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 RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyDim 11 Aoû 2019 - 23:42

Camil adorait cette sensation particulière – celle d’après l’amour, quand les corps sont encore moites de l’effort produit quelques instants plus tôt. Son cœur bat encore un peu trop vite, les odeurs qui effleurent les narines lui rappellent que leurs ébats ont été torrides, et ses yeux se ferment pour savourer pleinement ce moment. Il a joui, elle aussi, et le délicieux sentiment du devoir accompli s’empare doucement de lui. Quitte à se voir sporadiquement, autant faire de ces moments partagés une fête, voire un feu d’artifices. Il laissa volontiers Raelyn se reposer quelques instants sur son torse, alors que ses ongles y dessinaient quelques arabesques. Ce n’est qu’en passant une main sous sa nuque qu’il constata que quelques longs cheveux blonds s’étaient accrochés à ses doigts. Il en fit état à la femme qui se prélassait dans les draps, tout en sachant que cette dernière ne s’en offusquerait pas – les ébats sulfureux la faisaient grimper aux rideaux, et Camil en jouait volontiers. L’éventuelle timidité dont ils avaient pu autrefois faire preuve s’était envolée depuis longtemps, et il n’était pas rare que l’un comme l’autre en ressorte avec des séquelles physiques plus ou moins marquées. « Je les mettrai dans ma boîte à souvenir. » Plaisanta le politicien, avant de faire gigoter ses doigts à côté du matelas. Les quelques cheveux qui étaient bloqués s’échappèrent un par un, et rejoignirent le cimetière de leurs vêtements, éparpillés un peu partout dans la chambre. Comme toujours dès qu’ils se retrouvaient tous les deux, ils s’appliquaient à mettre un véritable capharnaüm. Les flûtes de champagne étaient renversées sur la table basse, les draps étaient aussi froissés que si un ouragan était passé, une chaussure à talon traînait dans un coin de la pièce, et les cheveux de Raelyn avaient doublé de volume.  La pécheresse, dans toute sa splendeur. Le politicien se pencha vers elle, et goûta une énième fois à sa peau. Il démarra de son épaule, et glissa le long de son flanc, pour finalement s’arrêter dans la cambrure de son dos. Il ne releva les yeux vers elle que pour tenter un vague recrutement – tout en sachant pertinemment qu’il y avait de grandes chances pour qu’elle refuse. « Et ma réponse reste la même : je ne veux pas d’une campagne sale. » Admit-il d’une voix calme et posée. Si officiellement, il restait distant et discret dès qu’il s’agissait de la politique, Camil ne se privait pas d’afficher ses ambitions en privé. Raelyn, missionnée par son supérieur direct, était un jour venue le trouver pour lui proposer un financement sous-marin dont il ne pourrait jamais faire état. Prendre le risque d’être démasqué, et se griller directement ? Jamais de la vie. Il avait déjà trop galéré pour en arriver là. « Je ne suis pas entouré que d’énarques et autres ingénieurs. » Déclara-t-il en haussant les épaules, alors que les doigts de Raelyn remontaient sur son flanc. L’équipe qu’il dessinait, petit à petit, était avant tout constituée de personnes de confiance. Sa sœur, bien évidemment, tiendrait un rôle prépondérant – même s’il ferait tout pour la préserver. Il envisageait aussi clairement de recruter Deborah Brody, son actuelle community manager, dont les performances en informatique lui étaient précieuses. Il avait aussi quelques hommes politiques chevronnés, qui avaient pleinement conscience de n’avoir aucune chance individuellement, mais qui souhaitaient tout de même croquer dans le gâteau. « Et le mien aussi. » Reconnut-il, ses yeux rencontrant ceux de son interlocutrice. Mais finalement, n’y avait-il pas du bon à être officiellement opposés l’un à l’autre ? N’y trouvaient-ils pas une certaine harmonie ? Leur relation n’en était-elle pas que plus pimentée, plus interdite, plus excitante ?  Bien sûr que si. Si jamais ils poursuivaient sur leur lancée, ils devraient être d’autant plus vigilant. L’opinion publique n’était pas tendre, et ne faisait jamais de cadeau. Au bout d’un moment, même les chouchous du public finissaient par tomber, s’ils commettaient erreur sur erreur. « Si j’avais été un raté, j’aurais probablement accepté ta proposition. » Admit l’Australien en souriant. Ça l’amusait, de voir les nazes se laisser corrompre si facilement. Lui valait bien mieux que ça. Il passa une main de chaque côté du visage de sa maîtresse, et se hissa sur ses coudes, la surplombant de quelques malheureux centimètres. « Mais je n’ai rien d’un raté. » Ajouta-t-il, avant de dessiner du bout de l’index la bouche de Raelyn. Il plissa les yeux, se souvenant soudainement de la promesse que l’Australienne lui avait faite, avant qu’ils ne se perdent dans leur désir. « J’ai quand même le droit à mon massage ? Tu me l’avais promis. » Murmura-t-il, alors que les pensées de Camil convergeaient vers une fin de nuit sans sommeil.
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Raelyn Blackwell
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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POSTS : 34326 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyLun 12 Aoû 2019 - 11:51


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

Alors que les battements de mon cœur reprennent petit à petit un rythme normal et que les papillons au creux de mon bas ventre commencent à se dissiper dans la nature, me laissant déjà avec une pointe de nostalgie, je l’observe en souriant relever sa main pour me montrer avec une sorte de fierté les cheveux blonds restés accrochés entre ses doigts. Une broutille, pas le genre dont je me formalise, mais je ne peux m’empêcher d’être amusée en voyant le politicien les afficher fièrement, comme un enfant viendrait montrer les coquillages qu’il a ramassés au bord de la plage.  « Je les mettrai dans ma boîte à souvenir. » Je secoue la tête en riant, étendant un peu plus mes bras alors qu’il se débarrasse rapidement de mes cheveux pour se pencher vers moi, et poser encore une fois ses lèvres sur ma peau. Il sait l’effet qu’il me fait, il ne peut que sentir les frissons qui parcourent mon corps alors que ses lèvres descendent dans mon dos, et ma respiration qui se tend quand il en atteint le creux. Il s’en amuse j’en suis sure, alors que moi l’instant je reste de mon côté sage, laissant mes doigts se balader sur son torse. Je me mords la lèvre un instant, tentée par l’idée de lui rendre la monnaie de sa pièce, mais je réussis pour le moment à me contenir. A tenter de rester de marbre, comme si ce contact prolongé de ses lèvres sur mon corps ne me faisait rien, comme s’il ne me donnait pas beaucoup plus de pensées inavouables.

Il aime ça Camil, ces moments après l’amour. Ces moments où les souffles se mêlent encore un peu, ou les mains de l’autre viennent continuer à s’approprier la peau de l’autre, comme si elles n’étaient pas tout à fait prêtes encore à abandonner les droits qu’elles ont sur son corps. Ces moments où il est si tentant de se laisser happer à nouveau par la luxure, et où les langues se délient parfois aussi, et où il est nécessaire de rester attentif pour ne pas regretter une confidence. C’est lors d’un moment comme celui-là que Camil m’avait confirmé que je ne me trompais pas, qu’il avait des vues sur la mairie et une ambition dévorante. Mais il m’avait été impossible de le pervertir depuis. Comme il lui avait toujours été impossible de trouver une faille en moi, une faille dans ma loyauté dans laquelle il pourrait s’engouffrer. « Et ma réponse reste la même : je ne veux pas d’une campagne sale. » J’esquisse un sourire et me laisse retomber sur le dos, tournant la tête vers lui. Oui sa réponse ne change pas, immuable, ennuyeuse. « Je ne suis pas entouré que d’énarques et autres ingénieurs. » Je secoue la tête, parce que la perspective de m’imaginer faire carrière à ses côtés, ou dans les affaires me semble absurde. « J’ai bien trop de squelette dans mes placards. » Jamais je ne pourrais envisager une carrière où le paraître est plus important que la valeur d’une personne, et où l’opinion publique peut défaire quelqu’un en un claquement de doigt. Pas avec mon passif, ni avec mon présent sulfureux. « Et le mien aussi. » J’esquisse un sourire devant cette affirmation, ce jeu invariable qui s’est installé entre nous deux. La vérité c’est que s’il ne représentait pas l’interdit, je m’en serai probablement déjà lassé, les hommes arrivant à capter mon attention comme lui depuis presque deux ans étaient rares. Il ne devait ça qu’à nos entrevues exceptionnelles mais planifiées, faisant monter le désir et l’attente en moi, et à la nature interdite de nos rapports. « Si j’avais été un raté, j’aurais probablement accepté ta proposition. » Se hissant au-dessus de moi, il laisse ses mains glisser de chaque côté de mon visage, alors que mes prunelles dévorent les siennes. « Mais je n’ai rien d’un raté. » Une lueur amusée traverse mon regard. « C’est comme ça que tu me vois ? Une ratée ? » Je la taquine mais m’interroge, puisqu’il semble définir ainsi ceux qui s’acoquinent avec mon monde, et a tenté quelques secondes avant de me convaincre que je pourrais faire autre chose de ma vie, « mieux » surement, selon ses standards.

Aguicheur, ses doigts tracent le contour de mes lèvres, et il a ce regard. Celui de l’homme qui va demander une faveur. « J’ai quand même le droit à mon massage ? Tu me l’avais promis. » Je secoue la tête, amusée, ne décrochant mes yeux des siens pendant quelques secondes. Je lui ai dit que je m’occuperai de son corps et de ses articulations douloureuses, pas que je lui promettais un massage, mais il l’a interprété comme cela l’arrangeait, évidement. Mais de bonne humeur, je me prête au jeu me redressant et m’extirpant des draps, découvrant mon corps nu pour enjamber l’homme politique et me retrouver à califourchon sur lui, avec le drap comme seule barrière entre nos corps. Laissant mes doigts se promener sur son torse, je prends un faux air innocent. « Oups, j’ai l’impression que tu es dans le mauvais sens. » Mais déjà, mes cuisses se referment autour de sa taille, l’enserrant de leur étreinte, alors que je me penche pour déposer mes lèvres dans son cou, l’effleurant dans un baiser presque chaste, avant de me redresser, une lueur amusée au fond des yeux.






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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyLun 19 Aoû 2019 - 22:15

Il eut un sourire amusé contre la peau de sa maîtresse, alors qu’elle lui apprenait qu’il y avait trop de squelettes dans ses placards pour qu’elle ne se lance dans une carrière publique. Il n’était pas surpris – il savait très bien qu’elle n’était pas une sainte, et qu’elle trempait dans des affaires louches. Il n’avait jamais réellement cherché à connaître les frasques qui avaient jalonné son passé – ni même celles qui constituaient son présent. C’était une grande fille, et elle faisait ce qu’elle voulait de son temps. Moins il en savait, plus il était préservé ; si jamais leur relation venait à être découverte par on ne sait quel hasard, il n’aurait rien à en dire. Bien sûr, il pourrait faire état de détails intimes : dévoiler qu’elle aimait les rapports dénués de tendresse, la façon qu’elle avait de l’allumer quand ils n’étaient pas en mesure de concrétiser, ou cette manie qu’elle avait de lacérer son dos quand il la rendait volontairement impatiente. Mais tout cela ne serait d’aucune utilité, dans une enquête. Il n’y aura rien à charge contre lui. Son regard se perdit une seconde sur ses doigts fins qui effleuraient son torse imberbe, et il secoua légèrement la tête, amusé. Par chance, il était grand – et il avait un fol espoir que la hauteur du placard de Raelyn soit trop faible pour qu’elle l’y loge. « Dieu merci, je frôle les deux mètres. » Souffla le politicien, alors qu’il glissait au-dessus d’elle et lui expliquait pour quelle raison il s’obstinerait à refuser ses propositions de financement. « Non. » Répondit-il simplement, alors qu’elle lui demandait s’il la considérait comme une ratée. Il savait très bien que Raelyn était bien plus maligne et plus intelligente que les apparences ne pouvaient le laisser croire, lors d’une première rencontre. Elle avait un esprit aguerri, de la répartie, et une audace qu’il louait volontiers. Si Camil n’approuvait pas les chemins empruntés par sa maîtresse, il ne la dévaluait pas pour autant. Il savait à qui il se confrontait, avec qui il s’acoquinait, et c’était notamment pour cela qu’il restait sur ses gardes. Il veillait toujours à ne jamais prendre d’effets personnels – et surtout professionnels – lorsqu’ils se voyaient. Il ne lâchait rien d’officieux ou d’inédit, trop conscient des ravages que cela pourrait avoir sur la suite de sa carrière. Comment pourrait-il justifier qu’il se soit laissé aller à quelques confidences auprès d’un membre du Club ? Pire encore : comment justifier qu’il se vautre allégrement dans les draps en soie d’un hôtel luxueux, et ce de façon régulière, avec un membre du Club ? Il ne pourrait en aucun cas prétendre qu’il avait été manipulé – on le savait trop malin et trop prévoyant pour se laisser ainsi berner.

Ses lèvres s’accrochèrent à la peau soyeuse de sa maîtresse. Le lobe de son oreille, son cou, sa clavicule, sa poitrine, son nombril. Il songea même à disparaître sous les draps pour la préparer au mieux à un second round, avant de se souvenir qu’une promesse avait été faite précédemment. Il avait envie de ce massage, mais une petite voix intérieure lui fit remarquer qu’il y avait peu de chance pour que sa maîtresse se plie volontiers à ses désirs – si elle avait été une proie facile et maniable, il y a bien longtemps qu’ils ne se fréquenteraient plus. Raelyn fit mine d’accéder à sa requête, et s’installa plus confortablement sur lui. Seul un drap de soie les séparait – sans doute plus pour très longtemps, vu la patience dont ils faisaient tous les deux preuve. « Quel dommage ! » Soupira-t-il, feignant de regretter sa position. Elle se pencha vers lui, et déposa un chaste baiser sur ses lèvres. Bien vite, elle se redressa pour se soustraire à ce contact – avait-elle peur de céder avant lui ? Il se délectait de sa position : il avait droit à une vue imprenable sur les courbes affriolantes de Raelyn. Courbes qu’elle exhibait fièrement, et dont elle n’avait aucunement honte – à juste titre, d’ailleurs. Le politicien noua ses bras derrière sa nuque, ré-haussant légèrement son regard vers celle qui partageait sa nuit. « Qu’est-ce que tu vas faire de ton pauvre prisonnier ? » Demanda-t-il en arquant un sourcil, s’attendant à tout de sa part.

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Une carrière dans les affaires, une carrière en politique, autant de voies qui ne m’ont jamais intéressée. Surtout quand, comme ce soir, j’entends Camil me parler de ces ennuyeux rendez-vous qu’il a dû écourter. Mes rendez-vous comme mes interlocuteurs sont beaucoup de choses, ils sont parfois brusques, pressés, autoritaire et prétentieux, ils sont souvent misogynes et s’autorisent des gestes ou paroles déplacées envers moi, parce que je suis une femme et que mon apparence est trompeuse, et ils sont pratiquement toujours imbus d’eux même et charismatiques. Mais ennuyeux ils ne le sont jamais, parce que j’évolue dans un monde où l’ennui n’a pas sa place. Alors oui, c’est également un monde qui vient avec ses squelettes. J’ai menti, j’ai trompé mes interlocuteurs, j’ai vendu de la drogue sans être regardante, j’ai été la cause d’overdoses, certaines dont j’ai connaissances et surement plus que je ne peux dénombrer, j’ai menti aux forces de l’ordre, j’ai intimidé des opposants, j’ai assisté sans ciller à des passages à tabac, et je n’ai pas détourné la tête lors d’exécutions, même si pour l’instant je n’en ai jamais été la main armée. Mais ces squelettes je ne les déplore pas, parce que la morale qui semble animer le commun des mortels ne m’a jamais atteinte, ne m’a jamais secouée, et j’ai jusqu’ici su fermer les yeux sur chaque épreuve qui lui a été présentée. La seule question que je me sois toujours posée c’est : est-ce que j’ai quelque chose à y gagner ? Et la réponse était oui, souvent oui, et dans ce cas je suis capable de cautionner les pires atrocités et de dormir malgré tout sur mes deux oreilles. Camil se glisse au-dessus de moi, toujours avec ce sourire, cet air effronté sur le visage. « Dieu merci, je frôle les deux mètres. » C’est vrai qu’il est immense à mes côtés l’homme politique, et ajoutez à ça une sacré dose de charisme et un charme fou, il est le candidat parfait. Celui sur lequel le Club avait parié, sans réussir à le mettre dans sa poche, celui sur lequel je continue à parier, le gardant dans ma poche et restant dans ses bonnes grâces. Je n’ai jamais été la maîtresse d’un maire, cela doit être grisant. Et j’ai toujours aimé les hommes dans les bras desquels je me sens petite, je me sens fragile et presque cassable. « Tu devrais venir chez moi pour une fois, et constater par toi-même la taille de mon dressing. » Auquel une pièce entière est dédié. Un sourire sur les lèvres je lèvre une main vers son visage, caressant d’un air lointain sa barbe naissante. Il n’est jamais venu chez moi, et c’est surement le seul de mes amants réguliers. Je suis du genre à aimer le confort de mon appartement, de mes draps en soie, et j’aime être maîtresse des lieux, parce que cela me procure une supériorité à peine palpable dont je raffole. Mais Camil et surtout ce qu’il a la possibilité de devenir, c’est une jolie exception à ma règle.

« Non. » Qu’il répond simplement à ma question, qui de toute façon n’était pas motivée par la moindre crainte, la moindre peur d’être dévaluée à ses yeux. S’ils aiment le corps d’une femme mais pas son esprit, les hommes se lassent, et la durée de notre liaison comme notre étreinte torride qui se termine à peine prouvent qu’il n’est pas lassé de moi, pas même un peu. Mais il arbore souvent cet air supérieur Camil, celui qui rend ma question pertinente. « Très bien, parce que cela serait une grossière erreur que de me sous-estimer. » Je lui réponds dans un sourire, laissant finalement retomber ma main qui s’était perdue sur sa mâchoire carrée, attribut masculin que j’ai toujours trouvé diablement séduisant, puis dans ses cheveux. Comme encouragé par ce contact il vient rapprocher son visage pour le glisser dans mon cou et y déposer les lèvres, avant de descendre sur ma clavicule, ma poitrine sur laquelle il s’attarde trop pour ne pas m’arracher un frisson alors que mes doigts filent dans ses cheveux blonds, avant de descendre jusqu’à mon nombril et de s’arrêter, me laissant frustrée, jouant avec mes nerfs, me faisant miroiter quelques instants de plaisir et me les refusant. Une moue boudeuse se dessine sur mon visage alors qu’il ramène le sien au niveau de mon regard, et qu’il cherche à me soutirer un massage. Bonne joueuse je me redresse pour m’installer sur lui, peignant un air innocent sur mon visage. « Quel dommage ! » Etrangement, il n’a pas l’air si déçu que ça. Je me penche sur lui pour poser lèvres sur sa peau avant de lui voler un baiser chaste, mais me redresse et le retiens d’une main sur son torse lorsqu’il tente de l’approfondir et de le prolonger, une lueur de défi au fond des yeux. Ce baiser, viens le chercher si tu le veux, viens m’attraper si tu me veux, voilà ce que mes iris crient. Je n’aime pas que l’on me facilite la tâche, j’aime gagner mais pas facilement. Alors que je resserre mes genoux autour de sa taille, dans une étreinte qui au vu de mon gabarit et du sien ne l’entrave pas réellement, je penche la tête sur le côté, l’observant passer ses bras sous sa tête pour la rehausser. « Qu’est-ce que tu vas faire de ton pauvre prisonnier ? » Je l’observe un instant, mordant ma lèvre dans une moue provocante et appuyant mon bassin contre le sien à travers le drap. « C’est trop facile. » Songeuse je me penche sur lui, posant mes deux mains de part et d’autre de son visage et verrouillant mes coudes. « Le prisonnier ne se débat même pas. Je n’aime pas quand c’est trop facile » Je rapproche mes lèvres des siennes sans les toucher, avant d’à mon tour glisser sur son torse imberbe et de descendre de son ventre jusqu’en haut de son aine, laissant mes lèvres courir sur sa ligne de plaisir, m’arrêtant juste en haut de son bas ventre, là où le drap en soie me barre pour l’instant l’accès. Chacun son tour. Je repense à la frustration que me serre encore l’abdomen parce que quelques minutes avant il s’est dérobé à moi, et mes lèvres quittent finalement sa peau alors que je me redresse, juste assez pour que mon regard croise le sien. Finalement je remonte à son niveau, me collant à lui et glissant mon corps sur le sien, avant de m’installer confortablement, allongée sur lui et bras croisée sur son torse, mes iris vertes vrillés dans ses yeux bleus. « Je ne suis pas sure d’avoir envie de te donner ce que tu désires. Pas sure que tu le mérite. » Pour ce qui est du mérite on pourrait se poser la question – bien qu’il soit loin de m’avoir laissé insatisfaite lors de notre premier round, mais pour ce qui est de mon envie, je ne mens à personne, ni même à moi-même. Mais une partie de moi a envie de voir a envie de le provoquer, parce qu'elle veut qu'il se serve, sans me demander la permission, sans passer par quatre chemins.







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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyMer 21 Aoû 2019 - 23:04

« C’est une invitation ? » Demanda Camil en arquant un sourcil, surpris d’entendre Raelyn lui suggérer de venir directement constater la taille de son dressing. Depuis bientôt deux ans qu’ils se fréquentaient régulièrement, il n’avait jamais été question qu’une telle chose se produise. Ils avaient toujours veillé à ce que leurs deux sphères, leurs deux mondes ne se rencontrent jamais. Tous deux avaient vivement protégé leurs acquis, défendu leurs points de vue dans le but de faire fléchir l’autre, vanté les mérites de leurs activités. Chacun était fièrement et fidèlement resté campé sur ses positions – même si l’un et l’autre tentait toujours, de temps en temps, de persuader l’autre du bien fondé de son camp. Les points de désaccord n’avaient jamais suffi à instaurer un climat d’animosité entre eux. Mieux : étrangement, cela les avait même rapprochés. A tel point que, finalement, ils avaient trouvé un terrain d’entente : le lit king size d’une chambre d’hôtel luxueuse. Ils s’y vautraient volontiers une fois par mois, le temps d’une nuit sans sommeil aux bienfaits avérés. Raelyn déposa sa main sur sa joue, effleurant d’un air absent la naissance de sa barbe. « Fais gaffe, tu deviendrais presque romantique. » Fit remarquer Camil, avec un large sourire pour le faire revenir sur terre. Il plaisantait, il la taquinait, il la charriait, et il adorait ça parce qu’elle réagissait au quart de tour. Il éclata d’un rire franc en la voyant froncer les sourcils, s’apprêtant visiblement à contredire ses propos. Il se laissa lentement glisser sur sa maîtresse, tout en veillant à ne pas l’écraser de tout son poids. Il maltraita le lobe de son oreille pendant quelques instants, avant de susurrer, amusé : « Je peux arrêter de te tirer les cheveux, si tu veux. » Il faisait évidemment référence aux quelques cheveux blonds qui s’étaient entortillés autour de ses doigts, et qu’il avait fièrement présenté à leur propriétaire. « Et être plus doux. » Ajouta-t-il, alors que la pointe de son index partit de sa cuisse pour remonter jusqu’à son épaule. Il délaissa son cou, et descendit jusqu’à l’orée de son décolleté où il s’attarda un moment. Finalement, il plongea sur sa peau pâle, jusqu’à y laisser une marque. Un souvenir rougeoyant, qui serait momentanément gravé et qu’aucun mâle ne pourrait ignorer. « A moi. » Déclara-t-il en pointant du doigt son œuvre, non sans une certaine pointe de fierté. Raelyn releva la tête, comme pour constater les dégâts du politicien. « Pour cette nuit. » Précisa-t-il, pleinement conscient des réalités, bien que ces dernières ne le dérangeraient aucunement. Il l’avait faite sienne, et il comptait bien recommencer rapidement. Mais avant la concrétisation de leurs envies, Camil tenait à clarifier les choses : non, il ne la prenait pas pour une ratée. Non, il ne la sous-estimait pas : il savait qu’elle avait du réseau, de l’influence, et des atouts auxquels il était difficile de résister. Elle devait faire un malheur en affaires – et c’était tant mieux pour le Club. « Pourquoi ? Tu m’enfermerais dans ton donjon pour me punir ? » Plaisanta le politicien, alors que la main de Raelyn passait de sa mâchoire à ses cheveux. Encouragé par un sourire de la blonde, l’Américain profita de sa supériorité physique pour la faire languir un peu. Il vit sa peau frémir, sentit ses doigts exercer une pression légèrement plus forte sur son cuir chevelu, constata que sa poitrine se soulevait à un rythme plus irrégulier. Et puis, cruellement, il arrêta sa douce torture, pour partir en quête du massage qu’elle lui avait jadis promis. Loin d’être idiot, il savait qu’il n’obtiendrait pas gain de cause – en tout cas, pas dans l’immédiat. Raelyn prit le dessus, et Camil, joueur, fit mine d’être déçu. Il poussa le vice jusqu’à s’installer plus confortablement, et passa ses mains sous na nuque. « Qu’est-ce que tu veux que je… » Il suspendit ses propos, et se redressa sur ses coudes pour l’observer. Osera, osera pas ? Un simple regard lui fit comprendre qu’ils en resteraient là. Il se laissa tomber lourdement sur le matelas, et passa une main sur son visage. « C’est un juste retour des choses. » Soupira le politicien en secouant la tête. Œil pour œil, dent pour dent : il savait comment Raelyn fonctionnait. Elle s’allongea de tout son long sur lui, et profita allègrement de sa position pour le tourmenter. « Je me servirai tout seul, alors. » Répondit le politicien, faussement boudeur, dont les mains s’étaient nouées dans le dos de sa maîtresse.
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyJeu 22 Aoû 2019 - 11:57


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Raelyn Backwell & @Camil Smith

« C’est une invitation ? » Je lève un sourcil, assez amusée. Bien sûr que c’en est une, je n’ai pas pour habitude de dire des choses que je ne pense pas, et si la remarque était plutôt lancée sur le ton de l’humour ce n’est pas qu’une plaisanterie. Je n’ai jamais rien eu contre l’idée d’accueillir le politicien dans mon appartement, je n’y garde rien de réellement compromettant depuis des années : je possède bien un coffre-fort mais il ne renferme que ma réserve personnelle de stupéfiants, dont je peux me débarrasser rapidement en cas de perquisition, une arme à feu et des coupures en liquide. Le loft est complètement dénué de quelconque trace d’appartenance au Club, ou de document pouvant nuire à l’organisation, j’y ai veillé depuis la mort d’Aaron. Si je n’ai jamais réellement fait mon deuil, j’ai au moins veillé à apprendre de ses erreurs. « Je n’ai rien à cacher, et une meilleure vue encore… » J’ai toujours aimé cette vue, c’est ce que j’aime le plus je pense dans cet appartement dans lequel je vis depuis treize ans. Mes doigts se perdent un instant dans sa barbe, le regard pensif et les membres encore engourdit, enveloppé dans cette délicieuse torpeur qui suit nos ébats. « Fais gaffe, tu deviendrais presque romantique. » Je fronce les sourcils un instant, tentée de penser qu’il est sérieux et dans ce cas-là prête à rétorquer pour avorter toute mauvaise impression que j’aurais pu lui donner. Le romantisme n’est pas ma spécialité, et j’irais même jusqu’à dire qu’il ne l’a jamais été, même lorsque j’étais une jeune adulte amoureuse. Mais rapidement Camil éclate d’un rire franc, me rassurant sur le fond de sa pensée, avant de venir presser son corps sur le mien, glissant ses lèvres dans mon cou avant de les accrocher au lobe de mon oreille. Je mords ma lèvre inférieure, sentant déjà mon cœur s’emballer sous ma poitrine. « Je peux arrêter de te tirer les cheveux, si tu veux. Et être plus doux. » Sous l’impulsion de sa main, de ses doigts qui remontent de ma cuisse jusqu’à mon épaule le long de mon flanc, effleurant ma fesse, effleurant mes côtes, mon dos se creuse et mon corps se cambre. La vérité c’est que si je ne suis pas penchée câlins et mots doux en public et en dehors de ces échanges confidentiels, je n’ai rien contre la douceur dans l’intimité, tant qu’elle ne s’accompagne pas d’attente, de promesses et de sentiments naissants. Parce qu’elle ravive en moi le souvenir d’une époque lointaine, parce que j’aime ce sentiment de fondre dans les bras de l’autre, parce que j’aime ça, simplement, sans savoir l’expliquer. Mais jusqu’ici j’ai pu constater que ces moments tendres ont toujours poussé les hommes à en vouloir plus, un jour ou l’autre, à en attendre plus de moi après ça. Et plus, c’est précisément ce que je ne peux pas donner, ce que je ne veux pas donner.

Mais Camil et moi entretenons des rapports différents, et c’est la part animale et sauvage de ma personnalité qu’il satisfait. Cela me convient tout autant parce que cette part de moi a toujours eu besoin d’être alimentée elle aussi. Nos rapports sont rarement tendres comment en attestent mes cheveux qui se perdent parfois entre ses doigts ou les traces de griffures superficielles que je laisse parfois dans son dos. Sans crier gare et pour illustrer mes pensées il augmente la pression de ses lèvres sur mon décollette et si la sensation que me provoquent le picotement est délicieuse, la marque qu’il laissera surement en se retirant est loin d’être à mon goût. « A moi. » Je me redresse sur mes coudes pour observer l’étendue des dégâts, et le suçon au diamètre respectable qu’il a laissé sur ma peau blanche. « Pour cette nuit. » Un mélange pourtant contradiction d’agacement et d’excitation, c’est ce que je ressens à cet instant. Une frénésie qui me donne envie de lui faire regretter son geste, mais d’une façon qu’il serait incapable de trouver désagréable. « Pourquoi ? Tu m’enfermerais dans ton donjon pour me punir ? » Le sang qui pulse violement à l’intérieur de mes veines me donne envie d’enrouler mes jambes entre son corps et de l’attirer à moi violement, mais sans me laisser le temps de le faire ou de répondre les lèvres de Camil entament une longue descente le long de mon corps, me réduisant ou silence et aux soupirs. Mais il s’arrête et accroit ainsi mon bouillonnement intérieur, me réclamant son massage avec culot et un sourire séduisant. Bien décidée à lui rendre la monnaie de sa pièce je m’installe à mon tour sur lui, reproduisant ses geste, et glissant le long de son corps et jusqu’à son bas ventre. « Qu’est-ce que tu veux que je… » Je la vois, la lueur d’espoir dans ses yeux, mais dans un sourire satisfait je m’éloigne de sa zone érogène pour me redresser et le toiser. « C’est un juste retour des choses. » Amusée je glisse contre lui, avant de le bâillonner d’une main pour venir glisser quelques mots contre son oreille. « Ne fais plus jamais ça. » Ma voix est emprunte de désir, mais teintée d’une touche de reproche. « Je ne suis pas une pouliche qu’on marque au fer. » Une lueur dure traverse mon regard, mais bien éphémère avant que j’ôte ma main de sa bouche pour venir y sceller mes lèvres, stimulée par mon propre ressenti à son égard, dans un baiser profond et brûlant, un baiser totalement dénué de douceur, cette fois ci.    

Ses mains se nouent dans mon dos, augmentant la pression et la proximité entre nos deux corps, alors qu’il prend un air contrarié. « Je me servirai tout seul, alors. » Je fais glisser mes lèvres contre son cou, laissant mes dents frotter contre sa peau. Avant de murmurer à nouveau dans son oreille. « Et comment tu vas faire ça ? Je suis curieuse. » Curieuse qu’il m’en fasse démonstration à vrai dire, curieuse de voir comment il compte me réduire au silence pour venir prendre possession de mon corps.






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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyLun 26 Aoû 2019 - 22:16

« Une meilleure vue ? » Répéta le politicien en arquant un sourcil. Il savait que les habitants les plus chanceux – comprenez les plus fortunés – qui habitaient sur les hauteurs de la ville jouissaient d’une vue exceptionnelle. Lui-même ne boudait pas son plaisir lorsqu’il ouvrait les yeux, le matin : Brisbane gisait à ses pieds, comme offerte. Il y voyait là comme un signe du destin, et cela ne faisait que renforcer ses ambitions politiques. « Dans ce cas, je demande à voir. » Dit-il simplement, alors qu’il surplombait sa maîtresse. Camil savait qu’il n’était pas question d’abandonner leurs escapades nocturnes dans des hôtels de luxe, mais seulement de changer d’air. Leur relation n’étant pas officiellement établie, ils ne souffraient pas des mêmes maux qu’un couple normal. Il n’y avait pas de routine, pas de besoin de changer d’air, pas de sensation d’étouffement. « Pousseras-tu le vice jusqu’à cuisiner pour moi ? » Plaisanta le politicien, alors qu’il surplombait Raelyn. Cette dernière effleurait sa mâchoire du bout des doigts, et semblaient perdues dans ses réflexions. Le politicien tourna en dérision les propos de son interlocutrice et, fier de lui, éclata d’un rire franc avant qu’elle ne puisse répliquer. L’étonnement qu’il avait eu le temps de voir se peindre sur les traits de son visage avait eu raison de son sérieux, et il ne résista pas à l’envie de fondre sur sa proie, offerte.

Le vautour qu’il était n’avait pas eu l’ombre d’un doute, lorsqu’il avait décidé de marquer sa proie. Il savait que son acte ne serait pas forcément au goût de la blonde, mais il s’en fichait royalement : la simple idée de laisser son empreinte à la naissance de son décolleté le rendait particulièrement fier. Il se fit violence pour ne pas céder à ses propres envies primaires – chaque chose en son temps. Il s’était donné pour mission de flatter le corps qui s’étendait sous le sien, et il avait quelques idées bien arrêtées pour le faire. Mais il était aussi égoïste, et le souvenir d’une vague promesse de massage lui fit cesser ses activités buccales. Comme un enfant gâté qu’on aurait privé de son jouet, il réclama son dû – qu’il n’obtint pas, bien évidemment. Sa bouche était masquée par la main de Raelyn, mais ses yeux rieurs parlaient pour lui : il était fier, très fier même, de sa connerie. Ravi d’avoir pu la mettre dans un état ambivalent, puisqu’elle semblait partagée entre l’envie de lui arracher la tête, et celle de s’envoyer en l’air sur le champ. Il aurait volontiers répliqué quelque chose de cinglant, mais sa maîtresse, aussitôt après avoir libéré ses lèvres, se jeta dessus avec un empressement qui ne laissait guère de place à l’imagination. Il n’y avait ni douceur, ni tendresse, ni quoique ce soit : juste l’expression d’un désir, pur et sans faux-semblant. Camil y répondit avec vigueur, satisfait de cette gratification à laquelle il ne s’attendait pas. Le politicien tira sur le drap qui les séparait encore, alors que les deux amants se livraient une guerre sans répit pour dominer l’autre. Une guerre dont l’issue serait positive – pas de perdant, uniquement des gagnants. Deux gagnants.

Raelyn se montra plus féline qu’auparavant, ses dents venant légèrement écorcher sa peau pâle. Il se fichait royalement de porter les stigmates de leur nuit – au contraire, cela lui conférait un statut particulier. Il était l’homme accessible, l’homme qui s’oubliait dans des étreintes féminines, l’homme qui assumait pleinement ses faits. Par ailleurs, quelques marques stratégiques ne faisaient que renforcer sa réputation de Dom Juan – une facette de lui dont se réjouissaient la presse à scandale et ses adversaires politiques. « Ai-je un jour manqué d’imagination ? » Demanda le politicien en arquant un sourcil, peu intimidé par la question de la blonde. Alors qu’il sentait le corps de Raelyn exercer une agréable pression sur le sien, il se redressa et s’empara de ses lèvres. Il plaqua son torse contre sa poitrine et, avant de commettre l’irréparable, s’empara après quelques instants de recherche d’un élément indispensable à leur relation. « Pas de bébé ce soir, chérie. » Commenta-t-il en souriant, exhibant fièrement la protection qu’il tenait entre ses doigts. Ils n’avaient jamais lésiné sur les moyens contraceptifs ; Camil ne savait que trop bien qu’un peu trop d’empressement pouvait mener à un événement difficile à assumer.
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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyMar 27 Aoû 2019 - 11:47


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith

« Une meilleure vue ? Dans ce cas, je demande à voir. » Venir chez moi plutôt qu’à l’hôtel ne changerait pas grand-chose pour Camil, et en tout cas celui ne lui apprendrait pas grand-chose sur moi, sur mes fréquentations, mes goûts et mes activités. Parce qu’il est difficile d’imaginer un appartement aussi impersonnel que je mien, de standing et meublé avec goût, mais des meubles qui plairaient à n’importe qui suivant les courants, et pas ou peu de décorations, si ce n’est quelques toiles neutres, noires et blanches ou terriblement banales. La vérité c’est que mon intérieur donnait plus l’impression d’avoir mis les pieds dans un appartement témoin qu’au domicile de quelqu’un, et cela m’allait très bien. Avant, du temps d’Aaron il était plus plein de vie, de photos et de souvenirs, mais je l’en avais débarrassé pour éviter d’en faire une sorte de mausolée de notre relation quand il avait perdu la vie. Depuis, aucune autre décoration n’avait trouvé grâce à mes yeux, et moi qui avait grandi dans une maison trop petite pour le nombre que nous étions, partageant une chambre avec mon frère et où toute sorte de babioles s’accumulaient et rendaient la navigation dans les couloirs difficiles, vivre dans l’extrême inverse me convenait. « Pousseras-tu le vice jusqu’à cuisiner pour moi ? » Je laisse échapper un sourire amusé, tant l’idée de jouer à la parfaite petite femme de maison me semble ridicule, surtout pour un homme comme le politicien. Je suis la dernière personne que l’on imagine en tablier, derrière les fourneaux et attendant sagement que son homme rentre de sa journée de travail. « Si je cherche un jour à t’intoxiquer pourquoi pas. » Je suis une bien piètre cuisinière à vrai dire, à peine capable de me faire cuire des pâtes, et Alec utilise plus souvent ma cuisine que je ne le fais. « La cuisine n’est pas la pièce dans laquelle les hommes aiment le plus me voir, généralement. » Que je rajoute, d’un ton espiègle, sans besoin de préciser le fond de ma pensée, c’est-à-dire qu’il s’agit plus de la chambre à coucher.

S’en suit un jeu de pouvoir entre nous deux. Un jeu ou chacun cherchait à asseoir sa domination sur l’autre, lui posant ses lèvres sur ma poitrine pour y déposer une maque éphémère, l’un, puis l’autre cherchant à faire monter le désir en l’autre en lui laissant apercevoir un agréable intermède, mais se refusant à lui donner satisfaction. De mon côté c’est ma manière de le punir, de lui faire regretter aussi bien sa façon de me faire languir que ce geste que je n’ai pas apprécié, parce que je ne suis la chose de personne, et certainement pas la sienne. Mais quand ses mains se nouent dans mon dos, appuyant mon corps contre le sien, j’ai du mal à ne pas laisser ma rancune filer aussi rapidement qu’elle est venue. « Ai-je un jour manqué d’imagination ? » Je lui renvoi un sourire radieux, secouant la tête. Non, Camil est un amant appliqué, attentif au plaisir de sa partenaire, à mon plaisir, et rarement à court d’idée pour me satisfaire. Il soulève son torse du matelas et se redresse, attirant mon corps contre le sien, ma poitrine contre son torse alors que j’enroule mes jambes autour de sa taille, une lueur de désir dans les yeux. Nos lèvres se rencontrent à nouveau dans une danse langoureuse, et finalement je sens Camil se détacher de moi pour tâtonner sur la table de chevet, attrapant entre ses doigts un préservatif qu’il exhibe fièrement, un sourire idiot sur le visage. « Pas de bébé ce soir, chérie » Je secoue la tête, amusée. « Dépêche-toi. » Sous implant contraceptif, je n’étais jamais aussi assidue que je devrais l’être – surtout avec les liaisons variées que j’entretenais- en termes de protection, mais je me plie généralement sans problèmes aux exigences de mes partenaires, plus raisonnables que moi. Je ne lui laisse qu’une poignée de seconde avant de lui ôter la protection des mains, et d’appuyer sur son torse en déliant mes jambes pour l’allonger, prête à faire le travail à sa place, avant de sceller à nouveaux nos lèvres et corps dans un second round endiablé.






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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptySam 7 Sep 2019 - 18:06

Il s’interrogeait rarement sur la vie de Raelyn. Leur relation était claire, nette et sans flou artistique : ils se voyaient régulièrement pour s’envoyer en l’air, souvent jusqu’à l’aube. Le politicien savait pertinemment que sa maîtresse trempait dans des affaires louches, et qu’elle s’adonnait à des activités peu légales en tant que membre du Club. Pourtant, il ne lui avait jamais posé la moindre question à ce sujet ; son but, lorsqu’elle en avait parlé, avait seulement été de la recruter pour de futures affaires. Elle avait toujours décliné, mais cela n’avait en rien entaché leurs retrouvailles. Au contraire, même : c’était devenu comme un running gag entre eux. Il s’amusa des propos de son interlocutrice, qui lui faisait remarquer que la cuisine n’était pas la pièce où elle s’adonnait à certaines activités peu catholiques, a contrario de sa chambre. « Personnellement, je n’ai rien contre les plans de travail. » Commenta Camil en arquant un sourcil, alors que son imagination se développait à grande vitesse. Il sourit légèrement, avant de fondre sur sa proie : si elle refusait de cuisiner pour lui, tant pis – il passerait directement au dessert.

« Jamais. » Souffla-t-il contre son oreille, alors qu’elle lui demandait de se dépêcher. Ce n’était pas dans les habitudes du politicien de se hâter alors qu’il avait le temps. Et là, alors que Raelyn manifestait clairement son impatience, il mourait d’envie d’en jouer. Faire balader ses phalanges sur son corps, ses lèvres sur sa peau, jusqu’à ce qu’elle frissonne au moindre effleurement, jusqu’à ce qu’elle le supplie de la faire sienne. Il n’y verrait rien à redire, bien évidemment – il avait quelques pulsions à assouvir. Mais l’impatience de sa maîtresse se manifesta plus vite qu’il ne l’avait cru : quelques instants plus tard, elle l’avait débarrassé du préservatif qu’il tenait entre son pouce et son index. Elle le fit s’allonger et, sans préambule, acheva ce qu’il avait initié. Consciente de ses atouts, elle choisit de mener la danse – et le politicien se laissa faire sans rechigner.

Ils avaient vu les rayons du soleil disparaître les uns après les autres en début de soirée, et ils voyaient désormais la lumière reprendre ses droits. Camil n’avait pas fermé l’œil de la nuit, préférant clairement profiter de chaque instant. De la peau douce de Raelyn qui frémissait sous ses caresses. De ses lèvres qui s’accrochaient aux siennes. Des mots et autres onomatopées qu’elle avait lâché – ou n’avait pas su retenir, parfois. Malheureusement, il savait que cette parenthèse particulière touchait à sa fin. Il se redressa, et se dirigea sans un mot vers la salle de bain. « Qu’est-ce que tu as de prévu, pour les prochains jours ? » Demanda Camil, après avoir pris une douche. Une serviette nouée autour de son bassin, il se pencha sur le reflet que lui renvoyait le miroir – le sien. Comme à chaque fois qu’il passait une nuit avec Raelyn, il s’amusait à dénombrer les stigmates de leurs étreintes brûlantes. Les cernes étaient, évidemment, les premières à témoigner de sa nuit sans sommeil. Il se retourna légèrement, et constata qu’elle avait eu le loisir de maltraiter son dos – il pouvait nettement voir une trace plus rouge que les autres, qui s’étendait des trapèzes et s’arrêtait au niveau de son grand dorsal. Et, contre toute attente, il constata qu’un bleu semblait s’être formé sur sa cuisse – et il se demandait bien comment il avait pu s’y prendre. Il tenta vaguement de discipliner ses cheveux, en vain, et entreprit ensuite de boutonner sa chemise. « Tu dors, marmotte ? » Demanda-t-il, alors qu’il revenait dans leur chambre. Il récupéra ses affaires, qu’il avait semé un peu partout, et finit par s’installer au bord du lit. Il consulta d’un rapide coup d’œil les destinataires des mails qu’il avait reçus, et soupira : pourquoi devait-il revenir à la réalité aussi rapidement ? Il se retourna légèrement vers Raelyn et, pour ne pas déroger à la tradition, lui demanda : « T’es dispo comment, le mois prochain ? » Il ouvrit l’agenda de son téléphone, et ajouta, amusé : « J’apporterai le dîner. »

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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyLun 9 Sep 2019 - 12:13


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 873483867

« Personnellement, je n’ai rien contre les plans de travail. »  Le contraire m’aurait étonnée, et j’avoue être instantanément assaillie d’image tout sauf catholiques. Encore une fois il retourne la situation à son avantage, utilise mes mots pour aller placer dans mon esprit des pulsions et des envies le concernant qui n’ont rien à voir avec la pâtisserie et la cuisine. Je rougirais devant ce pensées si j’étais sujette à la pudeur et de nature retenue, mais ce n’est pas le cas. Non ces images qui s’impriment sur ma rétine je les savoure, les garde un instant et ne les laisse partir que pour les remplacer pour des images bien plus réelles, pour accueillir avec plaisir celles de Camil qui fond sur moi et décide de s’approprier chaque parcelle de ma peau.

Et il me fait languir finalement, alors que je ne tiens plus, alors que le désir monte en moi et me renverse, impérieux et presque violent. Je sens le bout de ses doigts, le bout de ses lèvres effleurer ma peau, je croise son regard joueur et presque provocateur, qui refuse d’accéder à ma demande, ma plainte presque. « Jamais. » Je tiens un instant alors que ses lèvres se déposent dans mon cou, faisant flancher toute motivation. Je n’ai plus envie d’attendre pas un instant, de plus et s’il y a un temps pour tout, je décide de manière unilatérale – même si je ne l’entends pas s’en plaindre – qu’il est l’heure de passer au plat principal, trêve de mise en bouche. Il ne résiste pas quand je décide de prendre la situation en main, au contraire je lis son amusement dans son regard et un désir similaire au mien dans ses prunelles alors que doucement je pose ma main sur son torse pour le faire basculer.


❈❈❈❈


La nuit passe en un souffle, reposante pour la majorité des habitants de la ville, mais synonyme de volupté pour l’homme politique et moi. Nous ne nous octroyons que peu de repos, et même dans les rares instants où je m’autorise à fermer les yeux, à simplement profiter de la chaleur de son corps sur le mien je sens ses doigts caresser doucement ma peau, m’accompagnant au pays des rêves. Ses lèvres chaudes ses posent sur ma peau, me tirant parfois quelques soupirs et me tirant aussi parfois simplement du sommeil. Comme lorsqu’il les pose sur mon épaule, avant se glisser hors des draps en soie. Je sens le matelas bouger mais n’ouvre pas les yeux tout de suite, bien décidée à profiter de ces quelques minutes de répit alors que j’entends l’eau couler, signe qu’il s’est glissé sous la douche. Je passe mes bras autour de l’oreiller sur lequel ma tête repose, tentant de m’offrir un peu plus de repos. J’aime ces nuit, ces instants si particuliers où le temps d’arrête presque, se suspend le temps de quelques heures, sans que la fatigue ne se passe ressentir, alors que les respirations sèches et bruyantes se mêlent. J’envisage un instant de le rejoindre sous la douche, mais mon corps entier me supplie de le laisser se reposer, alors je n’en fais rien et garde résolument mes paupières fermées. J’entends qu’il s’adresse à moi, de façon lointaine, avant qu’il ne s’approche un peu plus, avant de reprendre la parole. « Tu dors, marmotte ? » J’ouvre un œil, puis l’autre avant de me retourner dans le lit pour planter mes yeux dans les siens, avant de l’observer boutonner sa chemise. « Je crois que je te préfère sans. » Je laisse échapper un sourire espiègle avant de me redresser à mon tour pour m’appuyer contre la tête de lit, tirant le drap jusqu’à ma taille mais peu gênée par ma nudité et ma poitrine exposée. « Je commençais à trouver le sommeil oui, tu t’étais donné comme mission de le tenir éloigné cette nuit, il me semble. » Et je ne vais clairement pas m’en plaindre, mais ne peux m’empêcher une petite remarqué, amusée et taquine. Il s’installe au bord du lit, et automatiquement je me décale, pour rapprocher mon corps du sien. Comme s’il s’agissait là d’une réaction instinctive que je ne maîtrise même pas. Je l’observe attraper son téléphone pour, je le sais sans avoir besoin de jeter un œil, ouvrir son agenda et noter notre prochain rendez-vous. « T’es dispo comment, le mois prochain ? J’apporterai le dîner. » J’esquisse un sourire avant de me décoller de la tête de lit pour venir me placer derrière lui, collant volontairement mon torse contre son dos et passant la tête par-dessus son épaule, avant de faire glisser mes doigts sur l’agenda, pas par péché du curiosité mais pour visualiser le mois de mai. Ma respiration contre son oreille, mon corps appuyé contre le sien, c’est aussi ma façon de lui laisser un dernier souvenir de moi, de ma présence contre lui. Finalement je me recule, laissant à nouveau mon corps reposer sur le matelas, me prélassant encore quelques minutes supplémentaires. « En fin de mois cela devrait être bon, mais cela te fait cinq semaines à tenir alors… » Encore un regard provocateur, un sourire évocateur. « Je t’enverrai mon adresse. » Puis ce que c’est ce dont nous avions convenu, de bousculer un peu nos habitudes, pas pour briser l’ennui, il n’avait pas sa place dans notre liaison, mais plus par désir de provocation, toujours plus. « T’as intérêt à apporter un plat maison, j’ai de hautes exigences en la matière. » Même si dîner serait une activité annexe plus que principale. C’était ce qu’il manquait finalement pendant ces soirées effrénées que nous passions ensemble, de quoi reprendre des forces. « Je vais appeler le room service, je te commande quelque chose ? » Ou bien compte-t-il disposer ? Nous ne partageons pas toujours le petit déjeuner ensemble, mais cela nous est arrivé. Nous ne nous interdisons rien, puisque nous n’avons pas peur que l’autre développe affection et attentes.





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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyDim 22 Sep 2019 - 21:10

« Crois-moi, je rêve de militer pour la nudité. Mais le grand public n’est pas prêt. » Admit l’aîné des Smith en haussant les épaules. Pour sa part, dès l’instant où il était chez lui, il passait le plus clair de son temps en sous-vêtement, ou dans le plus simple appareil – une attitude qui lui valait les délicieux qualificatifs de « vantard » ou « exhibo » de la part de sa sœur. Camil ne s’en était jamais formalisé – à vrai dire, il n’en avait jamais rien eu à foutre. « Je te ferai un strip-tease la prochaine fois, si tu es sage. » S’amusa le politicien, alors qu’il se concentrait pour fermer les derniers boutons de sa chemise de couturier. Sa nuit de débauche de l’empêcherait certainement pas d’être élégant. « J’avoue. » Affirma le politicien, qui n’était pas peu fier des effets qu’il avait su provoquer chez Raelyn. Ses ongles qui s’enfonçaient dans son dos, ses jambes qui se nouaient mécaniquement autour de sa taille, ses dents qui venaient mordre son épaule – et bien d’autres signes encore, qui venaient souligner le plaisir qu’ils avaient d’être ensemble, et de partager ces moments hors du temps. « En même temps, on a une nuit par mois. Tu ne voudrais quand même pas que je te laisse roupiller ? » Grommela Camil, alors qu’il jouait avec le fermoir de sa montre de luxe. Il s’empara de son téléphone, et ouvrit son agenda pour voir quelles étaient les disponibilités restantes pour le mois prochain. Aussitôt, sa maîtresse se pressa contre lui, sans se soucier de l’effet qu’elle pourrait lui faire. Ses mèches vinrent effleurer le cou du politicien, et ils déterminèrent ensemble une date pour le mois de mai. L’idée de se retourner et d’allonger sur le lit la tentatrice lui effleura l’esprit. Il se voyait déjà, surplombant ce corps qu’il connaissait si bien, effleurer les zones qu’il savait être particulièrement érogènes. Mais il se fit une raison : il n’avait plus quinze ans, et d’ici une heure maximum, il devrait être opérationnel, au travail. A quoi bon commencer quelque chose s’il ne pouvait pas finir ? « C’est long, cinq semaines. » Grommela le politicien en faisant la moue. Il s’était permis cette réflexion parce qu’il savait pertinemment que Raelyn et lui étaient sur la même longueur d’onde ; même s’ils prenaient du bon temps ensemble, et ce de façon régulière, il n’avait jamais été question de sentiment ou d’attachement entre eux. Ils profitaient, ni plus, ni moins. Ils étaient libres de leurs mouvements, de leurs envies, de leurs fantasmes. Ils ne se jugeaient pas, et s’évertuaient à prendre du plaisir – un objectif qu’ils atteignaient sans trop de difficulté. « Tu vas faire quoi, pour te faire pardonner de me faire attendre une longue semaine de plus ? » Il jouait, bien évidemment, de cette attente que la blonde se plaisait à créer. Ils avaient convenu de se voir régulièrement, mais ni l’un ni l’autre n’était à un jour près. Il prit néanmoins soin d’ajouter son rendez-vous personnel à son planning très professionnel, pour s’assurer qu’aucune réunion ou autre obligation ne viendrait rendre impossible son entrevue avec Raelyn. « Je ne suis bon qu’en dessert. » Fit remarquer le politicien en faisant la moue. Raelyn, qui le connaissait bien, comprit immédiatement où il voulait en venir. Pour le plat de résistance, c’était tout vu : le traiteur cuisinerait à sa place. Il n’avait jamais cuisiné de sa vie – le temps lui faisait cruellement défaut – et il n’oserait pas refourguer ses premiers tests à sa maîtresse, par peur de l’intoxiquer.  Il jeta un rapide coup d’œil à sa montre, et hocha finalement la tête. Il était à peine sept heures, et la nuit qu’il venait de passer l’avait littéralement affamé. S’il ne mangeait rien avant de se rendre au travail, nul doute que sur les coups de onze heures, il aurait toutes les difficultés du monde à se concentrer. Ce qui était une très mauvaise idée – son agenda lui avait confirmé qu’il avait une réunion relativement importante, à cette heure-là. « Prends ce que tu veux. Mais insiste sur les fruits, j’ai besoin de vitamines. » Réclama Camil, qui fit quelques pas dans la chambre, et qui ouvrit la baie vitrée pour aérer leur suite. Il en profita pour faire quelques pas sur la terrasse, et ramasser les affaires qui traînaient encore. « Tu sais que j’adore le rouge ? » Demanda le politicien, alors que son index pinçait un morceau de dentelle de ladite couleur. Il haussa légèrement les épaules, et balança la pièce de lingerie en direction de sa maîtresse. « Ça te sera plus utile qu’à moi. » Fit-il remarquer, alors que le soutien-gorge venait s’échouer au pied de leur lit. Camil jeta un dernier coup d’œil sur la terrasse, où un premier rapprochement avait été initié. Il soupira, presque nostalgique – il adorait les moments qu’il passait en compagnie de Raelyn. Avec elle, ça avait le mérite d’être simple et sans prise de tête ; elle ne s’attendait à rien, puisque seuls l’amusement et la satisfaction comptaient. La blonde avait appelé le room service, et avait commandé deux petits-déjeuners pour leur chambre. Camil s’était à nouveau assis sur le bout du lit, dos à Raelyn, et il profita de ce moment pour lire les dernières nouvelles de Brisbane. « Tu comptes partir, au moment de Noël ? » Demanda le politicien, alors qu’il lisait un énième article sur le réchauffement climatique et les incertitudes quant aux pistes de ski.
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ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyMar 24 Sep 2019 - 11:44


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 873483867

Doucement la fin de cet agréable intermède se rapproche. Ces nuits que je passe avec l’homme politiques me donnent l’impression d’être coupée du reste du monde, que nous vivons une sorte de fantasme hors du temps, avant que la nuit se termine et que la réalité de s’impose à nouveau à nous. Parce que c’est ce qu’il est au fond le blond, c’est ce qu’est notre relation : un fantasme. Pour moi de pervertir l’espace d’une nuit un homme de société propre sur lui et irréprochable en apparence, pour lui de fricoter avec une mauvaise fille, une qu’il n’a pas le droit de toucher. Ces verres dans des bars discrets, ces étreintes dans des chambres d’hôtel luxueuses qui se poursuivent parfois jusque sous la douche au petit matin, ces petits déjeuner partagés au lit en petite tenue, tout ça n’est qu’une prolongation, que partie intégrante de tout ça. Un moyen de laisser libre cours à nos pulsions et à nos envies les moins avouables, puisque de toute façon la relation que nous partageons a tout d’inavouable. Il remet sa chemise donc, signant la fin de l’aventure. Pour cette fois en tout cas, et je ne peux retenir un commentaire. « Crois-moi, je rêve de militer pour la nudité. Mais le grand public n’est pas prêt. » Je lui jette un regard amusé, alors qu’il tourne son visage dans ma direction en terminant de boutonner sa chemise. « La fausse pudeur des foules me surprendra toujours. Je suis persuadée qu’une majorité de tes électrices n’attendent que ça pourtant. Les gens ne lisent plus les programmes électoraux. » Pour ma part, je ne suis de toute façon pas du genre à me rendre aux urnes, ni même inscrite sur les listes de la ville. Ce qui m’intéresse chez Camil n’a pas grand-chose à voir avec la politique. « Je te ferai un strip-tease la prochaine fois, si tu es sage. » Je penche la tête, un air joueur et un sourire mutin accroché aux lèvres. « Pourtant c’est plutôt quand je ne le suis pas que tu te déshabilles pour moi habituellement. » Et quel intérêt à être sage de toute façon devant le corps nu de mon amant ?

Je me redresse un peu, émergeant doucement du semi sommeil dans lequel j’avais sombré pendant les quelques minutes qu’il a passé sous l’eau chaude, m’appuyant sur mes coudes. « En même temps, on a une nuit par mois. Tu ne voudrais quand même pas que je te laisse roupiller ? » Je secoue la tête en poussant un soupir, amusée par sa réflexion. Non, dormir n’est pas notre activité principale, mais j’ai bien parlé d’un fantasme et passer une bonne nuit de sommeil n’en a jamais fait partie. Quand je me rapproche finalement de lui, collant mon corps contre le sien, appuyant ma mince poitrine dans son dos et approchant mon visage de son cou, ce n’est pas par hasard, ce n’est pas parce que distraite j’ai oublié l’effet que je lui fais. C’est par désir de le torturer, encore et toujours, de le tenter et de lui laisser un souvenir indélébile. « C’est long, cinq semaines. » Il joue bien l’impassible alors que je sais l’envie qui court dans ses veines. Il tourne le visage légèrement dans ma direction, et si je suis assez proche pour m’emparer de ses lèvres je n’en fais rien, bien consciente qu’il retourne la situation. « Tu vas faire quoi, pour te faire pardonner de me faire attendre une longue semaine de plus ? » Je hausse les épaules, un air innocent sur le visage, une main qui se perd distraitement sur son épaule. « Je te laisse faire marcher ton imagination, tu verras bien à ce moment-là. » Finalement je détache mon corps du sien et m’appuie à nouveaux contre la tête de lit. « Je ne suis bon qu’en dessert. » Mon estomac se réveille finalement, et avant d’attraper le téléphone de la chambre je me permets une dernière remarque bourrée de sous-entendus. « Ça tombe bien, moi aussi » Ahum, pas certaine que l’on parle du même genre de dessert, parce que cela soit clair, je ne parle pas là d’une tarte aux citrons. Alors que je compose le numéro de l’accueil j’interroge Camil du regard. « Prends ce que tu veux. Mais insiste sur les fruits, j’ai besoin de vitamines. » Je hoche la tête, avant de commander un petit déjeuner colossal que nous ne parviendrons de toute façon pas à finir, peut sensible à la notion de gaspillage alimentaire et surtout n’étant pas du genre dans la vie à faire des choix mais plus à prendre tout ce qui me tente.

Lorsqu’il ouvre la fenêtre l’air frais me fait frémir et les souvenirs de la veille sourire, et j’attrape la pièce de dentelle rouge qu’il envoie au pied du lit pour l’enfiler. « Tu sais que j’adore le rouge ? » Je me lève, à la recherche du string assorti que je localise à son tour, avant de l’enfiler et de me tourner vers lui. « Sans vouloir te vexer, tous les hommes adorent le rouge. » Il ne fait pas exception et ce n’est pas en connaissance de ses préférences personnelles à lui que j’ai choisi mes sous-vêtements, mais plus certaine de taper dans le mille quoi qu’il en soit. J’attrape ma robe pour la déposer sur le dossier d’une chaise, peu désireuse de l’enfiler tout de suite, et à l’aise aussi peu vêtue. « Tu comptes partir, au moment de Noël ? » J’observe un instant Camil qui s’est assis au pied du lit et qui semble à présent plongé dans la lecture du journal ou de je ne sais quoi sur son téléphone. « Je ne suis pas sûre que ma branche offre des congés payés. » Mon rythme de vie ne s’apparente effectivement pas à celui du commun des mortels. « Pourquoi, tu te poses des questions sur moi ? Avec qui je passe les fêtes, qui sont mes proches, ma famille ? » Loin de moi l’idée de dire que converser avec Camil m’est désagréable, parce que surprenamment cela ne l’est pas, mais je ne suis pas habituée à ce qu’il porte le moindre intérêt à mon quotidien.

On toque à la porte et je me lève, ne me formalisant pas de ma petite tenue pour ouvrir à un jeune groom qui pousse un chariot généreusement rempli et dont s’échappe un agréable fumet. Il rougit en m’apercevant et, satisfaite de sa réaction, je m’écarte pour le laisser entrer et pousser notre petit déjeuner au milieu de la pièce, avant d’installer les différents mets sur la table sans un regard à Camil, silencieux et obéissant. L’avantage des hôtels de luxe, la discrétion fait partie du prix de la chambre. Lorsqu’il quitte la chambre en tentant de me regarder les yeux et bafouillant une phrase incompréhensible, je referme la porte derrière lui avant d’éclater de rire et de revenir vers Camil. « Je suis sure que c’est toi qui l’a troublé. » Oui bien sûr, et pas le fait de se trouver face à une femme aux sous-vêtements carmin.






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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyDim 6 Oct 2019 - 22:45

La douche qu’il venait de prendre avait été salutaire. Après une nuit de débauche, l’eau chaude avait dégourdi ses membres, qui avaient été mis à rude épreuve lors de ses ébats passionnés. Il savait d’ores et déjà que sa journée de travail allait être particulièrement longue. Outre les rendez-vous professionnels et son déjeuner du midi, il devait aussi se déplacer dans une usine pour une inauguration en fin de journée. Ces perspectives n’étaient pas réjouissantes, mais il savait qu’il devait accentuer sa présence sur le terrain. Il en avait parlé à sa sœur, et ils étaient tombés d’accord : il fallait qu’il occupe le terrain, qu’il soit là sans éclipser les autres, qu’il serre quelques mains de façon régulière. Il passa sa serviette dans ses cheveux, et avant d’enfiler sa chemise. Il retourna bien vite auprès de sa maîtresse, qui somnolait sur le lit. Ils échangèrent quelques mots, plaisantèrent quelques instants. Comme si tout était normal. Comme si leur relation était normale. « Je vais voir avec mon service communication pour poser torse-nu sur les prochaines campagnes de publicité. » Promit-il avec un clin d’œil. Loin d’être pudique, Camil se fichait royalement d’être vu et observé sous tous les angles. Il avait évidemment un côté narcissique et beau-parleur, mais il l’assumait pleinement. Son assurance et son culot l’avaient déjà mené vers de hautes sphères ; désormais, il visait bien mieux, bien plus haut. Malgré sa vie professionnelle particulièrement active, il n’oubliait jamais de prendre du temps pour lui et pour se détendre. C’est ainsi qu’il en vint à proposer à sa blonde aguicheuse de lui faire un strip-tease la prochaine fois qu’ils se croiseraient – tout en sachant que leur impatience finissait toujours par tout emporter sur son passage. Il médita pendant quelques secondes sur les propos de Raelyn, et finit par hocher la tête. « C’est vrai qu’il y a comme un paradoxe, dans cette histoire. » Il haussa les épaules : quoiqu’il en soit, il savait pertinemment comment se finirait leur prochaine soirée. Nus, enlacés, une fine pellicule de sueur perlant sur leur dos. Il s’en serait presque frotté les mains d’avance ; il se réjouissait toujours de leurs escapades. Et pour cause : la satisfaction qu’il en tirait était réelle.  

Après chacune de leur nuit, ils prenaient le temps de se poser quelques minutes pour préparer la prochaine. Le politicien ouvrit l’application agenda de son téléphone, et fit défiler les semaines jusqu’à arriver au mois suivant. Raelyn s’installa derrière lui, son corps reposant sans aucune gêne contre le sien. Elle lui proposa un rendez-vous à la fin du mois suivant, ce que Camil accepta, tout en essayant de négocier pour l’attente qu’elle lui imposait. Distraitement, elle laissa sa main caresser son épaule. « T’en fais pas, elle fonctionne déjà. » Répondit Camil en souriant. Elle se détacha finalement de lui, et entreprit de commander le petit-déjeuner. Une nécessité absolue – il avait besoin de se ressourcer, pour affronter une longue journée.

Accoudé à la balustrade de la terrasse de la chambre, Camil observa sans la moindre gêne Raelyn se lever, et partir en quête du reste de ses sous-vêtements. Elle ne tarda pas à localiser le minuscule morceau de dentelle qui lui manquait, et qui avait échoué sur la commode design de leur chambre. « La vue est imprenable, d’ici. » S’amusa le politicien en penchant légèrement la tête pour mieux la voir.  L’Australienne ramassa sa robe, qu’elle déposa sur le dossier d’une chaise. « Evite le jaune. » Murmura le politicien en faisant la moue. C’était là son seul désidérata. Il s’installa au pied du lit, et se plongea ensuite dans la lecture d’un article économique pointu que son assistant lui avait fait parvenir. « Hmmm. » Admit le politicien en hochant la tête. Effectivement, Raelyn avait raison de le souligner, sa branche n’était pas conventionnelle. Les habitudes n’avaient pas lieu d’être, et la routine n’existait pas. D’une certaine façon, cette incertitude permanente devait avoir un côté particulièrement stimulant. « T’emballes pas. C’était juste histoire de faire la conversation. » Affirma Camil en haussant les épaules, alors qu’il relevait les yeux de son smartphone. Il lui adressa un léger sourire, qui se voulait rassurant. Il n’était pas en train de s’attacher. Il n’enquêtait pas sur son dos. Il ne cherchait pas à lui soutirer d’information. C’était une simple question, banale et sans intention autre que celle énoncée.

Le politicien ne sourcilla pas lorsque Raelyn s’avança vers la porte, pour ouvrir au service d’étage. S’ils avaient toujours pris soin d’être discrets à l’extérieur, il ne faisait aucun doute pour le personnel de l’hôtel que leur rendez-vous mensuel rimait avec plaisir et débauche. Si le groom était trop obnubilé par les formes et la petite tenue de Raelyn pour jeter un coup d’œil rapide à la chambre, Camil, lui, eut le temps de la scanner. La couette gisait au sol, les draps étaient défaits, un oreiller était par terre. Ses affaires de la veille traînaient négligemment au sol et, même de loin, le politicien put constater qu’il avait laissé une magnifique empreinte rosée au-dessus de la poitrine de sa maîtresse. L’employé de l’hôtel s’éclipsa en bafouillant, et Raelyn referma la porte derrière lui. « Bien sûr. » Dit-il en hochant la tête, avant de prendre place sur le fauteuil qui se trouvait à quelques centimètres de la table basse, où leur petit-déjeuner avait été savamment disposé. Il se pencha, et se servit quelques cuillères de fruits dans une coupelle. « Qui d’autre, en même temps ? » Demanda-t-il, alors qu’il picorait, ses choix se portant automatiquement sur les fruits rouges.  

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyMar 8 Oct 2019 - 12:03


We get what we deserve, and way down we go
Raelyn Backwell & @Camil Smith RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 873483867

J’hésite à mon tour à me laisser tenter par une douche, frissonnant déjà à l’idée de l’eau chaude coulant sur ma peau qui ne pourra me faire que du bien après cette nuit, et l’idée de me débarrasser de la fine pellicule de sueur qui me colle à la peau ce matin m’effleure l’esprit, mais je décidé finalement d’attendre le départ de Camil, ayant toujours aimé me retrouver seule pour profiter de ces instants. Je n’aurais pas dit non à des prolongations de notre nuit sous la douche, mais maintenant que Camil est rhabillé je profiterai seule et dans la tranquillité du luxe de la chambre d’hôtel une fois qu’il aura quitté les lieux. Pas la peine donc de me rhabiller rapidement, je commence déjà à chercher mes sous-vêtements des yeux, ils suffiront. « Je vais voir avec mon service communication pour poser torse-nu sur les prochaines campagnes de publicité. » Je laisse échapper un sourire amusé et ne doute pas du succès de cette idée. Si la plupart des individus crieraient j’en suis sure haut et fort être profondément choqués par cette idée, atteins dans leurs mœurs, j’ai toujours été de ceux qui pensent que chacun d’entre nous a au fond des pulsions plus ou moins avouées et un voyeurisme que certains dissimulent peut-être, mais tous possèdent. De l’époque où je n’étais qu’une serveuse, une petite junkie de dix-huit ans, je garde le souvenir de ne plus avoir su compter le nombre de main aux fesses que j’avais reçue, parfois distribués par des hommes bien-pensants propres sur eux lorsqu’ils pensaient que personne ne regardait. « C’est vrai qu’il y a comme un paradoxe, dans cette histoire. » Je me détache finalement de lui à regret, bien déçue de voir que la fin de notre parenthèse se rapproche. Je sens la tension dans ses muscles, j’ai le loisir d’observer les poils de ses bras se dresser, je sais que j’ai produit chez lui l’effet désiré. « T’en fais pas, elle fonctionne déjà. » J’aimerais y être dans sa tête. Sonder ses fantasmes inavouables, voir ce qu’il aimerait me faire. Il n’y a rien qui pourrait plus m’exciter, je crois. « J’ai aucun doute à ce sujet. » Parce qu’il fait partie de mes amants qui ont le moins de filtres, je crois, et c’est rafraichissant.

Lorsqu’il se lève pour sortir prendre l’air je l’observe un fois de plus, penchant la tête sur le côté et avec un sourire lorsqu’il envoie finalement mon sous-vêtement dans ma direction. Une chose de plus que je n’aurai pas à chercher. Je me lève finalement pour rassembler le reste de mes affaires, sans me sentir gênée de sentir le regard de Camil sur moi. De le sentir m’observer, me détailler. Je suis à l’aise avec mon corps, je l’ai pratiquement toujours été et ne suis pas du genre à rougir de son regard. « La vue est imprenable, d’ici. » Renfilant finalement le bout de tissu qui me manquait encore, je m’adresse à lui dans un sourire. « Le magnifique panorama sur la ville est de l’autre côté il me semble. » Je le taquine mais plaisante, qu’il regarde tant qu’il le souhaite. Qu’il fasse le plein de souvenirs avant notre prochaine entrevue, cela ne le poussera qu’à d’autant plus se languir. « Evite le jaune. » Je note l’information dans un coin de ma tête et la secoue légèrement, amusée, avant de m’asseoir sur un fauteuil, ainsi peu vêtue. « Hmmm. T’emballe pas. C’était juste histoire de faire la conversation. » Je le taquinais plus que je n’avais besoin d’être rassuré mais c’est toujours bon à entendre. Le blond ne m’a pas l’air du genre à s’attacher, il m’a même l’air d’en être très loin, mais j’ai parfois été surprise par des hommes que je ne pensais pas capable de ressentir la moindre affection qui devenaient subitement jaloux et possessifs, quand je n’ai jamais promis la moindre exclusivité à qui que ce soit depuis onze ans. Si j’aimais la jalousie chez mes amants, je n’aimais pas lorsqu’elle allait trop loin, lorsqu’elle devenait réellement moralisatrice et lorsque je sentais qu’on voulait m’ôter un peu de ma liberté et mon indépendance. C’était le moment où je commençais à me lasser, souvent, et à tout arrêter violement, parfois. « Je le sais, je te rassure. » Mais avant que je n’aie le temps de plus exprimer le fond de ma pensée on frappe à la porte et je me lève, accueillant ainsi un jeune groom rougissant qui nous apporte le petit déjeuner. Le mettre mal à l’aise n’était pas volontaire de ma part, pas à la base en tout cas, mais en le voyant rougir je ne peux m’empêcher d’en jouer, de lui adresser des sourires faussement innocent et un regard teinté de provocation. Lorsque je referme la porte derrière lui je me retiens d’exploser de rire tant j’ai l’impression qu’il nous est encore possible d’entendre le cœur du jeune homme battre la chamade dans sa poitrine. « Bien sûr. Qui d’autre, en même temps ? » Je hausse les épaules, innocemment, parfaitement consciente de la vue que mes sous-vêtements offrent. La dentelle, ajoutée à certains endroit ne laisse finalement que peu de place à l’imagination, et la petite quantité de tissu de mon bas ne suffit clairement pas à dissimuler mes formes. Bon, il en a vu d’autres. Je me rapproche de Camil qui a pris place autour de la table, passant devant lui pour poser une main sur son torse, m’appuyant de l’autre sur le dossier de son fauteuil, mon corps penché vers lui, dangereusement proche du sien. « Oui, qui d’autre ? » Je joue un instant de cette proximité, marquant une pause alors que mon souffle se mêle au sien, avant de me pencher un peu plus pour lui dérober baiser, l’un des derniers certainement. Ma langue joue un instant avec la sienne, et j’emprisonne finalement doucement sa lèvre inférieure entre les miennes, avant de me reculer. Un sourire flotte un instant sur mon visage, éphémère, et je m’assois sur le second fauteuil.  J’attrape la cafetière pour me servir un café brulant, élément principal de tous mes petits déjeuners et particulièrement nécessaire aujourd’hui. Je croque finalement avec appétit dans une brioche au chocolat déposée sur le rebord de l’assiette. « S’il y a quelque chose dont je ne me lasse pas, même si j’étais dubitative à la base en ce qui concerne nos escapades dans des hôtels, c’est bien ça. » Il est le seul à vrai dire que je fréquente dans ce type d’endroits. C’est le caractère exceptionnel de la chose qui la rend finalement excitante, là où j’aurais l’impression d’être une prostituée si cela devenait trop régulier. « J’espère que les souvenirs de cette nuit te permettront de survivre à ta journée, tu as une mine fatiguée. » Moi aussi certainement, sauf que je n’ai rien de prévu avant quelque heures, l’avantage d’avoir un boulot à horaires plus que flexibles.






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Message(#)RAELYN&CAMIL► We get what we deserve, and way down we go - Page 2 EmptyDim 13 Oct 2019 - 18:23

Les deux amants n’avaient jamais fait preuve de pudeur. Ils avaient toujours été à l’aise avec leur nudité et leur sexualité, et le fait que l’Australienne le lui fasse remarquer le fit largement sourire. Il savait pertinemment que tout ce qu’elle faisait pour l’émoustiller était mûrement réfléchi, et qu’elle ne laissait jamais rien au hasard. « Qui a dit que c’était ce panorama-là qui m’intéressait ? » Rétorqua Camil avec un sourire gourmant. La ville, il la connaissait par cœur. Chaque rue, chaque recoin, chaque point de vue époustouflant. Brisbane était son terrain de jeu depuis tant d’années ! Tout lui était tellement familier… Il en oubliait presque, parfois, qu’il avait grandi à Houston. Brisbane était la ville d’origine de sa mère, et elle l’avait adoptée, lui, l’aîné de la famille.

Il la voyant s’approcher de lui comme un prédateur le ferait sur sa proie, Camil sut qu’il avait visé juste en suggérant qu’il était la seule personne présente ici susceptible de faire tourner des têtes. L’Australien savait pertinemment que c’était faux – il suffisait de voir l’ardeur qu’il avait mise à la faire jouir, quelques heures plus tôt. Loin d’être intimidé, il répondit volontiers au baiser de Raelyn, qui s’appliqua à rendre cette fin de nuit tout aussi inoubliable. Elle le délaissa ensuite pour aller s’asseoir, face à lui. A chaque fois qu’il prenait le temps de petit-déjeuner avec Raelyn, il finissait toujours par se faire la même réflexion : pourquoi ne prenait-il pas le temps de se nourrir les matins, alors qu’il adorait ce moment ? Certes, l’abondance de produits et la diversité de ceux-ci rendaient leur petit-déjeuner proche du festin, et Camil se régalait. Mais ne devrait-il pas s’octroyer ce petit plaisir chaque matin ? Sixtine en serait probablement ravie – elle n’était jamais la dernière pour critiquer les mauvaises habitudes de vie de son frère aîné. Dans un bol, il mélangea deux cuillerées de fromage blanc, qu’il sucra avec du miel. Appliqué dans sa tâche, il ne releva la tête que lorsque Raelyn lui confia avoir été dubitative quant à leurs rendez-vous galants dans des hôtels. « Dubitative ? » Répéta Camil en arquant un sourcil, surpris par la révélation que venait de lui faire Raelyn. Sauf erreur de sa part, il lui semblait que la blonde ne lui avait jamais fait part de cet état d’esprit. Et, en même temps, avaient-ils vraiment déjà pris le temps d’évoquer leur relation et la façon dont elle se déroulait ? Non. Le peu de fois où ils en parlaient, c’était pour s’assurer que tous deux étaient sur la même longueur d’onde, et qu’ils ne cherchaient rien de plus que de s’amuser sans qu’il n’y ait de suite, ou de malheureuse conséquence. « Pourquoi donc ? » Demanda-t-il. Elle avait éveillé sa curiosité, et il avait désormais hâte d’être fixé sur l’essence des doutes que sa maîtresse avait pu avoir. Il se redressa légèrement, et s’empara du jus d’orange frais que le groom avait déposé sur la table. Il servit deux verres, dont un qu’il fit glisser vers Raelyn. Il détacha ensuite les grains de la grappe de raisin les uns après les autres, et les disposa dans son bol, avec d’autres fruits rouges – des framboises, des fraises, et quelques myrtilles. « Pourquoi tu crois que je force sur les vitamines ? » Plaisanta Camil en souriant, avant de commencer à manger son mélange. Il se recula jusqu’à trouver la plus confortable des positions dans son siège, et un silence quasi religieux s’installa entre eux. Naturellement, l’esprit du politicien vagabonda vers son emploi du temps de la journée. Quelques rendez-vous professionnels importants, deux réunions auxquelles sa présence était impérative, et un déjeuner d’affaires. Il avait clairement connu pire. Et surtout, il y avait un avantage dans le fait de fréquenter cette femme depuis plus d’un an : il savait pertinemment que, la journée qui suivait leur nuit de débauche, il n’était pas qu’une productivité exceptionnelle. La fatigue était trop importante, et son esprit trop accaparé par les images graphiques qui défilaient encore sur sa rétine. « Ma mémoire à court terme est excellente. » Confia l’Australien en souriant. Il termina son bol, qu’il déposa sur la table, et s’étira. L’heure de partir approchait à grand-pas et, comme à chaque fois, un léger sentiment de nostalgie l’habitait. Il serait, heureusement, bientôt chassé par ses obligations professionnelles et ses ambitions carriéristes. Il chercha du regard sa veste de costard, avant de se souvenir qu’il l’avait laissée dans sa voiture. Prudent, mais surtout par manque de temps pour revenir ultérieurement, le politicien fit le tour de la chambre pour vérifier qu’il n’avait rien oublié. Il fit glisser son téléphone portable dans la poche de son jean, et reprit son portefeuille, qui traînait sur la table de chevet. « Je te laisse fermer la porte derrière moi ? » Demanda le politicien en se dirigeant vers le vestibule de leur suite.  
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