ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
Après la soirée mouvementée, je sens encore les effets de la pilule d’ecstasy que j'ai ingérée une poignée d’heures auparavant. De façon plus diffuse, plus contrôlable, et en me concentrant j'arrive à redevenir maître de mes paroles et de mes actes, mais ils sont toujours là, embrumant mes pensées, me faisant tressaillir au moindre contact physique, déliant ma langue et me tirant par moment des sourires injustifiés. Mais la fatigue elle commence à s’installer, les effets excitants de la drogue commençant à se dissiper. Où suis-je, pourquoi suis-je dans cet état ? Difficile à dire. Mon altercation avec Alec qui a eu lieu il y a maintenant deux jours m'a remuée, plus que je ne voulais l’admettre, et le fait de ne pas avoir de nouvelles depuis non plus. Je l’avais imaginé rampant à mes pieds pour s’excuser dès le lendemain, mais je n'ai eu le droit qu’à son silence. Alec qui s’est opposé à moi lorsque Lou nous avait fait l’honneur d’une visite, Alec qui m’a presque mise à la porte, sans ménagement, m’attrapant par le bras et le parsemant de bleus en le serrant trop fort, sous le coup de la colère, et parce que je ne m’étais pas laissée faire non plus. Alec qui, s’il n’a pas réellement pris parti pour la demoiselle m’a en tout cas empêchée de lui nuire, empêchée de lui rendre la monnaie de sa pièce et de lui faire du mal, parce que c’était ce qu’elle mérite au final à mes yeux. Après ça j’ai bouillonné toute la soirée, agacée, irritée et profondément blessée par celui que je considère comme mon meilleur et seul ami, j’ai tourné en rond dans mon appartement pendant des heures, sans me l’avouer secouée par ce qu’il venait de se passer, secouée parce que c’était certainement la première fois qu’il s’emportait ainsi contre moi. Je l’avais déjà vu sortir de ses gonds, et je savais que dans ces cas il avait du mal à se contrôler, mais avant-hier jamais il ne s’en était pris à moi, que cela soit physiquement et encore moins verbalement. Et finalement j’ai ouvert une bouteille, pour m’endormir plus facilement, et parce que c’est la meilleure façon de gérer mes sentiments et pulsions que je connaisse.
Le lendemain quand mes yeux s’étaient posés sur mon bras violacé j’avais senti la colère au fond de mon ventre et ressenti ce besoin familier mais auquel je n’avais pas fait face depuis des mois, voire des années, de m’évader, d’oublier jusqu’à mon prénom, de consommer plus que de raison et de rentrer chez moi au petit matin avec un homme dont j’aurais oublié le prénom au réveil. Alors je suis sortie, j'ai bu, j'ai avalé des pilules d’ecstasy comme s’il s’agissait de bonbons, je suis montée dans un taxi pour suivre une bande d’inconnus dans une seconde boite de nuit, à l’autre bout de la ville, et à présent que le jour s'apprête à chasser la nuit je me retrouve, assise sur un trottoir à contempler mon incapacité à rentrer chez moi par mes propres moyens.
J’ai entamé ma descente, je le sens, je la sens cette léthargie, cette douce tristesse sans origine qui me prend à la gorge. C’est sans trop comprendre pourquoi que je laisse mes doigts glisser sur mon téléphone, parcourir mes contacts. En temps normal c’est Alec que j’aurais appelé, parce qu’il est a seule personne en qui j’ai réellement confiance, mais aujourd’hui je n’adresse pas un regard à son nom dans mon téléphone, et tente de joindre Mitchell. Je laisse échapper un juron en tombant sur son répondeur, avant de réfléchir, réalisant que mon cercle restreint se limite aux deux hommes, et un peu inconsciemment et par hasard mes doigts glissent jusqu’au nom de Blake. Je décide de tenter le coup, galvanisée par mon état global d’ébriété, et à la troisième sonnerie une voix grave décroche d’un simple "Allo ? ". Un peu surprise, je reste d’abord muette, jusqu’à ce que la voix ne se fasse entendre à nouveau. « Raelyn ? » Finalement je reviens à moi-même, et dans un état un peu second je réponds, jetant un œil autour de moi. « Ouais Blake, je sais que c’est le milieu de la nuit, je… Je t’expliquerai, mais tu peux venir me chercher ? Je t’envoie ma localisation. » Sans cérémonial il fini par accepter, et je raccroche avant d’activer le partage de localisation de mon téléphone et de le lui envoyer, fermant finalement mes yeux et laissant basculer ma tête en arrière sur le mur contre lequel je suis appuyée.
Je commence presque à m’endormir, lorsque le kalxon me tire de ma stupeur. Je me redresse, avant d’ouvrir la portière et de me glisser dans la voiture, dévisageant Blake au passage. Difficile de dire si je le réveille ou pas, et quelle est son humeur. C’est un type pas bavard, charismatique et bien bâti, le genre d’homme qui m’attire diablement. Depuis plusieurs mois qu’il bosse pour le Club, je ne peux retenir des œillades appuyées en sa direction, ni empêcher mon esprit de vagabonder dans de bien dangereuses directions lorsque nos regards se croisent. J’ai envie d’en faire mon quatre heures, cela crève les yeux, et il n’a pas fallu longtemps pour que j’entame un rentre dedans éhonté, déployant les armes de séduction massive. Mais il me résiste, depuis des semaines, des mois et ce n'est clairement pas quelque chose dont j’ai l’habitude. Je sais lorsque je plais à un homme, ce genre de chose trompe rarement, et je sais que je lui plais, le baiser que nous avons échangé me l’aurait confirmé si j'avais encore eu des doutes, et pourtant il met un point d’honneur à repousser mes avances, me rendant folle de rage. Mon instinct me hurle qu’il joue avec moi, et surtout avec mes nerfs, mais ce soir et vu l’état dans lequel je me trouve, mon instinct ne hurle plus grand-chose. Et quand bien même, j’aime trop ce jeu pour l’écouter, et le réduis rapidement au silence.
Alors que des mèches rebelles s’échappent de mes cheveux portés lâchés, alors que mes yeux doivent hurler leur fatigue, je ne rougis pourtant pas une seconde en croisant son regard. Je sais qu’en posant les yeux sur moi, il comprendra quel genre de soirée je viens de passer. J’ai enfilé une tenue de soirée en sortant de chez moi, un pantalon moulant en cuir noir et un débardeur en dentelle en en transparence assorti, et les vapeurs d’alcool qui émanent de moi ne peuvent le tromper. Claquant la portière, je ne prends pas la peine d’attacher ma ceinture, avant de lui donner mon adresse. « J’habite au croisement d’Adelaïde Street et Clark Lane, c’est à Spring Hill. » Blake n’a effectivement jamais mis les pieds chez moi, même si l’envie n’a jamais manquée de mon côté. « Aucune remarque s’il te plait. Je viens de passer une soirée assez pénible comme ça. » Finalement, j’ajoute quelques mots, ne me démordant pas de l’attitude enjôleuse que j’adopte souvent avec lui. « Merci d’être venu. Qu’est-ce que tu foutais débout à une heure pareille ? Tu sais si tu voulais à ce point voir mon appart’, suffisait de me demander. » J’ai du culot, de te taquiner ainsi alors qu’il est possible que je l’ai réveillé. Ou pas d’ailleurs. Je laisse un instant mes pensées dériver, me demander comment il a pu occuper sa soirée et la première partie de sa nuit, avant d’être dérangé par mon appel. Certainement rien d’aussi folklorique que moi, cela dit.
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
U
ne nouvelle nuit démarrait, un autre soir dans cette ville que je connaissais à peine, une ville remplie d'inconnus en tout genre et pas toujours les plus aimables. Je n'avais pas vraiment de bonnes fréquentations, après tout il ne m'a fallu que quelques mois pour intégrer l'une des plus importantes organisation criminelle de Brisbane, tout cela pour vous expliquer que mes conversations échangées ne parlaient pas forcément de la pluie et du beau temps. Je posai mon regard à travers la fenêtre de mon salon, observant la foule s'accumuler à cause de l'heure tardive, oui je ne vivais pas dans le quartier le plus calme de Brisbane pour tout avouer je n'avais pas forcément les moyens de vivre ailleurs venant à peine de me faire un petit nom dans le milieu. Mon appartement se situait dans le quartier de Fortitude Valley, c'était l'endroit que toute la population envahissait après vingt heures, car c'était ici que se trouvait la plus grosse majorité des bars et boîtes de nuit, un lieu parfois de débauche et pourtant si calme arrivé le matin. Finissant par m'éloigner de la vitre, j'attrapai ma bouteille de scotch avant de m'affaler sur le canapé, la télévision allumée même si elle ne servait que de simples bruits de fond. Remplissant mon verre de ce breuvage que j'adorais par-dessus tout, je finis par m'allumer une cigarette, observant la fumée qui s'écrasait progressivement sur le plafond de mon salon.
Posant mon portefeuille sur la table basse, je sortis les quelques photos de ma fille qui me restaient, attrapant une nouvelle bouffée de cette machine à cancer je ne pus m'empêcher de fixer son regard, son sourire... Je revivais pour la centième fois sa naissance, la première fois que je l'avais porté aux creux de mes bras, le premier sourire qu'elle m'avait affiché.. Je ne pus m'empêcher de sourire nerveusement, retraçant sans cesse ces périodes du passé qui me hantaient depuis sa mort. " Qui je suis ?... " Ces quelques mots sonnaient comme un simple appel à l'aide, je ne me reconnaissais plus, plus depuis son départ et surtout mon arrivée à Brisbane... Ce soldat reconnu que j'étais, avait bel et bien disparu en même temps qu'elle, je me retrouvais comme un simple prisonnier de mes propres tourments sans pouvoir y faire quoi que ce soit. Je ne pouvais plus me regarder dans un miroir, j'étais devenu quelqu'un d'autre, un homme rempli de haine, de colère et de tristesse... Combien de fois m'était-il pas arrivé de pointer mon propre flingue sur la tempe et pourtant, je n'ai jamais pu m'y résoudre, pas tout de suite... Enchaînant les verres de whisky, je finis par m'écrouler sur le canapé comme presque toutes les nuits hormis lorsqu'on me filait une mission à remplir. J'étais en charge de la bonne réputation du Club, tabasser les mauvais payeurs ? Faire passer des messages ? C'était devenu mon gagne pain et pour tout avouer ça rapportait plutôt bien.
Plongé dans mes cauchemars les plus profonds, un vibrement me sortit de ces pensées... " P*tain mais c'est qui à cette heure là ?! " Une légère gueule de bois, je mis quelques secondes avant de retrouver l'appareil et décrocher... " Raelyn ? " Qu'est-ce qu'elle me voulait ? Moi qui avait tout fait pour l'éviter depuis ce soir là, cette soirée où mon être céda à la tentation pour la première fois.. Ce n'était qu'un simple baiser échangé et pourtant ce geste avait tellement de signification, cette scène me hantait depuis, sentir ses lèvres sur les miennes, la chaleur de son corps si proche du mien... Elle savait parfaitement que je me trouvais dans ses filets, elle était au courant de ce magnétisme aussi présent entre nous même si pour ma part je faisais tout pour le renier. « Ouais Blake, je sais que c'est le milieu de la nuit, je… Je t'expliquerai, mais tu peux venir me chercher ? Je t'envoie ma localisation. ». J'eus à peine le temps d'approuver que la ligne se coupa... Recevant sans attendre sa localisation, celle-ci ne se trouvait pas très loin, soupirant légèrement je me levai avec une certaine difficulté avant d'enfiler ma veste en cuir et prendre mes clés de voiture. Non ce n'était pas vraiment l'heure pour me préparer convenablement, plaçant d'un simple geste mes cheveux en arrière je passai directement la porte d'entrée avant de monter à bord. Parcourant le quartier, je vis sa silhouette plantée au beau milieu d'un trottoir, sa tête retenue par le mur d'un immeuble... Lui faisant signe de ma présence par un simple klaxon, la jolie blonde se rapprochait petit à petit, je compris rapidement dans sa démarche, qu'elle avait passée une soirée difficile et l'odeur d'alcool lorsqu'elle pénétra à l'intérieur de ma caisse n'avait que confirmées mes pensées.
Je ne pus me résoudre à ses premières paroles, posant simplement mon regard dans le sien, comprenant que celui-ci était aussi lourd que sa tête à cet instant. « Merci d'être venu. Qu'est-ce que tu foutais débout à une heure pareille ? Tu sais si tu voulais à ce point voir mon appart', suffisait de me demander. » Un sourire nerveux, c'était l'un de mes rares tics, je continuais ma route en direction de son appartement. Un bref silence s'installa entre nous, comme si j'étais en train de combattre mes propres pensées les plus mauvaises.. " Je n'ai pas le sommeil lourd... Au moins si cela peut t'en faire profiter ! " Ne lâchant pas la route un seul instant, concentré sur ma conduite, car oui je n'étais pas non plus au meilleur de ma forme.. " C'est plutôt toi qui m'y ramène de force... Comme si j'avais eu le choix après tout " Et merde c'était vraiment plus fort que moi, il fallait automatiquement que je rentre dans son jeu et ce n'était pas que pour protéger ma couverture loin de là. Les minutes passèrent avant que l'on arrive au pied de son immeuble plutôt classe par rapport au mien, il n'y avait pas photo. Coupant le contact je me tournai vers elle.. " Tu vas me dire pourquoi t'es dans cet état ? Je prendrais ta réponse pour paiement du trajet. " Je sortis de la voiture et me dirigeai automatique vers sa porte pour lui ouvrir.. " Ne prends pas ça pour un acte de romantisme, mais disons que je m'en voudrais qu'il t'arrive un truc avant de passer le seuil de ta porte " Sourire aux lèvres j'attendais patiemment qu'elle sorte histoire que je puisse la raccompagner jusqu'à chez elle.
WILDBIRD
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
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Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
A sa façon d’être toujours si imprévisible, de souffler le chaud plus d’être en ère glaciaire, Blake réussit le tour de force de – pas me déstabiliser – mais à me faire perdre de ma superbe pendant de courts instants. Chez les hommes que je fréquente habituellement, tout est facile. Il est facile de lire dans leurs yeux l’effet que je leur fais lorsqu’ils posent leurs regards sur moi, facile de savoir ce qu’ils ont derrière la tête, quelles sont leurs motivations, et surtout aisé d’arriver à mes fins. Blake est plus énigmatique. J’aime jouer, j’aime cette sensation finalement assez nouvelle de devoir déployer des efforts pour arriver à mes fins, de peiner et devoir m’acharner, cela serait mentir que de dire le contraire, sans quoi j’aurais simplement abandonné la chasse pour me complaire dans la facilité, mais par moment, il arrive à me faire bouillonner intérieurement. Parfois il est sec, cassant et j’ai la sensation qu’il met un point d’honneur à me repousser, à me laisser penser qu’il veut que je lui foute la paix et que je ne l’intéresse pas et parfois il semble de meilleure humeur, prêt à entrer dans mon jeu.
Comment interpréter alors cette volonté de passer du temps avec moi ? Parce que je n’étais pas dupe, et s’il voulait me stopper net dans mes ardeurs, il pourrait pu le faire de façon bien plus efficace, mais j’ai l’intime conviction qu’il trouve souvent une façon de continuer à graviter autour de moi, répondant présent lorsque je lui propose un verre pour le détendre, me regardant souvent comme s’il cherchait à me déchiffrer. Et que dire de ce baiser ? De cette fois où nous avons tous les deux bu beaucoup trop d’alcool pour que l’on nous qualifie de raisonnables, et où alors que j’allais partir, lassée une fois de plus par ce jeu sans retour et bien décidée à trouver un moyen de continuer ma soirée en bonne compagnie - puisqu’il me refuse la sienne – il m’a retenue, a passé ses mains autour de mon visage comme pour m’empêcher de me dérober, pour initier un baiser tout sauf chaste et innocent, et dont je ne suis clairement pas restée spectatrice. Tout est allé si vite, et avant que je n’ai le temps de reprendre mon souffle pour lui offrir un trait d’esprit dont je suis spécialiste, il s’est éloigné et a quitté le bar, me laissant idiote et pantoise. Depuis il m’évite, j’en suis consciente. Lorsque nos routes se croisent in détourne la tête, et lorsque je m’adresse à lui pour le piquer, il m’échappe. Mon gabarit m’empêche d’être celle qui lui rendra la pareille, d’à mon tour l’empêcher de m’échapper pour le plaquer contre un mur et balader mes mains sur son corps, mais l’envie n’en manque pas, sa façon de jouer à ce jeu dont je suis l’instigatrice réveillant en moi toute sorte de pulsions. Et que fait-il là ce soir, si ma compagnie lui est si désagréable. « Je te déteste. », voilà les mots qu’il m’a glissé avant de venir s’emparer de mes lèvres. Et sur le moment j’ai souri, j’ai pris ça pour un trait d’esprit, pour de l’ironie, avant qu’il ne se lève et me laisse en plan et en proie au doute. « Je n'ai pas le sommeil lourd... Au moins si cela peut t'en faire profiter ! » Je l’ai réveillé donc. Une part de moi préfère ça à l’idée d’avoir interrompue une étreinte brûlante avec une autre jeune femme. Est-il marié, cache-t-il une amante ? Alors pourquoi agit de la sorte avec moi ? Parce qu’il n’agit pas comme quelqu’un chez qui je ne réveille rien, aucune attirance et aucun intérêt. Un silence s’installe alors que la voiture démarre et comment à rouler, et finalement je reconnais rapidement les immeubles du quartier de Spring Hill, mon quartier. Le silence ne me gêne pas, mais je me surprends à me demander ce qu’il trahit. Un trouble ? De l’agacement parce que je l’ai dérangé au milieu de sa nuit ? « C'est plutôt toi qui m'y ramène de force... Comme si j'avais eu le choix après tout. » Je lève un sourcil, avant de tourner la tête vers lui. « Je t’ai demandé de venir me chercher, je t’ai pas encore invité à monter… » Mais je le ferai, il me connait assez bien pour le savoir. Quelques secondes, quelques minutes supplémentaires s’écoulent avant que la voiture ne se gare auprès de mon immeuble, et qu’il tourne son corps vers le mien ? « Tu vas me dire pourquoi t'es dans cet état ? Je prendrai ta réponse pour paiement du trajet. » Je laisse échapper un sourire fin, avant de hausser les épaules. « Quel état ? » Il me connait assez pour savoir que si je n’y suis pas allée de main morte ce soir je reste une habituée des excès, et ce n’est pas la première fois qu’il me voit alcoolisée et sous l’effet de stupéfiants. Quant aux bleus sur mon bras gauche, pour l’instant mon blazer les dissimule encore. « Et pourquoi ça t’intéresse ? » Je le provoque sciemment, parce qu’au fond et faisant fi de ma fierté, je suis vexée d’avoir été ignorée ces dernières semaines, même si je garde cet air détaché, ne le laissant pas paraître. « Je t’offre un verre, et je commande même à manger si tu veux, ça me paraît bien suffisant comme moyen de paiement. » J’ai tout un tas d’autres idées quant à la façon dont je pourrais le remercier, mais je ne suis pas sure qu’il soit à l’aise à l’idée que je les énonce à voix haute. Il sort de la voiture et fait le tour, m’ouvrant la porte comme s’il était mon voiturier. « Ne prends pas ça pour un acte de romantisme, mais disons que je m'en voudrais qu'il t'arrive un truc avant de passer le seuil de ta porte. » Je me redresse, attrape mon sac à main et lisse mon pantalon en cuir d’une main avant de quitter l’habitacle à mon tour. « Je suis pas une demoiselle en détresse, et tu ferais un très mauvais chevalier servant si tu veux mon avis. » Sans attendre sa réponse je tire mes clés de mon sac et passe le badge devant la serrure du luxueux immeuble, avant d’appuyer sur le bouton d’appel de l’ascenseur et de me retourner vers lui. « Je suis en sécurité maintenant non ? Si tu veux me fausser compagnie c’est le moment. » Mais je préfèrerais que tu ne le fasses pas, de tout évidence…
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
U
ous dire que j'étais le même homme en la présence de Raelyn à mes côtés serait un mensonge, je n'ai jamais été habitué à cacher mes désirs et envies... Ce genre de sentiment, je ne l'avais plus ressentis pendant plusieurs années, ce frisson, cette chaleur qui parcourait le long de mon corps dès qu'elle rapprochait un peu trop son visage du mien, c'était juste quelque chose d'inexplicable. Mon expérience sur le terrain avait fait de moi un homme capable de contrôler n'importe laquelle de ses émotions, doté d'un sang froid à toute épreuve, il n'y avait que cette petite partie qui m'aidait à contenir cette envie ardente de reproduire ce qu'il s'était passé la nuit dernière. Lorsqu'on regardait Raelyn dans un premier temps, n'importe quel homme pouvait penser qu'elle restait une jeune femme fragile, faible, pesant tout juste une cinquantaine de kilos... Son gabarit était à la fois sa plus grande faiblesse tout comme sa plus grande force, car personne ne pouvait penser qu'à l'intérieur pouvait s'y trouver une véritable lionne en cage. Avec le temps j'ai appris à la connaître, tentant au fil des jours de l'apprivoiser, son charme ? Ses yeux, cet air si confiant qu'elle pouvait aborder face à n'importe qui, comme si elle restait intouchable, que c'était à elle de décider si elle voulait te parler ou non. Raelyn pouvait avoir n'importe qui dans sa poche, mais je connaissais ce manège, elle savait que si elle continuait ce petit jeu avec moi elle finirait un jour ou l'autre par m'avoir, comme si elle jouait une véritable partie d'échec, avançant ses pions afin d'arriver à l'échec et mat...
Malgré les vapeurs d'alcool, son parfum prédominait l'habitacle de la voiture durant le trajet, ce parfum que seul elle portait, un parfum que je ne trouvais chez aucune autre femme... Sans parler de sa façon de s'habiller, toujours à la fois classe et provocante, avec elle on ne savait jamais sur quel pied danser, elle était capable de te faire espérer tant de chose pour au final te donner qu'un simple clin d'oeil en récompense. Je passais beaucoup de temps à l'observer, sa façon d'agir, sa relation avec d'autres membres du Club, je passais au crible beaucoup de choses car je voulais que rien ne puisse m'échapper. « Quel état ? », je levai un sourcil et me mit à rire légèrement... " Tu es mieux placée que moi pour y répondre Raelyn.. " Car oui elle savait parfaitement dans quel état elle se trouvait et que ce n'était pas la première fois qu'elle faisait le coup, même si auparavant je n'avais pas à la ramener chez elle, d'autres s'en chargeaient à ma place. « Et pourquoi ça t'intéresse ? » J'avais déjà stoppé ma voiture... D'un côté elle n'avait pas tort, pourquoi est-ce que son état m'intéressait ? J'en savais rien, enfin si peut-être, mais je n'avais pas envie de me l'avouer, ce sentiment était beaucoup trop sombre pour que je puisse m'y aventurer maintenant.. Me détournant de mes propres envies, je n'avais pas d'autres choix que de me mentir une nouvelle fois " Car j'aimerais bien connaître les raisons qui m'ont poussé à sacrifier une nuit de sommeil, même si je pense être la dernière option de ton répertoire... Je passe l'éponge pour cette fois " Je lui fis un clin d'oeil avant de l'aider à sortir. Sa proposition me convenait parfaitement, d'ailleurs je n'avais pas dîné, c'était mon problème lorsque je ruminais avec une bonne bouteille de scotch. « Je suis pas une demoiselle en détresse, et tu ferais un très mauvais chevalier servant si tu veux mon avis. » Je souris... Cette phrase ressentie comme un certain pique me ferait presque rire.. Elle adorait ça et pour tout avouer moi aussi, car ce n'était pas qu'un simple pique ordinaire, ce genre de phrase qui pouvait pousser n'importe qui à vouloir rentrer dans un certain jeu dont on connaissait à peine les règles. " Et bien pour ce soir, je suis le seul chevalier disponible princesse..." Et merde, j'avais envie de me foutre une baffe... C'était plus fort que moi, après tout je n'étais pas un acteur, cacher ce désir n'était pas si facile que ça malheureusement. Je l'accompagnai jusqu'à l'ascenseur, restant derrière elle, fixant même certaines parties de son corps que je ne devrais pas.. Lorsqu'elle se retourna, je tournai instinctivement la tête, plutôt crever qu'elle sache que je matais autre chose que ses chaussures..
« Je suis en sécurité maintenant non ? Si tu veux me fausser compagnie c'est le moment. » M'adossant sur le mur qui rejoignait l'ascenseur, me retrouvant donc à moins d'un mètre d'elle, je continuai de la regarder... Se silence fut le plus long de ma vie.. Ce choix n'était pas anodin, elle tout comme moi le savait malheureusement. J'essayais de garder le maximum de sang froid, il le fallait je n'avais pas vraiment le choix. Est-ce la tête ou l'envie qui allait parler... Deux mille questions traversaient mon crâne, mais je ne pouvais me résoudre à la laisser rentrer seule. " Et bien si t'as un bon whisky... Et puis je n'ai pas envie d'être considéré comme le pire chevalier servant de tout Brisbane " La porte de l'ascenseur finit par s'ouvrir. Je tendis mon bras afin de la laisser pénétrer à l'intérieur, suivant de près ses pas pour ensuite me poser contre l'une des parois... La montée avait l'air interminable, un silence qui pourrait faire retourner n'importe quel zombie dans sa tombe.. Le confinement était presque irrespirable, je ne sentais que son parfum, son corps qui n'était qu'à quelques centimètres du mien... Des images me montrant en train de la plaquer contre un coin parcoururent mon esprit, me montrant une nouvelle fois mes lèvres collées aux siennes, me débarrasser de sa veste. Je retrouvai toute ma tête lorsqu'un petit *Ding* se fit entendre. " Après toi.."
WILDBIRD
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
Je sais lire les gens. J’ai appris avec le temps, avec une bonne observation des individus qui m’entourent à savoir interpréter un sourire un peu trop crispé, un coin d’œil qui se plisse, un poing qui se resserre de façon quasi imperceptible, une gestuelle qui contredit les mots que l’on exprime ou au contraire un signe évident de joie. J’aime observer et j’ai toujours aimé ça, en public et lors de réunions du Club j’ai toujours été celle qui restait en retrait, celle qui observe, jauge et sait choisir quand il faut prendre la parole. Celle qui reste calme même quand son estomac bouillonne, et celle qui surprend par sa froideur lorsqu’elle est interrogée où se décide enfin à exprimer son opinion, parce qu’en posant les yeux sur mon visage la réaction la plus naturelle que l’on puisse avoir serait de me donner le bon dieu sans confession. Pourtant l’erreur peut couter cher, tant je sais me montrer prompte à m’engouffrer dans la moindre faille que je détecte, sans laisser à ma victime la moindre chance d’éviter le coup à la gorge. Mais Blake me perturbe, parce qu’avec lui mon instinct est brouillé. Parce qu’il devrait y avoir un panneau danger qui clignote au-dessus de sa tête, je le sais au fond, il s’entoure de beaucoup trop de mystère pour quelqu’un qui n’a rien à cacher, mais le panneau tombe en panne dès qu’il pose son regard sur moi, ou alors c’est peut-être l’effet qu’il me fait, qui crée de la fumée pour m’empêcher de le distinguer. Alors je ne me méfie pas, je saute à pieds joints dans le piège et attrape chaque opportunité qu’il me tend de passer du temps avec lui, comme une jeune femme naïve que pourtant je ne suis pas, et il est bien le premier à être capable de s’amuser avec mes nerfs de la sorte. Pas autant parce qu’il est le premier à m’obliger à sortir les rames que parce qu’il est le premier pour lequel je suis prête à le faire. Alors je rame, à ma façon bien sûr, je ne suis pas de celle qui minaudent et écrasent leur amour propre pour séduire un homme, mais c’est bel et bien moi qui le poursuis et pas l’inverse. Mais s’il y a un signe que je sais mieux interpréter que tous les autres, c’est bel et bien le désir, l’envie d’un contact charnel, l’envie de poser ses mains sur ma peau, et ça je le lis chez lui, malgré ma difficulté à interpréter ses pensées les plus sombre. Et ça me rend folle, de ne pas réussir à faire ce qu’il faut pour qu’il s’y abandonne. Cache-t-il une femme ? Une maîtresse dont il est fou amoureux et ne suis-je qu’une façon agréable de flatter son égo ? En temps normal je n’ai que faire de ces choses-là, elles ne m’atteignent pas, mais lorsqu’il s’agit de Blake je perds tout self control. « Tu es mieux placée que moi pour y répondre Raelyn… » Pourquoi diable l’entendre prononcer mon prénom réussi à ce point à me procurer des frissons ? Il faut dire que c’est mon type d’homme Blake, des yeux clairs, plus vieux, une carrure assez impressionnante et une violence latente qu’il m’a semblée déceler dès les premiers jours, allumant mon intérêt… Mais il n’est pas le premier à me plaire physiquement, alors que je refuse encore de l’admettre mais il est le premier depuis longtemps à réveiller un intérêt aussi vif chez moi. Mais je reste de marbre, laissant juste un sourire flotter au coin de ma lèvre alors que je fixe les siennes un instant, avant de croiser à nouveau son regard. Je peins finalement mon visage d’un faux air angélique avant de lui répondre. « Je vois pas de quoi tu parles. » Et il n’est pas en reste en plus, si j’ignore s’il consomme des psychotropes, je sais par contre qu’il a un penchant pour l’alcool qui écrase le mien. « Car j'aimerais bien connaître les raisons qui m'ont poussé à sacrifier une nuit de sommeil, même si je pense être la dernière option de ton répertoire... Je passe l'éponge pour cette fois. » Il se plaint mais s’en remettra, j’en suis persuadée, et une partie de moi aimerais qu’il ait accepté pour chercher ma compagnie, parce que son évitement les dernières semaines m’a vexée, alors qu’il me flatte habituellement de son intérêt. « Ne te vexe pas pour si peu, ça te va pas. » Je provoque, encore et toujours, avant de sortir de la voiture pour me diriger vers l’intérieur de l’immeuble, sentant son regard dans mon dos, presque oppressant. « Et bien pour ce soir, je suis le seul chevalier disponible princesse... » Et qui a dit que je n’étais pas plus friande de mauvais garçon ? Parce que c’est le cas. « Heureusement que je sais me débrouiller seule alors. » Je parle sans me retourner dans un premier temps, avant d’à nouveau me retrouver face à lui arrivée à la cage d’ascenseur. C’est le moment. Cèdera à la tentation où ne cèdera pas ? « Et bien si t'as un bon whisky... Et puis je n'ai pas envie d'être considéré comme le pire chevalier servant de tout Brisbane. » Je ne peux empêcher un sourire presque sauvage de pointer le bout de son nez, alors je mes yeux se baladent sur son visage. Cèdera donc, en tout cas pour l’instant. Je monte dans l’ascenseur, tentant de faire fi de la tension palpable pendant tout le trajet, de cette atmosphère si épaisse que l’on pourrait la couper au couteau. Quand la porte s’ouvre, je me rends compte que j’ai retenu ma respiration pendant l’ascension des douze étages. « Après toi… » J’ouvre à nouveau la marche et ouvre la porte sans un mot, avant de pénétrer l’appartement de de la refermer derrière nous. J’ôte ma veste, oubliant complètement que son but premier était de dissimuler les bleus qui ornent mon bras gauche, souvenir laissé par Alec, avant de me diriger vers l’ilot qui sépare la pièce en deux partie pour attraper deux verres et une bouteille de Whisky. « Pour te répondre, bien sûr que j’ai du bon Whisky, pour qui tu me prend. » C’est même ce que je bois le plus volontiers en fait. Je reviens vers le salon, déposant la bouteille et les verres sur la table basse avant de les remplir. « Alors ? » Je le vois jeter des coups d’œil circulaires à la pièce. « Comme ça que tu imaginais l’endroit ? » Ou l’antre du démon plutôt tant il semble sur ses gardes en ma présence ces derniers temps, même si je me retiens d’employer ces termes.
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
P
ourquoi cette ascenseur n'était-il pas tombé en panne ce soir là ? Pourquoi devait-il m'infliger une telle tentation ? Moi qui avais passé tous ces jours à tenter de l'éviter, me voilà enfermé dans un deux mètres carrés en sa compagnie, à croire que le destin frappait à ma porte à longueur de temps... Je n'avais jamais demandé ça, je voulais simplement résoudre cette affaire qui me hantait sans cesse l'esprit durant ces dernières années. Pourquoi fallait-il qu'une telle femme croise ma route ? Etait-ce une épreuve ? Pfff j'en sais rien et puis je n'étais pas grand partisan de ce genre de choses, enfin du moins suite à la mort de ma fille... Etait-ce un simple retour de bâton ? Devais-je souffrir avant de faire mon deuil ? Tellement de questions me passaient par la tête que je n'arrivais jamais à donner une simple réponse. Elle, pourquoi elle ? Etait-elle celle qui allait changer ma vie ? Celle qui allait me faire revivre un jour ou l'autre ? Qui sait... Une fois sortis de ce confinement intenable, je suis sans broncher Raelyn le long du couloir avant d'atteindre la porte de son appartement... Ne pouvant m'empêcher d'inspecter les lieux, ce loft était juste une pure merveille, rien à voir avec cette espèce de squat que je possédais. Tout en admirant l'appartement, j'enlevai lentement ma veste avant de la poser au même endroit que celle de la jolie blonde. Etais-je à la recherche d'information ? Peut être bien, c'était une simple habitude que j'adoptais lorsque je n'étais pas habitué à un endroit, je ressentais automatiquement le besoin de tout inspecter... De simples objets dangereux à la décoration classique, je passais tout en revu.
« Pour te répondre, bien sûr que j'ai du bon Whisky, pour qui tu me prends. » Je souris, d'un côté je n'en doutais pas, ce n'était pas la première fois que j'échangeais certains verres avec elle donc je savais bien qu'elle avait tout ce qu'il fallait ici. Je la laissais partir récupérer les verres tandis que je faisais le tour du salon... Je n'avais pas encore remarqué cette photo présente à côté de la télévision, pour tout avouer j'avais un instinct qui me disait sans cesse d'observer les différentes sorties possible au cas où quelque chose se passerait.. Pur réflexe d'ancien membre des forces spéciales. " Je te prends pour une fille que je n'arrive pas à décrypter." Je lui souris, c'était une vérité bien sûr cachée sous un certain sarcasme propre à moi. Je me rapprochai d'elle tandis qu'elle remplissait les deux verres, d'un bon whisky au vu de la bouteille, oui au fil du temps j'avais appris à reconnaître le bon du mauvais à la simple vue du contenant.« Comme ça que tu imaginais l'endroit ? » Jetant un dernier coup d'oeil à la pièce, je pris possession du verre avant de poser mes yeux sur elle sans la quitter une seule seconde du regard.. " Humm s'il y avait quelques pilules sur la table et un boxer qui traînait au beau milieu du salon, je pense que je m'y serais rapproché " Bien sûr que je parlais de drogue car je savais parfaitement qu'elle en abusait certaines fois.. Il ne suffisait que d'un simple regard pour savoir si une personne avait consommé quelque chose d'illicite les heures qui ont précédé. Cognant mon verre contre le sien, je pris sans attendre une gorgée de ce breuvage, le vidant presque de moitié... Mon regard vint se poser sur son bras, alors que j'étais juste censé la regarder... Mes sourcils se froncèrent automatiquement sans pouvoir m'en rendre compte. J'attrapai délicatement son bras couvert de bleus, le retournant légèrement afin de mieux apercevoir les ecchymoses... " Qu'est-ce que t'as foutu ? Et ne viens pas me dire que tu es tombée, j'aurais tendance à croire que le sol a une vraie poigne..." Rien que le fait d'avoir touché sa peau me fit frissonner au plus profond de moi, passant mon doigt le long de ses bleus, je ne pouvais supporter qu'on puisse toucher une femme et encore moins elle bizarrement..
Soupirant profondément, je finis par m'asseoir sur le canapé, passant une main dans mes cheveux avant de m'allumer une cigarette sous la pression.. Oui c'était un autre réflexe que j'avais, cette tige me permettait d'enfouir certaines colères tout comme l'alcool même si parfois ça pouvait faire l'effet inverse. Prenant une nouvelle bouffée je continuais d'observer son bras sans pouvoir m'en défaire.. " Je crois qu'il va être temps que je te surveille d'un peu plus près miss Blackwell... Car si la prochaine fois que je reçois un appel en pleine nuit pour ramasser ton corps, je resterai chez moi à ronfler sur le canapé... Gentleman que je suis, je viendrai déposer une rose sur ta tombe " Ne pouvant m'empêcher de rire, je pris une dernière gorgée de ce whisky... Fallait bien le dire, il était vraiment bon, mais bon je n'ai jamais eu l'envie de perdre mon temps à déguster, l'alcool ne me servait qu'à chasser toutes sortes de mauvaises ondes. Essayant de penser à autre chose, oui je n'allais pas non plus m'inquiéter pour elle à longueur de temps, je ne me trouvais pas à Brisbane pour ça... " Et sinon tu comptes me dire pourquoi une épave te ressemblant étrangement était avachie sur le sol alors que je faisais ma petite ronde quotidienne ? "
WILDBIRD
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
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Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
Un profond malaise me serra au ventre lorsque je me retrouve seule avec Blake dans mon appartement, une fois la porte fermée, et je m’interroge : pourquoi ce sentiment ? Je ne saurais l’expliquer, tout ce qui le concerne et surtout ce qui concerne la perception que j’ai de lui est assez incompréhensible. Je ne me sens pas en danger non, il ne s’agit pas de ça, et il y a bien longtemps que je n’ai plus été mal à l’aise à l’idée de me retrouver seule avec un homme, et je pense que ce qui me trouble chez lui c’est de ne jamais savoir auquel de ses visages je vais avoir à faire faire. Dans les bons jours il sait se montrer charmant, agréable, il m’encourage même, je pense pouvoir le dire sans me montrer trop orgueilleuse. Mais parfois il est sec, distant, et dans ces moments cette froideur semble m’être tout particulièrement réservée, semble dirigée contre moi. Je chasse ces pensées alors que je dépose ma veste sur un rebord de canapé, dévoilant mon débardeur en dentelle ajourée et surtout les marques laissées involontairement par Alec sur mon bras, sans m’en rendre compte, parce que l’alcool aidant et surtout la présence de Blake me font oublier toutes les raisons pour lesquelles j’étais de mauvaise humeur ce soir. Les raisons qui m’ont poussée à sortir, à trop boire et à prendre une pilule de trop.
Quand je reviens vers le salon je le trouve en plein contemplation de mon intérieur, même le terme de minutieuse étude me semble plus adapté. « Je te prends pour une fille que je n'arrive pas à décrypter. » C’est donc ça qu’il essayer de faire ? Me décrypter ? Bon courage dans ce cas. Je l’observe un instant avant de remplir les deux verres et de lui en tendre un, et de plonger mes yeux dans les siens. Les mauvaises langues diraient que j’ai bien assez bu pour ce soir, mais je n’ai jamais laissé quelqu’un boire seul, question de principes. « C’est bien plus drôle si tu ne me décryptes pas non ? » J’aime l’idée d’être assez imprévisible, je suis le genre de femme qui volontairement ne répond jamais réellement aux questions que l’on me pose me concernant. A la place j’y réponds par d’autres interrogations, par des silences ou des demies vérités, parce que je préfère laisser faire l’imagination. Il attrape son verre et nos doigts se frôlent, une seconde à peine, une seconde qui suffit pourtant à accélérer les battements de mon cœur, presque imperceptiblement. « Humm s'il y avait quelques pilules sur la table et un boxer qui traînait au beau milieu du salon, je pense que je m'en serais rapproché. » Je soutiens son regard quelques secondes et finalement nos verres tintent et il en prends une première gorgée, alors qu’un sourire se dessine sur mon visage. « Un boxer au milieu du salon hein ? » Je lève un sourcil, feignant la surprise et l’innocence face à ce qu’il insinue. Mais j’aperçois ses yeux qui dévie et se posent sur mon bras, et les miens suivent pour comprendre rapidement ce qui a attiré son regard. Ah, ça. Sans que je n’ai le temps de l’anticiper ou de m’y préparer, sa main se referme sur mon poignet et l’attire à lui, tournant mon avant-bras pour observer les bleus qui l’ornent depuis trois jours. « Qu'est-ce que t'as foutu ? Et ne viens pas me dire que tu es tombée, j'aurais tendance à croire que le sol a une vraie poigne... » Ses doigts glissent sur ma peau, et si je n’aurais pas apprécié en temps normal que quelqu’un prenne ses droits sur mon corps de la sorte je n’esquisse aucun mouvement de recul. Parce que pour une raison que j’ignore dans cette situation précise je sens mon cœur trébucher dans ma poitrine et un frisson me clouer au sol. C’est lui qui met fin au contact physique, parce que j’en aurais été incapable, et qui finalement s’installe sur le canapé et s’allume une cigarette, alors que je reste silencieuse. « Je crois qu'il va être temps que je te surveille d'un peu plus près miss Blackwell... Car la prochaine fois que je reçois un appel en pleine nuit pour ramasser ton corps, je resterai chez moi à ronfler sur le canapé... Gentleman que je suis, je viendrai déposer une rose sur ta tombe » Il laisse échapper un rire, me désarçonnant, et détache enfin ses yeux de mon bras. Alors qu’il termine son verre – je n’ai de mon côté qu’à peine touché au mien – je l’observe un instant. « Et sinon tu comptes me dire pourquoi une épave te ressemblant étrangement était avachie sur le sol alors que je faisais ma petite ronde quotidienne ? » A mon tour je ne retiens pas un rire, croisant mes bras contre ma contre ma poitrine et penchant la tête sur le côté. « Je trouve que pour quelqu’un qui me déteste tu te poses beaucoup trop de questions sur mon état et mon bien-être. » Il me l’a dit. « Je te déteste. » Avant de m’embrasser, mais je n’ai pas oublié pour autant. « J’ai besoin d’une raison pour boire jusqu’à en oublier la raison ? » Je m’approche de lui et pose ma main sur l’accoudoir, penchant mon corps vers le sien, mon visage à quelques centimètres seulement. Je ne sais pas comment il réagira à cette proximité, mais grâce à mon état d’ébriété je m’en moque. Une respiration sèche, un murmure, je tente d’ignore l’odeur de sa peau. « Je n’ai besoin de personne pour me surveiller. » Je me recule et me laisse tomber sur le canapé un peu plus loin, avant d’ôter mes talons aiguille et de ramener mes jambes contre moi pour les replier en tailleur. Mes yeux dévient vers mon bras, et finalement je hausse les épaules, un sourire provocateur au coin des lèvres. « Peut-être que j’aime simplement les ébats un peu trop intenses, qui sait. » Il n’en est rien, mais je préfère détourner son attention de ce sujet qui ne concerne qu’Alec et moi, sans pouvoir m’empêcher d’en profiter pour le provoquer, dans l’espoir piquer au vif son imagination, qu’elle lui impose des images le faisant rougir.
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
O
ui j'étais le genre de type qui aimait bien savoir à qui il avait affaire avant d'entamer une conversation... Pour moi la confiance se gagnait et même se méritait, surtout lorsqu'on était entouré les trois quarts du temps de bandits en tout genre, de la simple petite frappe au pire des gangsters. Cela faisait déjà une bonne période que je tentais par tous les moyens de comprendre ce qui se passait dans la tête de cette femme à l'allure mystérieuse, y déceler la moindre faiblesse ou ce petit truc qui faisait d'elle Raelyn. Plus je passais du temps à ses côtés et pire c'était, comme si mon esprit devenait un petit peu plus flou au file des mois, elle restait un mystère à elle toute seule. « C’est bien plus drôle si tu ne me décryptes pas non ? » La demoiselle avait sûrement raison, vivre dans une certaine ignorance avait son lot de surprise et à mon humble avis des surprises elle devait en avoir sous le coude. Un simple contact aussi infime soit-il avec la peau de Raelyn et voilà que j'étais transporté sur une autre planète, une peau aussi douce que de la soie, des doigts si fin, en gros tout en elle m'attirait, de la pointe de ses cheveux jusqu'au bout de ses orteils même si je n'étais pas certain de les avoir déjà vu un jour. " De toute façon j'ai lâché l'affaire depuis la dernière f... " Ok il fallait que j'apprenne vraiment à me taire plus souvent.. Oui depuis ce baiser échangé... A partir de ce jour là ma tête fut si confuse que je n'arrivais pas aligner la moindre idée passant par mon cerveau. Non je n'arrivais plus à la décrypter depuis cette soirée un peu trop arrosée, c'était à cet instant que j'avais compris qu'elle et moi ce n'était pas qu'une simple relation. J'aurais du m'en douter depuis le temps, lorsqu'elle se faisait raccompagner par un homme souvent plus jeune que moi et pourtant elle n'hésitait à tourner son visage en direction du miens, m'affichant ce léger sourire comme pour me donner envie, que si je le voulais je pourrais être cet homme, la faire grimper aux rideaux toute une nuit.
« Un boxer au milieu du salon hein ? » A t-elle dit d'une voix presque angélique, l'innocence à l'état pure. Je lui souris sachant parfaitement que cela aurait pu arriver à n'importe quel instant. Pour tout avouer je tentais de ne pas l'imaginer dans les bras d'un autre chaque jour que Dieu faisait. Plus elle occupait mes pensées et plus je me dégoûtais, j'avais essayé la distance mais cela fit l'effet inverse, elle m'avait manqué encore plus. Aussi insaisissable, elle devenait une sorte de drogue dont je tombais peu à peu accro, au moins ça ne me coûtait pas un rond. « Je trouve que pour quelqu’un qui me déteste tu te poses beaucoup trop de questions sur mon état et mon bien-être. » Je lui souris, après tout elle n'avait pas tort, je la détestais autant que je voulais d'elle, je devenais deux personnes différentes la plupart du temps, parfois distant, mauvais, irritable je pouvais me montrer également joueur, drôle et même séducteur à ses heures. " Ce n'est peut être qu'une simple formule de politesse après tout..." Avec elle je jouait clairement sur plusieurs tableaux, la laissant faire son propre jugement sur mes paroles, il n'était pas toujours évident de savoir si j'étais sérieux ou non. « J’ai besoin d’une raison pour boire jusqu’à en oublier la raison ? » L'observant sans arrêter je finis par éteindre cette cigarette qui se consumait presque toute seule tellement ma priorité n'était autre que Raelyn. " Crois moi pour finir comme ça il y a toujours une raison... Encore faut-il qu'on sache laquelle c'est " L'observant se rapprocher lentement de moi, mon cœur se mit à battre de plus en plus fort et de plus en plus rapidement, cette proximité me rendait complètement fou et surtout cela devenait à chaque fois un peu plus incontrôlable. Ma main se resserra légèrement, pourquoi je ne pouvais pas la prendre la maintenant, la tirer près de toi, passer mes lèvres sur son cou tout en y ajoutant quelques légères morsures, « Je n’ai besoin de personne pour me surveiller. » Lorsqu'elle me rétorqua ça, j'avais instinctivement rapproché un peu plus mon visage du sien, comme une réponse à sa tentative de rapprochement charnel. Murmurant à mon tour et fixant ses lèvres légèrement humide " Je n'en doute pas une seule seconde " Alors qu'elle recula pour venir s'installer son son canapé, je décidai à mon tour de me lever. Marchant lentement autour du canapé, comme une félin avec sa proie, n'attendant que le bon moment pour la faire craquer " Peut-être que j’aime simplement les ébats un peu trop intenses, qui sait. " Restant derrière, je finis par rapprocher mon visage de son oreille, après tout elle n'était pas la seule à pouvoir rendre une personne complètement folle. Elle devait sentir ce souffle chaud qui dorénavant parcourait l’entièreté de sa nuque... " Intenses ? dans quel sens ?... " Au fond de moi je m'en voulait de craquer pour elle, malgré mon contrôle du son sang froid je restais qu'un simple homme avec un désir fou de l'avoir rien que pour moi.
WILDBIRD
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
« De toute façon j'ai lâché l'affaire depuis la dernière f... »Je me tais, attendant de voir s’il terminera sa phrase. Osera, osera pas ? Osera pas donc, pourquoi, parce que l’idée de repenser à ce baiser que je ne l’ai pourtant pas forcé à me donner le trouble ? L’agace parce qu’il aurait souhaité l’éviter ? Est-ce du regret, parce que l’alcool lui a fait faire quelque chose qu’il n’aurait pas fait en temps normal ? Je ne suis pas là seule à puer l’alcool ce soir, il sent le whisky, le scotch, à plein nez. Il dormait peut-être lorsque son téléphone a sonné et je l’ai peut-être réveillé en l’appelant pour qu’il vienne me chercher, mais il a bu avant. Seul, accompagné ? La question, tout un tas de questions en fait me brûlent les lèvres, mais ma fierté m’empêchera de les poser. Parce que si avec Blake j’ai déployé depuis longtemps toutes les techniques de séduction que je connaisse, du simple sourire aux effleurements, je n’ai aucune envie d’exprimer à voix haute l’intérêt que je ressens pour lui. J’arrive encore à me convaincre qu’il ne s’agit là que d’une attraction physique, que s’il m’obsède autant c’est parce qu’il reste pour l’instant inaccessible et ne me cède pas, avouer qu’il hante mes pensées et que je ne demande s’il partage les bras d’une femme pendant ses soirées de libres, c’est un pas que je ne suis pas prête à faire. J’ai envie de ses mains sur mon corps et j’ai envie de lui faire perdre la tête, mais je reste celle que je suis : pas prête à offrir quoi que ce soit de plus que quelques nuits à chauffer mes draps. Quoi qu’il en soit il a bu, et dans mon esprit nait l’idée, l’envie de le tenter, parce que c’est notre mode de communication privilégié, et parce que la drogue qui coule dans mes veines aspire à un contact physique ce soir. Je ne rebondis pas sur sa phrase, parce que je ne suis pas une collégienne qui va lui rappeler qu’il m’a embrassée et pour le faire rougir. Parce que je sais, en tout cas j’espère qu’il n’a de toute façon pas besoin de moi, et qu’il suffit qu’il ferme les yeux pour se rappeler de nos souffles l’un contre l’autre, pour que l’image de ses lèvres contre les miennes s’imprime sur sa rétine.
La suite me plait moins malgré tout, parce que je n’aime peu que l’on contrôle mes faits et gestes et que c’est l’impression qu’il donne, se sentant soudain concerné par mon état du soir, même s’il tente de rester détaché et de se donner l’air de n’en avoir que faire. Il a abordé le sujet, il a posé la question. « Ce n'est peut-être qu'une simple formule de politesse après tout... » Je lève un sourcil, gardant pour l’instant mes bras croisés sous ma poitrine. Le revoilà qui se détachait, qui m’échappait. « Crois moi pour finir comme ça il y a toujours une raison... Encore faut-il qu'on sache laquelle c'est. » Du tac au tac je lui réponds, parce qu’intérieurement je bouillonne. « Je crois pas avoir de comptes à te rendre. » Puisque nous ne sommes rien, pas même des amants, et que même à eux je refuse tout droit de regard sur ma vie et mes agissements. Oui je suis saoule, oui mes pupilles dilatées sont preuve d’une consommation récente de drogue, mais il me connait peu mais malgré tout assez pour savoir que je ne me confie pas facilement.
Mais je ne lui en tiens pas rigueur, mon ébriété jouant avec mes nerfs et me rendant finalement assez versatile, et me voilà, penchée au-dessus de lui, mon souffle presque aussi proche du sien que la dernière fois, mes genoux qui effleurent presque les siens et mes cheveux lâchés qui tombent presque sur son visage alors qu’il l’approche un peu plus du mien pour entrer dans mon jeu. « Je n'en doute pas une seule seconde. » Un sourire satisfait se dessine sur mes lèvres alors que je m’échappe, que je me dérobe. Parfait, il semble avoir compris la leçon. J’aurais aimé aller plus loin, j’aurais aimé approché mes lèvres de son oreille pour en mordiller le lobe, j’aurais aimé coller son corps contre le mien, passer mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille. Mon sang qui pulse dans mes veines n’appelait que ça pendant ces furtives secondes de proximité, mais je ne suis pas une femme que l’on repousse, et avec lui je ne sais pas à quoi m’en tenir si je me permets ce genre d’initiatives. Je termine cet aparté en insinuant que les bleus sur mon bras sont peut-être le résultat d’une étreinte un peu trop sauvage avec un représentant de la gente masculine, dans le but de piquer son intérêt, toujours et encore, et il semble y arriver alors qu’il se lève du canapé pour venir se poster derrière moi, pour glisser son visage dans ma nuque et venir me rendre la monnaie de ma pièce en respirant derrière mon oreille. « Intenses ? dans quel sens ? » La proximité me cloue au canapé mais je tente tant bien que mal de rester impassible, un léger sourire suffisant sur les lèvres et le regard droit. Je meurs d’envie de tourner la tête pour lui voler un baiser mais je m’abstiens. Sans pivoter mon regard donc je lui réponds. « T’as besoin que je te fasse un dessin peut-être ? » Je ne suis pas une grande artiste, mais je peux faire un effort. Finalement je me penche en avant pour attraper mon verre sur la table, avant de le porter à mes lèvres pour en boire une gorgée et finalement tourner la tête vers lui. « Ou sinon je peux te montrer, je dessine très mal. » Mes yeux dans les siens, dans ces yeux clairs qui m’observent, je soutiens son regard, bien décidée à lui montrer qu’il ne fera pas de moi son jouet, pas ce soir, qu’il n’entrera pas dans mon jeu en m’allumant pour finalement se la jouer reine des glaces et me laisser pantoise. « Joue pas à ce jeu Blake, tu vas perdre. » Parce que même si une dizaine d’années nous séparent, à vue d’œil en tout cas, je suis persuadée d’y jouer depuis bien plus longtemps que lui.
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
E
nigme à elle toute seule, Raelyn savait comment faire perdre la tête à tout les hommes, peu importe leurs préférences, à chaque fois que je l'ai vu tenté d'en séduire un elle finissait par arriver à ses fins. Ce jeu qu'elle installe constamment avec ses "proie", j'ai finis par le connaître, je savais de quoi elle était capable et qu'elle pouvait ne pas avoir de limites... Résister à longueur de temps à ses avances était plus comparable à un parcours du combattant qu'une simple routine quotidienne. J'avais installé un véritable bouclier entre elle et moi, une sorte de forteresse imprenable que seule elle avait réussi à fissurer. Rentrant parfois dans son jeu car une part en moi adorait ça, je finissais la plupart du temps par reprendre mes esprits et redevenir froid comme de la glace même si pour ça il fallait que je la laisse en plan de temps à autres... Vous dire que cela me déchire le coeur ? Peut être pas à se point, mais mon corps ainsi que mon esprit éprouvait une certaine culpabilité, je finissais par m'en vouloir, d'avoir été stupide d'être partis comme ça alors que je voulais exactement l'inverse.
Souvent il m'arrivait de me prendre à mon propre jeu, ma bouche pouvait parfois sortir des phrases que je ne devais absolument pas dire, qu'est-ce qu'elle pouvait me saouler avec son attraction naturelle. Et puis pourquoi moi ? Pourquoi jetait-elle son dévolu sur moi ? Je ne me trouvais pas plus canon qu'un autre, peut être un peu plus secret, sombre, remplis de souvenir pouvant parfois me rendre incontrôlable, au final je n'en savais rien... Mais elle était là devant moi, chez elle, sur son canapé, à se fixer sans cesse... Une voix qui d'un côté me disait de foutre le camp rapidement d'ici avant qu'il ne soit trop tard tandis qu'une autre m'ordonnait de déchirer son haut et l'embarquer de force dans sa chambre, quoi que le canapé, même le sol aurait fait l'affaire. « Je crois pas avoir de comptes à te rendre. » Continuant de la regarder, je fus à peine surpris par sa réaction, après tout, sa vie restait la sienne, pourquoi est-ce que je m'emmerdais à lui parler de tout ça. " Et bien comme ça nous sommes deux. " Pourquoi fallait-il que je m'embarque dans ce genre d'histoire ? Elle travaillait avec ceux qui ont foutu en l'air la vie de ma fille... Et pourtant je n'étais même pas sûr d'avoir le cran d'appuyer sur la gachette si jamais elle était incluse dans toute cette histoire.
« T’as besoin que je te fasse un dessin peut-être ? » J'étais là, juste derrière elle, mon visage si proche du sien... Je sentis ce froid glacial me parcourir le corps, elle ne va pas finir par se la jouer Blake. « Ou sinon je peux te montrer, je dessine très mal. » Je me mis à rire avant de reculer et continuer à faire le tour du canapé.. " Je ne suis pas très dessin, mais merci quand même " La jolie blonde continuait de me fixer, me suivre du regard sans même cligner des yeux, du moins j'en avais l'impression. Elle avait un regard intimidant, n'importe quel homme se sentirait mal à l'aise face à elle mais avec moi il en fallait beaucoup plus pour me faire plier. « Joue pas à ce jeu Blake, tu vas perdre. ».. Levant un sourcil je finis par lui répondre du tac au tac " La ferme Raelyn.. " Je pris la bouteille de scotch me servant un verre sans vraiment lui demander l'autorisation.. Oui je pouvais finir par devenir froid et que même si mon attirance pour elle était plus qu'évidente, je n'étais pas un type qu'on obtenait rien qu'en claquant des doigts. Buvant une gorgée de whisky je finis à nouveau par poser mon regard sur elle... " Je ne joue pas Raelyn, enfin j'en sais rien... Et puis j'aurais du te laisser ronfler dehors à côté d'une poubelle et d'un clochard qui d'ailleurs était à deux doigts de te ramener dans son sac de couchage ! " M'allumant une nouvelle cigarette, toujours mon verre en main, je commençais à regarder autour de moi... J'ai dis que je ne jouais pas ? Sérieusement ? Il va falloir que j'arrête de boire au bout d'un moment. Mettons cela sur le coup de la colère ou peut être pas, après tout je n'étais pas en furie non plus
WILDBIRD
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34324 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
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RPs EN ATTENTE : aisling #3
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Can't talk myself out of it Raelyn Blackwell & @Blake Taylor
Que fait-il ici ? Je sais pourquoi moi je l’ai appelé, même si ce sont mes doigts qui ont mécaniquement glissé vers son nom sur mon téléphone, c’est cette envie incontrôlable de passer du temps à ses côtés qui les a dirigées. Je ne sais pas d’où il vient, ce besoin. Je crois que je l’ai désiré dès le premier instant, dès le moment où il a balancé son poing dans le visage de ce type qui venait de s’autoriser une main sur mes femmes dans un bar. Je crois que la noirceur, la violence de ses coups et la rage qui émanait de lui m’ont faite brûler de désir dès la première seconde. A quel moment ce désir s’est-il transformé en cette espèce d’obsession brûlante ? Pas immédiatement, parce que je ne suis pas ce genre de femme que l’on accroche et que l’on fait courir, je n’ai jamais couru après un homme avant lui en fait. Je ne suis pas ce genre de femme, et aujourd’hui je cache cette obsession derrière une détermination à avoir ce que je veux : qu’il cède, mais je le sais au fond que le mystère duquel il s’entoure a tendance à me rendre folle.
Je ne m’engage pas dans des batailles que je sais perdues d’avance, je n’ai pas de temps à perdre à tenter d’atteindre l’impossible et si je sens qu’il homme ne me montre pas le moindre intérêt, je ne m’impose pas au risque de passer pour une harceleuse, une folle désespérée, mais si Blake envoie des signaux contradictoires aucun d’entre eux ne démontre un manque d’intérêt. Comme le jeu auquel il semble décidé à jouer ce soir, me laissant m’approcher et venant se glisser dans mon dos à son tour. Il peut dire qu’il a répondu à mon appel et est venu me chercher par pure charité, mais je sais qu’il n’en est rien, et il ne me semble jamais aussi naturel que lorsqu’il se laisse aller à faire un pas vers moi. C’est quand il me repousse et se cache derrière ses retranchements que j’ai l’impression d’avoir à faire à un acteur, que je sens que quelque chose cloche et qu’il se retiens d’agir comme il souhaiterait au fond le faire. « Et bien comme ça nous sommes deux. » J’ai envie de lui répondre que je ne lui ai de mon côté jamais demandé de me rendre des comptes mais je m’abstiens, peu désireuse de passer pour une adolescente cherchant à avoir le dernier mot. Et parce que lorsqu’il se lève et s’approche de moi, son souffle dans mon cou me glace le sang et je reste muette quelques secondes, me concentrant pour lutter contre l’envie de tourner la tête et de plaquer mes lèvres contre les siennes. Finalement je pivote mon visage et plante mes yeux dans les siens alors qu’il soutient mon regard, je dois bien admettre qu’il est plutôt doué à ce jeu-là. « Je ne suis pas très dessin, mais merci quand même. » Dois-je comprendre qu’il préférerait que je lui montre ? Pourtant il se recule déjà et fait le tour du canapé, fuyant la proximité qu’il avait pourtant instaurée. « La ferme Raelyn… » Je lève un sourcil, interloquée par ce soudain changement de comportement. Je le laisse se rasseoir, je le lève se servir un nouveau verre de whisky en l’observant, plus amusée que choquée ou énervée par sa remarque. J’en viens à bout, et c’est la seule chose qui m’importe. « Je ne joue pas Raelyn, enfin j'en sais rien... Et puis j'aurais dû te laisser ronfler dehors à côté d'une poubelle et d'un clochard qui d'ailleurs était à deux doigts de te ramener dans son sac de couchage ! » Je porte le mien de verre à mes lèvres, bien consciente que je n’ai pas besoin de ça. L’alcool qui coule déjà dans mes veines me rend plus avenante encore, plus provocatrice et railleuse, et surtout me fait jouer avec le feu. Je tiens à peine debout et je le sais, ma démarche chancelante lorsque nous sommes sortis de la voiture pour entrer dans l’appartement en preuve. « la ferme Raelyn, je te déteste, il va falloir changer de disque. J’y crois pas une seule seconde. » Peut être qu’il y a un peu de haine dans l’assortiment des sentiments que je provoque chez lui après tout. Mais je m’en accommode plutôt bien, elle ne rend souvent les choses que plus intéressantes. « Peut être que t’aurais dû. » Portant à nouveau mon verre à mes lèvres et laissant ma langue faire la course en tête devant mon esprit, je reprends. « Peut être que t’aurais dû, mais je suis pas sure que t’en ai envie. » J’appuie mon dos contre l’accoudoir du canapé, allongeant mes jambes. « La porte est ouverte. Je suis chez moi, à l’abri de quoi que ce soit de plus dangereux qu’une gueule de bois et ton verre est vide. J’ai pas besoin de baby sitter. » Je n’ai pas envie qu’il s’en aille. Mon corps entier brule de désir pour lui en cet instant, porté par les drogues, l’alcool et cette dynamique instaurée entre nous depuis des mois. Je penche la tête sur le côté, jaugeant ses réactions.
Raelyn Blackwell & Blake Taylor It's just a bad night girl
J
e ne comprenais plus rien, en sa présence je ne savais plus du tout qui j'étais ni ce que je ressentais... La balance pesait sans cesse le bon et le mal en moi, d'un côté cet ancien mari aimant, cette vie de famille qui m'avait comblé durant toutes ces années et de l'autre ce mec complètement paumé qui a perdu sa fille unique ainsi que sa femme, accro à l'alcool et qui n'hésitait pas à se foutre dans de sales situations. J'étais devenu un mélange de ces deux êtres totalement opposés, changeant de comportement comme de chemise à cause de toutes ces mésaventures que j'avais pu rencontrer au cours de ma vie. Je savais déjà que je n'étais pas le mari idéal, depuis l'armée un côté sombre ressortit en moi sans demander quoi que ce soit, faisant de moi un homme complètement perdu dans ses ressentiments. Lorsque je parlais à Raelyn, la plupart des mots qui sortaient de ma bouche étaient tout bonnement sous l'emprise de mes propres émotions, il m'arrivait beaucoup trop souvent de lui dire des choses sans y réfléchir auparavant, j'agissais toujours sous l'impulsion avec elle... En même temps comment faire autrement, ce regard si envoûtant qu'elle pouvait m'envoyer parfois, j'avais l'impression d'être à longueur de temps sous son contrôle... Ce côté si sûr d'elle, ce petit jeu de "suis-moi je te fuis, fuis- moi je te suis..." Merde comment j'étais encore capable à mon âge de tomber dans ce genre de relation si troublant, si déstabilisant et pourtant si excitant au final.
L'excitation, le désir, ce sentiment que je n'avais plus connu depuis toutes ces années, c'était peut-être ça qui m'attirait chez elle... Sa manière de contrôler le jeu, sa manière de vous faire comprendre qu'elle pourrait vous donner tellement de chose. Elle finissait toujours par me rendre dingue, cette folie qui n'était autre qu'un péché auquel je succombais au fur et à mesure du temps. « la ferme Raelyn, je te déteste, il va falloir changer de disque. J’y crois pas une seule seconde. » Reposant à nouveau mes yeux sur le visage de la jolie blonde, je m'étais rapidement fait au fait où elle avait souvent raison et qu'elle savait parfaitement lire en moi surtout lorsque j'agissais si naturellement. " Et pourtant tu vas devoir t'y faire ! C'est toi qui as toujours eu la main sur le lecteur, donc si tu veux un autre disque, il te suffit de le changer ce n'est pas si compliqué ! " Une phrase qui n'avait à la fois aucun sens et pourtant... Oui car c'était elle au final qui avait un contrôle sur mes réactions, mes ressentis. Ses paroles, ses actions, tout faisait en sorte pour que j'agisse d'une certaine manière... Les "je te déteste" que je pusse prononcer sous l'impulsion, mes réactions parfois d'une froideur inégalée, tout ça parce que je ne la comprenais pas, pourquoi avait-elle jeté un tel dévolu sur moi alors que je n'étais qu'un simple gars ayant perdu tout bonheur depuis la mort de sa fille ? Peut-être que j'avais besoin d'en voir plus d'elle, peut-être pas, c'était elle qui avait la main et qui l'avait toujours eu.
« Peut-être que t'aurais dû, mais je ne suis pas sure que t’en ai envie. » Encore une fois elle avait entièrement raison, je ne pouvais pas m'empêcher d'aller vers elle au final, dès qu'elle avait besoin de moi j'arrivais et je finissais par me détester à force de faire ça... Je rentrais constamment dans son jeu, je n'arrivais pas à m'éloigner d'elle, sûrement pour ça qu'elle était la seule décidant de l'histoire. " Vu que tu as l'air d'aussi bien me connaître, de quoi j'ai envie là maintenant ? " A vrai dire même moi je n'étais pas sûr de ce que je voulais, mais c'était plus fort que moi, savoir ce qu'elle attendait d'une personne comme moi, même si je m'étais déjà fait une réponse dans ma tête. « La porte est ouverte. Je suis chez moi, à l’abri de quoi que ce soit de plus dangereux qu’une gueule de bois et ton verre est vide. Je n'ai pas besoin de baby-sitter. » Je finis par lâcher un simple rire, finissant ma cigarette, je l'écrasai dans son cendrier tout en la regardant de nouveau... " Tu sais quoi ? Pas la peine de répondre à ma question maintenant, je pense que tu trouveras un meilleur moment pour ça. " Je pris ma veste avant de l'enfiler et commencer à me diriger vers la porte d'entrée. Je finis par me retourner afin de la voir une dernière fois avant de quitter ces lieux. " Ah et dernière petite chose, si jamais tu as encore besoin de moi, passes au contact suivant. Peut-être la personne avec qui tu te trouves sur la seule photo que tu as d'ailleurs... Et merci pour le scotch ! " Dos tourné je lui fis signe de la main et partis sans demander mon reste. Ah cette photo, je l'avais vu depuis le départ et pourtant je n'ai jamais pu oser lui en parler... Au moins maintenant c'est fait... À plus tard miss Blackwell