiel c’est que vous vous retrouviez ici. Pour ce qui est du concours des gros mangeurs, Félix semblait en savoir plus que vous sur ce qui était à gagner : « Je crois me souvenir qu’il y a un sacré pactole en jeu » Donc l’argent, tu avais raison. Cela ne t’étonnait pas vraiment. De ton côté tu n’avais pas besoin d’argent donc ce genre d’humiliation ne te faisait pas du tout envie. De l’argent tu en gagnais bien assez dans ton travail, le reste c’était secondaire. Félix finit par vous quitter pour prendre la direction des toilettes. Tu te retrouvais donc en compagnie de Matteo et des deux autres jeunes femmes quand soudainement, un tremblement vint vous secouer. Tu crus que c’était une mauvaise blague, comme tout à l’heure et tu étais prête à en rire mais les tremblements ne faisaient que s’accentuer et finalement quelqu’un cria : « Attention ! On déraille ! » Tu n’eus pas le moins du monde le temps de réagir, de t’accrocher à quoi que ce soit que tu tombais sous le choc du tremblement avant d’être projetée quelques mètres plus loin. Ton dos vint rencontrer le mur, te coupant momentanément la respiration et puis soudain, le calme. Plus rien ne bouge, le silence est de plomb. Et petit à petit des voix se font entendre mais tu es incapable de les discerner. Tout d’un coup, tu as mal, tu as terriblement mal à ta jambe gauche. La douleur est hallucinante. Tu finis par trouver la force de soulever ton buste et tu deviens blanche comme un linge quand tu vois un gros morceau de verre enfoncé dans cette jambe gauche. Tu respires un bon coup, manquant de vomir sous le choc. Tu ne peux pas bouger, tu ne peux pas prendre le risque. Tu sens la crise de panique monter, tu te rallonges et tu fermes les yeux. Ca va aller. Et puis soudain tu penses à Matteo, à Eliane et Loa que tu venais de rencontrer et d’un coup ta blessure ne semble pas si importante. « Matteo ! Matteo tu vas bien ? » Tu ne peux pas bouger mais il te reste ta voir pour appeler @Matteo Hellington. Tu as besoin de savoir qu’il va bien, qu’il va s’en sortir d’une manière ou d’une autre. Un homme qui semble aller bien passe devant toi mais tu n’y prêtes pas attention. « Lola ? Eliane ? Vous allez bien ? » Tu as peur, peur d’apprendre que ce déraillement a causé la mort de quelqu’un. @Eliane Samuels, @Lola O'Hara
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| | | | (#)Lun 15 Mai 2017 - 10:44 | |
| Fais de beaux rêves Félix Gonzalès, mais où est donc mon Oscar ? Mon festival de Cannes ? Les revues de cinéma les plus prisées en train de vanter ma nouvelle production ? Il n’y a rien de tout ça, pourtant, ce sont des rêves récurrents chez moi. Certains diront qu’ils sont loin d’être réalisables, surtout vu la conjecture actuelle et le fait qu’avec un début avec Youtube, on n’est rarement pris au sérieux, mais j’aime l’idée d’être le premier du genre, d’être celui qui apporte la pierre la plus importante à l’édifice. Quoique des gens, avec un parcours certes quelque peu différent, sont parvenus à ce point… du moins je pense. Bref, je m’égare. Pourquoi c’est si sombre ? Je ne suis donc pas en train de rêver ? Mais pourquoi j’ai conscience d’être inconscient comme si… j’étais dans le coma ou quelque chose du genre ? Attends… je suis en train de mourir là ? Non… un immense tunnel devrait se présenter de ce que j’ai entendu dire ou bien les souvenirs de ma vie qui défilent devant mes yeux. Mais rien. L’obscurité, certes un peu de légèreté, mais les ténèbres uniquement. Je suis en train de mourir les gars, pour de vrai. C’est qui les gars ? A qui je parle là ? J’entends mon prénom, une voix masculine. Il y a quelqu’un ? Je ne suis pas en train de mourir finalement, quelqu’un a juste éteint la lumière. Qui a éteint la lumière putain ? Pourquoi je parle de lumière moi… ce n’était pas la journée ? Merde qu’est-ce qui se passe à la fin. Bon reprenons du début, aujourd’hui… aujourd’hui j’avais prévu de… Debra. Pizza. Train. Oui train de dégustation de pizzas, se faire exploser le bide, oui, c’était le plan. Mais pourquoi il fait noir maintenant ? Et puis pourquoi on me gifle d’ailleurs ? Bien décidé à demander à la personne d’arrêter, j’ouvre les yeux pour tomber sur le visage d’Arthur et affronter une douleur lancinante à la tête, mais il fait jour. « Me dis pas que… tu m’as pris pour la belle au bois… dormant… et que t’allais… m’embrasser ? » que je marmonne doucement.
@Arthur Iver |
| | | | | | | | #TEAMPIZZA - on parle pas la bouche pleine ! |
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