-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal

 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret.

Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyMar 1 Oct 2019 - 22:53

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


Il était bien loin ce temps où Adèle sortait faire les boutiques toute la journée traînant alors dans la rue commerçante durant des heures. Qu’elle se perdait dans les rues de Brisbane à la recherche de nouveauté, arpentant alors les rues diagonales en chantonnant. C’est ce qu’elle aimait faire, seule ou avec ses amies. Une vraie pipelette quand elle s’y mettait et ça lui permettait de papoter bien souvent des garçons (avouons les choses) qui entourait les jeunes adolescentes de cette époque. La douce et charmante enfant de cette époque aimait particulièrement ses moments simples de la vie. Parfois forçant la main à son cousin Nell pour qu’il l’accompagne dans les magasins. La jeune femme a toujours été entourée par ses  frères et son cousin, chez eux la famille c’est primordiale et après le décès de ses parents la famille s’est davantage soudée, ce qui semblait pourtant difficile pour l’extérieur, car déjà à cette époque, c’était les uns pour les autres. Adèle est plutôt facile à vivre, elle a d’ailleurs de nombreux amis, mais la vie ne l’a pas toujours épargnée, et surtout ses dernières années. Toute les personnes qui sont suffisamment proche d’elle savent combien ce qu’elle vit en ce moment, ce n’est pas facile tous les jours. A l’annonce de son cancer en janvier, la jeune femme s’est un peu renfermé sur elle, elle n’a jamais voulu en parler aux autres. Parce qu’elle savait combien le regard des gens changent, mais la pétillante et fraîche Shephard a voulu tirer un trait sur tout ça, peu à peu elle s’est résolue à l’idée même de continuer à vivre malgré la maladie. De toute façon, elle ne pouvait rien y faire et a été obligée d’accepter. Entre autre, grâce à certaines personnes qui sont rentrés dans sa vie entre temps, et lui ont permis sans le vouloir à ce qu’elle accepte cette vérité pesante. La journée s’achève et avec son vélo, la jeune femme arrive avec un très léger retard devant la salle de sport. Là où elle avait donnée rendez-vous à une amie, Justine pour qu’elles puissent se défouler tout en se racontant les dernières potins. Elles avaient tout le temps des trucs à se dire, elle pouvait s’être appelé la veille, être restée une heure trente au téléphone, il suffisait qu’elle se revoit le lendemain pour qu’elles restent autant de temps. Quand elle ne la voit pas sur le parvis de l’immense complexe, Addie préfère rentrer et file se changer dans les vestiaires des femmes, avec une rapidité, avant de mettre ses affaires dans le vestiaire et de se diriger droit dans la grande salle, «  Désolée du retard mais je vois que tu as retrouvé le chemin toute seule… » Qu’elle dit, en arrivant par derrière Justine, s’installant sur le vélo à côté et elle commençait à pédaler. Elle n’avait pas repris le sport depuis quelques semaines, notamment parce que ça ne lui était pas vraiment conseillé, et qu’on lui disait que ça la fatiguerait bien vite. Mais vous connaissez Adèle pour n’en faire qu’à sa tête, davantage quand le sport prend une place exclusive dans sa vie. Au plus lointain que remontent ses souvenirs, elle en a toujours fais, principalement de la course à pied, ou en salle. C’était donc sans surprise qu’elle a envoyé un petit message à sa copine Justine pour savoir si elle était disponible en fin de soirée pour se rendre une heure ou deux dans la salle de sport de Brisbane, «  j’ai été un peu retenue par un particulier, il voulait plus me lâcher ! » Qu’elle ajoute levant les yeux au ciel, elle faisait du porte à porte pour présenter l’agence immobilière et savoir ainsi si ils ne connaîtraient pas une maison ou un appartement à louer dans le coin. Elle était douée Adèle dans le monde des affaires, elle ne lâchait jamais sa proie, et puis parce que le monde du travail est rude. La vente des maisons n’était pas épargnés  au sort, la compétition est rude et Adèle y mettait tout son cœur à l’ouvrage. Parce que d’une certaine façon, son boulot c’est la seule chose qu’elle peut se rattraper. A présent. «  Et ta journée ? »


@justine hudson
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyJeu 3 Oct 2019 - 20:14

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineJustine était le genre de personnes qui était incapable de rester en place. Elle avait un travail très actif et très prenant, mais elle avait ce besoin de s’occuper pendant son temps libre. Quand elle travaillait jusque 19h et qu’elle reprenait le lendemain matin, il est vrai qu’elle appréciait se détendre devant un film ou une série et ne pas sortir de chez elle. Mais quand elle faisait seulement une matinée, elle passait l’après-midi occupée, soit par une activité, soit par une sortie entre amis, en bref elle trouvait toujours quelque chose à faire. Elle appréciait également faire du sport de temps à autre, en tant qu’infirmière elle connaissait l’importance de se dépenser et d’avoir un mode de vie sain, alors c’était important pour elle de pratiquer une activité sportive. Aujourd’hui elle finissait à 14h et avait décidé d’occuper son après-midi à ranger entièrement son appartement, certes ce n’était pas une activité qui demandait de sortir de chez elle, mais elle sortirait plus tard car Adèle lui avait proposé de se faire une heure ou deux à la salle. Adèle était une personne très douce, très pétillante et très gentille avec qui Justine appréciait sincèrement de passer du temps. Elles étaient toutes les deux un peu – beaucoup – commères et elles ne manquaient pas de passer des heures à se mettre à jour sur les derniers potins. Le sport était également un point commun important puisque qu’il leur arrivait d’aller courir, ou encore de venir à la salle comme aujourd’hui. Aujourd’hui Justine avait envie de raconter à Adèle la dernière rencontre qu’elle avait fait. Elle n’avait encore parlé à personne de Justin, et de leur moment passé tous les deux quand il était venu réparer son ordinateur. Elle voulait avoir un avis féminin sur la question, et qui de mieux qu’Adèle pour donner un avis sincère sans filtres ?
Elle avait donc, comme prévu, passer l’après-midi à ranger, nettoyer son chez-soi. L’endroit était niquel et Justine avait toujours cette impression d’avoir fait le ménage également dans sa tête. En fin d’après-midi elle avait enfilé un legging de sport noir, avec une brassière rose et un sweat à capuche. Elle attacha ses cheveux en une queue de cheval haute et se démaquilla pour éviter une coulée magistrale avec la sueur. Elle avait fourré dans son sac de sport sa gourde, son gel douche, son shampoing, sa brosse à cheveux et des vêtements propres pour après la séance. Elle enfila ses baskets, prit ses clés et sortit de son appartement. Quand elle arriva à la salle, elle constata qu’Adèle n’était pas encore arrivée alors elle décida d’aller déjà se chauffer un peu. Elle entra dans les vestiaires pour déposer son sac, récupérant sa gourde au passage, et se dirigea dans la salle. Elle choisit de commencer avec un vélo, qu’elle chevaucha pour commencer à pédaler. Quelques minutes plus tard, elle fut surprise par son amie qui venait d’arriver «  Désolée du retard mais je vois que tu as retrouvé le chemin toute seule… ». La blonde lui sourit pendant qu’elle s’installait sur le vélo à côté d’elle « Oh oui je me suis dit que j’allais commencer à m’échauffer un peu, puis je suis venue guetter le meilleur endroit pour l’observation ! ». Elle fit un signe du menton en direction d’un duo de mecs très bien taillés qui étaient en train de soulever des haltères pile en face des vélos où elles étaient «  j’ai été un peu retenue par un particulier, il voulait plus me lâcher ! ». Justine secoua la tête, le métier que souhaitait exercer son amie était vraiment éloigné des aspirations de la blonde, mais elle comprenait que certains aspects avaient l’air parfois embêtants « Ma pauvre, laisse-moi deviner, un petit vieux ? ». Elle avait pu remarquer que les personnes âgées appréciaient la moindre compagnie et avaient tendance à se laisser aller dans les discussions, donc cela ne l’étonnerait pas qu’Addie confirme son hypothèse «  Et ta journée ? ». La blonde continuait de pédaler, essayant de contrôler son souffle pour ne pas être essoufflée trop rapidement « Ça va, je n’ai travaillé que ce matin, j’ai rangé mon appart’ cette après-midi ! ». Elle se tourna vers son amie en souriant « Et toi à part ton particulier ? ».



©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 1949770018
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyMar 8 Oct 2019 - 1:01

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


Justine a toujours énormément compter pour la jeune femme, si l’amour qu’elles portent pour les animaux les ont rapprochés, c’est bien ce côté un peu folle qui a séduite au premier abord l’Australienne. Les mois ont passés et elles se sont recroisés à l’hôpital alors que Adèle passait de nombreux examens. Elle était effrayée car elle avait peur de ne pas être assez forte et courageuse pour affronter seule une telle maladie. De ne pas avoir les épaules assez larges. Et elle a longtemps nié ce cancer, ne voulant pas y mettre de mot, encore moins se faire soigner. Pour elle, cela ne pouvait pas être ça et son malaise finirait par partir. Des allées/retours aux urgences et avec l’aide de certaines personnes – dont Justine, elle a fini par accepter qu’à vingt-trois ans elle avait peut-être une maladie. Mais qu’on pouvait soigner, à condition qu’elle le souhaite. A condition qu’elle se prenne en main et qu’elle avance sereinement. Alors elle n’a eu guère le choix que d’accepter. C’est peut-être à cet instant précis que cette amitié avec Justine a pris forme. A cause de la maladie. Adèle est bien plus jeune qu’elle mais Ju’ n’est pas du genre à faire sa vieille et elles aiment sortir faire la fête, ou encore se voir pour se faire un petit footing matinal. Elle est très sportive Adèle et ça ira à sa perte, car elle n’a aucune limite. Elle pousse toujours ses ambitions à la hausse, se fout dans des situations délicates comme l’escalade et plus récemment elle a commencé la boxe. Elle est douée la petite pour taper dans un punching-ball. Elle imagine la tête d’une personne qui ne lui revient pas et tape de toutes ses forces. Ca la décompresse, ça lui fait un bien fou et si elle n’était pas malade elle pourrait sans aucun doute y rester des heures sur le ring. Arrivant devant son amie, un sourire en coin alors qu’elle prend place sur le vélo à côté du sien, histoire de se décrasser un peu les muscles. « Oh oui je me suis dit que j’allais commencer à m’échauffer un peu, puis je suis venue guetter le meilleur endroit pour l’observation ! » Sourire en coin, elle tourne son visage en même temps que sa copine dans la même direction. C’est pas mal tout ça qu’elle se dit, alors qu’elle pouffe de rire. « Excellent plan moi je dis… » Elle regarde les bruns en question transpirait face à leur matériel, ça lui plait à Addie les sportifs c’est inutile qu’elle le nie. Elle fait très attention à son image, c’est important pour elle ce qu’on renvoie. « Ma pauvre, laisse-moi deviner, un petit vieux ? » Un sourire se dessine au coin de ses lèvres, elle aimait son métier même si elle s’est longtemps cherché. Elle aurait aimé devenir flic parce que Adèle adore s’occuper des autres, leur venir en aide et que ça manque pas d’action, ce qui la représente plutôt bien, mais elle n’a jamais été acceptée au concours. A quoi bon, elle n’était peut-être pas faite pour ça. Pourtant, elle aime enquêter, elle aurait pu aisément devenir journaliste ou détective privé, c’est pas mal ça. Mais le domaine de l’immobilier a eu raison d’elle, « vieux d’une quarantaine alors … » Pour ses pauvres petits vingt-trois ans, quarante ans c’est vieux mais elle suppose que Justine n’en dira pas autant et elle aime la taquiner… Etant un peu plus vieille qu’elle… « Ça va, je n’ai travaillé que ce matin, j’ai rangé mon appart’ cette après-midi ! Elle le savait mieux que personne, une maison ou un appartement ça s’entretient. Depuis un an, elle vit en colocation et elle a la chance aujourd’hui de les avoir près d’elle. Mais la corvée des courses, et du ménage a toujours été source de problèmes et de disputes. Plus depuis qu’ils ont instaurés chaque semaine une personne. Et comme ils sont quatre, ça revient à une semaine par mois. Adèle a été obligée d’en venir là avec son cousin Nell qui est constamment avec sa manette au bout des doigts. Et toi à part ton particulier ?» Qu’elle demande, elle sourit timidement avant de lui ajouter, se donnant à cœur joie à pédaler, « ça suit son train-train, j’ai commencé la chimio… » Elle savait qu’auprès de Justine elle pouvait parler, se confier et ça lui faisait du bien, « mais ça va… » Qu’elle confie. Ca pourrait aller mieux, mais aujourd’hui est un jour avec. « On va pas parler de ça quand même, raconte-moi un peu les news de ta vie… » Qu’elle demande, d’une voix joyeuse, elle voulait tout savoir, elles s’étaient pas vu depuis plusieurs jours et Adèle avait l’impression que ça faisait une éternité…
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptySam 12 Oct 2019 - 16:59

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineJustine fréquentait la maladie tous les jours dans son travail. Elle voyait ces enfants, si jeunes, touchés par des maladies si féroces, souvent impitoyables. Quand elle avait fini par apprendre qu’Adèle était gravement malade, elle n’avait ressenti que de la compassion et de l’empathie, à aucun moment de la pitié. La jeune femme était pétillante et pleine de vie, elle était persuadée qu’avec de la volonté, elle pourrait battre cette pourriture. Elle avait essayé d’être présente pour Addie, sans trop se montrer insistance et en essayant de se détacher de ses propres connaissances médicales. Elle tient beaucoup à Adèle et si elle peut l’aider à traverser ces moments difficiles, elle compte bien rester à ses côtés encore quelques années de plus. Elle ne veut pas être l’infirmière de la jeune femme, elle veut juste être une amie, qui la soutient et la console quand elle a besoin. Elles ne passent pas uniquement leur temps à parler de la maladie, bien au contraire, elles profitent de chaque moment pour profiter, en faisant la fête, en échangeant potins sur potins, et en allant au sport à deux. C’est ce qui se passe aujourd’hui, quand les jeunes femmes se retrouvent à la salle de sport pour une bonne heure de vélo et autres machines. La blonde est déjà rentrée pour s’échauffer, elle a quand même quelques années de plus qu’Addie et elle est n’est pas réputée pour son endurance alors elle préfère anticiper. Elle s’installe sur un vélo et est rapidement rejointe par son amie qui arrive derrière elle « Excellent plan moi je dis… ». La brune tourne son regard vers les hommes en question et Justine peut constater qu’elle n’est pas insensible à leur charme et leur silhouette athlétique « Cool j’ai bien fais mon boulot alors ! ». Elle lui glisse un clin d’œil en souriant et recommence à pédaler doucement pour se remettre dans le rythme. Elle évoque le travail de la brune qui lui a pris un peu plus de temps ce soir, à cause d’un particulier un peu collant « vieux d’une quarantaine alors … ». La blonde lui tire la langue en pédalant. Elle s’approche tout doucement de la quarantaine, et même si elle ne laisse rien passer, le temps qui passe l’effraie. Elle qui veut fonder une famille, elle a peur que son corps ne lui permette plus quand elle aura trouvé la bonne personne, et elle ne peut s’empêcher d’appréhender le moment où elle n’aura plus le petit rendez-vous mensuel qui s’annoncera dans sa culotte « Tu devrais me le présenter alors, on a presque le même âge… ». Elle sourit et lève un doigt pour reprendre avant qu’Addie ne réagisse « Non j’aurai pas du te dire ça, t’es capable de tout ! Si tu veux me présenter quelqu’un, s’il te plaît, choisis bien… ». Elle n’avait pas forcément envie de sortir avec un client de son amie, surtout s’il était du genre à être un peu collant, il pourrait l’être avec elle aussi. Justine la questionne sur sa journée, autre que les quelques détails qu’elle a évoqué en arrivant « ça suit son train-train, j’ai commencé la chimio… ». La blonde hocha la tête lentement « Si jamais t’as besoin de faire une pause dans la séance hésite surtout pas ! ». Elle savait que les effets d’une chimio pouvaient parfois être extrêmement fatigants, et elle n’avait pas envie qu’Adèle se sente gênée de manifester une quelconque fatigue face à elle « mais ça va… ». Justine hocha la tête en souriant à son amie « Tant mieux alors ! ». Elle pédala, maintenant un rythme peu rapide pour le moment « On va pas parler de ça quand même, raconte-moi un peu les news de ta vie… ». Un léger sourire sur les lèvres, la blonde va pouvoir commencer à comérer avec son amie et rien de mieux que ça… Adèle était l’une des rares personnes au courant de toute l’histoire Isaac, et elle savait que Justine voulait plus que tout tourner la page et vivre une belle histoire d’amour « Bah écoute, j’ai rencontré quelqu’un ! Mais bon je sais pas, Isy est toujours trop dans mes pensées… ». Elle continua à pédaler, remettant de l’ordre dans ses pensées « J’aimerais vraiment trop l’effacer, et je pensais en être capable il y a quelques années, j’avais réussi à voir quelqu’un, mais après quelques mois je me suis dis que j’y arriverai jamais… ». Elle soupira légèrement « T’as pas un remède miracle ? ».


©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptySam 12 Oct 2019 - 22:06

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


Justine avait pris une place importante dans sa vie, en si peu de temps, et parfois un regard leur suffisait pour éclater de rire. Parce qu’elles étaient sur la même longue d’onde. Parce qu’il n’y avait pas toujours besoin de mots pour qu’elles se comprennent toute les deux. Il suffisait qu’elles se promènent dans la rue et que leur regard se pose en direction du même endroit, et qu’un truc peu anodin se passe pour qu’elles fondent dans un rire, parfois légèrement moqueur, parfois plus tendre. Elles n’étaient jamais méchantes. Mais une chose est certaine, c’est qu’aujourd’hui, Addie aime ses moments détente avec sa copine, à se raconter un peu tout et n’importe quoi. Surtout n’importe quoi, autant le dire… D’ailleurs souvent la conversation se tourne autour des mecs, du maquillage ou des potins quotidiens. Que ce soit à la salle de sport comme aujourd’hui, ou autour d’un bon starbuck coffee, elles aimaient se taquiner. A peine Addie pose ses fesses sur le vélo, commençant tranquillement à pédaler se tenant sur le guidon, que son amie lui montre quelques sportifs, visiblement ils avaient l’air d’y venir assez régulièrement à en voir leur physique, ce qui n’échappa au regard de lynx d’Addie, sourire en coin des lèvres, les observant discrètement (oui elle sait faire ça). «  Cool j’ai bien fais mon boulot alors ! » Qu’elle avoue avant de rigoler légèrement en voyant le regard amusé de son amie, Addie était vraiment le genre de nana à pouvoir aller les voir pour un rencart avec son amie. «  Il y en a un qui te plait ? » Innocente question mais pas discrète pour un sous, Justine la verrait arriver de loin mais au moins elles rigoleront bien. «  Tu as qu’un mot à me dire, tu le sais… » Le sourire continuellement plaqué sur sa bouille angélique, elle lui jette un regard, attendant patiemment si elle voulait qu’elle lui prouve qu’elle avait chiche. Combien de fois, ça c’était retourné contre elle quand elle voulait jouer les entremetteuses, mais ça ne lui avait guère apprit la leçon, faut croire… «  Tu devrais me le présenter alors, on a presque le même âge… » Qu’elle avoue, alors en parlant du dernier client que la futur agent immobilière avait eu. Et ça n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, aussi elle tourne son visage et échange un long regard avec la blonde, un sourire qui s’étend sur son visage attend le pire truc qui pourrait arriver à Justine, alors elle se rétracte, coupant l’élan de générosité de la brune, qui rigole face à l’expression de Ju sur son visage, «  non j’aurai pas du te dire ça, t’es capable de tout ! Si tu veux me présenter quelqu’un, s’il te plaît, choisis bien… » Addie soupire, sa mine change et elle fait mine de bouder quelques secondes, avant de jeter ses yeux sur la blonde, et de lui avouer, les yeux brillants, «  je peux te faire une date… » C’était dans ses cordes ça ! Elle n’a jamais su d’où lui venait ce besoin de voir les gens autour d’elle heureux, peut-être parce qu’elle l’était, elle aussi. Heureuse, même quand tout s’abat sur elle. Parce qu’elle le sait, une bonne étoile veille sur elle, Adèle n’en a jamais douter, ses parents sans aucun doute même si elle n’était pas du tout croyante. Elles finissent par parler de sa maladie, que très rapidement parce que Adèle n’aime pas en parler. Elle, elle veut parler de vie, d’amour, de rire. Pas de mort, de traitement ou de peur. Même si elle savait que Justine serait toujours là si elle avait besoin. «  Si jamais t’as besoin de faire une pause dans la séance hésite surtout pas ! Elle acquiesça d’un signe de tête même si Justine sait qu’elle ne se plaindra jamais, que le sport c’est sa raison de vivre, «  tant mieux alors ! » Elle lui sourit, ralentissant un peu la cadence, elle laisse son regard se perdre dans la salle, pas beaucoup de monde avant de voir un coatch arriver, Addie fait signe à Justine de regarder derrière elle. «  Bah écoute, j’ai rencontré quelqu’un ! Mais bon je sais pas, Isy est toujours trop dans mes pensées… » Et là, il n’y avait plus personne dans la salle d’aussi intéressant que ce que lui disait Justine, elle releva son visage, la regardant. Elle voulait plus de détails, forcément. «  Tu as rencontré quelqu’un ? Mais tu ne comptes pas me laisser comme ça ?  » Dans le flou artistique… «  J’aimerais vraiment trop l’effacer, et je pensais en être capable il y a quelques années, j’avais réussi à voir quelqu’un, mais après quelques mois je me suis dis que j’y arriverai jamais… » Isaac, Addie le connaît très bien pour être l’un des infirmiers qui a pris soin d’elle comme un grand frère l’aurait fait, et elle ne cherchait pas à prendre parti, parce qu’elle les adorait tous les deux. Et qu’en amour, il faut être deux, le sens unique ne fonctionne jamais bien longtemps. Pire que ça, ça fais souffrir ! Elle posa sa main sur celle de son amie, la réconfortant comme elle le pouvait, avec un cœur bancale. «  Parce que ce n’était pas le bon ni le moment Ju…  » Que pouvait-elle dire elle, elle n’a que vingt-trois, elle n’a jamais connu le grand amour, celui qui fait transporter, celui qui fait tout oublier à côté. Elle pensait à plusieurs reprises l’avoir eu mais ça ne s’est soldé que par des échecs. «  Mais il est quelque part, et il n’attend plus que son infirmière…  » La rêveuse, la douceur incarnée qui se laissé bercer dans des illusions. Absurdes pour certains comme lui dirait Freya, mais elle aimait y croire Adèle. «  T’as pas un remède miracle ? » Qu’elle lui demande alors, grimaçant légèrement, elle soupire Adèle. Parce qu’elle n’a pas de remède, si elle en avait un, elle l’aurait déjà jeté sur un trentenaire. «  Non ma Ju, je n’ai pas de remède miracle, si je l’avais…  » Elle hausse les épaules, puis poursuit avant de regarder Justine, essayant de lui répondre le plus sincèrement possible. «  je crois qu’il faut pas chercher à l’oublier Isy, quand ça sera le bon moment, il disparaîtra…  » Et le bonheur apparaîtra…
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptySam 12 Oct 2019 - 23:25

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineLe côté pétillant et la spontanéité d’Addie étaient deux choses qui avaient rapidement fait fondre le petit cœur de Justine, et elle appréciait de la compter dans ses amies. Elle avait toujours de nouvelles idées farfelues, et la blonde ne s’ennuyait jamais à ses côtés. Elles avaient beau avoir quelques années de différence, quand elles étaient ensemble, ça ne se ressentait pas du tout, et on ne devinait pas forcément qu’elles n’étaient pas sœurs. Justine savait qu’Adèle était une petite cupidon dans l’âme, et elle aimait son côté à essayer de lui trouver le grand amour. Elle n’avait pas d’amie comme elle, et de toutes façons peu étaient au courant de ses sentiments amoureux pour Isaac. Les deux amies se rinçaient discrètement l’œil face aux beaux mâles qui faisaient travailler leur musculature en face d’elles « Il y en a un qui te plait ? ». Justine leva un sourcil, méfiante face à une telle question. Elle ne connaissait que trop bien Addie pour savoir qu’à tout moment elle pouvait quitter son vélo et aller voir les jeunes hommes pour leur lâcher que sa copine flashait sur l’un deux « Je ne sais pas si j’ai envie de répondre à cette question… » elle fit mine de réfléchir et montra d’un geste de menton l’un des hommes, un brun qui s’échauffait un peu en retrait du groupe, ses écouteurs vissés dans les oreilles pour ne pas être déconcentré par la discussion animée de ses amis « Celui-là est vraiment pas mal j’avoue, mais imagine niveau caractère c’est un gros con ! ». Elle chuchota ses derniers mots, évitant de se faire remarquer par le groupe « Tu as qu’un mot à me dire, tu le sais… ». Elle sourit à son amie, secouant la tête face à la détermination sans faille de la brune « Et toi ? Il y en a un qui te plaît ? ». Elle la fixa, plissant les yeux pour insister sur sa question et essayer de lire dans les pensées de la jeune femme. La blonde rajouta que si Addie devait lui présenter quelqu’un, elle avait plutôt intérêt à bien choisir, Justine n’avait pas forcément envie de finir avec le premier venu « je peux te faire une date… ». Justine se retourna vers Addie, intéressée par sa proposition soudaine. Après tout, la brune connaissait les goûts de l’infirmière, et elle serait parfaitement capable de lui choisir un date digne de ce nom « Oh tu sais quoi, je te mets au défi. Un rendez-vous à l’aveugle, tu ne me dis pas qui je vais rencontrer, tu me donnes un jour, une heure, un lieu et j’irai. » Elle tendit sa main à son amie, voulant seller leur accord de manière un peu plus officielle « Tu connais mes goûts et mes exigences, et par pitié par un mec qui a pas oublié son ex ! ». Elle sourit à la brune et pédala à une vitesse plus élevée. Elles évoquèrent la maladie d’Addie de manière rapide, mais Justine était rassurée de savoir que la jeune femme avait commencé la chimio, elle était persuadée que c’était le début de la fin pour elle, et que la lumière l’attendait au bout du tunnel. Elle évoqua sa rencontre avec une nouvelle personne, malgré les sentiments intacts pour Isy « Tu as rencontré quelqu’un ? Mais tu ne comptes pas me laisser comme ça ? ». La blonde ne put s’empêcher de rire légèrement face à la curiosité dévorante de son amie, bien-sûr elle comptait combler ses attentes et lui raconter tout en détails « Il s’appelle Justin, il est informaticien… Je l’ai rencontré par hasard, il m’est rentré dedans en courant ! Il me plaît beaucoup mais je sais pas, il y a un truc qui me gêne, j’arrive pas à l’expliquer ! ». Elle essaya de réfléchir à une façon de formuler ses doutes « Je sais pas, je pense que y’a des histoires pas complètement réglées dans sa vie, un mauvais pressentiment ! ». Elle hocha les épaules, elle se trompait peut-être, mais généralement son instinct ne la trompait pas. Elle parla rapidement de Dimitri, et de l’échec de leur histoire et Addie posa une main réconfortante sur la sienne « Parce que ce n’était pas le bon ni le moment Ju… ». Elle hocha lentement la tête en se pinçant les lèvres, elle avait surement raison Addie, ce n’avait pas été le bon moment « Oui c’est vrai… ». Elle lui fit un sourire réconfortant, ne voulant pas gâcher l’ambiance « Mais il est quelque part, et il n’attend plus que son infirmière… ». Elle afficha un grand sourire sur ses lèvres, touchée par la gentille phrase de son amie « J’espère ! ». Elle lui demanda une recette magique pour oublier Isaac, espérant qu’elle possède le remède miracle, la solution à tous ses problèmes, mais c’était complètement naïf de penser qu’une telle chose existait « Non ma Ju, je n’ai pas de remède miracle, si je l’avais… », elle continua « je crois qu’il faut pas chercher à l’oublier Isy, quand ça sera le bon moment, il disparaîtra… ». La blonde approuva son propos et lui sourit « Oui tu as raison, ça viendra quand ce sera le bon moment ! ». Elle lui donna un petit coup de coude pour la taquiner « Eh pour une enfant, t’es plutôt mature tu sais ! ». Elle accéléra encore le rythme de pédalage et commença à sentir son cœur accélérer « Et toi alors ? Les amours ? Ou les emmerdes d’ailleurs ? ». Elle lui glissa un clin d’œil, attendant sa réponse.


©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyDim 13 Oct 2019 - 15:05

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


La fraîche et pétillante Adèle en redemandait toujours. Jamais convaincue d’assouvir sa soif envers le monde extérieur, elle regarde toujours autour d’elle d’un œil observateur, voulant à sa manière conquérir un monde qui ne lui appartient pas vraiment. La salle de sport c’est son domaine, là où elle passe le plus clair de son temps, et cela avant même qu’elle tombe malade – puisque depuis, elle y vient moins souvent. Davantage quand le boulot lui prend déjà toute son énergie quotidienne. Son chef est d’ailleurs assez cool pour l’instant, lui permettant d’être assez libre de ses actes, tant que le taf est fait. Parfois donc elle bosse de chez elle, il lui suffit juste d’avoir un accès internet pour rechercher des biens. Et ça, elle affectionne particulièrement faire sa fouineuse. Addie regarde le monde autour d’elle avec un œil peu commun, un regard d’enfant, ne sachant pas très bien si elle désire grandir ou pas. La vie des adultes est chiante à mourir d’après elle ! Mais son frère aîné veille à ce que ses conneries n’endommagent pas trop ses responsabilités, et sa vie d’aujourd’hui.  « Je ne sais pas si j’ai envie de répondre à cette question… Adèle tire la langue à son amie avant de tourner le visage de l’autre côté en direction des sportifs, elle les contemple un court instant essayant de deviner lequel pourrait lui convenir le plus, celui-là est vraiment pas mal j’avoue, mais imagine niveau caractère c’est un gros con ! » Elle hausse les épaules, pourquoi elle voudrait qu’il soit con ? «  Tu crois ? Moi je pense pas, c’est plutôt le gars qui sait pas faire la conversation ça… » Écouteurs dans les oreilles, à faire du sport, ne regarde même pas les jolies filles, pas intéressant pour Adèle. « Et toi ? Il y en a un qui te plaît ? » Elle tourne illico son visage en faisant les gros yeux, elle les mecs ? C’est comment dire, l’échec assuré davantage pendant cette période difficile de la vie, mais finalement observer de loin ce n’est pas si mal… «  Si t’as un rencart avec un de ses types, j’en choisirais un… Juste pour le fun… » Ce n’était pas vraiment l’un de ses types d’homme, Adèle était bien plus dans le choix un peu sauvage, un peu bad boy, mauvais garçon. De préférence latin, avec leur accent, il la faisait tomber comme une mouche… «   Mais toute façon, je cherche pas à ce qui me plaît… Je veux pas m’attacher… » Impensable pour la sportive aujourd’hui d’ouvrir son cœur, alors autant passer du temps avec un qu’elle est certaine de pas s’attacher. Même si c’était bizarre de la bouche d’une nana qui s’attache plus vite qu’il faudrait. Reproduisant toujours les mêmes erreurs. Comme si finalement elle ne retient jamais de ses erreurs. Elle est jeune Adèle, il est peut-être là son souci, elle est insouciante et pense qu’elle pourra changer le pire en parfait agneau. Elles pédalent les deux amies, avant que la blonde avoue, souriante et posée, « oh tu sais quoi, je te mets au défi. Un rendez-vous à l’aveugle, tu ne me dis pas qui je vais rencontrer, tu me donnes un jour, une heure, un lieu et j’irai. Le sourire de Addie s’intensifie à sa phrase et elle répond en tapant dans la main de son amie pour sceller le pacte, tu connais mes goûts et mes exigences, et par pitié par un mec qui a pas oublié son ex !  » Elle acquiesce d’un signe de tête, «  défi relevé… Tu ne seras pas déçue… » Oh que ça non ! Elle s’imaginait déjà lequel de ses contacts pourrait lui correspondre le plus, et Adèle hésitait. Parce qu’il lui fallait quelqu’un de sérieux, et pas un dont Adèle est certaine que ça n’aboutira jamais. Elle laissait faire son imagination et si il y a une chose qu’on ne peut pas lui retirer c’est bien ça. L’âme de Cupidon comptait bien faire des miracles. Elle arrête de pédaler, se lève et se place devant le vélo de Justine, posant ses bras vers le guidon du vélo de son amie, tout en l’écoutant, « il s’appelle Justin, il est informaticien… Je l’ai rencontré par hasard, il m’est rentré dedans en courant ! Il me plaît beaucoup mais je sais pas, il y a un truc qui me gêne, j’arrive pas à l’expliquer ! » Justin, informaticien, ses infos rentrent dans son cerveau à une rapidité folle, les cours ne rentrent jamais aussi vite, mais quand il est question de se raconter ce genre de truc entre copines, Addie répond toujours présente… «  Le coup du rentre dedans ça fonctionne toujours, » se moque gentiment Addie en lui jetant un regard amusé avant qu’elle ne reprenne, visiblement un peu embêtée. « Je sais pas, je pense que y’a des histoires pas complètement réglées dans sa vie, un mauvais pressentiment ! » Elle réfléchit un instant, «  ah bon ? C’est-à-dire ? Genre une ex pas vraiment oublié ? » Lui demande Addie, ça arrive plus souvent que nécessaire et Adèle n’a jamais vraiment aimé ça. Elles viennent à parler rapidement d’Isy, « oui c’est vrai… Elle hausse les épaules, et lui dit sincèrement, j’espère ! » Pour Adèle le temps arrivait à tout régler. Mais finalement, elle n’a jamais vraiment connue de grande déception amoureuse, elle. La passion s’est tirée avant, et sans passion, Adèle tourne les talons. C’est ça qui la transporte, qui la fait vibrer. «  Le temps ne déçoit jamais Ju… » Qu’elle lui avoue avec amertume et sincérité. Mais Justine devait laisser faire le temps et faire en sorte de profiter de la vie, de provoquer le destin. C’était ainsi que Addie en tout cas était parvenue à se relever, à chaque fois… Mais elle restait convaincue que le grand amour l’attendait quelque part et qu’elle n’était pas parvenue encore à y mettre la main dessus. « Oui tu as raison, ça viendra quand ce sera le bon moment ! » Elle lui file un coup de coude, taquinant à son tour après que celle-ci la traite de vieille, elle lui la pareille en la traitant de gamine, « eh pour une enfant, t’es plutôt mature tu sais ! » Elle lui tire la langue avant de lui ajouter, d’un air boudeur, «  chui pas une gamine ! » Sans doute, on lui avait déjà dis pour sa maturité, peut-être grâce à son frère aîné qui est quelqu'un de posé et de calme et dont elle a toujours pu compter sur son oreille attentive. Quelques secondes à tenir avant de fondre dans un rire, alors que le regard n’échappe à Justine, et elle lui demande à son tour comme si elle connaissait suffisamment Adèle pour savoir qu’il y avait peut-être ce cœur qui s’emballait un peu vite pour un homme en particulier, « et toi alors ? Les amours ? Ou les emmerdes d’ailleurs ? » Elle se relève un peu du vélo avant d’hausser les épaules. «  Rien de concret… » Et c’était vrai, elle avait du mal à casser la barrière de l’Italien, et dans le fond ça l’agaçait même si ce jeu lui plaisait, sans aucun doute. «  On va dire que je ne suis pas insensible au charme d’un homme à l’association Beauregard. » Un sourire qui s’étire sur ses lèvres, et que même si elle voudrait qu’il s’efface elle n’y parviendra pas, merde ! Ouais c’était un secret pour personne la bas, même Noa la directrice lui posait parfois des questions sur Nino la mettant en garde sur cet homme. Elle s’en fiche elle, Adèle de ce qu’elle pense !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyLun 14 Oct 2019 - 18:06

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineJustine commençait à connaître la brune, si elle posait une question comme ça, elle avait forcément une idée derrière la tête et à tout moment on pouvait la voir traverser la salle de sports pour aller lâcher au mec concerné que son amie la blonde là-bas le trouvait craquant. Elle était vraiment spontanée et rien ne l’arrêtait quand il s’agissait d’essayer de caser l’infirmière, c’était adorable comme façon d’agir, et si un jour elle arrivait à lui trouver quelqu’un, Justine lui serait éternellement reconnaissante « Tu crois ? Moi je pense pas, c’est plutôt le gars qui sait pas faire la conversation ça… ». La blonde leva les yeux au ciel, elle n’avait pas du tout la même vision qu’elle sur le sujet et elle ne se gêna pas pour exprimer son opinion « Mais non Addie, c’est un homme qui s’investit dans ce qu’il fait, tu vois il refuse toute distraction, c’est beau non ? ». Elle rit, presque sûre de connaître la réponse de son amie sur cet avis. Elle lui renvoie la question, espérant lui tirer des infos croustillantes et repérer lequel avait le plus accroché le regard de la jeune femme « Si t’as un rencart avec un de ses types, j’en choisirais un… Juste pour le fun… ». La blonde pouffa en pédalant, un double-date avec Addie, c’était clairement un concept qui promettait « T’imagines, et si ça nous plaît pas, on les échange, histoire de se faire un avis sur les deux et de partager après ! ». La blonde rigola, de manière peu discrète puisque l’un des mecs du groupe releva la tête dans leur direction et remarqua leur regard fixés sur eux. Justine reprit un air sérieux et chuchota à Adèle une fois le jeune homme retourné à ses occupations « Eh merde ! Je crois qu’on vient de griller toutes nos chances d’obtenir un double date ». Elle afficha à grand sourire à la brune et chercha du regard un écran pour voir quel clip passait en ce moment. Dans les salles de sport il y avait toujours des chaînes de musique qui étaient mises sur les écrans, pour motiver les abonnés à ressembler aux acteurs des clips. Elle grimaça en voyant le programme qui passait et se tourna vers Adèle « Sérieux ? Un reportage sur les pharaons ? Ils auraient pu trouver mieux… » Elle fit un mouvement de menton en direction de l’écran concerné, qui était d’ailleurs le seul à diffuser cette émission, ce qui devait être une erreur de la part du gérant « Mais toute façon, je cherche pas à ce qui me plaît… Je veux pas m’attacher… ». La blonde lui sourit gentiment, Adèle semblait bien déterminée à ne pas ressentir de sentiments pour le moment et elle comprenait totalement « Tu as raison, écoute ton cœur. ». Il valait mieux ne jamais se forcer en terme de relations, et l’infirmière en avait eu la preuve par le passé avec Dimitri, maintenant elle avait décidé d’écouter son instinct à tout prix. Elle lança un challenge à Addie, qu’elle s’empressa d’accepter, joyeuse de pouvoir rendre service à son amie « défi relevé… Tu ne seras pas déçue… ». Justine releva un sourcil, curieuse de savoir quelles idées avaient la brune, elle était vraiment capable de tout « J’ai hâte de voir ça… ». Elle continua à pédaler, se concentrant sur son souffle qui s’accélérait petit à petit. La brune vient se placer face au guidon de Justine pour l’écouter parler de sa rencontre avec Justin « Le coup du rentre dedans ça fonctionne toujours, ». Justine sourit en hochant la tête, c’est vrai que ça paraissait extrêmement cliché, pourtant c’était bien arrivé « Tu as raison ! ». Elle observa son amie, lui racontant la suite des évènements et son mauvais pressentiment « ah bon ? C’est-à-dire ? Genre une ex pas vraiment oublié ? ». Justine hocha lentement les épaules, réfléchissant en même temps, essayant de se remémorer les moments qu’elle avait passé avec le brun « Je sais pas, c’est possible… Je vais essayer de creuser ça parce que j’ai pas envie d’aller plus loin si c’est ça ! ». Elle était sûre qu’Addie comprendrait sa réticence à s’engager dans une relation où elle ne serait que le plan B, la bouée de secours qui pouvait être jetée à tout moment si l’ex en question revenait « Le temps ne déçoit jamais Ju… ». Elle hocha lentement la tête, un petit sourire au coin des lèvres. Elle était vraiment admirablement sage du haut de ses 23 ans et c’était rafraîchissant d’avoir une personne comme ça dans sa vie. Elle s’empressa de répondre à la taquinerie de Justine sur son âge en tirant la langue « chui pas une gamine ! ». La blonde rit de bon cœur, la voyant avec sa langue sortie. Elle lui demanda si elle avait du nouveau dans sa vie amoureuse, si elle avait quelque chose à dire à Justine pour que les potins soient partagés dans les deux sens « Rien de concret… ». La blonde la regarda sérieusement, attendant avec impatience la suite « On va dire que je ne suis pas insensible au charme d’un homme à l’association Beauregard. ». Justine haussa son sourcil, un sourire malicieux sur le visage « Je suis bénévole là-bas… Je le connais peut-être ! ». Elle arrêta de pédaler un instant, but une gorgée d’eau dans sa gourde et reporta son attention sur son amie « Et lui, il est sensible à ton charme ? ».

©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyMar 15 Oct 2019 - 13:48

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


Adèle n’était pas du genre à garder les choses pour elle, pas quand c’est léger du moins. Parce qu’elle a encore beaucoup de mal à se confier sur la mort de ses parents, d’ailleurs peu de ses connaissances ne savent qu’elle n’a plus ses parents à ses côtés depuis ses quatorze ans et que c’est son grand frère Adrian qui l’a élevé, avant de disparaître pour devenir militaire. Elle ne lui en veut pas mais la vérité c’est qu’elle ignore la vraie raison de cet éloignement soudain, en revanche le petit dernier de la famille ne cesse de vouloir le provoquer. Adèle a longtemps voulu adoucir leurs cœurs. Et calmer cette tempête déferlante dans sa propre famille alors qu’ils venaient tout juste de perdre leur repère, leur mère. Elle était sa confidente, elle était toujours là pour conseiller et aider du mieux qu’elle pouvait sa petite fille chérie. La seule fille de la famille, et Adèle a toujours pu lire toute la confiance et l’admiration de son père quand il la regardait. Ce qui était beaucoup moins le cas pour Adrian, mais tout ça reste enfoui dans les tombes de leurs parents et Adrian n’a jamais vendu la mèche à sa petite sœur, voulant peut-être qu’elle garde toujours cette image naïve d’un père pourtant pas si tendre qu’elle le pense… « Mais non Addie, c’est un homme qui s’investit dans ce qu’il fait, tu vois il refuse toute distraction, c’est beau non ? » Elle se moque d’elle ? Adèle la regarde avec un regard suspect. Qu’est-ce qu’il faut pas entendre, sérieusement, Addie pouffe de rire. « Ah bin c’est sur si tu veux passer après sa salle de muscu, fonce ! » Qu’elle lui dit, avec un large sourire sur ses lèvres. Adèle ne voyait pas les choses ainsi, mais la passionnée en elle ne pourrait de toute manière jamais coopérer sans la passion de deux corps. « T’imagines, et si ça nous plaît pas, on les échange, histoire de se faire un avis sur les deux et de partager après ! » Pourquoi dans le monde de Justine c’était possible ça ? Pas dans le monde de la naïveté de Adèle. Elle n’avait jamais songé à jeter les mecs avec qui elle sortait car elle ne s’était jamais forcé à sortir ou accepter un rendez-vous sans en avoir l’envie. Elle n’avait pas eu beaucoup de relation, suffisamment pour savoir que parfois ça fait souffrir, enfin c’était surtout quand elle écoutait les autres, car elle, n’a jamais ressenti de tristesse pour une séparation, juste son ego qui en prenait un coup. Elle a ce côté à toujours rebondir, peut-être sa jeunesse, ou le fait que ses frères et son cousin sont toujours là pour la remotiver après une quelconque déception. Pourtant, elle la sentait cette fois, la déception arriver. Pour ce garçon, plus qu’un autre. « depuis quand tu partages toi ? » Elle relève ses yeux vers son amie, avec un semblant outrée de ses propos. Un gars se retourne vers elles, et Adèle n’a envie que d’une chose lui faire signe de la main pour lui faire coucou, mais s’abstient devant la phrase de son amie, « eh merde ! Je crois qu’on vient de griller toutes nos chances d’obtenir un double date » Elle rigole Adèle alors que Justine chuchote, pas le moins du monde pour Adèle, si ils viennent les voir, ça ne facilitera que le travail, « tu crois ? Ce serait pas difficile de le savoir tu sais… » Qu’elle avoue avec sa moue habituelle pour obtenir satisfaction, avant de pouffer de rire en compagnie de Justine, « sérieux ? Un reportage sur les pharaons ? Ils auraient pu trouver mieux… » Elle porte son regard rapidement sur l’écran, les pharaons pas vraiment un truc qui la passion, et quand elles viennent à parler de garçons, c’est tout de suite un sujet plus attrayant pour elle. « Tu as raison, écoute ton cœur. » La passion l’emporte toujours, c’est bien connu, davantage quand on connaît Adèle Shephard. Mais ce n’était même pas le souci, le réel souci c’est que Adèle malgré son jeune âge se refusait de s’attacher à cause de sa maladie, parce qu’elle n’avait pas envie d’infliger ça à quelqu’un, qui plus est quand l’image physique est aussi importante. Et pour elle, ça l’est ! « J’ai hâte de voir ça… » Le sourire en coin de l’Australienne ne laissait rien présager de bon, elle avait elle aussi hâte. Elle aimait réunir des couples, c’est sa passion, à Adèle et si elle le pouvait entre son cousin et sa copine, pourquoi pas, « motus et bouche cousue. » Elle ne dirait rien, ne craquerait pas mais s’en frottait déjà les mains, enfant espiègle. « Je sais pas, c’est possible… Je vais essayer de creuser ça parce que j’ai pas envie d’aller plus loin si c’est ça ! » Qu’elle avoue, parlant de son nouveau Roméo. Adèle aimait voir ce sourire au coin des lèvres, aimait la voir heureuse et épanouie. « Je suis bénévole là-bas… Je le connais peut-être ! » Et merde, Adèle avait oublier ce léger détail, elle jeta un regard en coin à son amie, elle avait donné maintenant bien trop de détail. Il suffirait qu'elle demande à la secrétaire de l'entrée pour que cette langue de vipère se délite sous les interrogations de Justine. Il n’y avait qu’une chose à faire et Addie s’en empressa en hochant négativement la tête, « probablement pas, il s’mélange pas aux autres. » Et en soit c’était vrai. Elle savait de toute manière qu’elle pouvait avoir confiance en Justine, pourtant elle ne parvenait pas vraiment à accepter qu’il pourrait s’intéresser à elle. « Et lui, il est sensible à ton charme ? » Elle avait envie de s’étouffer sur place, et pourtant elle fait un minime sourire à Justine, lui répondant, « je sais pas, pas vraiment je crois. » Elle croit ? Elle ne sait pas en vérité, car Nino n’est pas du genre à s’ouvrir aux autres, et qu’elle a beaucoup de mal à ouvrir sa carapace même si elle commence à y parvenir, par petit bout. Elle a juste peur de se faire des illusions elle préfère ne pas en avoir, avec sa maladie. « Toute façon, je suis malade Justine, qui voudrait d’une personne malade ? » C’était sa réponse facile, à Adèle pour s’éviter d’y penser de trop, elle hausse les épaules. Elle a encore ses cheveux, elle a encore une peau normale, et l’envie de se battre, mais la maladie finira probablement par l’apporter. Comme bien trop souvent…
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptySam 19 Oct 2019 - 22:39

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & Justine« Ah bin c’est sur si tu veux passer après sa salle de muscu, fonce ! ». Les deux amies rient joyeusement ensemble. Bien évidemment Justine plaisante, et bien que très attirant, ce jeune homme n’est très certainement pas le futur homme de sa vie. Il n’est qu’un homme sur lequel elle aura flashé pendant une séance de sport et restera uniquement cet homme-là « T’as raison, c’est un mauvais plan. ». Elle répond, taquine avec la jeune femme. Elle aime bien ces moments de légèreté, de spontanéité qu’elle a avec Adèle. Elle ne réfléchit pas dans ces moment-là, elle est juste elle-même, brute et sans aucun filtres, sans aucun masque, et c’est extrêmement rafraîchissant et agréable. La blonde propose un échange de mecs, pour pouvoir alterner et débattre après sur les qualités et défauts des concernés. Elle propose ça bien évidemment pour rigoler, et n’en pense pas à un mot, mais au vue du regard outré de son amie, Addie a du la prendre au sérieux « depuis quand tu partages toi ? ». Justine rit légèrement, amusée par le fait que la brune ait pu penser une seconde qu’elle était sérieuse sur le sujet. La blonde n’avait eu qu’une seule relation de toute sa vie, et elle remontait au lycée, donc avoir une relation libre avec un homme, et partager avec l’une de ses plus proches amies n’était vraiment pas dans ses projets, et ne correspondait pas à sa façon de penser et à ses principes « Oh non Addie, je disais ça pour rigoler je te rassure ! Ce serait méga glauque… ». Avoir une relation avec un homme en sachant que son amie était passée avant, ou aller passer après, ce n’était vraiment pas concevable pour elle, et elle n’imaginait pas du tout que ce le soit un jour ou l’autre. Les deux femmes sont rapidement repérées par le groupe de mecs, il faut dire qu’elles sont très peu discrètes, toutes les deux face à eux, avec des regards très insistants. Justine essaie de réduire le volume de sa voix pour tenter de moins se faire remarquer « tu crois ? Ce serait pas difficile de le savoir tu sais… ». Sa résolution est rapidement tombée à l’eau puisqu’elle ne peut s’empêcher de rire avec son amie. Elle s’interrompt dans son rire, et regarde le plus sérieusement du monde Adèle « TU. OU.BLIES. ». Elle insiste sur chaque syllabe, ne la lâchant pas du regard. Elle finit par perdre son sérieux et repart dans un fou rire. Tant pis pour la discrétion, c’était bien trop agréable de rire avec la jeune femme, et Justine ne comptait pas se restreindre. La discussion autour du rendez-vous à l’aveugle maintient Justine intéressée et attentive. Elle sait qu’Adèle ne laissera passer aucune information et elle est déjà excitée d’y être et de voir ce que son amie lui réserve « motus et bouche cousue. ». Justine sourit à son amie et réfléchit quelques minutes aux possibilités qui s’offraient devant elle : est ce qu’Addie choisirait quelqu’un qu’elle connaissait ? Ou bien elle allait inscrire Justine sur un site de rencontre et gérer son compte pour lui trouver un date ? Elle n’en avait aucune idée mais elle savait que la jeune femme était capable de tout. C’était à la fois terrifiant et excitant. Le sujet dévia pour s’intéresser au crush de la jeune Addie. Justine lui avoua qu’elle avait peut-être croisé son homme car elle travaillait également à l’assoc’ Beauregard « probablement pas, il s’mélange pas aux autres. ». La blonde hocha les épaules, elle aurait l’occasion de le rencontrer une prochaine fois, quand Adèle lui présentera officiellement. L’infirmière lui pose la question fatidique, est-ce-que lui était intéressé par elle ? « je sais pas, pas vraiment je crois. ». Adèle était une femme adorable et pleine de vie, elle était intéressante, rayonnante et elle avait beaucoup d’humour en plus d’être magnifique. Justine était sûre que ce jeune homme ne devait pas être indifférent, mais peut-être n’osait-il rien dire « Mmh, tu verras avec le temps je suppose… Vous vous voyez tous les deux des fois ? ». Elle tourna son visage vers elle, observant ses réactions de jeune femme qui avait craqué sur quelqu’un. C’était trop mignon de la voir rougir, se gêner et la blonde était contente de la voir dans cet état « Toute façon, je suis malade Justine, qui voudrait d’une personne malade ? ». Justine fronça doucement les sourcils, totalement en désaccord avec ce que venait de dire Adèle. Ce coup-ci, ce fût son tour de descendre de son vélo pour se placer face à son amie. Elle déposa une main amicale sur la sienne « Addie… Je veux pas que tu dises des choses comme ça… N’importe quel homme sensé voudrait de toi ! ». Elle serra sa main dans la sienne, soutenant son regard pour lui montrer qu’elle était honnête « T’es une personne formidable, et ça, la maladie ne peut pas te l’enlever ! ».



©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 1949770018
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyDim 20 Oct 2019 - 17:52

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


Elle aimait particulièrement la présence de son amie auprès d’elle, les deux femmes ne se prenaient jamais la tête, c’était même souvent très léger entre elles. Ça se voit qu’elles sont proches, et qu’elles partagent beaucoup de chose l’une et l’autre. Pour dire vrai, Adèle a entièrement confiance en Justine, et il lui arrive souvent de se confier à elle. Elle sait lui redonner confiance quand celle-ci perd un peu pied. Ce n’est pas tous les jours, mais ça lui arrive parfois, à Adèle de perdre un peu pied. De ne plus être aussi légère, mais plutôt de s’inquiéter parfois pour pas grand-chose. Comme tout le monde sans aucun doute. Adèle a arrêté un peu de pédaler et se tient droite devant le vélo de son amie, rigolant à cœur joie sur les mecs présents dans la salle. Légèrement moqueuse même si en soit rien de bien méchant, elles aiment polémiquer sur eux. C’est quelque chose qu’elle fait souvent Adèle et même, que beaucoup de monde font souvent. « T’as raison, c’est un mauvais plan. » Lui confie son amie en rigolant de plus belle, alors qu’elle cherche à se faire plus discrète. Mais c’est sans compter sur la miss Shephard qui ne l’entend pas de cette oreille. On a qu’une vie, elles ne font rien de mal alors cette dernière ne compte pas le moins du monde coopérer. Bien au contraire et même si elle attire le regards sur elles. « Franchement ? Grave ! » Elle n’arrive pas à se contenir, et tant elle se marre, elle se penche légèrement sur le vélo, en regardant tout sauf son amie, histoire d’arriver à se calmer. Un peu… « Oh non Addie, je disais ça pour rigoler je te rassure ! Ce serait méga glauque… » Mais elle relève son regard sur l’infirmière d’un air plutôt sérieux, quand celle-ci dit que ce serait glauque. Et d’ailleurs Adèle pense que c’est même pire… « Je ne vous voyez pas vraiment comme ça mademoiselle Hudson… » Elle semble garder son sérieux jusqu’à ce que Justine pouffe de rire et qu’elles repartent tous les deux à rire comme deux gamines. Habituellement, le sport c’est essentiel dans sa vie, mais là elle ne sait pas pourquoi, elle a ptètre besoin de lâcher la vapeur… « TU. OU.BLIES. » Qu’elle lui dit devant le regard amusé de Adèle, tout en détachant chaque syllabes comme pour faire rentrer ça dans le crâne de la futur agent immobilière. Regard espiègle, sourire en coin, elle hoche pourtant la tête, et tourne légèrement la tête vers le groupe de garçons, dont un les regarde sans ménagement, avant de se recevoir un coup gentil par Justine comme pour vouloir lui dire qu’elle l’avait à l’œil. Elle la regarde un air angélique sur son visage, le ton rieur. Et puis la conversation change un peu de tournure, et Adèle n’accepte pas vraiment se confier. Disons, qu’elle ne sait jamais vraiment comment prendre la chose. D’autant plus que l’Italien lui paraît bien trop mystérieux pour qu’elle s’avance dans quoi que ce soit… Mais qu’est-ce qui lui plait ! Depuis sa première escapade à l’association en mars. « Mmh, tu verras avec le temps je suppose… Vous vous voyez tous les deux des fois ? » Elle hausse les épaules, sans doute le temps leur dira… Mais elle ne l’avouera jamais au jeune homme ! « Totalement par hasard… Est-ce que ça compte ? » Qu’elle demande, presque timidement, avant d’ajouter dans un regain d’énergie encore inconnue, « c’est Nino. Nino Marchetti. » Elle n’sait même pas pourquoi elle lui avoue qui sait, mais elle n’arrive même pas à cacher ce sourire au coin des lèvres. Il suffit qu’il soit devant elle, pour que les autres autour d’elle n’existent plus. Elle n’a jamais été habituée à ça par le passé. Elle s’rait complètement folle de tomber amoureuse de l’Italien. Et pourtant, elle en pince sévère pour lui… Pour elle ce n’est pas juste l’agent d’entretien de l’association, ou le bon à rien comme il aime dire. Non c’est Nino, et pour elle, c’est déjà suffisant. C’est surtout lui qui lui permets de tenir encore le bout, parce qu’il veille de loin qu’elle revienne. Toujours… Son amie fait le tour du vélo une fois descendue et elle se met derrière elle. Adèle perd son sourire parce qu’elle sait, ce qu’elle va lui dire. « Addie… Je veux pas que tu dises des choses comme ça… N’importe quel homme sensé voudrait de toi ! Elle hausse les épaules, on dirait une enfant qui se fait engueuler par sa maman. Justine enveloppa les mains de son amie avant de souffler en la regardant, t’es une personne formidable, et ça, la maladie ne peut pas te l’enlever ! » Ça lui faisait chaud au cœur, surtout dans ses moments où elle perdait pied. Elle est humaine Adèle, elle a un cœur qui vibre en dessous, un cœur qui parfois oublie qui vit au rythme d’une maladie. « Merci Ju, c’est adorable… » Dit-elle, sincère, ça lui faisait du bien d’entendre ses mots. Qui vient de la bouche d’une autre personne que Nell ou Adrian. « Alors il n’est peut-être pas censé… » Qu’elle osa, timidement, retrouvant un petit sourire. Elle disait ça pour rire, finit de se lamenter sur son sort, la jeune femme tira son amie avec elle, après avoir récupérer leur serviette et la bouteille d’eau, avant de se diriger vers les tapis pour bosser leur endurance, non sans passer devant les quatre mecs et de leur faire les yeux doux. Avant de grimper sur le tapis encore à l’arrêt et de le mettre doucement en marche.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyDim 27 Oct 2019 - 18:25

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineLes deux amies passent plus de temps à papoter qu’à réellement faire du sport, mais cela va bien à la blonde. Ça lui fait du bien de passer du temps avec Adèle, de juste profiter pour partager des potins, se taquiner et se détendre un peu, relâcher toute la pression de son travail. Elles plaisantent encore sur le groupe de mecs, même après s’être fait remarqué par l’un d’eux « Franchement ? Grave ! ». La blonde pouffe avec son amie, ne se souciant plus une seule seconde sa discrétion. De toutes façons, elles se sont déjà faites remarquer alors autant continuer. Elle continuait à pédaler, voulant quand même se donner bonne conscience et se dire qu’elle avait fait du sport malgré tout « Je ne vous voyez pas vraiment comme ça mademoiselle Hudson… ». L’infirmière la dévisage, observant son air si sérieux et elles repartent de plus belle en pleurant de rire. Justine passe sa main sur son visage, essuyant le mélange de larmes et de sueur qui a recouvert son visage. Elle attrape sa gourde et avale quelques gorgées d’eau, se rafraîchissant au passage et reprenant peu à peu son souffle. Au final, elle n’est pas essoufflée à cause de son effort physique, mais plus à cause des fous rires qu’elle partage avec la brune « Ahlala Addie, vraiment passer du temps avec toi y’a rien de mieux ! ». Elle lui adresse un sourire sincère et reprend le vélo, posant ses coudes sur son guidon. Elles changent de sujet et parlent de l’homme qui fait battre le cœur de la petite Adèle. Un bénévole de l’association beauregard. Justine questionne un peu Adèle, tentant d’en apprendre plus sur la situation pour avoir une vision complète « Totalement par hasard… Est-ce que ça compte ? ». La blonde lève sa main pour faire un mouvement qui montre qu’elle est assez mitigée. Le hasard, ce n’est pas comme des rencontres provoquées, ce n’est pas comme s’il y avait de vrais rencards programmés « Bof, mais ça peut évoluer ! ». Elle accroche son regard à la brune, écoutant attentivement ce qu’elle dit pour ne rater aucun détail « c’est Nino. Nino Marchetti. ». Justine réfléchit quelques minutes, elle est sûre d’avoir entendu le prénom, mais elle n’arrive pas à y associer un visage « Je le connais que de nom, mais je crois pas l’avoir déjà croisé ! » elle lui avoue en hochant les épaules. La blonde se permet de remettre en place Addie quand elle évoque sa maladie, et le fait qu’elle pourrait potentiellement repousser les hommes à cause de ça « Merci Ju, c’est adorable… ». La blonde resserre ses doigts autour des siens « C’est surtout sincère, et je le pense vraiment. » Elle lui sourit avec toute la tendresse qu’elle possède, pour tenter de la rassurer sur le sujet « Alors il n’est peut-être pas censé… ». Justine rit légèrement, contente de voir la brune retrouver un peu d’humour « C’est probable ! ». Elle rit et suit la jeune femme qui change de machine pour passer aux tapis de courses. Justine grimpe sur le tapis à côté d’Addie et le met en marche, commençant à enchaîner les petites foulées « En tout cas s’il y a la moindre avancée, je veux des updates ! ». Elle lui lance un clin d’œil, tandis que son rythme de course s’accélère petit à petit « Je pense qu’après cette machine, je vais arrêter pour aujourd’hui, je suis crevée ! » elle lui avoue, déjà un peu transpirante après ces quelques minutes de course.



©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyMer 30 Oct 2019 - 18:24

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_n4r0rjsCXz1r350t5o2_r1_250 (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Tumblr_inline_pfs3of6ow91rifr4k_1280
 « les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret »  (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 873483867  justine hudson & adèle shephard


C’était souvent ainsi avec Adèle, quand elle ne partait pas seule faire son sport, niveau rentabilité, ce n’était pas vraiment ça. Elle avait toujours des choses à raconter, des blagues à sortir. Vrai moulin à parole, elle ne savait pas rester de marbre trop longtemps et avait ce besoin de raconter ses âneries. De faire rire la galerie. Il suffisait d’avoir la présence d’hommes autour d’elles pour que la conversation devienne plus intéressante. Elle n’y pouvait rien, et il faut dire que son amie Justine a toujours été un bon public pour l’Australienne, qui surenchérissait toujours à ses conneries. Addie passait son temps à vouloir faire naître l’amour entre les personnes qu’elle connaissait, qu’elle côtoyait. « Ahlala Addie, vraiment passer du temps avec toi y’a rien de mieux ! » Le sourire davantage qui se lit sur son visage ne laisse présager que du bon temps qu’elle passe actuellement auprès de son amie. Elle a toujours été proche de Justine, l’épaulant et la conseillant du mieux qu’elle le pouvait. Adèle – tout comme Justine, est une bonne oreille attentive, qui n’a pas peur de donner son point de vu – et surtout quand ça la regarde pas, et prendre parti pour soutenir ses amis et ceux qui ont besoin d’elle. Très vite, elles se mettent à parler du coup de cœur de Justine, et la conversation se détourne sur celui éventuel de la jeune malade. « Bof, mais ça peut évoluer ! » Elle lui confesse que c’était plus ou moins mal partie. Et elle sait même pas si elle est surprise, très certainement qu’elle aurait la même chose à sa place, c’est évident, « ma maladie aussi… » Elle hausse les épaules, oui Justine n’allait pas être ravie mais elle était là cette vérité, inutile de s’enterrer la tête dans le sable, elle avait besoin de cette vérité Adèle pour avancer, qu’on lui dise les choses tel qu’elle, et non comme si elle n’était encore qu’une enfant à qui on minimise les choses. Mais très vite elle oublie tout ça, quand elle parle de Nino c’était plus fort, ce sourire qui s’étend sur ce visage. « Je le connais que de nom, mais je crois pas l’avoir déjà croisé ! » Et c’était bien dommage mais là-bas, peu de personne lui parlait, et dans le fond elle n’acceptait pas Adèle, qu’on le mette de côté juste parce qu’il n’a pas fait de grande étude. « C’est l’agent d’entretien. » Qu’elle ajoute à son amie pour qu’elle tente de se mettre un visage sur ce nom. « Tu dis rien à Noa… Je crois pas qu’elle pourrait tolérer de savoir ce genre de chose… » Et même si il se passe rien, Noa avait déjà mise en garde Adèle sur ça. Cette dernière avait fait l’innocente mais Noa n’était sans doute pas dupe, c’est une nana elle aussi. Elle sait très bien comment on regarde les garçons quand ils nous plaisent… Elle ne voulait pas mettre de l’huile sur le feu et risquer à Nino de perdre sa place inutilement. Surtout qu’il se passe rien et qui se passera jamais rien… Elle relève son visage vers Justine, « c’est surtout sincère, et je le pense vraiment. » Ca lui faisait plaisir d’échanger avec son amie, de pouvoir avoir des moments simples comme celui-là avec elle, « J’aime cette sensation qu’on sera toujours là l’une pour l’autre… » Qu’elle avoue avant de tourner le visage, et de lui tirer la langue face à sa réplique, « c’est probable ! » Elle rigole Addie, c’est probable qu’elle lui dit… « En tout cas s’il y a la moindre avancée, je veux des updates ! » Qu’elle curieuse celle-là aussi ! Elle lui fait un large sourire, alors que l’infirmière lui fait un clin d’œil, « tu seras la première au courant chef ! » Qu’elle avoue avant de rire et de poursuivre, « je t’enverrai un petit sms » Elle a finit de courir, essoufflée par le rythme, bien que pas spécialement rapide, elle passe sa main sur son front pour essuyée la légère brume de transpiration sur son visage, « Je pense qu’après cette machine, je vais arrêter pour aujourd’hui, je suis crevée ! » Elle descend du vélo avant de proposer, « tu veux qu’on aille boire un coup ? » Elle sautille légèrement, la regardant avec des yeux de petit chaton abandonné, « dis oui… » C’était impossible de lui refuser quoi que ce soit à cet instant, et Adèle Shephard en jouait à chaque fois…
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. EmptyMer 30 Oct 2019 - 19:14

Les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret ◊ Adèle & JustineMalgré la différence d'âge assez importante qui les séparait, Adèle et Justine possédaient une amitié bien plus que sincère, et partageaient tout ensemble, que ce soit ce qui concernait les sujets importants comme les ragots qu'elles aimaient se confesser. Leur relation datait d'il y a quelques temps déjà, et la blonde était persuadée qu'elle durerait encore longtemps. Elle lui lâcha une petite déclaration d'amour, lui avouant qu'elle adorait passer du temps avec elle et ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire niais en prononçant ces mots. Elle écouta attentivement la brune lui parler de son coup de coeur, ne laissant échapper aucun détail, mémorisant toutes les informations « ma maladie aussi… ». Justine afficha une moue un peu déçue. Elle comprenait qu'Adèle soit effrayée par l'incertitude qui planait au dessus d'elle, le fait que sa maladie soit totalement imprévisible et qu'elle pouvait guérir tout comme son état pouvait empirer « Je comprends, mais pour l'instant on en sait rien, alors on va juste profiter de l'instant présent ok ? ». Elle lui adressa un sourire qui se voulait rassurant, serrant sa main dans la sienne. Même si l'état d'Addie devait empirer, la blonde serait toujours une personne sur qui elle pouvait compter et auprès de qui elle trouverait refuge. Elle n'était pas là pour la juger, elle était seulement là pour l'aider à traverser cette étape de sa vie qui pouvait se montrer chaotique et complètement injuste. Elle lui avoua ne pas connaître Nino malgré qu'ils fréquentaient tous les deux l'association « C’est l’agent d’entretien. ». Justine plissa les yeux, réfléchissant un instant et essayant de replacer un visage sur le prénom et la fonction associée. Elle eut une légère vision et leva un doigt en l'air, pour illustrer sa mémoire retrouvée « Oh oui je crois que je vois ! Il est plutôt mignon, t'as bon goût ! ». Elle lui adresse un clin d'oeil complice accompagné d'un léger coup de coude dans les côtes « Tu dis rien à Noa… Je crois pas qu’elle pourrait tolérer de savoir ce genre de chose… ». La blonde hocha rapidement la tête, la rassurant « T'en fais pas, ça reste entre nous, promis ! ». Elle n'avait vraiment pas envie de trahir la confiance de son amie, et ce n'était pas son genre de divulguer de telles informations « J’aime cette sensation qu’on sera toujours là l’une pour l’autre… ». Elle ne peut s'empêcher de sourire face à cette petite déclaration d'amitié « C'est vrai... Et ça risque pas de changer, crois moi! ». Elle insiste pour être informée en temps en heure de tout changement dans sa situation avec le fameux Nino « tu seras la première au courant chef ! ». Elle l'écoute continuer dans sa lancée « je t’enverrai un petit sms ». La blonde lève son pouce en l'air, approuvant totalement cette décision. Elle serait aux aguets du moindre sms de la jeune femme à partir de maintenant, elle avait hâte de voir l'évolution de cette relation « Et moi je te tiendrais au courant quand le fameux date sera passé ! ». Elle rit doucement et les deux amies se dirigent vers les tapis de courses. Justine commence à se placer sur le tapis quand Adèle se place face à elle « tu veux qu’on aille boire un coup ? ». Le regard brillant d'Adèle et son petit sourire en coin sont de réels arguments pour accepter sa proposition, outre le fait que Justine a vraiment envie de boire un verre « dis oui… ». La blonde rigole franchement et descend de son tapis, récupérant sa gourde et observant son amie « Ok miss, on file aux vestiaires, t'as gagné ! ». Elles se dirigent toutes les deux vers les vestiaires, se douchent et se changent. Elles passent une bonne heure autour d'un verre, sans arrêter de papoter de sujets divers et variés.



©️ 2981 12289 0

@Adèle Shephard (justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. 2954228499

END
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé
  

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty
Message(#)(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

(justine) les femmes sont si bavardes qu'elles ne peuvent garder un secret.