| #TEAMPIZZA - on parle pas la bouche pleine ! |
| | (#)Lun 15 Mai - 10:46 | |
| La seule chose à laquelle pense Angelina c'est la douleur. La douleur est omniprésente, la douleur l'empêche de respirer. Elle est en état de choc, elle ne réalise pas ce qui est en train de se passer elle sait juste que c'est grave, terriblement grave, qu'il y aura un avant et un après. Angelina sent une odeur de brûlé, une odeur âcre mais surtout une odeur de panique. Elle entends des gens gémir et crier dans le silence de la taule, elle arrive encore à voir le soleil filtré à travers la fenêtre du train brisée. La jeune femme entend alors son prénom et lorsqu'elle tourne la tête, les yeux à moitié fermé elle voit Pénélope ramper vers elle, à son visage elle se doute qu'elle est en sale état. De toute manière elle sent le sang dévaler sur sa peau. Elle tend la main vers la jeune femme, qui était une inconnue jusqu'ici, elle a soudainement l'impression que Penelope est la seule personne capable de l'aider dans le monde entier. Angelina agrippe la main de P. pendant que celle-ci s’attelle à l'éponger. "Ca va P, t'en fais pas, je suis sûre que c'est pas grand chose. C'est impressionnant mais c'est pas grand chose..." dit-elle d'une voix faible, plus pour se rassurer que parce qu'elle le pense vraiment. Et c'est là qu'elle pensa à Arthur. "Penelope, s'il te plait, y a le père de mon fils dans le train... Y avait le père de mon fils, Arthur, est-ce qu'il va bien ?" Dans le chaos total, Angelina ne parvient pas à voir Arthur, elle panique, son coeur s'accélère de plus belle. Et si il lui était arrivé quelque chose ? Qu'allait-elle dire à Abel qui apprenait seulement maintenant à connaître son père ? Angelina sentait ses forces la quitter rien qu'à cette idée, elle tenta de se relever mais ses côtés lui faisaient affreusement mal. Elle voulait se lever et vérifier par elle-même. Et elle espérait aussi qu'il n'y avait pas de blessés grave... Il fallait absolument que quelqu'un appelle les secours mais elle était pratiquement sûre que son téléphone était broyé dans sa poche... |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 12:06 | |
| Eliane vit la surprise se peindre sur le visage de ses interlocuteurs à sa question et sourit. Il n’y avait qu’elle pour poser ce genre de question. Déformation professionnelle peut-être. Elle était surement devenue cynique en étant avocate et en évoluant dans le milieu des affaires avec des roublards comme interlocuteurs. Le but de toute entreprise étant de faire du profit – ce qu’il y a de plus normal en soi – elle avait bon nombres faire des choses hallucinantes pour arriver à ce but. Si bien qu’elle avait du mal à voir le côté désintéressé. Il y en avait encore et heureusement mais manger des pizzas à s’en rendre malades, elle avait du mal à concevoir que ce ne soit que pour le fun. Généralement la motivation première était l’argent et ils eurent la même idée. Mattéo fit même une allusion à un lavage d’estomac ce qui eut le don de faire rire l’assemblée. Pas faux ! Ce fut Félix qui confirma leurs pensées en parlant de joli pactole avant de s’excuser auprès d’eux pour aller aux toilettes.
« Je me disais bien que ce n’était pas pour la gloire… »
Eliane leur sourit en disant cela. C’était tellement prévisible. L’argent faisait marcher le monde actuel…
« Et vous fai… »
Elle ne put finir sa phrase qu’une secousse vint frapper le train. Rien à voir avec celle qui avait poussé Félix dans les bras de Milena. Non là, c’était quelque chose de plus fort et comme pour rendre ça encore plus intense, une voix hurla que le train déraillait. Eli eut à peine le temps d’enregistrer l’information qu’une autre se fit sentir. Elle se sentit partir, un choc plus tard ce fut le trou noir…. Des cris… beaucoup de cris… Eliane ouvrit les yeux péniblement et voulu se relever mais en fut incapable. Elle était coincée et ne pouvait bouger. La panique la saisit et la brune essaya encore et encore ne récoltant au passage que des bleus et des égratignures
« Au secours… Aidez-moi… »
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| | | | (#)Lun 15 Mai - 15:52 | |
| C’était agréable de pouvoir discuter avec des inconnus en se sentant pleinement à l’aise. Debra et Lydia étaient adorables, elle avait mis Liviana à l’aise à la seconde ou elle s’était installé à côté d’elles et après quelques verres elles discutaient de tous et de rien comme si elle se connaissait depuis toujours. Liv reposa son dernier verre, elle se sentait légère comme une plume, comme si elle flottait dans les nuages merci l’alcool pensa-t-elle en affichant le sourire d’une femme heureuse. Debra fut la première à s’intéresser à la vie privée de l’italienne, elle haussa les épaules et leur expliqua qu’elle était célibataire, elle ne voulait pas se sentir triste en évoquant Samuel alors elle fit comme-ci il n’existait pas. Elle attrapa le dernier shooter qui se trouvait devant elle, elle fit tourner l’alcool dans le verre et après s’être fait bousculer par une femme qui ne l’avait même pas vu, elle se retrouva avec de l’alcool plein le jean « Non mais je rêve… » la femme avait disparu sans même se retourner. Liv quitta son siège en essayant de tenir débout « Je reviens… » elle leva les yeux au ciel et prit la direction des toilettes. Elle les trouva dans le fond du wagon, elle poussa la porte et tomba sur un homme à peine majeur pensa-t-elle, elle le salut poliment de la tête et se dirigea vers le lavabo ou elle se lava les mains avant de mettre un peu d’eau sous la grosse tache d’alcool. Au bout de quelques minutes elle coupa l’eau et attrapa une serviette en papier, ce fut à cet instant qu’elle entendit un bruit sec et franc ; ses pieds décolère du sol et elle senti son dos s’écraser contre les lavabos avant de tomber violement sur le sol. Pendant plusieurs minutes elle fut incapable de bouger, elle était comme figée sur le sol froid des toilettes. Le train n’avait jamais était aussi calme pensa-t-elle avant d’ouvrir lentement les yeux, son regard se balada de droite à gauche à la recherche d’une explication : un accident. Les idées de Liviana furent plus clair au bout de quelques secondes, elle descendit son regard vers son bras, vu la courbure de son épaule elle comprit qu’elle se l’était déboitée ; elle se mordit la lèvre de douleur tentant de respirer le plus calmement possible. C’est à ce moment précis qu’elle repensa au garçon, elle tourna son visage vers la gauche et le vit allongé, du sang coulé le long de ses cheveux alors qu’il semblait endormi « Hey… vous entendez ? » tant-pis pour la douleur, il était trop jeune pour mourir pensa-t-elle en se redressant. Un cri de douleur sorti de ses lèvres alors qu’elle s’approcha de lui laissant son bras pendre le long de sa taille ; elle sursauta la porte venait de s’ouvrir et un type entra dans les toilettes, il avait l’air d’aller bien physiquement du moins « Oh mon Dieu ! Félix ! » elle regarda l’un puis l’autre sans savoir quoi dire « Allez Félix réveille-toi ! » elle prit appuie contre le mur du fond en regardant son inconnu « J’ai essayé de lui parler, je crois qu’il a reçu quelques choses sur la tête… » le son de sa voix était faible, elle le voyait tomber sans savoir ce qui c’était passé « Qu’est ce qui s’est passé ? » demanda-t-elle les larmes aux yeux, ce gamin ne pouvait pas mourir, pas ici, pas comme ça. « Me dis pas que… tu m’as pris pour la belle au bois… dormant… et que t’allais… m’embrasser ? » elle sursauta en entendant le son de sa voix, elle fut presque immédiatement soulagée « Ne bouge pas… Comment tu te sens ? » demanda-t-elle inquiète.
@Arthur Iver @Félix Gonzalès |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 16:26 | |
| @Milena Grimes @Eliane Samuels
Le regard de Priam fut attiré vers le téléphone de Pénélope, sans pouvoir l’expliquer il ressenti le besoin de jeter un œil sur son écran ; il bloqua pendant une ou deux secondes que faisais sa copine sur son fond d’écran se demanda-t-il avant de détourner son regard priant pour qu’elle n’est pas remarqué son côté curieux. Il ne dit rien, ne posa aucune question et fit comme si de rien n’était. Pendant les secondes qui suivirent, il eut l’air ailleurs, il avait la sensation que cette histoire ne finiraient pas bien pour lui sans trop savoir pourquoi. C’est à ce moment qu’il fut tiré de ses pensées par le hurlement d’Angelina « Attention ! On déraille ! » pourquoi a-t-elle besoin de hurler pensa-t-il avant de sentir ses pieds décoller du sol et son corps. Le temps sembla s’être arrêté, il tendit la main essayant d’attraper celle de Pénélope qui était juste à côté mais c’était trop tard. Il fut projeté contre le bar, son crâne heurta en premier la paroi dure du bar et il ferma les yeux. Les secondes défilèrent, sans qu’il ne fasse aucun mouvement, il entendait les gens hurler autour de lui mais ouvrir les yeux lui sembla impossible. Il lui fallut une bonne dizaine de minutes pour reprendre ses esprits, il flottait dans l’air une odeur horrible ; en ouvrant les yeux il constata que le train était allongé sur l’une des voix, les vitres étaient brisés, il y avait du sang, beaucoup de sang. Son regard se balada de gauche à droite avant de prendre une seconde pour souffler, il prit une profonde inspiration et se releva. Il pouvait marcher, ses bras et ses jambes allaient bien, il sentait une douleur dans le bas de son dos mais elle lui semblait supportable. Lentement il fit quelques pas à la recherche des autres et c’est alors qu’il vit une brune assise sur le sol, elle était blanche, couverte de débris et de sang mais c’est vers sa jambe que son regard fut attiré. Difficilement il se laissa tomber à ses côtés « Je m’appelle Priam, ne bouge surtout pas, tu t’appelles comment ? » il n’y connaissait rien du tout en médecine mais ce morceau de verre dans sa jambe n’était pas un bon signe « Il faut faire un garrot… comment tu te sens ? » demanda-t-il pour essayer de la calmer, il déchira le bas de son t-shirt d’un geste vif et passa le bout de tissu autour de sa jambe le serrant le plus possible, bouger n’était pas agréable mais elle avait besoin d’aide. C’est à ce moment qu’il entendit le cri aiguë d’une femme plus loin « Au secours… Aidez-moi… » il se tourna vers la brune assise sur le sol « Je vais aller voir ce qu’elle a. Ne bouge pas ok ? Tout va bien se passer » il tenta de se montrer rassurant en lui prenant la main avant de se relever doucement et de se diriger vers la voix féminine. C’est alors qu’il tomba sur elle allongé sous plusieurs tables « Je vais t’aider, ça va aller… » il venait de mentir une fois de plus. Il tenta de soulever les tables mais malgré ses heures de musculations le poids était trop lourd pour lui « J’ai besoin d’aide par ici » cria-t-il à son tour. |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 16:36 | |
| @Arthur Iver @Angelina Gilmore Les cris de panique et de terreur ne faisait qu’empirer, Penelope se s’entendait même plus réfléchir. Sur le coup, elle se sentait plutôt heureuse qu’il ne lui soit rien arrivée de grave – du moins, c’est ce qu’elle pense pour le moment, dans quelques instants, elle pensera autrement -. Etrangement, Penelope se prenait pour Emma Swan dans Once upon a time, elle était la sauveuse, elle aiderait toutes les personnes qu’elle peut. Son attention était placé sur Angelina pour le moment, elle la connaissait brièvement depuis quelques minutes mais elle ne pouvait l’abandonner alors que du sang s’écouler de son ventre. « Ca va P, t'en fais pas, je suis sûre que c'est pas grand-chose. C'est impressionnant mais c'est pas grand-chose... » Penelope n’était pas une très bonne comédienne, forcement elle n’avait pas réussi à faire comme si la blessure de la demoiselle n’était pas très grave ou très importante. « Ne t’inquiète pas, on va venir nous aider et tout va bien se passer. » La voix de l’ancienne miss tremblait légèrement, la panique et la peur l’avait envahi et elle ne savait pas comment réagir. Elle n’était pas médecin, elle réparait les gens pas les voitures. « Penelope, s'il te plait, y a le père de mon fils dans le train... Y avait le père de mon fils, Arthur, est-ce qu'il va bien ? » Penelope compris rapidement de qui elle parlait, surement l’homme qui discutait avec Théodora quelques minutes auparavant. « Je vais aller voir s’il va bien. Ne bouge pas. » Penelope venait de faire une promesse a Angelina et elle allait la ternir. Se révélant du sol, elle lâcha la main de la demoiselle et partait à la recherche du fameux Arthur. Marchant dans le train, elle essayait en vain d’éviter tous les débris du train. « Arthur ? » Il était absolument nécessaire qu’elle le trouve. Alors qu’elle arrivait vers la porte des toilettes, Penelope sentit une énorme douleur sur son flanc gauche. Depuis le début elle avait mal mais la douleur ne faisait qu’augmenter. « Quelqu’un s’appelle Arthur ? » Sa voix tremblait encore plus mais elle devait trouver le jeune homme, malgré sa douleur, elle continuait d’avancer.
Dernière édition par Penelope Haesting le Mar 16 Mai - 17:37, édité 2 fois |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 19:07 | |
| Même dans tes pires cauchemars tu n’aurais pu penser te trouver dans une situation comme celle-là. Félix est allongé sur le sol, il est inconscient mais il respire mais tu ignores si c’est un bon signe. Tu ne l’avais pas vue mais avec lui se trouve une jeune femme qui discutait avec Lydia quelques minutes plus tôt. « J’ai essayé de lui parler, je crois qu’il a reçu quelques choses sur la tête... Qu’est ce qui s’est passé ? » Tu la regardes avec de grands yeux comme si elle avait une tête de plus. Elle ne savait pas ce qui s’était passé ? Elle semble effrayée, paniquée. « Vous allez bien ? Enfin je veux dire vous n’êtes pas blessée ? » Lui demandas-tu rapidement avant que Félix n’ouvre les yeux et te dise : « Me dis pas que… tu m’as pris pour la belle au bois… dormant… et que t’allais… m’embrasser ? » Tu laisses échapper un petit rire nerveux, tu en as besoin pour évacuer le stress. Tu sais que tu es une des rares personnes à n’avoir rien eu de ce que tu as pu voir alors tu dois garder ton calme. « Le train a déraillé. » Dis-tu à leur attention à tous les deux. « Et non je ne t’ai pas pris pour la belle au bois dormant. » Tu te retournes vers la jeune brune, tu t’en voulais de lui faire ça mais il n’y avait aucune trace de sang ici, avec un peu de chance, personne n’était en train de faire une hémorragie interne. « Je suis désolé de vous faire ça mais on a besoin de mon aide à côté. Vous pouvez rester avec lui ? Vérifier qu’il n’a rien de grave. Si vous avez besoin d’aide criez mon nom, moi c’est Arthur. » Dis-tu avant de sortir des toilettes en laissant la porte ouverte pour les entendre si besoin. Le kit de premier secours sur le dos, tu repars dans ce wagon de l’horreur. Avant d’y entrer tu prends une grande inspiration. Des gens ont bougés depuis, ça te rassure un peu. Tu ne sais pas où aller, tout le monde semble avoir besoin de ton aide. Quand soudain tu entends quelqu’un crier : « J’ai besoin d’aide par ici » Tu partis en courant dans la direction du cris et tu trouvais un homme en train d’essayer de soulever une table. Dessous tu entendais une respiration paniquée, des petits cris. Le temps vous est compté, tu en es bien conscient. « A trois on y va ! Un, deux, trois ! » Tu mets toutes les forces que tu trouves dans ton corps à soulever cette table et à deux vous arrivez à la pousser de quelques centimètres. Mais sous la première table il y en a une autre. « On y repart ! » Vous ne pouviez pas abandonner. Au bout de plusieurs minutes, vous aviez dégager un espace pour la jeune femme : « Vous allez bien ? » Lui demandas-tu alors que ton prénom retentissait encore dans tes oreilles. Tu te retournes pour trouver devant toi une jeune femme, celle qui parlait avec Angelina. « Quelqu’un s’appelle Arthur ? » Elle semblait ne pas avoir été touchée mais son visage blanc comme la neige et ses lèvres d’une couler étrange te faisaient peur. Tu trouves miraculeusement une chaise qui tient toujours debout. « C’est moi Arthur. Asseyez-vous, vous avez mal où ? » Lui demandas-tu alors que tu ne savais plus quoi faire … @Félix Gonzalès @Liviana Beauregard @Penelope Haesting @Priam Strand @Eliane Samuels
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| | | | (#)Lun 15 Mai - 19:20 | |
| Toi, tu veux savoir si tout le monde va bien, tu veux être certaine que personne n’a trouvé la mort dans ce train qui déraille. C’est plus fort que toi mais tu imagines déjà le procès qui les attend à ce satané train ambulant. Vous alliez tous toucher des dommages et intérêts, c’était une promesse que tu te faisais là tout de suite peu importe si tu devais aller plaider en béquille ou pire dans un fauteuil roulant. Penser aux autres et pas à toi te permet d’oublier ce morceau de verre qu’il est hors de question que tu retires. Tu n’es pas une experte en médecine mais le verre ça s’émiette, ça laisse des petits morceaux partout et tu refusais d’aggraver ton cas. Sauf qu’alors que personne ne te répondait, tu paniquais simplement un peu plus. Et puis alors que tu sentais une larme couler sur ta joue, un visage que tu avais aperçu dans le wagon vint se planter devant toi. « Je m’appelle Priam, ne bouge surtout pas, tu t’appelles comment ? » Tu lui souris, il doit y avoir des gens blessés bien plus gravement que toi mais avoir quelqu’un qui te parle, qui te rassure c’est peut-être ce dont tu avais besoin finalement. « Milena, enchantée. » Tu aurais préféré le rencontrer dans d’autres circonstances, malheureusement vous n’alliez pas avoir le choix. Le regard qu’il lance sur ta blessure ne te dit rien qui vaille mais il faudra faire avec. « Il faut faire un garrot… comment tu te sens ? » tu hausses les épaules, tu n’en sais rien. Pas très bien mais peut-être mieux que d’autres, tu ne saurais dire. « J’en sais rien. » Dis-tu sincèrement. Tu lèves les yeux et tu vois un filet de sang dans le cou de Priam, tu ouvres la bouche pour le lui dire mais tu es interrompue par Eliane qui appelle au secours. « Je vais aller voir ce qu’elle a. Ne bouge pas ok ? Tout va bien se passer » Tu laisses échapper un petit rire nerveux, bouger ? Non, ce n’était pas une option. A vraie dire, tu ignores si tu allais pouvoir marcher dans le futur. Tu préfères ne pas y penser. Tu regardes Priam et un autre homme que tu ne connais pas décaler les tables, au moins pour permettre à Eliane de respirer. Tu espères qu’elle va bien. Tu regardes ensuite celui qui s’appelle apparemment Arthur aider une demoiselle qui le cherche. Tu ne sais pas quoi faire, tu ne sais pas quoi dire. Tu veux savoir si Matteo va bien c’est tout. Tu espères que Priam n’est pas trop blessé non plus, peut-être qu’il ne s’est rendu compte de rien. @Priam Strand @Eliane Samuels
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| | | | (#)Lun 15 Mai - 20:04 | |
| La jeune brune avait de plus en plus de mal à rester debout. Etrangement, son corps tout entier commençait à lui faire mal alors qu’il y a quelques secondes seule sa côte gauche la faisait souffrir. Elle ne savait pas combien de temps elle allait pouvoir resté debout mais elle avait fait une promesse à Angelina et jamais Penelope ne rompait ses promesses. « Le père de mon fils est dans le train, trouve le. » Haesting est une sorte de sentimentale et elle s’imaginait toujours le pire. A ce moment précis, elle espérait que la demoiselle aller s’en sortir. Elle avait l’air d’aller bien mais beaucoup de sang sortait de son ventre et Penelope avait été vraiment inquiète. La brune s’arrêta devant les toilettes, c’était la place idéale pour se reposer. Cependant, elle n’arrêtait pas sa recherche et elle trouva enfin le fameux Arthur. Elle avait donc raison, c’est bien le jeune homme qui discutait avec Théodora toute à l’heure. « C’est moi Arthur. Asseyez-vous, vous avez mal où ? » Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Penelope. Il avait l’air d’être quelqu’un de vraiment sympathique, prêt à aider les autres. La brune s’assit sur la chaise que l’homme venait de lui donner et secoua la tête. « Vous devez m’écouter… lança-t-elle la voix un peu saccadé par la douleur. Angelina, m’a demandé vous trouvez. Vous êtes le père de son fils n’est-ce pas ? En vérité, Penelope ne lui laissa pas beaucoup de temps pour répondre, elle repris. Elle est blessée.. Elle vous cherche. Il faut que vous alliez la trouver. Naturellement, il ne voudrait peut-être pas laisser Penelope seule mais elle tenta de le convaincre. Je vais bien, j’irais bien, c’est juste le choc. Angelina quant à elle saigne, elle saigne au niveau de son ventre. J’ai essayé d’arrêter le sang mais je ne suis pas médecin. Allez la voir Arthur. » Penelope avait réussi sa mission, elle avait dit à Arthur qu’Angelina la recherchait.
Lorsqu’Arthur la laissa seule à son sort, Penelope sortit son téléphone portable et envoya un message à Théodora, elle avait du mal mais elle se décida à écrire en abrégé pour le coup. « are u ok ? » Penelope laissa tomber son téléphone sur le sol, elle se sentait extrêmement fatiguée de plus en plus. La douleur la faisait souffrir, elle ne sait pas ce qui lui arrive mais elle a du mal à rester éveiller. Si seulement elle savait, si Penelope ferme les yeux pour s’endormir, elle ne se réveillera peut-être jamais.
@Arthur Iver @Théodora Hazard-Perry |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 21:38 | |
| Elle a beau regarder autour d’elle, elle ne comprenait absolument rien de ce qu’il se passait autour d’elle. Les gens semblaient être mal en point, semblaient être toujours un peu flous - mais Debra était quasiment sûre que c’était sa vision à elle qui ne marchait pas aussi bien que prévu. « Madame, vous êtes en Australie. Ecoutez, vous êtes blessée ? » Debra fronça les sourcils et se tourna vers le jeune homme qui venait de lui parler. « En Australie ? La bonne blague. Je me suis endormie et je me suis réveillée en Australie. C’est plutôt à moi de demander si vous êtes blessé, à ce point là oui. » Bien sur, elle ne pouvait pas se rendre compte qu’elle connaissait déjà le jeune homme qui se tenait devant elle, et qu’elle n’avait pas besoin d’être autant désagréable avec lui. « Si vous n’êtes pas blessée je vais avoir besoin de votre aide. » Instinctivement, Debra porta de nouveau sa main à l’arrière de son crâne. « Ouais, bah si je suis blessée. » Elle baissa un sourcil, fière de pouvoir lui prouver qu’il n’allait pas obtenir ce qu’il voulait avec elle. Et d’après le regard qu’il jetait à la jeune femme, Arthur avait déjà laissé tomber l’affaire pour le moment. « Je vais aller à la recherche d’un kit de secours. » « C’est ça, aller salut. » Debra soupira avant de venir mettre ses mains sur ses hanches et venir faire un tour d’horizon du regard. Bon, maintenant que sa vision était de nouveau totalement claire, elle s’en voulait d’avoir envoyer chier le jeune homme comme ça. Parce-qu’apparemment, même si elle ne croyait pas au coup de l’Australie, il y avait vraiment urgence. « J’aime pas les emmerdes, merde… » Soupirant une nouvelle fois, elle vint donc voir les personnes autour d’elle. La plupart d’entre elles étaient conscientes et celles qui ne semblaient pas l’être respiraient toujours. Son regard finit par atterrir sur une jeune femme, debout, qui semblait plus pâle que jamais. L’homme qui était venu voir Debra tout à l’heure venait juste la quitter, et elle semblait chanceler. C’était le moment pour Debra de faire quelque-chose de bon, une bonne action. « T’es toute pâle toi, on dirait une minette de collège qui a oublié de prendre son petit dèj. » Debra parcourut sans encombres les quelques mètres qui la séparaient de la jeune femme.
- les couleurs de dialogues:
Debra: indianred Milena: #cc3366Matteo: #C78336Lydia: #d89bbePenelope: #A9A9F5Liviana: #C71585Jeremy: #4E7C4E
@Arthur Iver @Penelope Haesting |
| | | | (#)Lun 15 Mai - 22:39 | |
| Arthur a un petit rire nerveux quand je lui demande s’il a voulu m’embrasser et dans une société normale une telle réaction ça veut dire que c’est vrai non ? Wow, c’est bizarre, on en voit pas mal de ça dans les séries un gars attiré par son ami, mais je pensais que ça n’arrivait qu’entre filles et garçons, d’où la question existentielle de savoir si l’amitié avec les deux sexes est possible ? A cela je réponds un grand oui, vu le nombre de nanas que je considère comme mes amis, mais une logique étrange veut que quand tu as beaucoup d’amies, tu sois plus intéressé par les garçons. A méditer. « Ne bouge pas… Comment tu te sens ? » ce n’est pas Arthur qui a parlé et levant les yeux, je croise ceux d’une jeune femme que je ne crois pas avoir jamais rencontré, je m’en souviendrai. « Le train a déraillé. » Cette fois c’est Arthur et j’ai bien envie de leur dire d’y aller doucement dans la prise de parole, j’ai du mal à suivre puis… je comprends le sens de ses mots. Le train a déraillé. Le train a déraillé. Le train a déraillé. Ca résonne en écho dans mon esprit, c’est la preuve que ma tête est vide vous croyez ? « Et non je ne t’ai pas pris pour la belle au bois dormant. » je tente un petit sourire, ce qui ne plait pas à mon de crâne, et de dos, et d’épaule et de… j’ai l’impression d’avoir été cassé, c’est donc ce que ressent une marionnette que l’on balance de part et d’autre d’une pièce. « Debra ! » que je m’exclame tout à coup de me rendre compte qu’il ne reste que l’inconnue devant moi, oh bordel, Arthur peut se téléporter. Imaginez, c’est là que je découvre que c’est un gars avec des pouvoirs venu d’une autre planète qui passe son temps libre à sauver des gens en enlevant sa paire de lunettes. Je suis con, Arthur ne porte pas de lunettes, ouf. « Vous savez... quelle est... la situation ? » je demande alors à la brune « parce que je suis venu avec une amie…et je l’ai perdue…et… » je sens quelque chose de chaud me dévaler le visage pour s’égoutter au sol. « Oh putain je saigne » Alerte, alerte, panique à bord, je suis en train de mourir. Je vais me vider de mon sang dans ce train, qui va nourrir Goldfish, mon poisson rouge ? Oui je n’ai aucune imagination concernant les noms d’animaux.
@Arthur Iver @Liviana Beauregard |
| | | | (#)Mar 16 Mai - 14:28 | |
| Liviana se senti soudainement épuisée, les effets de l’alcool et le choc qu’elle venait de subir laissait son corps dans un état second. Malgré tout elle fit tout son possible pour garder les yeux ouvert, elle devait se battre pour vivre mais aussi pour le garçon qui était allongé encore inconscient sur le sol. Un autre homme les avait rejoints dans les toilettes, elle se rappela l’avoir vu en arrivant sans pour autant être capable de mettre un nom sur son visage. Elle essaya de lui parler le plus clairement possible, elle paniquait n’arrivant pas à comprendre ce qui venait de se passer, tout était flou et embrouillé dans sa tête « Vous allez bien ? Enfin je veux dire vous n’êtes pas blessée ? » elle releva son visage vers le sien, elle ne s’était pas vraiment posé la question, elle baissa son regard vers son épaule, elle n’allait pas bien « Je crois que je me suis déboitée l’épaule mais ça ira » la douleur était présente mais elle n’était pas aussi forte que ce qu’elle avait ressentir le soir de son accouchement « Et vous ? » il avait l’air d’aller bien, il marchait et parlait normalement mais elle voulait s’en assurer. Au bout de quelques secondes Felix repris conscience sur le sol, du moins il était éveillé, ses propos eux étaient étranges, le choc supposa-t-elle. « Le train a déraillé » tout fut immédiatement plus clair, elle se rappela le choc et le bruit du train glissant le long des rails « Et non je ne t’ai pas pris pour la belle au bois dormant. » un petit sourire se dessina sur ses lèvres, la situation n’était pas trop bien au contraire mais la nervosité agissait à sa place. Peu à peu le souffle de Liviana se fit plus régulier, elle sentait son cœur battre plus lentement « Je suis désolé de vous faire ça mais on a besoin de mon aide à côté. Vous pouvez rester avec lui ? Vérifier qu’il n’a rien de grave. Si vous avez besoin d’aide criez mon nom, moi c’est Arthur. » elle hocha la tête, elle n’avait pas dans l’idée de l’abandonner, il allait bien physiquement mais elle n’était pas sure que l’intérieur de sa tête aille aussi bien « Allez-y… et Arthur, faites attention à vous » elle ignorait totalement ce qui allait se passer dans les prochaines minutes mais elle n’était pas sure qu’ils soient totalement sorti d’affaires. Arthur quitta la pièce et l’attention de Liviana se posa sur Felix qui semblait planer dans un autre monde elle chercha son téléphone mais il avait dû être projeté avec le choc « Debra ! » il avait l’air encore plus perdue que tout à l’heure « Vous savez... quelle est... la situation ? » elle secoua la tête de gauche à droite, si seulement elle savait « parce que je suis venu avec une amie…et je l’ai perdue…et… » elle attrapa immédiatement sa main pour le rassurer en espérant qu’un geste tendre pourrait le calmer « J’étais avec elle au bar, on buvez et on m’a renversé de la vodka dessus, je suis venue ici… je ne sais pas ou elle, je suis désolée » mais elle espérait de tout son cœur qu’elle aille bien. « Oh putain je saigne » elle s’approcha un peu plus de lui, le haut de son crâne saigné, par chance le sang ne lui avait jamais fait peur « Tout ira bien, je vous le promets » elle chercha de quoi couvrir la plaie mais il n’y avait rien alors elle retira son t-shirt avec difficulté, elle n’avait pas prévu de se retrouver en sous-vêtement devant un gamin mais elle n’allait pas le laisser se vider de son sang. Elle fit une boule avec le t-shirt qu’elle déposa sur la plaie appliquant une légère pression sur cette dernière « Je m’appelle Liviana, c’est Felix ? » demanda-t-elle décidé à le faire parler.
@Arthur Iver @Félix Gonzalès |
| | | | (#)Mar 16 Mai - 15:02 | |
| Debra, c’est ce qui me vient en tête dans toute cette confusion. Le train a déraillé a dit Arthur. Qu’est-ce qu’il en est des autres ? Pourquoi je ne suis pas resté avec elle ? On était censé passer la journée et la durée de ce voyage ensemble, s’exploser le ventre et dans le pire des cas, se taper une indigestion et un lavage d’estomac à l’hosto. Des trucs funs, mais surtout pas ce désastre. « J’étais avec elle au bar, on buvez et on m’a renversé de la vodka dessus, je suis venue ici… je ne sais pas ou elle, je suis désolée » J’ai envie de sourire en me disant que cette tête de mule était bel et bien au bar, mais il est clair que la dernière fois que la brune l’a vue c’était avant tout ce bordel. S’il lui est arrivé quelque chose de grave, hein ? Charlie ne me le pardonnerait jamais, tout comme moi d’ailleurs, le possible seul ravi de la situation serait Gauthier qui n’aurait plus une squatteuse à temps plein chez lui, prenant ses aises comme si elle était la reine d’Angleterre. Mais très vite, tout ceci disparait quand je me rends compte que je suis en train de me vider de mon sang et par conséquent en train de crever ici, dans les toilettes de ce train, venant tout juste d’avoir vingt-huit ans. Ca n’aurait pas pu se passer avant ? J’aurais pu au moins espérer faire partir du club des vingt-sept, aux côtés de Jimi Hendrix, Janis Joplin et Jim Morrison. Certains diront que pour ça il aurait fallu une carrière dans le rock ou le blues, ce n’est qu’un détail. « Tout ira bien, je vous le promets » j’essaie de croiser son regard pour savoir si elle le pense ou elle essaie juste de calmer ma panique sur le point d’exploser dans quelques secondes. Merde, je ne peux pas mourir ici, maintenant, il y a encore tellement de choses que je n’ai pas faites. Comme ce stage d’escalade, comme faire pipi par-dessus un balcon, comme prendre des selfies avec des hippopotames et… wow, la jeune femme en face de moi enlève son t-shirt et il n’y a pas à dire c’est la meilleure technique pour qu’un homme cesse de pleurer après sa mère. Ça commence à ressembler à un scénario pour des films… sans beaucoup de dialogues. « Je m’appelle Liviana, c’est Felix ? » je veux hocher la tête, mais je me rends compte à mes dépends que ce n’est pas une bonne idée. « Félix oui, enchanté » je ne sais pas si c’est la bonne chose à dire dans cette situation, mais c’est sûr que je suis bien ravi qu’elle soit là avec moi, sinon ma crise de panique m’aurait sûrement assommé. « ça va… vous ? » elle a semblé avoir des difficultés à enlever le haut « votre…bras ? » dans l’ensemble, elle parait aller bien, compte tenu de la situation, contrairement à moi elle peut se tenir debout, ce qui est un bon début. « Merci de rester avec moi… c’est vraiment gentil… » personne ne souhaite mourir seul.
@Liviana Beauregard |
| | | | (#)Mar 16 Mai - 15:08 | |
| Elle avait l’impression d’étouffer. Eli n’était pourtant pas claustrophobe, elle avait déjà fait des randonnées avec Alex. Fais de la spéléologie, était même restée coincée pendant toute un après-midi dans un ascenseur. Mais là, dans cet espace confiné ensevelie sous ce qu’elle pensait être des tables, la brune pensait vraiment que son moment était venu et elle n’arrivait à penser qu’à Alex. A leur histoire qui restait ainsi en suspens et elle ne le voulait pas. Elle voulait savoir si tout ce qu’ils avaient vécu, si les six dernières années n’étaient que chimère ou si c’était bien réel et qu’ils allaient se retrouver. Alors elle essaya encore, frappant, criant…
Une voix lui répondit alors. La jeune femme souffla de soulagement. Elle allait peut-être en sortir vivante alors… La poussière accumulée du déraillement et du train – ils ne devaient pas faire beaucoup le ménage par là – commençait à lui piquer les yeux et la gorge. Elle se mit à tousser mais manqua de s’étouffer encore plus… Au bruit, Eli comprit que la personne essayait de soulever la table mais la table devait être trop lourde car elle sentit un poids s’écraser un peu plus sur son corps. Elle retint un gémissement de douleur en sentant quelque chose cogner contre son épaule. La voix s’éleva à nouveau et l’avocate comprit qu’on demandait de l’aide. A deux, ils arrivèrent à décaler les tables et Eliane sentit un peu d’air. Elle se tortilla sans penser à son épaule pour respirer et cracher ses poumons.
« Merci… », dit-elle aux deux hommes qui l’avaient secourus.
Elle regarda autour d’elle, ça avait l’air d’être le chaos.
« ça va aller… Ne vous préoccupez plus de moi. Je vais me débrouiller… », rajouta-t-elle.
D’autres devaient avoir besoin de ces superhéros plus qu’elle, les convoyeurs de l’extrême, elle les aurait appelés si ils faisaient partie du staff… Ou alors elle divaguait à cause de toute ce qu'elle avait pu respirer en étant sous ces tables...
Tournant un peu le regard, elle tomba sur Milena
« Milena ? Vous allez bien ? »
@Priam Strand @Arthur Iver @Milena Grimes |
| | | | (#)Mar 16 Mai - 17:50 | |
| Jamais Penelope ne sentait sentit aussi faible, tout son corps lui faisait mal, comme si une voiture venait de l’écraser mais la catastrophe était bien pire. Bien qu’elle se sentait partir dans un autre atmosphère, Penelope n’entendait que les hurlements de peur et de panique présent dans le train. Ses yeux se ferment si facilement que ça en devient compliqué de rester éveiller, seul le bruit l’aide pour le moment. Bougeant la tête dans tous les sens, elle cherche un visage familier. La brunette avait extrêmement peur mais pas forcément pour elle. Elle n’arrêtait pas de penser à Théodora, espérant que rien de grave ne lui était arrivé, elle avait un petit garçon qui allait avoir besoin d’elle dans les années à venir. Aussi son esprit penser à Priam, elle ne le connaissait pas vraiment mais il faisait partie de la vie de sa meilleure amie, elle ne voulait pas qu’elle souffre en le perdant suite à un stupide accident de train. « T’es toute pâle toi, on dirait une minette de collège qui a oublié de prendre son petit dèj. » Lorsque la voix de la demoiselle se fit entendre, la jeune Penelope sortir de ses pensées. Son reg ard faible se posa sur la jeune femme présente. Son visage lui était étrangement familier mais elle ne pourrait dire d’où elle le connaissait. « Je.. Penelope pris une plus grande respiration et leva son regard vers la demoiselle qui était assise face à elle. Je vais bien.. Je, je suis juste fatiguée. » Bon d’accord, ce n’est pas une très bonne raison surtout quand un train vient de se coucher. Fermant les yeux deux secondes, Penelope les rouvrit avec difficulté et lança un regard autour d’elle. « Je .. Trouve un médecin s’il te plait.. Sa voix tremblait, tout comme son corps en entier. Je crois que j’ai vraiment besoin de voir un médecin. » Le teint de Penelope était devenue plus pale qu’il y a quelques minutes, son regard devenait livide, son pouls était quasiment inexistant. Dans quelques secondes, elle ne répondrait plus d’elle-même. « S’il te plait… » @Debra Brody |
| | | | (#)Mar 16 Mai - 18:49 | |
| Tu ne sais plus où donner de la tête. Tout le monde semble avoir besoin de toi, tu sembles être le seul à être sorti de ce déraillement indemne ou à peu près. Tu essayes d’asseoir cette jeune femme que tu ne connais pas mais qui te cherche. Tu te demandes bien pourquoi mais tu laisses l’homme que tu as aidé à pousser les tables pour te concentrer sur elle. « Vous devez m’écouter... Angelina, m’a demandé vous trouvez. Vous êtes le père de son fils n’est-ce pas ? » Tu hoches la tête, tu es en effet le père de l’enfant d’Angelina. « Elle est blessée.. Elle vous cherche. Il faut que vous alliez la trouver. Je vais bien, j’irais bien, c’est juste le choc. Angelina quant à elle saigne, elle saigne au niveau de son ventre. J’ai essayé d’arrêter le sang mais je ne suis pas médecin. Allez la voir Arthur. » Tu l’avais vu pourtant Angelina, tu avais l’impression qu’elle n’allait pas trop mal. Tu paniques légèrement mais la jeune femme en face de toi est en train de devenir de plus en plus pâle. Cependant, elle semble tenir absolument à ce que tu ailles voir Angelina. « Je … » Tu soupires avant de dire : « Je vais aller la voir. Mais promettez-moi que si vous vous sentez réellement mal vous crierez mon nom d’accord ? » Au moins ça, tu ne voulais pas la laisser seule mais qu’est-ce que tu pouvais bien faire dans cette situation toi ? Tu rattrapes le kit de premiers secours que tu as posé à terre avant de te diriger dans la direction où tu avais vu Angelina tout à l’heure. Alors que tu arrives à sa hauteur, tu te retournes et tu vois Debra en train de parler avec la jeune brune. Tu soupires de soulagement, tu ne sais pas ce qu’à Debra mais elle semble avoir toute sa tête, elle peut lui tenir compagnie, s’assurer qu’elle ne sombre pas. Tu te reconcentres sur Angelina qui est allongée sur le sol. « Hey Angie. » Dis-tu, utilisant sans y penser ce surnom qui n’était pas sorti de ta bouche depuis quatre ans. « La jeune femme m’a dit que tu saignais ça va ? T’as mal où ? » Elle était consciente au moins, c’était déjà ça, pensas-tu en soupirant doucement de soulagement. @Penelope Haesting @Angelina Gilmore
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| | | | | | | | #TEAMPIZZA - on parle pas la bouche pleine ! |
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