| les gros poissons qui mangent les petits ! (jodie) |
| | (#)Sam 23 Nov 2019 - 23:06 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » libre & elias sanders
Elias Sanders n’a pas une vie de tout repos. Loin de la même, que ce soit sa vie personnelle, mais davantage sa vie professionnelle. Il n’est pas du genre à s’amuser, un tantinet sûr de lui et de son charme, il aime pourtant le jeu autour d’un verre ou lors de ses courses illégales. Mais si il y a bien un sujet sur lequel il ne plaisante pas c’est son boulot. Et ce soir, il est en infiltration. Une affaire que son équipe et lui préparent désormais depuis plusieurs mois, un trafic de drogue en plein Brisbane, et par une source sûre, il sait qu’il va pouvoir attirer dans ses filets quelques revendeurs de la haute sphère. Il l’a appris à ses dépens, toujours garder un œil autour de lui, et l’habit ne fait pas le moine. Il le sait, toujours se méfier des gens qui l’entourent et le flic sait bien qu’il ne pourra avoir que confiance en lui-même. C’est d’ailleurs un solitaire de nature qui ne se mélange pas vraiment avec les autres. La soirée se passe plutôt aisément, entre petits fours et cocktails. Rien ne laisse présager l’infiltration de ses deux femmes et de cet homme au sein de la petite salle. Rien, jusqu’à ce qu’il est un échange d’argent entre deux personnes, et que l’une des flics attire le regard sur elle, en les observant de trop prêt. Trop de questions qui éveillent les soupçons et une alerte est lancée entre eux, et plusieurs personnes déguerpissent assez rapidement. Dont celui que Elias est sensé surveillé comme de l’huile sur le feu. Un juron sort de sa bouche, fais chier, du haut de son smoking et de ses chaussures taillés à la perfection, l’homme à la chemise blanche sort en courant de la salle, regardant avec rapidité où l’homme a pu se rendre. Il ne le laissera pas s’échapper, c’était mort ! « Ne le laissez pas s’échapper » La voix du flic qui résonne devant quelques promeneurs sur la réserve, observant la scène sans vraiment bouger. Il commence à cavaler avant d’arrêter un cycliste, montrant son insigne, l’homme n’a même pas le temps de voir quoi que ce soit que Elias est déjà sur le vélo, pour rattraper son retard. Le sport ça le connaît et si il est légèrement essoufflé, la vérité c’est qu’il arrive à effleurer du bout des doigts son homme qui se retrouve coincé entre un grand mur et une porte d’un bâtiment. Une impasse, c’était parfait pour Elias ça, bientôt il aurait du renfort. Il jette le vélo sans ménagement et pointe son arme sur l’homme quand la porte s’ouvre et qu’une personne en sort. Elias tourne le visage vers elle, pointant sans le vouloir son arme par la même occasion, putain mais c’est qui cette personne encore ? Qu’il se demande de son regard noir, il allait tout faire capoter. « Vous n’avez rien à faire là, bouger-vous ! » Mais le dealer en profite pour faire quelques pas, et pointe l’arme derrière le dos de la personne. Le pire scénario pour Elias qui la voit immobile, prête à craquer littéralement devant lui. « Ok, ok mon gars, on va reprendre du début… » Il cherchait tout simplement à gagner du temps. Jetant un regard à la personne en question, se voulant rassurant dans son regard même si il ignorait comment la sortir de ce pétrin, seul… Il ne voulait sûrement pas jeter son arme sur le sol ! |
| | | | (#)Mer 8 Jan 2020 - 18:43 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
J'avais pu voir Arthur, Isla et même Marius, qui lui m'hébergeait le temps de trouver un appartement. Ca me faisait d'ailleurs un peu bizarre d'avoir autour de personne autour de moi. Du moins, de personne qui me connaissaient énormément. Et qui, de ce fait, ne pouvais pas être berné par quoi que ce soit. Par aucun de mes sourires ou blagues idiotes si je ne me sens pas suffisamment bien.
Brisbane était un endroit magnifique. Un endroit qui regorgeait de beauté. Entre les quelques habitats, les paysages, la plage. Et c'est d'ailleurs sur la réserve de Toowoong que j'ai fini par me balader. Il n'y avait pas tant de monde que ça. Entre les cyclistes et les coureurs. Mais ce n'était pas si mal puisque ça me permettait d'aller un peu n'importe où sans avoir à me faire déranger. Entre guillemet puisqu'avec mon appareil, c'est plutôt moi qui dérange.
Il n'y avait pas tant de vieux bâtiment que ça. J'imagine que la plupart ont été restaurés lorsque les habitants ont commencés à se faire plus nombreux. Mais quand j'ai pu découvrir un des bâtiments, je n'ai pas hésité à y entrer. Il y avait encore quelques vestiges d'un temps révolu. Et je m'étais tout de suite dit que j'allais pouvoir prendre quelques photos. J'ai du tourner en rond, dans la plupart des pièces durant une bonne vingtaine de minutes.
Appareil en main, je poussais la porte de derrière et je sortais du bâtiment. Mais je sursaute quand j'entends qu'on me crie dessus. Je lève les yeux et m'immobilise quand il me pointe de son arme. Hey ! Mais j'ai rien fait ! Je comprends pas. J'ai loupé un épisode. J'allais bouger mais je sens qu'on m’agrippe et que quelque chose s'appuie dans mon dos. Je m'immobilise et mes yeux s'écarquillent déjà. Mais pourquoi ça n'arrive qu'à moi ?! Je viens d'arriver. Je suis morte de trouille et je ne sais pas quoi faire si ce n'est regarder le mec qu'il y a devant moi. Je déduis qu'il est flic ? Reprendre depuis le début. Mais comment ça ? Mon appareil trône autour de mon cou et je me sens.. juste incapable de faire quoi que ce soit. "Rien à reprendre ! Tu recules !" Je ne pense pas qu'il me parle à moi mais il gueule dans mon oreille et je serais probablement en train de chialer si je n'avais pas la boule dans ma gorge qui m'empêche de faire quoi que ce soit. Mon sac a finit par se retrouver par terre au moment où j'ai levé les mains. Je me sens inutile, tellement vulnérable et je hais cette sensation.
- Spoiler:
J'espère que tu aimeras! N'hésite pas si un truc cloche !
Dernière édition par Jodie Glenn le Lun 18 Mai 2020 - 9:54, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 15 Jan 2020 - 16:41 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
Elias Sanders a l’habitude de bosser sous pression mais quand des victimes sont liés à ça il ne peut s’empêcher d’agir différemment que d’habitude. Il n’est pas du genre à parler des heures, c’est pas un truc qui l’anime et encore une fois il pensait pouvoir le chopper seul sans attendre du renfort, espérant qu’ils arriveraient tôt ou tard. Mais Elias devait se rendre à l’évidence, il devait faire quelque chose. Agie pour tenter de sauver la jeune femme, ils étaient seuls tous les trois dans cette rue déserte et sans issue de secours, à part si l’homme se sert de la femme pour se retrancher à l’intérieur. Il y pense Elias, parce qu’à sa place c’est ce qui ferait, pour tenter de s’évader par le toit, ou pas une tout autre issue, à part si il a des associés pas loin qui viendrait le défendre et le récupérer. Mais à part ceci, Elias est sur d’une chose : il se le fera, coûte que coûte ! Il a la hargne du flic qui ne veut pas lâcher sa proie. Plusieurs minutes de silence où le flic essaye d’analyser la situation, s’offrant par moment le loisir de regarder la jeune femme pour lui sourire un peu. Pour qu’elle y trouve du réconfort alors qu’elle tremble, elle a peur et il le voit bien. Mais à part lâcher son arme et se mettre en danger tous les deux, l’étreinte se resserre autour du flic, et lui qui aime vivre d’adrénaline, il aurait préféré qu’elle ne soit jamais là. Qu’elle n’existe pas. Qu’elle n’ouvre pas cette putain de porte la mettant en danger alors que le voyou la menace toujours avec son arme, et Elias la regarde, d’un air impassible. « Rien à reprendre ! Tu recules ! » L’art de la négociation pour Sanders on y repassera ! « Okay, et tu veux faire quoi ? T’as aucune issue, je te tomberais dessus à la seconde où tu bougeras… » Il cherche à le provoquer, à l’animer, à lui foutre cette putain de pression. Ca passe, ou ça casse. Il baisse son regard sur la jeune femme, « comment tu t’appelles ? » Qu’il demande alors, pour embrouiller le dealer, comme si il n’existait pas. Et ça le tend bien davantage, mais en réalité il cherchait à faire tourner la montre, à le regarder tout près de lui.
- Spoiler:
c'est parfait t'en fais pas
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| | | | (#)Ven 28 Fév 2020 - 19:30 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
Normalement.. dans ce genre de situation, je serais déjà en train de pleurer pas mal.. Mais là, tout est bloqué. Mais je hais la situation. Et j'aimerai savoir me défendre correctement. Mais pour le coup, à part lever les mains et tenter de ne pas bouger. Je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Le policier devant moi me sourit et je ne peux même pas me résoudre à lui rendre. Je n'ai juste pas envie de mourir.
Je me sens tiré un peu en arrière quand l'autre me gueule dans l'oreille. Ah, je crois qu'il veut rejoindre la porte ? Ce qui peut être judicieux quand on y pense.. Mais. C'est une issue de secours si je me souviens bien. Donc.. ça ne s'ouvre pas de l'extérieur une fois claqué. Est-ce que je l'ai laissé ouverte ? Je crois. Merde, je ne sais plus. Ca m'énerve un peu de ne rien pouvoir faire en réalité. Mais je suppose que si le gars s'en va par la porte, il aura une chance de partir. "J'ai rien à perdre moi ! Toi, tu as elle à perdre !" Ah bah.. un peu ouais ! Mais pourquoi je suis sorti par là. L'art de se foutre dans la merde jusqu'au cou... Mais le policier me parle et je ne cache pas ma surprise et vu que l'arme a un peu bouger dans mon dos, je déduis que notre ami est tout aussi surpris que moi.
- Je.. Jodie.. Je m'appelle Jodie..
Je le sens reculer encore et je tourne un peu la tête. La porte est ouverte. Hm... Une partie de moi veut que le mec soit choppé ... L'autre veut juste se barrer d'ici et se foutre un peu du gars. Je repose les yeux sur le policier et pince mes pulpes. Je peux.. peut-être essayer.. de ? Tenter une bonne action..? Je ne sais pas. Il recule encore et on n'est plus très loin.. Dans la position dans laquelle je suis.. Je risque plus la balle que de m'en aller en courant. Je respire avec lenteur et lève doucement mon pied droit et donne un coup derrière. Je sens la porte se claquer et je couine sérieusement quand je me prends un coup dans le dos. "Petite connasse !" Ah bah.. La vache. Je me pencherais bien en avant pour tousser un peu mais pour le coup. Au moins, il ne risque pas de s'enfuir. L'autre côté, c'est que je pense avoir un bleu ou deux. Et qu'en plus, je ne peux pas m'en aller... La crosse est assez douloureuse quand même...
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| | | | (#)Lun 30 Mar 2020 - 0:17 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
Il ne maîtrise pas la situation et ce n’est franchement pas quelque chose dont il affectionne particulièrement. Ses collègues ayant étés prévenus sont sur le point d’arriver, d’une minute à l’autre, mais on sait tous que Sanders aime le goût du risque. Il a cette arrogance et cette prétention à toute épreuve, et il n’aime pas se faire commander, alors quand c’est de quelqu’un qui est de l’autre côté de la barrière, de la limite à pas franchir, ça passe encore plus mal. Et c’est pourquoi, l’arme pointait sur le dealer devenu en quelques fractions de secondes, un braqueur ne se baisse pas. Elias ne se résout pas à lui laisser l’opportunité de disparaître avec la femme, alors qu’il recule, obligeant cette dernière à le suivre. Elle est son bouclier, celle qui lui permet de pas se faire tirer dessus. Et il ne cautionne pas le flic. Il n’cautionne pas qu’elle soit en danger. Il ouvre la conversation avec elle, à défaut de pas arriver à l’ouvrir avec le type en face. « Je.. Jodie.. Je m'appelle Jodie.. » Il lui fait signe de la tête pour lui signifier qu’il a entendu. Il lui répond à sa manière. Elle tremble, sa voix tremble et elle se demande bien ce qu’elle fout là, à présent. Il ne peut même pas la rassurer, parce que franchement ça sent mauvais cette histoire. Pas très loin de la porte d’où elle est sortie quelques minutes plus tôt, elle file un coup de pied à l’homme pour tenter de le fuir. Elias assiste à la scène impuissant, parce qu’il n’a pas eu suffisamment l’espace pour tirer sans risquer de la viser, elle. « Petite connasse ! » Elle n’a pas eu le temps de lui échapper qu’il reprend main mise sur Jodie. « Lâche là, t’iras pas loin… » Le ton de sa voix est sûre de lui, il ne transige pas, et ne supportera pas d’échouer dans cette mission. « Tu veux quoi ? » Demande t’il d’une voix sérieuse, sans le quitter du regard. Espérant avoir bientôt du renfort, faudra sinon qu’il trouve un autre moyen d’approche, qu’il trouve peut-être le point faible dans la prochaine réponse du type. |
| | | | (#)Lun 27 Avr 2020 - 18:51 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
J'ai clairement mal visé. Mon coup de pied était uniquement pour pouvoir fermer la porte. Et c'était plutôt réussi pour le coup. Pas question qu'il se barre avec moi sous le bras. Et je sais que la porte ne peut pas être ouverte de l'extérieur. Ce qui au moins, être une bonne chose. Et je pense que c'est bien pour ça que je me fais insulter. Pas tant pour le coup dans le tibia. Et le policier à raison. Il n'ira pas bien loin. On est dans un cul-de-sac. La porte est fermé et la seule issue, c'est là où le policier est. Et je ne pense pas qu'il soit venu complètement seul. D'ailleurs, s'il a appelé des renforts, ce serait peut-être le moment de débarquer parce que je ne vais pas pouvoir tenir la dose de stress bien longtemps. Le gars dans mon dos réfléchit. J'ai l'impression qu'il a un peu de mal à s'avoir quoi faire quand même. "Je veux que tu dégages et que tu me laisses me barrer !" Ça à, au moins, le mérite d'être plutôt claire.
J'entends du bruit dans la rue et je hausse les sourcils. Des voitures ? Pitié. dites moi que c'est bien enfin les renforts ? Ça freine plutôt sec et la pression d'en mon dos se fait un peu plus fort. Je pense que le type derrière moi commence à avoir peur. Et ça serait légitime encore une fois. Une sonnerie se fait entendre. C'est mon portable. Je vois déjà le gars quitter l'agent de police des yeux pour me fixer moi. Et au lieu de me demander où est mon portable, il tâtonne déjà de sa main libre.
- Je pense pas que mon putain de portable est dans mon soutif !
Je grommelle et le gars me dit encore de me la fermer. Bah ouais mais je préférerais évité qu'on me tripote encore! Qu'on me menace est une chose, qu'on me touche en est une autre. Il ne me tient plus au moins. Est-ce que je peux bouger ? Je baisse les yeux. J'ai toujours mon appareil autour de coup. J'ai peut-être encore une idée.. Je vais finir par y passer avec mes idées. Je baisse ma main gauche sur mon appareil et appuie sur un des boutons. Je pourrais peut-être déclencher le flash dans son visage. Il récupère mon portable et vient déjà raccrocher. Alors, je sais pas mais tant qu'il est occupé avec mon portable, on pourrait me sortir de là ? Mon portable est jeté au sol. Je suis bonne pour en racheter hein. Je prend une respiration et lève mon appareil avant d'appuyer sur le bouton. L'appareil face au visage du type se déclenche et le flash blanc s'active en moins d'une seconde. J'entend un cri ses deux mains rejoignent ses yeux. C'est risqué mes bons. Je bouge à toute vitesse et vais me planquer au niveau des poubelles, derrière l'agent de police. Pourra pas dire que je n'ai pas essayé d'aidé..
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| | | | (#)Sam 30 Mai 2020 - 23:20 | |
| « les gros poissons qui mangent les petits ! » jodie glenn & elias sanders
La scène qui se déroule devant ses yeux le laisse perplexe, et il n’a même pas son arme pour tirer en l’air, ou tenter de le faire sur l’homme. Clairement, il n’avait pas envie que l’homme s’en prenne à la femme, et c’est cette raison qui le mène à poser l’arme sur le sol non sans jamais baisser le regard, dévisageant la scène autour de lui. Elias savait qu’il était finit, que tout ne serait qu’une question de temps et que ses collègues ne tarderaient pas à arriver. Mais ce dernier commence légèrement à perdre patience il voit bien que la jeune femme grimace par moment, au même moment que les à-coups, signe que l’homme se sent à présent oppressé. Il n’en faut pas tant pour voir sur le visage du flic un air rassurant, voir presque une arrogance à ce signe, qui symbolise aussi que l’homme ne connaît pas son métier. Et il aurait agi sans même réfléchir des conséquences si la femme n’était pas intervenue et qu’il ne l’aurait pas prise en otage. Il n’aurait pas hésité une seconde, comme il ne l’a pas fait quand il a dû courser le dealer. Mais sa route s’est bien vite arrêtée devant l’accès fermé de la rue. Et Elias ne peut que constater qu’ils sont pris au piège, davantage cette femme qui se tient devant lui. Sous un coup de pression un coup pourrait bien vite partir parce que le dealer semble anxieux, et c’est ce genre de situation qui l’effraie, donc le flic n’aime pas vraiment. Il ne peut pas anticiper la réaction de l’autre car la peur emmène souvent le pire d’une situation, il décide alors de calmer le jeu, pour que la vie de la femme ne soit pas trop ballotée entre les deux hommes, qui ne voudront jamais lâcher prise. Il a de l’expérience Elias mais il n’a jamais perdue de prise d’otage et n’accepterait que ça arrive, pas si bêtement. Il sait être con Elias, il sait être arrogant mais il sait aussi que la vie mérite d’être vécue. Autant mettre toute les chances de notre côté non ? « Je veux que tu dégages et que tu me laisses me barrer ! » Il le menace avec son arme qu’il tient en l’air et en guise de réponse le flic rigole. C’est incontrôlé, nerveux mais ça permet aussi de le déstabiliser. Si il savait … « On va pas pousser trop loin aussi… » Il est ironique et lève bien les yeux au ciel pour marquer le coup, et oh combien ses demandes sont impossibles. Mais Elias parie qu’il le sait déjà, et qu’il est inutile de le lui rappeler davantage. Mais ils essayent toujours… Et quand une sonnerie retentit, tous regarde en cette direction : en l’occurrence celle de Jodie. « Je pense pas que mon putain de portable est dans mon soutif ! » Qu’elle crache presque quand l’homme la tripote et Elias se tend, il profite que la femme fasse diversion pour avancer d’un pas ou deux, ou peut-être un peu davantage avant que le dealer relève ses yeux sur lui et voit bien qu’il n’était plus au même endroit, il menace avec son arme, « n’avance plus ! » Il est crispé, il est tendu, alors qu’Elias aurait juste voulu récupérer son arme à terre. Mais tout s’enchaîne en sa faveur alors qu’il entend au loin les sirènes, et que l’homme en face perd ses moyens. Jodie en profite pour lui mettre son appareil en pleine tronche, avec le flash et si elle, elle court jusqu’à la poubelle, Elias lui, récupère rapidement son flingue, avant de le pointer sur l’homme. Et si il vient à bouger, il tirera sans une once d’hésitation, mais deux voitures de police débarque dans l’impasse, empêchant l’homme de fuir avant qu’il ne soit arrêté. Elias fait signe pour Jodie réfugié derrière les poubelles. « C’est finit… Vous vous êtes très bien débrouillée. » Et il lui tend sa main pour qu’elle sorte de là et qu’elle vienne un instant dans la voiture de police en attendant le camion de pompier.
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| | | | | | | | les gros poissons qui mangent les petits ! (jodie) |
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