ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
La soirée est largement entamée quand je reçois le texto de Jo. J’ai diné au Club avec Alec, un plat de lasagne et un verre de vin parce que je n’ai pas eu le temps de passer le voir à midi – comprenez, je me suis levée trop tard, n’ayant pas de rendez-vous prévu dans la matinée je me suis permis la veille de boire un peu plus que de raison – et suis sur le chemin du retour, tranquillement installée dans un taxi lorsque mon téléphone vibre dans la poche de mon sac. Je l’en sors, tombant sur un message de Jo. "Yo queen. J’sais qu’tu préfères quand j’me pointe chez toi à l’improviste mais là j’ai une merde qui me colle au cul, j’aurais vraiment besoin d’un toit quelques jours… Trois ou quatre, pas plus. J’peux pas aller chez mon pote" Je fronce les sourcils en découvrant le message, alors que le taxi se gare devant moi. Dans l’ascenseur, je lui tape rapidement une réponse, cherchant à en savoir un peu plus. A quel moment lui ai-je donné l’impression d’être un refuge pour chiens galeux ? Je réfléchis un instant devant la réponse évasive du brun, que je vois de temps en temps depuis plusieurs mois à présent, avant de pousser un soupir et de l’inviter à venir – je vais le regretter je le sens – en précisant que je ne suis pas une auberge de jeunesse, et que trois ou quatre jour, c’est trois ou quatre jour, pas un de plus. Oui, je vais le regretter, c’est sûr. Qu’est ce qui me pousse à accepter ? La détresse, palpable même à l’écrit ? Je n’y suis pourtant généralement pas sensible, à la détresse chez d’autres que moi et quelques privilégiés. Je secoue la tête en déverrouillant ma porte d’entrée, profitant du temps qu’il me rester avant qu’il ne se pointe chez moi pour relever mes cheveux et glisser sous la douche.
Une fois sortie je me glisse dans un short et un caraco tous les deux noirs et en soie, et suis en train de passer un coup de brosse dans mes cheveux lorsqu’il frappe à la porte, réglé comme une horloge. Où qu’il eut été juste avant de me contacter, il a dû filer directement chez moi. Son dernier message m’a donné une idée de l’état dans lequel j’allais le retrouver, et encore une fois je me maudis de m’être laissée attendrir et d’avoir accepté de lui éviter de passer la nuit dehors. Je me dirige vers la porte, pieds nus sur le parquet frais de l’appartement avant de tourner à nouveau les clés dans la serrure pour ouvrir la lourde porte, me retrouvant face à un Jo livide et en sueur. Ses yeux s’accrochent à moi, mais les miens ne peuvent s’empêcher de dévier vers son bras contracté, qui capte sans difficulté l’attention. « Je te jure. Si tu ris, je trouverai un moyen de te faire regretter dans le futur ! » Je relève les yeux vers lui, un air amusé sur le visage avant de m’effacer pour le laisser entrer. « Bonsoir à toi aussi. De rien pour l’hébergement. » Je le laisse entrer et le détaille à nouveau. Il a l’air d’avoir passé une sale soirée, ses mèches brunes se collent contre son front fiévreux, son sac à dos lui donne un léger air de sans domicile fixe, et on dirait qu’il va littéralement s’effondrer sur place. « J’espère que ton canapé est prêt à m’accueillir, parce que j’ai pas l’impression que je vais tenir debout plus longtemps. » Je referme la porte derrière lui avant de la verrouiller, et de me diriger vers le frigo, duquel je sors une bouteille d’eau, et pose un verre sur le bar. Le canapé donc ? Ça serait bien la première fois qu’il passe la nuit dans cette partie de mon appartement. « Parce que t’as peur que je sois incapable de contrôler mes pulsions si tu dors dans mon lit ? » Il dort bien où il veut en fait, mais maintenant qu’il le dit, je préférerais qu’il évite de poser ses fesses sur le dit canapé tant qu’il ressemble à une telle épave. Le nettoyage à sec ça coute son prix après tout. De toute façon qu’il se rassure, il est loin d’être désirable à cet instant, et je ne risque pas de lui sauter dessus. Je rajoute, un sourire amusé sur le visage. « Je devrais pouvoir me maîtriser, t'en fais pas pour ça. » Finalement, je désigne du bout du menton le verre déposé devant moi. Alors qu’il me fait face, je pose à nouveau mes bras sur son bras rouge et déjà gonflé. Je ne me suis jamais piquée, mais c’est pas la première fois que je vois ça, et je sais théoriquement gérer ce genre de situation. Je désigne le robinet d’un signe de la tête. « Tu devrais passer ton bras sous l’eau tiède. » Un silence, et je continue, poussant un soupir. « Je dois avoir de l’alcool et des compresses. Bouge pas et salis rien, je vais chercher ça. » Je plante à nouveau mes yeux dans les siens, avant de me détacher du bar pour prendre la direction de ma salle de bain.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Il est mal en point, mais rien qui ne puisse me choquer. J’ai vu pire, j’ai vécu pire aussi il y a des années, même si nous n’en avons jamais parlé ensemble, je me laisse rarement aller aux confessions sur le sujet, et encore moins avec des hommes qui chauffent mes draps, j’ai besoin de compartiments dans ma vie, et je n’ai pas envie de voir mes amants devenir psychologues ou confidents. J’accepte rarement de jouer les infirmières aussi, il faut croire que le jeune homme a de la chance, ou qu’il est tombé sur moi dans un bon jour. Ou que je l’apprécie aussi un peu, en fait. Je ne sais que peu de choses le concernant, mais il m’a l’air bien seul en fait, pour que je sois la seule personne vers qui il ait pu se tourner dans une situation comme celle-là. Nous passons de bons moments ensemble, loin de moi l’idée de le nier, et j’aime qu’il n’ait pas froid aux yeux et semble avoir aussi peu de limites que moi. « Non, parce qu’il y a la t.v. devant le canapé. » Amusée, je hausse un sourcil, avant de me retourner pour poser mon regard sur lui. « J’ignorais que j’avais ouvert un camp de vacances. » Il se pose sur un tabouret et après lui avoir servi un verre d’eau, je pose doucement mes doigts sur son bras, sur l’intérieur de son coude, palpant la zone enflammée avec le plus de douceur possible, parce que je ne suis pas une brute, et je sais en plus que cela doit faire un mal de chien. Sa peau est brulante, tendue et raide, il va passer une sale semaine. Je relève mes yeux pour les planter dans les siens, qui ne parviennent pas à dissimuler sa douleur et sa détresse, malgré les pointes d’humeur qu’il lance et l’air détaché qu’il tente de se donner.
Le laissant seul dans la pièce principale je traverse ma chambre et mon dressing pour ouvrir le placard de la salle de bain, fouillant dans mes affaires à la recherche de compresses et d’alcool. Je rajoute un rouleau de bandage propre, et au moment où je referme le placard mes yeux tombent sur une boite de somnifères, que j’attrape en poussant un soupir. Ils sont là pour les soirs où, sobre et seule, mon esprit cogite trop, et mes pensées dérapent pour laisser dangereusement place aux souvenirs. Ils sont là pour les soirs où mes démons décident de ne pas me laisser dormir. Mais ce soir Jo en aura certainement plus besoin que moi. Je me lave les rapidement les mains, puis rajoute une boite de puissants antis douleurs, le genre qu’on n’obtient pas sans ordonnance ou sans savoir à qui s’adresser avant de revenir vers le salon et de déposer tout ça sur la table basse, avant de me rediriger vers le brun, qui a mis mes conseils à l’œuvre. Il pivote la tête vers moi en me sentant approcher, avant de pousser un soupir et de jouer à l’enfant. « T’es certaine de savoir c’que tu fais ? J’ai pas mis ma main dans une tondeuse, j’te rappelle. Y’a pas d’plaie ouverte. J’sais pas c’que t’as envie de désinfecter avec ça. » Je secoue la tête, un air las sur le visage, sans prendre la peine de lui répondre. « Selon moi, t’as jamais géré ça. Il m’faut des anti-inflammatoires. » Il hausse les épaules, et continue en se dirigeant vers le salon. « J’t’achèterai un nouveau canapé si j'tache le tien. » S’il y a bien un point sur lequel je serai intransigeante, c’est celui-là. « Tais toi. » Je fais quelques pas à mon tour pour le rejoindre. « Pourquoi t’es ici si je sais pas ce que je fais ? » Je m’approche de la table basse, avant de désigner le tapis d’un geste du menton. « Assieds toi ici. » Je me résous à jouer les infirmières, mais je ne me résoudrai pas à jouer les infirmières sur mon canapé blanc. Sans l’attendre et comme pour l’encourager, je me baisse pour m’asseoir et ramener mes jambes en tailleur, avant de tendre le bras pour attraper une première compresse et l’ouvrir, puis l’alcool modifié à 70% avec lequel je m’emploie à humidifier complètement la compresse. Je relève les yeux vers lui en me rendant compte qu’il n’a pas bougé, avant de pousser un soupir. « Fais-moi confiance. » Pourquoi il est là, si ce n’est pas ce qu’il est disposé à faire ? J’attends qu’il me rejoigne, compresse à la main, avant de planter mes pupilles dans les siennes. « Qu’est-ce qu’il t’es arrivé ? » Jo m’a toujours donné l’impression de ne rien contrôler dans sa vie, de ne rien maîtriser et de se laisser porter par les choses, n’arrivant pas à faire quoi que ce soit de plus que lutter contre le courant depuis que je le connaissais. Mais ça, la drogue, se fixer, il avait l’air d’être un sacré spécialiste. Pas le genre de junkie à manquer sa veine. Pour accompagner ma question je tends ma main libre, pour l’intimer à y placer son bras. Patiente, j’attends qu’il se décide à se laisser faire, à accepter d’abandonner le contrôle. Je sais que ce n’est pas facile, parce que c’est le genre de chose que je suis et ai toujours été incapable de faire. Mais sans trop savoir pourquoi ni comment j’ai décidé de l’aider, alors il sera bien obligé de me laisser faire. Mon appartement, mes règles. C'est étrange finalement comme échange, pas le genre de chose que je partage habituellement avec mes amants que j'estime comme assez grands pour se débrouiller. Mais j'essaye de ne pas y penser, laissant les automatismes prendre le dessus.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Quand je lui demande ce qu’il fait ici il hausse les épaules, comme s’il ne savait pas, comme si ses pas l’avaient porté ici sans qu’il ne les contrôle ou ne soit maître de leur destination. Mais je sais que c’est faux. Il ne pouvait pas aller chez son ami, il me l’a confié dans son message, donc je devine que l’ami en question ne sait pas qu’il a recommencé à se droguer, à se piquer pour monter au septième ciel. Est-ce le cas de toutes les personnes qu’il côtoie ? Suis-je la seule personne qui sait, la seule témoin de ses errances, et donc logiquement la seule chez qui il peut se réfugier lorsqu’il s’afflige ce type de souffrance ? Difficile à dire. Peut-être pas la seule, mais l’une des rares, et en tout cas celle vers qui il a choisi de se tourner ce soir. Je le regarde s’approcher pour s’asseoir en tailleur face à moi, imitant ma position. « Tu sais que j’te fais confiance. » Je penche la tête sur le côté, plantant mes yeux dans les siens pour l’écouter. « J’sais bien trop de choses compromettantes à ton sujet. » Un sourire étire mes lèvres et je baisse la tête pour m’affairer à humidifier complètement la surface de la compresse. Il sait des choses compromettantes à mon sujet ? Et quoi exactement qu’il puisse prouver ? Je lève un sourcil amusé, sans relever mon regard vers le sien, concentrée sur la tâche qui occupe mes doigts. « Des choses compromettantes ? J’aimerais bien entendre ça tiens… » De mon implication au Club il en a la connaissance, mais aucune preuve, et la drogue que je lui fournit l’incrimine plus que moi. A part mes goûts en matière d’ébats – j’entends par là le fait de savoir ce qui me fait grimper aux rideaux – il n’y a pas grand-chose qu’il puisse apprendre à qui que ce soit sur ma personne. Non, j’en conclus donc qu’il ne pouvait juste pas admettre qu’il me faisait confiance, simplement. Mais c’est quelque chose que je suis parfaitement capable de comprendre, moi-même étant bien incapable d’en faire autant. « Huuum… » Je l’observe hésiter, sentant qu’il est en train de retenir la vérité et que je ne l’entendrai probablement pas. Ma foi, il fait ce qu’il veut, il n’a aucun compte à me rendre, et c’est plus la curiosité qui motivait ma question. « J’sais pas. J’étais pas attentif. » Et la voilà, la vérité qui glisse et s’éloigner. Pas attentif ? Il se pique depuis des années, alors je n’y crois même pas une seule seconde, au fait que cela soit l’explication à son bras gonflé et engourdi, mais je me contente de secouer la tête – pour lui faire comprendre que je ne suis pas dupe – et de me rapprocher un peu, pour pouvoir poser le bras qu’il tend sur ma cuisse. Délicatement, je dépose la première compresse imbibée d’alcool sur le pli de son coude, avant d’en ouvrir une seconde, pour l’humidifier comme je l’ai fait avec la première. Je tente de mettre le plus de douceur dans mes gestes, une douceur inhabituelle, parce que son bras fait peine à voir et que ça doit faire un mal de chien, mais je sens sa peau brûlante tressaillir à chaque fois que mes doigts la frôlent.
Je sens son regard se poser sur moi, et instinctivement je ne peux m’empêcher de relever mon visage pour planter mes yeux dans les siens. « Est-ce que t’as arrêté d’te piquer parc’que tu t’es d’jà r’trouvé dans la même situation qu’moi ? » Ses yeux ne me lâchent pas, et je reste d’abord silencieuse. J’essaye de garder un regard impassible, mais ma respiration d’un coup plus bruyante qui vient déranger le silence me trahit. Elle trahit mon trouble, celui qu’on peut lire dans mes yeux en y faisant un peu attention, celui qu’on peut deviner dans les muscles de ma mâchoire qui se sont presque imperceptiblement contractés, et dans mes mains, qui se sont figées. Je n’avais pas pris conscience que nous en étions au stade des confessions sur notre passé, et il me prend de court et de surprise en s’introduisant ainsi dans le mien. Je ne pensais pas qu’il prêtait autant d’attention, assez pour noter mon souffle qui s’accélère et les battements de mon cœur qui s’emballe à chaque fois que je l’observe manipuler la poudre blanche, pour relever l’attraction malsaine et la lutte intérieure qu’expriment mes pupilles. Une première partie de ma réponse se formule dans ma tête, dans l’urgence. « Je ne me suis jamais piquée. » Il devrait le savoir pourtant, lui qui a observé mon corps sur toutes ses coutures. Aucune marque ou cicatrice ni vient décorer la peau de mes bras, lisse et vierge de toute trace de piqure, ancienne ou récente. Mais je joue avec les mots, je gagne un peu de temps parce que je n’aime pas être percée à jour. « Mais effectivement, je connais bien ton amie. » La cocaïne, la poudre blanche, cela ne sert à rien de chercher à mentir, parce que je suis trop surprise pour arriver le faire avec conviction. « Et crois-moi quand je te dis que j’ai déjà été dans des états bien pire. J’étais bien plus pathétique que toi quand elle contrôlait chacun de mes actes. » Il arrive à simuler la normalité, quand tout en moi hurlait que j’étais une junkie, de mon corps décharné et osseux, à mes reniflements et tremblements permanents, en passant par la douleur qui se lisait au fond de ma pupille. J’avais l’air d’un chat errant, un animal maigre sauvage et craintif, et je n’ai pas envie de me replonger dans cette époque-là. Je n’ai pas envie de me souvenir de toute ces fois où seule chez moi j’ai hurlé, j’ai pleuré, j’ai enroulé mes doigts dans mon t-shirt pour m’empêcher de me blesser, j’ai supplié dans le vide pour que les douleurs s’arrêtent, pour que la poudre me laisse tranquille. « Mais non, c’est pas pour ça que j’ai arrêté. On m’a pas laissé le choix, en fait. » Mes yeux sont attirés l’espace d’une seconde vers la photo qui traine sur le meuble télévision, mécaniquement, de façon indépendante de ma volonté, avant que je ne me rende compte de mon geste et retourne vivement ma tête, pour planter mes yeux dans ceux de Jo quelques secondes, hésitant à rajouter quelque chose, et décidant finalement de me taire, restant ma compresse à la main, en suspens pendant quelques secondes supplémentaires.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Joseph n’a jamais été bien menaçant pour moi et ne le sera jamais. Qu’irait dire un type encore en probatoire me concernant ? Que je lui fournis la drogue pourtant violation de sa conditionnelle qu’il fait couler dans ses veines ? L’idée me fait rire quelques secondes, à peu près autant que l’image du jeune homme en tenue orange qui s’imprime quelques secondes sur ma rétine, et finalement Je secoue la tête alors qu’il laisse échapper un sourire amusé, un sourire qui ne reste pas figé sur ses lèvres, un sourire fugace qui laisse à nouveau place à la douleur. Les bonnes manières, le politiquement correct, tout ça voudrait que j’ai de la peine pour le jeune homme à l’heure actuelle, mais il s’est infligé ça tout seul. Il m’en fait un peu, avec son air de chien battu et ses rictus de douleur, alors qu’il vient frapper à ma porte et que je me rends compte que dans ce cas de figure je suis la seule vers qui il peut se tourner, mais pas assez pour que je ne l’estime pas assez grand pour assumer les conséquences de ses actes. Il n’a rien d’un gosse perdu le brun, c’est un homme, un homme qui a fait des choix et qui, aujourd’hui comme d’autres fois surement, se prend le retour de bâton. « Je ne voudrais pas te gâcher la surprise. » Sur le même ton que le siens, je réponds simplement. « Je crois les doigts pour qu’elle soit bonne dans ce cas. » Avec le suspens qu’il y met, ça a plutôt intérêt. Mais je sais reconnaître des paroles en l’air quand j’en vois, et pour le coup il a plus à craindre de moi que l’inverse, et il a surtout plus besoin de moi que j’ai besoin de lui.
Quand il se permet à son tour de me retourner des questions concernant ma propre consommation de drogue, et surtout ma relation à la plus pernicieuse et détestable, mais si attirante, d’entre elles je suis surprise. Surprise du culot du brun, qui ne connait certainement pas assez mon histoire pour se permettre de m’interroger, d’aller sur ce genre de pente glissante, d’affirmer de but en blanc qu’il a compris que moi aussi je m’injectais cette merde, au moins autrefois. Ce n’est pas le cas, mais il n’est pas assez loin de la vérité pour que je ne me décompose pas un instant, laissant entrevoir une faille, et prenant le temps de la réponse pour laisser le mur que je dresse entre moi et les autres se recomposer. Ma main s’arrête, met en pause un instant la tâche à laquelle elle s’affairait jusque-là, et mes yeux se vrillent dans ceux de Jo. Ils s’en détachent un instant, un instant de trop, pour aller chercher des yeux le cadre photo sur le meuble de télévision, comme instinctivement, comme un réflexe que j’ai effectivement développé avec les années. Cette photo me fait aussi mal qu’elle me fait du bien, en fait non, elle me fait plus de mal encore, mais si j’ai enlevé toutes les autres je n’ai jamais réussi à me résoudre à en faire de même avec celle-là. Parce que le bonheur qui s’en dégage est écrasant, et aussi parce qu’elle est la dernière trace de ma relation avec Aaron, sans elle, j’aurais l’impression d’avoir rêvé pendant deux années complètes. Et Jo fonce dans le tas, quand je me retourne à nouveau vers lui ses yeux bloquent les miens. « C’est qui, ce mec ? Je ne l’ai jamais vu. » Mes mains restent figés un instant, et celle qui tient son bras se resserre légèrement, pas pour lui faire mal, pour s’accrocher à une prise, et pour faire passer le trouble aussi. Pour ne pas l’exprimer d’une autre façon, pour l’extérioriser de la façon qui semble le plus discrète à mon corps. Sauf que cela ne l’est pas discret, et je relâche rapidement la pression supplémentaire que j’ai exercée sur la main du jeune homme, avant de déglutir. Mon cœur bat à tout rompre et pendant un instant je suis tentée de me lever, de claquer la porte de ma chambre et de le laisser se débrouiller avec sa blessure, mais je me recompose, attrape à nouveaux la compresse imbibée d’alcool pour la déposer délicatement sur son bras, la superposant légèrement sur la première pour aller couvrir entièrement la zone rouge et enflée. Je tends la main vers la table pour attraper la bande médicale, et je la serre un instant avant de relever les yeux vers Jo, resté muet pendant tout ce temps, suspendu à mon silence. « L’ancien propriétaire de cet appartement. » C’est vrai, mais ça ne réponds pas réellement à la réponse. Parce que la photo laisse peu de place au doute, et ce qu’il se demande surement c’est qui il est pour moi. Je pousse un soupir avant de continuer. « C’est lui qui m’a fait décrocher. » C’est un peu mieux, même si c’est encore loin de l’entière vérité. Mais Aaron est un sujet que j’évite, et dans un mauvais jour je n’aurais certainement pas répondu à sa question, l’ignorant, la balayant comme si je ne l’avais pas entendue. Avec un homme qui a des privilèges sur mon corps, je n’ai pas réellement envie de parler d’Aaron. Parce que c’est lui qui aurait dû les avoir, depuis onze ans et encore aujourd’hui. « Et effectivement, il n’est plus vraiment dans les parages. » Ma bande médicale toujours à la main, j’hésite pas laisser la conversation à cet endroit et à continuer à jouer à l’infirmière, mais le regard toujours accroché à celui de Jo je sens qu’il est prêt à enchainer, à poser d’autres questions à ce sujet, et je n’ai pas envie de raviver la douleur vieille de onze ans. Pas ce soir, pas avec mon compagnon du soir. « Mais j’ai aucune envie de parler de lui. » Mon ton est un peu plus sec que je ne le voudrais. D’un point de vue extérieur la question de Jo était anodine et justifiée, puisque la photo est la seule touche personnelle de mon appartement. Mais elle ne l’était vraiment pas. Pas du tout. Je baisse alors les yeux, presque troublée et cela me fait enrager, avant de commencer à dérouler la bande médicale autour de son bras pour maintenant les compresses en place.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Le brun ne m’a jamais posé de question personnelle. Il vient ici, il tire son coup et se défonce, ou se défonce et tire son coup en fonction de ses humeurs, dors chez moi et repart le lendemain. Dormir est un bien grand mot, puisque le sommeil n’est pas notre principale activité lorsqu’il passe la nuit chez moi. Je ne m’en plains pas, je ne dis pas qu’il profite de moi parce que ça n’est pas le cas. J’aime sa compagnie, parce qu’il n’a pas froid aux yeux, parce qu’il se fou de me voir me défoncer également, parce que lui aussi a cette façon de brûler la chandelle par les deux bouts, sans réellement se soucier du lendemain. Parce que lorsque je suis sous influence de la dope, chaque contact est démultiplié, chaque effleurement fait se dresser les poils sur mes bras, et chaque fois qu’il entre en moi j’ai l’impression que nos corps fusionnent comme jamais ils n’ont fusionné. L’ecstasy a ce pouvoir de rendre les rapports plus puissants, les sensations plus fortes, de créer une superficielle harmonie parfaite entre deux corps, de donner l’impression de tout ressentir plus intensément. Je trouve mon compte dans cette drôle de relation, parce qu’il est rafraichissant. Parce que je n’ai pas besoin de prétendre être une autre, pas besoin de jouer la femme amoureuse pour qu’il couvre mon corps de baisers, et pas besoin de jouer les dures pour qu’il ne se fasse pas d’idée sur la nature de notre relation. Mais tout ça pour dire qu’il n’est jamais sorti de chez moi en en ayant appris plus sur celle que je suis, en me connaissant un peu plus, moi et mon âme, plutôt que mon corps. Alors sa question me désarçonne. Parce que je ne l’attends pas ici Jo autant que parce qu’elle remue beaucoup trop de choses en moi. Si je ne lui réponds pas tout de suite, c’est parce que je ne suis pas sûre de ce que j’ai envie de lui répondre, je ne suis pas sûre d’avoir envie de lui répondre en fait. Au bout d’un moment pensera-t-il que je n’ai simplement pas entendu ? « J’ai pas l’intention de m’immiscer dans ta vie privée. » Je relève les yeux vers lui, stoppant les mouvements de mes mains un instant. Il ne veut pas s’immiscer dans ma vie privée ? Ça y ressemble drôlement pourtant. « Nous ne sommes pas supposé être des amis, de toute façon. » Non, nous ne sommes pas amis. Il n’y a de toute façon qu’une seule personne que je considère comme telle, et il est bien plus facile de gagner mon corps que mon amitié. Et ça, le brun semble l’avoir compris. « Mais je n’ai pas l’impression que tu en as beaucoup, des amis. » Je lève un sourcil, interloquée. Il est venu frapper chez moi après la tombée de la nuit, m’a demandé mon aide, m’a posé des questions indélicates et maintenant il souhaite m’insulter ? Surprenant, il a de la chance que je ne sois pas du genre à me formaliser de ce genre de chose. Qu’essaye-t-il de dire, que nous ne sommes pas amis mais que c’est parce qu’il a pitié de moi qu’il me propose une épaule sur laquelle pleurer, quelqu’un à qui me confier ? Non merci. « Moi non plus, t’inquiète. C’est pas d’la moquerie. On a pas choisi la meilleure carrière pour bâtir ce genre de… de lien. » Un peu surprise de l’entendre ainsi se livrer, parce qu’à présent j’ai compris qu’il parle plus de lui que de moi, je hausse les épaules, avant de terminer d’enrouler la bande médicale du milieu de son bras jusqu’à celui de son avant-bras, enveloppant son coude et sa peau rougie et gonflée. « Enfin… Si, on peut trouver des gens bien mais… On les perd rapidement. » Soit il est à présent focalisé sur sa propre expérience, sur sa propre histoire, soit il n’a rien compris. Je n’ai pas perdu Aaron parce que je suis incapable de conserver une amitié. Je ne l’ai pas perdu parce qu’il ne supportait pas la vie que je menais, ou celle que lui menait, ni parce que je l’ai éloigné de moi. On me l’a arraché violement et sans crier gare. « L’amitié, c’est pas un truc qui s’mélange bien à nos vies. » L’amitié. Je suis prise d’un rire sarcastique, bref, et qui soulève à peine ma poitrine. L’amitié, il n’a que ce mot à a bouche. Aaron et moi n’avons jamais été amis.
Je découpe un bout de bande adhésive pour maintenir le bandage en place, avant de détacher enfin mes mains de sa peau et de relever les yeux vers lui, toujours assise en tailleur, et laissant retomber mes bras sur mes cuisses, lasse et fatiguée. « Et qu’est ce qui te fais dire ça ? Que je n’ai pas ou que peu d’amis ? » Il n’a pas tort, mais je suis curieuse d’entendre sa réponse, à cet homme qui au fond n’a pas plus cherché à apprendre à me connaître que je n’ai cherché à savoir qui il était et quels étaient ses démons. « Le fait que je préfère passer mes soirées à me défoncer avec toi plutôt que de me faire des tresses avec des copines, en mangeant de la crème glacée et en regardant des films d’amour ? » Je secoue la tête, baissant les yeux un instant avant de les vriller à nouveau dans les siens. « J’ai pas besoin de ce genre d’amitié. Et lui… » Sans quitter Jo du regard, sans tourner la tête vers la photo je la désigne un mouvement de tête. « …C’était pas un ami. » Je pousse un soupir avant de me redresser et de lisser mon short sur mes cuisses, avant de m’installer sur la banquette proche de la fenêtre, m’installant à nouveau en tailleur. « Et je l’ai pas perdu parce que mes activités m’empêchent d’être proche de qui que ce soit, puisque c’est ce que t’as l’air de penser. » Dans mon ton il n’y a pas de trace de reproches, d’animosité ou d’agressivité. Seulement de la lassitude, et une peine que j’ai du mal à dissimuler à l’idée de penser à celui que je considère encore comme l’homme de ma vie, onze ans après son décès. Appuyant mon dos contre un oreiller moelleux, je reprends finalement. « Pourquoi ça t’intéresse tout ça ? » La photo, Aaron, mon rapport aux individus qui m’entourent, ma consommation passée de cocaïne. Beaucoup de sujets intimes abordés en une soirée, alors que jusqu’ici il ne savait rien de moi. Je n'ai pas l'habitude de ça.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Il ne répond à ma question et choisi de détourner les yeux, de fuir mon regard. S’il s’est permit d’énoncer ce genre d’hypothèse à haute voix, pourquoi ne pas l’assumer ? Il n’a pas l’air d’avoir jeté des mots en l’air, de façon aléatoire, non, ce qu’il a dit il le pensait, et je suis assez surprise finalement de son manque de courage et d’assurance, du fait qu’il n’aille pas au bout des choses. Suis-je si impressionnante que ça ? Je lève un sourcil devant sa réaction et son mutisme, sincèrement surprise. Et sincèrement déçue aussi, de ne pas savoir ce qui l’a poussé à cette affirmation. Parce que si au fond je me sens seule sans oser l’admettre, ne serait-ce qu’à moi-même, je pense donner le change publiquement. Il est rare de me voir non accompagnée quand je décide de sortir, et si les gens dont je m’entoure ne peuvent définitivement pas être appelé amis, c’est à ça qu’ils servent au final en soirée, me tenir compagnie, donner l’illusion d’être entourée. Ô entourée je le suis, mais par des individus qui ne comptent pas à mes yeux et pour qui je ne suis rien d’autre qu’un faire-valoir également, le genre de personne agréable à avoir à sa table, parce que je sais l’être agréable et charmante quand j’y mets du bien, mais qui ne se lie pas les autres. Je me lasse, vite et inéluctablement, ça a toujours été un frein à ma capacité à garder un groupe constant autour de moi. Quand quelqu’un ne m’amuse plus, ne me distrait plus je m’en sépare et détache, rarement sans éclat. Des Jo j’en ai fréquenté, et il n’est pas le seul homme qui anime mes nuits, je n’ai jamais été exclusive, en tout cas plus depuis la mort de celui qui semble être au cœur de la conversation ce soir, et piquer chez mon interlocuteur une curiosité déplacée. « Il est mort ? » Je vrille mes yeux dans les siens, alors que mon attention était jusque-là fixée sur le bandage que je termine à peine. Mon visage se ferme, et je suis même bien incapable d’esquisser un sourire sarcastique, ou de laisser échapper un rire sec alors qu’il baisse les yeux. A-t-il seulement conscience du manque de sensibilité dont il fait preuve, en formulant à haute voix cette question. Je reste comme ça un instant, les yeux fixés sur lui alors qu’il s’applique à garder les siens au sol, ma respiration bruyante, témoin de mon trouble, qui brise le silence. Finalement je déglutis, avant de répondre, tentant de maîtriser les intonations de ma voix pour ne rien laisser paraître des émotions qui viennent taper à ma porte. « Je t’ai dit que j’avais aucune envie de parler de lui. » Je sais que je réponds à sa question, mais mon silence l’avait déjà fait. Il la connaissait même déjà avant de me la poser. Je me redresse, lisse mon short et me détourne de lui un instant, pour me dérober à son regard et cacher mon trouble. Je m’approche de la baie vitrée pour fixer un point au dehors, prends quelques inspiration avant de me retourner et de m’assoir sur le canapé le plus proche de la vitre, en tailleur et en observant le brun qui n’a pas bougé. « J’en sais rien. Je ne pense pas que beaucoup d’personnes auraient pris l’temps de bander mon bras comme tu l’as fait, alors ça m’intrigue. » Il me prouve ce qu’il a avancé : il n’a pas grand monde sur qui compter. Même dans sa situation, je ne me serais pas tournée vers lui, mais étrangement, je ne suis pas gênée qu’il l’ait fait. « Ça m’donne presque l’impression que tu ne tiens pas à c’que j’crève. Mais tu peux me corriger si j’fais erreur. » Je lève un sourcil, étonnée, en penchant la tête sur le côté. Non je ne tiens pas à ce qu’il crève, mais c’est l’impression que je donne ? « Même, j’peux m’en aller si t’as pas envie de me supporter toute la nuit. » Je pousse finalement un soupir, me relevant déjà du sofa sur lequel je viens de m’asseoir. « Tu vas passer une bien plus mauvaise nuit que moi. » Ma façon de l’autoriser à rester. Je ne suis pas une girouette, et je n’ai pas déjà changé d’avis.
Je disparais un instant dans ma chambre puis dans mon dressing, le temps d’attraper deux couvertures fines en polaire, avant de revenir au salon. J’étends la première sur le plus grand des canapés pour le protéger et dépose la seconde toujours pliée sur l’accoudoir, avant de retourner m’asseoir sur le plus petit des divans. Autant qu’il soit bien installé s’il est toujours décidé à ne pas partager les mêmes draps que moi. Je crois que je n’en ai pas envie non plus, pas après cette discussion et ses questions concernant Aaron, pas ce soir en tout cas. « Je sais pas quelle impression je te fais, mais je suis pas un monstre. Alors non, je tiens pas à ce que tu crèves. » J’appuie un peu plus mon dos contre l’accoudoir, inclinant mon corps et pliant mes genoux pour ramener mes jambes. Je sais l’image que je renvoie, celle d’une femme impavide, peu empathique, fermée et difficile à lire. Je n’ai pas besoin de me l’entendre dire. Ainsi installée je l’observe un instant, avant de reprendre, un peu songeuse. « T’es un type étrange Jo. » Parce qu’il ne m’avait jamais donné l’impression de ressentir de curiosité à mon égard. Parce qu’il pose ce genre de question sans filtre, sans se soucier du mal qu’il peut faire, ou des réponses désagréables qu’il peut recevoir en retour. Je dois admettre qu’il est déroutant, mais que quelque chose chez lui fait que je ne l’ai pas foutu dehors avec quelques remarques glaciales lorsqu’il a été trop loin concernant Aaron, ce qu’il représentait pour moi, et ce qu’il était devenu, alors que la plupart des gens auraient eu le droit à ce type de traitement.
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
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De justesse Raelyn Blackwell & @Joseph Keegan – mai 2019
Je me referme finalement lorsqu’il la pose, la question de trop. Son manque de délicatesse me choque, même moi qui ne suis que peu empathique et sensible à la peine et la douleur chez ceux qui m’entourent. Je pense que même moi, à ma réponse à sa première question concernant Aaron, la première fois que j’ai exprimé n’avoir aucune envie de m’épancher sur le sujet, même moi j’aurais compris que j’avais mis les deux pieds dans un sujet tabou et qu’il était plus intelligent de m’arrêter là. Mais il a continué, et même quand j’ai sous-entendu la façon dont je l’avais perdu, sans l’exprimer clairement mais en laissant finalement peu de place au doute, il avait ressenti le besoin d’enfoncer le couteau dans la plaie, de formuler à haute voix ce que la plupart des gens auraient eu la délicatesse de taire. Oui il était mort, depuis des années d’ailleurs, et ce n’était pas la colère qui prenait le pas et causait ma froideur, me poussant à lui rappeler que je lui avais pourtant demandé de ne pas plus me questionner sur le sujet, non c’est la peine. Parce qu’il ne s’en rend peut être pas compte, ou peut être que si, mais il me fait mal, vraiment mal quand il formule à haute voix ces mots que même moi je me suis interdite de prononcer. Il réveille la douleur et le deuil qu’année après année j’enfoui plus profondément encore, le temps d’un instant en tout cas, et ma gorge se serre. Alors non, je ne prends pas la peine de lui répondre réellement, ni d’être agréable et enjouée quand je me décide à lui rappeler les mots que j’ai prononcés plus tôt, parce que je n’estime pas qu’il le mérite en fait. S’il n’a que faire de me blesser, et c’est certainement le cas puisqu’au fond nous ne nous devons rien, alors je m’estime en droit de le remettre à sa place, alors que j’aimerais lui rappeler qu’il est chez moi, que je lui ai ouvert ma porte sans poser de question et que je viens de passer plus de temps à me préoccuper pour lui que je ne le fais pour la plupart des gens. Nous ne sommes pas amoureux, pas même ami et effectivement il ne me doit rien, mais je ne lui devais pas non plus le gîte ce soir.
Je m’éloigne finalement, parce que j’ai besoin de respirer un peu, avant de me poser sur le canapé, lassée par tout ça. J’ai besoin de sommeil moi aussi, après cette discussion. J’ai besoin de m’isoler en tout cas. « Yep. Mais t’étais pas obligée de me le rappeler. » Je soutiens son regard quelques secondes, avant de hausser les épaules et de me lever pour aller lui chercher des couvertures. Pour lui et pour mon intérieur, parce que vu l’allure qu’il a je ne serai pas étonnée qu’il soit alcoolisé par-dessous tout ça, parce qu’il tremble et que la sueur perle sur son front, parce que j’estime en faire déjà assez pour lui pour ne pas avoir à me justifier, de toute façon. « Assez étrange pour que t’aies pas envie d’me laisser crever. Tant mieux. » J’ai du mal à renouer avec la réalité, parce qu’il m’a plongée dans des souvenirs que j’aurais aimé ne pas avoir à affronter ce soir, ou jamais plus en fait, parce que je n’ai pas envie de faire semblant, et parce que après tout ça, j’aurais préféré être seule. Je préfère être seule en fait, et le fait qu’il ait décidé de ne pas partager mon lit ce soir je l’accueille finalement comme un soulagement. Il s’allonge sur le canapé alors que je laisse mes yeux courir sur son visage de façon distraite, et fini par me donner ce que j’espérais : l’autorisation de me retirer. « Ne crois pas qu’j’ai envie d’te fausser compagnie, mais j’ai pas l’impression que j’serai capable de garder les deux pieds sur Terre encore bien longtemps. » Je hoche la tête, sans répondre tout de suite et me levant du canapé sur lequel je suis installée. J’hésite un instant, et lui désigne d’un geste du menton les deux boites posées sur la table du salon. « Je t’ai amené des analgésiques, ils sont assez puissants ça devrait t’assommer. La seconde boite c’est des somnifères, au cas où. » Parce qu’avant qu’il choisisse de s’immiscer dans ma vie privée, il m’avait fait de la peine. « T’en fais ce que tu veux. » J’hésite un instant, avant de me rapprocher de la basse et d’attraper la boite de somnifère, pour en faire glisser un dans ma main avant de la reposer. Je lui adresse un dernier regard et sans un mot prends congé. A l’abri des regards, de son regard puisqu’il a déjà été bien trop curieux à mon goût ce soir, je dépose le cachet sur ma langue pour le laisser fondre, avant de me glisser entre mes draps, prête à accueillir un sommeil libérateur.