Duncan était rentré depuis maintenant quelques jours d’Afrique. Il ne s’était pas laissé aller cette impression qu’il avait pourtant de ne plus appartenir à ce monde. D’abord, il remercia sa mère, la seule personne restant de sa famille, qui lui avait trouvé une sublime petite maison dans Logan city. Cela lui faisait une chose en moins, il avait d’avantage pu se concentrer sur son emploi. Contactant plusieurs personnes qu’ils connaissaient depuis son internat, il avait réussit à décrocher un entretiens d’embauche à l’hôpital Saint Vincent.
Tout avait été très vite. Même si cela faisait six ans qu’il était parti, le chef ne l’avait pas oublié et avait déclaré avoir toujours besoin d’un chirurgien en cardiologie. Ni une, ni deux, il passait à l’essai. Il avait environ une semaine pour faire ses preuves et remplir tout un tas de papiers pour son retour au sein de l’hôpital. Il faisait un peu près tous les services, d’abord pour observer les changements et ensuite pour savoir si ses ambitions pourraient prendre forme ici. Duncan avait de grands projets et dans aucun de cela, il abandonnerait les enfants africains qui étaient nombreux à naitre avec des malformations cardiaques, impossible à opérer sur place.
Ce soir, il était à l’étage en pédiatrie. Il était de garde et surveiller le service. Ayant l’habitude des enfants, le chef avait jugé bon de le mettre ici ce soir. Cela ne lui posait pas de soucis même s’il n’était pas pédiatre à la base. Le service était plutôt calme et il en avait donc profité pour se mettre derrière le comptoir où se trouvait les dossiers patients et l’ordinateur. Il commença à éplucher les différents cas tout en buvant de son café pour le tenir éveillé durant cette nuit qui s’annonçait plutôt longue. Il pensa également qu’il irait faire une petite ronde dans le service pour voir comment celui-ci était entièrement organisé. Duncan était quelqu’un de très impliqué dans son travail et ne laisser aucun détail passait à la trappe. Il n’avait pas été le meilleur durant son internat, d’ailleurs c’était lui et Siobhan contre le reste de la troupe mais il avait fait sa place réussissant des opérations que beaucoup de ses collègues avaient enviés et c’est tout ce qui comptait. Maintenant, le cœur humain n’avait plus aucun secret pour lui-même si cette spécialité était devenue un peu obsolète vue son travail fourni en Afrique. Là-bas, il n’y avait pas un chirurgien pour chaque cas, alors il fallait bien toucher à tout. Après plusieurs heures dans ce service, certains soignants s’étaient arrêtés demander plusieurs renseignements puis étaient parti. A croire qu’avoir un nouveau parmi eux ne les enchantait pas plus que ça. Mais c’était plutôt absurde pour Duncan, il ne faisait pas attention à ce genre de détails.
Plongé dans ses dossiers et ses recherches sur l’ordinateur, une jeune femme attira son attention, bon il lui fallut un certain pour sortir de ses pensés. Il se redressa sur sa chaise, lui souriant poliment. A première vue et surtout à cause de la tenue qu’elle portait, c’était une infirmière. Il écouta attentivement ce qu’elle lui disait tout en rangeant le bazar qu’il avait mit sur le bureau, puis il se mit debout.
-Je peux surement vous aider.
Il fit le tour du comptoir pour venir la rejoindre et lui tendit poliment sa main.
-Excusez-moi, je manque à tous mes devoirs. Je m’appelle Duncan Wilde, chirurgien en cardiologie mais je suppose que si vous ne le saviez pas, vous ne seriez surement pas venu me voir.
epuis quelques semaines je suis consigné a travailler de nuit pour un remplacement mais surtout pour arranger une amie. Mon mari, ça ne le dérange pas a vrai dire, nous avons l’habitude de se voir peu a cause de mon travail. Ce soir je suis arrivé à l’heure, changé, puis j’ai pris mon service. J’ai signé ma feuille d’émargement pour prouver ma présence dans le service. Mon arriver dans le service était assez difficile pour moi, je n’étais pas origine d’ici, une rouquine dans la ville de Brisbane, une Écossaise c’était assez bizarre mais je me suis vite familiarisé a l’environnement et aux personnes. Comme Siobhan qui est la sœur de mon meilleur ami, James, ainsi que de mon mari Samuel.
C
e soir, ce n’était pas la joie pour l’un de mes patients, un petit garçon qui souffre d’une maladie cardiaque. Ma chevelure rousse attaché en queue de cheval, dont les enfants qui ont entre 2 et 4 ans aimes beaucoup la toucher ou s’amusé avec, ma blousse blanche avec quelques touches de couleurs vives et claires pour que les enfants trouve pas notre tenu trop sinistre, j’arpente les couloirs visite quelques chambres d’enfants qui ne sont pas encore endormi. Toujours autant souriante je demande au plus grand d’éteindre leur lumière pour qu’ils puissent dormir et au plus petit généralement on leur raconte de petites histoires pour les aidés à s’endormir. Jusqu’à ce soir, où j’entre dans la chambre du petit Neal, ça faisait deux jours de suite qu’il n’est pas bien du tout et qu’il nous exprime sa douleur à son cœur. Je reste un petit moment au près de lui, mais mon biper sonne pour m’indiquer un chambre pour un enfant.
J
e le recouvre alors de la fine couette sur son petit corps puis je ressors alors dans les couloir j’entends alors mes collègues exprime le fait qu’un chirurgien en cardiologie est présent dans le service. Je fronce doucement mes sourcils quand j’entends ça, puis j’entre-ouvre alors la porte pour regarder l’enfant. Tu étais ici, peut-être pour de simple visite mais fallait que tu rencontre le petit Neal. Je referme doucement la porte, je vais d’abord rendre visite a la petite qui a appeler, celle-ci ne pouvais pas bouger de son lit et malheureusement elle a fait tomber son doudou. Les enfants et leurs doudous, ça m’amuse beaucoup et je lui rends avec plaisir. Puis, une fois fait, je commence a arpenté a nouveau les couloirs a ta recherche, a la recherche du Docteur Duncan, chirurgien en cardiologie. Généralement ce n’est pas toi et je pense bien que ça devait être la première fois que tu mets les pieds en pédiatrie car je ne t’avais jamais vue au par avant. Surement une nouvelle arriver, je regarde à nouveau mon biper au cas où puis le range dans ma poche de blouse. Arrivé au comptoir dit d’accueil des infirmières, je tourne mon visage vers ta personne, je le penche légèrement sur le coté. En effet je ne t’avais jamais vue ici, surement déjà croiser dans les couloirs de l’hôpital mais je ne sais vraiment pas, ton visage ne me dit rien du tout.
Q
uand ton attention et rapidement poser sur ma personne je t’offre alors un sourire assez sympathique. Je garde mon regard posé sur ta personne et je viens alors serrer ta main que tu me tends pour te saluer.
- Bonsoir, oui je sais qui vous êtes à vrai dire j’ai entendus mes collègues prononce plusieurs fois votre nom Docteur. Je suis Liv Beauregard une infirmière de ce service. J’aurai besoin de votre aide effectivement.
Je garde toujours mon sourire aux lèvres, puis je glisse mes mains dans les poches de ma blouse.
- Nous avons un petit garçon, Neal, qui se plaint de douleur régulière niveau cardiaque. Il est traité pour une maladie cardiaque mais je pense que ses médicaments ne font plus effet. Ses nuits sont très courtes du a ses douleurs régulière, la plus part du temps l’une d’entre nous reste près de lui le tends qu’il s’endorme mais ce soir nous sommes trop peut pour faire cela…
Je me permets en suite de te contourné pour aller derrière le comptoir et attrapé son dossier médicale et te le tendre. Dans celui-ci tu trouvera toutes les indications sur le petit garçon.
Quand elle se présenta à lui alors il fronça légèrement les sourcils, pas qu’il était mécontent mais surtout parce que son nom de famille lui disait quelque chose. Beauregard était le nom de famille d’une amie très proche à lui, Siobhan. Mais à sa connaissance, la jeune femme n’avait que des frères, l’infirmière était donc surement une de ses belles sœurs. Cette famille était tellement grande que Duncan était loin de les avoir tous rencontré. Suite à cette légère révélation et avant de répondre sérieusement à sa demande, il posa lui-même la question pour être fixé.
-Vous êtes de la famille de Siobhan ? Une de ses belles sœurs peut-être ? Je la connais bien, nous avons fait notre internat ensemble et je suis sur qu’elle n’a que des frères.
Un doux sourire se dessina sur ses lèvres mais il reprit ensuite rapidement son sérieux en attrapant le dossier du petit garçon. Il le feuilleta tout en écoutant ce que lui disait Liv attentivement. Comme c’était sa première nuit ici, il n’avait fait aucun suivi de patient alors il était difficile de juger. Le mieux serait encore d’aller voir le petit garçon dans sa chambre.
-Et si nous allions voir le petit Neal ? Je pourrais faire quelques examens de routine et nous pourrions le rassurer. Et puis si je suis ici ce soir, c’est aussi pour faire de la surveillance. Prenez le temps qu’il vous faudra avec les enfants.
Duncan n’aimait pas désigner tous ces enfants malades comme des patients. Les pauvres petits avaient à peine commencé leur vie qu’il la passait tous ici, dans des lits d’hôpitaux. Ce n’était pas juste pour eux mais la maladie n’était juste pour personne. Il se laissa donc conduire par Liv jusqu’à sa chambre en échangeant quelques propos sur l’enfant.
-Depuis combien de temps est-il ici ? S’il a besoin d’une opération, il ne faudrait peut-être pas trop tarder.
Le jeune homme entra alors dans la chambre du petit garçon en se présentant à lui. Bien sur, il utilisait les mots adaptés. Duncan avait plus ou moins l’habitude de parler à des enfants, puisqu’en Afrique, ils s’occupaient principalement d’eux. Il s’assit alors sur le lit à coté de l’enfant, commençant quelques examens habituels. Il écouta d’abord son cœur. Celui-ci battait plutôt lentement et montrait un souffle plus que présent, c’était surement cela qui le rendait très fatigué. Bien sur, il ne parlerait de rien de cela en présence de l’enfant. Il le regarda dans les yeux.
-Est-ce qu’un verre de lait te ferait plaisir ? Ce n’est plus l’heure mais je suis sur que la gentille infirmière ici et moi-même on pourrait te trouver ça.
Le petit garçon acquiesça timidement la tête et le regard de Duncan se posa sur Liv. C’était surement interdit mais de nuit les hôpitaux étaient la plus part du temps, calme et puis la pédiatrie était définitivement pas un service comme les autres. Il se releva ensuite rejoignant Liv à la porte en reprenant le dossier entre ses mains. Il regarda alors la jeune femme prenant un petit regard comme pour espérer que rien ne lui serait refuser même ce verre de lait pour Neal malgré l’heure dans le service.
ien sûr mon regard se pose sur ta personne quand tu me parle de Siobhan, j’esquisse un sourire quand tu me demande ça. Je ris doucement, c’était vrai entre les belles-sœurs les beaux-frères, les garçons qui ont certaines ex-petite amie avec enfant ou non, nous devenons rapidement une famille assez nombreuse et même moi par moment je m'y perds rapidement. Mais c'était plutôt agréable d'avoir une famille comme ça, avant d'être mariée à Sam je n'ai jamais connus les repas de famille aussi nombreuse mais ou, par moment il y a des hauts mais beaucoup de bas entre beau-frère.
- C’est exactement ça je suis lui de ses belles-sœurs. Je suis mari à l’un de ses frères, et aussi un de ses autres frères et mon meilleur ami. Enfin c’est assez compliquer tous ça.
J
e garde un sourire aux lèvres puis à mon tour je prends mon sérieux. J’accepte de la tête quand tu me dis d’aller voir le petit Neal, j’emboite le pas jusqu’à sa chambre. Sur le chemin je pose un instant mon regard sur ta personne réfléchis un instant a quand il est arrivé.
- Bientôt un mois, mais ça ne fais que deux trois nuits qu’il se plain de ses douleurs. Pour l’instant l’opération n’est pas prévu mais on attend de voir se que vous aller dire…
J
e baisse un instant la tête, je n’aimais pas voir les enfants souffrir ainsi mais aussi j’ai fais se métier pour le redonner malgré tout un peut de joie est leur montré que malgré qu’ils soient malade ce n’est pas la prison ici. Mais aussi que depuis longtemps je veux des enfants que je n’aurai pas, du moins pas maintenant, connaissant Samuel… mais j’aime ses petits bouts adorables avec nous.
U
ne fois qu’on arrive a la chambre du petit Neal, je frappe doucement a sa porte en lui souriant puis je te laisse entré, je reste a l’encadrement de la porte il se laisse faire en te regardant. Quand je vois qu’il est gentil avec toi et que tu sais quand même t’y faire alors les enfants ça me rassure. Nous avons déjà eu des chirurgiens qui ne savent pas s’y prendre avec eux, qui ne savent pas leur parler et autre chose. Je croise mes bras sous ma poitrine en m’appuyant contre l’encadrement. Quand tu reviens vers moi mais surtout quand tu lui a dis pour le verre de lait, c’était possible, nous bravons quelques choses certaines interdits comme celle là. Je te laisse alors sortir de la chambre et m’adresse à Neal.
- Je t’apporte ce verre de lait dans quelques minutes d’accord ?
I
l me fait à nouveau un oui de la tête. Je lui souris puis je ferme la porte derrière moi, je me retourne face à toi. Je me mords doucement les lèvres.
- Alors qu’en ai t’il ? Que va-t-il falloir lui faire ? L’opéré ? Va-t-il guérir vite ?
I
l était vrai que j’avais encore bien plus de question que ça. Tu pouvais voir que ça m’inquiète quand même c’était l’un des enfants avec qui je passe beaucoup de temps, surtout certaines nuits ou journées quand il nous appel parce qu’il est triste ou malheureux. Ses parents viennent rarement le voir se qui me fait encore plus mal au cœur car je ne comprends pas, on ne laisse pas un enfant seul comme ça sans venir le voir.
En sortant de la chambre du petit Neal, elle referma la porte et il lui se mit à écrire sur une feuille, les choses qu’il avait pu voir durant cet examen de « routine ». Il mettrait tout au propre dans le dossier ensuite. Depuis son internat, il trimballait un petit calepin où il notait toutes ses notes. Il se souvenait même une fois avoir noté des heures. C’étaient les heures précises à laquelle il devait emmener un café à son résident en cardiologie s’il voulait pouvoir assister à au moins une opération cardiaque dans son internat, cet homme était un Tiran et il s’était juré de ne pas devenir comme çà à son tour mais la vérité était qu’il n’avait encore eu jamais d’internes sous sa direction. Quand elle se mit à poser tout un tas de questions, il redressa son visage pour la regarder et lui répondre.
-En écoutant les battements de son cœur j’ai entendu un souffle, c'est-à-dire que la valve ne se ferme pas correctement quand son cœur s’ouvre pour faire passer le sang. Son traitement ne dois pas être très bien adapté et c’est pour ça qu’il a mal. Son cœur doit avoir quelques ratés ce qui doit lui faire ressentir comme un pincement mais c’est difficile à expliquer pour un petit garçon comme lui…
Duncan fit une légère moue et commença à marcher pour retourner où se trouvait le poste de surveillance. Il lui fallait un bon café et surtout réfléchir à une solution adapté pour soigner ce petit. Il y avait plusieurs possibilités mais il était encore jeune et éviter une opération serait mieux sauf si son cas s’aggravé bien sur. Il regarda de nouveau Liv tout en marchant.
-Pour l’instant, pas d’opération, il est encore jeune et si on pouvait éviter se serait mieux. Il faudrait programmer pour demain matin, un scanner pour observer l’état de son cœur. Si la forme est correcte, s’il n’est pas trop gros ou trop petit, cela pourrait être aussi la raison de son mal mais ça je ne peux pas le voir autrement.
Ils arrivèrent près de l’ordinateur, et Duncan s’installa pour écrire dans le dossier sous forme « médicale » pour les autres médecins qui passeraient par là. Il regarda Liv et elle avait un air inquiet sur le visage. S’occuper d’enfants n’était pas évident, c’était même difficile de garder cette distance qu’ils devaient normalement avoir avec eux. Les enfants sont innocents, gentils et ont du mal à comprendre pourquoi ils sont ici. Impossible de se sentir détaché d’eux.
-Je vais finir d’écrire dans le dossier pour celui qui prendra ma place demain, je vais aussi l’inscrire pour un scanner. Tout va bien se passer, beaucoup de gens vivent avec un souffle au cœur. Si tu veux, tu peux aller donner le verre de lait à Neal et ensuite nous irons prendre un café, ça nous fera du bien, la nuit va être longue. Qu’en penses-tu ?
ien sûr je ne cesse de t’écouté, j’écoute attentivement se que tu as à me dire. Je te suis aussi jusqu’au poste, bien sûr je me mordille doucement mes lèvres a se que tu me dis, tu essaye aussi de me rassuré au maximum, se qui est assez gentil. Il est vrai que je me m’attache assez rapidement a eux, surement parce que j’ai envie d’avoir des enfants, je veux qu’ils vivent leur vie et qu’ils ne soient plus malade… Je hausse doucement les épaules puis je relève alors mon regard sur ta personne hochant positivement la tête en te regardant. Je reste non loin de ta personne en t’écoutant.
- D’accord alors, le rapport sera fait demain matin et je verrai bien le soir venu. Après il est vrai que son traitement est peut a se que je peux voir, c’est nous qui lui donnons mais… son médecin d’avant lui avait prescrit ça alors que tous aller bien c’est ça en faite. Puis il doit aussi ne plus avoir vraiment l’envie de se battre pour ça, ses parents ne sont pas venu le voir depuis plusieurs semaines, limite ce mois-ci ils ne sont pas venu… Je vais aller lui apporter le verre de lait et je vais essayer de le rendormir.
J
e commence alors à m’avancer vers le couloir pour aller chercher ce verre et je me retourne vers toi en souriant doucement.
- Puis j’accepte volontiers le café car il est vrai que ça va être long même si ce n’est pas si mouvementé que les journées ici. Donc les nuits sont longues par moment, ou quand on est peut comme cette nuit, ont a beaucoup de travaille par moment. Mais les enfants sont très gentils la nuit.
J
’esquisse à nouveau un sourire en reprenant alors ma marche vers les cuisines. C’était agréable d’être en présence d’un cardiologue qui est aussi gentil que toi. J’attrape alors un verre assez grand puis je prends le lait dans le frigo, je lui serre alors puis je le prends en main. Au passage je prends quelques petits gâteaux que je mets dans mes poches. Je repasse ce même couloir d’où tu te trouve pour rejoindre la chambre du petit Neal. J’entre dans celle-ci en souriant puis je viens alors lui donner le verre de lait comme prévenu. Il était un peut moins peureux avec moi car il me voit presque tout les jours. Il me remercie et boit rapidement son verre. Je lui conseille de s’endormir, et que je reviendrais le voir avant de partir en début de matinée. Il fait un oui de la tête en souriant puis j’enfuis sous sa couette. Je rigole doucement en fermant alors la porte derrière moi, je prends mon biper en main et le regarde, c’est bon personne n’à sonner ils doivent tous dormir. Je souffle doucement de soulagement entre parenthèse. En marchant vers le poste de surveillance, j’avais le regard légèrement baissé pensive. Je passe ma main dans mes cheveux pour venir détacher ma barrette qui les tiens, je secoue doucement ma tête de gauche à droite pour les laisser tombers sur mes épaules. Généralement nous n’avons pas le droit mais, je me le permets régulièrement la nuit du aux interventions moins présente.
J
e viens alors m’asseoir sur l’un des chaises face au poste, je vois que tu es toujours concentré sur le dossier je ne veux pas te déranger plus longtemps. Je viens alors passer mes jambes sur la chaise en posant ma tête sur le dossier en fermant un instant la tête, toujours autant pensive comme a mon habitude. Pensive de ? De mon couple en faite, c’était assez dur en se moment en faite. Ce me travaille assez, mais je ne le fais pas paraître je n’avais pas envie d’en parler a tout le monde c’était mon combat. Le seul a qui j’ose en parlé, c’est James mais personne d’autre, pour le moment. Mon envie d’avoir des enfants est présente depuis un moment…
J
e laisse un petit soupire m’échapper sans réellement m’en rendre compte puis je redresse lentement ma tête. J’avais aussi envie d’avoir un café, un bon café pour me réveiller. Mais en attendant, je glisse ma main dans ma poche et sort un petit chocolat, je l’ouvre et le mets directement dans ma bouche comme un enfant qui ne veux pas montrer qu’il a mangé.
Duncan fronça les yeux quand elle lui annonça que ses parents ne venaient plus le voir depuis plusieurs semaines, c’était dingue pour lui. Ce petit garçon n’avait rien demandé et surement pas d’être malade. Comment l’on pouvait abandonner son enfant sur un lit d’hôpital ? Le jeune homme n’était pas père, il n’était même pas en couple. Il imaginait qu’ils étaient surement tristes et avaient peut-être peur de venir dans un endroit comme celui-ci, mais cet enfant ne mériter pas ça. Les enfants ne comprenaient pas très bien ce genre de chose. Combien d’enfants avaient-ils vu en Afrique qui n’avaient pas de parents parce qu’ils étaient souvent le dernier de la fratrie et donc par manque de moyen abandonner dans un orphelinat. C’était insupportable pour Duncan, car pour lui, la famille c’était le plus important, surtout le lien entre la mère et son enfant. Il n’aimait pas son père et n’en parlait jamais, il était souvent en conflit avec les pères dans les services pédiatriques. C’était plus fort que lui, chacun avait ces défauts.
-Je ne comprends pas comment l’on peut abandonner un enfant en milieu hospitalier… Il doit y avoir surement un autre problème annexe. Il faudrait également programmer un rendez-vous avec la psy mais pour les parents d’abord, peut-être qu’elle comprendra quelque chose qui nous échappe…
Baissant de nouveau la tête alors qu’elle s’éloignait dans le couloir, elle se retourna pour lui parler. Duncan releva alors la tête pour lui sourire en retour. Le café oui serait utile. Et pour les enfants gentils la nuit c’était normal, ils étaient censé dormir. Cette pensée lui provoqua un petit rire mais discret que personne à part lui ne pouvait entendre. S’asseyant derrière le poste de travail, il se mit à écrire dans le dossier du petit Neal en mettant tout en ordre pour le médecin qui prendrait le relai demain matin. Ensuite son regard se posa sur l’écran étrangement concentré, il programma le scanner mais aussi le rendez-vous psy pour les parents, en espérant qu’ils viennent, bien sur. Il avait sentit la présence de Liv à coté de lui mais pour le moment il ne disait rien de peur de perdre le fil de ce qu’il était entrains de faire. Il mit un point à la fin de sa phrase et l’entendit soupirait.
-C’est le petit Neal qui te met dans cet état de doute ou autre chose ? Bien sur si c’est autre chose, je ne demande pas à savoir mais si c’est Neal, nous pouvons en parler… Autours d’un café !
Il se leva d’un coup sec de sa chaise lui faisant signe de se lever pour le suivre dans la salle de « pause ». Pour la première fois, il remarqua la chevelure rousse de Liv qui se posait sur ses épaules. Elle avait de très beaux cheveux et c’était surement dommage de les attacher à longueur de journée. Vérifiant son bipper, personne ne l’avait appelé, il entra dans la salle et comme s’il avait toujours travaillé ici, il lança la machine à café se tournant alors vers Liv.
-C’est vraiment étrange quand l’hôpital est calme ainsi.
J'accepte le rendez vous chez le psy pour les parents, ce n'était pas normal qu'ils soient ainsi en vers leur enfant. Surtout la mère, qui elle la mit au monde, la eu dans son ventre pendant neuf mois, qu'elle a accoucher de lui. Ca me blessait régulièrement quand je savais ça. Mais je savais que part moment, des enfants n'ont plus de parent et c'est leur famille qui en on la garde qui eux aussi sont rare. Puis nous trouvons les parents assez lourds qui passe toutes leurs journées au près de leur enfant, ils empêcher ceux-ci de profiter des petites fêtes organisés. Il n'y avais aucun bruit dans les couloirs, je pouvais t'entendre saisir sur le clavier, ce bruit insupportable lorsque les secrétaires saisissent elles aussi mais a une allure inimaginable, bien trop rapide pour moi mais aussi a devoir répondre au téléphone en même et répondre aux patients/visiteurs, je leur dis juste chapeau. Je ne voulais pas te déranger, puis quand tu appuie sur la dernière touche je peux me douté que tu avais finis, j'avais redresser mon visage pour te regarder, rangeant dans ma poche le petit papier de chocolat, un regard assez fatigué et encore un peut perdu dans mes pensés. Qu'est-ce que j'aimerais que ça soit le petit Neal qui me mettent dans cette états mais en réalité non c'était bien plus de chose que ça.
- Pour te dire vrai oui sa m'inquiète un peut pour le petit Neal mais j'ai autre chose a se moment présent qui me tracasse...
Quand tu bondis presque de la chaise de bureau je viens a mon tour me lever pour t'accompagné jusqu'à la salle dite de pause. Je passe doucement une main dans mes cheveux pour mettre une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. Je les laisse vraiment détacher cette nuit, marre de les avoirs attacher mais c'était le règlement pour les femmes. Je viens doucement m'appuie sur un petit meuble ou se trouve les couverts, les verres ainsi que l'évier juste a coter. Je croise doucement mes bras sous ma poitrine en te regardant. Esquissant un petit sourire a t'es paroles.
- Étrange, clame, on aurai presque l'impression que personne ne vit ici, que nous sommes les seuls survivants d'une invasion de zombie qui sont venues manger tout le monde. Mais que ses zombies ont prit une apparence humaine et ne nous pouvons pas les distingués les uns des autres, sauf eux, entre eux. Je me mis a rire en même temps. C'est une jeune fille qui ma sortie ça un soir, elle c'était réveiller et c'est mise a se balader dans les couloirs quand elle ma croiser elle ma raconté ça. Elle joue bien trop aux jeux vidéos mais c'est amusant l'imagination qu'elle peut avoir.
Je passe ma main sur mon visage pour le frotter doucement en te regardant en te racontant cette petite anecdote. Bien sûr, je viens ensuite prendre deux tasses puis m'approche de toi, dépose celle-ci a coté de la machine a café pour que tu puisses nous servir. Puis, je passe ma main dans ma poche de ma blouse et en sort plusieurs petits chocolats et spéculoos que je dépose juste face a nous. Je souris doucement, je faisais régulièrement ça quand j'avais une petite faim et le chocolat je ne peux pas m'en passer en réalité.
Le jeune homme avait bien compris que quelque chose la tracassait en dehors de l’hôpital mais il n’insista pas par principe, déjà parce qu’il ne la connaissait pas assez et surtout que si elle avait envie d’en parler elle le ferait par elle-même. Parfois, c’était plus simple de parler à quelqu’un qu’on ne connaissait pas vraiment mais Duncan était tout de même un collègue désormais et plus un inconnu qu’elle aurait pu croiser dans la rue quelques jours plus tôt. Alors se rendant dans la petite salle de pause, il ne fit aucun commentaire tout en allumant la machine à café. Il se retourna pour écouter l’histoire de Liv et fit les gros yeux un bref instant. Duncan n’avait pas peur de beaucoup de chose comme tous les adolescents, il avait eu sa période « Je regarde des films d’horreurs et je n’ai même pas peur ! ». Mais il y avait bien une chose en fait deux qui terrifiés Duncan, à priori deux choses qui ne verraient jamais le jour mais pouvait-il en être vraiment sur ? Les zombies le terrifié car dans la plus part des films et séries où le sujet était abordé c’était du à un virus, et lui était médecin. Il se voyait déjà confronté à un terrible dilemme, devenir un tueur de zombies ou fuir à l’autre bout du pays. Le sauvetage de la population ? Il pensait ne surement pas en avoir le courage à moins de trouver une combinaison qui empêcherait les zombies de croquer dans sa chair juteuse ! Berk, un frisson le parcouru tout entier et il se mit à parler en échappant un rire bref.
-Il y a deux choses qui me font vraiment peur, une invasion de zombies et le retour des dinosaures ! Cette petite fille m’aurait empêché de dormir toute la nuit !
Duncan plaisantait bien sur, mais on avait tous des petites craintes un peu stupides. Il servit alors les deux tasses de café bien chaud et proposa à Liv d’aller s’asseoir à la table. Après tout, ils étaient tout le temps debout autant prendre une pause, une vraie. Il se mit à rire une nouvelle fois mais de façon plus naturelle quand il la vit sortir tout un tas de confiseries de sa poche. Elle avait des réserves pour les longues nuits de gardes, c’était parfait.
-Toutes ces gourmandises, ce sont pour les enfants ou seulement toi quand tu es seule dans un coin ?
Il aurait bien tenté le « ou bien accompagné » en parlant de lui mais il ne fallait pas aller trop loin non plus. Buvant une gorgée de son café, il sentit le liquide chaud descendre dans sa gorge jusqu’à son estomac ce qui lui procura une douce sensation. Il n’était pas fan du gout du café mais il avait bien été obligé de s’y mettre pour ne pas tomber de fatigue, il y a bien des années de cela.
-Et si tu me parlais des trucs à savoir sur cet hôpital ? A qui je dois cirer les pompes pour que l’on me rende service ou même ce qu’il ne faut surtout pas manger au self ?
Duncan Wilde & Liv Beauregard Sauver des vies. Je m’assois non loin de toi en riant doucement a tes paroles mais surtout a la tête que tu viens de faire. C’était assez comique sur le coup. Je prends doucement ma tasse entre mes mains et je bois aussi quelques petites gorgés de ce café. Puis je dépose a nouveau mon regard sur ta personne en souriant « Je pense aussi, pour ma part elle m’en a tellement raconté qu’à force je suis immunisé puis tu feras gâfe l’invasion des dinosaures c’est la journée. Quand ils sont devant les fenêtres et que le soleil leur tape dessus. Tu as l’ombre dans le couloir, ça surprends par moment. » J’avais un petit sourire amusée, malgré mes tracas extérieurs sa ne m’empêche pas d’être moi-même avec les personnes que j’ai fasse a moi. Ca ne m’empêche de m’amuser et surtout de me vidé la tête quand c’est possible. Lorsque les confiseries, du moins les chocolats de toutes sortes sont sur la table, de dépose ma tasse et passe une main dessus pour les étalés comme il faut. « Et bien pour te dire vrai ce n’est pas du tout pour les enfants mais pour moi quand j’ai besoin de décompresser ou de faire passer le temps plus vite. C’est mon péché mignon, mais vas-y serre toi je ne suis pas partageuse avec les filles mais je peux l’être avec toi. » Je t’offre un petit sourire avant de prendre un chocolat noir praliné. Je le sors de son emballage et croque dedans. Je raffole du chocolat, c’est une chose que je ne pourrai jamais me passer. Mon mari lui c’est la cigarette et bien moi c’est ça, le chocolat. Je finis de le manger et reprends ma tasse en main, sauf qu’entre temps j’ai déposé mes talons sur le rebord de la chaise pour ramené mes jambes contre moi. Je laisse un petit temps de réflexion quand tu me pose ses questions « Alors, tu peux cirer les pompes au responsable de ce service mais aussi du service traumatologie, c’est deux hommes assez grand, costaud et froid sur le coup. Mais quand tu leurs rends trois quatre service ils vont devenir tout mielleux et tout gentil avec toi. Quand tu les sens venir vers toi en souriant tout en te saluant, là fonce va leur demander tout se que tu veux, des congés que tu n’arrive pas à faire passer, des jours à prendre etc., fonce. Ensuite, les infirmières, ici elles sont toutes gentilles tu n’aura aucun problème par contre, tu remarqueras qu’on a des différents avec les infirmières qui s’occupent des adultes. Par moments on propose a certaines personnes qui ici depuis un moment de participé aux activités avec les enfants pour leur changés les idées mais généralement elles ne passent pas le message et ça par assez mal, dispute etc… » Je laisse un petit soupire m’échapper et hausse doucement les épaules, ça mets souvent arriver et c’était a ses moments que je pouvais devenir méchante verbalement. « Après, je pense que toi tu en auras surement pas besoin mais sur tu as une copine ou une amie qui ne sait pas quel gynécologue allez voir je te conseille Henry Bush, un homme très gentil, très doux mais surtout très compréhensif. Après tu as tout les ambulanciers, si un jour on t’appelle pour un cas assez grave ne t’étonne pas si certains te regarde de haut et son assez froid. Mais ils ne sont pas tous comme ça, la plus part sont adorable et a eux aussi tu peux leur donner quelques services ils ne diront pas non. » Je souris à nouveau puis je reprends un chocolat entre deux, buvant tout aussi un gorgé de mon café. « Pour finir le self, évite tout se qui est, gratin, patate, pâtes, riz, purée enfin presque tout sauf les légumes et la viande c’est la seule chose qu’ils font de bien. Après si un jour tu as un problème avec le repas ou que tu veux un peut de tout demande Marie-Louise et dit lui que tu viens de ma part. Elle sait que quand on vient la voir c’est pour des demandes un peut spéciale, par contre, le jour d’après apporte lui juste une petite boite de chocolat ou de gâteau ça lui fera plaisir et c’est se que je fais généralement. Sinon, tu peux apporter ton repas le laisse au frais ici et le prends avec les autres au self c’est possible aussi. Mais écrit bien ton nom/prénom sinon tu ne le retrouve plus. » Dit-je en riant doucement, ça met arriver une fois de me retrouver sans repas.
Duncan était alors assit face à Liv et riait à tout ce qu’elle disait. Surtout sur les dinosaures avec les zombies c’était le parfait mélange bien flippant d’une petite fille du service. Liv avait l’air préoccupé et pourtant elle arrivait à le faire bien rire. Il regarda les chocolats et ne pu résister à en prendre au moins un. Le chocolat était surement la chose qui lui avait le plus manquer en Afrique et quand l’hélicoptère en emmener lors de rare exception et en raison de dons des pays occidentaux, il n’en prenait jamais pour lui préférant laisser cette chance à ces enfants qui en mangeaient pour la premier fois de leurs vies. Il remercia tout de suite l’infirmière se sentant presque privilégier puisque d’habitude elle ne partageait pas. Il bu ensuite une gorge de son café en l’écoutant parler de l’hôpital. Il fallait qu’il retienne tous ces détails s’il voulait monter en grade assez vite ! Enfin c’était vite dit, lui ce qu’il voulait c’était un financement pour faire venir les enfants malades d’Afrique ici.
-Je vois ! J’ai ramené avec moi un ami d’Afrique il est en traumatologie, compte sur moi pour lui passé l’info ! Pour le reste, c’est un peu dommage passait du temps avec les enfants j’adore ça. Parfois je me dis que je poursuive et me spécialiser avec les enfants en plus de la cardio mais ça me ferait encore des études et j’ai d’autres projets pour le moment. En plus, j’ai touché à tout pendant ma période d’humanitaire, les études seraient plus ennuyeuses qu’autre chose encore à la merci d’un supérieur…
Quand elle se mit à parler du self, il se mit à rire. Rien n’avait changé depuis son internat c’était dingue, on aurait pu croire qu’au fil des années cela se serait améliorer mais apparemment non. Bon il retiendrait le prénom de la jeune femme qui s’occupait du self et ne tacherait pas de lui apporter des chocolats même en dehors des services rendus histoire de mettre en place une petite relation qui ne se contentait pas juste de devoir quelque chose à l’un et à l’autre.
-Rien à changer ! Je tacherais de me souvenir de tout ça. Pour ce qui est d’emmener mon repas, je suis vraiment nul pour cuisiner enfin il me faut un temps fou pour faire quelque chose de correct alors pour le boulot à part emmener un plat à préchauffer…
Il se mit à rire, buvant une autre gorgée de son café. Son regard se dirigea vers la pendule et les heures défilés mine de rien. Bientôt se serait l’heure de rentrer chez lui après avoir faire une dernière fois le tour de toutes les chambres bien sur. Il attrapa une feuille de papier face à lui et y griffonna son numéro de bipper.
-Si jamais tu as besoin dans l’hôpital pour quoi que se soit, n’hésite surtout pas à m’appeler.
Duncan Wilde & Liv Beauregard Sauver des vies. Je souris quand tu prends un chocolat, en faite, je ne partage pas facilement mais bon. Ce soir, c’était une soirée exceptionnelle puis c’était agréable d’être en ta présence. C’est vrai que ce n’est pas mouvementé la nuit donc nous avons bien plus le temps de parler, de rire et même par moment de s’amuser sans bruit certes mais de s’amuser. Je devine rapidement que tu es partie en Afrique, vue comment tu m’en parle tu devais, malgré tout être bien entre parenthèse là-bas. Ca a du être une expérience assez exceptionnelle surtout. Puis je souris de nouveau quand tu me parle de ton ami et de des études à venir pour ce service « Je vois ! J’ai ramené avec moi un ami d’Afrique il est en traumatologie, compte sur moi pour lui passé l’info ! Pour le reste, c’est un peu dommage passait du temps avec les enfants j’adore ça. Parfois je me dis que je poursuive et me spécialiser avec les enfants en plus de la cardio mais ça me ferait encore des études et j’ai d’autres projets pour le moment. En plus, j’ai touché à tout pendant ma période d’humanitaire, les études seraient plus ennuyeuses qu’autre chose encore à la merci d’un supérieur… » Je plisse doucement du nez, je comprends bien que tu voudrais rester plus longtemps ici puis je souris doucement. « Tu sais quoi ? Quand on aura besoin d’un médecin en traumatologie on t’appellerait le plus souvent possible ? Et même, ça peut-être possible que tu sois invité par moment aux activités du service qui sont assez agréable pour tout le monde. Je penserais a toi maintenant, puis quitte a essayer de glisser régulièrement ton nom au chef quand il me parlera de médecin en trauma. Qui c’est ça peut aider ! » Je dis en souriant amuser, je reprends alors un chocolat que je viens manger et je finis alors mon café. Je tourne mon visage a mon tour pour regarder l’heure, je souris doucement, malgré tout, j’allais quand même rentrer enfin chez moi, me reposer. Je prends en suite le numéro de ton biper que tu me donne je te remercie puis je fais pareil. « Tiens le mien, toi aussi. Même si tu as besoin d’une simple infirmière pour faire des soins. Sur toi ou des patients. » Je dis en plaisantant bien évidement. Nous avons alors la même idée, faire le tour des couloirs. En me levant je viens poser les tasses dans l’évier puis je sors de la pièce mes chocolats en mains, où je viens t’en donner quelques uns. Bien sûr il était rapide, les enfants dorment encore à point fermés sauf une jeune fille. La nouvelle venue. Je viens doucement tourner mon visage vers toi « Je vais m’occupé de la petite, merci pour cette nuit. C’était agréable d’être en ta compagnie Docteur Duncan Wilde. Je ris doucement. Repasse ici quand tu veux. Vraiment. Je te souhait une bonne nuit, non une bonne journée maintenant. » Je t’offre un dernier sourire chaleureux avant d’entré dans la chambre de la petite.