a nouvelle entré, une petite fille rousse qui vient d’arriver dans la ville mais qui n’arrive pas a s’adapter. Je suis alors dans la chambre avec elle, je devais alors lui faire une prise de sang. Je suis alors avec mon petit chariot où se trouvent tous mes instruments pour faire celle-ci. Je lui souris mais elle garde ses bras contre son corps en bougonnant en ronchonnant limite en faisait la tête. Sur le coup je rigole doucement en venant doucement m’assoir au bord de son lit. Elle me fait penser à toi quand tu es stressé et que je viens pour te calmer quand ça arrive en ma présence.
J
e glisse ma main dans une de mes grandes poches de ma blouse rose et je sors une sucette de celle-ci, lui montre, les enfants et la sucrerie c’est fatal et par moments on leur autorise des exceptions, subitement son visage se ravit et saute limite de joie.
« Oh s’il vous plaît Liv je veux la sucette. » - A une seule condition ! « Pas la piqûre… » - Je te promets que tu ne sentiras rien et tu auras le droit à la sucette !
B
ien sûr je garde toujours un sourire aux lèvres, un sourire agréable à voir pour les enfants. Au bout de quelques minutes elle cède. Je lui donne la sucette et elle me tend son bras, je me relève de son lit, je me désinfecte les mains comme d’habitude. Je prends alors un coton et lui désinfecte l’intérieur du bras. Je lui mets le serre bras bleu avec des motifs enfantins dessus et je viens déposer mon regard sur sa personne, trop occupé par sa sucette que part ce que je fais. Ca m’arrache à nouveau un sourire amusé sur mes lèvres. Cette prise de sang se fait rapidement, je lui mets un petit pansement puis, je la laisse tranquille.
E
n sortant de la chambre je me rends compte que j’ai toujours mon sourire aux lèvres, j’avais l’impression de me voir moi à son âge, rouquine, les taches de rousseurs bien marquées que ce soit sur le visage ou sur les bras et bien sûr boudeuse pour un rien. Je secoue la tête doucement pour me sortir de mes pensées et marche vers le petit local pour ranger le chariot et garder les échantillons dans mes mains. C’était régulièrement mouvementé dans les couloirs, les enfants qui s’amusent, la salle qui est animée, les parents qui parlent entre eux. Toujours un petit bruit la journée mais la nuit, rien, la sagesse reine.
M
ais lorsque je lève le nez et que je vois l’heure qui tourne rapidement, déjà plus d’une bonne heure de dépasser, encore, comme à chaque fois je laisse un petit soupire m’échapper. En retard pour en retard ça ne sert plus à rien de se presser. Sur ma route je dépose les échantillons de sang au laboratoire qui n’est pas si loin puis je me dirige vers nos salles de repos pour me changer et rentrer à l’appartement. Je t’avais dis que je rentrerais à une heure précise mais je ne la respecterais pas, pas tout le temps. Une fois que je me suis rhabillé je sors alors mon téléphone de mon sac pour te prévenir de mon retard :
« Chéri je suis désolée, je suis encore en retard. J’ai enfin fini mon service je rentre enfin à l’appartement. »
L
orsque celui-ci c’est envoyer je le dépose de nouveau dans mon sac. J’emboite le pas pour sortir de l’hôpital, j’ouvre ma voiture et monte à l’intérieur. Soufflant doucement, je repense un instant aux enfants, j’aime réellement les enfants ils sont tellement adorables. Puis je hausse doucement les épaules, je savais que ce sujet et a évité le plus possible en ce moment.
J
e quitte alors ma place de parking et rentre à l’appartement. Une fois garé à une place je sors de celle-ci et me dirige vers l’entrée de l’appartement. J’ouvre alors la porte et à ce même moment Duck sort à ce moment à toute vitesse mais j’ai eu le réflexe de le rattrapé pour l’en empêcher. Je le serre contre ma poitrine en le regardant et entre en même temps. Je lui parle, comme d’habitude.
- Non, non tu ne sors pas toi. Tu n’as pas le droit. Puis tu veux me fuir toi hein. Coquin !
J
e lui caresse une dernière fois le haut de la tête, dépose mon sac et retire ma veste puis d’une voix très claire je t’appelle pour savoir où tu te trouves.
Une fois n'est pas coutume, Samuel était rentré plutôt tôt chez lui après avoir fini son travail. Là où il avait de plus en plus souvent pris l'habitude de se rendre à la salle de sport afin de faire quelques exercices qui lui permettraient de se vider la tête après une journée bien trop chargée remplie de documents à signer qui s'amassaient toujours plus nombreux sur son bureau, il avait pour une fois décidé de ne pas faire ce crochet-là et se rendre immédiatement chez lui. Il était tout simplement bien trop épuisé physiquement pour se permettre un tel exercice et la seule pensée agréable qui lui passait en tête était présentement la perspective de retrouver bientôt la douceur, le confort et la chaleur de son lit.
Ce qui n'arriva pas immédiatement après qu'il fut rentré chez lui bien entendu. Tout d'abord, Duck après une énième journée à avoir été lachement abandonné plusieurs heures de suite par ses propriétaire réclamait nourriture et câlins qu'il ne pouvait décemment pas lui refuser sous peine de subire d'atroces souffrances (telles que se faire attaquer les pieds par un chat en furie). Ensuite, lui aussi avait faim. Même s'il était rentré plus tôt que d'habitude il avait tout de même fait quelques heures supplémentaires au bureau et, ajouté à cela les bouchons habituels sur la route, son horloge interne était déjà programmée sur l'heure du souper. Sauf que son épouse, Liv, n'était pas encore rentrée et que même si leurs rapports n'étaient pas au beau fixe (et c'était entièrement de sa faute il en avait bien conscience) les quelques repas qu'ils pouvaient partager ensemble il s'arrangeait généralement pour qu'ils aient lieu. Cela laissait souvent place à des silences quelque peu gênants, uniquement comblés par les sons qui s'élevaient de la télévision, mais c'était ainsi. Les pensées de Samuel avaient beau être troublées par bien trop de choses dérangeantes à ses yeux, il ne souhaitait pas rajouter à cela. De plus, son mariage semblait être l'une des seules bonnes choses qu'il avait fait de sa vie, surtout aux yeux si puritains de son père, alors il ne souhaitait absolument pas qu'il perde le peu de crédit qu'il devait très certainement avoir auprès de David. Un soupire. Pourquoi avait-il fallu qu'il complique toujours autant les choses...
Le sortant de ses pensées, Duck sauta sur ses genoux en ronronnant d'avance aux caresses qu'il imposait à son maître, et qu'il ne comptait de toute manière pas lui refuser. S'allongeant plus confortablement dans le canapé, le chat lové contre son torse, il alluma la télévision sur une chaîne quelconque afin de faire passer le temps en attendant Liv. Son téléphone oublié dans la poche de son pantalon dont il s'était délesté dans leur chambre, il ne l'entendit pas l'avertir qu'il venait de recevoir un message et était donc en train de somnoler lorsque sa femme pénétra dans l'appartement. Sa voix claire l'appelant fut la seule chose qui parvint à le sortir du sommeil et, toujours à moitié endormi, il releva la tête appercevant la rouquine par-dessus le dossier du fauteil.
"Hey."
Lui dit-il pour toute réponse, de la voix d'outretombe de celui qui vient à peine d'être tiré de ses rêves. Regagnant une position assise, il étira sa vieille carcasse et eut du mal à réprimer un bâillement sonore avant de se lever pour la rejoindre.
"Je savais pas à quelle heure tu allais rentrer, je me suis endormi en t'attendant. Ta journée était bonne ?"
Il l'embrassa brièvement sur la commissure des lèvres, surtout par habitude du geste. Et puis cela permettait de préserver un semblant de cohésion dans leur couple. Malheureusement, un semblant seulement.
"Je t'attendais pour manger, tu veux que je prépare quelque chose en vitesse ?" Un nouveau bâillement. "Je vais pas tenir très longtemps éveillé de toute façon."
Samuel & Liv Beauregard L’envers du décor En rentrant je ne m’attendais pas a du tout a se que tu sois allonger ainsi sur le canapé avec Duck surtout qui lui aussi en profite pour dormir. Mais a mon arriver il c’était lever pour m’accueillir. Je m’avance vers le salon, après lui avoir offert quelques caresses et me penche légèrement au dessus pour t’observer un instant alors, un petit sourire afficher sur mes lèvres. Quand tu te lève, je viens à mon tour, dépose un bref baisé sur tes lèvres, comme d’habitude. « Je t’ai envoyé un message pour te dire que j’ai finis un peut plus tard que d’habitude. » Mais en te suivant dans la cuisine et je remarque que t’es changer. « Mais tu as du oublier ton téléphone dans celui-ci en te changeant » je réplique rapidement avec tout de même un petit sourire. Voyant que tu es tout aussi claquer que moi, je viens a tes coter passant ma main dans mes cheveux doucement. « Je veux bien oui, en attendant je vais rapidement prendre une douche et je te parle de ma journée. » Je laisse un nouveau sourire entreprendre mes lèvres, mais nous savions tout les deux que la soirée aller être très courte surtout, monotone et animé par la télévision durant le repas. Je fais quelques pas en arrière puis je me dirige rapidement vers la salle de bain, je baisse légèrement la tête puis je passe par la chambre pour prendre quelques affaires de rechange. Je ferme la porte de la salle de bain et laisse un petit soupire m’échapper. Je passe mes mains dans mes cheveux pour venir les attachés en hauteur surtout pour ne pas les mouillés. Je retire tout mes vêtements, puis je m’enfile sous la douche, une douche pas trop chaude. Vue les températures qu’on a eu, je n’avais pas envie d’avoir encore trop chaud. Une fois celle-ci prise, je sors de la cabine de douche enroule la serviette autour de mon corps, je prends malgré tout mon temps. J’ai pris le temps profité de l’eau fraiche sur mon corps, je prends maintenant le temps de m’essuyer mais surtout de m’habiller. J’enfile un débardeur ainsi qu’un petit short. Je sors de la salle de bain ainsi, bien sûr en revenant vers toi, je détache mes cheveux en secouant un peut ma tête. Je les laisse tombé sur mes épaules. Ils sont bien trop souvent attacher au travail. Je viens dans la cuisine pour alors prendre deux assiettes, les couverts puis des verres pour mettre la table. Je relève le nez pour te regarder entre même temps. « Il y a eu une entré aujourd’hui, une petite fille. Rousse elle aussi. Elle était contente de voir qu’elle n’était pas seule. » Je n’allais pas rester dans ce silence, donc j’essaye de faire un peut de conversation. Quand je viens me place contre le plan de travaille près de toi je souris doucement. « Que nous prépares-tu de bon ? »
Après que Liv lui ait expliqué lui avoir envoyé un message pour le prévenir de son retard, depuis le bar de la cuisine il se tordit le cou pour essayer de voir s’il n’avait simplement pas entendu son téléphone sonner ou s’il l’avait oublié dans la poche de son pantalon… Visiblement, ne voyant aucune tache noire se détacher de la couleur claire de la table basse il acquiesça à la seconde phrase de sa femme.
« On dirait bien ouais, j’ai pas fait très attention à ça quand je suis rentré j’avais juste envie de me débrancher un peu et me reposer… »
Après un rapide coup d’œil dans ce qu’il restait au frigidaire, son choix pour le soir se porta sur du poulet avec une simple sauce curry, rapide à faire mais nourrissant : ce serait parfait. Souhaitant distraitement à sa femme de prendre une bonne douche, plus pour le "geste" qu’autre chose en fait, il sortit ensuite tous les ingrédients et instruments qui lui seraient nécessaire à cuisiner, puis s’y attela. Après seulement quelques minutes, il trouva le silence qui pesait sur l’appartement trop pesant (ayant coupé la télévision), seulement coupé par les sons de son travail et du jet d’eau étouffé qui lui arrivait depuis la salle de bain, il se dirigea vers l’ordinateur duquel il lança une liste de lecture déjà programmée. Du rock assez calme mais suffisant pour alléger une ambiance, voilà qui conviendrait parfaitement. Quelques minutes plus tard Liv fut de retour dans la salle principale, toute fraîche toute propre, et commença à lui raconter ce qu’il s’était passé dans sa journée de travail. C’était un moment qui se résumait d’ailleurs souvent à « Liv raconte, Sam écoute » puisque lui-même n’avait absolument rien d’intéressant à raconter sur ce qu’il avait fait. A part qu’il arrivait véritablement à saturation de ce travail. Il sourit légèrement en entendant parler de cette petite fille rousse.
« Et elle n’avait rien de trop grave, ça va ? »
Arrivant à la fin de sa cuisine, il renversa la sauce sur le poulet puis entreprit de servir les assiettes déjà préparées par Liv.
« Du poulet au curry, j’espère qu’il te plaira. Il ne vaut pas les tiens, mais bon… je fais ce que je peux ! »
Ils prirent tous deux place à table et commencèrent à manger après l’éternel « Bon appétit »… L’ambiance aussi tendue et étrange qu’à leur habitude.
Je savais bien que tu n’allais pas m’en dire plus sur ton travaille comme d’habitude donc je continue de te parler du miens. Des choses les plus intéressantes en réalité. J’avais malgré tout un petit sourire aux lèvres quand je parle de la fillette, elle me faisais clairement penser a moi a son âge. Presque le même visage. « Et elle n’avait rien de trop grave, ça va ? » a ta question je fais un non de la tête en te regardant doucement. En réalité si, mais je n’allais pas plomber la soirée au reste donc je te mens un peut « Non, non, elle est la pour des examens simplement. » Je souris doucement quand je vois le plat que tu nous as préparé il était vrai qu’il était facile a faire, assise a table je te regarde nous servir « Du poulet au curry, j’espère qu’il te plaira. Il ne vaut pas les tiens, mais bon… je fais ce que je peux ! » Puis je laisse un petit rire m’échapper en venant te regarder « Tu cuisine bien malgré tout Sam, je ne me suis jamais plainte de tes repas bien au contraire ! Donc il sera très bon lui aussi. » Je n’avais pas trop envie d’avoir des conversations froides ce soir. Sauf que quand nous commençons a manger, le silence reprends place, enfin, le petit fond de musique que tu nous as mis il y a peut de temps prends place. C’était assez lourds et pesant, mais surtout avec la fatigue que nous accumulons l’un et l’autre est très présente et appuie sur l’ambiance. Par moment, je repense a certaine de nos soirées que nous avons passé au par avant, des soirées assez mouvementés sans se silence si pesant. Mais après plusieurs bouché je relève le nez pour te regarder en souriant doucement « c’est délicieux ! Meilleure que le mien » Puis je reprends au fur et à mesure plusieurs bouchées de mon repas qui est face a moi. Gardant tout de même un petit sourire aux lèvres. Si je savais les heures aux quels tu rentrais généralement j’aurai peu reprendre mes petits plats que je préparais mais, maintenant tu es régulièrement a la salle de sport et que je ne sais pas trop quand tu rentre je prends plus de temps a l’hôpital et un peut moins a la maison. Quand j’ai l’occasion, je le fais mais quand je ne l’ai pas c’est un peut plus dur et ce n’est pas agréable de manger un repas froid qui est chaud de base et encore moins seule. Mais bon, c’était devenu notre petit train-train quotidien maintenant. Le repas se passe assez vite, une fois que j’ai finis, j’attends que toi aussi tu finisses se qui ne tarde pas vraiment en faite. Je prends les assiettes en main, pour débarrasser puis je vais dans la cuisine. Je mets les couverts et assiettes dans le lave vaisselle. Je me redresse pour t’adresser la parole « Tu veux quelques choses d’autre où tu vas vouloir aller te coucher maintenant ? » Il était vrai que ce n’était pas la première fois que je t’entends bailler. C’était pour ça que je te propose ça. Aller me coucher a moi aussi ne peut pas me faire du mal…
Même s’il paraissait revêtu de son flegme habituel, Samuel eut tout de même un léger sourire rassuré lorsque Liv lui confirma que la petite fille n’avait rien de trop grave. Il savait que le métier de sa femme était parfois lourd, tout comme il se doutait qu’elle ne lui parlait pas toujours de la gravité des cas qu’elle avait eu à traiter durant ses journées mais c’était sûrement pour le mieux, déjà que leurs soirées n’étaient pas bien gaies. Et puis, il connaissait l’amour de la rouquine pour les enfants (elle ne travaillerait pas dans un service de pédiatrie sinon, ni n’aurait abordé le sujet plusieurs fois depuis qu’ils étaient mariés) et bien qu’il ne se considérât pas encore prêt à être père (si tant est qu’il le soit un jour) cela ne l’empêchait pas de les apprécier également. Après qu’il eut réparti le poulet dans chacune des deux assiettes, Liv lui dit que sa cuisine était meilleure que ce qu’il ne pensait –même meilleure que la sienne en ce qui concernait le poulet au curry surtout. Il n’était visiblement pas convaincu du tout par la chose, mais ne comptait pas non plus trop contredire sa femme là-dessus.
« Bah, je sais que je suis capable de faire des plats assez simples… Mais mes talents culinaires s’arrêtent là, je suis tout juste capable de reproduire des recettes. Je m’en plains pas spécialement ceci dit, au moins ça permet de se nourrir, c’est toujours mieux que des pâtes tous les jours ! »
Une fois cette discussion-là finie, le repas se passa, comme de coutume, dans le silence. Ni l’un ni l’autre ne savait spécialement quoi dire, et comme d’habitude leurs rares sujets de conversation se tarissaient bien vite, comme ç’avait été le cas un peu plus tôt. Il était de toute manière assez commun dans leur train-train de couple qui s’était établi depuis des années que des situations comme celles-ci arrivent. Le silence était alors bien plus pesant qu’agréable, soulignant assez douloureusement le vide qui s’était installé dans leurs vies. Etaient-ils toujours mariés par amour ou par habitude ? Petit confort de la vie à deux, de la simplicité qu’ils avaient à éviter un divorce et toutes les complications que cela entrainerait… Peur de paraître une fois de plus comme décevant aux yeux de son père en ruinant la seule chose de bien qu’il avait fait selon ses idéologies. Finalement, ils finirent leur repas aussi silencieusement qu’ils l’avaient commencé, et tandis que Liv débarrassait la table il étira sa vieille carcasse avec un bâillement sonore qu’il ne put réprimer, son corps lui rappelant très clairement que sa précédente sieste ne lui suffirait pas à rattraper tout le sommeil qu’il lui manquait.
« Je pense que je vais aller me coucher, c’est à peine si je tiens sur ma chaise…
Un nouveau bâillement confirma ses dires, puis il se leva afin d’aller rejoindre sa femme et l’embrasser une dernière fois avant d’aller se coucher –un vieux rituel tout de même, qu’il tenait à garder malgré toutes leurs difficulté.
« Tu me rejoins bientôt ? »
Après qu’elle lui ait donné sa réponse, il alla récupérer son vrai pyjama puis alla se coucher dans le lit conjugal, rapidement rejoint par Liv, et presque immédiatement rejoignit les limbes du sommeil.