Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again

Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
  
Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  616bfddbfe3ceeca1b184a6faaa744d1a87adae5
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  30
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Tumblr_inline_pq7a8g2DmG1u9urvd_400
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyMer 18 Déc - 15:54


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

Quand Aaron resserre le bras qu’il a passé autour de mes épaules, je ne peux m’empêcher de sourire. Jaloux et possessif, il ne voit pas d’un bon œil la rencontre que je m’apprête à faire. Les retrouvailles plutôt. Je l’ai rencontré il y a presque deux ans, et ma vie a changé du tout au tout suite à ça. Je n’étais qu’une gamine, une junkie pathétique se raccrochant à l’illusion qu’elle pouvait s’échapper de son enfer quotidien en sniffant un rail de poudre. J’étais obsessive, aveuglée bien souvent par mon besoin de mettre la main sur une dose, et généralement prête à beaucoup de choses pour le faire. Je me mourrais dans cette ville, devenue bien plus maigre qu’avant de quitter ma campagne, agitée en permanence par des tremblements et la cloison nasale si fragile que du sang coulait bien trop souvent de mon nez. J’étais ce cliché que l’on voit dans les spots de prévention contre la drogue, et je déteste tout ce qui me renvoie à cette image-là.

Quand Aaron m’a trouvée j’étais faible, j’avais touché le fond, et j’errais simplement à la recherche de mon dealeur, désorientée et en manque. Je m’étais effondrée sur un trottoir et il m’avait ramassé, comme une ramasse un chat de gouttière errant, et ramenée chez lui. Je ne sais pas ce qui l’a poussé à me tendre la main – le brun n’est ni tendre ni empathique et bienveillant – mais il l’a fait. Il l’a fait malgré mes protestation, malgré les faibles coups que je lui donnais en le suppliant de me laisser sortir de l’appartement, de me laisser aller chercher ma dose, de disparaître de ma vie. Il a supporté toutes les phases par lesquelles je suis passée pendant mon décrochage. Irascibilité, crises de colères, larmes et cris, il n’a pas bronché. J’ai mis deux mois. Deux mois à avoir vraiment envie de m’en sortir, à le voir comme autre chose qu’un ennemi, qu’un obstacle entre ma drogue et moi, et si je suis encore une addict, je serais une addict toute ma vie, je n’ai pas touché à autre chose qu’un joint depuis ce jour-là. Depuis ce rail que j’avais aligné dans mon appartement miteux avant de sortir à la recherche de mon dealeur. Mais j’ai bien vite remplacé mon addiction par une autre, et les sentiments que j’ai développé à l’égard de celui qui partage désormais ma vie me semblent aussi excessifs que l’était mon addiction. Nous avons eu notre lot de hauts et de bas, causés par la possessivité d’Aaron et son intransigeance, par mon caractère dur et indépendant comme par ma jalousie, mais il me semble avoir trouvé en lui ce que je n’avais jamais trouvé à lui. Et ça me fait peur, de ressentir pour lui ce sentiment de dépendance que je n’avais jamais ressenti. Je ne pensais pas être de ces gamines amoureuses et naïve, mais il ne pouvait en être autrement. Jeune, impressionnable et avec le sentiment de lui être redevable, je suis tombée amoureuse de lui en un claquement de doigt, sans me soucier du fait qu’il ait onze ans de plus que moi, embrassant complètement le monde auquel il appartient.

Le Club. Le gang auquel il m’a présentée une fois sevrée. Ma vie n’a plus grand-chose à voir avec celle que je menais il y a deux ans. Celle que j’ai écrasée, effacée comme si elle n’avait jamais existé, sans me soucier de ceux que je laissais derrière. De celui que je laissais derrière. Après avoir décroché je n’ai jamais remis les pieds à l’appartement que j’occupais. Aaron est passé y récupérer mes papiers et quelques effets personnels, mais la majorité de mes maigres possessions est restée là-bas, et avec elle les souvenirs. Carter savait que notre amitié, notre attachement était volatile, voilà de quoi j’ai réussi à me persuader pendant presque deux ans. Il se sera remis, il aura trouvé mon appartement vide, aura supposé que je suis rentrée chez moi ou que je suis morte d’une overdose dans un coin sale de la ville et aura avancé. Une part de moi a toujours su que c’était faux, qu’il ressentait pour moi bien plus que ce que j’étais capable de lui offrir en retour, bien plus que ce que j’étais capable de lui offrir en retour. « Rappelle moi pourquoi t’as besoin d’aller chercher ce type ? » Son bras se resserre encore autour de mes épaules. Un geste qui traduit clairement ce sentiment qu’il a que je lui appartiens, que je suis sa chose. « Je te l’ai dit. Il est débrouillard et il a des contacts. Il a pas froid aux yeux. Ça sera un bon élément. » C’est faux. Je n’aime pas lui mentir mais c’est faux. Je me fous de ce que Carter peut apporter au Club, mais sans trop savoir pourquoi ma conscience me travaille. Je ne m’émeus pas d’avoir abandonné le brun derrière moi, non, jamais. Mais une part de moi a envie de lui offrir l’opportunité d’appartenir à quelque chose de plus grand que nous, que ces deux adolescents paumés en haut d’un toit. Ce qu’Aaron m’a offert. La voiture se gare, et j’en descends, suivi d’Aaron, bien décidé à ne pas le laisser rencontrer Carter seule.

Et je l’aperçois. Malgré l’obscurité de cette fin de journée, je reconnais sa démarche, sa dégaine. Appuyé contre le mur, il tire sur une cigarette ou un joint, une bouteille de mauvais whisky à la main. Je n’aime pas ce que je ressens, le sentiment d’être renvoyée en arrière alors que moi j’ai réussi à m’en sortir. Je me tourne vers Aaron et pose une main sur son torse. « Reste en arrière s’il te plait. C’est un vrai con quand il le veut. » Un regard méfiant, il s’arrête finalement au bout de la ruelle, à quelque mètre du brun, en bon chaperon. Et moi je m’approche, prête à entrainer Carter dans un univers bien plus sombre que celui dans lequel il évolue, comme il l’a fait avec moi il y a presque trois ans. « Carter ! » Je l’apostrophe avant d’arriver à son niveau, pour le faire sortir de sa torpeur. Il est peut-être bourré ou défoncé, il l’est tout le temps de toute façon. « T’es pathétique. Mais ça fait plaisir de te voir. J’étais pas certaine que tu sois vivant, j’aurais pas parié sur toi. » Il va exploser, je suis sure qu’il va exploser. En arrière-plan, Aaron croise ses bras contre sa poitrine, les sourcils froncés et le visage fermé.  







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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyJeu 19 Déc - 21:20

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Il ne s’était jamais autant senti attaché à quelqu’un qu’à Raelyn Blackwell. Il ne la connaissait pas depuis très longtemps, et il ne l’avait côtoyé que durant neuf mois. Sa disparition n’aurait donc jamais dû le toucher. Après tout, ils ne se devaient rien, et Carter ne sait même pas vraiment ce qu’il attendait de cette relation. Elle n’était ni amicale, ni amoureuse. Il n’y avait que des sentiments succincts, éloigné de ce que l’amour pourrait représenter dans les yeux de tous. Raelyn n’avait été qu’un bref passage dans sa vie tumultueuse et elle ne s’éterniserait pas, il en était conscient. Mais pourtant, il ne voulait pas voir les choses en face, elle s’était volatilisée du jour au lendemain. Quelques minutes et plus rien. Déboulant dans les rues, Carter était sobre, pour une fois. Le regard perdu, il pourrait pourtant retrouver ce chemin les yeux fermés, il n’était pas rare qu’il ne se rende pas chez elle. Quand les temps sont difficiles, quand la passion disparaît, il n’est jamais bien loin. Il avait voulu la prendre sous son aile, lui le solitaire. Lui, qui se mélange jamais aux autres. Il avait eu besoin de l’aider, alors même qu’au début, elle ne voulait pas de son aide. Mais elle avait vite prit goût aux sachets et en redemandait. Et si il pensait lui rendre service, la réalité est tout autre car sans le vouloir, sans le savoir il l’avait rendu accro. Elle qui avait sans doute toute la vie devant elle, qui aurait pu prétendre à une autre vie, une autre carrière. Carter Rollins est ce poids constant dans la vie des autres, profitant du système aussi bien que personne, il vit au jour le jour sans réellement se soucier du lendemain. Sans être certain de pouvoir respirer, ou d’être encore vivant. Sa vie sera courte et éphémère, c’est du moins ce qu’il souhaiterait et qu’il prétend à qui veut l’entendre. Se voir vieillir, se voir devenir responsable, ça l’effraie. Il préfère de loin être cet éternel gamin, en quête de rien, aucune ambition, aucun rêve. Sauf celui pour la cuisine qui disparaît de jour en jour. Parce que franchement, qui voudrait d’un camé comme lui ? Il est pitoyable, pathétique d’être ce genre d’homme, à traîner dans la rue. A devoir voler quelques broutilles pour se payer ses sachets, il vit chez son frère, mais franchement c’est la vie dont il rêve… A la porte de cette ancienne connaissance, il toque si fort qu’il pourrait faire réveiller l’immeuble entier, mais franchement c’est le cadet de ses soucis.  « Blackwell, ouvre-moi cette putain de porte où j’te la défonce ! » Il frappe si fort, il gueule, prêt à démonter la porte de son coup de pied habile. Il est énervé, anxieux, il tremble. Il a besoin de prendre un truc avec elle, mais elle n’est pas là, elle n’est jamais là quand lui a besoin. Il a le cœur froid, mais la porte s’ouvre. Elle s’ouvre sur une silhouette qu’il ne connaît pas, il plisse les yeux devant cet homme âgé d’une quarantaine d’années, voire légèrement plus. Il n’en sait rien, il le regarde d’un mauvais œil avant de lui demander, froidement. « J’veux voir Blackwell ! » Qu’il répète de nouveau, ce nom qui commence à lui manquer. Trop de jours sans la voir, il serre ses poings, reluquant sans ménagement l’homme de la tête au pied comme si lui valait davantage. « Elle est pas là ! » Qu’il répond l’homme, sèchement avant de reculer pour se rendre dans le salon, Carter s’appuie contre le rebord en bois qui encadre la porte, le regardant silencieux, « elle a dégagé le plancher ta copine, » il n’comprend pas Carter ce qu’il veut dire l’homme, il plisse les yeux, son regard balaye l’appartement à la recherche de Raelyn. Mais devant la seule silhouette qui bouge de l’homme, et le silence presque étouffant de cet appartement, l’homme poursuit. « T’as qu’à prendre ses affaires dans le carton, brûles-les ou gardes-les ! » Carter, sans savoir pourquoi, il exécute, il récupère le carton où jonche le blouson en cuir qu’il avait volé pour elle. Il ne cherche même pas à vider ce carton, il le récupère et tourne les talons sans rien dire à l’homme. Elle n’avait pas pu lui faire ça, partir sans rien récupérer, sans le prévenir. Il n’était qu’un pantin de plus dans sa vie, comme les autres le sont pour lui. Il quitte l’appartement, il quitte l’immeuble. Il quitte la rue. Puis le quartier. Le carton dans les mains sans savoir quoi en faire…

Il erre en bon soldat comme il est, dans les rues sombres et lugubres de Brisbane. Il vient de prendre une petite dose, la dernière qui lui restait et ses poches sont vides. Plus d’argent, plus de poudre. Juste trois cigarettes et une bouteille de whisky pleine dans son sac bien léger et une autre qui tient dans sa main gauche, le bouchon déjà enlevé de la bouteille. Il avance en titubant, il gueule dans la rue plus que nécessaire et tout le monde se retourne sur son passage. Il passe du coq à l’âne, rigole, non Carter n’est plus ce garçon qui a quitté Adélaïde. Brisbane l’a transformé, modelé pour qu’il se fonde dans la masse. Finalement, il prend la première petite ruelle étroite pour se poser quelques instants, sans même savoir qu’on l’observe de loin. Qui voudrait lui piquer des choses ? Il n’a plus de quoi se nourrir, et n’en parle pas à son grand frère. Il n’a plus de taf, plus d’tunes, plus de drogue. Putain, il se hait tellement d’être dans cette situation. Mais il s’en sortira. Toujours, il a ça dans le sang Rollins. Il ne baisse jamais les bras et trouve toujours des mains tendues en sa direction qu’il prend un malin plaisir à expédier hors de ses sentiers après s’en être allègrement servie. Une fouine, un odieux personnage que personne ne voudrait dans sa vie. Et il est fier. « Carter ! » Il a à peine le temps de se retourner quand il entend qu’on crie son prénom. Son dos se laisse tomber contre le mur. Cette voix, cette silhouette… Il la déteste. Sa main qui resserre la bouteille, ses membres qui se crispe. « T’es pathétique. Mais ça fait plaisir de te voir. J’étais pas certaine que tu sois vivant, j’aurais pas parié sur toi.  » Mais elle approche. Trop prêt, il veut pas la voir. « Casse-toi ! » Qu’il dit d’une voix sûre d’elle, prise dans un élan de fierté. Ses yeux accrochent ceux de la jeune femme, alors que peu à peu l’information monte jusqu’à son cerveau. « Casse-toi Blackwell, c’est pas ton monde ici… » Il parle un peu plus fort alors qu’elle part pas. Elle reste là, sans bouger et Carter ça l’insupporte. « Je te voudrais morte ! » Qu’il crache en direction de la jeune femme, le regard sans une once de pitié, et pourtant il aurait tellement besoin qu’elle revienne dans sa vie. Mais il préférerait mourir que lui laisser l’entrevoir. Et sans même comprendre, sans même se voir partir, il balance la bouteille de whisky – presque vide de toute façon – en direction de Raelyn, celle-ci qui s’abat sur le goudron sans attendre.  Se brisant en plusieurs petits morceaux, laissant le peu de liquide se répandre sur la route comme la douleur qui se répand dans ses veines.
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Raelyn Blackwell
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MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyVen 20 Déc - 12:38


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

Poser le yeux sur le brun me renvoie instantanément deux ans en arrière. Quand je suis arrivée à Brisbane, quand j’ai rapidement commencé à m’attirer de mauvaises fréquentations, quand j’ai commencé à rapidement devenir accro à la poudre blanche. J’ai l’impression que la jeune femme que connaissais Carter est une autre fille. Une fille perdue et influençable que je ne suis plus. J’ai changé, j’ai pris en caractère, moi qui avait déjà la tête dure comme la pierre j’ai pris en confiance en m’épanouissant. Et j’ai changé physiquement. Je me suis remplumée bien sûr, et mon corps n’est plus celui d’une enfant, adieu les t-shirt blancs trop grands et les shorts en jean que je récupérais comme je pouvais, mais la plus grande différence reste dans mon attitude. Dans ce menton que je porte haut, dans cet air fier et supérieur dans mon regard. Dans ces escarpins qui claquent contre le sol annonçant mon arrivée. Non, la fille que Carter a connue n’existe plus, et il risque de rapidement s’en rendre compte. Pourtant je suis là. Pourtant ces derniers mois j’ai ressenti le besoin de lui tendre la main, de ne pas l’abandonner à son sort. Parce que je me sens un peu coupable au fond. Parce qu’une part de moi se souviens de lui, de sa main dans la mienne, et de son rire qui trouvait éclat au mien. Aaron était farouchement opposé à l’idée, il n’est toujours, pensant peut-être qu’il  y a eu plus de l’amitié entre nous. Ce serait mentir de dire que j’ignore que pour Carter c’était le cas, je le sentais à l’époque et je l’ai compris à présent, mais je n’ai d’yeux que pour lui aujourd’hui, et Aaron n’a pas la moindre raison de s’en faire.

Comment a-t-il vécu mon départ ? S’est-il rendu à l’appartement pour le trouver vide, ou déjà reloué ? A-t-il pensé que j’étais morte ? Sûrement, cela me pendait au nez et ce serait peut être le cas si je n’avais pas rencontré l’homme avec lequel je partage aujourd’hui ma vie. Je ne sais pas comment il va m’accueillir, mais je suis certaine qu’il y a peu de chance qu’il me tombe dans les bras.

Son regard croise le mien et je la capte sa rage. Je jette un regard à Aaron et sens sa tension à lui aussi, sens qu’il interviendra au premier signe d’agressivité. « Casse-toi ! » Je croise mes bras contre ma poitrine et le toise. « Casse-toi Blackwell, c’est pas ton monde ici… » Oh que si. Et il ne se doute pas à quel point c’est devenu mon monde, plus encore que le sien. Il refile peut être sa came à des adolescentes impressionnables, peut-être qu’il m’a remplacée et s’est trouvé une nouvelle obsession, mais je joue aujourd’hui dans une cour bien plus grande que la sienne. « Je te voudrais morte ! » Aaron s’approche et je me retourne vers lui en secouant la tête. « C’est bon, laisse-moi gérer. » Je rassure mon amant, avant de me retourner vers Carter. « C’est comme ça qu’on accueille une vieille connaissance ? » Une revenante si j’ose dire. « Je constate que t’as pas changé. » Et ce n’est pas un compliment. Je ne m’en rendais pas compte à l’époque, certainement parce que j’étais le même état que lui et que j’avais la même allure, mais il a l’air d’un vrai déchet de la société. « T’as eu combien de taf depuis qu’on s’est quittés ? Tu t’es fait virer combien de fois ? » Je lève un sourcil, consciente que je le pique. Mais j’ai envie de le faire réagir. « Combien d’allers-retours en désintox ? Tu crèches encore chez ton frère ? » Je croise mes bras contre ma poitrine et fait un pas vers lui. Aaron avance d’un pas lui aussi, protecteur, possessif, trop possessif. « Je vais pas m’excuser d’avoir saisi ma chance de m’en sortir. De m’en sortir de cette vie de merde. » Peut être que c’est égoïste, peut-être que c’est insensible, mais je me suis choisie moi. Et je me choisirais toujours. « Fais pas comme si je t’avais brisé le cœur Carter. J’étais qu’une paumée avec laquelle tu tuais le temps. » Je te voudrais morte. C’est ce qu’il avait dit. Comme si je lui avais planté un couteau dans le cœur. Et c’est ce que j’ai fait, une part de moi le sait, mais je ne suis pas responsable de l’affection qu’il avait à mon égard. Des sentiments qu’il ressentait sans que je n’aie jamais rien fait pour les encourager. Je ne l’ai pas repoussé, c’est vrai. J’en ai profité, parce que je n’avais pas envie d’être seule et qu’il était là. Mais je ne lui ai jamais rien promis.






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Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Empty
Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptySam 21 Déc - 15:31

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Bien sûr qu’il savait que sa route finirait par recroiser celle de Raelyn Blakwell, celle qu’il a longtemps considéré comme une personne importante dans sa vie, et même si ils ne se connaissaient quasiment pas, à l’époque. Elle s’est rattachée à lui comme si il était son seul pilier, le seul homme voulant d’elle. Et probablement que Carter aurait dû réagir avec elle comme il réagissait avec ses autres le côtoyant. Il n’aurait jamais dû la calculer mais plutôt se moquer d’elle. Il aurait dû être ce connard, un visage que les étrangers ont le droit d’avoir, mais que Raelyn n’a jamais pu voir. Pourquoi ? Il n’en sait rien, et franchement c’est ce qui le fout le plus en colère. Parce qu’avant d’être un homme, c’est un type fier et arrogant, qui considère que les autres autour de lui ne méritent pas son attention. Pour passer cette barrière, il faut en faire des caisses, là où Raelyn n’a quasiment rien fait pour obtenir ses faveurs. Il s’était senti seul le jour où il s’était enfin décidé à se rendre à son appartement, un lieu qu’il connaissait à présent par cœur pour y aller parfois, quand il n’avait pas envie de rentrer chez son frère. Raelyn l’accueillait toujours sans rechigner, se servant bien volontiers dans les cigarettes et même les sachets de poudre sans même demander. Elle savait la place qu’elle avait auprès du brun, elle savait qu’il ne lui dirait jamais rien. Elle savait tout ça, alors qu’elle-même savait un jour qu’elle s’en irait, loin de lui. Et aurait-elle tort de s’en priver ? Peut-être qu’à sa place, il aurait fait la même chose, si il était du genre à se plaindre de sa vie… Mais c’est bien le cadet de ses soucis, il n’aime pas réaliser combien il s’est fait avoir, et c’est ce qui le rend davantage en colère et impuissant. Il la déteste, tellement qu’elle ne pourrait jamais mesurer cette haine sur une échelle de un à dix. « C’est bon, laisse-moi gérer. » Qu’elle dit envers l’homme qui s’est avancé en voyant la bouteille éclater sur le sol. Il avait envie de le provoquer, d’ailleurs il ne regardait même plus Raelyn à cet instant, mais l’inconnu qui se tient juste derrière elle. Il a ce poison violent qui se répand dans ses veines et ça lui donne des ailes – ailes qui ne devraient pourtant pas avoir si seulement il connaissait la réputation d’Aaron. Mais c’est bien connu Carter se fiche des réputations, la sienne aussi est bien remplie, quoi qu’en pense la femme qui a partagé son quotidien durant plusieurs longues semaines. Carter lève les yeux au ciel à sa phrase, avant qu’elle se retourne vers lui, « c’est comme ça qu’on accueille une vieille connaissance ? Je constate que t’as pas changé. » Et franchement c’était le cadet de ses soucis ce qu’elle pense de lui. Il avait envie de cracher sur le sol à ses pieds, ce qui signifie dans leur milieu, qu’elle ne méritait pas mieux. Mais il préférait la regarder comme il avait l’habitude de fixer ses ennemis, avec toute son arrogance et son mépris, parce que c’était la seule image qu’elle pourrait représenter au jour d’aujourd’hui. « Je ne te dois rien Blackwell, c’est toi qui est partie. » Il est brutale et le son de sa voix est cruel, et remplis de sous-entendu, « C’est pas moi qui est quelque chose à me racheter ! » Qu’il dit, non sans montrer toute sa fierté dans son regard, c’est bien pour ça qu’elle est là non ? Sinon pourquoi serait-elle revenue ? D’ailleurs, qu’est-ce qu’elle lui veut ? « T’as eu combien de taf depuis qu’on s’est quittés ? Tu t’es fait virer combien de fois ? » Putain que c’est douloureux ses paroles, il ne veut pas les entendre, qu’elle soit maudit même si il n’y croit pas. Il n’y a que de la vermine qu’on ne puisse jamais se débarrasser et elle en fait partie, comme lui. Quoi qu’elle se considère au-dessus de lui, elle ne mérite pas mieux ni plus que lui, de toute évidence ! « Combien d’allers-retours en désintox ? Tu crèches encore chez ton frère ? » Il met ses mains sur ses oreilles tout en criant pour ne plus l’écouter, pour que cette voix disparaisse à tout jamais. « TAIS-TOI ! » Il hurle, il crie, putain il a envie de tout massacrer autour de lui. Et d’ailleurs sans réfléchir, il fait quelques pas vers elle, et franchement c’est un peu compliqué, sa tête a envie d’en finir avec elle, mais ses jambes ne peuvent vraiment avancer droit, mais il ne parviendra jamais jusqu’à elle, l’homme interviendra avant et Carter le sait il n’est pas si con que ça, et finalement, il se tourne tapant dans le mur d’un coup violent, qui lui arrache une douleur. La tête contre le mur, prit la main dans le sac, il a tellement envie d’en finir avec elle, parce qu’il la hait autant qu’il a voulu la protéger, il fût un temps, «  je vais pas m’excuser d’avoir saisi ma chance de m’en sortir. De m’en sortir de cette vie de merde. » Elle tente de se trouver des excuses, il soupire, avant de rétorquer avec toute cette froideur, « mais j’te retiens pas Blakwell, c’est pas moi qui t’ai demandé de venir me parler aujourd’hui ! » Qu’elle tourne les talons, qu’elle se casse puisqu’elle a voulu saisir sa chance. Sa chance de quoi d’abord ? Elle restera toujours la même, et il avait besoin de lui faire mal, autant qu’elle lui faisait mal, il reprend alors, d’une voix plus sûr, parce que ça il sait faire, provoquer, affaiblir l’autre. « Me fait pas croire que t’es devenue une femme, t’es la même qu’avant, t’es toujours cette gamine paumée qui ne connaîtra ni ascension ni qu’on se retourne sur ton passage… » Et qu’importe si il n’en pense pas un traître mot, il sait si bien jouer la comédie qu’elle saura pas que c’est juste pour la voir souffrir. « Fais pas comme si je t’avais brisé le cœur Carter. J’étais qu’une paumée avec laquelle tu tuais le temps. » Il rigole si fort, que c’était de manière désinvolte, comme si il se forçait. « C’est sûr qu’on pouvait plus rien pour toi… » Et pour lui aussi, il attend sa mort, mais elle ne vient pas… « Je te croyais morte, c’est tout ce que tu méritais toute manière. » Qu’il dit sans ménagement, en haussant les épaules d’un air indifférent. Sa mort l'aurait peut-être soulagé, plutôt que recevoir ce couteau planté en pleine plaie.
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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
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PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptySam 21 Déc - 18:24


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

Il pue l’alcool. Je m’en rends compte maintenant que je suis plus proche de lui, et je remarque son dos collé au mur, certainement pour tenir debout, son front moite et ses yeux hagards. Il est saoul, complètement saoul et je me demande si je vais réussir à tirer quoi que ce soit de lui dans cet état. S’il écouter la moindre phrase sortant de ma bouche ou ce que j’ai à dire, ou s’il se conduira comme un gamin, comme un alcoolique en lançant toutes les méchancetés qui lui passent par la tête sans se soucier de si elles ont le moindre sens ou non. J’aurais pu être comme lui, dans d’autre circonstances j’aurais même surement été à côté de lui, avec des fringues bien trop grandes pour le corps de gamine que j’avais, un fard à paupières sombre bien trop voyant, un maquillage trop prononcé pour mon visage d’enfant et tremblotant comme si j’avais parkinson. Parce que je ne valais pas mieux que lui lorsque j’avais rencontré Aaron, et c’est à lui que je le devais. C’est lui qui m’avait laissé penser que la poudre blanche m’aiderait, qu’avec elle je deviendrai libre et invincible, que tout serait à ma portée, strictement tout. Le baratin du dealeur de base, pour que j’achète sa merde. Et je l’avais acheté, j’avais plongé tête baissée, plutôt deux fois qu’une et lui s’était fait prendre à son propre piège, lui s’était attaché à la gamine paumée que j’étais. Si à l’époque je n’en avais pas tout à fait conscience, et manquait de sensibilité, ne faisant rien pour le repousser, aujourd’hui je suis pire. Aujourd’hui je compte bien l’utiliser à mon avantage cet attachement qui doit bien exister quelque part encore, surtout s’il continue à me provoquer, à tout faire pour que je sorte de mes gonds. « Je ne te dois rien Blackwell, c’est toi qui est partie. » Effectivement, il me doit rien. Mais il se doit à lui-même d’arrêter d’être aussi minable, en tout cas à mes yeux. Il se doit d’arrêter de se détruire pour rien en se pensant libre. « C’est pas moi qui ai quelque chose à me racheter ! » Un rire s’échappe de mes lèvres, mais un rire dénué de joie. « Quelque chose à me racheter ? On s’est jamais rien promis, on était rien pour l’un pour l’autre, alors arrête tes conneries. » C’est faux, à l’époque notre relation était difficile à décrire et je sais que lui voyait en moi plus que ce que je voyais en lui, mais moi aussi j’étais attachée à lui, à ma façon. Mais je ne compte pas m’excuser. Je ne compte pas le supplier de me pardonner, il peut déjà s’estimer heureux que je sois là, et que je me sois rappelée de lui. Non, je ne lui dois rien.

« TAIS-TOI ! » L’alcool lui monte à la tête, il hurle, il avance d’un air menaçant et envoie son poing dans le mur. Ridicule. Tout ce qu’il va faire c’est se blesser. Je sens Aaron se glisser à côté de moi et poser une main sur mon épaule. Prévisible, je me doute que l’attitude de Carter ne lui plait pas. Et que de le voir commencer à frapper, même si ce n’est pas mon visage mais le mur, réveille son instinct protecteur et surtout possessif. « Mais j’te retiens pas Blackwell, c’est pas moi qui t’ai demandé de venir me parler aujourd’hui ! » Le visage de marbre, je reste sans bouger, stoïque et sans rien dire, spectatrice de la déchéance du brun, et du bien triste spectacle qu’il m’offre. « Me fait pas croire que t’es devenue une femme, t’es la même qu’avant, t’es toujours cette gamine paumée qui ne connaîtra ni ascension ni qu’on se retourne sur ton passage… » Les doigts d’Aaron se resserrent sur mon épaule, me communicant son agacement et son stress. Il pense m’atteindre mais ce n’est pas le cas. Il aurait atteint la Raelyn qu’il connaissait, celle qui doutait, celle qui se sentait minable, invisible, mais je ne suis plus cette fille. En me tendant la main, en m’aidant contre mon gré et en me faisant intégrer les rangs du Club, Aaron m’a aidée à devenir quelqu’un. Alors certes je ne suis qu’une dealeuse, une petite frappe au sein d’une organisation criminelle dont je n’imagine pas l’envergure, mais faire partie de ça, c’est quelque chose que Carter ne peut pas m’enlever, et certainement pas avec des paroles supposées me toucher. « C’est sûr qu’on pouvait plus rien pour toi… » Je lève les yeux au ciel, agacée et ennuyée par le triste spectacle auquel il s’adonne. « Je te croyais morte, c’est tout ce que tu méritais toute manière. » « Ça suffit. » La voix d’Aaron qui claque me surprend, et je tourne la tête vers lui. « Ferme là. Raelyn, on se casse. » Mon amant n’est pas un grand bavard, mais nos regards se croisent et je sens qu’il enverrait son poing dans la gueule de Carter s’il n’était pas capable de se contrôler, s’il s’écoutait. Je tourne à nouveau mes yeux vers Carter. « T’es ridicule. Arrête de te donner en spectacle, arrête avec la théâtralité. On a compris, j’ai brisé ton petit cœur et tu préfèrerais que je sois morte. Tu peux changer de disque. » Sa réaction me semble disproportionné, et je la met sur le compte de l’alcool, la cocaïne et je ne sais quelle substance le brun consomme à présent. « J’étais là pour t’aider. » Je le dévisage de la tête aux pieds, un air supérieur sur le visage. « Mais visiblement t’as pas besoin qu’on t’aide, regarde toi, t’as vraiment l’air de te porter comme un charme. » Un rire jaune passe la barrière de mes lèvres, alors que je pense évidemment le contraire. Il peut mentir pour essayer de me toucher, en me disant que je sous toujours la pauvre gamine avec laquelle il trainait. Moi je n’ai pas besoin de mentir. Il est pathétique, il n’a jamais été aussi pathétique. « Dis-le que t’as pas besoin d’aide. Dis-le et on se casse. » La main d’Aaron posée sur mon épaule descend sur mon bras pour l’attraper entre ses doigts, sans serrer, sans me faire mal, mais prêt à me tirer en arrière pour que je remonte dans la voiture avec lui.







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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyMer 25 Déc - 20:03

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Carter se demandait bien ce qu’elle fichait ici, pourquoi se retrouvait-elle devant lui ? Avait-elle besoin de se procurer quelque chose ? Avait-elle besoin de tenter une nouvelle expérience, elle qui maintenant avait trouvé une certaine stabilité. L’âme pourrie de Carter refusait de voir les choses en face, que sans lui, elle était bien mieux qu’autrefois. Que Raelyn était à présent devenue une femme, épanouie. Une femme sur laquelle tout le monde se retournait. Mais le brun refusait de le voir, encore à ce moment-là, car cela voudrait aussi dire qu’elle n’avait plus besoin de lui. Et peut-être qu’elle n’avait en fait eu jamais besoin de lui. Et ça, sa fierté lui interdisant de se l’avouer, il ne voulait pas accepter cette sentence, cruelle et morbide à ses yeux. Carter ne savait pas vraiment comment réagir autrement que la repousser, aussi violemment, aussi durement. Surtout ne pas lui montrer ses quelques faiblesses – qu’elle connait pourtant, néanmoins aussi bien que personne. Parler de drogue, de son frère et de son taf qu’il n’arrive à garder, en voilà un sacré tabou pour le brun, et il serre les poings, jetant par moment avec toute sa froideur et son ingratitude un regard déplacé envers l’homme qui se tient à présent à côté de celle qui fût son amie, son alliée durant des semaines entières, des mois. Raelyn a toujours été quelqu’un d’important, trop mais il n’a jamais céder en lui disant si ouvertement. Plutôt crever ! « Quelque chose à me racheter ? On s’est jamais rien promis, on était rien pour l’un pour l’autre, alors arrête tes conneries.. » Elle se permets d’accompagner sa phrase d’un rire franc, avec froideur, Carter la fixe silencieux droit dans les yeux. Clairement, il la mettait en défi, parce que si elle arrive à le tromper, lui, ce gars, ce n’est pas Carter qu’elle trompera. « Ptètre que lui gobe tout ce que tu dis, mais Blackwell, tu n’m’auras pas moi… » Et franchement, c’est un pas trop mal comédien, il laisse même en suspend sa phrase, laissant planer le doute et il voit le visage de l’homme qui change. Il voit que son corps se crispe – tout autant que le sien, que ses bras deviennent plus imposant, qu’il bombe son torse. Il lâche un rire Carter, parce que franchement, c’est pitoyable de voir un gars réagir ainsi, quand c’est pas lui ! « Ça suffit. Ferme là. Raelyn, on se casse.» Et pourtant, il l’attend, qu’il vienne le frapper, il n’attend que ça Carter et saura quoi répondre. Tel un caméléon, Carter a toujours su comment se comporter face aux autres, il sait parfaitement s’adapter et cela même si du haut de ses vingt ans, il ressemble légèrement gringalet face à ce vieux qui se présente devant lui. Il reste vigilent, parce que s’il y a un truc qu’on ne lui apprendra pas à Carter, c’est bien chercher la merde et avoir du répondant. Parfois même attaquer en premier, Raelyn rigolait bien il fût un temps… Il a lui aussi le coup de poing facile, et bien davantage quand il a un coup dans le nez. «  T’es ridicule. Arrête de te donner en spectacle, arrête avec la théâtralité. On a compris, j’ai brisé ton petit cœur et tu préférerais que je sois morte. Tu peux changer de disque. » Un sourire narquois, insubmersible traverse et illumine son visage de petit connard. Celui-là même qu’on a envie de gifler pour qu’il disparaisse. Il fait un bruit bruyant avec sa bouche comme pour la faire taire, sans le dire réellement, tout en lui jetant un regard noir. Carter a toujours été cet être qu’on n’arrive pas à rendre vraiment docile – et même son frère n’y parvient pas. Sa famille, le nombre impressionnant de ses patrons avec. Il n’accorde jamais d’importance et même si il rêve encore secrètement de devenir le meilleur cuistot de tous les temps. Ce rêve qu’il n’arrive pas à réaliser, mais qui ne cesse de rester dans un coin de sa cervelle fragile et indomptable. « J’étais là pour t’aider. Mais visiblement t’as pas besoin qu’on t’aide, regarde toi, t’as vraiment l’air de te porter comme un charme. » Il le sent à sa voix, son ironisme, et il lève les yeux au ciel, trop fier pour accepter son aide. Trop fier pour accepter cette vérité qu’il sait être vrai pourtant. « J’ai pas besoin de toi… T’es qui toi pour penser ça… » Qu’il avoue, un sourire hautain, un regard méprisant. Elle pense le connaître mais c’est bien connu, il ne montre que ce qu’il souhaite Carter. Rien de plus… « Dis-le que t’as pas besoin d’aide. Dis-le et on se casse. » Elle était prête à faire demi-tour et à partir. Elle était prête à le lâcher. « Casse-toi alors… ! » Qu’il crache, la rancune tenace même si il sait qu’au fond de lui, il a besoin d’aide, mais c’est pas évident à dire. Pire que ça, il se le refuse ! Il est fort Rollins, il est doué et il parvient toujours à rebondir, quoi qu’il arrive… Il serait depuis un bail six pieds sous terre sinon… Jonchant les cadavres avec elle, Raelyn. Elle lui tourne le dos, son crétin de vieux bien trop ravi de la tirer avec elle dans la noirceur de la rue. « Pourquoi ?! » Cette voix. Cette voix qui se répand dans la silencieuse rue, qu’aurait-elle à lui proposer ? Elle n’est pas juste venue ici pour le narguer, il le sait. Quoi qu’elle en dise, il la connait bien mieux qu’elle le laisse croire à Aaron…
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
  
Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  2a124375de5bce4e041e9923da504d768c9edcf6
POSTS : 34324 POINTS : 3130

TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―
writing challenge 2024

(07) chad #3spencer #14miles #1 (2005)danaë #4 (2018)maxwell #7miles #2cecilia #2

(ua) maxwell #6 (jurassique)

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  616bfddbfe3ceeca1b184a6faaa744d1a87adae5
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  3a44d144a8bde068fb9bbf98d07bff96bdb42f25
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  30
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  297a714e8dfbe2965870bfed0f152606f9c9e175
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Tumblr_inline_pq7a8g2DmG1u9urvd_400
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : me (avatar), harley (gif profil, maxyn, spencer, amelyn), fuckyougifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia), erikawrites (gif miles)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Leo Woodall)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyMer 25 Déc - 22:54


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

Bien sur que j’avais volontairement ignoré les attentions de Carter à mon égard, cette façon qu’il avait de dire amen à toute requête sortant de ma bouche, de se plier en quatre pour répondre à chacun de mes caprices, ainsi que la façon bien particulière qu’il avait de me regarder. Une partie de moi savait, l’autre se contentait d’observer les jeunes femmes qu’il ramenait chez lui en se disant que je n’avais rien en commun avec elles, qu’il ne pouvait pas s’agit de ça. Dans un sens il s’agissait là de ma façon de me dédouaner, nier l’évidence me permettait de ne pas me sentir coupable de l’utiliser sans sourciller, de jouer de son affection que j’avais toujours soupçonné d’être particulière. Bien sûr que je n’avais pas parlé de tout ça à Aaron. Je lui avais dépeins Carter comme le type avec lequel je me droguais – sans préciser qu’il m’avait offert mon premier rail – un ami duquel je n’étais pas plus proche que ça. Je n’aime pas mentir mais n’ai pas eu la sensation de faire quoi que ce soit de mal : mes intentions à l’égard de mon ancien ami ont toujours été claires, et son retour dans ma vie ne constitue pas une menace pour ma relation avec Aaron, que j’ai placé rapidement et sans me l’avouer sur un piédestal. « Ptètre que lui gobe tout ce que tu dis, mais Blackwell, tu n’m’auras pas moi… » Je n’aime pas ce qu’il sous-entend, parce que c’est faux. Peut-être que pour se sentir bien il a imaginé des signaux que je lui aurais envoyés, s’est inventé une réalité alternative dans laquelle lui et moi aurions pu être en couple, mais dans ma tête à moi nous n’étions que des enfants paumés. Je refuse de reconnaitre l’affection que j’ai pu ressentir pour lui, quand bien même elle n’avait rien d’ambigüe.

Mais quoi qu’il en soit sa phrase me fait serrer la mâchoire et grincer des dents, et je sens la main d’Aaron se serrer autour de mon bras, trahissant sa tension et sa jalousie. La vérité c’est que je me foute qu’il cogne sur Carter, je suis ici parce qu’une partie de moi dont j’ignorais l’existence se sent coupable de l’avoir laissé, mais s’il joue au plus con et refuse mon aide, je ne m’interposerais pas. Et il mériterait de s’en prendre une, après tout. Un peu moins fière, un peu moins provocatrice, mon ton devient plus froid, et ma voix claque. « Ferme-là Carter. Je sais pas ce que t’essaye de faire avec ces sous-entendus, mais ce sont des conneries, et on le sait tous les deux. » Et Aaron le sait, j’espère qu’Aaron le sait aussi. Carter est un sale gosse, et la jalousie du brun l’amuse, je peux le voir. Si voir Aaron lui coller une droite aurait quelque chose de jouissif, je ne souhaite pas que les choses dégénèrent. Je ne suis pas là pour ça, et à cause de l’attitude provocatrice de Carter j’ai bien failli l’oublier.

J’aurais dû m’en douter. La fierté l’étouffe Rollins, il n’est pas du genre à accepter une main tendue ni même à admettre qu’il a tort. Je le comprends parce que je suis comme lui, parce que si Aaron m’avait laissé le choix, s’il ne m’avait pas ramassée à moitié inconsciente dans la rue jamais je ne l’aurais suivi, et lorsqu’il me gardait enfermée chez lui le temps que je décroche chaque jour était un épuisant combat. Des cris, des objets cassés, des pleurs et des coups, tout moyen était bon à mes yeux pour qu’il me fournisse ma drogue. J’avais mis le temps à accepter de me laisser apprivoiser, bien trop fière moi aussi, et la rancœur de Carter à mon égard ne devait pas aider. « J’ai pas besoin de toi… T’es qui toi pour penser ça… » Je lève les yeux au ciel. « T’es un déchet, n’importe qui avec deux yeux fonctionnels s’en rendrait compte. » A mes yeux j’ai fait ce que j’avais à faire. Je lui ai proposé mon aide : s’il n’en veut pas je ne peux rien faire de plus. J’ai soulagé ma conscience, qu’il continue à se complaire dans son existence minable s’il n’en veut pas. « Casse-toi alors… ! » Je secoue la tête et abandonne, alors qu’Aaron pose une main dans mon dos pour me pousser à le suivre je me retourne, sans un dernier regard pour le brun et ses yeux vitreux. Mais nous n’avons fait que deux mètres qu’il me rappelle. « Pourquoi ?! » Je me retourne et me détache de mon amant, que je sens toujours sur ses gardes. « Pourquoi quoi ? Pourquoi je veux t’aider ? Certainement parce que je suis conne visiblement. Parce que je me suis dit qu’un vieil ami pourrait avoir d’un coup de pouce du destin. » Pour se reprendre en main. Pour faire un peu plus que trainer en ville défoncé, une bouteille de mauvais whisky à la main. Visiblement j’ai plus d’ambition dans la vie que lui, plus envie de devenir quelquu’un. « Aaron m’a tirée de cette vie de merde y’a deux ans. » Mes yeux croisent ceux du brun alors que je prononce son prénom, et je n’ai pas besoin d’en dire plus pour qu’il mesure ma reconnaissance et l’amour que je ressens pour lui. Tant mieux, je ne suis pas du genre à dire ces choses à voix haute. Je vrille à nouveaux mes iris dans ceux de Carter. « Je me suis dit que je pouvais te tirer de là aussi. Te donner l’occasion de te rendre utile pour une fois. » Dealer il sait faire, il savait en tout cas à l’époque, et c’est peut-être sa seule compétence. Je suis là pour lui donner l’occasion de rejoindre une organisation ou pour la première fois, il aura quelque chose qui a de la valeur. « T’es pas obligé d’être un raté toute ta vie. » Et je suis persuadée qu’il n’aura pas d’autre chance, pas d’autre occasion. « On a pas toute la soirée… » J’échange un regard bref avec Aaron, avant de hocher la tête, et de me reconcentrer sur Carter. C’est maintenant ou jamais pour lui. Si je disparais sans lui laisser numéro ou adresse, l'occasion ne se représentera plus.






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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyLun 30 Déc - 14:02

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Là où le feu ne s’éteint pas, il avait probablement espérer qu’un jour, elle lui revienne. Qu’elle soit devant lui, qu’elle soit toujours cette marionnette d’autrefois, aussi fragile poupée que cette femme qui sait faire battre – pas de la bonne manière, son palpitant. Mais Carter ne saura jamais être heureux, parce qu’il refuse tout attachement, et qu’il cherche autant à se détruire que détruire les rares personnes qui s’approchent de trop près de lui, comme il ça le rendrait faible. Comme si s’attacher aux autres lui est interdit. Mais quand il pose son regard sur elle et qu’il constate quelle femme Raelyn est devenue, ça lui fait mal. Et aucun mot ne pourra réellement palier à ce mal qui se présente sous ses yeux. Il aura beau froncer autant de fois ses sourcils que nécessaire. Il aura beau fermer sa main dans un poing serré. Il aura beau vouloir plonger sa tête dans le sol pour ne pas voir cette triste réalité qui s’offre à lui, Carter a mal. Et même si il ne l’avouera jamais, cherchera à le démentir aussi bien que personne, il est certainement jouissif pour elle, de le constater, aussi brutal et amer de cette vérité qui lui échappe soudainement. Il la déteste. Tellement. Avec vigueur et courage, il la déteste comme il n’a jamais détesté quiconque. Lui le cynique, lui l’imprudent, lui le solitaire. Le caméléon tombant dans ce piège, jamais il ne l’aurait cru. « Ferme-là Carter. Je sais pas ce que t’essaye de faire avec ces sous-entendus, mais ce sont des conneries, et on le sait tous les deux. » Pour se défendre, il l’attaque, parce qu’il n’a jamais su réagir différemment. Avec elle, autant qu’avec les autres. A présent elle aura à faire au Carter habituel, celui qui traite les autres comme des bons à rien. Comme des pantins de sa vie misérable, sans se soucier de leur sort. « Tu sais très bien que tu n’as pas de cœur… » Qu’il dit, avec ce dégoût sur ce visage comme si lui avait été un jour différent d’elle, avant de reprendre, sa voix plus imposante comme si il avait trouvé la force et l’indécence de lui faire face, « tu te conduiras avec lui, comme tu t’es conduis avec moi et avec tous ses hommes… » C’est douloureux pour lui de se dire qu’il a été comparé à tous ses autres pour elle, mais ça lui permettra de faire son deuil de cette soit disant amitié comme elle veut laisser apparenté, comme si c’était dans ses habitudes à Carter, d’être ami avec les autres. Et si elle pense ça, ça se voit qu’elle ne le connaît tellement pas. « T’es un déchet, n’importe qui avec deux yeux fonctionnels s’en rendrait compte. » Ses doigts qui se crispent, il ne baisse pas le regard, il a une envie soudaine de lui faire fermer son clapet ! Parce que ça fait mal, parce que c’est encore trop frais pour lui, sa voix se répand dans un échos froid et sur de lui, « la ferme Blackwell ! » Cet ordre qui sort de ses lèvres le surprend lui-même tant par sa froideur que par son honnêteté. Il n’en a que faire d’elle, de son vieux et de toute cette ville. Il a envie de tout détruire, à sang. Et puis elle lui tourne le dos, et commence à partir. Il devrait la laisser partir, ne rien dire. Putain qu’il devrait lui aussi fermer sa bouche parfois. Mais c’est plus fort que lui et après une hésitation sa voix qui surgit coupant inlassablement ce silence. Parce que les erreurs il allait à nouveau les reproduire. « Pourquoi quoi ? Pourquoi je veux t’aider ? Certainement parce que je suis conne visiblement. Parce que je me suis dit qu’un vieil ami pourrait avoir d’un coup de pouce du destin. » Toujours le dos tourné, elle s’était pourtant arrêtée. Se détachant un peu de Aaron, elle lui fait face alors qu’il avoue, levant les yeux au ciel, il y croit tellement pas… « Un vieil ami… Qu’il répète comme si elle le pensait assez con pour imaginer qu’une nana puisse être ami avec un mec, franchement faudrait être con pour espérer qu’un cœur t’es poussé en si peu de temps… » Elle avait eu enfin un peu de scrupule, assez pour se souvenir que Carter existait dans sa misérable vie. « Aaron m’a tirée de cette vie de merde y’a deux ans. » Qu’elle poursuit, alors que les deux se dévisagent. Ils furent un temps ils étaient proches, aujourd’hui, ils sont devenus deux ennemis… « Je me suis dit que je pouvais te tirer de là aussi. Te donner l’occasion de te rendre utile pour une fois. Il lève les yeux au ciel à ses derniers mots, l’écoutant non sans faire de bruit entre ses lèvres, t’es pas obligé d’être un raté toute ta vie. » Il fût un temps, elle ne le considérait pas comme un raté. « Pourquoi moi ? » Il voulait l’entendre dire pourquoi lui. Pourquoi faire marche arrière, pourquoi ne continue t’elle pas juste de regarder droit devant elle et de l’ignorer comme elle le fait si bien depuis ses deux dernières années. « Un raté qui t’a offert alcool, présente et rail… » Et quoi qu’en pense Aaron, sans cet aide, Raelyn n’aurait jamais été celle qu’elle est aujourd’hui, la battante et la forte qui se présente devant lui. Le silence durant quelques secondes, il contemple la voiture au loin, avant de reprendre, « quel genre de coup tu m’proposes ? » Et parler à voix haute ne le dérange absolument pas, ils sont seuls et même si quelqu’un écoute, Carter se fera une joie à ce qu’il passe sous son arme…
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Raelyn Blackwell
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STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyMar 31 Déc - 11:50


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

C’est peut-être l’alcool, c’est peut-être simplement le long mais sûr chemin que le brun a pris vers la déchéance, mais j’ai du mal à voir ce qui nous a rapprochés à l’époque, maintenant qu’il m’offre le visage qu’il offrait peut-être déjà aux autres et auquel pour une raison inconnue j’échappais jusqu’à aujourd’hui. Son affection pour moi le rendait alors différent, et je n’ai jamais pris conscience du gamin insolent et désagréable qu’il pouvait être, puisqu’à l’époque il représentait pour moi la seule bouée de secours de tout Brisbane, et aujourd’hui je prends la pleine mesure de ce que je représentais pour lui. Est-ce que cela aurait changé quelque chose à l’époque si je l’avais su ? Est-ce que j’aurais tenté quelque chose avec lui ? Non, je ne pense pas, parce que les relations ne m’intéressaient pas et seule l’arrivée d’Aaron dans ma vie avait remis ça en question. J’aurais pu lui laisser avoir des droits sur mon corps s’il avait exprimé ses vues plus clairement mais jamais je ne me serais attachée à lui comme il semblait avoir été attaché à moi, et je n’aurais fini que par le blesser encore plus qu’il l’était aujourd’hui en disparaissant. « Tu sais très bien que tu n’as pas de cœur… » Je lève les yeux au ciel, tant il me semble tourner en rond. Je lui ai dit que j’avais compris, et je trouve que ses reproches ne sont pas justifiés. Je ne suis pas responsable de ce qu’il a ressenti, même si je l’ai laissé s’attacher en sachant pertinemment que ce n’était pas une bonne idée. Bien sûr qu’à ma façon je l’étais aussi, attachée à Carter, mais je comprends aujourd’hui à quel point nous n’étions pas sur la même longueur d’onde. Je ne réponds pas, que répondre à ça ? Que répondre à quelqu’un dont les paroles ne font aucun sens à cause de la rancœur, la drogue et l’alcool qui dictent ses actes et paroles ? « Tu te conduiras avec lui, comme tu t’es conduite avec moi et avec tous ces hommes… » C’en est trop. Je me dégage vivement de l’emprise d’Aaron pour me rapprocher à quelques centimètres du brun, un regard mauvais. « Tu la ferme Carter. Rien ne t’autorise à parler de ma relation quand t’as jamais été capable de faire plus que coucher avec les putes qui voulaient bien de toi. » Je suis volontairement mauvaise, je suis volontairement méchante, parce que lorsqu’on s’en prend à ma relation avec Aaron je suis capable de devenir une vraie lionne. Je ne comprends pas tout à fait ce qui m’anime dans ces moment-là, je ne comprends pas pourquoi je passe d’un naturel calme à une vraie impulsivité lorsqu’il s’agit de lui ou lorsqu’une femme le regarde un peu trop longuement à mon goût, et je ne suis pas certaine d’aimer ça mais j’ai bien du mal à le contrôler. Alors je continue, je le traite de déchet avant de tourner les talons, ignorant les insultes qu’il me lance.

Je ne me retourne que lorsqu’il me semble enfin disposé à écouter ce que j’ai à dire, il était moins une et je sens encore la colère palpiter en moi, je sens mon cœur battre plus vite que la moyenne et je sens aussi le corps d’Aaron tendu et son poing prêt à partir dans le visage de Carter. « Un vieil ami… Franchement faudrait être con pour espérer qu’un cœur t’ait poussé en si peu de temps…  » « Stop. Je suis pas là pour que tu m’insultes. Alors si c’est tout ce que tu comptes faire, dis-le-moi tout de suite et je disparaitrais pour de bon cette fois ci. » Et je le ferai. Au prochain signe d’animosité, à la prochaine pique qu’il me lance je me mets les voiles, et j’arrête de lutter pour une amitié qui n’existera alors plus. « Pourquoi moi ? » C’est donc ça, il va s’apitoyer à présent ? « Un raté qui t’a offert alcool, présence et rail… » Ou bien est-ce un nouveau moyen de me rappeler que sans lui je ne serais rien ? Je ne mords pas à l’hameçon. Carter m’a tiré vers le bas, il m’a faite plonger et si aujourd’hui je ne regrette pas d’être arrivée là où je suis, à mes yeux je ne lui dois rien. J’aimais beaucoup le brun, mais il fait partie du passé et j’ai effacé cette partie-là de ma vie, tant pis s’il fait partie des dommages collatéraux. « Quel genre de coup tu m’proposes ? » Mon corps se détend un peu, mais je reste sur le qui-vive. Mon regard est moins mauvais, mais cette altercation vient certainement de briser le peu d’amitié qu’il restait entre nous. « Je t’offre rien du tout sur un plateau. Je viens juste avec un ticket d’entrée. Ce que t’en fait derrière c’est pas mon problème. Si tu fais pas tes preuves, c’est pas mon problème. » Je ne veux pas être responsable de lui, je ne veux pas être garante de Carter et de ces frasques. J’attrape dans ma poche le papier sur lequel j’ai griffonné l’adresse du QG et le mot de passe pour entrer dans le bar. « Mais si tu vas là, et que tu demandes à voir Mitchell de ma part, il te recevra. Le reste ça dépend de toi. » Je marque une pause et lève un sourcil. « Et j’ai pas besoin de te préciser que je parle pas d’un poste de cuisinier ou d’éleveur de dauphin. Je te propose d’enfin gagner de l’argent en faisant la seule chose que tu sais faire. » Dealer, faire plonger des gamines innocentes comme je l’étais. Voler aussi, je suis sure qu’il a tout d’un tas de cordes à son arc qu’il pourra mettre en avant. Mais comme je l’ai dit, ce n’est pas mon problème qu’il réussisse ou pas à convaincre Mitchell.







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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptySam 11 Jan - 21:15

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Carter Rollins n’a aucune amitié pour Raelyn. La vérité c’est qu’il n’a aucune amitié pour personne, c’est un lion sauvage, qui ne sait pas se poser. Il ne sait pas vraiment ce qu’il perd dans la vie, parce qu’il ne gagne rien. Parce qu’il est ce type arrogant qui vit au jour le jour sans se soucier des autres ou de ce qu’on pense de lui. Parce que pour lui, rien n’a vraiment d’importance. Et même si il fût un temps, Raelyn a compté pour lui, beaucoup compté, autant que ses propres parents – bon okay eux il les déteste, mais la jeune femme a toujours eu une place à en faire pâlir plus d’une. Mais ça, il ne le dira jamais. Il déverse son animosité sans se soucier des conséquences, sans savoir ce qui l’emmène là devant lui, à se traîner devant lui comme jamais. Mais Carter a tout oublié, tout ce qu’elle avait pu un jour représenter, seul ses paroles témoignent d’un passé douloureux, et incompris. Seules ses paroles restent, mais le reste s’est envolé dans les méandres de leurs souvenirs. Il la déteste et si Raelyn le connaît un minimum, elle peut le ressentir. Parce que Carter n’est pas vraiment du genre à témoigner un quelconque rapprochement, ou un besoin d’être entouré et pourtant, Raelyn fût la seule, l’unique. Qui a volontairement et sans scrupule libérer ses chaînes dont il s’était sans doute vulgairement rattaché. Parce qu’elle offrait une certaine écoute et attention, tout comme lui. A deux, ils se le rendaient mutuellement, ne voyant même pas cette association comme malsaine. Carter n’a jamais eu vraiment d’amis, il ne connaît pas les codes dans ce sens-là. Seul pouvoir se servir des autres lui suffit amplement. Mais devant une énième attaque, Carter la dévisage de tout son entier il ne recule pas, même si elle, elle fonce droit sur lui. « Tu la ferme Carter. Rien ne t’autorise à parler de ma relation quand t’as jamais été capable de faire plus que coucher avec les putes qui voulaient bien de toi. » Il rigole Carter, avec cette insolence qu’elle ne lui connaît pas. Une vraie tête à claque à cet instant, il s’arrête de rire net, en perdant son sourire, le regard mauvais et noir « moi, au moins je me cache pas derrière des faux sentiments, ou des faux semblant ! » La rancune tenace, il parle tout en articulant pour qu’elle assimile le tout. Sa voix est bien trop calme, ce qui reste assez surprenant, et signe d’une méchanceté sans lui, sans borgne. Chaque mots, il les pense aussi dur soit-il, Carter avait eu des sentiments pour elle. Des sentiments dont il ne saurait toutefois y mettre réellement de mot. Ce n’était pas de l’amour, évidemment que non, qui serait assez crétin pour tomber amoureux de nos jours ? Pas Rollins en tout cas, mais une affection particulière pour elle, et il ne supportait pas qu’elle lui est fait à l’envers. Il serre les poings, car l’envie à présent de frapper se fit ressentir. C’est bien connu Carter ne parle pas, il frappe, tabasse jusqu’au sang. Mais elle fait demi-tour, et se casse, le laissant proférer ses menaces, et ses insultes. Il a le corps tendu Carter, sa mâchoire est serrée, son regard noir. « Stop. Je suis pas là pour que tu m’insultes. Alors si c’est tout ce que tu comptes faire, dis-le-moi tout de suite et je disparaîtrais pour de bon cette fois ci. » Qu’elle disparaisse elle ne sait faire que ça de toute façon, voilà ce qu’il pense et ce qu’elle peut lire dans son regard alors qu’elle vient de se retourner vers lui. Il n’a pas besoin de lui dire qu’elle peut bien crever à présent sur le sol, qu’il ne daignera pas bouger le petit doigt pour elle, mais dans le fond, elle doit bien en avoir conscience. Car Carter Rollins est ce qu’il a toujours été envers les autres. Un pauvre type, un sale connard, avide de pouvoir et de fric. Son silence doit parler pour lui, et qu’importe ce qui en ressort de cette entrevue, elle n’aurait jamais dû se retrouver face à lui alors que ses deux dernières années, il a erré comme un pauvre type dans les rues de Brisbane, avec une bouteille d’alcool en main et un pauvre sachet de poudre dans la poche. Mais l’idée est alléchante de savoir ce qu’elle lui veut. «  Je t’offre rien du tout sur un plateau. Je viens juste avec un ticket d’entrée. Ce que t’en fait derrière c’est pas mon problème. Si tu fais pas tes preuves, c’est pas mon problème. Il hausse les épaules et sa bouche sort un son à peine audible. Mais si tu vas là, et que tu demandes à voir Mitchell de ma part, il te recevra. Le reste ça dépend de toi. » Il fonce ses sourcils, cherchant à trouver des réponses là où il voudrait, mais ne parvenant pas tant qu’elle reste aussi mystérieuse. « C’est qui ton Mitchell encore ? » C’est la seule question qu’il trouve à dire, avant de récupérer le bout de papier qu’elle lui tend, maintenant que l’atmosphère est un peu meilleure, l’air un peu plus respirable. Il ne suffirait pas de grand-chose pour que ça reprenne. « Et j’ai pas besoin de te préciser que je parle pas d’un poste de cuisinier ou d’éleveur de dauphin. Je te propose d’enfin gagner de l’argent en faisant la seule chose que tu sais faire. » Il n’sait pas quoi penser de tout ça, il fixe un moment le petit papier, qu’est-il censé faire ? Lui qui n’a jamais su garder un job plus de deux semaines. « T’es sérieuse Blackwell ? Tu m’proposes du taf, à moi ? » Il lève les yeux au ciel, ignorant l’ampleur du travail. Ignorant dans quel pied il finirait par mettre les pieds. Il est méfiant Carter, ça pourrait être un piège et venant d’elle, rien de vraiment étonnant. « Je verrais si j’y vais… » Et qu’elle attende pas de merci de sa part, ça lui écorcherait la gorge !


Dernière édition par Carter Rollins le Dim 12 Jan - 10:43, édité 1 fois
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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
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Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  9OYzxwd Présent
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille.
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux.
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TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation.
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1234567

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spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.

RPs EN ATTENTE : aisling #3

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ wasted in love, misunderstood, baby, it's harder to breathe when you're gone. so i hold in my hands pictures of you and dream of the day i was eating for two. all this love, i'm so choked up, i can feel you in my blood, i'm so scared to give you up. valentine, my decline is so much better with you. valentine, my decline, i'm always running to you. and i cover myself in tattoos of us, and dream of the day we embrace and combust. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596the end.

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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyDim 12 Jan - 10:30


Don't take me down that lonesome road again
Raelyn Blackwell & @Carter Rollins - Brisbane, novembre 2007, 20 ans Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  873483867

Je me doutais que cet échange ne pourrait pas bien se passer. Que la fierté de Carter l’empêcherait de faire autre chose que me cracher sa colère au visage, m’attaquant avec des choses vraies comme des choses fausses, et j’y étais préparée. Je ne suis plus cette gamine qui feint sa confiance en elle mais se dérobe dès que l’on pose sur elle un regard désapprobateur, alors ces paroles de me touchent pas. Et si moi aussi j’ai pendant un temps douté de la nature de mon affection pour le brun cela fut très passager, aujourd’hui l’amour que je porte à Aaron m’a ouvert les yeux sur ce que j’ai pu ressentir avant, ou plutôt, ne pas ressentir. Ce qui nous unissais n’était qu’une sorte de co-dépendance malsaine, que j’ai de mon côté réussi à mettre derrière moi, à l’inverse du brun de toute évidence. Qu’il placarde mon visage dans son appartement pour y lancer des fléchettes, qu’il pratique le vaudou sur une poupée censée me représenter où qu’il se trouve une pute qui me ressemble pour avoir enfin l’impression de me dominer et d’avoir l’ascendant sur moi : je m’en fous, mais il faut qu’il règle ça, parce que ça en devient ridicule. S’il avait su mettre sa rancœur et sa fierté de côté les choses auraient pu bien se passer. Nous ne serions jamais redevenus aussi proches qu’autrefois, je n’avais personne d’autre à qui me rattacher à l’époque et ce n’est plus le cas, mais nous avions été amis. Le constat de la mort du lien qui nous unissait ne me blesse pas, j’ai refermé mon cœur à ce genre de foutaises, mais c’est dommage, voilà tout. Il est celui qui décide de nous enterrer, pas moi. « Moi, au moins je me cache pas derrière des faux sentiments, ou des faux semblants ! » Je laisse échapper un rire bref mais ne réponds pas. Il peut penser ce qu’il veut, cela ne m’atteint pas. La seule chose dont j’ai peur c’est la réaction d’Aaron, si bien que mes yeux lâchent Carter pour se planter dans ceux de ce dernier, à la recherche d’un doute, de quoi que ce soit qui pourrait montrer que Carter arrive à ses fins et sème la discorde. Il a l’air agacé, il a l’air d’avoir envie de lui coller son poing dans la figure et je sais qu’il ne suffit plus de grand-chose pour qu’il saute le pas, mais il n’a pas l’air de douter de moi, et je suis rassurée.

Alors je fais demi-tour, parce que je sais que lorsqu’il est imbibé d’alcool il n’y a aucun moyen de raisonner Carter. Parce que c’est un idiot fier, et qu’il s’imaginait peut-être des droits sur moi qu’il n’a jamais eu. Tant pis pour lui, ma conscience sera tranquille maintenant que je lui ai tendu la main que l’on m’a tendue, s’il refuse et crève d’une overdose seule dans un appartement sale, ce n’est plus mon putain de problème. Bien sûr que j’aurais préféré être capable de lui faire entendre raison, mais je ne peux rien faire, et je ne suis pas du genre à me battre pour des causes perdues ou autres chiens errants. « C’est qui ton Mitchell encore ? » Il s’intéresse, il est trop fier pour le dire mais il aurait pu déchirer le papier sous mes yeux pour me provoquer et il ne l’a pas fait, tout m’indique donc qu’il est désespéré, et à défaut de savoir comment remonter qu’il sait au moins qu’il a touché le fond. Je hausse simplement les épaules. « Je suppose qu’il faudra que tu constates par toi-même. Quelqu’un à qui tu ferais mieux de montrer un peu plus de respect que ça en tout cas, si t’en est capable. » S’il joue au con avec Mitch, il ne fera pas long feu et sera trainé hors du QG dont je lui ai donné l’adresse par la peau des fesses. Mais encore une fois, c’est plus mon problème. « T’es sérieuse Blackwell ? Tu m’proposes du taf, à moi ? » Drôle d’idée effectivement. Mais peut-être qu’il arrivera à ne pas trop déconner, cette fois au moins. « Je verrais si j’y vais… » Il attend  quoi exactement, que je le supplie ? Que je lui demande de s’y rendre, en lui promettant qu’après ça on se fera tous des tresses en chantant Kumbaya ? Il me connait assez pour savoir que ce n’est pas mon genre. « Tu fais ce que tu veux Carter, je m’en fous. Je te l’ai dit, que tu y ailles, que tu n’y ailles pas, que tu fasses tout foirer ou pas, c’est pas mon problème. » Je lui lance un dernier regard avant de tourner les talons, alors qu’Aaron passe son bras autour de mes frêles épaules dans un gestes beaucoup trop protecteur et possessif à mon gout. Je sais qu’il marque son territoire, je sais qu’il provoque Carter parce qu’il est comme ça, persuadé que je lui appartiens. Sans un mot je disparais, incapable au fond de ne pas me demander si je reverrai un jour Carter Rollins.  








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Message(#)Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  EmptyMer 15 Jan - 10:07

Carlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  OriginalCarlyn #2 ► Don't take me down that lonesome road again  Source
 « Don't take me down that lonesome road again »     raelyn blackwell & carter rollins


Carter ignore dans quoi Raelyn l’engage et si elle cherche à se venger de l’avoir elle-même poussée et endoctrinée dans la drogue. Il ne sait plus rien d’elle et à mesure qu’il cherche des réponses, c’est face à un mur qu’il se retrouve, replongeant comme à son adolescence, devant les interrogations qui demeureront encore longtemps sans réponse. Carter la regarde, tentant de déceler en elle un éventuel sentiment qu’elle chercherait à cacher au brun. Quoi de plus normal après toute ses années où elle n’a été qu’un fantôme de plus dans sa vie misérable. Il n’a jamais cherché à s’en sortir, préférant plonger tête baissée, droit dans le mur sans prendre aucune conscience de ce qu’il pourrait prétendre. Il l’aime sa vie, mais sans doute au sein du Club, l’aimera t’il davantage, personne ne peut en douter, sauf lui. Sauf lui, parce qu’il ne sait pas encore dans quel camp il doit être. Pas dans celui des gentils, des niais de service. Pas dans ceux qui regarde avec un éternel optimiste devant eux et qui l’exaspère au plus haut point. Il aimerait leur en foutre une à ses gens complètements idiot de penser que l’avenir leur réserve bien mieux que ce qu’ils vivent aujourd’hui. Lui, il n’veut qu’adrénaline, ne plus sentir que sa peur qui l’envahit. C’est pour ça, qu’il refuse toute aide des autres. Toute sauf celle de cette femme, cette putain de nana qui est ancrée en lui plus qu’elle ne le devrait, il la déteste, il la maudit. Pour tout ce qu’elle lui fait ressentir sans le vouloir, sans le chercher. Pour elle, il s’rait capable de relever les défis les plus absurdes, de soulever des montagnes, ou que sais-je, il serait capable du pire pour les beaux yeux de la Blackwell. Et il la déteste pour ça ! Dans un dernier élan, elle fait demi-tour et s’avance jusqu’à lui pour lui filer un bout de papier, qu’il finit par prendre, sans savoir si c’est la bonne idée ou pas. Si il le souhaite vraiment ou non. Mais c’est déjà trop tard au fond d’elle, elle le sait elle a déjà gagné… « Je suppose qu’il faudra que tu constates par toi-même. Quelqu’un à qui tu ferais mieux de montrer un peu plus de respect que ça en tout cas, si t’en est capable. » Il soupire sans une once de gêne la fixant un instant dans les yeux. Franchement, était-il capable de devenir la seconde main, d’être ce genre de type à obéir aux ordres ? Il en doute fortement et tout son passé prouve le contraire… « T’mets pas trop la pression Blackwell, j’suis pas de ce genre-là, à obéir aux ordres… » Qu’il lâche, mais ça ne semble même plus l’étonner à la jeune femme, et finalement elle se permets un dernier conseil, une mise en garde qui est bien loin de ses prétentions à Carter. « Tu fais ce que tu veux Carter, je m’en fous. Je te l’ai dit, que tu y ailles, que tu n’y ailles pas, que tu fasses tout foirer ou pas, c’est pas mon problème. » Et elle va pour tourner les talons, il a cette vulgaire tension sur son visage et ne se prive pas pour lui dire ce qu’il pense, de tout son orgueil, « t’as faits ta béat d’la semaine, tu vas pouvoir t’regarder dans le miroir maintenant… » Ironique, il respire la prétention alors qu’elle s’éloigne avec l’autre crétin. Carter reste immobile, ne s’offrant que le luxe de se griller une cigarette, ne lui restant plus aucune poudre. Il allait encore finir la nuit, à voler dans les étalages pour pouvoir manger un peu, mais surtout pouvoir se récupérer un peu de poudre, profitant de ses instants pour revivre ce que Raelyn et lui vivaient il fût un temps… Sniffer ensemble pour se sentir meilleur… Se sentir au-dessus des lois.


FIN
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