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 RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control

Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
  
RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control 9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control 2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34338 POINTS : 3250

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control 30
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control 297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptySam 23 Mar 2019 - 12:21



Till that moment I lost control

La soirée battait son plein, sans que je n’arrive réellement à m’y sentir à ma place. J’avais passé une journée usante et ressenti le besoin de me détendre, mais depuis que j’avais mis les pieds dans la boite de nuit, je n’avais pas réellement réussi à entrer dans l’ambiance et à profiter. Invitée par le patron des lieux – un vestige de ma jeunesse un peu trop rock’N roll était que j’avais encore globalement mes entrées partout – je m’étais dit que cette soirée serait peut-être le bon moyen de relâcher la pression. Un DJ apparemment vaguement connu jouait ce soir, et la soirée avait attiré pas mal de monde. Peut-être avais-je évolué finalement, ou peut-être que je n’étais simplement pas d’humeur à faire la fête après m’être pris la tête toute la journée avec différents fournisseurs mais l’ambiance ne prenait pas.

Pourtant j’avais mis le paquet. Me préparer pour une soirée avait toujours été un moment que j’appréciais, et là-dessus rien n’avait changé. Je m’étais décidée ce soir pour un ensemble Balmain que j’avais acheté le mois précédent, un pantalon moulant noir et argenté métallique, ainsi qu’une brassière assortie. Assez audacieuse, laissant peut se place à l’imagination, la tenue m’avait tapé dans l’œil tant elle m’avait donné l’impression d’avoir été pensée pour moi. Une tenue conçue pour attirer les regards, et sentir les regards tournés vers moi était définitivement une chose à laquelle j’étais accro, peut être encore plus que l’alcool ou la cigarette. J’avais enfilé par-dessous tout ça un blazer noir que j’avais laissé au vestiaire une heure auparavant, entrant dans la boite.

Depuis une heure j’avais bu quelques verres, assez pour commencer à me sentir désinhibée – si tant est qu’on puisse me considérer comme inhibée de base – plaisanté et dansé avec de vagues connaissances que j’avais croisé à l’intérieur, fumé quelques clopes au fumoir, et j’étais maintenant accoudée au bar, essayant de décider s’il fallait que je boive un verre de plus ou bien s’il fallait arrêter l’hémorragie et rentrer chez moi. Généralement, quand j’étais pas d’humeur, j’étais pas d’humeur. Et pas forcément d’assez bonne compagnie. Alors que je plaisantais avec le barman, que je commençais à connaître plutôt bien, comme la plupart des barmans de Brisbane, un homme s’était approché de moi, posant une main dans le bas de mon dos, sur ma peau nue, et me faisant sursauter. « Je t’offre un verre ? » Le jaugeant de la tête aux pieds, pas mon style, j’avais finalement secoué la tête, lui adressant une grimace désolée. « Non c’est bon, j’allais partir. » Esquissant un geste pour m’éloigner, j’avais senti sa main attraper mon bras pour me retenir. « Tu plaisantes, il est même pas minuit, tu vas pas te casser maintenant ? » Alors déjà, je faisais bien ce que je voulais, et si j’avais envie de me barrer je comptais bien me barrer. Mais en même temps je n’avais pas pour habitude de refuser un verre gratuit. J’étais restée interdite, regardant sa main refermée autour de mon bras, le verre qu’il me tendait et son sourire. Mes signaux d’alertes auraient dû se déclencher, c’était maintenant ou jamais, mais mon très léger état d’ébriété semblait les avoir déréglés. Dans l’espoir d’avoir la paix, j’attrapai le verre tendu, avant de le boire d’un trait. « Ça va, t’es content maintenant ? » Dégageant mon bras, je m’étais éloignée du bar, me dirigeant vers la cabine du DJ, dans une dernière tentative de profiter de la soirée.

Laissant la musique prendre le contrôle du rythme des battements de mon cœur, je tentai de profiter de la soirée. Les minutes passaient, et j’avais le sentiment d’être enfin plus détendue, et de réussir à profiter de la soirée. Même mes muscles semblaient plus relâchés, les battements de mon cœur plus lents, et j’avais presque l’impression de réussir à profiter de la soirée. Quelques minutes de plus, et je commençai même à ressentir un agréable étourdissement. L’impression d’enfin réussir à lâcher prise après cette journée. Fermant les yeux je portai mes mains à mon visage, prenant une grande inspiration. Je ne savais pas si c’était la musique, l’alcool, ou si je réussissais simplement enfin à lâcher prise, mais l’effet n’était pas désagréable. Une main se posa à nouveau dans mon dos. La même main, et le même sourire. « T’as l’air de bien meilleure humeur.  » Mes défenses étaient complètement baissées. Pourquoi je me serai méfiée, toute anxiété avait disparu de mon esprit. Je sentais presque le besoin de… fermer mes yeux. Sans répondre je posai simplement la tête sur son épaule, alors qu’il refermait son bras autour des miennes, pour m’approcher de lui. Je le remerciai silencieusement dans ma tête, j’avais l’impression d’avoir un sacré coup de barre, et mes jambes ne me portaient plus, ce soutient était donc le bienvenu.

Une partie de moi savait que quelque chose n’allait pas, que ce n’était pas la fatigue, où l’alcool, et il était presque ironique que ce genre de chose m’arrive à moi. Mais cette partie, qui cherchait à m’alerter, était bien trop anesthésiée par la dose de cheval qu’il avait certainement foutu dans mon verre – sans que je n’en soit consciente. Finalement je luttai pour ouvrir les yeux. « Je suis désolée je … Je me sens pas bien, je… » Je luttais aussi pour tenir debout à vrai dire. Il avait passé un bras autour de ma taille, et m’avais trainée dans à l’écart de la piste de danse. Je m’appuyai contre le mur, alors qu’il me soutenait toujours, m’offrant la force font j’avais besoin pour ne pas m’effondrer. « T’as pas l’air en forme, tu veux que je te ramène ? Tu habites où ? » Je levai les yeux vers lui, d’abord incapable de répondre puis je glissai ma main dans mon sac, tentant d’attraper mon téléphone pour appeler un taxi, mais sans réussir à mettre la main dessus.  


@Deborah Brody :l:




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 21:26, édité 3 fois
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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMer 27 Mar 2019 - 16:52


Till that moment I saved your integrity

C’était difficile de ne pas la remarquer, la poupée blonde et sa tenue argentée. Elle reflétait toutes les lumières, attirait un nombre incalculable de regards. Elle était belle, à n’en pas douter. Si Debbie s’était habillée de cette façon, la tenue en serait devenue accoutrement. Pas sur cette femme que la brune observait depuis quelques minutes, sans aucune discrétion d’ailleurs. Elle devinait le jeu qui se jouait là. Elle lisait, dans les traits et les regards, les émotions qui traversaient chacun d’eux, la blonde et un de ses nombreux courtisans si Deborah en croyait les iris tournés vers eux. Elle essayait de lire sur les lèvres, de deviner ce qu’ils se disaient. Pas de doute, elle était encore en train de gueuler ou tout du moins, ne pas apprécier l’intervention du jeune homme. Ça faisait presque rire l’Irlandaise qui se remémorait leur rencontre des mois auparavant. Elle ne lui en voulait pas d’avoir hurlé dans le parc ce jour-là, si elle avait été à sa place, elle en aurait probablement fait autant. Il avait été plus simple – et moins dangereux financièrement – de jouer les hypocrites, de récupérer le chien et se tirer après quelques réflexions acerbes sur l’argent qui débordait sûrement de ses poches. Ridicule. De vraies gamines.

« Quelle idiote. » Réflexion presque murmurée à elle-même, un hochement de tête négatif appuyant ses dires. La blonde avait accepté un verre de son prétendant. Ça n’aurait pas posé de problème si le verre en question avait été servi devant ses yeux, si elle ne l’avait pas quitté une seule seconde du regard. Elle venait de s’engloutir un verre entier sorti de nulle part. Deborah doutait d’une erreur de débutante… tant pis, ce n’était pas son problème, elle ne voulait pas s’attirer d’ennui et puis la blonde n’était probablement pas toute seule, sans compter qu’il était tout à fait possible qu’il s’agît d’un verre aussi classique que les autres. Pourtant, et en dépit du fait que le contact visuel avait été coupé par un type qui était venu l’aborder et qui se trouvait être tout à fait charmant – dans tous les sens du terme – les minutes défilaient et les pensées de la brune ne cessaient d’être tournées vers ce qui venait de se passer.

Il ne lui fallait qu’un instant pour que ses yeux se détournent de son interlocuteur et pour retrouver celle qui l’intéressait vraiment. Remords ? Peut-être un peu ouais. Beaucoup quand elle voyait l’état dans lequel était la trentenaire. Non, ce n’était pas l’alcool. Même en buvant plusieurs verres durant les quelques minutes où Deborah ne la regardait pas, c’était impossible que ça monte aussi vite. « Oh, tu m’écoutes ? » « Non. » « Connasse. » L’insulte, elle l’avait à peine entendue. Elle s’était levée sans plus de cérémonie, remettant sa robe dentelée rouge en place par pur réflexe. Elle ne réfléchissait pas vraiment et se frayait un chemin dans la foule pour rattraper l’inconnu qui traînait la femme vers la sortie. Elle ne pouvait pas laisser faire ça, savoir et rester là. Dans sa colère qui montait un peu et dans l’adrénaline qui pulsait dans sa poitrine, elle avait un peu de peine aussi. Personne autour d’eux ne réagissait, personne n’accompagnait la droguée, elle était seule et vulnérable.

« C’est avec moi qu’elle repart. » Ni plus ni moins, Debbie s’incrustait dans la conversation, attrapant la blonde par la taille et la forçant à glisser son bras libre autour de ses épaules. « C’est bon, ça va, je la connais, elle est trop bourrée, tu peux bouger. » Le regard de Brody était sans équivoque. Elle ne lâcherait pas l’affaire, elle n’allait pas laisser le mec repartir avec elle, qu’elles aient eu une mauvaise rencontre ou non. Elle n’était même pas sûre que dans l’état où la jeune femme se trouvait, elle serait capable de la reconnaître. Ce n’était même pas une question de solidarité féminine, elle aurait fait la même chose avec un mec, ça allait au-delà de ça. « Casse-toi ou j’appelle les flics. » A vrai dire, elle allait le faire, appeler les flics, qu’il se casse ou non. C’était pour cette raison qu’elle le regardait intensément, imprimant son visage dans son esprit pour éventuellement le décrire à la police ou le reconnaître sur de possibles photos de personnes déjà fichées. Il n’en fallait pas plus pour qu’il se casse, enfin.

Elle prenait un instant pour le regarder s’éloigner – histoire d’être sûre – mais le poids de la jeune femme sur elle la rappelait rapidement à l’ordre. Elle n’était pas aussi costaud que ce mec qui la soutenait jusque-là. Deborah faisait un léger retour en arrière pour se diriger vers les banquettes, asseyant la demoiselle sur l’une d’entre elles en se fichant totalement de savoir si elle était réservée pour quelqu’un ou non. Elle fournirait des explications au besoin. « Hé, regarde-moi, ne ferme pas les yeux ! » Elle s’accroupissait alors à sa hauteur pour capter son attention, glissant ses mains autour de son visage avec le plus de douceur possible pour ne pas la brusquer. « Tu te souviens de moi ? Tu sais la meuf avec l’énorme chien qui t’a fait tomber à la flotte il y a quelques mois. » Peut-être qu’en réveillant une colère passée, ça allait permettre de la maintenir éveillée, peut-être même qu’elle soit plus réactive et énergique pour marcher un peu. Elles ne pouvaient pas rester là, pas dans cet état. « C’est quoi ton nom ? » Lui poser des questions, sans cesse, pour l’obliger à répondre le temps de savoir quoi faire. Est-ce qu’elle devait l’emmener chez elle, à l’hôpital pour faire des tests de drogue et la surveiller ? Et si elle perdait connaissance ou pire ? Trop de questions lui venaient d’un coup à l’esprit alors que, du regard, elle cherchait quelqu’un pour l’aider à emmener au moins la jeune femme jusqu’à sa voiture.


Dernière édition par Deborah Brody le Mar 16 Juil 2019 - 1:54, édité 4 fois
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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMer 27 Mar 2019 - 23:49



Till that moment I lost control

J’eu la sensation de m’effondrer lorsqu’il me traina à l’écart et m’appuya contre le mur. L’impression de tomber, que mes jambes ne me portaient plus. Pourtant, ouvrant les yeux, je constatai que j’étais encore debout, que le mur, et ses mains qui étaient maintenant descendues de part et d’autre de ma taille me soutenait. Me résignant à arrêter de chercher mon téléphone – il aurait pu se trouver devant mon nez à cet instant que je ne l’aurais pas vu, j’avais tenté de relever les yeux vers mon interlocuteur. Prenant surement le geste comme une invitation, il s’était rapproché de moi, pressant son corps contre le mien et déposant ses lèvres sur ma clavicule. Mes yeux s’étaient fermés quelques secondes, et alors que je tentai d’émettre un quelconque bruit pour protester, mes lèvres avaient bougé sans qu’aucun son n’en sorte. Je ressentais simplement un besoin intense et urgent de fermer les yeux, oubliant presque les lèvres de l’homme qui remontaient dans mon cou.

Rouvrant les yeux comme dans un éclair de lucidité lorsque je senti le corps de l’homme se décoller du mien, et une main passer autour de ma taille avec beaucoup plus de douceur, et une autre attraper lentement mon bras pour le poser autour d’épaules bien plus frêle que celles de mon précédent interlocuteur. Une partie de moi, celle qui luttait pour rester à la surface et rester consciente, compris rapidement que ces épaules étaient ma bouée de secours, et ma main s’y agrippa de toutes les forces qu’il me restait. L’air hagard, j’écoutai l’échange entre mes deux interlocuteurs. Les paroles de la jeune femme qui me soutenait me parvinrent, mais sans que je réussisse à les assimiler. Je fronçai les sourcils, tentant de concentrer mes forces restantes sur la conversation. Et la phrase de l’homme, elle, me parvint. « C’est bon, ça va, je la connais, elle est trop bourrée, tu peux bouger. » Une sensation désagréable me contracta l’estomac, cette sensation qui accompagne souvent un mauvais pressentiment. Je n’étais pas capable d’analyser ce qu’il était en train de se passer, mais je n’avais aucune envie que la jeune femme ne s’exécute et me laisse. Inconsciemment je resserrai plus encore ma main autour de son épaule, comme pour la retenir. Ne m’abandonne pas. Le ton monta et les paroles prononcées m’échappèrent encore une fois, mais l’homme disparu de mon champ de vision. La sensation désagréable disparue également. Soulagée, je n’avais plus qu’une seule envie, arrêter de lutter contre la détente progressive qui envahissait mon corps, et simplement fermer les yeux. Mais la jeune femme me traina jusqu’au canapé le plus proche, m’obligeant à garder assez de concentration pour poser un pied l’un devant l’autre, ce qui – vu la hauteur des talons sur lesquels je m’étais juchée – était plus facile à dire qu’à faire.

« Hé, regarde-moi, ne ferme pas les yeux ! » Complètement catatonique, mon corps ne réagit par lorsque deux mains froides se posèrent sur mes joues pour redresser ma tête. Obéissant à son injonction, mes yeux clairs finirent par trouver ses iris marrons et s’y accrochèrent désespérément. Tiens, ce visage m’était familier. Tentant de retrouver ma lucidité, je fixai finalement les lèvres de la jeune femme, tentant de déchiffrer ses paroles. « Tu te souviens de moi ? Tu sais la meuf avec l’énorme chien qui t’a fait tomber à la flotte il y a quelques mois. » Ses mots se heurtèrent à l’énorme brouillard qui entourait mon esprit. Trop compliqués, trop long. Je fis un effort supplémentaire. « C’est quoi ton nom ? » Mon nom, c’était à ma portée. Prenant une grande inspiration, je lui offris mon identité. « Raelyn. » Ma gorge était terriblement sèche, et ma voix plus rauque qu’à l’habitude. Je me raclai la gorge autant pour reprendre mes esprits que dérouiller mes cordes vocales. « Je m’appelle Raelyn. » Mes yeux quittèrent ceux de la jeune femme pour se poser sur la table à côté de nous, à la recherche de question chose qui pourrait adoucir la brulure au fond de ma gorge. « Je tuerais pour un verre d’eau. » Réussissant à formuler quelques phrases, je reposai mes yeux sur mon interlocutrice, étudiants ses traits. « Attends… je te… Je te connais ? » Bien joué Einstein. C’est pas comme si elle venait de te le dire… Maintenant que je m’en étais rendue compte, mon esprit moulinait pour mettre un prénom, une circonstance, quoi que ce soit sur ce visage. Abandonnant pour le moment, je m’étais reconcentrée sur mon sac à main, le fouillant sans trop savoir ce que je cherchais finalement. Je me désintéressai finalement de mon téléphone en mettant la main dessus, essayant de me rappeler ce que je cherchais. Téléphone, carte bleue, carte d’identité...  « Putain mes clés… » Notant l’information, mais sans réellement être capable de l’intégrer à mon esprit, je ne me rendis pas compte de ce que cela signifiait. Que le fait que je dorme à la rue ou pas ce soir ne dépendait plus que du bien vouloir de la jeune femme. Je relevai les yeux vers elle, passant encore d’un sujet à un autre, comme une enfant incapable de rester concentrer plus de quelques secondes. « Va falloir que… Que tu m’aides, je… Je me souviens plus, c’est quoi ton nom ? » Etais-je seulement censée le connaitre ? Impossible à dire dans l’état actuel des choses. Je savais seulement qu'elle me disait quelque chose. Et une partie de moi savait également que ce soir, elle venait de me sauver la mise. Et je réaliserai surement à quel point le lendemain, une fois redescendue et la drogue évacuée de mon organisme. Elle m'avait dit de ne pas fermer les yeux, mais trouvant la consigne de plus en plus dure à suivre, je laissai la musique me bercer, et je m'autorisai finalement à fermer mes paupières. Quelques secondes uniquement, je pouvais bien me le permettre non ? j'étais si fatiguée...




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Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 30 Avr 2019 - 21:26, édité 1 fois
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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMer 3 Avr 2019 - 23:44



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La pression autour de ses épaules augmentait, comme si la blonde comprenait que Deborah était là pour l’aider. Loin d’elle l’idée que la jeune femme avait assez de clairvoyance à ce moment-là pour comprendre qu’elle l’éloignait d’un prédateur. A ce genre de mec, on devrait leur faire une piqûre qui les rendrait incapables de bander, incapables de désirer. Le ton qu’elle employait, le regard qu’elle lui servait, c’était suffisant pour se faire comprendre et le faire déguerpir. A présent, elles se retrouvaient seules – mentalement en tout cas puisque physiquement, elles étaient fort entourées mais personne ne semblait vraiment se soucier de quoi que ce soit. Quelques pas vers l’arrière, la banquette était parfaite, le temps de réfléchir, d’appréhender les choses. Debra n’était pas ce genre de filles à être droguée à outrance ou à fréquenter ce genre de personnes – c’est du moins ce qu’elle croyait – elle était donc désarmée, complètement. Un peu perdue aussi. Face à la jeune femme, elle ne trouvait rien de mieux que de lui demander de ne pas fermer les yeux. Elle savait que c’était le genre de choses à faire avec les personnes au bord du coma éthylique, c’était probablement la même chose pour la drogue. Ne pas s’endormir, surtout pas, au risque de ne jamais se réveiller. Elle lui posait des questions, sans doute sans grande importance et sans vraiment avoir de réponse hormis son prénom. Raelyn était complètement hagarde, éteinte.

« Oui tu me connais... ne bouge pas de là. » Elle s’éloignait un peu, gardant toujours un œil sur elle tout de même. Elle ne tenait pas à ce que quelqu’un vienne l’aborder ou que le mec en profite pour revenir la voir. Elle ne voulait pas non plus que la blonde se tire sans rien dire et qu’elle la perde dans la foule – bien que ça, elle en doutait fort puisqu’elle n’était pas capable de tenir debout. Deborah s’était approchée du bar pour demander de l’eau et l’aide d’un des videurs. Elle leur expliquait brièvement la situation et quand le barman constatait qu’il s’agissait de Raelyn, ils ne posaient pas plus de questions que cela et on lui donnait ce qu’elle voulait. La brune, quant à elle, revenait vers Raelyn, un verre à la main et une bouteille d’eau, juste à temps pour répondre à la question de la jeune femme. « Tu peux m’appeler Debbie et t’inquiètes pas pour ça, je vais t’aider. » Elle lui servait un verre grand d’eau et lui tendait. « Tiens, ça te fera du bien. » Debbie attendait tranquillement que la blonde se réhydrate quitte à la servir autant de fois qu’elle le voulait. Elle semblait observer le moindre de ses faits et gestes. Elle tentait d’appréhender les choses. Est-ce qu’elle était dans une phase montante ou descende ? Est-ce que la drogue était à son maximum en termes d’effets ou est-ce qu’elle devait s’attendre à quelques surprises ? Ça la stressait, beaucoup trop.

« Essaies de te concentrer, écoute-moi. » Deborah se mettait à sa hauteur, adoptant une position accroupie pour capter davantage son attention – et ça serait sûrement plus facile pour Raelyn que d’avoir la tête relevée vers elle. « Je ne peux pas t’emmener toute seule alors un videur va venir m’aider, il va te soulever et t’emmener mais tout va bien se passer, d’accord ? Je reste avec toi, il m’aide juste à t’emmener dans ma voiture. » Elle laissait un peu de temps pour que ça monte au cerveau de la demoiselle. Elle ne tenait pas que pour une raison x ou y, elle prenne peur qu’un homme la prenne dans ses bras. « Tu as bien compris ? ça va aller ? » Pour la suite, elle y réfléchissait encore. En constatant que Rae ne semblait pas contre l’idée, Debbie faisait signe au videur de s’approcher pour la surveiller quelques instants, le temps pour elle de récupérer ses propres affaires ainsi que les potentielles affaires de Raelyn si jamais elle en avait laissé dans les casiers. « On peut y aller. » Sans attendre une seconde de plus, le videur prenait délicatement Raelyn dans ses bras et ils sortaient tous de cet endroit. Le silence du parking faisait du bien aux oreilles et sûrement à la tête de la blonde. Le videur avait même la gentillesse d’attendre que Debbie ouvre sa voiture pour installer Raelyn à la place du passager. Deborah l’aurait bien mise sur la plage arrière mais une fois de plus, elle ne voulait surtout pas la quitter des yeux et peut-être qu’avec un peu de chance, être assise retarderait son envie de dormir. Un merci soufflé au videur dans un sourire redevable, elle montait à son tour dans la voiture et attachait la ceinture de Raelyn avant de boucler la sienne. « Je vais être obligée de t’emmener à l’hôpital. » Presque une pensée pour elle-même… elle ne pouvait décidément pas la ramener chez elle comme ça. Elle ne savait pas avec quelle drogue elle avait été intoxiquée, elle ne savait pas comment son corps allait continuer de réagir face à ça. Elle ne pouvait pas risque la vie de Raelyn sur des suppositions.


Dernière édition par Deborah Brody le Mar 16 Juil 2019 - 1:55, édité 2 fois
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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyJeu 4 Avr 2019 - 8:53



Till that moment I lost control

Une fois posée sur le canapé, il devint difficile pour moi de garder mes yeux ouverts, comme ma concentration. Mais finalement, il me semblai reconnaître le visage que j'avais en en face de moi, sans arriver à mettre le moindre contexte là dessus. Elle pourrait aussi bien être une amie que quelqu'un qui me veut du mal à vrai dire, il est incertain que je serais capable de faire la différence. Mais jusqu'ici, elle me semblait plutôt désireuse de m'aider et en tout cas pas me vouloir le moindre mal. J'étais de nature méfiante, mais ce soir toutes mes alarmes de sécurités intérieures étaient complètement éteinte. Et cela déplaisait à la part de moi qui luttait pour rester consciente et à l'affût. « Oui tu me connais... ne bouge pas de là. » Elle disparu de ma vue, après avoir confirmé ce que je supposais jusqu'ici. Tentant de pousser ma concentration un peu plus loin, je me heurtai à un mur, me décourageant clairement. Appuyant mon dos contre le canapé, je fus prise d'une envie de ne rien faire d'autre que de m'allonger et fermer les yeux, d'un sentiment d'incapacité à faire quoi que ce soit d'autre. Une envie presque de cesser de lutter, et d'abandonner la lutte pour garder la tête hors de l'eau. Une certaine forme de mélancolie que seul un breuvage acope aurait pu guérir. Ça, ou quelqu'un m'attrape fermement par les épaules pour me secouer un bon coup. A défaut de me brusquer pour me tirer de ma torpeur, la voix de la jeune femme revenue vers moi me fit atterir.  

« Tu peux m’appeler Debbie et t’inquiètes pas pour ça, je vais t’aider. » J'essayai d'imprimer son prénom dans mon esprit, mais finalement la seule chose que je réussis à capter fut qu'elle était là pour m'aider. Un sentiment de soulagement me parcouru, sans que je ne réussise à le maîtriser où à le comprendre. En temps normal cela m'aurait révolté, je ne m'autorisais pas à dépendre de qui que ce soit, mais ce soir, j'avais rendu les armes. Une part de moi l'avait fait en tout cas, et c'était elle qui avait clairement les rênes. « Tiens, ça te fera du bien. » Elle me tendit un verre d'eau, que j'attrapai d'une main qui tremblotait comme une feuille, avant de le porter à mes lèvres. Je bus quelques gorgées, me rendant compte que cela n'anesthésiait en rien la sensation de sécheresse au fond de ma gorge. « Essaies de te concentrer, écoute-moi. » Relevant les yeux vers elle, je déglutis, battant des paupière pour tenter de me réveiller, et m'accrochant à son regard. « Je ne peux pas t’emmener toute seule alors un videur va venir m’aider, il va te soulever et t’emmener mais tout va bien se passer, d’accord ? Je reste avec toi, il m’aide juste à t’emmener dans ma voiture. » Analysant ses mots, il me sembla parvenir à saisir le principal. Quelqu'un allait m'emmener. Je n'aurais pas été capable de lutter de toute façon même si j'en avais envie, et pour l'instant, je n'essayais même plus. « Tu as bien compris ? ça va aller ? » Elle semblait vouloir avoir mon accord. Pour ce qu'elle venait de me dire ? Difficile de savoir. J'acquiesçai d'un signe de la tête, décidant de lui faire confiance. Elle avait l'air de vouloir m'aider non ? J'en avais terriblement besoin et même si ma fierté en prenait un coup, je n'étais pas en état de refuser une main tendue.

Un visage que je reconnus s'approcha de moi, avant de s'accroupir à mon niveau. Un sourire illumina mon visage. « Hey Josh ! » Ce visage familier fini d'abaisser mes défenses, et lorsqu'il secoua la tête d'un air amusé, avant de passer une main sous mes genoux et l'autre dans mon dos pour me décoller du canapé, je n'émis pas la moindre protestation, laissant basculer ma tête contre son torse, me laissant emporter par l'envie de fermer les yeux contre laquelle j'avais jusqu'ici lutté, sous ordre de la jeune femme. Je les rouvris uniquement lorsque l'homme me posa sur ce qui semblait être le siège passager d'une voiture, et que ma sauveuse passa son bras devant moi pour attraper la ceinture de sécurité et me la passer. Je les regardai l'un puis l'autre avec des yeux ronds, avant d'adresser un grand sourire à Josh lorsqu'il s'éloigna de la voiture. Je reportai finalement mon attention - enfin attention façon de parler - sur la jeune femme dont j'avais laissé s'envoler le prénom. « Je vais être obligée de t’emmener à l’hôpital. » La phrase fut comme une flêche qui fit éclater la brume autour de mon esprit, pour aller se ficher dans mon cerveau. Je secouai la tête négativement. « Non fais pas ça. » La brume était en train de se reformer, je le sentais, mais je profitai des quelques secondes de lucidité qu'il me restait. « Ton prénom tu m'as dit ? » Prenant une inspiration profonde pour me concentrer, je continuai. « C'est pas la peine écoute t'as qu'à me laisser ici je vais me démmerder. » Joignant les geste à la parole, je posai mes mains sur la poignée de la porte passager, tentant de l'ouvrir, sans succès. Putain elle avait verrouillé les portes ou quoi ? « Ecoute ramène moi juste chez moi, ou appelle moi un taxi... » Prise d'un spasmes, mes paupières se fermèrent, et portant mes mains à mon visage, je déglutis. Bordel mais qu'est ce que j'avais pris. Mon corps était habitué à composer avec un mélange de drogue et d'alcool, pour me mettre dans cet état, il fallait une dose de cheval. Dans mon état de semi-conscience, j'arrivais à comprendre que j'étais en surdose. Je n'avais jamais fait d'overdose, mais il m'était arrivée de mal réagir à la prise de quantité de drogue trop importante. Principalement lorsque, arrivant à Brisbane, j'avais laissé la cocaïne m'entraîner vers le fond. « Je sais... Je sais pas ce qu'il se passe... Mais je peux gérer. Déconne pas.. M'emmène pas... M'emmène pas à l'hôpital ok ? » Il était hors de question que je foute les pieds là bas, pour être traitée comme une toxico, pour être fichée ou je ne sais quoi d'autre. « J'ai vu pire jte jure... »
J'ajoutai dans un souffle.




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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyLun 6 Mai 2019 - 23:17



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Quelques minutes à peine, c’était le temps qu’il fallait au colosse de videur et à Deborah pour emmener Raelyn jusqu’à sa voiture. La brune craignait un peu les réactions de la droguée. Est-ce que le confinement de la voiture allait la faire paniquer ou est-ce qu’au contraire, cette espèce de bulle allait lui sembler sécuritaire ? Elle n’en avait aucune idée parce qu’à part des joints il y a plusieurs années, elle n’avait jamais consommé de drogue et n’en connaissait clairement pas les effets. Elle s’attendait à tout et à rien et cet inconnu ne la rassurait pas du tout. C’était sa principale motivation pour emmener la blonde à l’hôpital et pourtant, elle ne tardait pas à protester cette décision. Bien qu’elle n’était pas plus vive qu’il y a quelques minutes, cette tendance à la contredire laissait savoir que c’était une chose qu’elle ne voulait absolument pas. Jusque-là, elle avait bien compris que Debra était là pour l’aider mais pour le coup, elle cherchait même à fuir de la voiture. Une chance que la bagnole était un tas de ferraille et que la portière passager ne s’ouvrait que de l’extérieur. « Ok, c’est bon, ça va, calme-toi, je ne vais pas t’emmener à l’hôpital. » Un soupir passait le seuil de ses lèvres alors qu’elle attrapait la jeune femme par l’épaule pour la plaquer gentiment dans son siège et pour la calmer. « Je te ramène chez toi. »

Un instant, son regard était resté fixé sur la silhouette de la blonde. Un soupir discret, une joue mordue. La poupée était en train de s’endormir, elle luttait contre le sommeil… le sommeil ou le coma, Debbie n’en avait aucune idée. Est-ce qu’elle allait vraiment prendre le risque de la laisser chez elle et gérer comme elle le disait si bien ? Elle n’en savait rien tandis que le moteur se mettait en marche et que la voiture prenait la route. « Tu devrais te reposer en attendant, ça te ferait du bien. » L’autoradio, elle l’avait baissé, laissant une musique douce bercée l’habitacle. De temps en temps, ses iris quittaient la route pour observer sa passagère. Si jamais elle avait les yeux fermés, Debbie ne se gênait pas pour placer sa main devant son nez, s’assurer qu’elle respirait toujours. Sur cet axe, elle aurait dû tourner à droite et pourtant…

Elle avait continué sa route, prié que Raelyn ne se rende compte de rien. Pendant que la voiture avalait l’asphalte, elle s’était persuadée que c’était pour son bien. Elle était complètement assommée, elle ne gérait rien, il fallait se rendre à l’évidence et Deborah avait pris la décision pour elle. Une demie heure, une grosse demie heure et elle entrait sur le parking de l’hôpital, habituellement réservé aux ambulances d’urgence. Le plus discrètement possible, l’Irlandaise s’était échappée de la voiture pour aller à la rencontre des premiers infirmiers qu’elle croisait aux abords de l’entrée. « Qu’est-ce que vous faite là ? Vous ne pouvez pas rester ici, l’endroit des visiteurs est de l’autre côté. » « J’ai une urgence dans ma voiture. » Au regard complètement perdu de Brody, l’infirmier comprenait que ce n’était pas une blague ou une petite urgence qui pouvait attendre et être emmené de l’autre côté du bâtiment. Sans attendre très longtemps, il l’accompagnait jusqu’à sa voiture, chemin dont elle profitait pour lui expliquer la situation. Une parfaite inconnue, droguée sous ses yeux, qu’elle n’avait pas su laisser aux mains de son prédateur et incapable de déterminer la substance et la dose administrées. La simple vérité alors que l’infirmier avait ouvert la portière de Raelyn, cherchant à capter son attention par la voix et par des claquements de doigts. « Mademoiselle ? Vous m’entendez ? Répondez-moi. » Ils allaient prendre soin d’elle, pas vrai ? Juste prendre soin d’elle…


Dernière édition par Deborah Brody le Mar 16 Juil 2019 - 1:56, édité 1 fois
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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMar 7 Mai 2019 - 11:56



Till that moment I lost control
Raelyn Blackwell & @Deborah Brody

Sans que je ne sache pourquoi, la part qui luttait pour rester consciente ne voulait pas, paniquait à l’idée d’être emmenée à l’hôpital. Aussi loin que je m’en souvienne je n’y avais jamais mis les pieds, et je m’en portais pas plus mal, et comme tous les drogués, j’avais au fond de moi cette crainte qu’une batterie de test ne vienne les pousser à m’enfermer derrière leurs portes blanches et me garder à jamais. Pourtant je savais, je connaissais pour chaque drogue sa durée de détection dans les urines, dans la salive et dans le sang, je savais que je ne risquais théoriquement rien, et sobre j’aurais surement été capable de conserver un calme olympien, mais dans mon état actuel, un vent de panique avait fait battre mon cœur à la simple évocation de la possibilité de m’y emmener. « Ok, c’est bon, ça va, calme-toi, je ne vais pas t’emmener à l’hôpital. » Arrêtant de tenter d’ouvrir la porte, j’avais posé mes yeux clairs, et clairement embués, sur la brune, tentant de déterminer si je pouvais lui faire confiance ou si au contraire elle était en train de me mentir de façon éhontée. Difficile à dire, alors que ma vision commençait à se troubler, et que déjà ses traits devenaient moins nets. En quelques secondes, j’avais déjà oublié l’interrogation qui m’avait habitée, et lorsqu’elle posa sa main sur mon épaule, y appliquant une légère pression suffisante pour me caler contre le dossier de mon siège, je n’opposai pas la moindre résistance. « Je te ramène chez toi. » Mes yeux s’étaient posé sur elle, avant de rouler sur mon sac à main pour en vérifier la présence, et finalement j’avais difficilement battu des cils quelques fois pour tenter  de les garder ouverts. Je ne devais pas m’endormir, je ne devais pas m’endormir et la brune me ramènerait chez moi, elle me l’avait assuré. « Dépose moi juste chez moi… » Je me répétais, je n’en avais pas conscience mais déjà mon esprit commençait à partir loin alors que je commençais à divaguer. « Faut vraiment que tu te détende Debbie. » Elan de lucidité ou inconscient ? Quoi qu’il en soit son prénom était remonté à la surface, mais pour rapidement être englouti à nouveau dans les méandres de mon esprit.

Finalement j’avais posé ma tête contre la portière, fatiguée de lutter pour la garder droite. J’avais la sensation que mon cou allait céder et laisser ma tête s’effondrer, et posant mon regard sur mes mains quelques minutes je le levai à hauteur de mon visage, tremblante, avec la désagréable sensation et impression que doigts étaient différents par rapport à la veille. Concentrant mon attention sur ces dernières quelques secondes je les avais finalement laissé retomber sur mes genoux, battant à nouveau des paupières pour ne pas fermer les yeux. Je voulais qu’elle me dépose chez moi.  « Tu devrais te reposer en attendant, ça te ferait du bien. » Comme si je n’attendais que qu’elle m’en donne l’autorisation, j’avais laissé mes yeux se fermer, portée par la musique douce qui emplissait à présent l’habitacle. « Okay. On va chez moi hein ? Je vais juste fermer les yeux quelques secondes. » Si j’avais été plus lucide, je me serais certainement rendue compte qu’à aucun moment je ne lui avais donné mon adresse, ni même indiqué le quartier dans lequel je résidais. Mes yeux étaient restés fermés pendant une bonne partie du trajet, ne s’ouvrant que lorsque les aspérités de la route faisaient rebondir légèrement mon corps. Finalement la voiture s’était arrêtée, le moteur éteint, et j’avais tenté d’ouvrir les yeux pour monter chez moi, mais mes paupières restaient résolument fermées. La portière s’ouvrit manquant de me faire tomber puisque j’y avais la tête appuyée depuis le début du trajet, mais une main posée sur mon épaule m’avait retenue. « Mademoiselle ? Vous m’entendez ? Répondez-moi. » La voix ainsi que la brutalité de ce changement d’univers me ramenèrent en partie à moi, et mes yeux réussirent à s’ouvrir, alors que ma pupille devait rendre mon iris presque invisible. Je n’étais pas chez moi, la pensée traversa mon esprit sans que je sois capable de l’assimiler où d’y réagir, et la seule réponse que je fus capable d’apporter fut un léger gémissement, et posant mes yeux sur les deux hommes qui m’étaient inconnus et qui me faisaient face, je ne pus retenir un mouvement de recul instinctif. Le contact des bras des infirmiers m’attrapant pour me soulever hors de la voiture furent la dernière chose que je sentis avant de basculer dans l’inconscience, ravie par l’impression de sentir mon corps flotter.


❈❈❈❈


Lorsque mes yeux s’ouvrent et se posent sur le plafond blanc, je comprends rapidement que quelque chose cloche et que je ne suis pas chez moi. Pas de mal de crâne abominable, pas de maux de ventre, juste la désagréable impression d’avoir la bouche pâteuse et une sacrée soif. Je bats des paupières à quelques reprises, cette fois ci bien éveillée, alors que mes yeux se posent sur mon bras, dont part un tuyau relié à une perfusion transparente. Mes méninges se mettent en route. Je porte toujours ma tenue de la veille, et la brassière argentée m’aide à comprendre que j’étais de sortie. Pas de mélancolie familière, celle qui vient suite à la descente de la MDMA, pas de gueule de bois, à vrai dire je me sens presque en forme. Portant mes mains sur mon front je reste comme ça quelques secondes, tentant de faire remonter des souvenirs de la veille, mais au-delà de mon arrivée au bar, je me souviens uniquement d’avoir conversé quelques secondes avec le barman. Finalement je me redresse, m’appuyant contre le rebord en fer du lit, et mes yeux se posent enfin sur la jeune femme brune assise sur un fauteuil qui m’observe. Son visage me parle, et j’ai l’impression qu’elle a passé une partie de la soirée d’hier avec moi. Je fouille mes souvenirs quelques secondes, mais rien ne remonte dans l’immédiat. Je me racle la gorge, avant de m’adresser à elle. « On se connait ? Qu’est-ce que tu fous là ? » Je réfléchis quelques secondes, avant de rajouter. « Qu’est-ce que je fous là ? » Un bip régulier m’interpelle, et mes yeux parcourent mon corps, observant les électrodes répartis autour de mon cœur, sur mes poignets et sur mes chevilles. J’entreprends de les décoller un à un de ma peau, et l’électrocardiographe s’emballe instantanément. « Et merde. » Je laisse échapper un juron en réalisant que la cavalerie risque de débarquer d’une minute à l’autre. Tant pis, foutue pour foutue… Je relève les yeux vers la brune, toujours incapable de mettre un prénom sur son visage, ni de savoir ce qu’elle fait là. Mais quitte à y être, autant qu’elle se rende utile. « Aide moi à virer ces trucs. » Je n’ai pas besoin de ça pour savoir que je me sens bien, et que je peux me barrer d’ici. Je montre également du menton la perfusion, dont je ressens le besoin de me débarrasser au plus vite.




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mar 16 Juil 2019 - 11:05, édité 1 fois
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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMar 16 Juil 2019 - 2:34



Till that moment I saved your integrity

La chute de Raelyn dans l’inconscience avait fini de persuader Deborah qu’elle avait pris la bonne décision en venant jusqu’ici plutôt que de la ramener chez elle. Molle comme une poupée de chiffon. La brune refusait d’imaginer ce qui pourrait pu lui arriver si elle l’avait seule avec le type qui l’avait drogué. Et qu’aurait-elle fait avec une blonde inconsciente chez elle ? L’hôpital était clairement la meilleure des options et la brune était presque soulagée de la voir s’évanouir dans les bras d’un infirmier, lui au moins savait comment réagir. Rapidement, les choses s’enchaînaient. On posait des questions à Deborah qui n’étaient pas toujours capable de répondre, ignorante de la réponse. On examinait Raelyn de long en large. On s’assurait qu’elle s’endorme réellement et non qu’elle soit inconsciente. On lui faisait une prise de sang également pour déterminer quelle saloperie coulait dans ses veines pour la mettre dans un tel état et surtout à quelle dose. L’empressement finissait par passer et sans raison apparente, Deborah n’avait pas bougé. Elle aurait pu s’en aller maintenant qu’elle la savait en sécurité. Elle aurait pu s’éclipser, rentrer chez elle sans jamais se faire connaître auprès de la jeune femme et pourtant, elle restait là, assise sur un fauteuil inconfortable dans un coin de la chambre. C’était comme si elle se sentait responsable d’elle à partir du moment où elle avait décidé d’intercepter le sale type et de prendre Raelyn en charge. Alors elle était restée et avait mis fini par s’endormir d’épuisement sur sa chaise.

Elle ne s’était faite réveillée que par une infirmière qui entrait dans la chambre le lendemain matin pour vérifier les constantes de la jeune femme toujours paisiblement endormie, comme si de rien était. La position qu’elle avait pris dans son sommeil rendait ses muscles douloureux. Elle s’était alors levée pour marcher, avait pris un pseudo café dans le distributeur et était sorti pour s’allumer une clope. Cet endroit lui rappelait trop l’accident de son frère et toutes les émotions qui l’avaient traversée ce jour-là. Elle détestait ce lieu jusqu’à la moelle. Pourtant, quand le cylindre fumant touchait à sa fin, elle était retournée à l’intérieur et avait retrouver son maudit fauteuil. Quelques heures. C’est ce qu’elle avait attendu avant que Raelyn n’ouvre de nouveau les yeux, soulagée de la voir bouger même si elle semblait naturellement perdue quant à l’endroit où elle se trouvait. Au début, Deborah ne se manifestait pas, laissant le temps à la jeune femme de complètement remonter à la conscience. Elle finissait seulement par poser les yeux sur elle quand elle se redressait pour s’asseoir dans le lit et qu’elle commençait à lui poser des questions et à retirer tous les machins qui la reliaient à diverses machines. Instinctivement, la brune se redressait pour la joindre au bord du lit, posant sa main sur la sienne pour l’empêcher de retirer la perfusion. Les électrodes, ce n’était rien mais la perfusion, si elle s’y prenait mal, non seulement elle allait se faire mal et pisser le sang mais en plus, elle risquait d’abîmer sa veine. « Je m’appelle Deborah mais c’est pas la première fois que je te le dis ça. Un connard t’a drogué durement pour que tu sois plus docile. » Elle allait deviner la suite hypothétique toute seule, pas vrai ? « Je me suis interposée et je t’ai ramené ici avant que tu perdes connaissance. » Rien de plus, rien de moins, l’histoire était simple.

Et même si elle avait voulu lui raconter plus, une infirmière déboulait dans la chambre, alertée par l’électrocardiogramme qui hurlait de son alarme. « Et bien et bien, on est en forme à ce que je vois. » Relativiser et plaisanter, c’était mieux que s’alerter non ? L’infirmière prenait le relais et Deborah s’éloignait naturellement pour la laisser faire et notamment pour éteindre la machine et pour retirer la perfusion correctement sans faire de dégât. « Avant de vouloir filer à l’anglaise, il va falloir répondre à quelques unes de nos questions mademoiselle Blackwell ainsi que d’attendre que le médecin signe votre autorisation de sortie. » Une identité qu’ils avaient trouvé dans son sac à main, tout bêtement. « Sortez s’il vous plait, j’ai quelques questions à lui poser et quelques examens à faire. » Un hochement de tête et Deborah ouvrait la porte de la chambre, tandis qu’elle lançait quelques mots avant de disparaître. « Tenez-moi au courant, je la ramènerais chez elle quand elle pourra sortir... si elle le veut. » Et cette fois, ça serait vrai bien qu’elle ne comptait pas forcer Raelyn à rentrer avec elle. Si elle voulait rentrer par ses propres moyens, elle ne pourrait rien y faire même si au fond, ça lui ferait plaisir de la raccompagner à bon port. Refermant la porte derrière elle, elle regrettait presque le fauteuil de la chambre quand elle posait son cul sur une chaise de la salle d’attente la plus proche. Plus qu’à attendre, encore.
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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMar 16 Juil 2019 - 13:56



Till that moment I lost control
Raelyn Blackwell & @Deborah Brody

L’état dans lequel je me trouve lorsque j’ouvre les yeux est à la fois assez indescriptible et désagréable, alors que lumière vient frapper ma rétine. Pendant un instant je pense à la chambre d’un inconnu, quelqu’un avec qui je serai rentrée la veille et dont je n’aurais gardé aucun souvenir. Mais ces étrange, déjà parce qu’il est extrêmement rare que je fasse de tels blackout, oubliant totalement la soirée que j’ai vécue jusqu’à ne plus me souvenir que je suis rentrée accompagnée, et ensuite parce que je ne ressens pas les symptômes familiers d’une gueule de bois qui pourrait expliquer que je n’ai gardé aucun souvenir de la veille. Les bips réguliers sont les premiers à me mettre sur la voie, avant même que mes yeux quittent leur contemplation du plafond. Les montants en métal gris du lit me font hausser un sourcil, et quand mes yeux se posent sur le moniteur traçant mon rythme cardiaque régulier, je comprends que je suis allongée dans un lit d’hôpital. Aucune douleur physique, aucun mal-être, je ne peux pas avoir eu un accident ou trop consommé assez de drogue pour me retrouver ici. Elle est horrible cette impression, il est horrible de se réveiller dans une chambre d’hôpital sans avoir la moindre idée de ce qu’il m’arrive. Mais je n’aime pas ça. Je n’aime pas ça, avoir une perfusion dans le bras sans avoir aucun souvenir de qui a bien pu la poser et dans quelles circonstances, je n’aime pas savoir que j’ai probablement été étudiée sous toutes mes coutures dans un état proche de l’inconscience. J’ai fait un malaise ? Je m’en souviendrai. Et ça n’explique pas la perfusion, certainement dédiée à m’hydrater et me redonner des forces. Je suis par contre obligée d’admettre que ça fonctionne, j’ai l’impression que d’avoir l’énergie pour courir un marathon.

Je remarque la brune après de longues secondes sans que sa présence ne me saute aux yeux, et me sens instinctivement violée dans mon intimité. Depuis combien de temps est-elle là ? M’a-t-elle observée toute la nuit ? Sa main se pose sur la mienne, probablement pour m’empêcher de me charcuter les veines en tentant de retirer moi-même ma perfusion, et je ne peux retenir un léger mouvement de recul. Sans trop savoir pourquoi, je n’ai pas envie d’être touchée et n’apprécie pas ce contact physique surprise. « Je m’appelle Deborah mais c’est pas la première fois que je te le dis ça. Un connard t’a drogué durement pour que tu sois plus docile. » Encore une fois mes méninges s’activent pour savoir comment je connais cette fille. Son visage me parle, alors que je n’ai pas le moindre souvenir de la nuit que je viens de passer. Une brune, avec une frange, je me trompe peut-être de personne. Je fronce les sourcils quelques secondes. J’ai été droguée à mon insu ? C’est bien la meilleure ça, que ça arrive à moi. Il a dû charger la dose pour cela me renverse comme ça, pour que je ne garde aucun souvenir, ou alors il s’agit de quelque chose auquel je n’avais jamais touché. J’ouvre la bouche, comme pour poser une question qui ne vient pas tout de suite, mon esprit encore embué et tentant de démêler le fil de mes pensées et souvenir. Elle continue, interprétant peut être mon silence comme une invitation à continuer. « Je me suis interposée et je t’ai ramené ici avant que tu perdes connaissance. » Sans cette fille j’aurais certainement vécu une expérience assez traumatisante et profondément marquante, si elle dit vrai, mais pourtant, encore déboussolée je n’arrive pas à ressentir la gratitude que toute personne normalement constituée aurait ressenti. Elle m’a amenée ici. Pour une simple prise de drogue elle m’a fait admettre à l’hôpital. Ma mâchoire se crispe mais avant que je n’ai le temps de répondre quoi que ce soit, la porte s’ouvre à la volée et une infirmière entre dans la salle. « Et bien et bien, on est en forme à ce que je vois. » Je lui offre mon plus beau sourire ironique, assez agacée d’être traitée comme une enfant, pendant qu’elle débranche l’électrocardiographe et retire les derniers électrode, puis la perfusion. « Avant de vouloir filer à l’anglaise, il va falloir répondre à quelques-unes de nos questions mademoiselle Blackwell ainsi que d’attendre que le médecin signe votre autorisation de sortie. » Donc j’ai été droguée, vraisemblablement, et c’est à moi de répondre à des questions ? Et puis quoi encore ? Cette impression d’être retenue me semble d’un coup très désagréable, et si au fond je sais qu’il s’agit de formalité je ressens le besoin pressant de l’envoyer sur la rose et de ne pas passer une seconde de plus ici. Je pousse un léger grognement, avant de relever les yeux vers l’infirmière. « Allez-y dans ce cas, j’ai pas l’intention de passer la journée ici. » Elle prend un air pincé, le genre d’air qu’on prend lorsqu’on vient de sentir une mauvaise odeur, avant de reprendre un visage impassible. Désolée de te décevoir. Je ressemble peut-être à une gentille jeune femme, mais si elle s’attendait à une demoiselle charmante et cordiale, mauvaise pioche. Toujours ce fichu physique et visage de poupée. Elle ne me répond pas tout de suite, et se tourne vers la brune pour lui demander de prendre congé. « Sortez s’il vous plait, j’ai quelques questions à lui poser et quelques examens à faire. » Je tourne à mon tour mes yeux vers la brune qui quitte la salle après avoir répondu à l’infirmière. « Tenez-moi au courant, je la ramènerais chez elle quand elle pourra sortir... si elle le veut.  » Je lève un sourcil, pensant un instant que je n’ai pas besoin d’une baby-sitter et peux très bien rentrer par mes propres moyens. Mais avant que je n’ai le temps de répondre d’une réplique cinglante, elle quitte la chambre d’hôpital et l’infirmière attrape mon bras d’une main froide pour y enrouler un brassard noir sous lequel elle colle un embout en métal froid. Comprenant rapidement qu’elle est en train de prendre ma tension je ne bouge pas, pas plus que lorsqu’elle et rejointe par un médecin qui m’éblouie d’un filet de lumière et me fait passer toute une batterie de test. Je me prête avec un soupçon de mauvaise volonté et en tout cas de manière bien laconique à l’interrogatoire qui s’en suit. Non, je ne me souviens de rien, non, je n’ai donc par conséquent aucun souvenir de l’homme qui a glissé la substance dans mon verre, du GHB donc d’après leurs analyses et assez forte quantité pour étourdir quelqu’un faisant le double de mon poids (d’où la perte de conscience). Non je ne souhaite pas signaler l’agression. Oui, j’ai conscience que si je ne le fais pas ils ne peuvent pas m’aider. On me rend également mon sac à main, en m’informant qu’un sachet contenant plusieurs pilules d’ecstasy a été saisi pour être remis aux autorité, sans que mon identité de leur soit transmise. Oui, c’est pour ma consommation personnelle, non, je n’en ai pas consommé hier soir, non, je n’ai pas besoin d’aide.  

Tout ça dure quasiment quarante minutes, quand vient la question de ma sortie. « Bon, je pense que je peux vous autoriser à sortir. Vous avez quelqu’un pour venir vous chercher ? » Instinctivement je secoue la tête, trop honteuse de m’être faite avoir comme une pucelle pour envisager de contacter qui que ce soit. « Je ne peux pas vous laisser partir seule. Ou alors il faudra me signer une décharge. » Je pousse un soupir, avant de me souvenir de Deborah. Bon, je peux encore m’infliger sa compagnie quelques minutes de plus non ? J’informe le médecin de ma décision, et l’infirmière confirme rapidement que je suis accompagnée. Une fois le graal - l’autorisation de sortie - en main, je cherche ma veste des yeux un instant, sans la trouver et quitte la chambre mon sac sur l’épaule. Effectivement, une fois debout la fatigue s’empare de mes muscles, mais je fais de mon mieux pour ne rien laisser paraitre, dans l’urgence de de retrouver les murs de mon appartement. Mes yeux se posent sur la brune, qui m’attend sagement dans le couloir. « Tu me ramènes. » Que je lui lance simplement, avant de prendre la direction de la sortie, en silence. Je la suis jusqu’à sa voiture, si on peut vraiment appeler ça une voiture, avant de m’installer sur le siège passager, jetant un coup d’œil autour de moi. « J’avais une veste, un blazer noir, il est resté là-bas je suppose ? » Vraisemblablement, puisque je ne la trouve pas dans l’habitacle. J’ai dû la laisser au vestiaire en arrivant. Tant pis, j’irai la récupérer plus tard. Tout cet interrogatoire m’a mise de mauvaise humeur, et malheureusement pour la brune, elle est la seule sur laquelle je peux pour l’instant passer mes nerfs. Mon ton est un peu brusque, mais je finis par secouer la tête, résignée et tentant de m’adoucir. « Laisse tomber, j’irai le chercher plus tard. » Je l’observe quelques secondes, les sourcils froncés. « J’ai l’impression de te connaître. » D’avant cette soirée en fait, puisque je ne suis même pas sure que je serai capable de reconnaître l’homme qui a tenté de m’agresser. « Pourquoi tu ne m’as pas ramenée chez moi ? » Je suis prête à mettre ma main à couper que je ne lui ai pas demandé de me déposer à l’hôpital, quel que soit mon état. Alors je tente de comprendre.





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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyLun 5 Aoû 2019 - 23:29



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Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle foutait encore là. Raelyn était réveillée, visiblement en pleine forme quoi qu’un peu déboussolée par la situation, quoi de plus normal. Deborah pourrait partir, la laisser là à présent qu’elle était assurée de son réveil et de sa santé et simplement disparaitre aussi vite qu’elle était intervenue hier soir. Elle pourrait oui et pourtant elle était toujours là, à l’entrée des portes de l’hôpital, une clope au bec et un café dégueulasse à la main. La raison de sa présence, elle ignorait elle-même. Peut-être un souvenir refoulé de l’accident de son frère où après avoir constaté qu’il était en vie, elle était simplement partie après quelques mots. Un regret profondément ancré dont elle avait du mal à se défaire, comme si sa présence aurait changé quoi que ce soit à l’avenir de son frangin, vite abandonné de tous sauf d’elle-même. Oui, elle avait regretté de ne pas être assez là puis d’avoir été trop là. Peut-être qu’elle se rattrapait un peu avec cette meuf qu’elle ne connaissait même pas. C’était ridicule mais l’inconscient l’est un peu après tout, rien d’étonnant là-dedans. Alors la brune avait attendu. Longtemps. Quarante minutes, ce n’était pas grand-chose comparé à la nuit entière mais les dernières secondes sont toujours les plus longues et elle commençait sérieusement à s’impatienter. Quand Raelyn montrait enfin le bout de son nez, un poids quittait les épaules de la jeune femme, soulagée de pouvoir enfin s’en aller – et même amusée du pseudo ordre de la blonde qui gardait la tête haute mais avec une démarche pas aussi assurée qu’elle le devrait.

Quand les deux femmes arrivaient au véhicule, Deborah prenait place côté conducteur et Raelyn ne tardait pas à la rejoindre sur la place du passager. Le moteur semblait presque se noyer avant de finalement donner signe de vie et démarrer. Son vieux coucou finirait un jour par la quitter mais ce n’était visiblement pas pour tout de suite, tant mieux. « Tu supposes bien. » En effet, sa veste était restée là-bas, Deborah ayant opté pour une autre propriété hier soir : sortir la poupée de chiffon de son calvaire. Un léger rire passait le seuil de ses lèvres quand la jeune femme lui signalait cette impression de déjà vue la concernant. Ah ça pour la connaître… « Connaître c’est un grand mot mais ouais, on s’est déjà parlées... engueulées même. Je promenais un gros chien parmi d’autres chiens. Il m’a échappé des mains, il s’est jeté sur toi et tu es tombée dans une fontaine du parc. Je pense que tu as dû décaler un rendez-vous et te racheter des fringues et un téléphone à cause de cette brute. » Avec le recul, la scène la faisait rire plus qu’elle ne l’énervait. Elles s’étaient engueulées comme du poisson pourri pour finalement pas grand-chose puisque Raelyn, même si Debra l’ignorait, était loin d’être pauvres et avait largement de quoi se racheter tout ça. Quant à son rendez-vous, en revanche, peut-être que ça avait tout foutu en l’air mais les mois étaient passés et ça n’avait sûrement plus d’importance – sans compter que vu le caractère de la blondinette, elle avait sûrement réussi à décaler son rendez-vous sans grande difficulté.

« Parce que c’était la meilleure chose à faire compte tenu de la situation ? » Question rhétorique. Ça lui paraissait tellement logique que la question ne s’était pas posée pour elle mais si Raelyn avait besoin qu’on éclaire sa lanterne, elle n’allait pas l’en priver. « Tu étais hagarde, droguée jusqu’à la moëlle sans que je n’ai aucune idée de la nature de la drogue en question et de sa quantité. Je ne tenais franchement pas à ce que tu me claques entre les doigts. » Et même en admettant qu’elle était simplement droguée et ailleurs, sans parler de sa perte de conscience, Debbie n’aurait pas su quoi faire d’elle tant elle se trouvait loin de l’univers des drogues et de leurs conséquences sur le corps humain – ou tout du moins, loin d’être consciente qu’elle frôlait cet univers du doigt à chaque fois qu’elle fréquentait Keegan. « Tu t’es évanouie quand on est arrivées à l’hôpital et puisqu’ils ont trouvé de l’ecsta dans ton sac en plus de l’alcool dans ton sang, ça a fini de me persuader que j’ai bien fait de venir pour t’éviter éventuellement une surdose. » Oui, éventuellement parce qu’elle ne savait pas si Raelyn avait consommé de la drogue ce soir-là ou non mais rien que le mélange explosif d’alcool et de GHB, c’était bien suffisant. Elle ne la jugeait pas pour l’ecstasy, loin de là, ça faisait juste partie de la balance sur sa décision d’être venue à l’hôpital ou non. Sortie du parking en approche. « C’est quoi ton adresse ? » Cette fois, elle la ramenait vraiment chez elle. « Sauf si tu préfères que je te dépose ailleurs, c’est comme tu veux. » Elles avaient signé une décharge qui disait que Raelyn n’était pas seule à la sortie de l’hôpital mais après tout, personne n’allait les suivre pour savoir que les deux femmes se rendaient vraiment à son appart – même s’il fallait avouer que Debra était forte curieuse quant au quartier où résidait la demoiselle.
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptyMar 6 Aoû 2019 - 9:59



Till that moment I lost control
Raelyn Blackwell & @Deborah Brody

Lorsque mes pas me portent à l’extérieur de l’hôpital je ne peux empêcher un sentiment de soulagement de traverser mon échine. Je n’aime pas ces endroits, sans qu’il n’y ait de précédent ou de sombre histoire derrière tout ça. J’ai l’impression d’être restreinte enfermée derrières ces quatre murs, et je ne vois pas d’un bon œil tout endroit où quelqu’un d’autre que moi peut décider de si j’ai le droit de sortir ou non. Lorsque mes yeux se posent sur la voiture, je sais qu’elle devrait me sentir familière, puisque c’est vraisemblablement dans ce tas de ferraille qu’elle m’a transportée hier, mais j’ai beau fouiller dans mes souvenirs et remuer mes pensées, rien n’en ressort. Comme si quelqu’un avait creusé un trou dans mon cerveau pour en extraire tout ce qui concernait la soirée d’hier, et je détestais ça. Je chasse de mon esprit l’idée que n’importe quoi aurait pu m’arriver et que je ne m’en souviendrais pas pour autant. Mes yeux cherchent un instant ma veste avant de réaliser l’évidence : elle n’est pas là. Bon, tant pis, je rentre de toute façon directement chez moi alors le fait d’être vêtue d’une simple brassière en plus de mon pantalon moulant n’est pas un drame en soi. J’ai hâte de me changer de toute façon. « Tu supposes bien. » Je laisse échapper un léger soupir mais ne rebondit pas. J’aurais de toute façon été bien plus gênée à l’idée qu’elle se permette de récupérer mes affaires et éventuellement de laisser sa curiosité la pousser à les fouiller. J’ai mon sac sur moi, et c’est le principal. Je l’ouvre balayant du regard son contenu. Clés de  chez moi – elles sont donc là – portefeuille, mon paquet de clopes et mon briquet, le liquide que je transportais également, et mon téléphone que j’attrape pour le déverrouiller et parcourir messages et appels en absence que j’ai reçus, me rendant compte qu’il est déjà midi. Je devais voir Mitchell ce matin et cela n’a pas raté, il a essayé de me joindre trois fois. Bon, tant pis, je tape rapidement un message, J’ai eu un problème ce matin, je t’appelle en début d’après-midi avant de ranger le téléphone. « Connaître c’est un grand mot mais ouais, on s’est déjà parlées... engueulées même. Je promenais un gros chien parmi d’autres chiens. Il m’a échappé des mains, il s’est jeté sur toi et tu es tombée dans une fontaine du parc. Je pense que tu as dû décaler un rendez-vous et te racheter des fringues et un téléphone à cause de cette brute. » Je lève un sourcil, le temps que cette rencontre me revienne en mémoire. « Ah oui... » Je n’ai pas grand-chose à ajouter. Ce n’est pas comme si on était devenue copines ce jour-là, et je n’aurais jamais remis son visage sur cette situation sans son aide. J’avais tempêté parce que trempée au beau milieu d’un parc, mais les pertes matérielles n’avaient effectivement pas eu la moindre importance.

La réponse qui m’intéresse beaucoup plus par contre c’est celle qui explique pourquoi je me suis réveillée sur un lit d’hôpital, des tuyaux dans le bras et des électrodes répartis sur mon corps. Ça, j’avoue que j’aimerais beaucoup entendre son explication. « Parce que c’était la meilleure chose à faire compte tenu de la situation ? » Je lève un sourcil, je voyant toujours pas où elle veut en venir. « Tu étais hagarde, droguée jusqu’à la moelle sans que je n’ai aucune idée de la nature de la drogue en question et de sa quantité. Je ne tenais franchement pas à ce que tu me claques entre les doigts. Tu t’es évanouie quand on est arrivées à l’hôpital et puisqu’ils ont trouvé de l’ecsta dans ton sac en plus de l’alcool dans ton sang, ça a fini de me persuader que j’ai bien fait de venir pour t’éviter éventuellement une surdose. » Ce dont elle me parle je n’arrive pas à m’en souvenir, alors difficile de remettre sa parole en cause. Ses motivations par contre me semblent un peu légère, à moi qui suit habituée à jongler avec des junkies et avec de la drogue dans mon organisme. « Si c’était du GHB, rien d’étonnant à ce que je me sois endormie en même temps. » Quand même, elle ne peut pas l’ignorer ça ? C’est quand même la base, le genre de chose que tout le monde sait non ? « Et donc pour une surdose tu t’es dit que t’allais me faire passer une nuit à l’hôpital. » Tout le monde aurait remercié la jeune femme pour son action, moi ma stupide fierté prenait le dessus. Je n’aimais pas l’idée d’avoir été en situation de faiblesse, je n’aimais pas que l’on m’ait vue en situation de faiblesse et je détestais l’idée d’avoir eu besoin d’aide. Jamais je ne l’avouerai. « J’étais ta B.A. du jour c’est ça ? » Je suis de mauvais poil, mais on peut m’excuser non ? Je me suis réveillée dans une chambre d’hôpital, une inconnue à mes côté, sans aucun souvenir et on m’apprend que j’ai consommé du GHB à mon insu. Non, ce n’est pas une excuse ? Je reste pourtant plutôt soft à mes yeux.

Alors que la voiture finit par réussir à démarrer je baisse ma vitre – manuellement, c’est assez rare aujourd’hui pour être noté, et je réalise la fatigue qui habite mes muscles et mon corps – avant de tirer une cigarette de mon sac à main pour l’allumer. Je tire une première latte, ferme les yeux et garde la fumée un instant, avant de souffler par la fenêtre. « C’est quoi ton adresse ? Sauf si tu préfères que je te dépose ailleurs, c’est comme tu veux. » Non, on va rentrer droit chez moi, j’ai envie de me changer, de prendre une douche et de commander quelque chose à manger. A quand remonte mon dernier repas, la veille au soir ? Impossible de m’en souvenir. « Spring Hill, au croisement d’Adelaïde Street et de Clark Lane. » Spring Hill et ses grand immeubles luxueux et vitrés, ses appartements de standing. Je lui réponds les yeux rivés sur l’extérieur et le bras qui tient ma cigarette reposant sur la fenêtre. « Fais comme si j’avais rien dit ok ? J’aime pas les hôpitaux. » Et c’était une réaction un peu démesurée de sa part, je n’en démords pas. « Le type, j’avais l’air de le connaître ? » Celui qui s’est dit que me droguer pour me rendre plus docile était une bonne idée, j’entends.






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Message(#)RAELYN&DEB ► Till that moment I lost control EmptySam 21 Sep 2019 - 15:25



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Elle n’avait pas tort. Rien d’étonnant à s’endormir sous l’effet du GHB, en effet, tout le monde le savait. Deborah n’allait pas se répéter pour autant. Elle savait qu’on avait drogué la jeune femme mais elle ignorait avec quoi et en quelle quantité. Même le GHB pouvait être mortel et qu’on se le dise, avec le petit gabarit qu’était Raelyn, il avait été bien plus prudent de l’emmener ici que d’attendre qu’elle se réveille, quoi qu’il en soit. Le ton sévère de la jeune femme, elle l’entendait bien à ses oreilles mais elle ne s’en offusquait pas pour autant. Elle avait bien compris qu’elle était de mauvaise humeur et qu’elle était comme ça en général visiblement. Ça avait même plus tendance à faire sourire la brune tant c’était évident qu’elle n’allait pas lui dire merci et continuer de lui reprocher sa venue ici comme si elle était au courant de la résistance de son organisme face aux diverses drogues. « De rien, c’était avec plaisir. » Un regard en coin amusé, un sourire qui l’était tout autant. Deborah préférait le prendre ainsi plutôt que de s’énerver parce qu’elle lui parlait mal alors qu’elle lui avait sauvé la mise et qu’en plus, elle lui servait de chauffeur sans aucune contrepartie. « Si ça te fait plaisir de penser ça, je te l’accorde. » Elle n’était plus à ça près de toute façon. A croire que c’était inconcevable pour la blonde qu’on puisse la sortir d’une mauvaise situation – avoir finalement un comportement que tout citoyen devrait avoir d’ailleurs – sans rien demander en retour. Il fallait absolument que ce soit une bonne action exceptionnelle pour que cela soit justifier… son monde était bien triste ou celui de Deborah trop normal.

L’adresse en tête – et surtout rentrée dans le GPS, la brune étant loin de connaître la ville par cœur, elle qui prend peu sa voiture – elles prenaient la direction de l’appartement de Raelyn. Quartier chic, quartier riche. Loin des hauts immeubles du quartier de Debbie, loin des gens entassés les uns sur les autres. Il y en a qui ont de la chance… ou qui ont bossé pour avoir du pognon que les jaloux/ignares appellent chance. Elle ignorait dans quel cas de figure se trouvait la jeune femme et vu son humeur de chien, elle n’allait certainement pas tenter de lui demander, elle ne tenait pas franchement à ce qu’elle en rajoute sans aucune raison. Alors Deborah s’était tue mais c’était sa voisine qui prenait la parole d’elle-même. Est-ce que c’était une sorte d’excuses que de lui demander d’oublier tout ce qu’elle venait de dire ? Peut-être… au moins la cigarette avait eu le don de l’apaiser un peu il fallait croire. Comme quoi ça marchait vraiment cette merde mine de rien. « Absolument pas. Quand je me suis approchée pour l’intercepter, tu l’as complètement lâché pour t’accrocher à moi comme à une bouée de sauvetage. Je pense que tu étais encore assez lucide à ce moment-là pour te rendre compte de ses mauvaises intentions. Après ça, il a juste disparu mais si tu veux porter plainte ou un truc du genre, j’ai plus ou moins imprimé sa sale gueule dans mon esprit. » Plus ou moins ouais parce qu’avec la lumière d’un club, c’était compliqué d’être exact dans la description des gens et qu’en soi, elle ne l’avait vu que quelques secondes.

Les minutes défilaient, les kilomètres aussi. Rapidement les deux femmes se retrouvaient au croisement d’Adelaïde Street et de Clark Lane. Un beau quartier, en effet. Dès lors que Deborah trouvait une place, elle sortait de la voiture et en faisait le tour pour ouvrir la portière de Raelyn. Loin d’elle l’idée de vouloir être galante mais l’ouverture/fermeture de la porte passager ne s’était pas miraculeusement réparé dans la nuit. « Il parait que je suis censée te surveiller et voir si tu t’hydrates bien toute la journée mais j’en ai pas envie et je suppose que toi non plus alors je vais te laisser là maintenant que tu es chez toi. » Rien de plus, rien de moins. La demoiselle était bien assez grande – et caractérielle – pour s’occuper d’elle toute seule, elle n’avait besoin de personne. « Peut-être à la prochaine, qui sait, visiblement le destin a décidé qu’on se croise plus souvent qu’on ne le croit. » Et elle ne croyait pas si bien dire, tandis qu’elle reposait son cul en voiture et qu’à son tour, elle rentrait enfin chez elle.

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