| Je voudrais le bien mais le mal fait son beurre | chalyn |
| ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34341 POINTS : 3350 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Dim 14 Juil 2019 - 10:44 | |
| Je voudrais le bien mais le mal fait son beurre Raelyn Blackwell & @Charlie VillanelleÇa doit être le cauchemar de tout parent, une gamine comme ça. Une gamine avec cette envie dévorante et évidente de trouver quelque chose qui la fasse plus vibrer que son ennuyant quotidien, prête à tout tenter pour impressionner une femme seulement repérée sur les réseaux sociaux, prête à se mettre en danger, à accepter une pilule d’une substance inconnue et venue de nulle part. Mais qui n’avait pas l’air d’avoir les épaules et la carapace pour cette illusion de décadence qu’elle souhaitait mettre en place. Elle avait pas mal de chances de connaître une fin tragique la gamine si elle continuait à toujours vouloir dépasser les limites sans avoir conscience des risques. Que se serait-il passé ce soir si au lieu de moi sa route avait croisé celle d’un homme charismatique et mal intentionné, faisant le double de son poids ? Ou si elle était tombée sur un dealeur un peu moins scrupuleux prêt à lui refiler de la merde coupée avec des substances dangereuses pour quelques dollars ? J’étais le moindre mal immédiat qu’elle ait pu rencontrer. Mais toute aussi dangereuse sur le long terme. Assez charismatique et avec une allure dont on ne se méfiait pas, c’est doucement, lentement que je devenais aussi pernicieuse que le plus mortel des serpents. Je ne voulais de prime abord pas de mal à la jeune femme, mais ce n’est pas pour autant que ma compagnie ne finirait pas par lui en faire. Parce que c’était qui j’étais, et que je déteignais rarement sur quelqu’un de la bonne façon.
Mais je lui laisse la chance de s’échapper à la demoiselle, on ne m’enlèvera pas ça. Elle décline en aussi peu de temps qu’il lui a fallu pour décider de venir poser ses fesses à ma table et un sourire presque carnassier se dessine alors sur mon visage. Elle me donne presque l’autorisation d’en faire un jouet, une petite poupée grandeur nature (ou plutôt grandeur contre nature) rien que pour moi. J’en ai de la chance. Alors je dessine de devenir marionnettiste, parce que j’ai toujours aimé regarder les autres se plier à mes désirs et idées tordues, et parce que Charlie ferait une jolie marionnette à ajouter à ma collection. Je l’observe sonder la foule sans un mot, puis reporter son attention sur l’assemblée présente autour de la table. Lorsqu’elle se lève un sourire se dessine sur mon visage, et croisant mes bras sous ma poitrine en appuyant mon dos contre la banquette. Elle se lance dans un petit manège sensuel, allant jusqu’à perdre sa main sur l’entrejambe de la cible qu’elle s’est choisi. Les effets de la MD, déjà ? Ça me parait bien tôt pour commencer à les ressentir, même pour quelqu’un qui n’en a pas l’habitude. Non, il se pourrait bien qu’il s’agisse de la gentille pucelle qui révèle une nature un peu plus débauchée. Je l’observe, plus curieuse que perverse excitée par la situation alors qu’elle se retourne et me lance un regard plein de sous-entendus. « Tu comptes nous rejoindre ou tu vas juste rester là à regarder sagement ? » Haussement de sourcil, je la regarde quelques secondes en silence avec de laisser échapper un rire franc, le genre de rire qui fait presque oublier que je ne suis pas une femme fréquentable. Je secoue la tête avant de planter à nouveau mes pupilles dans les siennes. « Je touche pas aux mineurs, désolée princesse. » Et je ne fais pas dans les femmes aussi, second détail qui a son importance.
Est-elle réellement en train de me faire une proposition, ou bien n’est-elle qu’une grande gueule insolente ? Dans les deux cas ça me plait, parce que cela signifie qu’elle en a plus dans le ventre que ce que ses airs d’anges laissent penser. Elle ne m’intéresse pas, pas comme ça, mais j’aurais été profondément ennuyée d’avoir à faire à une vierge effarouchée. « Il te manque également quelques petits détails qui ont leur importance pour m’intéresser. » Des attributs masculins, en fait. Je penche la tête, comme si je l’étudiais. « Et tu serais mieux en blonde, en fait. » Je me penche pour attraper mon verre et y tremper mes lèvres, sans quitter pas-si-pucelle-que-ça des yeux. « Donc je vais rester là à regarder sagement. » Non je ne compte pas les fixer en fait, je suis pas si creepy que ça. Mais je ne suis pas du genre à ne pas entrer dans le jeu de mon interlocuteur lorsqu’il me provoque. Et c’est ce qu’elle est en train de faire visiblement. « Désolée de te décevoir. » Très ouverte donc, la demoiselle. « Oublie quand même pas de le laisser respirer. »
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| | | | (#)Ven 19 Juil 2019 - 15:55 | |
| Besoin d’oublier. De s’oublier elle même. De s’oublier dans les bras d’un inconnu parce que c’est bien plus facile que de pleurer une nouvelle fois sur l’épaule de Léo alors qu’il n’avait pas signé pour ça. Les termes de leur contrat du 20 février 2017 ne stipulaient pas que Villanelle passait son temps à pleurer pour un rien en tant qu’excellente hypersensible qu’elle est. Elle pleure quand les animaux meurent dans les films, elle pleure quand on hausse le ton sur elle, elle pleure quand la situation devient plus compliquée … Ses larmes ne connaissent aucune limite. Elle pleure quand elle brise le coeur de ceux qu’elle aime, oh qu’elle pleure. Sauf ce soir, elle n’a pas le droit à l’erreur. Elle n’a pas le droit de laisser échapper ses sentiments, de les laisser filer entre ses doigts parce que personne ne sera là pour la ramasser à la petite cuillère. C’est ce qu’elle cherche. Elle ne veut plus être bercée par les mots rassurants de Léo peu importe quelles horribles erreurs elle pourrait commettre. Il serait capable de l’excuser de n’importe quoi et elle ça l’arrange bien de croire que tout ce qui sort de sa bouche n’est que la vérité pure et simple. Raelyn n’en a rien à faire et elle le lui a bien fait comprendre, elle est le parfait bourreau dont elle a besoin en ce moment. « Je touche pas aux mineurs, désolée princesse. » Charlie sourit sans que cela n’ait réellement de sens. Cette phrase lui fait penser à Jo, lui qui passait son temps à l’appeler “mineure”, histoire d’encore plus enfoncer le couteau dans la plaie. Il n’avait pas le droit de s’approcher elle et pourtant il l’a fait, et le résultat fût un tour en prison. Nouvelle victime collatérale. La jeune femme affiche une moue déçue la seconde d’après, parce que même sans les effets de la pilule sur son corps elle aurait aimé que la blonde se mêle au jeu. Rien qu’une fois, pour s’amuser encore un peu plus sans but précis. Rien à perdre et tout à gagner. Elle la trouve vraiment pas drôle sur le coup, elle qui se targue de tant de choses elle reste là impassible sur un fauteuil inconfortable. « Il te manque également quelques petits détails qui ont leur importance pour m’intéresser. » Villanelle revient poser ses lèvres sur celles de l’inconnu, levant les yeux au ciel. On dirait elle même qui tente de s’inventer des excuses. Elle connaît ce petit jeu parce qu’elle y joue quasiment quotidiennement. La blonde semble se voiler la face pour se chercher des excuses, mais il est aussi probable que ce soit Charlie qui se cherche des excuses de son côté. Peut être un peu des deux, qui sait ? Est ce que cela a vraiment son importance dans l’histoire ? Elle ne veut pas s’amuser avec eux, d’accord. De toute façon elle n’ira pas plus loin avec l’inconnu, il n’a aucune sorte d’importance pour elle si ce n’est être un jeu de quelques minutes. Une distraction. « Et tu serais mieux en blonde, en fait. » Alors qu’elle est occupée à bien d’autres choses avec tout son corps, son cerveau ne se déconnecte pas de sa voix pour autant. Elle sourit entre deux baisers, heureuse qu’elle le pense. On dit souvent qu’il faut changer de coupe de cheveux pour appréhender sa nouvelle vie et c’est ce que la jeune femme compte mettre en pratique d’ici peu. L’autre raison c’est qu’elle trouve le blond de son interlocutrice ravissant et qu’elle aimerait ne plus avoir à ressembler à une gamine de quatorze ans. De toute façon le roux attire trop l’oeil et le brun serait ennuyant à mourir. Elle n’a pas prévu de ressembler à un arc en ciel non plus alors son blond naturel semble parfait. Elles seront les mêmes de cette manière ci et Raelyn n’aura pas le droit de lui en vouloir si elle pense que l’idée vient d’elle. « Donc je vais rester là à regarder sagement. » Le plan ne semble pas si terrible que ça. Au moins elle la prévient que ses yeux seront braqués sur le moindre de ses gestes. Les siens, en plus de tous ceux de la tablée de voyeurs. Ils oublient tout alors que Charlie se contente d’embrasser un des leurs. Juste embrasser. Langoureusement, certes, mais cela ne reste qu’au stade de baisers et d’une main légèrement baladeuse sur son pantalon. Rien de plus. Quelle bande de porcs. « Désolée de te décevoir. Oublie quand même pas de le laisser respirer. » Elle la trouve fun, la Raelyn. Elle ne perd pas de temps à essayer de rentrer dans les normes, elle dit ce qui lui passe par la tête et par dessus tout vit comme bon lui semble. Cependant désormais, elle a assez goûté au plaisir de la chair avec l’inconnu. Ce fût bref et superficiel, mais bien assez intense pour l’homme qui vire déjà au rouge. Charlie prend une dernière fois son visage entre ses mains et lui offre une dernier baiser sur les lèvres, une simple pression. Ses genoux se décollent du tissu et ses pieds retrouvent le sol. Lui en demande encore et elle sourit parce qu’il lui fait penser à ces hommes de sa vie qui ont la fâcheuse tendance de vouloir la demander en mariage. Ses pas la reconduisent à sa place initiale, elle redescend sa robe là où elle devrait être et s'essuie la lèvre inférieure du dos de sa main. Si elle n’avait pas ces yeux d’enfants on aurait pu la prendre pour un quarantenaire qui a abusé de la bière devant les matchs de sport. « C’est ennuyant de toujours parler de moi. Tu m’aimes déjà bien trop, je le sais, mais ce n’est pas une raison. » Une poussée de confiance venue de nulle part et totalement irraisonnée. « Pourquoi t’as de la Molly ? Pourquoi t’es sur cette table là ? Qui sont ces gens ? Qui es-tu, toi ? » Pourquoi est ce que tu as ce besoin de toi même spécifier queen, as-tu si peu de confiance en toi pour espérer que quelqu’un te considère comme tel de lui même un jour ? « Tu veux prouver quoi dans l’histoire ? »
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| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34341 POINTS : 3350 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Lun 22 Juil 2019 - 21:50 | |
| Je voudrais le bien mais le mal fait son beurre Raelyn Blackwell & @Charlie VillanelleElle joue la demoiselle, elle joue pensant me prouver quelque chose, pendant se prouver quelque chose aussi peut être. Je ne suis personne pour elle, nos regards ne s’étaient jamais croisés avant ce soir – même si elle semblait m’avoir observée derrière son écran – alors qu’aurait-elle à faire de mon avis, de l’opinion que je me fais d’elle ? Si c’est le cas, c’est bien là une différence de plus qu’il subsiste entre elle et moi : je n’ai jamais eu que faire des réactions que je suscitais chez les gens, tant que justement j’en suscite une. Passer pour une droguée, une fille qui la ramène trop, une emmerdeuse, une femme facile, une femme forte ou sans cœur ne m’a jamais dérangée, et je préfère être haïe et méprisée que d’être ignorée. Charlie elle a le comportement d’une jeune femme qui souhaite se faire remarquer, elle aussi, pourtant elle semble bien motivée à me montrer que j’ai tort, à me montrer qu’elle est une super rebelle qui n’a pas froid aux yeux et collectionne les expériences sexuelles alors que je n’en ai que faire, je l’ai simplement appelée comme ça parce que je trouvais ça particulièrement drôle, et je continue de la piquer parce que j’aimais jouer avec elle, disposer d’elle comme d’une poupée. Je me complais parfaitement dans le rôle de marionnettiste, et il ne faut pas se le cacher : la demoiselle m’a l’air d’être la parfaite marionnette.
Je lui dis marche, elle courre, puisque rapidement elle fond sur l’un des convives pour attraper ses lèvres et l’empêcher de respirer, sur une simple demande de ma part. Je ne peux pas le nier : ça me plait, et sentir l’emprise me plait bien plus que la banale idée de me joindre à eux, l’expérience ne m’ayant jamais tentée. Non, mes jeux à moi sont beaucoup plus malsains que ça. Je ne suis même pas une voyeuse, et le spectacle ne me stimule pas, mais pour le coup laisse mon regard la fixer, pour qu’elle en sente le poids dans son dos, et qu’il la trouble, la gêne, l’agace ou lui plaise. Tant qu’elle note sa présence. Elle finit par se détacher du jeune homme, quitter ses genoux et viens retrouver sa place à côté de moi. « Je te manquais déjà ? » Un sourire insolent, je l’observe s’asseoir en portant mon verre à mes lèvres. Je l’observe s’essuyer les lèvres dans un geste qui manque un peu de classe à mon gout, un air résolument amusé sur le visage. « C’est ennuyant de toujours parler de moi. Tu m’aimes déjà bien trop, je le sais, mais ce n’est pas une raison. » Sans un mot, j’attends la suite, parce que c’est évident qu’il va y avoir une suite, elle joue la grande et me provoque, j’espère qu’elle aura au moins le cran d’aller jusqu’au bout de de me poser les questions qui lui brûlent les lèvres. C’est ennuyant de parler d’elle, je suppose qu’après toutes ces confessions sur cette histoire larmoyante de petit ami violent elle voudrait qu’à mon tour je me livre, je parle de moi et confie mes secrets les plus profonds ? Ça chérie, ça ne risque pas d’arriver. Je ne suis pas du genre à me confier, encore moins à une femme enfant que je ne connais pas. « Pourquoi t’as de la Molly ? Pourquoi t’es sur cette table là ? Qui sont ces gens ? Qui es-tu, toi ? » Beaucoup de questions, peu de temps pour me laisser répondre, elle est si pressée d’en apprendre plus sur moi ? « Tu veux prouver quoi dans l’histoire ? » Ce que je veux prouver ? J’ai un peu de mal à comprendre cette question. Surtout venant de miss je la terreur de mes parents laisse-moi te montrer que tu te trompes sur mon compte. « C’est bon t’as fini ? » Je porte mon verre à mes lèvres et le repose sur la table, un sourire presque hilare sur mes lèvres carmins. « Ça fait beaucoup de questions. Je pensais pas que notre relation en était à ce stade. » Les hommes se posent beaucoup moins de question lorsqu’ils ont décidé de me mettre dans leur lit cela dit. Qu’est-ce qu’elle est compliquée. « T’es de la brigade des stups c’est ça ? Ça ne semblait pas te déranger y’a quelques minutes de pas savoir d’où elle venait cette pilule. » Il est certain qu’elle ne s’était pas posé la moindre question. « Je suis à cette table parce que j’ai passé assez de soirées ici pour bien connaître les lieux. » J’avais de toute façon mes entrées dans les carrés privés de la plupart des clubs de la ville, ayant fréquenté les lieux de façon abusive il y a quelques années. « Quant à qui sont ces gens tu n’as qu’à leur demander. Et qu’est ce qui te fais dire que j’ai quoi que ce soit à prouver ? Tu m’as approchée, tu m’as suivie pour me montrer la rebelle que tu étais, tu t’es enfilée une pilule sortie de nulle part sans flancher et tu t’es donnée en spectacle simplement parce que je te l’ai demandé. » Je porte mon verre à mes lèvres pour le vider d’un trait, avant de reprendre un sourire provocateur sur le visage. « Qui a quelque chose à prouver ? » J’avais volontairement éludé une question, celle qui concernant mon identité, la personne que j’étais. Cela ne regardait absolument pas la rousse, et je n’avais pas prévu d’épuiser ma salive en présentations.
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| | | | (#)Jeu 25 Juil 2019 - 14:54 | |
| Alors que la jeune femme vient à peine de se reposer à sa place sur le fauteuil elle sent ses mains qui la démangent, elle ressent le besoin de les frotter entre elles encore et encore de peur que si elle arrête le monde entier s’arrêtera de tourner lui aussi. Une simple caresse du bout d’un doigt sur la paume de sa main semble lui remonter jusqu’au creux de son cou, comme mille baisers en même temps. Sensation inédite mais agréable - pour le moment. Ses jambes s’agitent sans autorisation aucune sous la table et l’une d’elles tremble frénétiquement. Cette fois ci il n’y a rien d’inédit à la chose, le corps de Charlie réagit souvent de cette manière pour bien des raisons. La seule raison ce soir portera le nom de Molly et la rousse ne pensait pas qu’elle agirait aussi vite. Elle n’en a jamais pris, ne sait pas comment cette drogue ci peut réagir sur elle. Au fond elle espère seulement qu’elle n’aura pas à appeler Léo à nouveau, parce que la dernière fois qu’elle a voulu faire des conneries ce n’était il n’y a même pas six mois. Il a dû aller la chercher au milieu des vagues de l’océan, et bien qu’elle n’en garde aucun souvenir, elle ne veut pas réitérer l’expérience. Pourtant elle sent bien que la drogue fait déjà effet sur son organisme, qu’elle ne sent plus grand chose (ou trop de choses justement) et que tout est bien plus fort que ce à quoi elle s’attendait. Son organisme amplifie sûrement le processus parce qu’en face la blonde ne réagit pas du tout de la même manière (peut être parce qu’elle est habitué à ça, elle ?). Raelyn ne ressemble pas à une junkee ni même une habituée mais il n’y a pas de portrait type pour ce genre de choses ni pour rien d’autre d’ailleurs. La société tente de mettre les individus dans des carcans et Charlie s’obstine à les faire voler en éclat un à un. Raelyn peut être marron, bleu, violet du ciel, blessante, violette, n’importe quoi, verte, méchante, beaucoup plus … Grace Kelly, si elle le désire. Elle peut être tout ce qu’il lui plaira et la rousse ne pourrait sûrement rien lui refuser, parce que de son côté elle pense sincèrement qu’elle mériterait d’avoir ce qu’elle désire peu importe ce dont il s’agit. Tout, oui.
« Je te manquais déjà ? » Un rictus tranche le visage de l’étudiante alors que ses mains devenues moites ne cessent de s’apprivoiser. Elle aimerait tant que Léo soit là pour le couvrir de baisers et ne plus jamais le quitter, parce que c’est ce qu’elle a envie de faire. Si ce n’est pas lui ce sera sûrement sur un inconnu que ce trop plein d’amour se déversera. Étant déjà quelqu’un de très tactile en temps normal, elle aurait sûrement dû y réfléchir à deux fois avant de prendre de l’ecstasy. Si seulement elle avait su que cette pilule contenait de l’ecsta. Si seulement elle avait même réfléchi avant de la porter à sa bouche dans un sourire victorieux. Elle n’a rien gagné si ce n’est prouver une nouvelle fois qu’elle est la pire des idiotes. La pire des idiotes qui réagit trop vite et de manière trop intense. « Bien sûr. Toujours. » Elle a déjà oublié pourquoi elle lui parlait de se manquer l’une à l’autre. Tant pis, peu importe, cela ne doit pas avoir d’importance. Les faits sont là de toute façon, personne ne saurait les cacher. Cette femme est un défi qui a de jolis habits et ne la traite pas comme une petite chose fragile, il n’en faut pas plus à Villanelle pour s’enticher de son bourreau. Syndrome de Stockholm, un peu (vite fait). Sa gorge sèche réclame des litres d’eau mais elle ne peut que la calmer avec le verre de whisky de son voisin … même si elle l’a bu avant de chercher à comprendre ce qu’il contenait. Mais personne n’aurait ajouté de drogue dans son propre verre, hein ? « C’est bon t’as fini ? » Le verre qu’elle porte à ses lèvres pulpeuses a l’air si hydratant, si rafraîchissant aussi. Si seulement elle savait que la rousse ne vient que de commencer, que son manège pourrait encore durer des heures parce qu’elle ne ressent plus la fatigue. Quelles merveilles ces petits comprimés, vraiment. « Ça fait beaucoup de questions. Je pensais pas que notre relation en était à ce stade. » Pourquoi est ce qu’elle lui pique ses blagues maintenant ? L’oeil soupçonneux, elle avale une nouvelle gorgée sans quitter la blonde du regard. On ne sait jamais. Elle pourrait lui avoir fait d’autres trucs dont elle n’a pas encore connaissance. Elle ne répond même pas aux questions et elle en pose d’autres à la place ; c’est louche. « T’es de la brigade des stups c’est ça ? Ça ne semblait pas te déranger y’a quelques minutes de pas savoir d’où elle venait cette pilule. » La rousse a un rire gêné, parce qu’elle sait elle même qu’elle serait la pire policière du monde dans la brigade des stups. Elle serait capable de demander le nom de l’approvisionneur en privé pour aller se fournir à la source directement. « Ça me dérange pas. Je suis curieuse, c’est tout. » Charlie serait une vendue, oui, carrément, malgré ses grands idéaux et tout ce qu’elle balance sur la paix dans le monde. Elle sait pourtant que la drogue vient d’Amérique du Sud ou d’Asie et elle sait toutes les tensions qu’elle génère, toutes les violences qu’elle créée. Tous les morts. Par sa faute. Encore. Toujours. « Je suis à cette table parce que j’ai passé assez de soirées ici pour bien connaître les lieux. » La rousse a une moue faussement étonnée. Elle ne lui apprend pas grand chose si ce n’est qu’elle traîne sa carcasse ici régulièrement. Sans doute s’attendait-elle à une histoire bien plus rocambolesque impliquant la mafia, le KGB et la CIA réunis. Dommage, c’est décevant. L’étudiante s’est mise à avoir beaucoup trop d’espoirs quant à l’issue de la soirée et tout porte à croire que ce ne restera qu’au stade d’espoir. « Tu les a eu à l’usure donc. » Et Charlie qui se la joue insolente, en voilà quelque chose de nouveau. Elle devrait apprendre à se taire encore une fois, mais le large sourire qui se dessine sur ses lèvres démontre un trop plein de confiance dont elle rejette toute la faute sur la pilule. Pilule que Raelyn lui a donné, donc toute la faute lui revient. CQFD. « Quant à qui sont ces gens tu n’as qu’à leur demander. Et qu’est ce qui te fais dire que j’ai quoi que ce soit à prouver ? Tu m’as approchée, tu m’as suivie pour me montrer la rebelle que tu étais, tu t’es enfilée une pilule sortie de nulle part sans flancher et tu t’es donnée en spectacle simplement parce que je te l’ai demandé. » Oh qu’elle se met à beaucoup parler soudainement, quand elle est lancée on ne l’arrête plus. Charlie se contente, tente d’analyser chacun des mots et pourtant elle sait qu’elle en rate. A cause de la musique oui sûrement, à cause de son attention reportée vers un homme s’asseyant près d’une table derrière Raelyn. Un inconnu, rien de plus, et pourtant son regard s’est posé sur lui et semble incapable de s’en défaire. Elle répond avec des iris bleutées perdues dans le vide. « Te sens pas attaquée. J’ai fait ce que j’ai fait, je regrette pas. Ma question était pour toi, c’était pas une introspection. » Parce qu’elle a encore posé de nouvelles questions au lieu de répondre aux siennes. Elle triche. La rousse est plus vexée par la situation que par les mots de la blonde envers elle. Bien sûr qu’elle avait quelque chose à prouver dans ce monde de grands dont elle ne fait pas parti, et alors ? Elle ne s’en plaint pas. Ne s’en vante pas, certes, mais ne renie pas d’où elle vient. Elle est née de la frustration et c’est de là que lui vient tout son caractère, toute son histoire. « Qui a quelque chose à prouver ? » La blonde sourit, la rousse suit. Ce n’est pas un instinct de mimétisme ; sa question la fait réellement sourire. « Tout le monde a toujours quelque chose à prouver. » Charlie termine le verre de l’inconnu à côté d’elle alors qu’elle sait que mélanger l’alcool et la drogue ne lui amènera rien de bien. Séparément ça ne lui amène déjà rien de bien. « J’y fais pas exception, et certainement pas toi non plus. » |
| | | ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34341 POINTS : 3350 TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
(07) chad #3 › spencer #14 › miles #1 (2005) › danaë #4 (2018) › maxwell #7 › miles #2 › cecilia #2
(ua) maxwell #6 (jurassique)
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41 › 42 › 43 › 44 › 45 › 46 › 47 › 48 › 49 › 50 › 51 › 52 › 53 › 54 › 55 › 56 › 57 › 58 › 59 › 60 › 61 › 62 › 63 › 64 › 65 › 66 › 67 › 68 › 69 › 70 › 71 › 72 › 73 › 74 › 75 › 76 › 77 › 78 › 79 › 80 › 81 › 82 › 83 › 84 › 85 › 86 › 87 › 88 › 89 › 90 › 91 › 92 › 93 › 94 › 95 › 96 › the end. AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019 | (#)Dim 28 Juil 2019 - 23:32 | |
| Je voudrais le bien mais le mal fait son beurre Raelyn Blackwell & @Charlie VillanelleElle a beau avoir joué la grande, enfilé sa pilule comme les autres, elle ne peut pas faire mentir son corps. Et son corps, il ne me ment pas, que cela soit ses mains qui se tournent autour sans arriver à rester l’une serrée dans l’autre, ses jambes qui s’agitent, ses yeux qui passent de visage en visage sans sembler réussir à se poser sur un point fixe, ses pupilles qui se dilatent progressivement : elle est déjà sous les effets de la drogue, et pour qu’ils s’emparent d’elle aussi rapidement, elle ne peut être que novice, ma petite pucelle. Peut-être a-t-elle déjà pris quelques drogues, pour s’amuser, peut être qu’elle tire de temps en temps sur un joint pour se donner l’impression d’être une grande, mais si une pilule de MD arrive à la faire décoller aussi vite et avec autant d’intensité, alors elle ne trompe personne, en tout cas pas les personnes autour de cette table. En tout cas pas moi. J’attends encore que les effets me cueillent, avec une certaine impatience d’ailleurs quand je la regarde. Parce que même si je sais à quel point les pensées s’égarent et à quel point l’on s’amuse sous l’emprise du puissant psychotrope, la voir en profiter me fait ressentir l’urgence de décoller à mon tour. Mais je vais être patiente, et m’amuser avec elle. Elle porte son verre à ses lèvres et boit avec avidité. L’ecstasy a cet effet-là, il déshydrate, mais le mélange avec l’alcool n’est pas souvent une bonne idée. Tant pis, je ne suis pas sa mère, je ne suis celle de personne à vrai dire. Et j’ai toujours pensé qu’il valait mieux apprendre les choses par soit même, et que l’on écoute plus son expérience que les conseils que l’on peut nous donner. Je marche comme ça, en tout cas. « Bien sûr. Toujours. » Elle pose un regard sur moi que je n’arrive pas à déchiffrer, et je me demande s’il s’agit des effets de la drogues ou si elle aime simplement se faire du mal et côtoyer des individus qui pourront lui en faire. Peut-être un peu des deux, elle n’était pas sous influence lorsqu’elle est venue m’approcher, ni lorsqu’elle m’a suivie à cette table.
Parce que je sais que ça va la faire tressaillir et réveiller toutes les cellules de son épiderme, je pose une main sous le bout de son menton pour redresser sa tête vers moi, comme si je cherchais dans son regard un indice alors que j’ai déjà tout deviné de ce qui l’agite. Finalement, comme victorieuse, comme ayant trouvé la réponse à mon énigme, je laisse un sourire venir flotter sur le coin de ma lèvre. « Tes mots disent que je ne suis pas la première, ton corps est en train de dire le contraire. » Après quelques longues secondes, je lâche son menton, décolle ma main de sa peau déjà moite et surtout brûlante, pour attraper mon verre. Je l’observe attraper le verre de son voisin (tant qu’elle ne touche pas au mien) pour le porter à ses lèvres, et je n’arrive pas à savoir si elle cherche simplement à atteindre l’ivresse le plus rapidement possible ou si elle répond simplement à des pulsions qu’elle ne contrôle plus. « Ça me dérange pas. Je suis curieuse, c’est tout. » Encore un nouveau sourire de ma part, alors que mon verre à moi reste sagement posé sur la table. J’attends la montée, je l’attends avec impatience alors que je sens mes cervicales commencer à se décontracter, comme si ma tête devenait d’un coup plus légère, aussi légère qu’un nuage. « Ça je l’avais remarqué. Peut-être même un peu trop pour ta sécurité. » Mais ce n’est pas une critique, certainement pas. J’aime les gens qui n’ont pas froid aux yeux, alors tant pis si c’est de la bêtise venant de sa part, cela n’enlève rien à l’amusement que j’en tire. « Tu les a eu à l’usure donc. » Je bascule la tête en arrière, profitant des sensations qui montent, avant de réaliser qu’elle vient de s’adresser à moi et de rouvrir les yeux pour la regarder. « Hum ? Oui, on peut dire ça comme ça. » Elle me répond, mais je n’ai plus envie de me focaliser sur ses mots, qui ne me semblent à présent n’avoir ni queue ni tête. En tout cas ils ne font aucun sens pour moi. « Te sens pas attaquée. J’ai fait ce que j’ai fait, je regrette pas. Ma question était pour toi, c’était pas une introspection. » Si elle savait à quel point il en faut plus pour m’attaquer princesse, elle retournerait en courant chez papa et maman. C’est un petit papillon en train de se brûler les ailes, et le plus drôle c’est qu’elle ne l’a pas compris. Elle continue à se coller toujours et encore, se coller à l’ampoule brûlante. « Tout le monde a toujours quelque chose à prouver. » Je fais tourner mon verre entre mes doigts, observant les reflets que cela crée sur la table en verre, avant de replonger mes yeux dans les siens pour écouter sa dernière phrase. « J’y fais pas exception, et certainement pas toi non plus. » Comme lasse, comme étonnée, je lève un sourcil, avant de lui adresser un grand sourire, pas le genre franc et heureux, le genre de sourire d’extase que je ne peux réprimer sous l’effet des psychotropes. Je suis loin d’avoir atteint la même altitude que la jeune femme, mais il est clair que je commence à profiter moi aussi de ma soirée. « Je suppose qu’il faudra que tu devines toute seule de quoi il s’agit alors. » Je vide mon verre d’un trait avant de me lever, de lisser mon pantalon d’un revers de la main, de rejeter les cheveux en arrière et d’attraper sa main sans trop réfléchir. Sans un mot je lui adresse un regard qui signifie suis moi. Je n’ai pas besoin de lui demander à voix haute, ou d’insister, parce qu’elle semble décider à me suivre jusqu’au bout du monde ce soir. Pauvre petite chose. Je descends les quelques marches qui surélèvent la zone réservée aux habitués pour l’entraîner vers la piste de de danse. La musique à laquelle j’étais jusqu’ici restée imperméable commence à se frayer un chemin jusqu’à mon cœur, et j’ai presque l’impression qu’il commence à battre en rythme avec elle. Je lâche la main de la demoiselle pour profiter de ces sensations, et commence à me déhancher au son de la musique, fermant les yeux, basculant la tête en arrière. Il me semble même avoir l’impression de respirer un air plus pur, plus oxygénant qu’à n’importe quel moment. Le temps passe, je ne sais combien de minutes, cinq, dix, trente ? J’ai complètement perdu la notion des individus qui m’entourent lorsque deux mains fermes se posent sur mes flancs et que le bruit d’une respiration masculine glisse dans mon cou. Ce simple contact suffit à faire décoller mon cœur de sa cage thoracique et – sans oublier de jeter un coup d’œil rapide à l’homme responsable de cette étreinte et qui se trouve être plutôt séduisant – je me laisse aller, tête dans son cou, profitant des effets conjugués de la drogue et de la chaleur humaine. Quand je rouvre mes yeux, alors que les mains se font plus pressantes sur mes flancs, comme si elles cherchaient à s’imprimer dans ma chair, je cherche la rousse du regard.
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| | | | | | | | Je voudrais le bien mais le mal fait son beurre | chalyn |
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