MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Les lumières chaudes sur mon visage, les yeux clos, j'inspirais profondément en laissant mon corps tanguer au rythme de la musique. C'était si bon, le temps d'un instant. Je m'évadais dans le chaos de la pièce, me laissant entrainer et posséder entièrement. Je restais là ignorant tout de ce qui m'entourait, à ce moment là plus rien ne comptait. Et oh, qu'est ce que ça faisait du bien. J'oubliais ces derniers jours, ma vie, mes regrets, mes peurs, mes déceptions. J'étais libre. Enfin... je rêvais hen. D'un secouement désagréable, quelqu'un me fit sortir brutalement de ma bulle. Jamais en paix dans ce monde, j'vous jure. “Billie! Qu'est ce que tu fou?! Ca fait 5 minutes que ta pause est finie! Aller on a besoin de toi, la salle est pleine bon sang!" Ma patronne pour la nuit c'était bien elle. Je descendis de l'enceinte où je m'étais isolée le temps de respirer. Quelle idée d'accepter ce job ce soir, j'avais bien mieux à faire! Arg. Tout ça pourquoi déjà? Ah oui, partir d'ici et visiter le reste du monde. Pourtant... D'un geste je basculais mes yeux à travers la salle comme pour revoir toutes les rencontres dont j'avais eu la chance de faire dans cette ville. Et c'est ainsi que mes prunelles s'arrêtèrent sur cette silhouette que je connaissais presque par coeur. Perchée sur des hauts talons, elle faisait immédiatement effet dans la salle, elle n'échappait à personne et à moins encore moins. Je ne la quittais pas des yeux, complètement envoutée par cette femme. Maxyn. Mes lèvres coincées entre mes dents automatiquement, un flux d'image me pris soudain et d'émois. Arg. Elle me rendait dingue. Je terminais ma croisade dans son regard, absorbée et captivée, je finis par tourner les talons et lui échapper le temps de me faire désirer. Et j'avais du boulot, il me restait un peu moins d'une heure avant la fin de mon service, je ne devais pas faillir jusque là. Mais la faire rester aussi. Hum. Je retournais rapidement derrière le bar de la boite, servir quelques commandes et la dernière était spéciale. Dans la pénombre, juste éclairé de rayon de lumière violette, je m'avançais jusqu'à elle. Non sans difficulté, c'était un calvaire de ne pas lui sauter dessus, là, tout de suite. Ses cheveux teintés d'un ton rose attirant et... j'étais là. “ C'est offert par la maison, tu me remerciera plus tard." C'était clairement une invitation, mais je ne doutais pas de sa compréhension. Je lui déposais le verre entre ses doigts délicatement, avant de lui effleurer la main en reculant. Ma langue ne pu s'empêcher d'hydrater mes lèvres à son contact. Sa peau réchauffa la température de mon corps déjà bien alarmante, c'était toute une vague d'images, de sensations. Mais, ce qui était le plus excitant, était que je savais qu'elle ressentait exactement pareil... Du moins je m'en assurerai ce soir, cela avait le mérite d'être partager.
Encore une soirée où je me perdais totalement... J'avais mis ma plus belle robe, une robe rouge, moulante, avec un décolleté qui ne demandait qu'à être admiré. J'étais seule pour ce soir, Indiana, mon acolyte de sortie habituelle m'avait posé un lapin il y a même pas cinq minutes. J'étais encore sobre, j'avais juste un verre dans la main et je sentais qu'il allait falloir que je boive puissance mille pour oublier et surtout pour m'oublier ce soir.
Alors je m'approchais près du bar, demandant un verre de vodka-orange pour bien débuter la soirée en solitaire mais je n'étais pas tranquille. Je sentais comme des regards sur moi. Etais-je si tape à l'oeil? Alors le temps d'être servie, je regardais autour de moi. J'observais les gens, leur façon de danser, je regarde des cibles potentielles... De magnifiques femmes. Je ne voulais pas partir seule... Je le refusais. Je regardais alors les filles qu'il y avait en face de moi, une à une... Et j'étais désespérée. Elles étaient soit avec leur mec ou alors elles ne m'attiraient pas du tout sexuellement parlant...
Je levais les yeux au ciel, prenant enfin le verre qu'on me servait, commençant à savourer la belle saveur de ma vodka préférée... Puis je crus buguer en l'espace d'une seconde.
Je regardais mieux à ma droite et je la vis... Billie. Mes yeux étaient complètement hypnotisés par sa beauté de nuit... Je ne la quittais pas d'un regard, arrêtant complètement de cligner des yeux. Je vis qu'elle me vit, je n'étais pas folle... Mais elle m'échappa. Elle voulait jouer? Alors on allait jouer. J'avais trouvé LA fille... La plus belle fille de la soirée.
Billie, voilà une drôle d'histoire. D'habitude mes conquêtes de soirée, restaient des conquêtes de soirée mais Billie avait un tel sex-appeal que j'étais accroc à son corps et à ses lèvres de déesse. J'avais arrêté de compter à partir de 5... Notre première fois avait été sauvage et les fois suivantes n'avaient été que parfaites... Et là je sentais déjà mon bas ventre me faire des siennes tandis que mon coeur s'accélérait dangereusement.
Je clignais des yeux... Deux secondes et je l'avais perdu de vue. Je me décollais du bar, tournant sur moi-même... Elle avait disparu. Non. Elle n'avait pas osé quitter la salle? Si? Alors, bêtement, je quittais ce bar, me faufilant dans la foule avec mon verre de vodka-orange. Elle n'était nulle part... Des mecs assez lourds m'accoster mais je les ignorais même avec leur forcing légendaire. J'avais perdu de vue le bar tant il y avait foule et je commençais à avoir horriblement chaud vu le monde qui m'entourait. Que faisait-elle ici?
Je bus cul-sec mon verre de vodka pour retrouver des forces... mais il m'en fallait un autre. Alors je revins vers le bar... Tant bien que mal... Plus mal que bien d'ailleurs... La foule était si intense, que pour respirer je me mis dans un coin de la salle, voyant le bar non loin de là... Et... là je la vis.
Derrière le bar... Elle était barmaid ?! Alors je m'adossais au mur, je la regardais sans le regarder... Je captais son regard mais dès qu'elle me fixait longuement je faisais mine de regarder ailleurs alors qu'il n'y avait qu'elle qui m'intéressait pour ce soir. Mon verre m'encombrait et peut-être qu'elle allait m'en offrir un si elle était au bar... Non? Alors lorsqu'elle ne me regarda pas, je posais mon verre à mes pieds, le poussant de quelques centimètres vers la gauche et quand je relevais mes yeux, elle était déjà là.
Je restais neutre, je n'avais ni sursauté, crié ou autre. Je me contentais de l'observer de haut en bas jusqu'à la fixer droit dans les yeux en me mordant inconsciemment ma lèvre inférieure. Je vis sa langue passer sur ses lèvres charnues et si douces que ça m'en faisait presque transpirer tant la température de la salle avait augmenté vu notre proximité.
Alors je pris ce verre, je n'ouvris pas encore ma bouche, laissant mes lèvres sur le rebord de ce dernier et je buvais quelques gorgées, mes yeux toujours plongés dans les siens.
- Même au bar tu as le parfait doigté pour doser correctement le tout...
Je souriais légèrement, ce petit sourire qui voulait tout dire puis je m'approchais d'elle, approchant mes lèvres de son oreille, laissant mon corps effleurer le sien.
- Merci...
Lui disais-je sensuellement, soufflant dans son oreille avant d'embrasser son lobe d'oreille pour finir par me retirer, remettant mon verre entre mes lèvres pour savourer le goût de ce dernier.
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Je ne pourrais décrire notre relation à la perfection, mais la plus part du temps, cela ressemblait à un plaisir orgasmique. Très haut en intensité, presque mortel. Nous passions notre temps à découvrir nos corps et nos limites. C'était un exercice haut en émotion et incroyablement physique. Et dans ces moments je me sentais vraiment vivante, entièrement. Mais pas que ça, avec elle, ce qu'elle m'infligeait... J'avais l'impression d'être comprise, connue, appréciée et pleinement désirée. Evidemment, ce n'était pas à son paroxysme non plus, je me disais que ce serait surement un million de fois mieux avec des sentiments amoureux. Mais... Ce n'était pas mon souhait, mon coeur n'était pas à prendre. Et je me doutais que la belle Maxyn ai de quoi faire dans sa vie niveau amour. Elle devait en faire souffrir plus d'un avec une telle perfection. Je l'admirais beaucoup, pour tout ce qu'elle était et j'adorais tout ce qu'elle dégageait, cette féminité absolu, toute sensuelle à souhait. C'était vraiment une des plus belles femmes que j'avais rencontré dans ma vie, honnêtement je ne pense d'ailleurs pas en rencontrer un jour une plus belle. Son corps, seigneur, vous ne l'avez jamais vu à l'oeuvre, mais... fuck. Et ce n'était pas le pire, je savais pertinemment qu'elle m'avait eu en un regard. Un coup d'oeil fatal. Ses deux perles bleu crystal dont je ne me lasserais jamais. Elle en usait d'ailleurs souvent, il suffisait d'un battement de cil pour me captiver complètement. "Même au bar tu as le parfait doigté pour doser correctement le tout..." Hum, quoi? Elle osait donc. Et elle souriait même. Elle allait clairement le regretter plus tard, même soit, je restais à présent juste spectatrice de la scène, subissant sa beauté en plein tête. Elle s'approcha de moi, son corps contre le mien totalement gratifiant à ce geste. "Merci" Dit-elle d'un air amusé, brulant inconsciemment le lobe de mon oreille à chaque syllabe prononcée. Une de mes mains glissa contre sa taille et la plaqua un peu plus sans hésitation. Elle jouait avec moi et j'adorais ça. Elle me rendait folle, je la voulais. La. Tout de suite. C'était tout mon corps qui lui criait. N'entends-tu pas? Je lui montrerais. La suivant du regard au moindre de ses mouvements, elle recula et s'amusa de son verre avec ses lèvres comme... Arg ce regard! Elle savait très bien ce qu'elle me faisait et s'en amusait mais je n'allais pas rester sans rien faire. "Suis-moi." Dis-je spontanément d'une manière assurée. Ce n'était pas une invitation cette fois. J'attrapais sa main sans attendre et nous entrainais dans la foule rapidement. Tout en lui créant un passage, je la gardais précieusement à mes côtés serrant l'étreinte de nos doigts entrelacés. Tant pis pour mon boulot, j'en avais déjà deux autres, j'étais simplement trop gourmande après tout. Et là, là elle l'avait bien cherché. Je me retournais face à elle pour fixer mon regard animé par une folie complètement animale et attrapais sa taille pour la rapprocher de moi. Encore un peu. Mon corps s'était déjà mis à se déhancher d'une manière sensuelle et lente, juste de quoi commencer. Nos poitrines l'une contre l'autre. Hum, un millier de frisson me parcourait le corps, impatiente de gouter à cette créature. Ma langue caressa ma lèvre inférieure, mes yeux dans les siens sans relâcher la pression intense que l'on partageait, nous étions si près l'une de l'autre qu'il suffisait d'un rien pour... succomber entièrement. J'entrainais son corps au rythme du mien et de la musique, guidant le moindre de ses mouvements en harmonie. "C'est bien mieux là." Soulignais-je. D'un sourire malicieux je me lançais à la conquête de ses lèvres, sans attendre plus, c'était suffisant ainsi, la torture avait assez duré. J'attrapais sa lèvre inférieure, baisant cette dernière avec toute ma fougue. Je passais à la plus haute avant de l'embrasser intensément, à pleine bouche. Entrelacée l'une contre l'autre, emboitée comme une paire, je retenais mon esprit à m'évader entre mille scènes érotiques. Elle me faisait un effet fou, c'était une épreuve de rester ainsi aussi sage à ses côtés. Ma langue caressa la sienne avant de la lui mordre sans retenir ma force, mais sans lui faire mal non plus, juste de quoi la faire réagir. "C'est ce qui va t'arriver toute la nuit. Sur tout ton corps. Tu sais que tu n'as pas été très sage en venant m'aguicher de la sorte." J'avais rejoins son oreille afin qu'elle entende chacun de mes mots. J'avais peut être commencer mais soit, elle n'avait cas pas s'être pointée sur mon lieux de travail et sans me prévenir.
Je savais que je jouais avec le feu et j'adorais ça... Surtout avec elle. Habituellement je collectionnais les coups d'un soir seulement, Billie était l'exception à la règle et oh putain quelle exception... Elle était sauvage comme attendrissante, elle savait ce qu'elle voulait et elle savait où elle allait. Elle s'assumait entièrement, elle puait le sex appeal à des kilomètres à la ronde, elle était parfaite. Comme si j'avais trouvé mon double féminin pour savoir partir au paradis... ou devrais-je dire en enfer là où les péchés ne sont plus interdits mais uniquement partie remise où jouer avec le feu était un atout et horriblement... chaud? Sans doute... sûrement même.
Je la savais impatiente et c'était pour cela que j'adorais jouer avec elle... je la savais sensible à plusieurs niveaux et quand elle explosait je prenais mon pied car elle savait où me démarrer aussi... alors m'amusant avec son lobe, je faisais mon regard de fille sage et innocente, souriant en coin, le verre toujours en main puis je sentis une de ses mains me coller sauvagement contre son corps. Je me mordis ma lèvre inférieure de plaisir, laissant ma poitrine coller la sienne... redécouvrant ses formes généreuses à travers des vêtements.... qui hurlaient de toucher le sol pour laisser à découvert sa petite poitrine bien ferme que j'adorais titiller autant qu'elle titille la mienne.
Et là... elle craqua. Où elle m'emmena ? Je la suivais, main dans la main, toujours mon verre dans celle de libre. On se faufilait dans la foule, foule qu'elle dégagea sans gêne pour montrer qui dirigeait ainsi. Je ne savais pas où elle m'emmener, si elle voulait jouer encore ou si elle voulait succomber... dans les deux cas... tout m'allait. Puis on s'arrêta au milieu de la foule et elle se retourna et se recolla à moi, montrant à tout le monde que je lui appartiens et qu'elle n'ait d'yeux que pour moi ce soir.
Mon coeur battait à cent à l'heure et je me remordis une nouvelle fois ma lèvre inférieure avant qu'elle vienne y goûter d'elle-même. Je sentais ses lèvres charnues et si chaudes contre moi, je fermais les yeux pour m'enivrer de son parfum et pour sentir ses seins contre les miens tandis que ma main de libre se posait sur sa hanche avant d'aller faire un tour sur ses fesses si rondes et musclées... rien qu'avec cela, je sentais tout aussi bien mes tétons réagir à ce qu'elle me faisant, entrouvrant ma bouche comme pour chercher ma langue de la sienne...
Elle savait embrasser et elle savait COMMENT m'embrasser.... elle m'embrassait d'une telle violence et avec une telle envie que je sentais mon bas ventre hurler son nom... Elle m'avait manqué. Aucune fille me rendait aussi folle qu'elle.. aucune. Sinon je n'aurais jamais recouché avec elle autant de fois. Alors je bougeais sur le son de la musique, voulant qu'elle sente mes tétons se durcir sous ma robe, frottant à son haut jusqu'à que nos langues s'entremêlent comme elles savaient déjà si bien le faire.
On s'embrassait avec envie, ne cherchant pas à nous cacher. Je sentais sur moi les regards des gens sur la piste de danse mais j'en faisais abstraction, me concentrant uniquement sur Billie... et quand elle me mordit légèrement mais assez sèchement un bref gémissement sorti d'entre mes lèvres jusqu'à qu'elle prononce la dernière phrase qui m'acheva entièrement.
Je regardais Billie droit dans les yeux, je la collais encore plus caressant ses fesses puis ses hanches jusqu'à palper son sein gauche avant que je vienne embrasser ses lèvres très lentement.... tellement lentement que ça allait l'énerver... je palpais son poitrine sentant le téton que je touchais réagir à mes doigts, comme je sentais les miens frotter le tissu de ma robe... ils étaient déjà durs qu'ils ne demandaient qu'à sortir et à être touchés par Billie, non par un malheureux tissu bon marché... et à mon tour, je mordais sa lèvre inférieure, que je tirais du bout de mes dents, plongeant mon regard dans le sien.
- Je sais que tu adores me punir...
Je venais lui susurrer ça à l'oreille après avoir relâché sa lèvre inférieure. Je revins mordiller son lobe tandis que je me nourrissais de son odeur, venant coller mon genou contre ses jambes que j'écartais légèrement de force pour venir caresser l'intérieur de ses cuisses à l'aide de ma jambe nue.
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La tension était à son comble, parcourue par d'intense vibrations, tout mon corps la désirait pleinement. Brûlante, je caressais son corps et ses formes de déesse que j'appréciais tant. Par dessus ses fesses, le long de son dos, je me promenais à ma guise, après tout j'avais décidé que ce soir elle était mienne. Toute à moi. Elle n'avait pas l'air contre de toute manière au contraire... Elle suivait mes gestes et les mouvements de mon corps à la perfection, entrainant celui dans une danse tellement, mais tellement sexy! Les yeux dans les yeux, elle glissa ses mains partout sur mon corps. Arg. Ce dernier subissait un tel choc, sous chaque parcelle qu'elle caressait, je pouvais sentir mon sang bouillir, s'extasier. Ses lèvres contre les miennes me torturant délicieusement, d'une lenteur à m'en rendre folle. Je savais exactement ce qu'elle faisait et elle le faisait bien. Plus que ça même, j'avais perdu tout lien avec le monde qui nous entourait. Je ne voyais plus qu'elle, sentais que son parfum boisé, j'avais presque l'impression que je ne touchais plus qu'elle, mais mes pieds étaient pourtant toujours sur le sol, se déplaçant de temps en temps dans la pénombre. Lentement encore plus lentement... Je ne pu que gémir dans sa bouche quand Maxyn palpa ma poitrine comme ci elle lui appartenait. La dessous, mon coeur allait exploser. Le bas de mon ventre lui, oh j'étais assez prête comme ça, je n'avais pas besoin de vérifier. J'étais complètement prête pour elle, mais l'endroit non. "Je sais que tu adores me punir... " Mon corps s'était durci sous son passage délicat, mais elle ne s'arrêta pas là, mordant ma lèvre cruellement. Oh Maxyn, tu ne sais pas ce que tu fais... J'encaissais, encore et encore, ou bien étais-je déjà à sa merci? Je ne savais plus, elle me faisait perdre la tête. Mon oreille sifflait-elle à cause de ce qu'elle venait de me faire ou bien était-ce l'intensité de la musique? Oh, je ne voulais même plus savoir. Je succombais un peu plus à chaque instant passé contre elle, mes mains aggripèrent ses fesses et sa jambe caressa la mienne. Sa peau titillant ma curiosité, était-elle aussi douce que dans mes souvenirs ou bien plus? Elle était capable de tout celle là, ça j'en étais sure, d'ailleurs, elle goutait encore meilleur que la dernière fois. Un sourire coquin sur mes lèvres, j'attrapai sa taille vigoureusement à la force de mon désir, la collant au plus possible contre moi. J'allais la punir ça c'était certain, elle ne méritait que ça. Cherchant le tissus de son sous-vêtement, je finis par le coincé entre mes doigts à travers sa robe. Oui, j'étais carrément une experte, ou je le devenais à cause d'elle. Mes doigts commencèrent à s'amuser un peu, tirant sur la ficelle qui entourait la taille, vérifiant la qualité et la ténacité de la chose. "Trop fragile" Dis-je à son oreille. Me traçant un chemin à travers mille baisé dans con cou, je rejoignais sa machoire puis ses lèvres en appréciant chaque parcelle de sa peau. En quelques instants, je fis passer son sous-vêtement par dessus ses fesses rebondies à la perfection. Je lui claquai un baisé en plein bouche, puis de mon nez je fis basculler légèrement son visage en arrière en levant son menton. Ma langue glissa et dévalisa le long de son cou, puis ce fut mon tour, mon corps glissa cette fois le long du corps nu de Maxyn. Mon visage levé vers elle, provoquant son regard, mes mains avaient poursuivies elles aussi le chemin. Passant à prèsent le sous-vêtement autour de ses chevilles. Il ne restait qu'un mouvement à faire et elle l'avait perdu. Sans que personne ne remarque, en un instant, j'étais de nouveau droite, perché sur mes talons et reprenant ma place près de son corps. "Tu va le regretter." Une de mes mains commença son chemin vers le bas de son ventre, mais prit son temps à palper sa poitrine avant tout. Le long de sa taille. J'arrivais enfin au but. Mais sans que je comprenne, quelque chose, quelqu'un me fit tout arrêter. "Billie t'es sérieuse là? T'étais là depuis tout ce temps?" Oh merde, j'avais complètement oublié! Ma bosse venait d'arriver derrière mon dos, sa main sur mon épaule pour me faire réagir sous ce bruit insoutenable. Je pris un moment à réagir avant de secouer la tête, de regarder d'un coup d'oeil Maxyn, puis ma bosse, puis... Merde. "Désolé, j'avais..." Tentais-je de m'expliquer, mais elle n'entendait rien et me fit des signes avec ses mains pour me le faire comprendre.
Je m'emparais de ce corps avant qu'elle ne s'empare de mon corps voir de mon âme. Cette femme avait un don inhumain voir surhumain que je ne comprenais pas... et je n'aimais pas ne pas comprendre. Je voulais lui montrer que moi aussi je savais jouer et que je pouvais la torturer autant qu'elle, mais on m'avait toujours expliqué qu'on trouvait plus fort que soi... Pourquoi elle? Au fond je ne connaissais rien de cette femme à part qu'elle exerçait une forme de pression sur moi.... comme si je devenais une bombe à retardement prête à exploser et là c'était le cas...
Je pressais son sein et ce foutu verre, j'avais juste envie de le balancer dans la pièce quitte à ouvrir un crâne je m'en foutais. Je sentais ses tétons durs se former sous ce foutu haut de barmaid qu'elle abordait mais elle était... trop forte. J'avais pensé prendre le dessus rien que cinq secondes mais elle me faisait comprendre que... non.
Ma jambe flirtait avec la sienne, je montais jusqu'à son entre jambe tout en l'embrassant passionnément, faisant des cercles insistants à l'aide de mon pouce sur son téton à travers son haut mais quand elle me remit à l'ordre, sa main sur ma hanche, me faisant comprendre que là, je l'avais TROP cherché, j'avais tout arrêté... de stupeur.
Mon coeur allait s'arrêter, j'étais là, si proche d'elle, sentant son souffle chaud sur ma peau, mes yeux rivés sur les siens, et ma main toujours sur son sein... Qu'avait-elle en tête? Voulait-elle tester mes limites, c'était ça le jeu de ce soir? Alors, jouons...
Mais elle était la maîtresse du jeu et moi qu'un minable pion qui hurlait d'être avalé par la pièce principale du jeu. Sans attendre, je sentis sa main sous ma robe. Un bref gémissement sortit de mes lèvres tandis que mon visage était près du sien. Ma main sur son sein était allée se poser sur sa hanche comme si ça me maintenait en équilibre, sans tomber de passion et de plaisir pour elle... à cause d'elle... grâce à elle.
- Qu'est-ce que tu me fais...
Susurrais-je près de ses lèvres. Je ne savais même pas si elle m'avait entendu avec la musique à fond dans nos oreilles et quand elle agrippa le tissu de mon sous-vêtement et qu'elle tira fermement dessus, je sentais ce dernier se bloquer entre mes lèvres intimes, sentant ma fissure hurler le nom de Billie, en sentant mon entre-jambe légèrement trempe pour ce début.
"Trop fragile" osa-t-elle me sortir. Je ne savais même pas de qui ou de quoi elle parlait. Je sentais ma main se serrer davantage sur ce minable verre qu'elle m'avait offert il y a peu de temps, tandis que ma poitrine était toujours collée à la sienne où je sentais déjà nos tétons se rencontrer et se titiller... Je serrais tout aussi fermement sa hanche que je ne lâchais pas, je m'agrippais à elle, froissant son foutu t-shirt qui n'allait plus ressembler à grand chose à la fin si je continuais ainsi... Mais non, ce n'était pas la fin.
Elle continuait de jouer avec mon string noir tandis qu'elle vint m'embrasser avec passion dans le cou... Mon corps tremblait et frissonnait de plaisir pour elle, je fermais les yeux pour m'évader dans un monde où il n'y avait que nos deux corps brûlants.... Je m'en fichais des gens et du respect de la vie privée, j'étais dans un état second... J'avais chaud, trop chaud... J'avais l'impression que mon maquillage coulait le long de mon visage dû à la chaleur que mon corps dégageait à cause de ses gestes...
Un autre gémissement m'échappa et je serrais encore plus son t-shirt en tirant dessus par plaisir.... Je tirais tellement que je ne savais pas s'il allait finir en bon état dans même pas deux minutes... Je tirais encore et encore jusqu'à l'entendre craquer et à ce geste, Billie quitta mon cou et descendis le long de mon corps... J'étais si hypnotisée par elle que je la regardais descendre, sentant le tissu de mon string quitter mon entre-jambe, se glissant jusqu'à mes chevilles.... D'en haut, je voyais ma poitrine se baisser et se relever tant ma respiration était saccadée. On pouvait clairement voir mes tétons ressortir sous le tissu de ma robe et j'avais juste envie de me cacher quelque part pour qu'elle me punisse et me cherche encore plus jusqu'à que je la supplie d'arrêter tant c'était invivable... mais tellement orgasmique. Qu'elle m'use jusqu'à la fin sans ménagement.... et là elle se relevait. Je n'avais qu'un geste à faire... et je le fis. Je levais mes deux pieds laissant mon string au sol, m'en foutant complètement.
Elle me menaça encore une fois, alors de faiblesse ou d'envie, je ne l'empêchais de rien... mettant juste ma main fermement sur ses fesses. Je voulais vraiment jeter ce putain de verre...
- Je suis à toi...
Avais-je réussir tant bien que mal à dire en sentant sa main jouer avec mon sein.. flirtant avec mes tétons durs comme la roche pour elle et elle descendait encore... et rien qu'à ce geste un autre gémissement m'échappa alors que je venais gémir à son oreille, embrassant son lobe puis son cou, pressant ma poitrine contre la sienne... mais tout se stoppa.
Une voix inconnue vint hurler sur nous. Nos deux corps se décollèrent et je regardais cette femme... Elle avait un regard noir et nous regardait avec mépris. Je voyais ses yeux regarder mes tétons pointer à travers ma robe et elle avait remarqué mon string au sol que je piétinais sans faire exprès. Billie était à côté de la plaque et ne savait pas comment réagir. Que devais-je faire? Tout était si bon et elle interrompit tout... Mais je ne voulais pas attirer des ennuis à Billie, qu'elle perde son job à cause de moi alors qu'on est rien l'une pour l'autre...
- Je... Madame.... C'est ma faute. Billie n'a rien fait... Puis-je juste lui dire au revoir avant qu'elle ne reprenne son service?
Mon coeur allait vraiment exploser, je mourrais de chaud et pas juste à cause de la température de la salle mais bien parce que Billie avait su comment m'allumer en quelques doigtés experts.
- Je vous la ramène dans dix minutes! C'est sa pause!
Je n'en savais rien, je ne savais pas comment ça marchait. Mais je pris Billie par la main, n'attendant pas la réponse de cette femme, je me dirigeais aux toilettes comme une voleuse, bousculant les gens sur mon passage. Une fois dans les toilettes des femmes, je pris le visage de Billie entre mes mains et je l'embrassais passionnément.
- Si tu te fais virer à cause de moi, tu me puniras encore plus ou tu m'en voudras... encore plus?
Disais-je entre deux baisers endiablés, mon corps collé au sien. Je ne lui laissai pas le temps de répondre, allant dans une cabine où je nous fermais à clé à peine à l'intérieur. Je me plaquais toute seule contre le mur tandis que j'agrippais le haut de Billie pour la coller à mot, l'embrassant encore avec ardeur.
- Et maintenant? Tu comptes me faire quoi? Je dois encore être punie après avoir mal parlé à ta bosse?
Ca ne me ressemblait pas du tout... si ça avait été une fille banale je l'aurais dégagé en baissant les bras, cherchant une autre fille à ramener, mais là Billie ce n'était aucunement les autres filles...
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Cette danse s'était transformé en jeu de séduction dans lequel je prenais un plaisir fou, j'oubliais tout, je me laissais emporter dans cette fougue, incroyablement entrainante. Mes lèvres désiraient les siennes, son corps entier d'ailleurs, et elles s'en emparaient à leur guise. Je ne me gênais jamais pour faire ce qu'il me plaisait et ce soir en était la preuve. La au milieu de la foule défoulé, alcoolisée par les shooter servis tout au long de ma soirée de travail, mes pieds lourds mais en rythme, je succombais un peu plus à chaque seconde tout en gardant le contrôle. Il m'en fallait plus pour craquer, mais j'aimais LA faire craquer. J'aimais la voir se tordre de plaisir et la découvrir subir de nouvelles sensations, voir son regard me supplier, son corps perdre l'équilibre jusqu'à la chute, l'explosion. Maxyn était comme une magnifique poupée avec qui je pouvais jouer à volonté et elle savait me le rendre en double. Elle était vraiment douée, passionnée parfois. Alors ce n'était qu'un jeu? Je ne me posais pas vraiment la question, pour moi les limites étaient fixées avant que tout commence. "Je suis à toi" Ah. J'adorais entendre ça, je voulais l'entendre toujours. C'était le meilleur moment de la soirée, elle était à bout, prête pour moi et pour tout ce que je comptais lui faire, oh je savais qu'elle avait déjà un millier de supposition sur ce que lui destinait cette soirée, même si j'innovais sans cesse et c'est d'ailleurs pour ça qu'elle était encore là je crois. Je ne me voilais pas la face, je savais comment cela marchait et j'étais maitre en la matière. Je savais exactement quoi faire pour qu'elle s'offre à moi. Sans limite et autant que je le souhaite. Mais tout vint à s'arrêter. Ma boss nous arrêta en pleine transe et fit immédiatement redescendre la température. Je ne savais vraiment plus quoi dire, mais par chance ou par un grand désir profond, Max vola à mon secours et changea la situation en quelques minutes. Elle envoya ma boss dans les champs pour m'emporter aux toilettes. Ses lèvres contre les miennes, se plaquant avec une ardeur folle, nos corps entremêlés, je m'étais laissée faire sans rien dire jusque là. En un battement de coeur, nous étions enfermés dans une cabine, bloquant la jolie blonde entre mon corps et le mur, une de mes mains remonta le long de sa cuisse gauche, entrainant le tissus de sa robe avec moi, tandis qu'elle me rapprochait à elle en agrippant mon haut. "Et maintenant? Tu comptes me faire quoi? Je dois encore être punie après avoir mal parlé à ta bosse?" Elle n'avait pas tord, je devais clairement la punir pour ce qu'elle venait de faire et je savais exactement comment faire. "Evidemment, ce que tu viens de faire est inacceptable Maxyn, je vais certainement perdre mon job et je n'ai pas le luxe de me permettre ce genre de connerie." Dis-je avant de reculer. Je fis un pas en arrière et la toisa de haut en bas en me mordant les lèvres d'impatience. "Montre moi à quel point tu me veux. Tu as dis que tu étais à moi, je veux que tu me le prouves." Je croisais les bras sous ma poitrine tout en la fixant d'un regard brûlant. " Tout de suite. Ah et tu n'as plus le droit de me toucher." Terminais-je par dire comme un détail supplémentaire alors que c'était là tout l'interêt. Je voulais la voir à l'oeuvre, contempler comment elle faisait sans moi, mais pour moi. "Je te pardonnerais peut être si tu jouis pour moi." Je la mettais donc au défi, sans douter d'elle une seconde au contraire, je m'apprêtais à passer un moment orgasmique.
Je l'embrassais follement, passionnément. Je sentais sa main sur ma cuisse, remontant ma robe.... Mon corps hurlaient qu'elle arrache cette foutue robe, quitte à ne plus qu'elle soit portable après, mais là, de suite.... Tous mes sens étaient dirigés vers elle en oubliant le monde autour de nous... Cette folle de patronne, ces pervers et voyeurs dans la salle, son boulot, tout. J'oubliais et je sentais mon vagin s'humidifier. Je serrais mes jambes comme pour tout retenir en moi... Comme si je voulais que seule ses doigts ou sa langue y aient accès... Et ses mots me firent encore plus plaisir.
Elle voulait me punir, je le savais et je n'attendais que ça.... Je voulais jouir de plaisir en subissant ses doigts et sa langue... Alors je revins plaquer mes lèvres contre les siennes mais elle recula. J'ouvris grand les yeux, ne comprenant pas cet éloignement. J'étais là contre le mur de ces toilettes... elle était si près et pourtant si loin. Je voyais ma poitrine monter et descendre dû à l'excitation, mais j'allais imploser tant elle me faisait languir... et là la sanction tomba.
J'avais ma bouche entrouverte et c'était horrible ce qu'elle me demandait. Je n'avais pas le droit de la toucher et je devais jouir pour elle seule.... Mais je prenais cela pour un défis.... J'avais envie d'elle, je pouvais mourir pour elle à l'heure actuelle tant cette femme me rendait folle rien qu'avec le son de sa voix.
- A vos ordres Maîtresse.
J'enlevais d'abord mes chaussures, je voulais être à l'aise... Je m'en fichais d’être dans ce piteux endroit, mon envie pour elle était trop... présente pour s'occuper de ce genre de détails.... Et en un coup de main je m'enlevais ma robe... Là, tout doucement.... Je prenais le bas de cette dernière, remontant centimètre par centimètre... Laissant apparaître en premier lieu mon sexe bien épilé... Et je remontais encore et encore... Jusqu'à arriver à ma poitrine... Je laissais le tissu caresser mes tétons durs comme de la roche pour elle... tout en relevant ma poitrine avant qu'elle retombe convenablement face à ses yeux. Une fois le tissu enlevé, je le laissais tomber à mes pieds me retrouvant entièrement nue face à elle.
Je la regardais dans le blanc des yeux et ma main droite vint se poser sur mon sexe... Je me contentais d'effleurer mon clitoris avant d'écarter légèrement mes lèvres du bas, sentant déjà la mouille s'installer sur le bout de mes doigts. J'écartais alors plus distinctement mes jambes, laissant cette substance envahir mon index et mon majeur, sentant toujours plus mes tétons se durcir. Je mordais ma lèvre inférieure avant de retirer mes doigts, pour lui montrer que j'étais déjà trempe à cause d'elle mais elle ne pouvait profiter, n'est ce pas?
Je la contemplais toujours venant déposer mes deux doigts au creux de ma bouche où j'avalais ma substance en imaginant que c'était la sienne... Ou alors ses doigts dans ma bouche comme elle avait déjà fait à plusieurs reprises... Puis de ma main gauche je revins sur mon sexe, enfonçant directement mon majeur et mon index dans mon antre sacrée. Un bref gémissement m'échappa et je commençais des vas et viens rapides et secs entendant légèrement ma cyprine devenir plus abondante face à mes mouvements assez violents... Puis mon autre main vint titiller mon téton droit. Téton que je tiraillais en le pinçant fort avant de venir le mal traité à l'aide de la paume de ma main où je faisais des petits cercles insistants nets, vifs, rapides.
Petit à petit je sentais mes jambes se fléchir et sentais mon sexe prêt pour une relation sexuelle, là de suite... Alors j'ouvris mes yeux, fixant Billie fermement en insérant un troisième doigt en moi, lâchant un bref soupire de plaisir face à ce geste, continuant mes mouvements rudes sur mon téton, pensant tout ce temps à Billie et ses doigts de fée. Rêvant d'être enchaînée à son vie tandis qu'elle me mène la vie dure mais là... elle abusait de moi d'une toute autre façon et j'aurais tellement préféré qu'elle me fasse jouir d'elle même, plutôt que par moi même...
junne.
Dernière édition par Maxyn Ledger le Lun 28 Aoû 2017 - 13:03, édité 1 fois
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Sans attendre, la jolie blonde s'exécuta à mes paroles. Je suivis très minutieusement le spectacle pour ne rien rater. L'ambiance était électrisante, orgasmique, presque chaque respiration se suivaient d'un long frisson. Elle commença par me brûler les yeux, à la beauté de son corps luisant sous les lumières éco des toilettes. En y repensant ce n'était pas le meilleur endroit et j'étais peut être allée trop loin, ou elle d'ailleurs. Mais c'est ce qu'on fait non? Repousser nos limites à chaque nouvelle fois. Tenter de découvrir quelle partie de son corps est le plus sensible, oh c'était définitivement un jeu sans fin. Maxyn faisait monter la température au fur et à mesure de ses mouvements, ces caresses et autres tortures qu'elle nous faisait endurer. Ouais c'était complètement sa faute. Sa faute si j'étais entrain de craquer, prête à lui sauter dessus, j'estimais le bon moment et je repoussais celui ci sans vraiment savoir pourquoi. C'était donc si bon de la voir ainsi? Ou avais-je juste quelque chose qui me retenait d'y aller. Il manquait de pas grand chose pour la faire exploser, je pouvais le sentir au creux de mon bas ventre. Elle y était. Je fis un pas en avant alors que ses jambes flanchaient doucement. Elle avait peut être besoin d'aide, mais c'était sa punition non? Arg, dans quoi je me suis foutue encore. Autant j'aimais jouer mes rôles, autant... "Continue." Soufflais-je du bout des lèvres, comme pour lui donner la motivation nécessaire. Mon corps n'était que braise se consumant petit à petit sous le pouvoir de cette femme, arg c'était vraiment trop cruel, même pour moi. En un battement de coeur, nous étions collées l'un à l'autre, mes mains glissant partout sur son beau corps, épousant chaque forme entre mes doigts, caressant chaque parcelle sous ma paume. C'était délicieux de toute part, je ne savais par où commencer, je voulais tout en même temps. Je descendis jusqu'à son intimité, pour attraper sa main que je relevais jusqu'au sommet de sa tête. "Tu es à moi." Dis-je comme pour lui rappeler. Elle devait le savoir, le sentir au plus profond de son corps, en être pleinement consciente. En quelques secondes, j'avais repris le contrôle de son corps, embrassant sa bouche pulpeuse, je découvrais son intimité encore plus mouillée que dans mes souvenirs. L'instant d'après j'étais à l'intérieur, volant un gémissement et l'accompagnant. C'était si chaud, intime, sexy... J'aurais pu en mourir de plaisir sur place. Mes vas et viens en elle s'intensifiaient pour lui faire atteindre son paroxysme, tandis que ma bouche ne libérait plus la sienne. Mon pouce encerclait son clitoris par de petits cercles en rythme, appuyant légèrement puis intensifiant mon geste pour la mener au bout du tunnel. Un coup de dent sur ses lèvres pour étouffer un cris. De mon côté, j'étais surement dans le même état quelle, me nourrissant de son plaisir pour grandir le mien, mais ce soir ce n'était qu'à elle de subir.
Je me touchais très profondément... sentant mes doigts si longs et si fins se noyer dans ma substance qui était là grâce à elle, pour elle. J'avais beau fermer les yeux, m'imaginant ses doigts à la place des miens, j'étais frustrée de tout faire seule... Je la voulais elle, non mon fantasme la concernant jouer pour elle.
Je me mordais ma lèvre inférieure, gémissant tout doucement, continuant mes mouvements après m'avoir goûté... Puis quand elle m'ordonna de continuer, j'ouvris mes yeux, la regardant avec des yeux brûlants pour eux, mon corps se consumant pour elle. Je la fixais longuement comme pour lui supplier de venir m'achever... comme j'avais envie de goûter à son corps aussi. Je soufflais refermant les yeux quelques secondes et là je sentis ses mains chaudes sur moi.
Un bref gémissement m'échappa à ce contact et je stoppai tout ce que j'étais en train de faire tant cette femme avait une emprise inhumaine sur moi.... Je n'arrivais pas à la repousser, à la faire languir des jours durant... je n'y arrivais pas... parfois je pensais même arrêter de coucher avec d'autres qu'elle... mais en même temps j'avais peut être des raisons pour la faire jalouser et s'énerver et bon dieu qu'elle était sexy énervée ou frustrée...
Je la regardais toujours autant avec envie tandis qu'elle vint prendre ma main toujours près de mon sexe pour la plaquer au-dessus de ma tête. A ce geste je me cambrais sentant mon bas ventre se consommer à petite flamme... et quand elle prononça ces quelques mots, un sourire vint se coller sur mon visage... sourire qui se brisa trois secondes après pour laisser place à un gémissement tandis que ses bras vinrent à moi reprendre là où je m'étais arrêtée... Je collais alors mes lèvres contre les siennes, voulant sentir sa chaleur, son envie pour moi... Je l'embrassais follement, avec envie, passion mais elle savait me rendre folle. Trop folle.
De ma main de libre je vint tirer son haut... je le tirais tellement que j'avais senti qu'il s'était craqué. Je vins prendre prendre fermement un de ses seins que je torturais en pinçant fermement son téton avant de le faire tourner sur lui-même tout en malaxant sa poitrine bien ferme... Sauf qu'elle me torturait encore plus. Ses mouvements s'accéléraient, je sentais le poing de sa main frapper contre les parois de mon vagin, ma mouille aidant ses mouvements brusques, rapides et si intenses et quand elle vint agripper mon clitoris, j'en devenais folle.
Si folle que je perdais toute notion des lieux, du temps... Je n'arrivais même plus à l'embrasser tant je me maintenais de gémir aussi près d'elle... mais elle savait me faire craquer.... j'entrouvis ma bouche au plein milieu du baiser, gémissant encore plus fort sous ses gestes... gémissements qu'elle vint vite interrompre en me mordant ma lèvre, m'ordonnant de baisser d'un ton mais c'était si dur de se taire et de jouir en silence avec elle.
Alors frustrée, je voulais lui faire pareil... la faire succomber sur mes doigts.. mais elle ne semblait pas vouloir me laisser faire. J'abandonnais son sein pour venir me faufiler sous son jeans, cherchant avec difficulté son sexe tant elle me perdait avec ses mouvements si violents.
- Billie...
Disais-je en gémissant, me recabrant encore, collant ma poitrine nue et dure contre la sienne encore cachée par ce foutu haut.
- J'ai envie de toi...
Je forçais le passage pour venir flirter avec son sexe à travers sa petite culotte que je sentais déjà trempe avant de reprendre possession de ses lèvres, sentant mes jambes fébriles sous ses doigts d'experte... j'essayais de me retirer de son emprise qu'elle avait sur ma main toujours plaquée au dessus de ma tête mais j'étais déjà trop faible pour faire quoique ce soit de plus...
junne.
Dernière édition par Maxyn Ledger le Lun 28 Aoû 2017 - 13:04, édité 1 fois
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Des gémissements sensuels, deux respirations saccadés, essoufflés et couvertes par les vibrations de la boite de nuit et le bruit qui en sortait. C'était, je crois, la première fois que j'avais une relation dans des toilettes publics, à vrai dire je préférais les lieux plus sains et propres, je n'étais pas maniaque mais dans ce petit coin près de Maxyn, j'essayais de ne toucher rien d'autre qu'elle. Je sentis mon t-shirt se détendre, puis craquer légèrement à la force de cette tigresse, arg elle me rendait folle. Je me collais contre son corps au plus possible à présent. Subissant son emprise autour de mon sein comme une torture, une torture complètement orgasmique. Je ne pouvais plus attendre, je la voulais maintenant. En elle et contre elle, j'intensifiais mon geste pour plus de plaisir, faisant de petits mouvements à l'intérieur de son corps avec mes doigts pour titiller son point G... Mais, elle n'en avait pas fini avec moi. Ses gémissements, mon prénom sur le bout de ses lèvres, ses caresses, son parfum, son regard puissant et emplis de désir, sa main contre mon entre cuisse puis sous mon jean. Ses mots. "J'ai envie de toi..." C'était l'implosion dans mon corps, le point de non retour, je ne pouvais plus résister à cet appel digne de la plus belle sirène. Complètement envoutée par ses paroles et désireuse de lui donner ce qu'elle voulait. Moi. Mes mouvements dans son intimité se retrouvèrent perturbés à l'instant où je sentis Maxyn s'aventurer au plus près de moi, là où j'étais intensément mouillée pour elle. A cause d'elle. LA chaleur me monta à la tête, ses lèvres m'embrassèrent fougueusement et je lui libérais sa main captive, lui offrant sans nul doute la possibilité de faire bien des choses. "Tu me rends dingue." Allais-je lui glisser à l'oreille. Je retirais ma présence en elle pour venir gouter son parfum tout en la fixant droit dans les yeux, lui laissant un moment de répit avant de lui infliger pire. Oh, je ne me lassais pas de ses moments passés avec elle, toujours plus hauts en plaisir et émotions, cela pouvait parfois durer des heures, mais ce soir nous n'avions plus beaucoup de temps, même si j'avais complètement perdu la notion de celui-ci. Quelqu'un pourrait rentrer, nous entendre, cela peut-être ma boss. Est-ce que c'était vraiment important? Est-ce que ça nous excitait encore plus? Je ne savais plus grand chose, là, si près d'exploser de toute part, j'étais toute entière sous son emprise. "Ta punition est terminée." Je la libérais enfin et c'était maintenant l'heure de la récompense. Je ne pouvais plus tenir une seconde de plus, je craquais. Ses lèvres devinrent prisonnières des miennes, sa poitrine de ma main que je malaxais avec désir.
Je me faufilais tant bien que mal jusqu'à l'endroit sacré, laissant mes mouvements rudes, rapides et intenses en elle...
Je me cambrais, mordant ma lèvre inférieure de plaisir pour elle, sentant mon bas ventre littéralement imploser et exploser à cause de ses doigts de fée... elle jouait avec le feu, mon clitoris, ses doigts en moi... j'en perdais complètement la tête et je la haïssais tant elle avait d'emprise sur moi. Sur mon corps, mon inconscient et mon subconscient. Elle était l'amante idéale.
Et en un instant de faiblesse, elle lâcha mon bras et tout aussi instinctivement, ma main se faufila encore plus loin. J'allais droit au but... sentant sa mouille se faufiler sur mes doigts, un autre gémissement m'échappa. Je venais titiller ses lèvres intimes, les massant longuement tout en les inhibant de sa mouille qui jaillissait de son corps pour moi, grâce à moi. Je voulais qu'elle se sente entièrement trempe sans la ménager une seule seconde et en la cherchant. Je voulais la faire languir comme elle me faisait languir.
Les mots qu'elle réussissait à lâcher entre deux soupirs me firent sourire et me donnèrent envie d'aller encore plus loin même si je savais notre temps révolu... si infime, si... court et si intense. Je ne voulais pas la perdre, pas maintenant, c'était trop court. Mais quand elle retira ses doigts de mon sexe, les posant de part et d'autres de mon corps, ses lèvres qui embrassaient les miennes passionnément... je refusais que tout se finisse ainsi.
- Non... c'est pas fini, non...
Susurrais-je contre elle, tandis qu'elle vint malaxer ma poitrine avec ardeur.... et là trois de mes doigts vinrent la pénétrer d'un coup sec et puissant. Son jeans me gênait pour continuer des vas et viens avec une telle intensité mais je continuais à persévérer avec de brefs vas et viens rapides.
- Je te sens à peine trempe que maintenant...
Je sentais mes doigts se noyer sous sa cyprine. Je gémissais doucement contre ses lèvres sentant mon corps tout entier réagir pour elle... à cause d'elle...
- On s'en fout de ta patronne, t'es à moi....
Je l'embrassais follement, dansant endiablement avec sa langue, sentant la chaleur de son corps contre mon corps nu... puis là je disjonctai. Je refusai que ça s'arrête là. Sans qu'elle ne s'y attende je la poussai violemment contre ce foutu mur de ces foutues toilettes plus que morbides. Je me mis à genoux face à elle, en oubliant ce sol plus que... limite... mais je voulais la goûter, j'en pouvais plus. Je descendais son pantalon en 2-2, et j'entendis un craquement tant j'y étais allée fort mais je m'en foutais.
Sa petite culotte descendit aussi avec, pas de pitié... et là j'embrassai son nombril, caressant ses deux jambes nues de mes mains tandis que mes baisers descendaient jusqu'à ses lèvres du bas qui hurlaient mon nom. Je me sentais encore plus mouiller et je m'en voulais de craquer aussi vite mais cette femme m'excitait trop.
Mes lèvres descendirent et en un coup sec ma langue vint lécher la cyprine qui s'évacuer de son sexe tout en la plongeant dans l'antre tant convoitée et attendue. Elle devait sentir mon muscle venir titiller son antre, jouant avec les parois allant au plus profond... puis ma langue titillait lourdement ses lèvres du bas venant jusqu'à mordiller son clitoris, alors que mes mains griffaient longuement ses jambes... jusqu'à que l'une d'elle vienne la doigter sans lui laisser quelques secondes pour récupérer, tandis que ma langue fourvoyait encore et toujours plus son objet de désir: son clitoris.
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Sans que je m'en aperçoive, j'avais déjà craqué, elle m'avait eu d'une manière tout à fait méritante et je m'offrais à elle, m'ouvrais complètement pour qu'elle obtienne ce qu'elle souhaitait de moi, ainsi qu'un ou plusieurs orgasmes fous. Définitivement déstabilisée par cette sublime femme aux doigts de fée. Elle trouva rapidement un chemin jusqu'à mon intimité qui n'attendait qu'elle à ce moment de la soirée, je la désirais comme jamais, c'était un sentiment si intense... Du plus profond de mon être je sentais cette passion, ce désir, cette fougue incroyablement puissante. Elle me rendait dingue, clairement, d'un charme monstre et d'un... d'une... oh elle était juste la femme la plus sexy que je n'avais jamais rencontré. Mes jambes flanchèrent lourdement à son arrivée en moi, tout en soulevant des sensations extrêmement intenses, se rapprochant de mon point faible, elle savait vraiment y faire. Je ne quittais ses lèvres que pour échapper ces gémissements bien trop forts pour les garder en moi, c'était comme un souffle épais qui se dégageait de mon corps, si compressé dans celui-ci. Comme les doigts de Maxyn d'ailleurs. ARG. Le plaisir s'intensifia de secondes en secondes, de doigtés en caresses, j'atteignais bientôt le paroxysme, l'orgasme comme elle seule savait le provoquer. Puis soudain, elle bascula la situation, enfin, elle prit d'avantage position de force. La jolie blonde me plaqua contre le mur, échangeant les rôles et me faisant subir une délicieuse torture. Fuck. Mon jean, ma culotte, oh je n'allais bientôt plus avoir grand chose sur moi si ce n'est elle. Son prénom raisonna dans la pièce comme un supplice, subissant chacune de ses caresses, coups de langue tout en tentant d'y survivre. Mon regard se posa sur elle, cette femme à genoux entre mes jambes baisant mon corps comme nulle autre, fuck. Ma main agrippa sa tête et je ne fus plus que gémissement et douleur, plaisir pur. Mon corps n'en pouvait plus, elle me mettait à bout sachant exactement quoi faire, quand à moi, j'étais à sa merci, prête à exploser d'un instant à l'autre, tout en admirant par moment la vue, appuyant parfois sur sa crinière blonde pour intensifier ses gestes, ou juste pour la sentir encore plus prés, je ne sais plus. « Maxyn...» Réussissais-je à dire alors que tout mon corps implosa intérieurement, mes muscles se crispèrent, chaque parcelle de ma peau s'enivra de ces sensations exceptionnelles et j'explosais de toute part. Je me demandais encore comment mon corps pouvait y survivre. Elle me fit atteindre l'orgasme, celui qui vous scie littéralement en deux, qui vous vide de toutes vos forces, ne laissant derrière lui que le vide et cette sensation de plénitude, de bonheur jamais égalé. Je la relevais afin d'essuyer ses lèvres des miennes, l'embrassant avec toute la passion qui existait sur cette Terre et la faisant mienne à jamais. Je tenais tant bien que mal sur mes jambes, mais luttais pour lui donner encore mieux que ce qu'elle m'avait fait subir. Mes doigts en elle à présent, je ne m'arrêterais pas avant qu'elle m'en supplie. D'un rythme effréné, mes vas et viens prenaient de plus en plus d'ampleur et se retrouvaient complètement inondés par le parfum de mon amante. De mon autre main je vins attraper ses seins l'un après l'autre, assoiffée de son corps comme de la voir jouir pour moi. Je ne m'arrêtais pas, cherchant à provoquer le plus grand plaisir qu'elle n'avait jamais eu. Mon pouce reprit ses caresses et petits cercles sur son clitoris d'une manière assez brutale tandis que mes allers et retours en elle se poursuivirent en même temps.
Je titillais ses lèvres du bas avec ma langue, les séparant à ma guise, sentant sa cyprine envahir ma muqueuse avant d'avaler sa substance avec plaisir comme si elle était le plus délicieux cocktails du monde.
J'aimais me sentir en elle, sous elle, la voir là, me dominer et prendre du plaisir grâce à moi. Je continuais de caresser ses jambes tandis que je la doigtais follement, en venant titiller son clitoris de mes dents puis de ma langue, alternant ces deux sensations au grès de mes envies. Je la sentais se crisper et ses gémissements me firent d'autant plus mouiller. Elle voulait me punir mais moi aussi j'avais eu de la punir, la faire subir et je ne regrettais aucunement mes gestes, aussi rudes soient-ils.
Sentant sa main appuyée mes gestes, j'intensifiais mes mouvements, je voulais l'entendre crier pour moi en me suppliant d'arrêter ou de continuer. Je voulais qu'elle me rende folle autant qu'elle me rendait chèvre... Je jouais avec le feu, y'avait son job en jeu mais j'avais trop envie d'elle... tellement que je commençais à me doigter tout en la doigtant elle, laissant ma langue sur son clitoris. J'étais clairement dans mon monde, oubliant ces maudites toilettes et ce bar remplit de monde... D'ailleurs, je crus entendre la porte des toilettes s'ouvrir mais les gémissements de Billie avaient dû couper l'envie de cette personne. Ca me faisait d'autant plus sourire... gémissant doucement près de son vagin humide à souhait grâce à moi, pour moi.... Puis quand je l'entendis monter dans les aigus, sentant son sexe de contracter, je la sentis jouir... J'étais fière de moi mais je ne m'arrêtais pas pour autant jusqu'à qu'elle me relève de force assez violemment, posant ses lèvres sur les miennes.
En m'embrassant de la sorte, elle devait goûter à sa cyprine que j'avais encore en bouche et sur le bout de mes lèvres mais ça ne semblait pas la déranger, bien au contraire... Elle semblait encore plus remontée contre moi et était encore plus sexy, là quasiment nue face à moi. Elle me plaqua contre le mur, là où j'étais positionnée il y a peu et elle me doigta avec une telle violence qu'un gémissement puissant m'échappa. Elle avait beau m'embrasser, ma bouche restait entrouverte et plusieurs gémissements secs et rapides m'échappèrent. Je sentais ses doigts aller en moi à toute vitesse, sentant le poing de sa main frapper contre les parois de mon vagin, laissant ma cyprine envahir ses doigts et le haut de sa main...
Sauf que je n'arrivais pas à m'arrêter. Je fermais les yeux, laissant ma fiche bouche à moitié ouverte, je gémissais de plus en plus en fort, sentant mes jambes s'affaiblir à cause de ses gestes sans oublier ses mains sur mes seins... elle jouait avec mes tétons, les malaxer, les tirer... et son doigt sur mon clitoris qui me faisait sortir de mes gongs. Ce n'était pas humain mais de la simple torture....
Mes gémissements devaient limite s'entendre à travers la porte principale des toilettes et je sentais l'orgasme arrivé. Il était rapide, intense et je me sentais mouiller de plus en plus fort jusqu'à hurler le prénom de Billie lors de mon dernier gémissement. Immédiatement je m'étais forcée à me taire en me mordant ma lèvre inférieure avec passion mais le mal avait déjà été fait.... Je mis mes bras sur ses hanches, posant mes lèvres sur son cou que j'embrassais avidement.
- Tu m'as manqué Billie, je veux te voir plus souvent...
Cette femme était ma drogue... Une drogue encore plus dangereuse que la weed ou la coke. Je pris sa main qui était encore sur mon vagin et je venais nettoyer ses doigts encore imbibés de ma cyprine à l'aide de ma langue. Je les suçotais lentement, les léchant de toute leur longueur pour que sa main soit presque nickel.
- Tu n'es pas humaine...
Je finissais d'embrasser ses doigts une fois que j'avais léché toute la cyprine qui était sur eux, lâchant sa main pour venir embrasser doucement ses lèvres.
MILLIE ∆ These lips, can't wait to taste your skin, baby. And these eyes, I can't wait to see your grin.
Je reprenais à peine mon souffle quand elle perdit le sien, ses gémissements réveillèrent la pièce, puis mon corps, ayant sans cesse envie d'elle dans ses moments là. Fallait la voir, elle était juste... tellement sexy, sensuelle et orgasmiquement belle. Avant de la rencontrer, je ne savais même pas qu'une telle créature existait. Déesse? Ouais à peu près ça. Alors, assister à l'explosion de son corps pour moi, était un des trucs les plus excitants de mon existence. Je résistais pas en tout cas, mais je tentais un tant soit peu de contrôler mon désir grimpant pour elle, sachant que notre temps était limité. Malgré ce qu'en pensait Maxyn, et je ne me laisserais pas convaincre par ses délicieux baiser dans mon cou. « Tu m'as manqué Billie, je veux te voir plus souvent... » Hum. Mon sourire en montra dans le coin de mes lèvres pour acquiescer à sa proposition avant de se figer en la sentant prendre ma main. Je quittais son intimité encore chaude et étroite, essoufflée. Pour rejoindre sa jolie bouche et avoir le plaisir de partager l'intérieur de son corps de nouveau. Elle me lécha tous les doigts de ma main, de son air fatalement coquin et irrésistible. Arg, tortureuse. Elle me rendait folle de nouveau, c'était de la provocation. Mon corps la plaqua un peu plus tout en la regardant finir son dessert. « Tu n'es pas humaine...» Dit-elle avant de rejoindre mes lèvres. Je l'embrassais comme on le faisait pour dire adieu, mais ce n'était qu'un aurevoir, je crois, je ne savais jamais. Je gouttais à son parfum encore sur ses lèvres, à la fois sucré et salé. Me détachant doucement d'elle au fur et à mesure de notre échange langoureux, ce n'était pas une partie de plaisir de devoir la quitter, mais il le fallait, alors, mes mains glissèrent le long de ses bras pour que nos doigts finissent par se toucher, entremêlant les miens aux siens délicatement avant de mettre fin à tout contact entre nos deux corps. « A bientôt alors, Maxyn. » Cette fois, je la quittais avec un grand sourire, encore ravis d'avoir passer un tel moment avec elle et avec l'espoir d'en revivre plein d'autres. Alors? Seul l'avenir nous le dira, mais je passais les portes des toilettes plutôt confiante. Après tout, elle l'avait dit. Elle est à moi.