Those who want peace should prepare for war ► Club & Manthas
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Alors que mes talons claquent sur le bitume je repasse encore une fois les événements dans ma tête, comme pour légitimer le fait de foncer directement dans la gueule d’une dizaine de types peu fréquentables et certainement sur les nerfs. Les Manthas. Ce petit gang à mes yeux comme aux yeux de la plupart des membres du Club assez insignifiant, qui a réussi le tour de force d’à la fois se ridiculiser et mettre en rogne certains d’entre nous dans la même action. Qu’il est idiot ce jeune homme qui a pensé pouvoir s’en sortir sans une égratignure après avoir tenté de nous approcher pour récolter de précieuses informations, alors que jusqu’ici ici peu de rixes entres les deux organisations illégales avaient eu lieu. Les Manthas, puisque c’était le nom qu’ils se donnaient, n’avaient pas l’air d’inquiéter particulier Mitch, et c’était toujours le cas à mon sens, mais il savait se montrer particulièrement implacable lorsqu’il s’agissait de remettre les gens dans le droit chemin.
Ce qui avait poussé cet idiot à se dire que tenter de séduire une femme du Club pour rapidement lui poser des questions visant à mieux comprendre les rouages de l’organisation, je ne me l’explique pas. C’était une tentative vouée à l’échec, et ce même dans le cas où elle aurait été exécutée avec finesse. Mais la finesse c’était précisément ce qui avait manqué, la jeune femme en question est en couple avec l’un des notre et même s’il m'arrive de la trouver idiote elle n'est pas infidèle et avait rapporté la tentative d’approche un peu étrange à son petit ami, qui l’avait poussé à jouer le jeu le temps de comprendre qui était le type et ce qu’il cherchait. Il était tombé dans le panneau plutôt deux fois qu’une, et Mitch et ses hommes de mains lui étaient tombés dessus un soir où elle lui avait donné rendez-vous. La scène qui s’en était suivie n’avait pas dû être jolie à voir, le genre que je m'épargne dans la mesure du possible, parce que je ne ressens pas cette pulsion typiquement masculine de voir le sang couler et d’entendre les os se briser sous les coups. Je ne cille pas lorsque c’était nécessaire et ne suis pas du genre à m’en formaliser mais préfère tant que possible m’en épargner la vue. Le type avait été déposé devant l’adresse du quartier général de son gang – si tant est qu’on puisse appeler dix gars en mal de sensations fortes un gang – qu’il n’avait pas mis longtemps à cracher, et dans un état… Disons qu’il ne remarcherait pas de sitôt, probablement jamais en fait. Les jambes, je sais que Mitch adorait s’y attaquer, parce que priver un individu de sa liberté d’aller et venir étest ait aussi cruel que le message est fort. Je ne peux pas nier que ça a du style.
Quelques jours ont passé depuis, et des deux côté la pression est montée, quelques altercations où le ton était sans équivoque avait eu lieu, et Mitch veut que ça cesse. Il veut écraser une bonne fois pour toute ces rigolos aussi, je pense, montrer qu’il est le patron parce que c’est ce que les hommes font, montrer qui a la plus grosse. Acculer les Manthas sur un petit territoire et faire en sorte que plus jamais l’un d’eux ne vienne voler dans nos plumes. Et c’est moi qui ai soufflé l’idée de m’y rendre pour prendre la température, calmer le jeu et proposer à leur leader de rencontrer pour définir les règles. Parce que je connais Mitch, et je sais que s’il fonce là-bas et se retrouve face à une dizaine de types remontés et prompts à dégainer les coups ça ne peux pas bien se terminer. Mitch est du genre incontrôlable, le genre qui a parfois du mal à réfréner ses pulsions et son envie de régler les problèmes en hurlant et en frappant. Il sait s’imposer, ça c’est certain et je le respecte pour ça, mais lui comme moi avons conscience que la situation nécessite un peu plus de… finesse. Et pour ça j'ai toujours été la carte de Mitch. Je préfère utiliser les mots que mes poings – de toute façon le résultat ne serait pas réellement probant, cela va sans dire – et j'ai surtout des nerfs d’aciers qui me permettent de garder calme et diplomatie dans des situations où la majorité des membres du Club monteraient dans les tours.
Et au-delà de ça, je suis une femme. Une femme avec un minois et un gabarit que j'ai longtemps vécu comme des faiblesses, avant de comprendre comment les utiliser à mon avantage. La première réaction que je suscite chez les hommes n'est pas l’envie de me coller un poing au milieu du visage et de me passer à tabac, loin de là. J'ai appris à aimer les cartes que je possède, et à jouer avec. M’envoyer là-bas est un coup intelligent, Mitch le sait pertinemment et a accepté rapidement lorsque je le lui ai proposé. Il a par contre obtenu qu’un de ses hommes de main, une armoire à glace aux biceps plus larges que son cerveau m’accompagne, mais j'ai posé comme condition qu’il reste dans la voiture et n’intervienne que si la situation tourne au vinaigre. Alors descendant de la voiture et me retournant une dernière fois vers lui avant de claquer ma portière je ne peux retenir une phrase teintée de moquerie. « Allez, pas de bêtises, tu m’attends sagement. Je laisse la fenêtre ouverte pour que tu puisses respirer t’en fais pas. » Comparer un tas de muscles d’un mètre quatre-vingt-dix à un chien qu’on laisse dans sa voiture est le genre de piques osées dont j'ai le secret. Lui adressant un clin d’œil je m'éloigne, lissant la combinaison noire que j'ai enfilée d’un revers de la main et rejetant en arrière mes cheveux blonds lâchés dans mon dos.
Je m’approche jusqu’à la porte d’un pas décidé, mon cœur bat plus vite qu’à son habitude mais c’était le genre de situation où il faut savoir avoir l’air sur de soi, avant d’y taper trois coups et d’accrocher un sourire sur mes lèvres. Allez, c'est parti.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
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Pendant un instant personne ne répond, et je sens l’agitation derrière la porte. Une chaise qui se tire, les conversations qui se taisent avant de reprendre, les pas de ceux qui se demandent qui vient troubler une fin d’après-midi. D’un coup d’œil je balaye le tour de porte, repérant une caméra de sécurité, à laquelle je ne peux m’empêcher d’adresser un grand sourire et un signe de la main. Ils vont me reconnaitre, certainement, j’ai déjà eu faire à certains d’entre eux lors d’échanges en plus petit comité, généralement accompagnée de Mitchell. Ceux-là mettront facilement une appartenance, une allégeance sur mon visage et feront passer le message aux autres, ceux qui n’ont pas encore eu le plaisir de me rencontrer. J’attends patiemment qu’ils se décident à ouvrir, croisant les mains sur ma poitrine et abandonnant la caméra du regard pour fixer la porte. Les pas semblent cette fois ci se diriger vers la porte, vers moi, et effectivement quelques secondes plus tard elle s’ouvre à la volée, laissant apparaître un jeune homme brun, peut-être un peu plus vieux que moi. « Bonsoir, la personne que vous essayez de rejoindre n’est pas disponible. Veuillez laisser votre message après le bip, mais je vous encourage fortement à simplement foutre le camp et ne jamais revenir ici. » Un sourire amusé se dessine sur mon visage. C’est un comique celui-là apparemment, ils l’ont recruté pour amuser la galerie ? Mes yeux glissent, naturellement attirés par l’arme qu’il tient serrée dans sa main droite, avant de relever les yeux vers le dealer. « Allez, elle mérite un dix sur vingt pour l’effort celle-là. » Je secoue la tête, toujours un sourire accroché sur les lèvres. Ce qu’il faut savoir faire avec les hommes qui appartiennent à mon monde, c’est ne pas se démonter, ne pas leur montrer qu’au fond on sait bien qu’on ne ferait pas le poids face à plusieurs type prêts à vous faire la peau, ou porter atteinte à votre intégrité physique. Je ne suis pas suicidaire, certains pourraient le penser, et si je ne suis pas lâche je ne suis pas une tête brûlée pour autant. Non, j’ai confiance en mes connaissances de l’espèce masculine. Du bout du menton je désigne l’arme qu’il sert dans son poing. « C’est un joli jouet que t’as là. » Amusée je lève un sourcil. « Tu sais t’en servir au moins ? » Je ne peux m’empêcher de le provoquer. Les malfrats n’aiment pas les femmes timides et craintives, et généralement adopter ce type d’attitude fonctionne mieux.
Je lève mes deux mains en évidence, pour lui montrer que je ne porte pas la moindre arme sur moi. Erik, posté dans la voiture, ne serait d’aucune utilité si le type vrillait et décidait de me coller une balle entre les deux yeux. Il le regretterait, parce que cela signerait probablement la mort de leur petite bande de joyeux lurons, mais je ne serais plus là pour voir ça. Et pour le coup, j’aimais bien la vie finalement. Alors pas de geste brusque. « Je viens pas pour te la mettre à l’envers. Ça serait probablement mérité, mais c’est pas le cas. » Je le détaille. Assez grand, il pourrait gagner à faire un peu de musculation mais il a globalement une allure intéressante, et des yeux bleus qui attirent le regard. Ouais, pas mal. Je jette un œil derrière la porte qu’il garde, comme un gentil pitbull, pour observer les autres hommes qui s’y agglutinent, ce que je peux en voir depuis l’encadrement de la porte en tout cas. Ils n’arborent pas réellement un visage amical, dommage, on aurait tous pu devenir amis, j’en suis persuadée. « Sois pas égoïste, partage avec tes potes et laisse-moi entrer. Je serais pas longue et vous pourrez retourner à... » Je réfléchis un instant et esquisse un geste distrait de la main. « A l’activité masculine à laquelle vous étiez en train de vous livrer. Ce sont pas mes oignons. » Je lui adresse un sourire, avant que mon visage ne devienne plus sérieux. « Tu sais qui je suis, et je sais que tu le sais. Alors pourquoi tu ne nous ferais pas gagner du temps à tous les deux ? Ton boss voudra entendre ce que j’ai à lui dire. » Je n’ai jamais vu le leader des Manthas, mais je suis persuadée qu’il ne s’agit pas du jeune homme que j’ai en face de moi. Des gros caïd j’ai eu l’occasion d’en fréquenter et lui… Et bien il n’a juste pas le profil. Je jette un œil en arrière à Erik, qui, j’en suis persuadée me fixe intensément comme le bon soldat qu’il est et lui adresse un signe rassurant de la main, pour qu’il ne bouge pas. Mon, ou plutôt mes interlocuteurs m’ont déjà l’air assez tendus. Je peux comprendre, je le serais aussi si l’un des notre se faisait refaire le portait et était privé de ses jambes, et je ne peux imaginer l’état dans lequel je serais si jamais cette personne était quelqu’un à qui je tenais, si cette personne était Alec, par exemple.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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L’homme qui me fait face à l’air à cran, assez tendu et remonté, mais au-delà de la colère que je vois dans ses yeux, de l’air méfiant et presque agressif qu’il se donne, ce qui tend sa mâchoire ça ressemble plus à de la peine. Et cela me convainc presque que ce que je lis dans ses yeux, c’est aussi une touche de tristesse, même s’il la déguise dans des parole menaçante et une envie de me foutre à la porte. Bon, ok, cette dernière, elle est peut-être sincère. Je ne sais pas ce qu’il est arrivé au type de leur petite bande qui a tenté de nous infiltrer, mais je sais ce qu’il serait advenu de lui s’il avait été l’un des nôtres, et je n’ai pas besoin de beaucoup réfléchir pour deviner que son sort ici n’a pas dû être plus enviable. Abandonné et laissé derrière, mort, cela n’a pas de réelle importance à mes yeux. Il n’est qu’une histoire un peu déplaisante dont j’ai entendu parler, pas un nom ni même un visage. Mais il l’a cherché, et le Club l’a quand même renvoyé chez lui vivant, à défaut d’entier. Ce que leur boss a décidé de faire de lui ne me regarde pas, et ne m’empêchera pas de dormir la nuit, tout comme cela ne brutalisera pas mon sens moral. Pas avec tout ce que j’ai vu, pas avec tout ce dont j’ai conscience et ce avec quoi je vis sur la conscience. Ce type est un détail, et cette visite rien ne plus qu’une mission professionnelle. Parce qu’il ne faut pas se laisser avoir : j’ai beau me donner en spectacle, j’ai beau adresser de grands sourires et parler avec une légèreté déconcertante, tout ça n’est qu’un masque. Parce qu’au fond j’analyse la situation, ce que je lis dans les yeux de mon interlocuteur, ce qu’implique sa main qui se resserre de façon perceptible sur son arme, les bruits que j’entends derrière la porte. Avec moi, il est toujours question d’être et de paraître. Et si j’affiche une façade de femme fatale qui prend la situation à la légère, au fond je suis aussi dangereuse que n’importe lequel de mes compagnons à l’allure moins alléchante. « Il est chargé. Crois-moi, je sais comment viser entre tes yeux si tu es là pour nous cracher à la figure. » Oui en même temps, à moins d’un mètre de distance, j’espérais bien qu’il était capable de me planter une balle entre les deux yeux. Il était été une recrue bien pitoyable le cas contraire. Je penche la tête sur le côté et l’observe quelques secondes, un air amusé de façade sur le visage. « Mais on sait tous les deux que tu vas pas le faire non ? Parce que ça m’étonnerait que t’en aies le droit. » Finalement je redresse la tête pour vriller à nouveau mes yeux dans le siens. « Je te propose qu’on soit honnêtes l’un envers l’autre, histoire de commencer notre histoire sur le bon pied tu vois. J’essayerais de pas te prendre pour un idiot si t’arrêtes les menaces en l’air. » Je provoque, parce que j’aime sans. Aller jusqu’à la limite, flirter un peu avec, mais ne jamais la traverser. Parce que contrairement à leur pote, je ne suis pas une idiote.
Il me montre la voiture du menton, et je tourne la tête pour suivre son regard. « Dis à quiconque se cache dans la bagnole de baisser les vitres. Je n’aimerais pas me faire surprendre par une mauvaise intention qui prend la forme d’un sniper. » Je retourne à nouveau mon visage vers le sien, levant un sourcil. « Ça ? C’est mon chauffeur. Me dis pas que t’as peur d’un chauffeur. » Je me retourne à nouveau pour adresser un geste de la main à Erik, lui faisant donc signe de baisser la vitre pour que Jo puisse voir son visage de malfrat. « Et voilà, il baisse la vitre, bravo ça c’est un gentil garçon. » Je lève mon pouce en sa direction, avant de m’adresser à lui d’une voix forte pour qu’il m’entende. « Notre ami ici présent voulait juste voir ta jolie bouille, parait que tu l’intéresses plus que moi ! » Je me retourne à nouveau vers l’inconnu qui me fait face, en haussant les épaules avec un faux air penaud sur le visage. « Bon… Il a clairement oublié son nœud papillon. » Ouais, Erik est une montage de muscles d’un mètre quatre-vingt-dix. Un beau bébé, pas un gentil chauffeur. Mais il ne pointe pas d’arme dans la direction de Jo et se contente de nous observer, un air neutre sur le visage. C’est sa spécialité ça, l’air neutre. Voilà qui devrait rassurer monsieur yeux bleus.
Sans surprise il pose sa main sur l’encadrement de la porte lorsque je demande à entrer. C’est plutôt amusant qu’il en ressente le besoin, parce que je ne suis pas sure qu’avec ma carrure j’ai de toute façon la moindre chance de réussir à forcer le passage. Mais si je l’inquiète tant que ça, soit, je prends. « Mon boss il n’est pas là, justement. Si t’as un message à lui faire passer, c’est par moi que tu peux le faire. Et, crois-moi, j’te fais une faveur en ne te laissant pas entrer. » Je lève un sourcil en attendant la suite de sa phrase, qu’il laisse en suspens. Ah et bien voilà, enfin un sourire. « Plusieurs de mes potes ont bien envie de te faire regretter ce décolleté. » C’est donc ça. Bien sûr que j’ai choisi cette tenue pour une bonne raison. Bien sûr que j’ai senti son regard remonter le long de mon décolleté alors qu’il me jaugeait de tête en bas. C’est précisément parce que je connais la faiblesse des hommes pour la poitrine des femmes que j’ai enfilé cette tenue avant de quitter mon appartement. Il cherche à me faire peur ? Il cherche à m’impressionner ? C’est raté, faut croire qu’il n’a jamais eu à faire à une femme avec assez de tempérament pour se défendre. « Oui ça j’ai bien compris que ce n’était pas votre fort, la finesse. » Je descends mes yeux vers le décolleté de ma combinaison, comme si je cherchais à constater ce dont il vient de me faire part, avant de relever mon regard vers le sien. « C’est dommage, je l’avais choisie spécialement pour vous cette tenue. » Je ne me démords pas de mon sourire, quelques minutes supplémentaire, avant de reprendre un air mortellement sérieux. « Allez, accroche moi un sourire sur ce joli visage, c’est ton jour de chance : j’ai tout mon temps devant moi. Je vais l’attendre ton boss. » Ce n’est pas une question. Mitchell m’a envoyée délivrer un message à la personne responsable de cette bande d’adolescents, pas à un sous fifre aux beaux yeux. Je continue, moins sur le ton de la plaisanterie, plus implacable. « Parce que tu vois, le soucis, c’est que mon boss a moi m’a donné une consigne. Que je ne vais pas transgresser pour tes beaux yeux. » Je marque une pause. « Alors je te conseille de lui passer un coup de téléphone. » Je soutiens son regard, pas prête à perdre à ce petit jeu. Je suis une femme dans un monde de brutes épaisses, il y a bien longtemps que j’ai appris à m’endurcir et à ne pas me laisser effrayer par des gros muscles. Pas quand je sais que j’ai les cartes maîtres du jeu en main.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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Il ne réagit pas lorsque je le prends en défaut de me mentir, ou plutôt d’essayer de quoi, me faire peur, m’intimider ? Oui, m’intimider en racontant du vent. Je n’ai pas besoin qu’il le fasse de toute façon, je n’ai pas besoin qu’il me réponde par confirmer ou tenter une pirouette ridicule pour infirmer mes dires. On appartient au même monde, et j’ai toujours été assez douée pour comprendre et analyser les gens de cet univers, les hommes particulièrement. Ils jouent des mécaniques, ils jouent les gros durs pour impression, mais ils grognent plus que ne mordent. Certains sont dangereux, très dangereux même, loin de moi l’idée de prétendre le contraire. Mais mon petit doigt me dit que mon interlocuteur ne fait pas partie du lot, ou en tout cas qu’il n’est pas assez stupide pour ignorer les conséquences auxquelles il aurait à faire face s’il venait à m’abattre, avec ou sans ordre direct, d’ailleurs. Qu’importe, si Mitch avait ordonné le passage à tabac d’un type qui avait juste tenté d’infiltrer nos rangs pour obtenir des informations, il est assez facile d’imaginer ce qu’il adviendrait de sa petite fraternité ridicule s’il venait à me faire disparaître de la surface de la terre. Ou même essayer. Ou toucher un cheveu sur mon crâne. Je n’avais pas envie d’être à a place de quelqu’un qui aurait décidé de s’en prendre à un membre du Club.
Qu’il demande à voir la personne dans la voiture ne m’étonne pas, je m’y attendais même à vrai dire, parce que c’est ce que j’aurais fait. Quand bien même les vitres teintées auraient caché quatre montagnes de muscles armées jusqu’au dent, je préfère le savoir que vivre dans le danger, risquant de prendre un coup de couteau dans le dos à n’importe quel moment. Je m’exécute donc sans rechigner, mais bien incapable de m’empêcher de tourner sa demande en dérision. Parce que je suis comme ça, et que je compte bien aussi montrer à monsieur renfrogné que je ne suis pas le genre de femme qui se laisse marcher sur les pieds, et qu’on réduit au silence en jouant des mécaniques. Quand il laisse à nouveau couler son regard sur mes courbes je reste impassible, bien indifférente à ce regard inquisiteur, presque envahisseur. J’ai connu bien pire, avec ceux qui pensent que parce que je montre ils ont le droit de toucher. Eux aussi regrettent certainement d’avoir eu cette idée. « Ferme-la. » Je lève un sourcil devant l’injonction et croise mes bras contre ma poitrine en l’observant, un air sérieux sur le visage. Parce que j’ai beau jouer un rôle, j’ai beau me donner un air détaché et désengagé, il n’est que façade. Je n’ai perdu personne ces dernières semaines, c’est vrai, mais je suis certainement bien plus sérieuse dans mon engagement envers le Club que n’importe lequel de ces idiots, qui ne comprennent rien aux rouages de notre monde. Lorsqu’on y entre, on ne peut pas se permettre de pleurer un ami comme un enfant de dix ans le ferait. Parce que les risques existent, et parce que ceux qui font des conneries de sorte n’ont pas le droit à un pardon. Pas de période d’essai, pas de seconde chances, ils n’ont pas lu les petites lignes en bas du contrat ? « T’es sérieuse ? » Je lève un sourcil cette fois ci. Qu’est-ce qu’il n’a pas compris dans ma phrase ? Il pense que je suis une humoriste et que tout ceci est une bague pour halloween ? Bien sûr que je suis sérieuse. « Mortellement sérieuse. » Je lui rappelle les enjeux. Parce que si les choses tournent mal entre les Manthas et le Club, on prendra peut-être une balle dans le pied, mais ce sont eux qui compterons leurs morts. Et je pense que monsieur regard d’acier n’a pas réellement envie qu’on en vienne là. « On ne répond pas aux ordres des poufiasses, ici. » Son manque de réparti me donne envie de me tirer une balle dans le crâne. Mais soit. La poufiasse compte pas déguerpir par contre, dommage pour lui. « Et tu perdras à ton petit jeu s’il n’y a réellement que ce mec et toi pour nous mettre la pression. Cray ne viendra pour deux moustiques. » Oh Cray se déplacera s’il sait ce que j’ai à lui dire. Cray se déplacera pour rencontrer Mitch, parce que s’il a un peu plus de jugeote que le brun, il comprendra rapidement qu’il a plus à perdre que nous, que son groupe de dealer de bac à sable à plus à perdre, et qu’un drapeaux blanc tendu par le Club n’est pas une occasion qu’il peut laisser passer. « Tout ce que j’peux faire pour toi, c’est dire à mon chef que vous êtes venus nous souhaitez vos condoléances. » Nos condoléances. Mon intuition était donc la bonne, pas surprenant. On ne s’encombre pas d’un maillon faible, on s’en détache. Et dans notre monde, on ne renvoie pas un employé qui ne nous satisfait pas. « Alors, je compte jusqu’à trois avant de te fermer la porte à la gueule. Si tu m’dictes pas ce message à lui faire passer avant la fin du compte, t’auras pas de seconde chance. » Un sourire étire mes lèvres, à nouveau. « Un. » Je pose mon dos contre le mur, lui faisant face, bras croisés contre ma poitrine. Non, je n’ai pas l’intention de bouger, dommage. « Je me rends compte que tu n’as rien compris. Mais c’est de ma faute, j’ai peut-être pas été assez claire. » Je désigné d’un cercle de la main rapide sa direction. « Des types comme toi, des types comme vous j’en mange au petit déjeuner. Alors tu peux m’appeler par tous les jolis noms d’oiseaux qui te passent par la tête continue, t’arriveras pas à me faire partir en pleurnichant. » Je marque une pause, soupesant son regard. Le temps des plaisanteries et des grands sourires est terminé. Je reprends, sans lui laisser le temps de me couper pour me trouver un nouveau joli surnom. « Je conçois que tu sois en deuil, et pour cette raison je vais prendre le temps de t’expliquer calmement. Ma présence ici, ce que le Club est en train de faire, c’est un pas vers vous, un drapeau blanc. La tension monte, les échanges dégénèrent, et on sait très bien comment ces rivalités peuvent se terminer. » Les guerres de gangs ne sont pas jamais jolies à voir. Mais là, une dizaine de type versus le Club, ça tiendrait plus de l’exécution que de la guerre à vrai dire. « Comme je vois les choses, et je suis à peu près certaine que c’est aussi comme ça que ton boss les verra, vous avez bien plus à gagner que nous. Parce qu’on sait tous ce qu’il se passera le jour où les tensions éclateront vraiment. » Plus que des insultes via trottoirs interposés, j’entends. Ce genre de choses dégénèrent vite lorsqu’on a à faire à des montagnes de muscles avide de castagnes. « Et on sait aussi tous comment ça se terminera. » Pas bien pour eux, je n’ai pas besoin de revenir là-dessus. « Donc c’est plutôt moi qui te rends un service en me pointant ici. Et ce message, t’as tout intérêt à ce que je puisse le délivrer à ton boss, parce qu’on ne vous tendra pas un second rameau d’olivier. J’étais venue le rencontrer, mais je vais être magnanime : si tu as de quoi le joindre je lui parlerai au téléphone, et je sortirai de ta vie aussi rapidement que j’y suis entrée. » Disparue la jeune femme au tempérament provocateur, envolée les faux sourires naïf. Si jusqu’ici il n’avait pas compris qui j’étais, quel genre de femme j’étais, il risque d’en avoir un meilleur aperçu. Mais mon ton est calme, pas un mot plus haut qu’un autre, j’ai appris qu’avec ce type de profil cela n’apporte jamais rien de bon de taper bêtement sur la table. Pas avec mon gabarit en tout cas.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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J’observe les traits de son visage se déformer sous la colère, un rictus agacé naître au coin de sa lèvre et sa mâchoire se contacter, et je m’en nourris à vrai dire, j’adore ça. J’ai peut-être un visage auquel on donnerait le bon dieu sans confession, mais si je ne prends pas de plaisir particulier dans l’idée qu’ils soient tous en deuil, j’en prends par contre à l’idée d’être en train de gagner un bras de fer. Et je suis en train de gagner, je le sais, j’ai toujours eu une intuition assez bonne pour ces choses-là. Parce qu’il ne m’interrompt pas, parce qu’il hoche la tête positivement devant mes arguments et parce qu’en plus je lui offre une porte de sortie, une échappatoire qui lui permet de garder la face. Si on n’est pas en plein "art de la guerre" ou cours de rhétorique 1.01, alors je veux bien prendre l’habit. J’ai presque envie d’attraper ses joues entre mes mains pour les pincer, comme s’il n’était qu’un enfant, mais me retiens. Il m’a l’air moins con que ses semblables derrières lui, mais pas moins nerveux pour autant, et je n’ai pas envie de finit avec une main en moins. Mon occasion de garder la face il la saisit d’ailleurs, sans hésiter. Si prédictible. « C’est le meilleur argument que tu m’as donné jusqu’à présent. Il fallait commencer par ça, chérie. » Je lui adresse une fausse moue profondément déçue, lui répondant sur le même ton que celui qu’il a employé. « Et moi qui trouvais que le courant passait plutôt bien entre nous… » Son faux sourire ne trompe personne, mais j’apprécie l’effort qu’il fait pour garder un peu de… De quoi exactement ? D’amour propre ? De fierté masculine ?
Quand il désarme son flingue et le range à sa ceinture, et que mes yeux croisent le regard noir qu’il tente de réprime, je ne peux empêcher un sourire victorieux de se dessiner sur mon visage. Et celui-là de sourire, il est honnête, il ne pourrait pas l’être plus. Il n’y a rien que j’apprécie plus que le fait de gagner une joute verbale. Sauf une bonne partie de jambe en l’air, et encore, il faudrait que j’y réfléchisse. Je l’observe sortir son téléphone et composer le numéro les bras croisés contre ma poitrine, toujours un rictus amusé flottant sur les lèvres. J’entends la horde qui s’agite derrière, certains grognent, mais au moins celui que j’ai en face de moi j’ai réussi à lui faire entendre raison. « Désolé patron, mais c’est important. » J’espère pour lui qu’il ne va pas se faire gronder au moins. Non en fait, je m’en fous. Il me jette un regard mauvais, auquel je réponds en décroisant mes bras le temps de lui adresser un salut de la main. « Y’a une meuf du club qui a un message à vous faire passer » Encore quelques secondes de silences, et il me tend finalement le téléphone que j’attrape, décroisant mes bras et retrouver tout mon sérieux d’un coup. J’ai conscience d’être observée par tous les gentils chiots de mon interlocuteur au bout du fil, mais je m’en fous. Je suis là pour délivrer mon message et me barrer. « Fais vite, il est impatient d’entendre ta voix. » Mitch m’a demandé de le faire directement auprès d’Adrian, mais n’a jamais précisé qu’il ne voulait aucun spectateur. Je m’exécute donc, lui rappelant rapidement les fais et lui faisant étant de la proposition de Mitchell : une rencontre. Un rendez-vous qu’il lui donne le lendemain en fin de journée pour discuter en hommes civiliser avant qu’un échange, qu’une discussion ou qu’une situation ne dérape et qu’une guerre ouverte entre les deux gangs soient déclarées. Parce que Mitchell ne veut pas plus ça que les Manthas finalement, ce genre de règlement de compte attirerait certainement une attention non désirée sur nous, et ça, il est préférable de l’éviter. Je n’ai pas peur des hommes en face de moi, mais je n’ai aucune envie de me retrouver derrière les barreaux. L’échange est bref, se termine rapidement, et lorsque je raccroche je ne peux résister à l’envie de glisser le téléphone directement dans la poche de son propriétaire plutôt que de le lui tendre, avant de reculer avec un sourire sur le visage. « Allez cow-boy, ce fut un plaisir, vraiment, mais même si ça me déchire le cœur je dois mettre fin à cet agréable échange. » Un dernier regard, un clin d’œil, et je tourne les talons, consciente que les regards sont braqués sur moi et qu’ils le resteront certainement jusqu’à ce que la voiture ait disparu de leur champ de vision. Alors je prends mon temps, histoire qu’ils profitent un peu du spectacle quand même. Une fois installée, je baisse ma vitre et adresse un dernier geste de la main au jeune homme, resté dans l’encadrement de la porte, pour finalement retrouver instantanément tout mon sérieux et me retourner vers Erik. « C’est bon, démarre. » Le cinéma est fini, et je suis au fond soulagée que les choses se soient bien passées.
L’odeur acre de l’urine, des mégots de cigarettes, et de l’essence; lui retrousse les narines. Les mains enfoncées dans les poches de son veston de cuir, il s’adosse au mur de béton, sous une lumière défectueuse qui lutte pour rester allumée. L’humidité lui colle à la peau et le silence ne laisse place qu’à son souffle légèrement crispé. La rencontre risque d’être aussi agréable que ce lieu est accueillant, et il en a conscience.
Un membre des Manthas s’est attiré les foudres du Club et il a perdu la vie pour avoir agit ainsi. Maintenant, une discussion s’impose entre les deux chefs. Une discussion que n’a pas pu refuser Adrian, parce qu’avoir le Club comme ennemi, signerait instantanément l’arrêt de mort de tout les membres de son gang. Strange a bien voulu hisser le drapeau blanc en envoyant l’une de ses sbires pour faire passer le message de son invitation. Une chance inouïe, que Cray ne peut pas se permettre de gâcher. C’est la raison, qui la poussé à se rendre dans ce stationnement sous-terrain sans son arme. S’il s’agit d’un piège et qu’on lui tire une balle en pleine tête, et bien tant pis. Il n’aurait pas pu l’éviter de toute façon. Mais quelque chose le pousse à croire, qu’ils n’ont pas plus envie de cette guerre, qu’eux. Est-ce que son instinct va s'avérer exacte? Il ne tardera pas à le savoir.
Une cigarette coincée entre son pouce et son index, il avale lentement la fumée du tabac. Savourant les arômes qu’il apprécie particulièrement, comme si c’était la dernière fois. La faute commise étant beaucoup trop lourde, il a du se résigner à faire éliminer un homme de son propre gang. Ce qui est vraiment loin de lui plaire. La perte a affecté tout le groupe, tout particulièrement le chef, même s'il n'osera jamais l'admettre. Bien qu'il déteste ce mode de vie dans lequel l'a entraîné son père, il a fini par s'attacher à ses hommes, aussi détestables puissent-ils être. Une bande de vauriens et de criminels...mais après tout, n'est-ce pas ce qu'il est, lui-même, devenu?
Alors qu’il approche, les pas de l’autre raisonnent dans tout le stationnement. À son arrivé, Adrian a relevé la tête et jeté sa cigarette par terre. De la pointe de son pied, il l'écrase à même le sol, avant de lever les paumes, le temps de faire un tour sur lui-même.
«J’suis pas armé.»
Faisant à nouveau face à son concurrent, son regard n’hésite pas à le fixer d’un air confiant. S’il veut bien accepter que la faute provienne de son clan, il n’a pas l’intention de ramper aux pieds de Strange pour autant. Il conserve un calme exemplaire, façade qu'il a l'habitude d'arborer. Peut-il réellement en vouloir à l'homme, qui lui fait face? Celui-là même, qui se retrouve dans une posture similaire à la sienne. Oh, peut-être que lui y prend un malin plaisir, mais n'empêche qu'Adrian est capable de saisir la raison de ses actes. Il n’avait pas d’autre choix que de punir l’intrus, et faire passer un message aux Manthas. Cray n’aurait-il pas fait pareil, voir pire? Celui qui méritait véritablement sa hargne, l'avait payé de sa vie. Maintenant, il fallait réparer les pots, qu’il avait cassés.