| LIZZIE&REMI - you're too much here now |
| | (#)Dim 01 Sep 2019, 14:42 | |
| Crevée, lessivée la Remi ce soir, elle s’allonge comme une merde sur le canapé qu’elle a choisi - elle ne fait que peu confiance dans les goûts de sa colocataire à vrai dire - et elle attend que l temps passe. Les appareils sont éteint, elle dort presque quand Alfred débarque et vient ronronner - son qu’elle n'entend pas il peut toujours y aller - sur ses genoux. Elle sourit, surprise de le voir là. - Je te préfère presque sans son en fait, tes ronronnements me rappellent des grésillements Je sais pas comment font les gens pour supporter tout ce tintamarre sérieux.. - Remi est plutôt simple dans le genre, un peu de repos, pas de bruit, un canapé, et surtout, personne pour la gaver. Bien sur, quand Liz est là c’est toujours un peu mieux, ça dépend des jours en fait. Quand il n’y a que des gens signants, elle n’allume que rarement les appareils, préférant le calme chez elle. Elle finit par mettre la télé, mais rien ne lui plait vraiment. Alors elle se lève, ôte son haut et se retrouve bien vite en petite culotte et soutien gorge. C’est à ce moment là que la lumière du truc qu’elles ont acheté se met à montrer un rayon bleu, le souci étant qu’elle le supporte que très peu et que souvent elle oublie quelle couleur correspond à quoi. Les stroboscope ça la saoule plus qu’elle y voit quelque chose d’utile. Elle teste la porte et vois débarquer une mini pouce. - Tu rentres tôt. Ils t’ont jeté ? - Qu’elle signe direct, tout en parlant, elle a tendance à faire les deux assez souvent, parfois, la flemme l’envahit et le son disparait. En gros elle la ferme, c’est parfois mieux. Elle retourne s'affaler sur le canapé, attendant que sa cloc vienne s’y écrouler à son tour. ca fait plusieurs années qu’elle squatte dans le coin, on et off, et ça lui allait très bien, puisque Remi sait très bien que ce n’est pas juste ses jolies petites fesses qu’elle apprécie, mais bien the all package. Mais ça, elle se gardera bien de dire quoi que ce soit. - Pizza ? - Manger sainement, c’est pas dans ses habitudes.
Dernière édition par Remi Delgado le Mar 22 Oct 2019, 02:50, édité 3 fois |
| | | | (#)Lun 02 Sep 2019, 01:19 | |
| Lizzie a fini la représentation de la soirée lessivée. Un rythme infernal, ponctué de pression et de stress en coulisse qu’on ne soupçonne pas. Elle qui a connu des jours paisibles à sillonner librement le monde, là voilà qu’on lui gueule dessus pour un accessoire mal rangé ou un costume mal préparé. Lizzie ne s’en fiche pas, bien au contraire. Elle a le souci du travail bien fait. Mais c’est justement là le problème ; travailler. Elle n’a quasiment rien fait de ses dix doigts, jouissant d’une célébrité certaine sur les réseaux et quelques partenariats ici et là qui lui permettent de tenir (encore) à flot. Mais travailler, avec des horaires, un patron, des gens qui gravitent autour de vous et, surtout, qui ne vous traitent comme rien, c’est terriblement nouveau. Potter n’est pas une petite nature, elle remonte les manches, elle sourit et elle retourne en selle. Mais il n’empêche que c’est dur et que l’humiliation de son adolescence est repeinte à chaque fois un peu plus.
Alors quand elle rentre, elle est accueillie par sa colocataire en sous-vêtements – dieu merci, elle reste habillée. Oui, parce que pour Remi, les sous-vêtements, c’est déjà des vêtements en trop. « Tu rentres tôt. Ils t’ont jeté ? » Lizzie roule des yeux avant de balancer ses chaussures à travers le salon. « Pizza ? » La jeune Potter ne peut qu’ouvrir les yeux tout en tapotant son estomac qui se réveille. « Grave. » Elle vient s’affaler sur le canapé tout en poussant un soupir des plus fatigués. « On me jette pas. C’est juste moi qui ne veux pas m’imposer. Ma présence n’est que pour les personnes méritantes. » Elizabeth sourit à sa colocataire tout en attrapant la tablette qui traine sur la table pour passer commande. « Bon allez, je passe la commande mais tu paies, hein. » Lizzie fronce un moment du nez avant qu’Alfred vient faire honneur de sa présence lui aussi. « Hey, ta maitresse ne t’a pas encore jeté, toi ? Mais c’est un miracle ça ! » Elle le gratouille d’un geste précis entre les oreilles avant tapoter sa pizza – fromage, pleine de fromage à faire hurler sa mère – et de foutre la tablette dans les mains de Remi. « Allez, magne toi, j’ai la dalle. T’as glandé quoi, aujourd’hui, à part de tester la température intérieure ? »
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| | | | (#)Ven 06 Sep 2019, 22:26 | |
| Remi regardait sa loco avec un air blasé, ou plutôt l’air qu’elle arborait en permanence, c’était le mode par défaut en fait. Elle avait faim, elle regardait les chaussures atterrir sur le sol, sans femme de ménage, le loft ressemblerait à un foutoir sans nom. Paradoxalement à son côté bordélique, elle aimait pas qu’il y ait du bordel partout. - You forgot where to put these ? - Obligée de souler dès son arrivée, sinon, sait on jamais, que Lizzie puisse se sentir accueillie. La pizza semble lui convenir et Remi se met à rire vis à vis de sa théorie sur le boulot. Après tout, remi a fait du bon boulot, LIzzie est arrivée si princesse dans le loft qu’elle en aurait chié des paillettes, et on fait tous que Remi en a l’horreur, pourquoi pas des licornes pendant qu’on y est ! - Yeah, you get it, you’re more important, screw them. Good girl ! - Non ce n’est pas ce qu'elle a dit, mais Remi ne comprend pas toujours ce qu’on veut dire, non, corrigeons, elle ne comprend que ce qu'elle a envie de comprendre. Elle chope la tablette, Remi se demande ce qu’elle fout avec une tablette, but what the hell, elle fait ce qu’elle veut. Pour madame, les trois quart des trucs que les gens font sont étranges, les siens normaux et logiques. Alfred vient piquer des calins et Lizzie lui balance un truc, Remi ne regardait pas, elle ignore donc ce qu’elle peut bien lui raconter. Sans nul doute qu’Alfred prétend qu’il est maltraité, ingrat. elle a bien entendu de bruit, mais pour elle ça reste du bruit, des sons incompréhensibles dont elle se moque complètement. A la base, elle pourrait vouloir savoir, mais c’est plus facile de ne pas vouloir tout savoir dans un monde ou on se fout que tu ne puisses pas suivre ce qu’il se passe autour de toi. On s’habitue à n’avoir aucun intérêt, du moins pas assez pour que les gens se demandent s’il y a un problème. Remi a trouvé la solution, elle se fout d’eux en retour. Elle lui colle la tablette dans les mains et la sort de ses pensées. elle rumine, grogne un chouia et commande ce qu’elle veut manger. Première attaque en plein coeur, oh sorry, là où elle est censée en avoir un en fait. - My job. I searched some shit for some screwed up people. why, you want to be one of them ? Have you some shit hidden princess Lizzie ? - Le pire c’est que pour Remi, c’est une démonstration d’affection, premièrement, de s’adresser à elle, deuxièmement, de la taquiner. Bien sûr elle ne s’en rend pas compte, ps plus que Lizzie est vitale à sa vie, ce serait le pompon, ne croyez vous pas ? You know beauty and the beast ? She the beast. Obviously !
Dernière édition par Remi Delgado le Jeu 19 Sep 2019, 22:29, édité 1 fois |
| | | | (#)Mar 10 Sep 2019, 20:57 | |
| « You forgot where to put these ? » Lizzie roule des yeux tout en souriant légèrement. Remi n'est pas une as du ménage mais elle a le culot de lui faire cette remarque. « What, you want me to put them in your ass? » A vrai dire, Elizabeth en a plein les jambes. Elle reste assez longtemps debout la moitié de la journée, et ce n'est pas forcément pour une partie de plaisir. On pourrait penser qu'avec les marches et les randonnées précédemment effectuées dans des terres plus sinueuses qu'un théâtre lui aurait donné de la force dans les muscles mais absolument pas. Il faut dire que le plaisir n'est pas le même. « And I'll wear them again tomorrow, what's the point to clean them, mmh? » C'est un esprit logique et pratique qui s'ambiance dans sa boîte crânienne, il faut bien l'avouer.
Elizabeth finalise la commande de leurs mets quatre étoiles qui ne manqueront pas d'arrivée dans vingt minutes. Un repas totalement sain et diététique. Sa mère serait folle, à ne pas en douter. Elle qui avait passé des années à lui marteler de ne pas se laisser aller de la sorte. De faire attention à sa ligne "parce que le show business n'aime les courbes disgracieuses". Lizzie a mis du temps avant de laisser ce genre de réflexion lui passer au dessus de la tête. Et maintenant, c'est à elle de se moquer de sa mère et de ses courbes pour le coup inexistantes. Enfin, moquer étant un grand mot. Le penser fortement, il faudrait dire.
« My job. I searched some shit for some screwed up people. » La jeune femme reporte son attention sur sa colocataire en reposant la tablette sur la table. « Oh and what did you discover? Something dirty, scandalous? I love gossips. » A vrai dire, non, elle n'aimait pas ça puisque c'est un torchon de potins qui a ruiné sa carrière précoce et pourtant pleine d'avenir. « Why, you want to be one of them ? Have you some shit hidden princess Lizzie ? » Cette dernière secoue les épaules en ayant son sourire qui s'agrandit. « Maybe. You're the pro, you tell me. » A vrai dire, Lizzie ne sait pas trop si Remi s'est renseignée sur sa personne avant de l'accepter en tant que colocataire. En tant que détective privée, ça l'étonnerait plus qu'elle ne l'ait pas fait pour être honnête. De toute façon, il suffit de taper son nom sur Google pour trouver des choses à se mettre sous la dent. Elle n'a pas eu une vie si palpitante que ça, au final. « So what's your plan for tonight? Movie? Leaving in 2 min for meeting someone? Did you buy candies and gum, by the way? » Non, elle ne prend pas sa colocataire pour sa boniche. Une liste des courses est affichée sur le frigo et que c'est au tour de Remi de les faire.
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| | | | (#)Jeu 19 Sep 2019, 22:49 | |
| La réponse de lizzie fait sourire Remi, faut dire qu’elle trouve qu’elle ouvre plus sa gueule depuis qu’elle est dans cette colocation. Pour Remi c’est une amélioration, qui n’est peut être même pas liée à elle en fait, mais elle a sa propre version du monde autour d’elle. Toujours. Parce que remi, elle ne veut pas de la réalité, une réalité qui la fout en l’air chaque fois qu’elle s’autorise à y penser, c’est à dire quasiment jamais. Remi les sentiments, le passé, s’a,alser, non, pas question. parce que sinon son enfance, ses erreurs, les salauds de la vie viendraient la mettre à terre. Plus facile de ne rien ressentir, ou presque. - In my ass ? no, i checked. - Remi imperturbable, enfin, ça dépend de qui. Pour d’autres elle aurait surement envoyé un objet ou son poing dans la tronche. Ou autre chose, une arme par exemple. Elle en a deux, elle n’en parle pas et quand elle les utilise, c’est que c’est généralement la merde, alors peu savent qu’elle en a. Et pas qu’une en fait. Ok tout un arsenal quelque part dans le loft. Remi ne répond pas à la suite, elle s’en moque, elle râle pour râler les trois quart du temps. Elle lève un sourcil en entendant l’amour de sa coloc pour les gossips. Ouais, elle est pas sure que lizzie aimerait TOUT ce qu’elle apprend lors de ses affaires, ou les clients qu’elle se farcit parfois. Mais elle peut toujours trouver un truc intéressant, elle cherche la madame, elle fait mine d'être en grande réflexion. - I’ll tell you if i find one that can’t give you nightmares - Elle en a jamais eu mais elle peut le dire, certaines affaires ont laissé un goût amer dans sa bouche, et pas qu’un peu. Parfois, elle les bloque carrément, les pensées, les images, tout ce qui pourrait faire d’elle un être humain en un sens. Le type qui volera son coeur ira au bulldozer, et il a de grandes chances de le garder le coeur et qu’elle lui dise qu’elle n’en a pas besoin. Future victime est plus accurate. Voilà qu’elle veut qu’elle lui dise si elle a déjà fait des recherches sur elle. elle rit, doucement puis la regarde intensément. - I know everything about you darling. And i don’t really care. - Et là dans un détecteur de mensonge ça hurlerait que c’est un mensonge. Mais Remi ne dira pas qu’elle sait et qu’elle aurait bien buté sa mère elle même. Qu’elle se serait bien chargé de tous ceux qui ont pu lui faire du mal. Qu’elle ne laisserait personne ne le faire dans le futur. Quitte à ôter la vie. Encore une chose qui est locked deep. Parce qu’elle ne sait pas elle même ce qu’elle est capable de faire, ni ce qu’elle a dû faire autrefois. Heureusement que personne n’enquête sur elle. Zizie - surnom qu’elle ne lui a jamais donné à haute voix mais qui la fait rire intérieurement chaque fois - lui demande le programme de ce soir. intense réflexion. - Don”t know, eat some shit first, next we’ll see. Yeah they’re in your room. I took some. - And you also touch her things. Underwear. You always do that. You don’t now why.
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| | | | (#)Ven 20 Sep 2019, 23:24 | |
| Cette colocation reste assez étrange en soi. Lizzie a réussi à s’adapter à Remi sans vraiment avoir eu besoin de se poser trop de questions. Elle se dit qu’avoir voyagé et avoir été au contact de personnes aussi variées que différentes lui a permis de ne pas se laisser distraire par la différence et encore moins par le côté complètement fou de Delgado. Et puis, Lizzie pense que Remi l’aime bien. Elle ne dérange pas son espace vital, même si finalement, depuis un an, elle a été plus présente que durant ces quatre dernières années où elle n’était à chaque fois que de passage. Une coloc qui vous donne l’appartement les trois quarts du temps pour vous tout seul mais qui paie son loyer même quand elle n’y met pas les pieds, si ce n’est pas un bon compromis, ça ? Alfred finit par se mettre entre les filles sur un coussin, la tête posée sur les pattes, l’air de regarder la télévision. Comme si l’animal peut comprendre ce qu’il s’y passe. « I’ll tell you if i find one that can’t give you nightmares. » Lizzie eut un léger rire. « Oh come on, I’m a big girl, I can handle anything! You’re no fun. » Et elle lui balance un cousin dans la figure pour le prouver. Qu’elle est une grande fille. Avec une âme d’enfant parce que l’enfant au fond d’elle n’a jamais vraiment grandi. Timide et réservée, tapie dans l’ombre, c’est cette gamine qui n’a jamais rien demandé à personne qui est brisé à jamais. Et c’est l’adulte qu’elle est qui la freine dans la poursuite de ce qu’elle veut vraiment. Retrouver la lumière, les projecteurs, le spotlight. Ouais un jour, elle retrouvera tout ça. Mais pas maintenant, Lizzie ne se sent pas prête – ou alors elle l’est mais elle est juste trop peureuse et trop lâche pour y aller. Et dans ce milieu là, on n’a pas le temps pour de la lâcheté ni les doutes.
« I know everything about you darling. And I don’t really care. » Elizabeth lâche un léger “mmh” tout en pinçant ses lèvres. Elle ne vexe pas facilement, la gamine, et elle n’a rien à cacher mais pourtant, Remi ne se rend pas vraiment compte parfois que ses mots, prononcés ou non, peuvent être comme une bombe. Mais elle hausse les épaules avant de sourire légèrement. « Your loss. » Même si, encore une fois, elle n’a rien à cacher. Tant pis si Remi s’en fiche. « Don”t know, eat some shit first, next we’ll see. Yeah they’re in your room. I took some. » Voilà de quoi illuminer le visage de Lizzie. « Really ? Aw, Delga, you’re sweet when you want to. » As sweet as a fucking bomb, yeah. La jeune femme se lève de son emplacement, pousse du pied ses chaussures pour essayer de les foutre sur le bord du mur « So you won’t fall on them, happy ? » et se dirige vers la salle de bain. Elle en ressort quelques minutes après, douchée et vêtue de son pyjama chat fétiche. Alfred semble lui faire la tête en voyant l’image d’un chat poilu mais ce n’est pas grave, il y a assez de place dans son affection pour tout le monde, toutes les races. Elle monte quatre à quatre l’escalier qui mène à sa chambre et tape des mains comme une gamine devant le sapin de Noël bourrée de cadeaux à la vision des friandises. Lizzie dépose les chewing-gums dans le tiroir de sa table de chevet et prend un paquet de bonbons avec elle avant de redescendre précisément quand la sonnerie retentit et la lumière s’allume. « Pizzas’re heeeeeere ! » Comme si Remi n’aurait pas remarqué ça par elle-même. « For godsake, put something on yourself, Delga, we don’t want to scare the nice delivery man, okay? » Même si elle sait qu’elle en demande beaucoup, à sa colocataire, là.
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| | | | (#)Lun 23 Sep 2019, 23:51 | |
| She’s a big girl. Elle ne comprend pas que Remi ne veut pas la protéger de visions dégueulasses mais de répercussions si elle lui donne des informations qu’elle n’est pas censée savoir. Remi ne fréquente pas des enfants de choeur mais des gens qui ont besoin de ses services et qui parfois, demandent d’autres choses. Des choses qu’elle ne partage pas avec le peu de proches qu’elle a. Lizzie est ce qui la monte vers le haut, ou du moins essaye, elle ne la salira pas. parfois elle se donne envie de vomir elle même en pensant à ce qu’elle ressent, pour ça qu’elle évite de le faire. Elle préfère tout mettre dans la fureur de ses baisers. Tout le monde dit qu’il veut savoir mais une fois que c’est fait, on peut pas effacer ce qu’on a appris, c’est trop tard, et on réalise qu’on voulait pas savoir. - Stop that, i can’t say and you know it. I just can say i met a stripper sexy of you want but that’s it. - Elle dira pas ses réactions étranges avec ce type, ça l’a ffranchement gavée de ne pas juste partir comme avec tous les autres. Elle se prend un coussin dans la tronche et grogne un truc dans la barbe qu’elle n’a pas. Elle regarde le coussin et le mets à côté d’elle. Avec Lizzie elle se rend bien compte qu’elle n’agit clairement pas comme avec les autres. Elle a beau essayer en plus, ça ne marche pas. Remi ne comprend pas sa réponse, pourquoi ce serait sa perte ? De quoi parle t’elle , C’était un compliment pourtant. Les gens, Lizzie inclus, sont vraiment des énigmes parfois, même quand elle fait un effort - une fois par an - ça ne marche pas. De toute façon trois secondes plus tard, à l’idée des bonbons etc elle devient toute mielleuse et court presque récupérer ses trucs - If i knew your reaction i’d surely have eaten all. - Qu’elle dit, alors qu’un fin sourire se dépose sur son visage. Surtout qu’elle range aussi ses chaussures dans un élan de bonté. Si elle savait que Remi n’est pas ainsi avec elle par bonté d'âme mais bien parce qu'elle a juste besoin d’elle dans sa vie. Elle sait que si elle la faisait fuir tout s’écroulerait. Elle débarque ensuite au même moment où Remi se lève et paye la pizza avec un faible bonjour. Il est pas sexy alors elle, il n’a même pas d’existence, le monde de Remi est parfois vraiment manichéen. Utile et pas utile. Elle pose la pizza sur la table. Réalise la tenue de sa colocataire et manque de rire d’un coup, elle se contente d’un sourcil relevé face à ce dessin de chat qu’Alfred regarde d’un air amoureux. Voilà que Liz lui fait une remarque sur sa tenue, elle s’en moque et le livreur n’a pas semblé être mal à l’aise. Elle vient s’installer à côté de Lizzie, sa main s’égare sur son bras. - Why ? It’s better like this, nothing to take off… - Elle continue de caresser le bras de Lizzie, perdue dans ses pensées. Remi n’est que pulsions, elle ne réfléchit pas, elle fait. Elle espère tout de même que Lizzie est d’humeur.
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| | | | (#)Mer 25 Sep 2019, 18:56 | |
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« Stop that, I can’t say and you know it. I just can say I met a stripper sexy of you want but that’s it. » Pourquoi Remi lui balance ce genre de choses tout en lui disant qu’elle ne peut rien dire ? C’est vraiment injuste et cruel. Lizzie reste une personne curieuse qui aime savoir que le monde a des secrets – aussi dirty soient-ils – et qu’elle n’est pas la seule à pouvoir être trainée dans la boue. C’est certainement un sentiment égoïste mais Remi l’a appelé ‘‘princess’’ et il n’y a jamais de fumée sans feu. Lizzie a beau avoir parcouru des paysages époustouflants, croisé la misère du monde, aidé son prochain, il n’en demeure pas que de savoir que d’autres peuvent subir le même sort qu’elle la réjouit au plus haut point. Mais ça, Potter ne le montrera pas. Parce qu’elle maitrise ses traits, ses émotions et qui lui en faut plus, tellement plus pour qu’elle perde sa prestance. Au moins, même si elle n’a pas le job de ses rêves pour l’instant, Lizzie peut se vanter d’être toujours capable de se mettre en autopilot face à chaque situation qui se présente à elle. Et les personnes comme Remi dans son entourage l’aident à être devenir complètement vaccinée sur les gens et leurs réactions qui peuvent dépasser l’entendement. « Nah, you could but you don’t want to. You’re holding back stuff, Delga, I can feel it. » Potter se coince de nouveau dans le canapé, poussant un peu le coussin où Alfred pousse une patte à son tour de protestation. « And you can’t say stuff like ‘i met a stripper’ and not giving me any info! Did you, y’know, touch the dude? Pleasure at work, darling, mmh? » Lizzie aimerait bien croiser plus de stripteaseurs – homme ou femme, elle n’est pas regardante – dans son travail. Mais ce n’est pas vraiment l’ambition de la Northlight de devenir une boite de gigolos se trémoussant autour d’une barre en fer. Dommage.
« If I knew your reaction I’d surely have eaten all. » Lizzie roule des yeux. « I can kill for that, you aware of that fact, right? » Parce que Potter et ses bonbons, c’est une grande histoire d’amour qui dure depuis qu’elle n’est qu’un embryon. Sa mère s’enfilant des paquets de bonbons par jour, la rumeur veut que les veines de Lizzie ne soient faites que pour du piquant et du sucré. Et pourtant, quand l’odeur (bien salé bien huilé) des pizzas se fait sentir dans le loft, Lizzie coince son paquet sous l’oreiller du canapé tout en prenant se courbant vers la table basse pour prendre une part. Bordel qu’elle a faim. « Why ? It’s better like this, nothing to take off… » Remi en train à caresser son bras et Lizzie a pleinement conscience de ce qu'elle essaie de faire. Elle tourne la tête vers elle et lui sourit légèrement. Elle connaît assez sa colocataire pour savoir ce qu'elle attendait visiblement d'elle. « Go have a meeting with your stripper, darling. Since you want to play hidden and secrets with me. » Et vlan, prends-toi ça dans les dents, Delga. Lizzie n’a pas forcément conscience que ses paroles peuvent blesser et c’est sûrement pour ça que son sourire amusé reste planqué sur ses lèvres. « So, movie ? »
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| | | | (#)Lun 30 Sep 2019, 01:10 | |
| Je sais pas toujours comment réagir avec Lizzie, même si je fais comme si, même si on voit rien, tout est en bordel à l’intérieur. Elle râle, elle veut que je lui dise ce que je ne lui dis pas, elle a une version du c’est pas juste. Le justice, j’en rirais, pour moi, c’est une blague qu’on sort aux idiots, ça n’existe pas, wake up girl, it was just a dream. Pas question qu’elle apprenne la mort de la fille de blake et toutes les autres chose que j’ai pu faire pour gagner autant de fric. Ils disent tous, que ça n’a pas d’incidence puis leur regard change, pour avoir testé, jamais je ne prendrais le risque. Elle n’en a pas conscience mais je me vois pas un jour me passer de sa présence, ou mes mains glissant sur sa peau douce on plus, mais ça un jour, j’aurais plus le choix, right ? Mon initiative n’est pas un programme pour madame et je dois le dire, j’aime pas quand elle fait ça. L’ironie étant que je passe plus de temps à fuir toute idée de montrer ce que, parfois, je ressens, et que ça me finisse en pleine figure quand les gens pensent que je suis qu’un putain de robot, s’ils savaient. Lizzie me fait passer par tous les états émotionnels, qu’elle le sache ou non. Pas de suite, mais régulièrement. Voilà qu'elle voulait tout savoir sur le stripper, et là je me mets à sourire, un fin sourire but still there. Curieuse, ça, pas de doutes, Lizzie l’est carrément, je vois pétiller ses ptits yeux magnifiques, j’ai qu’une envie, parfois, l’étouffer et be done with all that shit. Aimer, le meilleure moyen de se coller dans la merde. The second you let the guard down, you will lose. Et j’en avais pas envie. être faible, j’avais testé, c’était pas mon trip. - Ok ok. He was, an ass. No, not like me, worse. He didn’t not want anything from me and he was dismissive. And i was like, you know, a real… I don’t really know, but i was not, me. Did not lije it you know. But, ok, he was so sexy, damn. That’s it, you see, nothing juicy. - J’avais pas envie de préciser qu’il m’avait rendue furieuse et que j’avais eu envie de lui en mettre une et que je l’avais pas fait, elle allait nous inscrire pour un abri antiatomique sinon. Elle me sort qu’elle pourrait tuer pour des bonbons, t’es au courant, une fois, elle t’aurait presque mordu quand ta main avait pénétré dans le sachet de bonbons, depuis, tu faisais attention. Quoi que tu devais être honnête, il y avait des endroits ou tu n’aurais pas dis non si elle y avait posé ses dents. La raison, pour ne pas faire joujou, je lui avais presque rien dit. Je levais les yeux en l’air. - Ok ok. There some guy he search for his daughter, but she’s not lost, juste lesbian and loves to play with many partners, when you announce that to a father, it’s gold. Ask way, i’ll tell you, if you keep me happy. - Que je dis en prenant la part de pizza et y déposais les dents délicatement comme si c’était excitant de manger une pizza. Mes yeux ne trompaient pas pourtant, c’était pas la pizza dont j’avais faim.
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| | | | (#)Jeu 03 Oct 2019, 20:56 | |
| Potter a beau avoir la tête dans les étoiles, il n’empêche que le métier de sa colocataire l’a toujours fasciné. Une détective privée, ça claque comme métier, il ne faut pas s’en cacher. Enfin, presque pas. Parce qu’il y a une part de mystère, parce que Remi possède des secrets d’autrui derrière ses yeux qui passent leur temps à se lever au ciel et à rouler d’un air exaspéré. Mais Lizzie est curieuse, elle veut savoir et c’est cruel que sa colocataire retienne tout because she ‘‘can’t say’’. Everything is just bullshit and she knows it. They both do. Ce n’est pas comme si Lizzie est du genre à aller colporter la moindre rumeur, la moindre information compromettante. Surtout sur des personnes qu’elle ne connait même pas et qu’elle ne verra sûrement jamais. Et puis merde, quoi, Remi pourrait s’asseoir sur le secret médical version détective privé – elle ne connait pas le terme, elle ne sait pas s’il y a en un and she doesn’t care anyway. De toute façon, Lizzie sait qu’essayer les vers du nez de Remi est (presque) une cause perdue. Presque parce que cette dernière finit quand même par lui balancer quelques morceaux, peut-être de quoi la rassasier.
« Ok ok. He was, an ass. No, not like me, worse. » « No way. No one can be worse than you, you definitely make sure of that. » « He didn’t not want anything from me and he was dismissive. » « Rude. » « And i was like, you know, a real… I don’t really know, but I was not, me. » « What do you mean, you weren’t you ? If it’s someone who succeed to rattle you, I want to meet that guy. » « Did not like it you know. » « I think you made your point clear. » « But, ok, he was so sexy, damn. » « No picture for me ? I can’t judge if I don’t see. » « That’s it, you see, nothing juicy. » « That’s really no fun. »
« I thought your job was a bit more like in movies, you know ? You don’t jump any building, you don’t break faces, you don’t find a kid in the middle of the ocean? Because that would be impressive. » Clairement, Lizzie s’est peut-être un peu trop laissée emporter dans ce qu’elle a pu voir – ou même dans sa propre imagination qui reste sans faille. Elle mâche son morceau de pizza en reprenant la tablette pour sélectionner un film. Il y aura sûrement des traces de gras dessus… Sorry ? « Ok ok. There some guy he search for his daughter, but she’s not lost, juste lesbian and loves to play with many partners, when you announce that to a father, it’s gold. Ask way, i’ll tell you, if you keep me happy. » Lizzie arque un sourcil tout en relevant les yeux vers son amie. « No shit. Why he thought she was lost ? She didn’t want him to know ? » Parce que ça ne la surprendrait même pas. « How the father reacted ? Oh god, must be weird to have a stranger you pay telling you all of these. » Potter repense à sa propre mère et sa propre bisexualité qu’elle a fini par assumer entièrement. La jeune femme étend ses jambes, les passant sur les cuisses de Remi, tout en regardant la tablette. « What kind you want ? Action, adventure, romantic ? You know me, if you let me choose, it will be either Harry Potter or Mean Girls. » Parce que l’un est culte et l’autre est sa bible, il n’y a pas à chercher plus loin.
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| | | | (#)Mar 22 Oct 2019, 02:40 | |
| J’ai intrigué LIzzie, je le sens, je le vois et j’en aurais bien ri, mais il faut lus de subtilité pour la retrouver sous mes doigts, ma langue… Jouer, j’aimais ça, c’était même la chose qui me motivait le plus quand j’étais avec quelqu’un. Certains m’aurait traité de traînée, parce que la sensualité d’un homme, d’une femme me rendait toujours affamée. On me donnait tant de noms, pour justifier la jalousie. Ils étaient tous enfermés dans des gangues indestructibles créés par la société et que ces chers moutons n’essayaient pas de briser. Je refusais de me laisser brider. Qu’y avait il de mal à cueillir tout ce qu’on pouvait vous offrir sans condition ? Tant que les deux personnes savaient où ils allaient, pourquoi se retenir ? Pour quelle raison tant de gens se déchiraient ? Parce qu’ils ne laissaient pas leur corps s’épanouir sous les doigts experts de tant d’autres prêts à tout donner. Mon sourire était là, tapi, dans l'ombre, prête à montrer ce que ressentaient chaque fois que mes yeux se posaient sur elle. on aurait pu me parler de beauté, de volupté ou de tas d'autres mots, pourtant, ce n’était pas juste ce qui pouvait faire réagir ma peau ou mon corp entier à la vue de quelqu’un, c’était ce qu’ils dégageaient, l’aura qui les entouraient. Aussi beaux soient il, une âme brillait bien plus qu’un sourire. Elisabeth exsudait tellement, sans même s’en rendre compte. Frit défendu, trésor inaccessible, elle n’avait jamais pu être désirable que ça. Un jour, une personne s'accaparerait ma colocataire et je devais m’assurer d’avoir suffisamment profité de ce qu’elle donnait sans en avoir conscience. Je savais pas encore si je la surveillerais ou juste la haïrais ou les deux. Mais cette personne devrait assurer ses arrières si elle voulait vivre longtemps. Elle essayait d’en savoir plus, me cuisinais sans aucun scrupules et ça m’amusait beaucoup.
No way. No one can be worse than you, you definitely make sure of that. -Thanks a lot for that. Ok you’re probably right. Rude. - Right ? What do you mean, you weren’t you ? If it’s someone who succeed to rattle you, I want to meet that guy. - Not mean enough i guess. Too soft. Ew. No picture for me ? I can’t judge if I don’t see - i’m pretty sure selfie was not he wanted to do with me girl… That’s really no fun. - My life is not you know. Ok, joking. Of course it is but not everytime.
Un ptit sourire me prends, je revois le ptit cul d’Elyo, damn he was so hot. Je fais même une petite moue. What a waste ! J’étais pliée, on aurait dit une gamine déçue par le cadeau de noël qu’on venait de lui offrir. Elle voulait plus, du sexy, du waoh, et j’avais pas en stock, bon, après, je risquais d’en avoir à nouveau, peut être, après tout, ma vie sexuelle était suffisamment fournie pour avoir quelques trucs à raconter, mais bon, le cul c’était d’un ennui parfois, il fallait garder des moments pour les trucs vraiment, humm, damn sexy. Voilà qu’elle me confiais ‘être attendue à quelque chose de plus glamour. la vie n’était pas un film pour adolescente prépubère, c‘était moche, cruel, plutôt sale les trois quart du temps, du moins, mon quotidien. Elle citait des situations qui me laissèrent échapper un rire franc. - Oh my. I’m no superhero girl ! I do jum sometimes, i do fights too, but no, n kid in the ocean. You’re not in reality girl. But i promise, if i do something like that i‘ll tell you. -On passait vite à une anecdote d’un de mes clients. En parler me fit penser à Vlake de nouveau. Pas au gars en particulier mais sa situation et dans quoi il était jusqu'au cou pour une affaire si vieille. Enfin, il y avait pire dans le genre affaire qui dataient. Et voilà qu’elle réagissait avec son ptit côté innocent que les gens gardaient parfois avant de voir des horreurs daily. Je sentis mon entrejambe réagir à sa façon de s tenir, de parler en demandant toujours plus. Ya des jours où on rêve d'être une pizza, pas vous ? Ele se mit à balancer les questions à la suite. - Ok ok. He was devastated. He did not believe me, i was forced to show him. Yes i had pictures. And yes it is, but also so freaking funny for me sometimes. Really more fun than tell somebody that your girl is dead. - Et tu voyais la tête de Blake quand tu lui avais dit pour sa fille et tu avais pu sentir son coeur se briser. C’était le côté le moins drôle, le moins glamour du boulot que je faisais, annoncer les horreurs qu’on avait découvert, quelles qu’elles soient. Se prendre de plein fouet le déni, la colère et le désespoir aussi des personnes à qui on l'annonçait. Elle passait ses jambes sur mes cuisses, le contact m’électrisait, je souris, elle me proposait des films et comme toujours elle proposait deux films qu’elle aimait, et pour l’emmerder, je changeais les habitudes et puis, j’étais plus d’humeur pour l’un que l’autre. même si j’étais prête à enfiler un costume de serpentard si c'était son trip, avec rien en dessous. Le chapeau suffisait ? - Mean girls. I’m feeling mean tonight. - Le mot que j’aurais du dire c’était naughty, mais elle savait déjà, j’étais pas vraiment subtile à présent. Ma main vint caresser de nouveau sa peau laiteuse et douce. Heureusement qu’elle s’était rasée, a aurait cassé le délire par contre. j’avais hâte de le faire directement sur sa peau et pas à travers ce qu’elle portait cela dit. J’avais plus très faim de pizza. But really hungry.
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| | | | (#)Dim 27 Oct 2019, 11:01 | |
| « Not mean enough i guess. Too soft. Ew. » Evidemment que Remi ne va pas apprécier la douceur. Elle n’est pas de ce genre-là, elle est plus griffe que coussinet. Lizzie se demande d’ailleurs parfois comment et surtout pourquoi elle réussit à la supporter chez elle. Lizzie et son calme (apparent), ses sourires adorables, un peu mère poule sur les bords quand elle s’y met. Une petite boule de douceur face à la tempête que peut-être Remi, c’est clairement un miracle que la brune n’en est pas déjà eue marre. C’est la première fois en trois ans qu’elle habite ici qu’elle reste plusieurs mois d’affilés et ça ne se passe pas trop mal, au final. Chacune vaque à ses occupations, se retrouvant de temps en temps pour un repas, un film, autre chose. Aucune attache, une colocation comme on les apprécie, sans prise de tête mais avec une certaine complicité. « I’m pretty sure selfie was not he wanted to do with me girl… » La girl en question a un sourire amusé qui s’affiche sur les lèvres. « You betcha. »
« Oh my. I’m no superhero girl ! I do jump sometimes, i do fights too, but no, n kid in the ocean. You’re not in reality girl. But i promise, if i do something like that i‘ll tell you. » Lizzie proteste et Lizzie lui pince le bras. « I’m very much in the reality, thank you very much! » Parce que si elle était dans une autre réalité, sa vie ne ressemblerait pas à ça. Sa vie serait meilleure, elle serait plus heureuse, elle serait épanouie et elle aurait déjà décroché son premier Oscar à l’aube de ses trente ans. Mais non, la véritable réalité est celle où elle se trouve en colocation, où elle commence à avoir des difficultés financières et qu’elle doit supporter sa mère, encore plus hargneuse que d’habitude avec le traitement pour son cancer. « Ok ok. He was devastated. He did not believe me, i was forced to show him. Yes i had pictures. And yes it is, but also so freaking funny for me sometimes. Really more fun than tell somebody that your girl is dead. » Okay, la dernière partie, Remi aurait pu s’en passer. Parce que ça provoque une tristesse chez Lizzie, trop empathique pour ce genre de réflexions. « Yeah, I can imagine. Your job can suck sometimes I’m sure. » Elle n’aimerait pas être celle qui apporte ce genre de nouvelles à des proches en tout cas.
« Mean girls. I’m feeling mean tonight. » Elizabeth secoue la tête en riant tout en cherchant et trouvant le film. Elle laisse Remi lui caresser allègrement les jambes, qu’elles étaient lourdes ses jambes à être restée debout toute la journée, alors qu’elle pose la tablette sur la table basse. « Sure, mean. » Elle sourit encore plus avant de se pencher, caresser le visage de Remi et l’embrasser légèrement sur les lèvres. « We can be naughty after if you promise to let me watch the whole movie, deal? » Parce que Remi n’attend sûrement que ça, à vrai dire, et que Lizzie n’est qu’une femme avec des yeux dont sa colocataire éblouit en se baladant en sous-vêtements devant elle. Juste un film et la promesse d’une jolie nuit à deux.
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| | | | | | | | LIZZIE&REMI - you're too much here now |
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