ÂGE : trente-cinq (14.07). aïe. SURNOM : « kiki » (couché, grrrrhhhh). STATUT : c’est bien aussi la solitude, on s’y habitue (non, pas du tout #help). MÉTIER : illustrateur (fauché) en freelance et prof (dépité) d’arts visuels. LOGEMENT : #18 james street, fortitude valley, avec cesar (le coloc) et waterproof (le corgi). POSTS : 4055 POINTS : 240
TW IN RP : dépression, pensées suicidaires, tentative de suicide, relation toxique, maltraitance, abus physiques et psychologiques, harcèlement scolaire, dépréciation, troubles anxieux, distorsion corporelle, mention d'agression physique (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : placé en foyer, très proche de la dernière famille qui s’est occupée de lui ≈ souffre néanmoins de cette absence d’identité propre ≈ réservé, maladroit, optimiste, vit dans un monde imaginaire ≈ a quitté sa fiancée il y a deux ans, soulagé malgré sa phobie de la solitude ≈ essaie de reprendre confiance en lui, de renouer avec ses proches, de retrouver sa place ≈ préfère la compagnie des pop et des jeux vidéo aux humains ≈ du talent au bout des doigts, aucune motivation d’en faire quelque chose ≈ trop mou, trop paresseux, trop paumé ≈ a fait une tentative de suicide fin novembre 2022. CODE COULEUR : kieran bafouille en rosybrown. RPs EN COURS : halstay #12, #13 & ua #3 (parents) ⊹ i hope your ghost will haunt me, i hope i hear you calling my name at 3am. 'cause honey, i love you dearly and i cannot bear you leaving again, not again. oh, i hope your ghost will haunt me 'til the end.
spencer #5 ⊹ i've been begging, hope you're listening. i've done my wrongs but i'm someone different.
ally ⊹ oh, if i can take something to make me feel better than i'm feeling now and everything else will work itself out.
(13/06 - vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bon ou de mauvais compte. moi, si je devais résumer le rp aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres) › ginny (fb) › cecilia › shiloh › wild › alfly #17 (ua) › danaë › olive #2 › greta #2 RPs EN ATTENTE : flora #3 RPs TERMINÉS :
kieyer ⊹ close your eyes and think of me and soon i will be there to brighten up even your darkest night. you just call out my name and you know wherever i am i'll come running, to see you again.
« Hum j'avoue mais si tu savais comme je me fous des choses matérielles. C'est bien d'en avoir mais ça fait pas le bonheur non plus. » Kieran acquiesce silencieusement avec un léger sourire, convaincu qu’effectivement, les possessions matérielles ne font pas le bonheur. Vraiment ? Tu peux peut-être duper Dylane, mais tu ne peux pas en faire de même avec moi, Kieran. Je sais quand il ment, je sais quels sont ses désirs les plus profonds et à cet instant, il s’agirait de posséder la richesse sous-entendue par Dylane au cours de leur échange. Oh, bien sûr, il ne se considère pas comme matérialiste et je peux en attester, mais si la chance lui était donnée de le devenir, nulle ne doute qu’il la saisirait. D’ailleurs, la jeune femme se reprend, de quoi provoquer une légère grimace au brun. « Ça se comprend. » Oui, bien sûr que ça se comprend – et tous ceux qui prétendent pouvoir se satisfaire du minimum sont des menteurs, lui le premier. Il fuit le regard de Dylane, pourtant elle occupe ses pensées ; et comme toujours, Kieran se met à imaginer la vie de ceux qui sont face à lui à défaut de véritablement la connaître et il s’interroge sur cette fameuse richesse. Pas qu’il soit intéressé (même si l’était, il s’empêcherait de penser de la sorte – et je l’aiderai), mais il est curieux. Curieux de connaître les moyens qui lui ont permis d’en arriver là, curieux de savoir exactement de quoi se compose cette richesse et comment elle se traduit, l’imaginant déjà faire du roller dans les grands couloirs sans fin de sa demeure, persuadé de toucher à la réalité. Dans la même demeure rêvée, composée d’une multitude de chambres et d’une infinité de salle de bain, se trouve également une pièce exclusivement réservée au piano de Madame et finalement il est plus que logique qu’elle possède un tel instrument si elle peut se targuer d’avoir un certain nombre de biens matériels, le piano est obligatoire sur la liste. « Oh, je suis certain que si tu lui demandes gentiment, il sera pas contre. » Il rétorque en haussant les épaules. Je ne me surprends pas qu’il ne propose pas d’en formuler la demande, c’est toujours ainsi avec lui : les autres doivent prendre les devants et lui se contente de la place appréciée et sécurisante d’observateur à distance. Néanmoins, il est persuadé qu’en fin de soirée – encore faudrait-il être toujours présent, je te trouve un peu optimiste d’imaginer cette perspective Kieran en sachant que tu as le don de changer d’état d’esprit en quelques secondes – il sera possible de s’asseoir derrière l’instrument. Un beau sourire (Dylane en a un très joli), une politesse exacerbée, une petite moue boudeuse (elle est très douée aussi) et ils arriveront à leurs fins. Ou plutôt, Dylane arrivera à ses fins et il sera heureux d’avoir le droit à une démonstration de ses talents – et à cette pensée, même si elle est restée dans le cadre de son esprit, il rougit face à la maladresse de ses propos. Irrécupérable, le gamin, je vous dis.
Tout comme ses mensonges le sont, alors qu’il les enchaîne, que je laisse faire – rien ne présage qu’ils se reverront et si cela peut l’aider d’être un autre homme le temps d’une soirée pour rivaliser avec Dylane et la haute impression qu’elle a sur lui, qu’il en soit ainsi. Un mensonge, un deuxième, puis finalement le plus sincère ; celui que j’aurais voulu ne pas en être un : s’il n’était jamais tombé amoureux, nous n’en serions pas là aujourd’hui. « Oh, je comprends mieux. » Qu’il glisse, soudainement plus sérieux, lorsque les pièces du puzzle s’assemblent et qu’il comprend que le pessimiste de Dylane est proportionnel à la peine de cœur qu’elle semble avoir subi. Et si Kieran n’est pas d’accord avec son discours, de mon côté je ne peux qu’appuyer les propos de la jeune femme ; et me demander de quelle sorte de déception il s’agit. « Je suis désolé. » Il ajoute, un sourire léger, mais sincère, sur les lèvres. Elle a l’air d’une chouette fille, Dylane. Et même si je sais que Kieran pense ceci de tous les individus qui croisent son chemin et que bien souvent il comprend avoir eu tort dans un certain nombre de cas, j’appuie cette pensée. Elle est marrante, la petite brune, elle est gentille ; mieux, elle n’a pas fui face à sa maladresse. Elle est rassurante, elle est confrontante autant qu’elle peut être douce. Et n’allez pas croire qu’il tombe sous son charme – il tombe de toute évidence sous le charme de chaque personne étant gentille avec lui – simplement, la liste de ses qualités semble bien plus fournie que celle de ses défauts et il est normal de lui souhaiter, en ce sens, de ne jamais plus revivre la même déception. « Mais, euh, merci... » Qu’il dit avec hésitation, alors qu’elle lui a souhaité de tomber sur la bonne personne. « Et je te souhaite aussi de tomber sur la bonne personne, celle qui pourra effacer cette déception. » Il souligne, conscient du caractère déprimant que la conversation prend désormais, mais tenant à lui retourner de tels vœux – car, encore une fois, elle le mérite. Et la gêne d’une conversation bien trop sérieuse pour un tel rendez-vous est vite remplacée par une gêne liée au compliment qu’elle lui fait, alors qu’il s’enterre encore un peu plus, rentrant sa tête dans ses épaules, son menton qui vient toucher son sternum alors qu’il se contente de glisser un « ah, ah » gêné.
Heureusement, la nécessité de trouver l’œuvre musicale qu’ils détruiront ensemble lui permet de regagner contenance... un court instant seulement, tandis que il écarquille les yeux à sa plaisanterie. « Euh, je... » dirais pas ça comme ça, qu’il songe, tandis qu’il jette un coup d’œil autour de lui – il ne voudrait pas encore avoir le droit à une telle réputation en plus de toutes les autres. Finalement, son rire se joint au sien lorsqu’il comprend qu’il ne s’agit que d’une plaisanterie. « Oh, t’en fais pas. J’ai-j’ai juste failli m’étouffer, mais rien de grave. » Il s’amuse plutôt que d’admettre qu’il n’avait pas compris, la faute à cette capacité à tout interpréter au premier degré. Ils sont appelés à rejoindre la scène et si Kieran prétend être à l’aise en suivant le mouvement, il n’en est rien et il lui faut plusieurs longues secondes pour parvenir à oublier où il se trouve... et une capacité à fermer les yeux pendant de longues minutes ou à simplement porter son regard partout, sauf sur les personnes assises devant lui. « Quoi ? Mais je t’ai entendue... Il s’arrête un instant, comprend son plan et se veut surpris murmurer. » Il avait un retour, suffisant pour lui, pas assez pour les autres – et il préfère ne pas s’attarder sur le sujet pour ne pas être plus couvert de honte qu’il ne l’est déjà. Embarqué à l’extérieur en vue d’une pause bienvenue, il lui est difficile de porter son choix sur un plat, le fait qu’il puisse manger tout ce qu’il trouve n’aidant évidemment pas à être sélectif. « Wow, ouaaaais, là je crois qu’on abuse un peu. » Il souligne lorsqu’elle commande une nouvelle portion – pourtant, il n’est pas sans savoir qu’il est bien capable de manger trois hamburgers à lui tout seul, alors à deux ils y arriveront probablement. Le repas servi, ils s’installent un peu à l’écart, tout en poursuivant la conversation. « Pas faux. » Il rétorque avec un sourire avant d’être atrocement gêné lorsqu’elle lui tend une serviette et lui fait remarquer qu’il a de la sauce sur la joue. « Oh merde, je- désolé. » Essuyant rapidement sa peau, il pince les lèvres ; il sait qu’ils ne sont pas là pour se draguer, pour autant il apprécierait de ne pas avoir l’air d’un idiot face à elle. Le silence se mettant entre eux, il rompt rapidement celui-ci en lui posant une question qui lui semble parfaite compte tenu du contexte dans lequel ils sympathisent. Il ne répond rien lorsqu’elle prétend qu’il aurait pu lui plaire ; à vrai dire le fait qu’elle précise le fond de sa pensée répond à son affirmation. « Oh, tu vois, dans cette optique ou pas, ça n’aurait pas fonctionné, j’ai pas de caractère. » Il rétorque pour tenter d’oublier cette gêne ressentie quelques instants plus tôt – maintenant qu’il est certain qu’il ne peut lui plaire, différente optique ou non, il se sent mieux. « Je sais que je te connais pas vraiment, mais j’ai de la peine à imaginer que tu puisses être ‘’méga chiante’’ ou ‘’pas facile à vivre’’. » Il précise en reprenant ses mots ; difficile en effet pour lui d’envisager qu’elle puisse être aussi insupportable qu’elle le laisse penser. « Enfin, pas que je veuille une démonstration d’à quel point tu peux être chiante. » Il poursuit, réalisant bien vite le contenu de ses propos. « Enfin... pas que je trouve que tu le sois, hein, comme je viens de le dire, j’imagine pas trop que... Ouais, t’as compris, quoi. » Pitié. « Euh, moi... » Il s’interrompt un instant, remettant de l’ordre dans sa gêne et ses pensées. « Je compense mon manque de caractère avec des filles qui en ont beaucoup. » Pas que ce soit une réussite, ceci dit. « J’ai un peu besoin d’être dirigé, alors euh... » Un peu ? Beaucoup, plutôt. Il a conscience de ne pas se présenter comme le meilleur parti – ce qui ne le gêne pas puisqu’il se sait justement ne pas l’être. « Et je... ouais, mon historique dit que j’ai un truc pour les blondes. » C’est peut-être le seul critère physique, même s’il semblerait que ce soit plus un hasard qu’une vraie recherche de sa part. Et il s’apprête à s’excuser en réalisant qu’elle n’est pas blonde et qu’elle pourrait s’en vexer, mais il ne s’agit pas de ça entre eux, ce qui l’empêche de se rendre encore plus ridicule qu’il ne l’est déjà, préférant croquer dans son hot-dog, cette fois-ci, de nouveau accaparé et terrifié par ce silence qui s’installe. « Ah ouais, elle est terrible cette saucisse. » Et je vous assure qu’à cet instant, mes yeux imaginaires se lèvent au ciel jusqu’à s’en bloquer.
ÂGE : trente-cinq (14.07). aïe. SURNOM : « kiki » (couché, grrrrhhhh). STATUT : c’est bien aussi la solitude, on s’y habitue (non, pas du tout #help). MÉTIER : illustrateur (fauché) en freelance et prof (dépité) d’arts visuels. LOGEMENT : #18 james street, fortitude valley, avec cesar (le coloc) et waterproof (le corgi). POSTS : 4055 POINTS : 240
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ally ⊹ oh, if i can take something to make me feel better than i'm feeling now and everything else will work itself out.
(13/06 - vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bon ou de mauvais compte. moi, si je devais résumer le rp aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres) › ginny (fb) › cecilia › shiloh › wild › alfly #17 (ua) › danaë › olive #2 › greta #2 RPs EN ATTENTE : flora #3 RPs TERMINÉS :
kieyer ⊹ close your eyes and think of me and soon i will be there to brighten up even your darkest night. you just call out my name and you know wherever i am i'll come running, to see you again.
Je sens qu’il n’est pas aussi à l’aise avec ses mensonges qu’il ne le prétend, Kieran, alors qu’il s’était pourtant convaincu que cette rencontre n’a pas pour but de donner lieu à une seconde. En ce sens, il devrait pouvoir être qui il veut ce soir, des détails les plus importants comme son métier, aux plus insignifiants comme ses passions. Il pourrait prétendre jouer d’un instrument, je pense que ça lui ferait même du bien de jouer un tel rôle le temps d’une soirée. Je sais bien que cette fille n’a pas demandé à être l’objet de ses fourberies, mais puisqu’il n’est pas prévu qu’ils se revoient, est-ce qu’il peut réellement s’en vouloir de la personne qu’il serait amené à lui présenter ? La réponse est oui, parce que Kieran s’en veut toujours, pour tout. D’un autre côté, la réponse devrait être non selon moi : il est vrai que je ne suis pas toujours d’accord avec la manière dont il fait usage du mensonge, mais je suis surpris de la créativité dont il peut user et, dans un sens, c’est une manière d’être sur laquelle je n’interfère pas – c’est suffisamment rare pour être encouragé, peu importe si cela nuit à certaines valeurs morales. La société n’en a pas beaucoup à l’égard de Kieran, pourquoi devrait-il en avoir pour elle ? Oh bien sûr, vous allez me dire que mon discours révolté est biaisé et vous aurez bien raison, pour autant, au moment où ils évoquent cet instrument dont elle joue, je lui souffle le regret de ne pas avoir profité du sujet pour accentuer un peu plus ce Kieran biologiste, diablement intelligent, presque intéressant et surtout, véritablement heureux. Il hausse les épaules avec un sourire pincé en guise de réponse, signe qu’elle fait bien ce qu’elle veut – contrairement à lui, qui s’interdit toujours tout. De toute évidence, qu’elle veuille jouer ou non, tout lui convient, il n’a jamais de préférence pour une option ou une autre, Kieran et même s’il devait choisir entre la peste et le choléra il trouverait des avantages aux deux. La soirée donnera raison à l’une ou l’autre des options, il se contente d’espérer que ce soit la première, mais il sera aussi heureux avec la seconde.
Et cette version-là de Kieran n’est jamais tombée amoureuse, douce ironie quand on sait à quel point il n’arrive pas à faire le deuil de son premier (et probablement) unique amour. Méduse (non, n’insistes pas, jamais je n’utiliserai son prénom) demeure la priorité de ses pensées, quand j’aimerais la réduire au silence. Le travail qui m’attend est titanesque, mais j’aime la perspective que, pour un soir, elle n’existe plus, même si cela relève du mensonge. Il est néanmoins sincère quand il lui souhaite de trouver la bonne personne, autant qu’elle semble l’être quand elle le souligne également pour lui. « Si je peux me permettre, il a été con de te laisser partir. » Heureusement qu’il s’est montré hésitant, puisqu’il se reprend aussitôt la phrase lâchée. « Enfin... je te drague pas, ou je dis pas que c’est bien ou pas, d’ailleurs c’est pas comme si mon avis importait, hein, juste que, enfin t’as l’air d’être une fille cool. » Sans vouloir vexer la jeune femme, de toute évidence Kieran apprécie tous ceux qui se montrent un tant soit peu sympathique avec lui, évidemment qu’elle a l’air d’être une fille cool dans de telles circonstances. Pour autant, sans m’avancer car je n’oublie pas que nous ne la connaissons guère, elle est plutôt chouette, il est vrai. « J’ose espérer que ça existe. » Il ajoute avec un léger sourire aux lèvres ; oh oui, il espère que ça existe, mais jusqu’ici, il s’inscrit dans la même lignée que Dylane. Il croyait l’avoir trouvée, cette fille qui le comprenait, qui le faisait rêver et pour qui il aurait tout fait. « Je ne sais pas, pour être honnête. » Bien sûr qu’il y croit, mais ce soir, le Kieran qu’il montre est plutôt détaché de tout ça et contraste avec celui qu’il est au quotidien, qui souffre tous les jours d’y avoir cru et d’avoir été malmené. « Comme j’ai dit, j’ai envie d’y croire. Je pense qu’on a tous besoin d’une personne sur laquelle s’appuyer autant qu’elle nous pousse à être la meilleure version de nous-même. Et j’aime croire qu’on peut être cette personne pour quelqu’un d’autre. » Il hausse les épaules, détaché, mais pas trop, il sait que son discours pourrait contraster avec ses belles paroles s’il se voulait totalement sceptique sur la question. Et là, il ne ment qu’à moitié, Kieran.
Il manque de s’étouffer à sa plaisanterie et si la jeune femme peut penser qu’elle a fait preuve d’un cynisme appelant cette réaction, la vérité est tout autre : il n’a pas vraiment compris où elle voulait en venir, lui qui peine souvent à comprendre le second degré. Néanmoins, sa remarque le fait sourire, une fraction de seconde avant que l’anxiété de chanter sur scène ne revienne à lui. Il se laisse emmener vers la scène et je vous jure qu’il y a un bouton on/off sur ce type que je n’arrive moi-même pas à commander avec l’aisance dont je voudrais disposer : il n’y a que lui qui y parvienne et il rend muette cette timidité, cette réserve et cette gêne qui le caractérisent d’ordinaire pour profiter du moment. Oh, bien sûr, il n’en est pas à danser sur les tables ou que sais-je, néanmoins l’effort est là et il arrive à chantonner sans tomber dans les pommes (un exploit, donc). Un exploit d’autant plus impressionnant suite aux révélations de Dylane. « C’est un concept à breveter, tiens. » Il préfère (essayer de) faire usage d’humour pour masquer son malaise. Si le air guitar existe et qu’il y en a des compétitions, pourquoi pas le air chant, tiens. Quoi qu’il en soit, il arrive à capter son regard lorsqu’il s’agit de lui dire : « ne me refais pas le coup pour la seconde chanson, par contre. » Son ton est doux et ses yeux suppliants, contrastant à ses paroles qui ressemblent presque à des ordres. C’est pourtant lui qui la suit jusqu’à l’extérieur pour reprendre des forces avant le second tour. Retrouver une certaine contenance dans la nourriture semble être une perspective appréciée par Kieran qui se retrouve avec de la sauce sur la joue. Oh, évidemment que ce commentaire ne manque pas de le gêner, même si je souligne que cela peut arriver à tout le monde ; trop tard, il est persuadé d’être terriblement ridicule. Et je l’apprécie de plus en plus, cette Dylane, alors qu’elle trouve toujours les mots pour éviter une syncope à Kieran – et je vous le dis, c’est pas une mince affaire. Il laisse échapper un léger rire nerveux à sa grimace qui ponctue sa réflexion, alors que le sujet redevient plus sérieux lorsqu’ils évoquent leurs préférences. Il est tenté de lui répondre qu’il ignore lui-même quelle hypothèse est la bonne, car il est le premier à avoir l’impression de ne pas se connaître, mais cela n’est pas cohérent avec le Kieran que tu veux être aujourd’hui, pas vrai ? « Gentil, sûrement. Trop calme, c’est certain. » Il souligne avec un fin sourire. Belle courbette, Kieran, faire passer ton manque de caractère pour une qualité recherchée par beaucoup. Pourtant, elle n’a pas tort, Dylane. Il n’ose pas montrer son caractère ; je vous assure que s’il exprimait tout ce qu’il exprime à mon encontre, en sécurité dans les murs de son esprit, il ne serait pas la même personne. Et l’on pourrait assurément considérer qu’il n’a rien de calme, malgré les apparences. Sa timidité et sa réserve sont bien réelles ; mais je sais qu’il menace d’exploser à chaque instant. Alors non, il n’est pas calme, Kieran, mais si ce soir il veut le prétendre parce qu’il recherche la sérénité qui va de pair avec cet adjectif, grand bien lui fasse. Le temps d’un soir, il peut être qui il veut, qu’il en profite. « D’accord, je compte sur toi pour me donner leurs numéros afin que je les appelle à la fin de la soirée. » Il glisse avec un léger sourire, signe aussi qu’il apprend à la connaître, doucement, alors qu’il se permet de demander : « Seule fille de la fratrie ? » À moins que la sœur ou les sœurs, elle(s), ne la juge(nt) pas chiante, mais c’est la déduction à laquelle il parvient. « Et je t’en remercie. » Un nouveau rire nerveux s’échappe d’entre ses lèvres ; même s’il ne la croit pas quand elle prétend être chiante, il n’a aucune envie d’en avoir la preuve (ou non). Et lorsque son regard confronte le sien en répétant le terme qu’il a utilisé, Kieran fronce les sourcils ; il n’est pas vraiment mal à l’aise pour une fois parce qu’il ne saisit pas l’allusion. Tout ce qu’il comprend, c’est que cela semble drôle et à son rire, il ajoute le sien, dans son habitude d’imiter les réactions des autres. « Je n’aime pas ça. » Il n’ose pas, donc, puisqu’il se présente comme le contraire de ce qu’il est. « Je dis pas que je me laisse marcher dessus. » Si, pour les mêmes raisons mentionnées plus haut. « Mais j’ai pas d’intérêt à perdre de l’énergie à vouloir m’affirmer dans des situations où c’est perdu d’avance. J’aime la tranquillité. » Et pourtant, sa vie est l’exacte opposé de ce terme. Il prend toujours les mêmes mauvaises décisions, surtout sentimentalement parlant et le résultat est ce qu’il est. « Avoir un truc pour les blondes ne veut pas dire que c’est un critère immuable. » Il souligne en haussant les épaules ; à vrai dire elle lui plaît, c’est certain – mais n’allez pas voir de la drague, seulement un constat. Et il ne se reprend pas cette fois-ci, supposant que le fait de baisser les yeux et de se sentir rougir est une réponse suffisante. « Je te remercie, mais ça ira. » Bonne réponse, Kieran, si je veux que tu retrouves la confiance et l’amour d’autrui, ce n’est pas pour autant que te précipiter est la solution adéquate ; et si tu n’avais pas refusé, je l’aurais fait pour toi. Quoi qu’il en soit, il se marche dessus lorsqu’il s’avère à nouveau gêné, faisant preuve d’un humour aussi douteux que celui de la jeune femme plus tôt, mais qu’il assume beaucoup moins. Fort heureusement, ils sont littéralement sauvés par le gong. « Oublie pas ce que je t’ai dit. » Qu’elle ne le lâche pas pour cette seconde chanson ; mais bien sûr qu’elle pourra si elle le souhaite, jamais il n’osera lui dire quoi que ce soit, c’est quelque chose qu’elle doit avoir repéré tant c’est évident, malgré ses mensonges qui prétendent le contraire.
ÂGE : trente-cinq (14.07). aïe. SURNOM : « kiki » (couché, grrrrhhhh). STATUT : c’est bien aussi la solitude, on s’y habitue (non, pas du tout #help). MÉTIER : illustrateur (fauché) en freelance et prof (dépité) d’arts visuels. LOGEMENT : #18 james street, fortitude valley, avec cesar (le coloc) et waterproof (le corgi). POSTS : 4055 POINTS : 240
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(13/06 - vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bon ou de mauvais compte. moi, si je devais résumer le rp aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres) › ginny (fb) › cecilia › shiloh › wild › alfly #17 (ua) › danaë › olive #2 › greta #2 RPs EN ATTENTE : flora #3 RPs TERMINÉS :
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C’en est presque un univers alternatif, la manière dont il évoque ses expériences passées qui n’ont rien à voir avec la vérité. Son cœur a été brisé une fois ; c’est bien assez alors qu’il tente toujours d’en recoller les morceaux un an après sa rupture. Pourtant, cet état ne diminue pas ses sentiments ; et c’est toujours un amour passionnel qui l’unit à Méduse, quoi qu’il puisse prétendre ce soir. Et s’il aime s’imaginer une réalité où il ne souffrirait pas autant, je ne suis pas certain qu’il voudrait changer les choses, Kieran, s’il avait la possibilité de revenir en arrière. Je ne crois pas que je le souhaiterais moi-aussi, même si sa douleur est la mienne et que je peux vous assurer qu’elle est insupportable. Je crois néanmoins qu’il est forcé de passer par là pour se relever ; et même si je ne suis pas un partisan de ces adages aux tendances ridicules, façonnés pour donner de l’espoir à des gens qui n’en ont plus, je pense que dans certains cas de figures, ils ne sont pas totalement stupides. Et même s’il doit passer par là, même si l’on peut s’étonner de la manière dont il réagit qui contraste cette confrontation à la réalité, je sais que cela fait partie du processus – parce que je sais tout ce qu’il se passe dans sa tête. Pour l’heure, il est néanmoins question de Dylane qui se trouve des torts, information à laquelle il se contente de pincer les lèvres. Il ne la connait pas suffisamment pour s’essayer à une tentative de réconfort qui serait inévitablement mal venue du fait qu’il ne sait rien de son histoire. Et même quand il outrepasse cette réserve qui est la sienne d’ordinaire, qu’il se permet une opinion, il se reprend très rapidement ; je l’en félicite, lui s’en flagelle. Oh, Kieran, je sais bien que tu n’aimes pas mettre ton nez dans la vie des autres, mais il y a fouiller et discuter et en l’occurrence c’est dans cette seconde catégories que tu t’intègres. Un rire nerveux s’échappe d’entre ses lèvres lorsqu’elle souligne que c’est au moins la cinquième fois qu’il précise ne pas lui faire du rentre-dedans ; nous sommes désormais tous les deux d’accord sur le fait que le dating, ce n’est définitivement pas pour aujourd’hui, pas vrai ? « Oh, oui. Désolé, je... bref, désolé. » Le rose lui monte aux joues alors qu’il baisse la tête ; parfois, je m’interroge quant à savoir comment cet individu fait pour avoir une vie amoureuse à peu près remplie. Il y a des mystères qui ne s’expliquent pas, il faut croire. Il se mure à nouveau dans le silence lorsqu’elle fait preuve d’une bienveillance qui s’adresse à un mensonge – mais n’allez pas croire que je donne trop mauvaise conscience à Kieran pour autant – et probablement que si elle avait connaissance de la vérité, jamais elle ne supposerait qu’il mérite une fille bien dans sa vie. Mais puisqu’il n’est pas supposé la revoir après ce soir-là, il se contente de lui adresser un sourire qui se veut reconnaissant.
Il l’est beaucoup moins quand il prend conscience du plan dont elle s’est rendue coupable, le laissant assumer seul sur scène. Bien sûr, il se doutait qu’elle ne donnait que très peu de la voix, mais il n’aurait pas imaginé qu’elle serait complètement silencieuse. L’Air Sing, en voilà un concept qu’il semble important de breveter comme elle acquiesce et un léger rire s’échappe d’entre ses lèvres. Il s’ose néanmoins à une réflexion plus affirmée lorsqu’il s’agit de lui demander de ne pas réitérer la scène lorsqu’ils seront appelés sur scène pour la seconde fois et à sa réponse, il fronce les sourcils un court instant. « Une barbie qui chante, hein, alors. » Il insiste, car dans son esprit étriqué, on ne peut pas dire que la comparaison soit réellement réjouissante. Une poupée barbie, pour lui, ça ne bouge pas, ça n’a pas d’avis, ça n’est pas très intelligent... Tiens, serait-il donc question de toi, Halstead ? Blague à part, il a besoin de s’assurer que cette fois-ci elle ne le lâchera pas ; maintenant qu’il est au courant de son petit jeu, il n’est pas certain de parvenir à l’apprécier une seconde fois. Au contraire, il va se contenter d’anticiper et d’être mal à l’aise à l’idée de chanter, encore plus que lors de leur premier tour de scène. L’avantage de la nervosité, c’est que cela lui ouvre parfois l’appétit et que cela justifie la commande qu’ils font une fois à l’extérieur, qui peut surprendre – mais eh, promis, il n’y aura aucun gâchis. Ce moment de calme lui fait du bien pour reprendre ses esprits, même si la conversation ne manque pas de lui faire à nouveau monter le rose aux joues – il est fatiguant. Lorsque vient le moment de se décrire, la question de la gentillesse semble susciter un débat. « Je suis chanceux, j’ai toujours eu un entourage bienveillant. » Il souligne avec un sourire, n’étant pas à l’abri d’un énième mensonge dans le cadre de cette soirée. Oh, bien sûr que son entourage est bienveillant, évidemment, il n’a jamais subi diverses maltraitances dans cette réalité-là et à cette pensée, c’est un sourire sincère qui se glisse sur son visage. C’est triste, pourtant, comme constat, Kieran. « Mon père est coach de développement personnel à tendance gourou. À la maison, si tu haussais le ton sans raison, t’avais le droit à une méditation de deux heures en punition. » Oh, Kieran, tu ne crois pas que tu vas un peu loin, là ? Mais il n’est plus à ça près, et quitte à s’inventer une vie, il aime l’idée de peaufiner les détails. S’il est aussi calme, c’est grâce à son géniteur, évidemment. La vérité n’est pas si éloignée ; sauf que la peur est à l’origine de son calme. Et lorsqu’elle évoque ses frères, Kieran ne manque pas de poursuivre la conversation, sur le ton de l’humour. Il fronce les sourcils quand elle le prend au mot et qu’elle en sort son téléphone, légèrement rassuré lorsqu’elle souligne la plaisanterie. T’aurais eu l’air bien con, pas vrai ? « Ah oui, d’accord, c’est- » Flippant. Là, c’est le moment où il part en courant, c’est ça ? « Ah, merci, je commençais à chercher la sortie de secours. » Il reprend en laissant échapper un rire. La conversation dérive sur leur genre de partenaires et il ne ment presque pas, Kieran, quand il admet qu’il a besoin d’être dirigé. « Je préfère attendre d’avoir l’opportunité de leur souligner leur erreur en mode passif-agressif dès que l’occasion se présente. » Non, pas du tout. Mais ce soir, il a (presque) du caractère. « Mais à force, tu vas me faire questionner mon calme. » Il souligne avec un léger rire, tandis que matière de critères physiques il se veut franc : les blondes ont toujours eu sa préférence et il ne saurait même pas en expliquer les raisons. Cela ne veut pas dire que Dylane n’est pas charmante (bien au contraire), mais il semblerait qu’il soit plus que faible face à une chevelure dorée. Et quand il s’agit de lui présenter des amies, là-aussi, il se veut presque catégorique. Il répond à sa grimace par un rire, tandis qu’elle fait malgré tout défiler son répertoire. « Ce sont tes amies, t’en es sûre ? » Il interroge, amusé, face aux qualificatifs qu’elle emploie pour les désigner. Elle finit par abdiquer et il hausse les épaules, l’air de lui dire « tu vois, je te l’avais dit ». Le soulagement n’est que de courte durée lorsqu’ils sont à nouveau appelés sur scène et qu’il termine rapidement son hamburger avant de la suivre. Il rit face à l’image de Dylane qui essaie désespérément de chanter en ayant la bouche pleine ; ça a le mérite de faire rire les gens et de lui permettre d’être plus effacé tandis qu’il chantonne plus doucement qu’au premier passage, la remarque de Dylane en tête quant à une voix qu’il ne trouve pas particulièrement belle et une stratégie qui n’est pas particulièrement équitable. Il lâche prise, Kieran, doucement, par habitude quand il s’agit de s’amuser sur scène, les yeux qui se ferment pour ignorer les gens, une certaine tendance à se cacher derrière Dylane à la moindre occasion. Leur tour de chant finit, il réapprend à respirer (et parfois, je me demande bien ce qu’il trouve à cette activité quand on voit la gêne que cela lui procure). Kieran s’apprête à quitter la scène quand il tourne la tête vers une Dylane qui ne le suit pas, bien au contraire, elle s’est mise au piano et il se retrouve gêné par cette spontanéité. Elle l’a vraiment fait. Son regard vacille vers le pianiste qui hausse les épaules, ambiance bon enfant, alors qu’elle se met à jouer et qu’il constate son talent. De là à la suivre alors qu’il n’est pas dans les meilleures dispositions pour cela, le pas est grand et il n’arrive pas à le franchir pour l’heure. Il me faut de nombreuses secondes de discussion avec lui pour qu’il parvienne à m’écouter et à se donner l’impulsion de hausser la voix, d’abord timidement, se cachant derrière le micro à défaut de pouvoir s’effacer derrière Dylane. Son regard se fixe sur elle, admiratif de sa façon de jouer, tout comme cela lui permet d’éviter ceux des quelques spectateurs présents. Au point où il parvient enfin à les oublier après une petite minute, s’autorisant à profiter du moment ; dans la continuité de cette soirée qui finalement n’a pas relevé d’un cauchemar qu’il anticipait. Il serait presque déçu que ce ne soit que l’histoire d’un soir ; mais pour cela il aurait fallu ne pas inventer un personnage d’un soir, justement.