| LUCIA&CARTER ► ‘Cause our minds changed on what we think is good |
| | (#)Mer 20 Nov 2019 - 5:41 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
Il est difficile pour Carter de comprendre les gens, mais il n’y mettait aucune volonté apparente aussi. Lui c’est l’homme détaché de la situation qui ne se mouille pas trop. Il est difficile de le comprendre tant il peut avoir plusieurs masques, être plutôt sympa et docile, et le lendemain ne pas supporter qu’on empiète dans la même pièce que lui. C’est parfois assez déstabilisant il faut le dire. Il n’préférait même pas penser si jamais il n’était jamais venu à Brisbane, ce que serait sa vie. Une misérable vie si son frère ne l’avait pas aidé, très certainement, et le pire dans tout ça c’est que Rollins en a conscience. Mais refuse qu’on fasse plus pour lui. Son ego, sa fierté d’homme devait rester intacte, il ne le supporterait pas sinon, c’est certain. Et question de machisme, il en tient une couche ! Il l’observe un petit moment, elle reste silencieuse, un peu mal à l’aise et ça se voit sans grande difficulté mais il ne rompt pas ce silence. Cette solitude lui appartient et il s’y sent à son aise le dealer. Elle doit probablement réfléchir à ce qu’elle va dire, elle semble un peu hésitante. « Parce que c’est pas dans mon ADN de faire comme si j’avais rien vu et de continuer mon chemin quand je vois quelqu’un en mauvais état, qu’elle avoue alors avant de reprendre doucement, si j’étais rentrée chez moi en te laissant assis tout seul là bas, j’aurais pas pu me regarder dans le miroir demain. » Sans doute que ça aurait été mieux pour elle, qu’elle trace sa route, qu’elle ne se retourne pas, qu’elle accélère le pas comme si l’homme n’était qu’un violeur dans la nature et que si il la rattraperait, il finirait par lui faire du mal. Probablement c’est ce que la plupart des gens pensent de lui quand on pose nos regards sur lui. Sur cet homme qui ne semble pas réaliser ce qu’il pourrait devenir si on le bouscule un peu, parce que personne n’a réellement osé le bousculer. De peur de se prendre un revers de médaille. Parce que les seules personnes qui ont essayés, ses parents et son frère n’ont jamais obtenus grâce auprès du brun !« Je n’ose même pas réfléchir à mon ADN personnellement… » Il en rigole, pas qu’il se moque d’elle, plutôt de lui. Mais il s’en fiche bien de ce qu’on pense de lui, ça ne l’empêche pas de vivre, d’avoir un bon pécule désormais grâce au Club. Mais ce monde Lucia ne doit même pas en avoir entendu parler. Elle doit ignorer même l’existence de ses gens peu fréquentables, sinon pourquoi se serait-elle arrêté à sa hauteur ?! « Je sais pas si c’est bien ce que tu fais, mais la rue c’est dangereux… » Il regarde dans le vide, sans vraiment lui apporter toute l’attention qu’elle mérite, laissant de nouveau le silence l’envahir, avant qu’elle ne le coupe, brusquement. « Mais je peux m’en aller si tu veux. » Que cherchait-elle ? Qu’il la retienne ? En était-il capable ? La plupart des femmes qui sont passés dans son lit mettrait en garde Lucia de ne jamais s’approcher de trop près d’un homme comme Carter Rollins. Il n’est pas celui que l’on pense, il n’est pas quelqu’un qui pourrait et saurait la tirer vers le haut, même Raelyn pourrait le témoigner ! « Tu fais ce que tu veux Lucia, je chercherais pas à te rattraper… » Il hausse les épaules, en soupirant tout en replongeant son regard devant toute ses bouteilles qui se tiennent derrière le bar, rien est assez important pour lui sauf sa poudre blanche, le reste n’a aucune valeur à ses yeux, enfin si peut-être ses courses illégales, qu’il va souvent voir de loin. Rêvant un jour d’y participer avec sa moto ! Finalement elle lui pose des questions, cherche à savoir, pour son frère et Carter se contracte, mâchoire fermée, « je suis désolée… » Elle fuit son regard, elle se sent mal à l’aise, et si il était quelqu’un de bien avec moins de scrupule, il se serait rattrapé, se serait excusé à son tour en lui demandant de cesser de parler de son frère. Mais il n’est pas quelqu’un de bien. « Rien, oublie. C’était idiot. » Sans doute, idiot oui mais d’une manière légère, presque provocante sans doute il avoue à demi-mot, comme si il en était fier, « tout ce que je pourrais fêter c’est mon renvoie… » Ou sa perte de temps en centre de désintoxication, où son frère ne cesse de l’envoyer pour l’aider soit disant ! Mais ça il se le garde bien de lui dire. « C’est pas intéressant, je te jure, il hausse les épaules, c’est vrai il n’est pas obligé et même temps il ne fait rien par obligation c’est bien pour ça qu’il ne sait pas garder un job plus de quelques semaines, t’es pas obligé de faire semblant tu sais. De faire comme si je t’intéressais. » Il allait le lui dire qu’il n’est pas un homme qui se sent redevable de quoi que ce soit, mais elle le coupe, s’enferme elle-même. « Tu me dois rien. » Le café et son verre arrive, il remercie le gars qui leur apporte d’un signe de tête. « Je te demande juste ce que tu fais, pas de m’épouser… » C’était de l’humour évidemment, effectivement il ne lui devait rien mais ça lui permettait un peu de s’évader quelques instants, et ne plus être pour le centre du monde quelques secondes. Et ça lui suffisait à Carter. « Non attends je vais deviner… Psychologue ou quelque chose dans l’humanitaire ? Dans la santé ? » Ouais c’était pas que le petit con prétentieux Carter, il avait d’autres facettes plus intéressantes à exploiter quand il le permettait. Il scrute le regard de Lucia pour y déceler la réponse avant qu’elle n’ouvre la bouche… |
| | | ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410 TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
(06) ginny #2 › shiloh #14 › maisie #5 › jo #14 › damon #41 › molly #6
(ua) olive #2 (slasher)
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay. RPs EN ATTENTE : milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break. RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Sydney Sweeney CRÉDITS : undercovereiram (avatar), harley (gif profil, gif signature & crackship cosigan), blondewhoregifs (gif joseegan), raquelsgifs (gif shiloh), alicemxkesthings (gif maisie), lomapacks (gif molly) & bossiegifs (gif milo) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 01/09/2019 | (#)Mer 20 Nov 2019 - 12:21 | |
| ‘Cause our minds changed on what we think is good Lucia Whitemore & @Carter Rollins Il semble bien décidé à me mettre en garde à présent, et je me demande ce que cela peut être bien lui faire, pourquoi je me suis arrêtée. Ce n’était pas de la pitié, j’espère que ce n’est pas ce qu’il pense, c’était de la peine, et un vrai besoin de l’aider, parce qu’en l’apercevant j’ai cru qu’il était blessé, je l’ai vu prostré, la tête dans ses mains et j’ai cru qu’il allait mal. Peut-être qu’il aurait été plus prudent de poursuivre mon chemin, d’enfoncer mes mains dans les poches de mon manteau que je quitte à présent pour le poser sur le dossier de la chaise, et de regarder par terre, comme si je ne l’avais pas vu. Maintenant que je sais à qui j’ai à faire, est-ce que je regrette d’avoir agis ainsi ? Pas vraiment, le fait qu’il ne semble pas vouloir de mon aide et qu’il fasse tout que passer pour un type détestable ne change rien. Cela ne change rien au fait qu’il n’aurait pas été humain à mes yeux de ne pas chercher à savoir s’il avait besoin d’une main tendue. « Je n’ose même pas réfléchir à mon ADN personnellement… » J’essaye de ne pas m’attarder sur cette phrase, de ne pas y réfléchir tant elle me semble dans la lignée ce qu’il essaye de faire depuis le début de notre conversation : prétendre qu’il est un sale type, qu’il n’y a rien chez lui qui ne motive mon envie de lui porter secours, et que j’aurais mieux fait de tracer ma route. J’ai conscience de ne pas pouvoir lui ouvrir les yeux sur ma façon de voir en quelques minutes seulement, parce qu’il faut à mes yeux toute une vie pour s’éduquer à l’altruisme, et encore faut-il en avoir envie. « Je sais pas si c’est bien ce que tu fais, mais la rue c’est dangereux… » Je ne sais pas non plus, et je sais même que mes mère hurlerait si elle savait que je m’arrête pour chaque brebis galeuse ou blessée qui croise mon chemin, mais la question n’est pas là. Alors je hausse simplement les épaules. « C’est pas parce que c’est pas prudent que c’est pas la seule chose un tant soit peu humaine à faire. » Et pourtant je ne suis pas d’un naturel courageux ou intrépide. Et il y a un peu d’égoïsme la dedans, en disant que je n’aurais pas pu me regarder dans le miroir si j’avais passé ma route, j’avoue un peu aussi que c’est autant pour moi que pour lui que je suis intervenue. « Tu fais ce que tu veux Lucia, je chercherais pas à te rattraper… » Non, ça j’ai bien compris. Il cherche à me faire fuir, mais il me demande de l’accompagner dans le café voisin juste après. J’ai du mal à le cerner, et je crois que j’ai cessé d’essayer, pour ce soir en tout cas. Dans un soupir, je passe ma main dans mes cheveux pour ramener une mèche derrière mon oreille. « J’ai arrêté d’essayer de te comprendre. » Je ne lui demandais pas de me retenir, ou de me rattraper, simplement qu’il exprime clairement que ma présence le dérangeait si c’était le cas, puisque depuis tout à l’heure il semble osciller entre un intérêt à mon égard et l’envie de me faire prendre mes jambes à mon cou.
La vérité c’est que nous sommes trop différents pour que je sache quoi dire et quoi faire, et j’ai l’impression de taper systématiquement à côté. « Tout ce que je pourrais fêter c’est mon renvoi… » Je ne sais pas comment réagir, mais la façade désinvolte qu’il affiche me pousse à penser qu’il s’agit de sa façon de se protéger, qu’il n’a pas l’air de s’en ficher autant qu’il cherche à le faire croire. « Désolée pour toi. » Que je me risque simplement à répondre, évitant de m’engager à nouveau sur une pente glissante insoupçonnée. Mais les questions qu’il me posent me désarçonnent, parce qu’après tous les efforts qu’il a déployés pour me faire fuir, j’ai du mal à penser que ce soudain intérêt à mon égard est sincère, qu’il n’est pas motivé une nouvelle fois pas l’envie de se foutre de ma gueule, ou au mieux d’être sarcastique. « Je te demande juste ce que tu fais, pas de m’épouser… » Fatiguée et lasse je secoue la tête. « Encore heureux… » Je souffle à voix basse, parce que je ne sais pas sur quel pied danser avec lui. Et il sourit, un beau sourire d’adolescent qui fait briller ses yeux bruns, mais qui me fait à nouveau douter. Il joue, il se moque, et moi ça me blesse. « Non attends je vais deviner… Psychologue ou quelque chose dans l’humanitaire ? Dans la santé ? » Je laisse échapper un bref rire. Que cherche-t-il à faire au juste ? M’insulter ? Me réduire au cliché qu’il veut que je sois depuis que je lui ai fait l’affront d’essayer de l’aider. « Non. » Mes doigts glissent autour de la tasse de café et j’y fait taper mes ongles, dans une énième démonstration de ma nervosité. « Je suis serveuse. Et à mi-temps. » Je me retiens de dire que je suis une ratée, parce que ça aussi c’est vrai. Et ça aussi ça pourrait le surprendre, puisqu’il semble me dépeindre en bourge privilégiée. Privilégiée je le suis, mais cela ne veut pas dire que je n’ai aucun problème, et que par conséquent je suis donc incapable de comprendre les siens. « Pas ce sur quoi t’aurais parié je suppose ? » Désabusée je porte ma tasse à mes lèvres, grimaçant devant l’acidité du jus de chaussette que ce bar appelle café. Je repose la tasse et relève finalement les yeux vers lui. « Vas-y, dis-moi ce que tu penses pouvoir en déduire sur moi, je t'écoute. » Puisqu’il a l’air déterminé à me faire rentrer dans une case, et en déduire une liste longue comme le bras de préjugés me concernant.
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| | | | (#)Sam 23 Nov 2019 - 11:03 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
Il n’y a rien de pire qu’une personne qui a tout perdu, ou qui considère ne voir aucune amélioration possible. Carter ne fait pas partie de ceux qui souhaiterait se racheter une conduite, et dire qu’un jour, ce le sera c’est probablement croire au père noël, ou être dans le monde des Bisounours. Il ne sait même pas lui-même ce qu’on attend de lui dans cet univers, lui n’agit que pour son bien personnel, sans savoir si à côté il pourrait blesser les gens. Et il en a blessé, tellement, de gens. Que ce soit intentionnel ou pas, qu’importe puisque le résultat restera le même, Carter est du genre à prendre tout ce qu’il y a à prendre chez les gens, qu’on veuille bien lui donner. Et lâchement, à tourner le dos à ses mêmes gens une fois qu’il n’y a plus rien à faire. C’est un homme intéressé par l’argent et le pouvoir, un homme qui pourtant n’est pas à l’aise dans le monde dans lequel il vit, mais qui a bien compris que sa petite personne ne pourra jamais vraiment changer les choses. Assis dans ce bar, en charmante compagnie, il ne sait même pas comment il peut se retrouver avec une nana comme Lucia. Lui, qui n’arbore jamais un visage comme celui qu’il possède face à la jeune femme, il est solitaire le brun, bien trop solitaire pour Lucia. Elle est tout son contraire, c’est une femme visiblement douce, généreuse et si polie. « C’est pas parce que c’est pas prudent que c’est pas la seule chose un tant soit peu humaine à faire. » Humaine à faire ? Il jette bien volontiers ses yeux dans ceux de la jeune femme, il existait encore des personnes humaines sur cette terre ? Ce n’était pas quelque chose dont le brun est habitué, ses gens-là, sont mêmes peu fréquents dans sa vie. Et quelque part, il n’était pas certain d’avoir besoin de ce genre de personne dans sa vie, lui se plaisait à être un boulet maudit dans celle des autres. Leur aspirer tout ce qu’il pouvait, jusqu’à ne rendre leur vie à néant. « L’humain ne fait plus partie de notre monde… » Il ne concevait pas autre chose, parce qu’on lui a jamais appris autre chose que cela, et de ce fait, Lucia remettait toute les cartes en jeu, bousculait la seule vie idéale du brun. C’était incompréhensible pour lui. Incompréhensible qu’on joue autant avec sa vie, davantage quand on est une femme. « Si tu veux un peu de piment dans ta vie, il y a le saut à l’élastique ou les circuits auto » Evidemment le passionné des courses ne pouvait pas prétendre autre chose que ça, lui les bagnoles il en raffole ! « J’ai arrêté d’essayer de te comprendre. » Il ne chercherait évidemment pas à la retenir, ni à comprendre la jeune femme, pour autant, il ne rejetait pas l’idée qu’elle reste assise à ses côtés. Un contraste qu’elle-même ne doit rien piger, mais lui non plus ! « Tu rends vite les armes. » Pas un reproche, juste une simple et vulgaire constatation en haussant les épaules, alors qu’elle ne cherche même pas à le regarder ni à porter son attention sur lui. Finalement il finit par avouer qu’il avait perdu son job, « désolée pour toi. » Il hausse les épaules, c’est pas comme si ça le touchait lui, « c’est rien ! » Une habitude, il n’arrive pas à garder un taf légal plus de trois semaines toute façon, et dans le fond il s’en fiche bien. Il fait juste celui que ça embête légèrement face à son frère, histoire qu’il ne le lâche pas, mais sans jamais changer pour autant. Carter ignorait pour combien de temps encore Nicolas allait supporter ça. Et même si il ne dira rien, le brun avait besoin de son aîné dans sa vie. Tout comme il aurait sans aucun doute besoin d’une femme comme Lucia dans sa vie, mais ça, jamais il ne l’avouera… Plutôt crever ! « Encore heureux… » Qu’elle souffle, sans même que cela ne le touche vraiment. Carter est un être insolent, qui se fiche bien des gens et des sentiments. Il n’est pas cette épaule sur laquelle on puisse se reposer, ou cette oreille attentive qui prendra plaisir à conseiller. Et les rares fois où on l’a dérangeait pour ça, les coups sont partis. Parce que lui ne sait pas faire les choses à moitié. Il ne réfléchit pas, il ne perd jamais son temps. Si ça ne se passe pas comme il le souhaite, il attaque, sans perdre de temps. « Je suis serveuse. Et à mi-temps. Qu’elle avoue, d’une voix nerveuse, avant de reprendre, pas ce sur quoi t’aurais parié je suppose ? » Elle n’a pas vraiment le caractère d’une personne qui bosses dans ce genre de lieu, mais après tout, il ne la connait pas, elle révèle peut-être des talents cachés, « tu bosses où ? » Qu’il demande soudainement, comme si ça avait son importance. Comme si il pouvait chercher à vouloir la revoir… Absurde, et pourtant… « Vas-y, dis-moi ce que tu penses pouvoir en déduire sur moi, je t'écoute. » Elle se défend, semble touchée et il le remarque, mais Carter se dégonfle pas, jamais… « Tu fais bien trop douce et calme pour appartenir à ce monde. » Un visage angélique, des mots qui rassurent, des gestes qui veulent aider son prochain… Rien à voir avec le monde de la nuit, de l’alcool, de la fête à outrance. Elle doit en côtoyer des gens comme Carter à longueur de temps… « Moi aussi j'avais un rêve avant… » Il sait même pas pourquoi il lui précise ça, comme si ça pouvait l'intéresser, il replonge son regard dans son verre d'alcool, n'ayant aujourd'hui qu'un intérêt pour ça. |
| | | ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410 TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
(06) ginny #2 › shiloh #14 › maisie #5 › jo #14 › damon #41 › molly #6
(ua) olive #2 (slasher)
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay. RPs EN ATTENTE : milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break. RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
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AVATAR : Sydney Sweeney CRÉDITS : undercovereiram (avatar), harley (gif profil, gif signature & crackship cosigan), blondewhoregifs (gif joseegan), raquelsgifs (gif shiloh), alicemxkesthings (gif maisie), lomapacks (gif molly) & bossiegifs (gif milo) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 01/09/2019 | (#)Sam 23 Nov 2019 - 15:49 | |
| ‘Cause our minds changed on what we think is good Lucia Whitemore & @Carter Rollins Je ne cherche pas à le convaincre mais j’ai l’impression que c’est ce que lui cherche à faire. A me montrer pourquoi mon comportement est idiot, pourquoi ce que je fais est risqué, alors qu’il ne me connait pas et que de toute façon cela ne changerait pas son monde s’il devait m’arriver quelque chose demain. « L’humain ne fait plus partie de notre monde… » Je préfère ne pas continuer plus ce débat qui me semble stérile, et me contente de hausser les épaules, lui signifiant qu’il ne m’a pas convaincue et ne le fera surement jamais. C’est celle que je suis, et c’est peut-être la seule chose chez moi avec laquelle je me sens parfaitement en paix. Je pourrais lui dire qu’il se trompe, lui dire que certaines personnes tentent réellement d’avoir un impact positif sur le monde et sur leur entourage, mais il ne verrait en moi qu’une bourge comme il l’a dit, mes paroles comme des conneries que la religion et ma mère m’ont appris à répéter. Et j’ai assez donné le bâton pour me faire battre ce soir. « Si tu veux un peu de piment dans ta vie, il y a le saut à l’élastique ou les circuits auto. » Je fronce les sourcils, il ne comprend pas, il n’a rien compris. Le calme et la paix sont au contraire les choses auxquelles j’aspire le plus aujourd’hui après Sydney, après Lawrence et notre rupture, cela n’a rien à voir avec le besoin de ressentir quelque chose, rien à voir avec une envie de ressentir un peu d’adrénaline. « Ça n’a rien à voir. » Je ne le quitte pas des yeux mais ma voix tremblante me trahit et me met à nue : je n’ai pas une once de la confiance en moi que j’essaye d’afficher. « J’ai pas besoin de piment comme tu dis. J’en ai assez pour aspirer aujourd’hui à une vie qui te semblerait bien ennuyeuse. » Si j’en crois les apparence en tout cas. J’ai beau essayer de me garder de tout jugement hâtif, il n’a pas réellement l’air du type qui rêve d’une femme, deux enfants, une belle maison et un golden retriever. « Laisse tomber, je crois que tu peux pas comprendre. » Il l’a dit lui-même non ? Pour lui la plupart des gens ne pensent qu’à eux, et sont incapables du moindre geste purement désintéressé. Comment pourrait-arriver à comprendre ce que je cherche à dire, ce soir en plus alors qu’il me semble alcoolisé et loin d’être dans son état normal à cause des drogues. « Tu rends vite les armes. » Le choix des mots est intéressant. « Je savais que c’était un affrontement. » Je réponds simplement, et la fatigue aidant je ne suis pas plus sûre de moi mais un peu plus sans filtre. Mais je m’exprime doucement, parce que je ne sais pas comment il pourrait réagir à la moindre petite phrase qui ne lui plairait pas.
J’ai l’impression de marcher sur des œufs en fait. Il n’est pas sorti pour fêter quelque chose mais potentiellement pour oublier son renvoi, et surement oublier d’autres choses aussi vu l’état dans lequel il s’est mis. J’ai du mal à comprendre le plaisir que l’alcool et les stupéfiants peuvent procurer, quand je le vois cela ne me fait pas envie, cela me fait de la peine en fait. « C’est rien ! » Cette peine je crois que je n’arrive pas à la cacher, qu’elle transparait dans mon regard alors que je reste quelques secondes silencieuse avant de balayer le sujet de la main pour signifier qu’effectivement ce n’est rien. Je n’ai pas envie de m’appesantir là-dessus et lui non plus malgré ses mots, puisqu’il me renvoie l’ascenseur et change de sujet. « Tu bosses où ? » Quelle importance ça peut faire ? Il ne s’en souviendra certainement pas demain. « Tu fais bien trop douce et calme pour appartenir à ce monde. » Je souris en secouant la tête. Je travaille dans un café, une délicieux petit écrin édulcoré, pas réellement le genre de serveuse qu’il doit croiser lui lors de ses soirées. « Je fais quelques services dans un Wynnum à Bayside, le Pelican’s Nest Cafe. » Je lève un sourcil, amusée. « C’est un café et salon de thé. Pas le genre d’endroit où on voit des gars comme toi. » Il n’y a pas de jugement dans ma phrase, il s’agit d’un simple constant. La clientèle est plus âgée et composée majoritairement de cadres pouvant se payer une villa en bord de mer. « On fait d’excellentes pâtisseries aussi, je suis pas sure que ça t’intéresse vraiment mais tu vois, en terme de douceur je suis dans mon univers. » Douce et calme. Je ne sais même pas s’il s’agissait d’une moquerie de sa part ou pas. Je ne suis pas certaine que ces deux attributs soient des qualités aux yeux de quelqu’un comme lui. « Moi aussi j'avais un rêve avant… » Je ne sais pas s’il a réellement besoin de se confier ou si c’est l’alcool qui parle, j’ai souvent vu Hannah ou mes amies devenir bavardes avec quelques verres dans le nez, mais je m’interdis de toute façon trop de curiosité, même si j’aurais eu envie de lui demander de quoi il s’agissait. « Et qu’est ce qui a changé ? » Et pourquoi "moi aussi" ? C’est à ça que je ressemble, une gamine trop rêveuse et brisée ?
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| | | | (#)Mer 27 Nov 2019 - 4:26 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
Il n’est habituellement pas le genre de type facile d’approche, même pas pour un signe de tête, à moins de pouvoir profiter de la situation. Carter a toujours une personne intéressé, soit par l’argent – notamment pour pouvoir acheter en toute tranquillité sa poudre. Mais ce n’est pas un homme qu’on approche avec facilité, ou qu’on arrive à attendrir simplement. Il ne connaît même pas cette définition, et pourtant de bien des façons Lucia, aurait mieux fait de tracer sa route plutôt que de provoquer le brun. Car si elle lui montre sa vulnérabilité, ce côté frêle qu’elle peut posséder, le brun s’en servira contre son gré. Comme il l’a toujours fait avec les autres. Incontestablement. Sans relâche, sans y trouver de rancœur ou de but final. Juste le plaisir de détruire ce que les autres construisent autour de lui. Et cette faiblesse à succomber avec autant de facilité, là où il devrait être fort. « Ça n’a rien à voir. » Qu’elle luit dit, à présent le fixant dans les yeux, comme si elle voulait s’affirmer la petite. Il eut un petit rictus, parce que même si elle voulait jouer à la grande et forte fille, qui affronte les autres, elle cherche ses mots et il sent une pointe d’hésitation dans sa voix – assez pour qu’il en profite. C’est un idiot Carter, et il ne cherchera pas à prouver le contraire. Il a besoin de cette sensation au fond de lui, pour se sentir existant. Combien de femmes a-t-il traîné dans la boue ? Et ce n’était pas une midinette qui allait le faire changer d’opinion. « J’ai pas besoin de piment comme tu dis. J’en ai assez pour aspirer aujourd’hui à une vie qui te semblerait bien ennuyeuse. » Un soupire las sort des lèvres du brun alors qu’il perd son regard dans l’immensité du bar, il ne comprend pas vraiment ce qui le retient là. Du moins au près d’elle, car pour le reste, il laisse glisser le liquide dans sa gorge ce qui lui procure une satisfaction que Lucia ne veut visiblement pas avoir et c’est dommage pense l’embrumé dealer. Mais qui est-il pour savoir ce qui est bien ou mauvais pour lui. « Quelle est la chose la plus folle que t’es faite alors ?! » Qu’il demande, avant de rire, bien trop absorbé par l’alcool sans doute pour y voir un quelconque frein de sa part, « laisse tomber, je crois que tu peux pas comprendre. » Et il lui avait dit, il ne cherchait même pas à comprendre la jeune femme, il n’en avait pas les capacités et même si il pouvait, Carter n’est pas de ceux qui se mettent dans la tête des autres, jamais ! « Je savais que c’était un affrontement. » Franchement ? Il avait envie de rire le brun parce que ça, c’est certainement pas un affrontement pour lui, il fait bien pire et d’ailleurs il ne peut cacher sa surprise, « un affrontement, vraiment ? » Il aspirait davantage pour affronter les autres, et surtout il déteste perdre, à bon entendeur ! Un petit silence de quelques longues secondes a probablement une petite minute, Carter ne pouvait vraiment certifier le nombre de temps parce que son cerveau n’est pas vraiment là. Comme il le faudrait. « Je fais quelques services dans un Wynnum à Bayside, le Pelican’s Nest Cafe. Il cherche le nom du café, dans sa mémoire, il est à Brisbane depuis un petit plus de dix ans et il n’a pas l’impression de s’y être déjà rendu. C’est un café et salon de thé. Pas le genre d’endroit où on voit des gars comme toi. » Et pour le coup elle n’avait pas tort la jeune femme, Carter ne fait pas partie de ceux qui vont dans les salons de thé, fallait pas non plus abuser, « un salon de thé ? » Qu’il répète à voix haute en cherchant toujours où pourrait se situer cet endroit, mais il allait abandonner, c’était pas comme si ça avait son importance. Il voyait déjà la présence des plus doués des grandes écoles y venir, ou des personnes bien plus âgés que lui, en manque d’adrénaline dans leur misérable vie. « On fait d’excellentes pâtisseries aussi, je suis pas sure que ça t’intéresse vraiment mais tu vois, en terme de douceur je suis dans mon univers. » Il reste probablement les dix prochaines secondes dans un silence total avant de finalement lui avouer, amusé de sa réplique cinglante, « ça dépend, grâce à tes pâtisseries je pourrais bien recruter de nouvelles personnes. » Et il se marre. Incorrigible Carter qui pense à ses propres intérêts avant celle des autres, à se demander pourquoi elle restait auprès d’un homme aussi cynique que lui. Il savait pas vraiment si elle allait comprendre, mais son business à lui c’est la poudre blanche, et y a fait tomber ses plus chers amis proches là-dedans. Par l’intermédiaire de ses pâtisseries d’autres pourraient en devenir accro. « Et qu’est ce qui a changé ? » Il ne relève même pas ses yeux vers elle, et perd son sourire. Parce que la cuisine reste là, malgré tout dans un coin de cette putain de tête qui lui sert à rien ! « Partie en fumée… » A cause de mes conneries ! « Mais c’est mieux comme ça… » Toute façon pourrait-il espérer une vie meilleure ? Il ne pourra jamais toucher autant de fric en si peu de temps, en travaillant le moins possible, c’est impensable. Alors ça lui contentait, c’est pas comme si il ne pouvait pas se regarder dans un miroir… |
| | | ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410 TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
(06) ginny #2 › shiloh #14 › maisie #5 › jo #14 › damon #41 › molly #6
(ua) olive #2 (slasher)
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay. RPs EN ATTENTE : milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break. RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Sydney Sweeney CRÉDITS : undercovereiram (avatar), harley (gif profil, gif signature & crackship cosigan), blondewhoregifs (gif joseegan), raquelsgifs (gif shiloh), alicemxkesthings (gif maisie), lomapacks (gif molly) & bossiegifs (gif milo) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 01/09/2019 | (#)Jeu 28 Nov 2019 - 6:27 | |
| ‘Cause our minds changed on what we think is good Lucia Whitemore & @Carter Rollins Un sourire insolent aux lèvres, je me demande s’il est en train de se moquer de moi. Il ne me prend pas au sérieux, c’est la certitude qui nait dans mon esprit alors qu’il me regarde comme si je n’étais qu’une vaste blague, une gamine privilégiée qui pense pouvoir dire qu’elle aussi a eu son lot d’épreuves et de peines alors qu’elle ne connait rien à la vie, et certainement pas à la sienne. Je ne peux certainement pas imaginer de quoi est composé son quotidien et quel genre de vie il doit mener, mais ce n’est pas pour autant que tout me tombe tout cuit dans le bec, et qu’il peut se permettre d’avancer que je ne suis qu’une bourge à la recherche de sensations.
Ce qu’il pense ne devrait pas m’atteindre, je devrais être capable de l’occulter et de faire comme si ça n’avait pas la moindre importance. Mais je suis de celles pour qui l’avis des autres compte, qui s’en rendent malades et qui ne comprenne pas que l’on puisse ne pas les apprécier. Je suis capable de partir en croisade et de me plier en quatre pour qu’on m’estime et me considère. Certains sont capables de passer outre, de vivre leur vie au-dessus des opinions des foules, moi pas. « Quelle est la chose la plus folle que t’aies faite alors ?! » Je soutiens son regard alors qu’il me provoque ouvertement. J’ai envie de lui répondre que ce ne sont pas ses oignons, que les détails de ma vie ne le regardent pas, mais fatiguée par ma soirée je réponds finalement. « Je suis tombée amoureuse d’un pauvre type. » Je l’ai dit. C’est la première fois je crois que j’admets à voix haute que Lawrence n’est pas quelqu’un de bien, qu’il ne m’a pas aimée comme il aurait dû. C’est le mélange de fatigue et d’alcool dans mon sang qui me fais parler trop vite et sans réfléchir, et au moment où la phrase passe la barrière de mes lèvres je la regrette déjà, me mordant la langue pour ne pas laisser les larmes me monter aux yeux. Finalement pour me donner une contenance je tends une main vers son verre que j’attrape, avant de boire une gorgée. L’alcool me brûle la gorge et me fait grimacer, et je repose rapidement le verre devant son propriétaire. « Un affrontement, vraiment ? » Je hausse les épaules. « C’est toi qui parles de rendre les armes. » Je laisse échapper un soupir, avant de me reculer pour m’appuyer contre le dossier de ma chaise, et de croiser mes bras contre ma poitrine.
« Un salon de thé ? » A nouveau je ne sais pas s’il se moque ou est simplement surpris. Mais sur la défensive je ne réponds pas, et hausse à nouveau les épaules. Il s’attendait à quelque chose de plus glamour ? De plus tape à l’œil ? Un night-club ? Je suis désolée si je le déçois, mais je ne compte pas prétendre être quelqu’un d’autre et commence à penser que s’il a envie de se foutre de ma gueule il finira par le faire, quoi que je dise. « Ça dépend, grâce à tes pâtisseries je pourrais bien recruter de nouvelles personnes. » Je fronce les sourcils cette fois-ci, sans trop voir où il veut en venir mais résolument sur la défensive à ce stade de la conversation. « Je croyais que tu venais de te faire virer ? » Brave petite enfant. Naïve, je ne comprends pas qu’il parle de trafic de drogues. Parce que ce n’est pas mon monde, pas mon univers. Je ne devrais pas poser de questions, mais sans me douter une seule seconde de à quoi il fait référence je ne peux m’empêcher de mettre les deux pieds dans le plat. « Parti en fumée… » Je sens la peine dans sa voix, même s’il tente de la masquer, même s’il embraye rapidement, comme pour m’empêcher de lui poser des questions. « Mais c’est mieux comme ça… » « Pourquoi ? » Ma question fuse, et je m’en veux au moment où je la formule. Parce qu’il a beau chercher à me piquer, je n’ai de mon côté pas une once de méchanceté en moi, et pas envie de remuer des choses douloureuses pour lui. « Désolée. C’était quoi ton rêve ? » Je marque une pause et reprends. « Je sais pas quel âge tu as exactement, mais tu m’as l’air bien trop jeune pour que ce soit fichu pour de bon. » Je suis une éternelle optimiste quand ça concerne les autres, et je reste persuadée que tout le monde peut changer, tout le monde peut reprendre sa vie en main. Pour l’instant rien chez lui ne semble indiquer qu’il s’en donne les moyens, mais je crois aux secondes chances. Je suis même le genre à en laisser trois, quatre, cinq ou dix des chances, et je veux penser que tout le monde, même lui, peut reprendre sa vie en main, quel que soit le nombre de fois où il s’est planté. Quel que soit la gravité de ses erreurs.
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| | | | (#)Sam 30 Nov 2019 - 19:19 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
Carter n’avait jamais appris à effacer ce sourire narquois, parfois même insolent qui se lit sur son visage à chaque occasion. Il n’était pas ce genre de type qu’on pouvait toucher facilement, à qui on rendait notre présence forcée. Non lui c’est un brin solitaire, qui préfère vivre au jour le jour sans réellement se soucier de demain. Chaque fois qu’une nana avait pu s’intéresser à lui, il s’était lâchement barré, parce qu’il n’a jamais voulu davantage qu’une partie de jambes en l’air, l’insouciant brun n’avait pas besoin de sentiment pour vivre. Il a fui aussi longtemps qu’il a pu ses nanas à emmerde comme il dit lui-même et pourtant, il ne peut s’empêcher de regarder des belles jambes élancés quand celles-ci s’approchent de lui, comme bouffer par l’envie et un manque irrésistible. Lucia est bien trop jeune pour réellement attirer le loup en lui, mais pourtant les brebis égarées ça il connaît, il en prend même un malin plaisir. Pour leur voler la vedette, leur faire croire que tout est acquis, quand rien ne l’est et qu’il referme le livre sans préavis. Il n’en ferait qu’une bouchée, mais ce n’est pourtant pas ce qui le frappe là tout de suite. « Je suis tombée amoureuse d’un pauvre type. » Il ne sait pas vraiment ce qui l’attend quand il lui pose la question. Espérait-il quelque chose ? Probablement que non. Il ne sait même pas lui-même pourquoi il tente de créer ce contact avec elle, aussi petit soit-il, aussi distant aussi. C’est pas comme si normalement Carter est du genre attaché aux autres, alors d’une étrangère comme Lucia, comment pourrait-il agir autrement ? Pourtant il le sent ce truc, il a juste envie d’en apprendre un peu plus sur elle, sans jamais vouloir l’avouer, se serait mal venu de sa part. Il n’y peut rien, Ses questions défilent sans qu’il ne maîtrise quoi que ce soit. Elle droit être tellement différente de lui, ça semble être une évidence pour le dealer. Elle ne le regarde pas, mais lui, lui jette légèrement son regard sur elle. Et dire qu’il pourrait lui-même être mal à l’aise avec sa phrase, ou vouloir s’enterrer dans un petit trou devant une telle déclaration sur les mauvais types serait complètement mentir. Il la regarde en coin, presque amusé certainement par ce qui se déroule sous ses yeux. Elle ne semble pas réaliser ses paroles, et attrape aussitôt le verre de l’homme pour y boire une gorgée ou deux. « Ca fait du bien hein… » Son sourire provoquant ne le quitte pas, avec cet air faussement angélique, il jette un regard à son verre déjà bien entamée, est-ce vraiment ce qu’il fallait dire dans cette situation ? Probablement que pour Carter, oui ! Lui c’est pas ce genre à consoler toute façon, il saurait tellement pas quoi dire ni quoi faire. Il n’est pas de ce bord là le dealer et ça l’agace même ce type de personne. « C’est toi qui parles de rendre les armes. » Qu’elle avoue, presque soulagée de changer de conversation, il le sent à son intonation et à cette façon de se satisfaire de sa réponse. Il hausse les épaules en lui jetant un regard, « Parce que je te pensais plus persistante que ça… » a la façon dont elle a voulu rester près de lui, coûte que coûte quand lui a toujours fait – ou presque, pour se montrer désagréable avec elle. La malmenant plus que de raison, n’importe qui aurait abandonné depuis bien longtemps, mais elle, elle était toujours là, elle se tenait toujours devant lui, arborant parfois un soupire lassé, parfois décontenancée par le personnage qui se montrait devant elle. « Je croyais que tu venais de te faire virer ? » Sans réellement savoir comment la conversation de son travail était à présent l’une des préoccupations du duo alors que Carter évitait de parler de ça trop longtemps, surtout à des inconnus, davantage mentionnant des détails. Détails que Lucia ne saura jamais, il faudrait pour cela qu’il est un minimum confiance en elle, chose qu’il n’aurait probablement jamais. Pourquoi en aurait-il ? Pourquoi elle, en aurait de son côté ? Ce serait absurde qu’elle se lie à un type aussi sombre et mauvais que lui. Et tellement irresponsable de sa part… « Oui, enfin, peut-être que je pourrais du taf grâce à toi… » Qu’il laisse échapper, dans un soupire qu’elle ne comprenne pas totalement, et pourtant il n’allait pas tout lui apporter sur un plateau d’argent. « Pourquoi ? Qu’elle avoue, sincère avant de reprendre, désolée. C’était quoi ton rêve ? » Il relève son visage, prit d’un doute si immense qu’il resta un longtemps moment dans un silence de roc, ne lui jetant guère de regard. « Je sais pas quel âge tu as exactement, mais tu m’as l’air bien trop jeune pour que ce soit fichu pour de bon. » La trentaine à peine passée, et puis les règles n’ont jamais été faite pour lui, pour qu’il obéisse. « Cuistot ! » Qu’il lâche faiblement, amer sans même connaître la raison qui le pousse à se confier à elle, Lucia ne pourrait rien faire pour lui, et depuis bien longtemps il a mis ce rêve de côté… Mais finalement tout remonte à la surface à cause d’elle ! Il serre les poings, fallait pas qu’elle lui demande davantage. Il supporte pas voir ses échecs en pleine figure. |
| | | ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410 TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
(06) ginny #2 › shiloh #14 › maisie #5 › jo #14 › damon #41 › molly #6
(ua) olive #2 (slasher)
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay. RPs EN ATTENTE : milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break. RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Sydney Sweeney CRÉDITS : undercovereiram (avatar), harley (gif profil, gif signature & crackship cosigan), blondewhoregifs (gif joseegan), raquelsgifs (gif shiloh), alicemxkesthings (gif maisie), lomapacks (gif molly) & bossiegifs (gif milo) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 01/09/2019 | (#)Mar 3 Déc 2019 - 7:00 | |
| ‘Cause our minds changed on what we think is good Lucia Whitemore & @Carter Rollins Il ne dit rien, surprenamment, quand je réponds à sa question. Alors que ce n’était certainement pas ce à quoi il s’attendait, il voulait peut être que je lui confie avoir eu fois bu un peu trop d’alcool, ou pris un bain de minuit, parce qu’en bonne jeune fille privilégiée c’était certainement ça à ses yeux la chose la plus folle que j’ai jamais faite. Il attendait certainement ma réponse pour se mettre à rire à mes dépends, se moquer de moi et pointer encore du doigt la petite bourge que je suis à ses yeux. Alors peut-être que ma réponse le désarçonne, peut-être qu’il ne s’y attendait pas et qu’il a besoin de temps pour trouver une nouvelle remarque acerbe à m’envoyer au visage. Alors j’attends, patiemment, un peu triste d’avoir laissé échapper un détail si personnel de ma vie, mais habituée à ne pouvoir me retenir de m’épancher. Le brun est un inconnu, nos routes ne se croiseront certainement jamais à nouveau, alors au pire, qu’est-ce que cela peut bien faire, de passer pour une idiote ? J’attrape son verre pour me donner une contenance, alors qu’il semble toujours chercher comment réagir à mes paroles, mais la brûlure de l’alcool me fait rapidement le reposer. Je ne suis déjà pas une grande consommatrice, et lorsque je choisis de lâcher du lest et de boire quelques verres, mon choix se porte plutôt sur des cocktails bourrés de sucre qui dissimule le goût de l’alcool. Finalement il ne dit rien, ne commente pas ma révélation, et se contente de sourire en me voyant grimacer. De me regarder avec le même air amusé qu’il aborde depuis le début de soirée, comme si je n’étais qu’une attraction à ses yeux. « Ça fait du bien hein… » Le nez retroussé une les sourcils froncés, j’attrape ma tasse de café et boit quelques gorgées pour faire passer le goût de mauvais whisky qui reste collé sur mon palais. « C’est vraiment mauvais. » Que je laisse finalement échapper, vaccinée contre toute envie de replonger les lèvres dans son verre.
« Parce que je te pensais plus persistante que ça… » Je hausse les épaules, l’air détaché, parce que j’ai compris à présent que je le décevais, qu’il aurait préféré tomber sur une fille plus fun pour l’accompagner le reste de sa soirée. Tant pis, et l’accompagner n’est de toute façon pas ce que j’avais prévu à la base. Je voulais juste l’aider, je ne pouvais me résoudre à le laisser seul. J’aurais peut-être dû. « Ouais bein écoute, je suis désolée de te décevoir. » Parce que je ne suis pas persistante. Je suis de celles qui rendent les armes rapidement, qui se laissent convaincre, qui se taisent et acquiescent, parce que c’est l’habitude que j’ai prise avec Lawrence, me taire et acquiescer. Accepter tous les jours un peu plus d’abus de sa part. Un peu plus de méchanceté. « Oui, enfin, peut-être que je pourrais du taf grâce à toi… » Je ne comprends pas où il veut en venir, et j’en ai assez d’essayer d’y parvenir. Alors je laisse tomber et hausse à nouveau les épaules. Je ne suis pas persistante. Voilà, il le sait à présent, c’est quelque chose que nous avons admis, autant me complaire dans ce constat plutôt que de chercher à me cacher derrière quelqu’un que je ne suis pas. Je suis surement trop naïve, trop idiote, ou trop je ne sais quoi pour comprendre le sous-entendu qu’il met derrière mon métier, pour comprendre de quelle façon il s’en moque exactement. « Cuistot ! » Je hoche la tête, attentive. Si c’est ça son rêve, qu’est ce qui l’empêche de se lancer ? « Et qu’est ce qui t’empêche de te lancer ? De trouver un restaurant qui veuille bien de toi et de te tenir à carreau ? » C’est surement la partie se tenir à carreau qui pose problème, même moi je suis capable de m’apercevoir que cela n’a pas l’air d’être le chose de chose qui fasse partie de son ADN. Je n’ai jamais compris exactement les gens qui ne se donnent pas les moyens d’aller au bout de leurs ambitions. Si j’en avais un de rêve moi, si j’arrivais enfin à trouver ce qui me motive, je me sais assez bonne élève, consciencieuse et appliquée pour savoir que j’irais jusqu’au bout des choses. Mais je suis une rêveuse, incapable de me poser, incapable de savoir ce que j’ai envie de faire de ma vie, a peu près persuadée que de toute façon je n’en ai pas les moyens.
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| | | | (#)Dim 8 Déc 2019 - 10:58 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
Il n’a pas pour habitude de se retrouver dans ce genre de situation et pour être honnête, il n’est pas vraiment le plus à l’aise du monde même si il tente de donner le change. Il tente de faire comme si tout allait bien, parce que quelque part, tout va bien. Tant qu’il a de l’alcool et des sachets dans sa poche, rien ne pourra davantage plus le satisfaire de toute évidence. Il ne comprend pas vraiment dans quel monde vient son interlocutrice alors il fait ce qu’il y a de plus simple pour lui, parce que sa fierté est bien trop grande pour se taire, pour se confondre dans un rien alors il joue l’insolent. Il la provoque non seulement avec ses paroles acides, mais aussi accompagné d’un regard ténébreux comme si il cherchait à la remettre en place. Comme si il était capable que de ça. De profiter de la faiblesse des autres pour grandir, se développer. Comme si il ne pouvait prétendre à rien d’autre. « C’est vraiment mauvais. » Il hausse les épaules, levant les yeux au ciel comme si il ne pigeait pas le brun. Franchement, qui elle était pour ne pas aimer l’alcool, ni boire. Étrange nana, qu’il s’amusait à fixer un instant, pour tenter de voir ce qui pouvait bien se passer dans sa tête. Comme si il en aurait les réponses rien qu’en la regardant. « Ouais bein écoute, je suis désolée de te décevoir. » Qu’elle avoue pour autant sans montrer réellement d’empathie pour lui, alors qu’il y a encore quelques minutes dans la rue elle ne voulait plus lui lâcher la grappe. Et ça le sidère intérieurement, il s’ose un léger regard vers elle, Lucia semblait dépasser par les événements, à tel point qu’elle lâchait prise. Étrange, il devrait s’en réjouir, elle allait sans trop attendre se lever de sa chaise, et déguerpir. C’était ce qu’elle aurait mieux à faire, parce que traîner avec Rollins c’est rien sauf quelque chose de cool. Il n’est pas là pour apaiser les tensions, encore moins faire de la vie des autres, quelque chose de bien. Il n’est pas un garçon populaire sur lequel on pouvait se reposer, et cela depuis toujours, et ce n’était pas à trente ans que les choses allaient changer, fallait pas rêver, Carter fait pas de miracle ! « Qu’est-ce qui s’est passé ? » Qu’il demande, elle allait sûrement vouloir l’envoyé bouler, ou détourner la conversation mais qu’importe, elle relève ses yeux vers lui et il sait pas si elle a bien comprit de qui il parle, alors il poursuit, « Avec le pauvre type, qu’est-ce qui s’est passé ? » Il demande, insistant bien sur l’identité de l’homme qu’il ne connait pas, pourquoi était-elle tombée amoureuse d’un con ? Carter serait le premier à penser que l’amour c’est idiot, et bête. Que ça n’emporte que des emmerdes ! Et il a peut-être pas tort, c’est pas Lucia qui lui dira le contraire… « Et qu’est ce qui t’empêche de te lancer ? De trouver un restaurant qui veuille bien de toi et de te tenir à carreau ? » Il ne la regarde pas vraiment, il n’aime pas vraiment s’étendre sur ce sujet. Ses anciens boulots n’ont jamais su le tenir longtemps dans le feu de l’action, le motiver. Et franchement, qui arriverait un jour à motiver un type comme lui après avoir goûté au club ? Ce serait complètement idiot de penser le contraire… « C’est trop tard okay ?! » Une affirmation, dont il n’est même pas sur lui-même mais qui tente de faire croire à l’étrangère, histoire qu’elle lâche le truc. Il n’a pas les capacités, encore moins la motivation d’arriver à l’heure le matin, de faire de faux sourire toute la journée, de faire croire qu’il est heureux à gagner une misère pour des heures entières à le crever. Il ne sait même plus si ce rêve à le droit encore d’exister dans sa tête tant sa vie le mène à l’opposée… |
| | | ÂGE : 25 ans (28.03.99) - bélier ascendant taureau SURNOM : Meg généralement, "Barbie les emmerdes" pour Joséphine. STATUT : Elle a dit oui à Damon une première fois en novembre 2021, et à nouveau en novembre 2022. La seconde fois, plus personne n'avait de doigts croisés dans le dos. MÉTIER : Modèle photo, wannabe influenceuse et rôle principal du film "Nine" - adapté de la biographie à succès du même nom - sorti en salles en février 2024. En parallèle, en janvier 2024, elle a repris ses études après six ans d'interruption : cette fois, elle se dirige vers un bachelor en "Social Work" avec l’espoir d’un jour aider des gamins qui traversent les épreuves qu’elle a traversées enfant et adolescente. LOGEMENT : Megan, Damon et Bowie, le chien qui ne garde pas grand chose, ont d'emménagé en janvier au #283 Dornoch Terrace, à West End, dans une petite maison à la façade typiquement australienne. POSTS : 5711 POINTS : 410 TW IN RP : Négligence et retrait de l'enfant par les services sociaux / enfance dans le système, objectification de la femme, dépendance affective, fausse couche, infertilité et procréation médicalement assistée. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : véritablement obsédée par l'idée de s'élever dans l'échelle sociale, elle s'y emploie sans penser aux dommages collatéraux › forte, passionnée, impatiente et déterminée, Megan est courageuse et têtue jusqu'à l'épuisement › balottée entre une mère toxicomane et alcoolique et plus de familles d'accueil qu'elle ne veut les compter, elle ne parle de son enfance à personne › spécialiste des fausses bonnes idées, Megan agit avant et réfléchit après › elle a un grand coeur, pourtant elle n'hésite pas à laisser derrière elle ceux qui deviennent pour elle des "poids morts" DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkgoldenrod. RPs EN COURS :
(06) ginny #2 › shiloh #14 › maisie #5 › jo #14 › damon #41 › molly #6
(ua) olive #2 (slasher)
cosigan #41 ☆ you made me cry, i won't deny that. yes, we lied and told our friends that we were fine and played pretend but i'm so scared of being alone and you're the only one that feels like home. i'm just a mess, now I'm just a mess, and you're just the person that changed my life. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35 › 36 › 37 › 38 › 39 › 40 › 41
melly #5 ☆ are you a stranger ? but you seem so familiar, it's hard to explain. and maybe i'm broken, but my arms are wide open for you. and you'll never know it, but you're just like me. now you can't deny the times you lied and cried, you missed your mother. and I know, the story goes, you say you really tried, you didn't try at all. so now you hate the world, it hates you back is your excuse to fall.
joseegan #14 ☆ sometimes, baby, i'm so carefree, with a joy that's hard to hide. and then, sometimes, again it seems that all i have is worry, and then, you're bound to see my other side. but i'm just a soul whose intentions are good. oh lord, please don't let me be misunderstood.
meloh #14 ☆ you have my heart, and we'll never be worlds apart. when the sun shines, we'll shine together. told you i'll be here forever, said i'll always be your friend, took an oath, i'ma stick it out 'til the end. these fancy things will never come in between, you're part of my entity, here for infinity.
morigan #5 ☆ every single day, yeah, i dig a grave, then i sit inside it, wondering if i'll behave. it's a game i play, and i hate to say, you're the worst thing and the best thing that's happened to me. i don't know what to do, you don't know what to say, the scars on my mind are on replay. RPs EN ATTENTE : milo (scénario libre) ☆ there's always a joker in the pack, there's always a lonely clown. the poor laughing fool falls on his back and everyone laughs when he's down. there's always a funny man in the game, but he's only funny by mistake. and everyone laughs at him just the same, they don't see his lonely heart break. RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Sydney Sweeney CRÉDITS : undercovereiram (avatar), harley (gif profil, gif signature & crackship cosigan), blondewhoregifs (gif joseegan), raquelsgifs (gif shiloh), alicemxkesthings (gif maisie), lomapacks (gif molly) & bossiegifs (gif milo) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Midas Sterling (Leo Woodall) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 01/09/2019 | (#)Lun 9 Déc 2019 - 8:59 | |
| ‘Cause our minds changed on what we think is good Lucia Whitemore & @Carter Rollins Mes jambes qui s’agitent, mes mains qui triturent ma tasse à café alors que je fais tinter mes ongles sur la céramique, autant de signes extérieurs qui ne trompent pas, qui ne parviennent pas à masque ma nervosité. Être entourée de gens comme Carter je n’en ai pas l’habitude, et je n’aime pas ça. Dans mon univers – peut-être un peu utopique – de gentillesse et de bienveillance, les gens ne mettent pas volontairement mal à l’aise leur interlocuteur, et je ne suis pas assez naïve pour penser qu’il ne fait pas attention, qu’il ne fait pas exprès. Au contraire j’ai l’impression que chaque geste, sourire ou parole a pour objectif de me donner envie de me terrer dans un trou de souris, ou de prendre mes jambes à mon cou. Pourquoi je ne le fais pas alors ? Il est en sécurité à présent, une sécurité relative mais je ne peux rien faire de plus, même si j’ai du mal à intégrer l’adage qui dit qu’on ne peut pas aider quelqu’un qui ne veut pas l’être. Il ne me laissera pas le reconduire chez lui, il ne me laissera pas appeler quelqu’un pour venir le chercher, et il ne m’a pas l’air si blessé que ça finalement. Je ne le connais pas mais comme chaque personne qui me fait de la peine que je croise j’aurais envie de pouvoir l’aider à se sortir de ses addictions, mais j’ai l’impression que pour ce soir en tout cas c’est peine perdue. Il parle comme un adolescent capricieux et ses réflexions sont celles d’un enfant, ou peut-être est-il comme ça tout le temps, en tout cas il n’y a rien à en tirer. « Qu’est-ce qui s’est passé ? » Je fronce les sourcils, avalant quelques gorgées de mon café pour faire passer le goût de sa boisson alcoolisée. « Avec le pauvre type, qu’est-ce qui s’est passé ? » Je déglutis et encaisse la question. Je crois que je n’ai pas envie de parler de ça, pas même avec une inconnu tout compte fait. Surtout pas avec lui, qui semble depuis tout à l’heure sauter sur la moindre faiblesse que je lui offre. « Ce sont pas tes affaires. » Mais la phrase est trop acide à mes yeux, et je me sens obligée de rajouter. « Je n’ai pas envie d’en parler. » Pas avec lui, pas même avec les gens qui me sont proches et qui auraient besoin de comprendre, pourtant.
Nous nous retrouvons tous les deux sur la défensive finalement, alors que j’aborde le sujet des rêves qui me semblait pourtant innocent, peut-être parce que je n’ai jamais rêvé assez fort pour voir les miens se briser. « C’est trop tard okay ?! » Pourquoi m’en parler si c’est pour réagir de la sorte ? Pour me faire me sentir mal ? Je n’arrive plus à voir le bon côté, alors d’une traite et les mains tremblantes je finis mon café, avant de me lever et d’enfiler mon manteau rapidement. « Tu sais quoi, t’as gagné. Je vais te laisser tranquille. » Malgré ces mots, mon ton est dénué de la même agressivité. Parce que ce n’est pas moi, parce que sans parler de mordre, je ne sais même pas aboyer, pas même face à quelqu’un comme Carter qui n’a rien fait pour être agréable, me piquant au contraire dès qu’il en a eu l’occasion. « T’es moins amoché que ce que t’en avais l’air, t’es en sécurité à l’intérieur de ce bar, et tu veux pas de mon aide, je vois pas trop ce que je peux faire de plus. » J’évite son regard parce que malgré tout, la bonne samaritaine en moi a honte. Parce que je suis en colère contre moi-même de céder ainsi à mon malaise, de m’échapper. « Prends soin de toi, d’accord ? » Parce que s’il fait des conneries, s’il se met en danger je sais que je m’en voudrais de l’avoir laissé, malgré tout. Je boutonne ma veste, avant de lui jeter un dernier regard, de relever enfin les yeux vers lui.
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| | | | (#)Ven 13 Déc 2019 - 17:47 | |
| « 'Cause our minds changed on what we think is good » lucia whitemore & carter rollins
On pourrait penser que aujourd’hui, Carter n’est pas sous son bon jour, qu’il n’est habituellement pas aussi insolent, et qu’il ne perturbe pas autant ses interlocuteurs. Qu’il ne souhaite en tout cas pas le faire exprès mais c’est faux. Evidemment… Il joue des situations comme personne, sans jamais se mêler les pinceaux, il a sans doute traîné bien trop longtemps auprès de Raelyn Blackwell pour devenir une proie parmi tant d’autre. Carter n’est pas de ceux qui se laissent facilement impressionner, et même sous ses airs de petite bourgeoise à qui tout réussit, ce soir elle a perdu le combat Rollins. Il ne se laissera pas suffisamment approcher au point qu’elle puisse en savoir plus sur lui. Elle n’sera jamais cette sauveuse d’un soir, venant le secourir de son innombrable et intouchable besoin de poudre et d’alcool. Et ne lui demandez pas comment il se retrouve assis à la même table que la jeune femme. Il ne sait pas lui-même, il ne comprend pas. Il ne comprend pas ce besoin de ne pas avoir voulu séparer sa route avec celle de l’inconnue, et qui sait si ce n’est pas pour la provoquer. C’est ce qu’il prétendra Carter, juste pour la choquer, pour la mettre en difficulté. Parce qu’il ne sait rien faire d’autre que perturber les gens. Silencieux, il l’observe quelques instants et elle est mal à l’aise, il n’a pas besoin d’avoir fait de grandes études pour le voir. Ses mains qui cherchent à se poser en vain sur le bar, ses yeux qui n’osent véritablement l’affronter. C’est ce qu’elle a de mieux à faire toute façon, l’ignorer, espérer qu’avec le silence il finira par l’oublier. « Ce sont pas tes affaires. » Qu’elle dit assez froidement. Pas à ses yeux, au moins c’était clair, et si elle pense l’avoir heurté ce n’est pas vraiment le cas. Il hausse les épaules sans toutefois s’attarder sur elle, et elle rajoute, moins froide qu’auparavant, comme prise de rancœur, « je n’ai pas envie d’en parler. » Il avait pigé, okay il joue au con souvent, il n’est peut-être pas le plus intelligent des mecs qu’elle a croisé – il n’a pas fait d’étude de toute façon, mais fallait pas qu’elle se sente obligée d’être gentille tout à coup. Il semble avoir touché un point sensible et si les gens normaux s’arrêtent là, n’insistent pas lui enfonce le clou, « toute façon faut pas croire que l’amour existe… » Qu’il dit, sans ménagement, levant les yeux au ciel, franchement qui de nos jours pourrait croire avec absurdité que ça existe. Que aimer et être aimer est possible ? Foutaise ! Mensonge ! Les minutes passent, et c’est pas Carter qui interrompt ce silence, elle le fait d’elle-même, « tu sais quoi, t’as gagné. Je vais te laisser tranquille. » Il détourne même pas la tête, il sait pas ce qu’il a gagné lui, comme elle dit. Il hausse les épaules, détaché presque d’un air je m’en foutiste. Il a l’habitude d’être seul et se convainc que c’est la meilleure solution pour lui. Il pourra pas être déçu au moins, il l’a déjà été, avec Blackwell ! « T’es moins amoché que ce que t’en avais l’air, t’es en sécurité à l’intérieur de ce bar, et tu veux pas de mon aide, je vois pas trop ce que je peux faire de plus. » Il ne la retiendra pas, parce qu’il n’a aucune raison de le faire, et puisque cette fierté – plus forte que tout, l’en empêche. Elle a le droit de partir de toute façon. Il sait même pas si il aimerait la revoir ou en rester là. Il est sans doute trop alcoolisé pour réfléchir. « Prends soin de toi, d’accord ? » Elle se lève, et croise son regard. Il ne dit rien, mais au moment où elle tourne le dos, il laisse son regard traînait sur cette silhouette qui lui tourne le dos. Il l’observe s’éloigner de lui, et c’est ce qu’elle pourrait faire de mieux dans sa vie, ce n’est qu’un poison Carter. Un profiteur, elle n’a rien à apprendre avec un type aussi égoïste que lui. Il joue avec son verre avant de le boire cul sec et d’en recommander un aussi tôt, il n’y a que ça qu’il désire le brun… |
| | | | | | | | LUCIA&CARTER ► ‘Cause our minds changed on what we think is good |
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