| take me back to the night we met (lendy) |
| | (#)Sam 15 Aoû 2020 - 23:38 | |
| Minuit sonne. L’heure du crime pour certains, l’heure de rentrer chez soi pour beaucoup, l’heure d’entamer une bonne nuit de sommeil pour d’autres encore ; un tout, pour Rudy. Son délit est d’avoir passé sa soirée avec des personnes peu fréquentables. Il sait que ces hommes-là, il vaut mieux les avoir en amis qu’en ennemis, mais ce n’est pas sa seule excuse : il apprécie sincèrement leur compagnie et ce qu’ils peuvent lui apporter. À ces soirées-là, il y a de tout pour être heureux : des femmes, de l’alcool, de l’argent et des cylindres fumants comportant toutes sortes de substances. Il ne sait pas ce qu’il a mérité pour avoir l’aval de ces types et avoir le droit de les fréquenter, il aime à se dire que c’est son charisme naturel, sa prestance. Peut-être qu’on lui avait dit vrai en lui promettant qu’il deviendrait le roi de la nuit. Lui, il se contente de jouer les gros bras quand l’ambiance s’échauffe un peu trop à son goût – au leur, surtout – et il semblerait que ce soit suffisant pour gagner le droit de rester auprès d’eux, de fêter avec eux. Il y a eu cette nuit, donc, et la nuit dernière encore, et puis celle d’avant, et il est presque sûr qu’il y aura celle de demain et du jour d’après : il n’aspire pas à grand-chose de plus. Boire, fumer, oublier et recommencer. Encore et encore, jusqu’au jour où il n’arrivera pas à rentrer chez lui, jusqu’au jour où il dépassera les bornes et qu’il fermera les yeux pour ne plus les ouvrir. On lui avait juré qu’il deviendrait un grand, parmi les hommes de la nuit, on lui avait aussi dit qu’il allait mourir d’une overdose. Il l’attend encore, celle-là. Ce ne sera pas pour ce soir, il ne pense pas avoir réellement abusé, pour une fois. Ou juste un peu, car quand il marche sur le trottoir, il semblerait que les voitures dansent et que les lampadaires tanguent. Il semblerait aussi que les immeubles tournent et que les lumières lui sautent dessus. Il ne l’admettra pas de lui-même mais effectivement, peut-être que c’était de trop, peut-être qu’il aurait pu ralentir sur toutes ses consommations, à boire, à fumer ou à sniffer. Minuit est passé, maintenant. Il erre dans la rue sans vraiment savoir où aller, il connaît pourtant le chemin de sa maison mais ça ne semble pas l’inspirer ; il sait que sa mère l’attend, là-bas, qu’elle doit être en train de réciter devant son miroir une énième leçon de morale qu’il n’écoutera pas. Perdu entre une rue et une autre, son regard se pose sur une silhouette, au loin, accompagnée d’un ami à quatre pattes, cool pour lui, il a pas été amputé. Le brun s’arrête et se colle contre le mur, mains derrière le dos, et laisse la silhouette apparaître à la lumière des lampadaires pour devenir une jolie jeune femme, une blondinette qui ne devrait pas traîner dehors à cette heure-ci ; le chien qui protège sa maîtresse des malfaiteurs, ça n’arrive que dans les films. Elle passe devant lui sans lui adresser le moindre regard, pourtant il sait qu’elle l’a vu, car lui, il a pu le faire. Elle doit le juger, le prendre pour un homme dépourvu de domicile, bourré et avec de mauvaises intentions. Bingo, si elle pense réellement ça : elle aurait raison sur deux points, car il a bel et bien un endroit où dormir, ce soir et les autres nuits. Hé, t’vas où comme ça ? Sa voix est plus rauque qu’habituellement, lié à tout ce qu’il a bu, tout ce qu’il a fumé. Il se racle la gorge et se décolle du mur pour se rapprocher d’elle, car il a suffisamment attiré son attention pour qu’elle s’arrête. On va où, comme ça ? Et en une seule phrase, elle passe d’une simple jeune femme à une proie, à une cible à atteindre : il s’inclue avec elle, et il est hors de question qu’il rentre bredouille.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Mar 18 Aoû 2020 - 13:06 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsL'Australie. La solitude. La vie d'adulte. Lena devait faire face à tant de nouveautés qu'elle ne savait même plus où donner de la tête, qu'elle en oubliait parfois même pourquoi elle avait fait le choix de quitter l'Europe pour l'Océanie. Mais ses raisons étaient valables, elle le savait et aucun retour en arrière n'était possible. Il ne lui restait qu'à subir, qu'à grandir, qu'à évoluer et se construire la vie qu'elle méritait ici, loin de son passé. Elle s'était déjà fait des amis, la blonde. Elle avait déjà commencé ses études à l'université, s'était déjà trouvée un appartement et des petits boulots pour réussir à le payer pour qu'un jour, son père cesse enfin de lui envoyer ces chèques ; pour qu'un jour, le lien soit définitivement coupé. L'un de ceux ci consistait à dog sitter des chiens. Ce n'était clairement pas la carrière qui allait la rendre riche et suffisamment autonome, mais tout est bon à prendre lorsqu'on débarque dans un pays totalement inconnu, à l'autre bout du monde. Elle avait la responsabilité d'un chien pour le week end, d'un joli beagle un peu vieux et aux tendances à baver un peu partout, mais adorable pourtant. Tout s'était bien passé, il ne lui restait qu'un jour avant que la propriétaire ne vienne le récupérer. Elle était sortie pour son dernier tour de piste avant de dormir, la rue était quasiment vide. Seul un jeune homme, adossé contre un mur, semblait profiter de la douceur de la soirée. De sa voix rauque l'inconnu l'interpellait sans qu'elle ne s'y attende. Hé, t’vas où comme ça ? Un long frisson vint parcourir le corps de Lena. Elle tourna la tête vers lui pour voir à qui elle avait à faire et comprit alors qu'elle avait tout intérêt à accélérer le pas, pourtant elle était figée face à lui. Elle ne lui répondit pas, il lui faisait aussi peur qu'il ne la fascinait. Lena, on lui avait appris à ne pas parler à ce genre d'énergumènes, surtout tard dans la nuit, surtout seule dans la rue. Ce n'était pas comme si ce pauvre Dumby allait la défendre, ce chien de canapé n'avait rien de féroce. Le brun qui venait de l'aborder, en revanche, avait l'air de l'être. Et c'est bien pour ça qu'elle s'était arrêtée, comme pour essayer de contrarier les enseignements qu'on lui avait inculqués pendant toutes ces années. On va où, comme ça ? Elle était de moins en moins à l'aise, pas très farouche la petite écossaise. Elle n'était pas préparée à ça, non, Lena n'était pas prête à affronter quoi que ce soit qui puisse s'apparenter à ce genre de situations. Ce n'était pas dans sa grande maison d'enfance entourée de domestiques qu'elle risquait d'apprendre quoi que ce soit, ni enfermée dans ce couvent. Elle savait gérer bien d'autres choses, savait enfouir en elle bien des souffrances, mais pas ça, elle n'avait aucune idée de la façon dont elle allait pouvoir s'en sortir. Parce que s'il voulait lui faire du mal, il y arriverait sans problèmes, c'était sûr et certain. Et parce que si c'est autre chose qu'il attendait, si c'était une tentative de séduction miteuse, elle ne s'en rendrait même pas compte. Ce n'est pas le genre de choses qu'elle comprenait, ce n'est pas le genre de choses qu'elle savait gérer. Alors elle reprit ses esprits, son essence de rébellion déjà effacée. Moi, je vais rentrer chez moi... La promenade de Dumby n'était pas terminée mais qu'importe, elle tremblait presque d'effroi la juvénile. L'on aurait dit une pauvre souris jetée dans la cage d'un serpent vil et dont on ne connaissait pas les réelles intentions - quoi qu'en réalité elle préférait vite s'en aller, et ne pas savoir ce qu'il avait réellement derrière la tête, oublier ce moment, passer à autre chose. Il était affolant de se rendre compte à quel point tout lui faisait peur malgré toutes les horreurs qu'elle avait déjà pu vivre à tout juste dix huit ans. Il est tard, du coup.. vous devriez peut-être rentrer chez vous aussi ? Puis elle se retournait pour faire demi tour, tirant sur la laisse du chien afin qu'il la suive. Tout ce qu'elle voulait était rentrer chez elle, maintenant. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Dim 20 Sep 2020 - 23:44 | |
| Moi, je vais rentrer chez moi… Elle n’a pas besoin d’ouvrir une nouvelle fois la bouche pour qu’il sache ce qu’elle va dire. Lui, il doit rentrer chez lui. Chacun chez soi, et tout le monde s’en portera très bien. Rudy n’est pas d’accord avec cette idée-là, il n’y a rien d’amusant à rentrer bredouille. C’est mieux de partir vers l’inconnu, chez une inconnue, là où il n’a très certainement pas sa place et où il ne l’aura jamais. Après une nuit d’un amour impur, il lui promettra de la rappeler un de ces jours et ce jour n’arrivera jamais. Elle le saura, lui aussi, et ce sera la fin de cette aventure. C’est comme ça que Rudy imagine la suite de leur soirée à tous les deux, il n’y a pas de place pour ce qu’elle souhaite, elle. Et pourtant, ces quelques mots devinés, elle ne tarde pas à finalement les prononcer. Il le savait, ça l’agace quand même. Il est tard, du coup.. vous devriez peut-être rentrer chez vous aussi ? Il soupire longuement et bruyamment avant de secouer sa tête de gauche à droite. Ben non, c’est pas c’que j’viens d’te dire. Il le dit comme si elle l’ignorait, comme si elle apprenait la nouvelle en écoutant ses mots les uns après les autres. Pourtant ce n’est pas le cas, elle sait très bien que ce n’est pas ce qu’il espère, que ce n’est pas ce qu’il a insinué il y a quelques secondes. Et, au fond d’elle, elle doit savoir que ce n’est pas ce qu’il va faire. Il ne suffit pas d’exprimer son souhait et de fermer les yeux pour que Rudy disparaisse, bien au contraire, plus il fait peur, plus il s’installe. Mais la jeune femme ne l’écoute pas, elle ne ferme pas les yeux, elle ne ferme pas les poings, sa peur ne se transmet qu’à son aura. Elle se retourne et tire sur la laisse du chien pour qu’il la suive mais il a l’air plus intéressé par les chaussures de Rudy, qu’il sent avec un intérêt particulier. J’ai marché dans d’l’alcool renversé toute la soirée, ça doit lui plaire. Qu’il dit, alors qu’il se baisse vers le chien pour caresser sa tête. S’il a toute l’attention de l’animal, il aura forcément celle de la maîtresse à un moment donné, non ? Il s’avère que là, elle est bloquée, elle ne peut pas s’en aller sans le chien et le chien, il est trop occupé à se faire dorloter par Rudy. J’aime bien ces bêtes-là. Il dit ces quelques mots en le grattant derrière l’oreille avant de se redresser vers Lena. Eux, ils s’méfient pas du monde entier pour n’importe quoi. L’plus petit des chiens peut mordre, l’plus gros peut être agréable. On sait jamais sur c’qu’on va tomber, faut s’y confronter. Et sur ces mots, le brun fait un pas en avant vers la petite blonde. Il parlait autant des hommes que des animaux. Rudy est un loup, un prédateur : et il a une proie sous ses yeux, à elle de s’y frotter, désormais, car ce n’est pas le chien qui va la sortir de ce pétrin. Il se rapproche encore d’un pas et rapidement, il est bien trop près d’elle pour ne pas sentir son parfum, presque imaginer son souffle qui pourrait s’écraser sur sa peau. Alors, tu t’confrontes ? Et il ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre, il attrape sa main qui tient la laisse puis la lui arracher et la garder dans la sienne, bien fermée, fixe. Il a le chien, elle ne partira vraiment plus, elle n’a plus vraiment le choix. Rester ou fuir, elle n’a plus que la première option en sa possession.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
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RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Ven 25 Sep 2020 - 14:20 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsLena voulait mettre fin à cette conversation aussi vite qu'elle n'avait commencée, mais ne parvint pas à s'échapper du malaise persistant à cause de Dumby qui semblait, lui, tout à fait à l'aise face à cet énergumène dont elle ne savait rien. J’ai marché dans d’l’alcool renversé toute la soirée, ça doit lui plaire. Ce qu'il disait n'avait rien de surprenant, le brun avait typiquement l'allure de ce genre de gars qui passait ses soirées dans des bars miteux avec des gens miteux et de l'alcool partout. Elle n'en connaissait pas, ayant été élevée bien loin de ces milieux sordides, mais c'est du moins le portrait qu'on lui avait dressé tout au long de sa vie à la blonde. Et aujourd'hui elle était face à ce stéréotype profondément ancré dans son esprit. Cet homme, c'était sûrement un violeur, peut-être un tueur, dans tous les cas, c'était quelqu'un qui n'avait rien d'un honnête citoyen. Sa photo pourrait tout à fait passer dans un journal, à côté d'un article immonde sur un violeur de filles tueur de chiens - ou l'inverse, encore pire. Elle songea un instant à s'enfuir en sacrifiant l'animal, mais ne pouvait se résoudre à le laisser dans les mains d'un bourreau. Lena, elle ne savait pas tous les mystères qu'il gardait pour lui, mais elle se doutait, par contre, qu'il avait dû voir des choses dont elle ne soupçonnait même pas l'existence. J’aime bien ces bêtes-là. Ses mots piquaient un peu plus la curiosité de l'écossaise. Elle écoutait à présent avec attention, même si, à chaque pas que l'inconnu faisait vers elle, elle s'appliquait à en faire un en arrière. L’plus petit des chiens peut mordre, l’plus gros peut être agréable. On sait jamais sur c’qu’on va tomber, faut s’y confronter. La comparaison était très juste car c'est exactement ce que la juvénile ressentait à ce moment, face à lui. Il finit par se retrouver tout proche d'elle sans qu'elle ne s'en rende compte, trop fascinée par ses yeux et par son discours pour réaliser ce qu'il était en train de faire. Alors, tu t’confrontes ? Et avant même qu'elle n'ait le temps de réfléchir à une réponse, elle sent la main du brun voler dans la sienne la laisse qui la liait à Dumby. Elle eut un sursaut, fit un pas en arrière, et fixa à nouveau le prédateur qui se jouait d'elle. Est-ce que j'ai le choix ? La réponse, elle était évidente, parce qu'elle n'avait aucun choix dans ce qui était en train d'arriver Lena. Elle se retrouvait spectatrice de sa propre vie, coincée dans cette scène de théâtre dont cet inconnu était le metteur en scène. Qu'est-ce que t'attends de moi ? Elle se permettait d'oublier toute forme de politesse, lui était loin de l'être, après tout. Elle se permettait même une question, l'innocente, pensant naïvement qu'elle pourrait reprendre la main sur ce qui était en train de se dérouler - mais non. Sa seule solution restait de se laisser porter et de ne pas montrer toute la crainte qui l'envahissait ; après tout, on lui avait toujours dit de ne jamais montrer sa peur face à un chien enragé. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Mer 30 Sep 2020 - 21:49 | |
| Pour Rudy, ce n’est rien de plus qu’un jeu. Elle a l’air perdue, cette fille. Elle n’a pas l’air de vouloir lui parler. Elle a l’air de vouloir s’enfuir. Ce n’est qu’un jeu, oui : il est le maître de la partie et n’hésitera pas à en changer les règles dès que ça ne lui conviendra plus. Pour l’heure, il essaie de se faufiler dans son esprit, d’entrer dans son crâne et de s’y faire une place bien à lui, où personne d’autre ne pourra entrer ensuite. Il ne veut pas l’effrayer, il ne veut pas lui plaire non plus. Il veut qu’elle se confronte, qu’elle ose, qu’elle fasse un pas en avant plutôt que de reculer prudemment. Physiquement, elle ressemble à toutes ces filles qu’il déteste, qu’il préfère ne pas approcher habituellement : trop coincées, trop dérangées pourtant, elles pensent tout savoir sur tout et tout le monde, ont des principes que plus personne n’a. Elle vit dans une autre époque, bloquée dans le corps d’une jeune femme du 21ème siècle, pas dit que ce soit très plaisant. Il le ressent. Dans sa voix, dans ses gestes, dans la façon dont son souffle se coupe à chaque fois qu’il reprend la parole. Ce n’est pas de la peur, c’est de la désinformation et de l’incompréhension. Est-ce que j’ai le choix ? Maintenant qu’il a la laisse du chien entre ses mains, il semblerait que non. Et elle le sait. Et elle demande quand même. J’pense pas, il dit, en haussant ses épaules. Elle pourrait si elle osait la lui reprendre. Mais elle n’osera pas, il le sait déjà. Qu’est-ce que t’attends de moi ? Il fronce les sourcils à cette question. Tu parles comme si tu venais t’faire kidnapper par un psychopathe. Il secoue son visage doucement en tirant sur la laisse pour que le chien revienne un peu vers lui. J’suis pas ça, moi, ça t’dit pas d’le découvrir ? S’il avait été une personne horrible, de celles qui finissent en prison pour des meurtres ou des viols, il serait déjà passé à l’acte. Ou alors, il aurait fait exactement ce qu’il est en train de faire maintenant : tenter une approche, une discussion, essayer de gagner sa confiance pour ensuite la trahir. La seule différence entre lui et ces gars-là, c’est qu’il n’a pas l’intention de la trahir par la suite. Il ne sait pas ce qu’il veut, mais ça ne réside en rien en ces crimes-là. Il est à toi l’chien ? Il ne voit pas à qui il pourrait être d’autre. Rudy ne vit pas dans le même monde qu’elle, dans lequel on paie des gens pour garder des animaux. Lui, il ne connaît que l’autonomie et la débrouillardise, peu importe le sujet. Il s’appelle comment ? Plutôt que de lui demander à elle, le chien d’abord. Et toi, tu t’appelles comment ? Ses yeux sur elle, il s’y intéresse de nouveau. T’sais que tu d’vrais pas sortir la nuit comme ça ? Tu pourrais tomber sur un sale type. Un autre sale type que lui. Lui, il se sent clean, il pourrait l’être pour elle. Pour ce soir seulement. Il fait de la prévention, ça ne lui ressemble pas vraiment. Le brun se baisse de nouveau pour caresser le chien, une nouvelle fois, alors que ses yeux ne quittent pas la blonde. Il y a comme un air de défi, dans son regard, il la veut – déjà.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
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AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Mer 21 Oct 2020 - 12:27 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsBien sûr que non, Lena n'avait pas le choix et elle le savait bien. J’pense pas. Elle l'avait compris, au fond d'elle, à l'instant même où l'inconnu avait posé les yeux sur elle, à l'instant même où il lui avait adressé la parole. Il avait décidé de faire d'elle son jouet pour la soirée, alors elle n'aurait qu'à subir et espérer s'en sortir. Tu parles comme si tu venais t’faire kidnapper par un psychopathe. Lena fronça les sourcils. Un psychopathe aurait sûrement dit la même chose, non ? Qui me dit que c'est pas ce qui est en train de se passer ? Un type qui m'arrache la laisse de mon chien en pleine nuit, c'est à se poser des questions. C'était sans doute ici la pire des choses à dire à un vrai psychopathe, et s'il l'était, une réaction explosive était à prévoir dans les secondes à venir. Mais elle s'était sentie pousser des ailes l'espace d'un instant, s'agrippant à sa fausse ténacité comme elle le pouvait. J’suis pas ça, moi, ça t’dit pas d’le découvrir ? Il ne s'était pas énervé, restait calme depuis le départ, et même si le contexte n'était pas des plus agréables pour la blonde, elle devait bien admettre qu'il l'intriguait. Au moins il tentait de la rassurer sur le fait qu'il n'était pas dangereux, bien qu'elle doutait encore. Elle ne répondit pas, se contentant d'un haussement d'épaule et d'un air intrigué. Mais il n'avait pas besoin de sa réponse pour continuer à parler avec elle ; elle n'avait pas le choix ce soir, ça s'appliquait encore. Il est à toi l’chien ? Elle jeta un regard à Dumby qui se trouvait lié à cet homme, ce qui, en réalité, ne semblait pas le déranger outre mesure. Non, je le garde quelques jours. Pas sûre que ce type soit à même de comprendre le principe du dog sitting, lui devait sans doute se cantonner à des petits boulots bien moins légaux - c'est l'impression qu'il lui donnait. Il s’appelle comment ? Les yeux du brun se posèrent sur l'animal, laissant un instant de répit à l'écossaise. Elle fut surprise de l'intérêt qu'il portait à ce vieux chien qu'elle traînait là, alors elle répondit sans broncher. Dumby. Un sourire se dessina sur ses lèvres, elle qui trouvait depuis qu'elle le connaissait que ce pauvre animal avait un nom bien ridicule, elle le trouvait encore plus niais face à son interlocuteur. Et toi, tu t’appelles comment ? Alors que son regard se portait à nouveau sur elle, son sourire s'effaça instantanément et l'anxiété qui ne la lâchait pas depuis que leurs routes s'étaient croisées s'amplifiait un peu plus. Lena. Elle aurait voulu trouver un nom d'emprunt, c'est ce que beaucoup de ses camarades étudiantes faisaient à priori en soirée pour protéger leur identité apparemment. Mais elle avait répondu vite, la blonde, persuadée qu'une hésitation prouverait sa faiblesse. Elle avait répondu trop vite, à tel point qu'elle n'avait pas eu le temps d'être créative et d'inventer un mensonge sur son identité. T’sais que tu d’vrais pas sortir la nuit comme ça ? Tu pourrais tomber sur un sale type. Elle ne comprenait rien à ce qu'il était en train de se passer, ne comprenait rien à celui qui était en train de lui parler. Pourtant, elle rentrait dans son jeu dans un élan de folie. Je sais, je vis dangereusement, mais c'est pour ce pauvre Dumby. Maintenant que t'es là, je ne crains plus rien, non ? Elle ne se reconnaissait même plus elle même, n'avait jamais eu autant de cran qu'à ce moment là. Mais après tout, elle était venue en Australie pour changer, prendre des risques, et vivre des aventures. C'était peut-être le moment de se lancer. Et comment je dois appeler mon sauveur ? Plus voleur de chien que sauveur jusqu'alors, mais quitte à rentrer dans son jeu, autant le faire bien. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Dim 13 Déc 2020 - 20:37 | |
| Qui me dit que c’est pas ce qui est en train de se passer ? Un type qui m’arrache la laisse de mon chien en pleine nuit, c’est à se poser des questions. Elle est sur la défensive et a toutes les raisons du monde de l’être. Ça amuse Rudy, qui tente du mieux qu’il le peut de la rassurer en lui affirmant qu’il n’est pas un psychopathe, lui, et qu’elle peut le découvrir si elle le souhaite. Le fait qu’elle n’essaie pas de récupérer la laisse et de partir en courant ou de l’envoyer voir ailleurs avec de simples mots ne veut pourtant pas dire qu’elle lui laisse libre accès, non, mais c’est ce qu’il pense, ce qu’il s’autorise à croire. Alors, il poursuit, il lui demande si la bête qu’elle a emmené avec elle pour sa promenade lui appartient ou non. Non, je le garde quelques jours. Ce n’est pas une information dont il avait besoin et pourtant, elle y répond. Il lui demande ensuite son nom. Dumby. Ça le fait sourire, lui aussi, mais il ne fait aucune remarque là-dessus. Pas tout de suite, du moins. Et puis, c’est à elle qu’il s’intéresse ; c’est le cas depuis le départ. Lena. Ce prénom l’intéresse, la femme qui le possède également. Il la dévisage, ne se contente plus de seulement l’observer. Lena, il répète, pour être sûr, pour l’imprégner. C’est la première fois qu’il prononce ce nom, il sait déjà que ça ne sera pas la dernière. Il lui rappelle que, pour une femme, il est dangereux de sortir la nuit. Qu’elle pourrait tomber sur une personne mal intentionnée et ne pas s’en sortir, contrairement à maintenant, face à lui. Je sais, je vis dangereusement, mais c’est pour ce pauvre Dumby. Maintenant que t’es là, je ne crains plus rien, non ? Il ne s’attendait pas à ce qu’elle réagisse comme ça, mais ça lui plaît. Le brun se relève pour lui faire face, ses yeux dans les siens, il s’accroche à son regard, cherche à ce qu’elle s’y agrippe elle aussi. Et comment je dois appeler mon sauveur ? Il est passé de l’être menaçant à celui qui rassure, celui qui protège. Et même s’il ne connaît pas ce rôle-là, il a bien envie d’essayer, d’apprendre : pour continuer de susciter son intérêt. Rudy. Il ne veut pas cacher sa véritable identité. Il l’a déjà fait avec d’autres, il le refera très certainement dans le futur. Mais avec elle, il a bien envie d’essayer de lui montrer son vrai visage dès le départ. J’suis pas vraiment l’genre à sauver les gens mais j’peux essayer. Si on s’casse plus loin, qu’on va ailleurs, il y a moyen qu’le premier venu t’tombes pas dessus. Autrement dit « on peut aller chez moi, ou chez toi, si tu veux ». Mais il doute qu’elle accepte cette proposition-là. Il doute même qu’elle ait compris que ça en soit une. J’te raccompagne ? C’est direct, efficace : c’est la meilleure manière de lui demander sans qu’elle se braque, sans qu’elle le prenne à nouveau comme une menace. Elle peut imaginer un milliard de choses à son sujet et elle sera très probablement proche de la vérité à chaque nouvelle accusation mais ce n’est pas ce soir qu’il lui montrera ces défauts-là. Peut-être demain soir et ceux d’après, si elle accepte.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Ven 18 Déc 2020 - 20:55 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsLena Qu'il répétait comme pour imprégner son prénom dans son esprit, comme s'il voulait l'ancrer en lui, comme si ils risquaient de se recroiser une autre fois et que connaître son prénom lui serait utile. Pourtant elle ne comptait pas le revoir, elle comptait rentrer chez elle dès que possible et ne plus penser à ce soir. Sa curiosité l'avait malgré tout piquée et la blonde se retrouvait à lui demander son prénom. Rudy. Nom d'emprunt ? Sans doute, comme elle même aurait dû le faire. Lena venait d'assister aux plus étranges présentations qu'il lui avaient été données de vivre. Contente de ne pas avoir été volée et agressée jusqu'ici par Rudy, elle se demandait néanmoins où tout ça pouvait les amener ; où lui voulait l'amener. Il devait s'ennuyer pour perdre son temps avec une puritaine pareille. Ses cheveux tirés en arrière, coiffés comme il faut et ses vêtements les plus simples possibles révélaient au monde à quel point Lena n'avait rien d'intéressant à offrir, à quel point elle était naïve et ignorante de tout ce que la vie avait à offrir. Peut-être justement était-ce ça qui attirait le brun ? Ne dit-on pas que le diable à pour seul objectif de corrompre ? J’suis pas vraiment l’genre à sauver les gens mais j’peux essayer. Si on s’casse plus loin, qu’on va ailleurs, il y a moyen qu’le premier venu t’tombes pas dessus. Sauf qu'il était déjà trop tard, qu'il était lui même le premier venu, et qu'elle regrettait déjà de ne pas avoir fui en courant. Bien sûr qu'il n'était pas du genre sauveur au grand cœur, elle l'avait deviné dès les premiers instants. Ne sachant pas quels maux lui attribuer, elle les avais tous imaginés, même les pires. Et même si elle voulait bien rentrer dans son jeu le temps de se faire frissonner, mais elle estimait avoir assouvi ses besoins d'aventure et ne savait désormais plus comment se sortir de cette situation qui ne lui plaisait plus. J’te raccompagne ? Ses instincts primaires revinrent soudain à la surface, et elle n'eut pour seule réaction qu'un pas en arrière. Idiot lorsqu'on sait qu'elle ne s'éloignerait pas plus, se refusant toujours au sacrifice du vieux Dumby. Hm, non, je crois que ça va aller. La blonde avait un air ébahi. Encore une fois, elle se doutait bien que sa question n'en était pas une ; qu'en fait elle n'aurait pas le choix de subir sa compagnie puisqu'il semblait en avoir décidé ainsi. Mais elle était encore assez lucide pour décider de ne pas le laisser la suivre jusqu'à chez elle, au risque de le retrouver devant sa porte un beau jour - ou pire. En même temps, où pouvait-elle aller ? Finalement je vais encore faire un tour par là bas. Dit-elle en désignant la rue dont elle venait d'arriver. Loin d'être crédible, il fallait pourtant qu'elle tente de faire quelque chose pour se débarrasser de lui - et récupérer le chien de sa cliente, au passage. Je voudrais surtout pas te faire perdre du temps, donc... Elle tenta d'approcher sa main de la laisse pour la lui reprendre, se rapprochant forcément de Rudy par la même occasion. Elle agrippa un bout de la laisse alors que lui la tenait toujours fermement. Je peux ? Son ton était discret, elle jouait la timide, car elle savait que prononcées par elle, les questions en étaient vraiment, et que Rudy seul en connaissait les réponses. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Mar 12 Jan 2021 - 18:38 | |
| Une fille comme elle n’a rien à faire avec un homme comme lui. C’est ce que n’importe qui pourrait se dire en voyant la scène de loin, en les voyant discuter, en le voyant la dévorer des yeux, en la voyant éviter au maximum de le regarder. Et pourtant, Rudy n’en a rien à faire de cette pensée-là. Il ressent une attraction, quelque chose d’inexplicable et d’incontrôlé, envers Lena. Habituellement, un non reste un non et il ne se pose pas plus de questions. Mais là, il sait qu’elle n’a pas l’habitude, ce n’est pas une de ces jeunes femmes qu’il croise dans un bar et qu’il essaie de draguer – qui en ont vu passer d’innombrables, comme lui. Là, ils sont au milieu de la rue, au milieu de la nuit, et elle promène un chien. Elle n’a rien des autres, rien qui l’intéresse normalement, tout qui l’attire ce soir. Sauf que la réciproque n’est pas vraie, qu’elle n’a pas envie d’être là, qu’elle veut rentrer chez elle. Il ne l’entend pas de cette oreille et lui partage du mieux qu’il le peut, en faisant en sorte de ne pas sembler menaçant malgré tout. Hm, non, je crois que ça va aller. Elle arrive encore à refuser. Elle fait un effort, il arrive à le voir. Est-ce qu’il la terrorise tant que ça ? Finalement je vais encore faire un tour par là-bas. Le problème, avec cet aveu, c’est que ça ne colle pas avec la proposition de Rudy : il lui a demandé s’il pouvait la raccompagner pour que personne ne lui tombe dessus. Si elle prolonge sa promenade, la proposition tient toujours. Je voudrais surtout pas te faire perdre du temps, donc… Elle se rapproche de lui et pose sa main sur la laisse, qu’il ne compte pas délaisser. Je peux ? Il fronce légèrement les sourcils mais n’a aucun geste de plus. Il ne peut pas vraiment lui refuser de reprendre possession du chien, à vrai dire, il ne lui appartient pas et il n’est pas à l’abri qu’elle se mette à crier à l’aide. Ça le dérangerait pas mal, que ça arrive, parce qu’il n’a pas trop envie d’être arrêté ce soir, ni même de devoir des comptes à n’importe quel con qui se prendrait subitement pour un super-héros. Si ça peut t’faire plaisir. Il dit ça dans un souffle, relâche la laisse pour qu’elle la reprenne. Il n’a aucun intérêt à refuser et à la garder, déjà qu’elle ne veut pas de sa compagnie, il ne veut pas en plus avoir la sensation de lui mettre un couteau sous la gorge. Tu vas m’laisser partir avec toi ou tu vas faire mine d’me montrer un éléphant rose pour partir en courant après ? Parce que j’suis pas assez défoncé pour voir des animaux colorés c’soir. Et que j’te veux pas d’mal, vraiment. Et là, il lui vient en tête une phrase qu’il aurait mieux fait de garder pour lui. Si j’l’avais voulu, ce serait déjà fait. Ce n’est sûrement pas comme ça qu’il va réussir à la rassurer. Le brun sort son paquet de cigarettes et lui tend. Tu fumes ? Il demande, avant de secouer son visage et d’en prendre une pour lui puis de le ranger. Non, évidemment qu’tu fumes pas. Il sort ensuite le briquet et l’allume, recrache la fumée à l’opposé d’elle. J’suis clairement pas l’gendre parfait, j’ai pas la tête de l’emploi – peu importe l’emploi en plus – et j’suis pas très bien fringué maiiiis… j’suis pas méchant. Il hausse ses épaules. Lui qui n’est habituellement pas très bavard n’est pas gêné de se justifier sur ses intentions, encore et encore. T’as l’air d’rien connaître, ça m’fait presque d’la peine. Viens, j’t’emmène quelque part où on peut s’amuser. Il oublie son plan de la raccompagner, celui où, à la base, il ne veut que son bien : pourquoi ne pas lui montrer qu’on peut s’amuser ; qu’on doit s’amuser à son âge ?
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Lun 25 Jan 2021 - 14:08 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsDans une tentative désespérée de récupérer un peu de contrôle, elle approcha sa main de celle de Rudy pour attraper la laisse du chien, lui demandant calmement de la récupérer. Si ça peut t’faire plaisir. C'est presque un sentiment de pouvoir qui grandissait en elle, fière d'avoir osé essayer de reprendre la situation en main. Jamais elle n'aurait cru même réussir à lui adresser la parole, alors le geste de reprendre cette laisse, aussi insignifiant qu'il aurait était pour d'autres, lui procurait une sensation encore inconnue. Merci. Sa légendaire politesse reprit le dessus, prouvant bien que son élan de bravoure n'était qu'une façade. En réalité, s'il avait refusé, elle aurait paniqué et l'aurait sans doute remercié aussi passant pour l'idiote qu'elle était. Aucune répartie intéressante n'étant disponible dans son vocabulaire de toute façon. La blonde tentait malgré tout une énième échappatoire pour se défaire de la compagnie de Rudy, en vain. Tu vas m’laisser partir avec toi ou tu vas faire mine d’me montrer un éléphant rose pour partir en courant après ? Parce que j’suis pas assez défoncé pour voir des animaux colorés c’soir. Et que j’te veux pas d’mal, vraiment. Elle pinça ses lèvres, indécise, perplexe. Si j’l’avais voulu, ce serait déjà fait. Elle eut un léger mouvement de recul, ses sourcils haussés. Elle était à la fois effrayée et surprise de sa réflexion : s'il essayait de la rassurer, il faut dire qu'il n'était pas très doué dans ce domaine. Mais Lena comprenait bien qu'elle ne s'en débarrasserait pas si facilement. Elle qui avait eu un espoir de s'échapper se retrouvait contrainte de sa présence, et se contenta pour unique réponse d'acquiescer d'un mouvement de tête. Après tout, si l'écossaise voulait bien croire le brun sur quelque chose, c'était sur le fait qu'il aurait déjà eu largement le temps de lui faire tout le mal qu'il voulait sans qu'elle ne sache faire résistance. A croire qu'il disait bien la vérité en clamant ne pas vouloir lui faire de mal. A croire qu'il était plus rassurant qu'elle ne le pensait - ou qu'elle était devenue vraiment folle. Tu fumes ? Elle n'eut même pas le temps de refuser que déjà il retirait sa main, rangeant son paquet de cigarettes dans sa poche. Elle le regardait, ébahie, comprenant bien que son apparence trahissait parfaitement son innocence. Non, évidemment qu’tu fumes pas. Qu'il lançait avant d'allumer la sienne. J’suis clairement pas l’gendre parfait, j’ai pas la tête de l’emploi – peu importe l’emploi en plus – et j’suis pas très bien fringué maiiiis… j’suis pas méchant. Elle le regardait, fascinée, ne comprenant pas pourquoi il prenait le temps de lui parler et de lui raconter tout ça ni pourquoi il s'obstinait à vouloir accaparer son attention. Non, elle ne comprenait définitivement pas dans quel jeu sournois il s'était décidé à l'embarquer. Son regard restait fixé sur Rudy. Elle était incapable de s'en détacher jusqu'au moment où ses yeux à lui croisaient les siens, qu'elle baissait aussitôt sur le chien qui attendait tranquillement assis. T’as l’air d’rien connaître, ça m’fait presque d’la peine. Viens, j’t’emmène quelque part où on peut s’amuser. Il devait avoir une bien piètre image d'elle pour l'imaginer si perdue, quoi qu'elle ne se rendait pas bien compte qu'on voyait à des kilomètres qu'elle n'avait jamais rien vu de la vie Lena. Elle comprenait bien qu'elle avait raté des tas de choses, qu'elle avait du retard sur tout ou beaucoup de choses. Elle voyait bien, la blonde, que le monde qui l'entourait était bien loin de celui dont on lui avait parlé pendant des années, qu'elle n'était peut-être pas faite pour lui. Elle ne pensait pourtant pas être si en décalage que ça avec la réalité. Il faut dire qu'elle s'était vite habituée à de nombreux aspects de sa nouvelle vie en Australie. Alors elle s'octroyait le droit à une réflexion, qu'il jugerait sans doute idiote - qu'importe. Je ne suis pas sûre qu'on ait les mêmes façons de s'amuser. En tout cas, les tiennes, je ne suis pas sûre de les connaître. Ou elle n'avait pas envie de le savoir ? En tout cas, elle était même plutôt persuadée d'être à l'opposé de ses centres d'intérêts. Pourtant, elle sentait ici une opportunité de découvrir un monde qui lui était inconnu : son monde à lui. Mais je devrais peut-être me laisser tenter. De toute façon, encore une fois, je ne crois pas avoir le choix. Et si ce qu'elle avait vécu jusqu'à aujourd'hui ne lui convenait plus désormais, elle se laisserait un peu tenter par un peu de sa vie à lui. Peut-être que rien n'était dû au hasard, finalement. Peut-être qu'il était ce dont elle avait besoin. Elle prit tout son courage pour faire un pas en avant - qu'elle regrettait presque déjà. Alors, on va où comme ça ? | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Lun 15 Fév 2021 - 22:50 | |
| Elle a quelque chose d’attirant. Il ne saurait pas dire quoi. Elle est différente et ça lui plaît, à Rudy. Elle semble innocente et il adore ça. Ce n’est pas comme dans ces histoires écrites par des adolescents en rut, là où la pauvre et timide jeune fille rencontre le grand méchant loup. C’est différent, c’est la réalité : c’est Rudy, c’est Lena, et ça lui plaît. Elle tente quand même de se débattre, de trouver des parades auxquelles il ne s’attendait pas. Mais elle n’est pas de son monde, elle ne sait pas que le Mexicain pense avoir déjà tout vu, tout vécu. Il pense être le plus grand savant, dans la nuit, et que tous les autres sont à sa merci. C’est probablement faux pour une bonne partie de la population de Brisbane mais ce soir, avec Lena, c’est on ne peut plus vrai. Elle arrive quand même à récupérer la laisse, il la lui rend sans réelle joie apparente. Merci. C’est cette politesse qui le fait sourire, de nouveau. Elle ne peut pas s’en empêcher, pourtant elle n’a pas à le faire : dans la vraie vie, hormis elle, personne ne remercierait quelqu’un de lui rendre ce qui lui appartient à la base. Finalement, Rudy fait ce qu’il sait faire le mieux : il tourne autour du pot, prendre le temps de réfléchir à voix haute pour essayer de la comprendre, essayer de comprendre l’attraction qu’il ressent. Il ne se serait pas arrêté aussi longtemps sur une autre, il le sait. C’est elle, l’aura qu’elle dégage, quelque chose que toutes les femmes qu’il a pu croiser ce soir – et ceux d’avant – n’ont pas. Ce n’est pas le dernier parfum à la mode, ni la blondeur de ses cheveux, ni le bleu de ses yeux, ni rien de tout ce qu’il peut voir de son physique. C’est elle, dans son entièreté, et il est prêt à creuser pour comprendre d’où ça lui vient. La question est la suivante : l’est-elle, elle ? Je ne suis pas sûre qu’on ait les mêmes façons de s’amuser. En tout cas, les tiennes, je ne suis pas sûre de les connaître. Sûr, lui, il l’est. Il peut y mettre sa main à couper : non, elle ne connaît pas sa manière de s’amuser. Elle est issue d’un autre monde, ça se voit au fond de ses yeux, ça se voit sur sa coiffure trop parfaite – malgré l’heure – ça se voit car elle s’appelle Lena, qu’il s’appelle Rudy, et qu’ils ne sont pas du même monde depuis leur naissance. Mais je devrais peut-être me laisser tenter. De toute façon, encore une fois, je ne crois pas avoir le choix. Ça, il ne s’y attendait pas. Mais c’est là qu’elle se trompe, dans son discours : elle a le choix, il faut simplement que celui-ci plaise également à Rudy. Alors, on va où comme ça ? Il fronce les sourcils, il essaie de trouver le piège, de comprendre ce qu’il se passe dans sa tête. De gamine apeurée, elle est celle qui fait un pas en avant, qui exige de le suivre. C’est lui qui lui a proposé, certes, mais il ne pensait pas qu’elle accepterait. Il jette un coup d’œil au chien, puis la regarde de nouveau. Et lui, qu’est-ce que t’vas en faire, là-bas ? C’est sa parade, il la sait faible mais c’est sa seule excuse pour – finalement – refuser sa venue. Et que personne ne lui demande pourquoi il a changé d’avis, pourquoi il refuse et pourquoi il a ce désir puissant de la préserver : il ne sait pas. Mmmh, on va, du coup… Il se gratte la tête et se met devant elle, ses yeux dans les siens, après avoir fait un bon pas en avant pour réellement en être proche. Chez toi. Je te raccompagne, j’te l’ai dit. Devant l’air songeur de la blonde, il hausse ses épaules. Tu découvriras bien vite que j’suis plein de surprises. Il l’est, de surprises et de contradictions. Dites-lui blanc, il exigera noir. Dites-lui noir, il voudra du blanc. Offrez-lui les deux et il sera attiré par le gris. Il veut tout, tout le temps : le monde entier finira par lui appartenir, un jour, quand il aura terminé sa crise existentielle. Si tu veux j’te raccompagne qu’à ta rue et j’me barre avant que t’ailles chez toi, comme ça j’vois même pas l’appartement et tu m’dis pas que t’as peur que j’vienne te cambrioler. Deal ? Car il doit y avoir de ça, aussi : elle ne veut pas qu’un parfait inconnu voit où elle vit, ce qui est normal. Normal ne correspond pas à Rudy, mais il veut bien essayer d’accepter l’idée, il le veut tellement qu’il lui propose même une solution.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Mer 17 Fév 2021 - 21:25 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsElle s'était souvent imaginé à quoi ressemblerait sa vie une fois sortie de l'école, une fois libérée de l'emprise de son père et des personnes a qui il avait confié son éducation. Embrigadée dans des croyances qu'elle avait du mal à contredire aujourd'hui malgré toute la souffrance qu'elles lui avaient apporté, Lena ne savait pas ce que lui réserverait son nouveau départ à l'autre bout du monde. Et si elle s'était attendue à des nouvelles rencontres, à des nouvelles expériences et des nouvelles difficultés, elle savait que cette vie là serait meilleure parce qu'elle en choisirait les moindres détails, qu'elle en serait la seule décisionnaire. Elle n'avait pas pris en compte que dans ce monde extérieur qui s'ouvrait à elle, personne n'est jamais maître de son destin. D'abord déçue de comprendre cette réalité, elle en voyait aujourd'hui tout l'intérêt. Si elle avait choisi le déroulement de cette soirée, Rudy n'aurait pas fait partie du tableau et elle n'aurait jamais découvert comme le danger pouvait être palpitant. Elle n'aurait jamais senti l'adrénaline qui était montée en elle alors qu'elle avait essayer - à son niveau - de s'opposer à lui en reprenant possession de Dumby. Elle n'aurait jamais découvert que tout n'est pas aussi nuisible qu'aux premiers abords. Et alors qu'elle acceptait enfin de suivre le brun, son regard s'encrait dans le sien. Et lui, qu’est-ce que t’vas en faire, là-bas ? Les yeux de Lena se posaient sur la vieille bête qui patientait collée à ses pieds. Elle se contentait d'hausser ses épaules, ne comprenant pas bien où il voulait en venir. Regrettait-il déjà de lui avoir adressé la parole, d'avoir perdu son temps avec l'ingénue qu'elle était ? Sans doute n'était-elle pas assez intéressante, sans doute ne valait-elle pas que quiconque s'intéresse à elle. C'est l'impression que Rudy lui donnait désormais. Je ne sais pas, vu que je ne sais pas ce que c'est là bas. Elle insistait bien sur ses derniers mots, perdue entre l'excitation de découvrir l'endroit dans lequel il voulait l'emmener et la frayeur qu'on retrouve son corps dans une poubelle le lendemain matin. Pour une fois dans sa vie, il faut croire que la curiosité l'emportait sur ses craintes, sur sa raison. Mais c'est tout le mystère qui entourait Rudy qui rendait la situation bien plus attrayante qu'elle n'aurait dû être, c'est la menace qu'il constituait qui intriguait la blonde. Ses yeux le rendaient plus attirant qu'effrayant, sa voix était déjà ancrée dans sa tête. Ce sont tous ces éléments qui, désormais gravés consciencieusement dans la mémoire de Lena, lui donnaient envie d'en savoir plus et de se laisser submerger par le danger qu'il représentait, sans qu'elle ne comprenne pourquoi. Mmmh, on va, du coup… Le suspens était intenable, elle gardait néanmoins le silence, pendue aux lèvres du jeune homme. Chez toi. Je te raccompagne, j’te l’ai dit. Une légère déception se lisait désormais sur le visage de l'écossaise, à sa grande surprise. Ah.. bon. Elle venait d'être freinée dans ce qui aurait pu être sa première grande aventure en Australie, celle qui aurait définitivement marqué une coupure avec son ancienne vie, celle dont elle rêvait inconsciemment depuis des années. Tu découvriras bien vite que j’suis plein de surprises. Lena ne voyait pas bien comment elle pourrait le découvrir, leur rencontre fortuite ne risquant pas de se reproduire. Ils n'évoluaient pas dans les mêmes mondes, ça se voyait, ils le savaient. Et, bien qu'ayant eu un élan de folie qui l'aurait amenée à suivre ce parfait inconnu dans on-ne-sait quel endroit, il fallait se rendre à l'évidence : c'était bien mieux qu'elle reste dans son ignorance. Je vois pas bien comment je pourrais le découvrir, du coup. Elle se mordait les lèvres, regrettant déjà ses paroles. Le but n'était pas de l'énerver, il y avait toujours un risque qu'il se révèle être un parfait psychopathe. Mais elle avait du mal à comprendre la réaction du brun, ayant toujours cru que le fonctionnement des hommes tournait autour de leurs souhaits et de la façon dont les femmes pouvaient se démener pour les assouvir - c'est ce qu'on lui avait appris. Hésitante, elle comprenait bien que le problème initial venait d'être remis sur la table : aussi cordial avait-il pu être ce soir, il était hors de question que Rudy ne puisse retrouver où Lena vivait. Si tu veux j’te raccompagne qu’à ta rue et j’me barre avant que t’ailles chez toi, comme ça j’vois même pas l’appartement et tu m’dis pas que t’as peur que j’vienne te cambrioler. Deal ? Elle secouait machinalement la tête, peu convaincue de la solution. Si elle avait le cran, elle lui aurait dit qu'elle voulait rentrer seule, mais elle ne l'avait pas. Je comprend pas. Qu'elle lançait sans réfléchir. Rien ne t'empêchera de retrouver où je vis et de me cambrioler plus tard. Je suis presque sûre que si t'as vraiment envie de le faire, tu trouveras un moyen de le faire. C'est comme ça qu'elle voyait le genre d'hommes qui trainaient dehors la nuit pour accomplir leurs méfaits ; c'est encore comme ça qu'elle le voyait, Rudy. Du coup on est coincés. Peut-être que finalement la situation lui plaisait un peu - juste un peu. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | (#)Sam 20 Fév 2021 - 22:49 | |
| Elle accepte de le suivre dans ses plans foireux. Il doit se le répéter bien dix fois dans son crâne tant il peine à y croire. Depuis leur rencontre il y a quelques minutes, la seule chose qu’elle sait faire est d’être sur la défensive, d’agir avec lui comme s’il avait décimé tout un village et qu’elle était sa prochaine victime. Et d’un coup, par on ne sait quel miracle, elle veut bien le suivre là où il veut aller, peu importe l’endroit. Il n’arrive pas à comprendre ce qu’il a fait ou dit pour qu’elle change d’avis mais, bizarrement, ça déplaît au Mexicain qui préfère déjà mettre un terme à l’entrevue. Il contourne en lui exposant un problème auquel elle n’a vraisemblablement pas pensé : que fera-t-elle du chien, une fois loin, avec lui ? Je ne sais pas, vu que je ne sais pas ce que c’est là-bas. Elle doit imaginer tout un tas de choses, fantasmer sur quelque chose d’irréel et dangereux alors qu’il veut juste l’emmener là où il traîne avec quelques gars. Rien qui l’effraiera ou lui créera un traumatisme à vie, mais quand même. Des femmes aux joints, ces types veulent tout faire tourner, et il n’est pas vraiment sûr qu’elle soit suffisamment ouverte à ce monde-là pour y aller. Et à bien y réfléchir, il se répond lui-même à la question : non, elle ne l’est pas. Alors il lui dit où ils vont aller : chez elle, comme il l’avait prévu dès le départ. Il peut lire la déception sur son visage, l’entendre dans sa voix également. Ah.. Bon. Ça le fait légèrement sourire, mais il ne sait vraiment pas quoi en penser : elle ne devrait pas réagir de la sorte. Il lui dit qu’il est plein de surprises, qu’elle finira par le découvrir, ayant pour certitude qu’ils se reverront. Elle, elle ne le sait juste pas encore, voilà tout. Je vois pas bien comment je pourrais le découvrir, du coup. Il hausse ses épaules. Cogite un peu, tu trouveras. Qu’il dit, avant de lui exposer son plan pour la ramener chez elle : elle n’a pas l’air d’apprécier, plutôt de détester, s’il doit mettre un mot sur ce qu’elle en pense. Je comprends pas. Rien ne t’empêchera de retrouver où je vis et de me cambrioler plus tard. Je suis presque sûre que si t’as vraiment envie de le faire, tu trouveras un moyen de le faire. Il n’arrive pas à comprendre qu’elle accepte de le suivre quelque part mais qu’elle refuse qu’il la raccompagne chez elle. Chez elle, elle a tout à sa disposition, elle connaît les lieux, sait comment agir. L’inconnu devrait l’effrayer plus que cela, il n’arrive pas à assimiler qu’elle puisse avoir un sens des priorités aussi nul. Du coup on est coincés. Il ne sait pas pourquoi cette dernière phrase lui fait autant d’effet. Ah ouais, coincés ? Il demande, alors qu’il se rapproche d’elle d’un pas. J’veux pas te cambrioler. J’suis p’t’être pas un bon gars mais j’fonctionne pas dans ces trucs-là. L’vol, j’aime pas ça. Il ne supporterait pas qu’on le fasse à sa famille, qui possède déjà peu de chose, alors s’applique à ne pas le faire lui-même. Lui, il erre dans le deal et la consommation, c’est déjà beaucoup pour un seul homme. Il s’approche encore d’un pas. À quel point on est coincés ? Il demande. Il joue avec elle, beaucoup de femmes aimeraient ça, il sait que elle ne doit pas particulièrement apprécier. Elle doit se sentir en danger, plutôt, pas à sa place. C’est ce qu’elle recherchait, non ? Rudy se permet un mouvement, peut-être le premier de trop, celui qui fait qu’il ne pourra plus reculer : son bras enroule sa taille et sa main s’agrippe au tissu de son vêtement, dans son dos. Il termine l’approche d’un dernier pas pour être presque totalement collé à elle alors que ses lèvres rejoignent les siennes : un baiser qui n’a rien de consenti, rien de romantique, rien de ce qu’elle désirait en le rencontrant. Et pourtant lui offre, lui impose. Elle a dit qu’ils étaient coincés, il en joue. Il est sûr qu’elle ne voudra pas qu’il la raccompagne chez elle, pour le coup, mais peu importe. Il a agi plus vite qu’il n’a pensé, et c’est déjà trop tard pour reculer.
@Lena Edwards |
| | | ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500 TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
RPs TERMINÉS : liste à jour ici.
AVATAR : angèle van laeken. CRÉDITS : vesna (avatar) harley, ssoveia (gifs) heroïne (illustration) DC : mateo alvarez & romeo stanford. PSEUDO : symphonie. INSCRIT LE : 12/06/2020 | (#)Lun 1 Mar 2021 - 14:28 | |
| take me back to the night we met @Rudy Gutiérrez & Lena EdwardsOn dit que les opposés s'attirent et c'était sans doute pour ça que Lena avait une certaine fascination envers Rudy. Il était tout ce qu'elle n'était pas elle. Lui il était libre, indomptable, dangereux. Elle n'était que l'agneau que ce loup pouvait dévorer à la seconde où il l'aurait décidé. Elle n'était qu'une pauvre âme perdue dans un monde encore trop vaste et dur pour elle. Alors elle n'avait aucune idée de comment elle devait réagir face à lui. Avoir peur semblait désormais désuet, elle avait plus ou moins prit conscience qu'il ne lui voulait pas de mal - en tout cas pas maintenant, pas ici. Elle tentait donc une approche différente en acceptant de le suivre dans son monde à lui, par dépit plus qu'autre chose, pour éviter qu'il ne puisse la retrouver : un échec cuisant visiblement. Dans tous les cas il semblait lui promettre qu'ils se reverraient un jour, elle ne comprenait pas bien comment. Cogite un peu, tu trouveras. Elle secouait la tête doucement, ne voyant pas où il voulait en venir alors même qu'elle ferait tout pour qu'il ne puisse pas la suivre, le risque qu'il n'essaie de lui faire du mal ou de la voler n'étant pas tout à fait exclu malgré tout. Il insistait à nouveau pour la raccompagner, elle, tremblotante et hésitante, répondait tant bien que mal, tentait de faire face aussi bien que possible. Ah ouais, coincés ? Tandis qu'il faisait un pas vers elle, elle en faisait un en arrière. Ses yeux ne cessaient de contempler son visage, d'essayer d'en analyser l'expression sans y parvenir. J’veux pas te cambrioler. J’suis p’t’être pas un bon gars mais j’fonctionne pas dans ces trucs-là. L’vol, j’aime pas ça. Elle se demandait à quel point il n'était pas une bonne personne, à quel point il avait pu aller loin, ce qu'il avait bien pu faire dans sa vie. Si le vol n'était pas de son genre, qu'est-ce qui l'était ? Elle craignait d'en découvrir la réponse, figée sur place alors qu'il s'approchait encore un peu plus. Peut-être que la peur qu'elle avait ressenti était légitime, peut-être qu'elle n'aurait pas dû rentrer dans son jeu une seule seconde. Elle aurait mieux fait de fuir comme prévu, comme son instinct lui avait dicté à la seconde où Rudy lui avait adressé la parole. À quel point on est coincés ? Il posait la question sans attendre aucune réponse ; elle n'en aurait pas eu dans tous les cas. Parce que coincée, elle l'était réellement. Elle était paralysée en réalité. Et alors qu'elle pensait que rien ne pouvait être pire que ça, le brun s'approchait encore, passant son bras autour de sa taille. Par réflexe, ses mains se posèrent sur son torse pour tenter de le repousser, pour retrouver une distance entre eux, mais elle en était incapable. Il la tenait contre elle, elle ne pouvait contrer sa force. Et alors qu'elle aurait dû crier à l'aide, essayer de se débattre de toutes ses forces, elle était immobile, à sa merci. Elle n'était plus qu'une poupée de chiffon entre ses mains. Si elle était venue en Australie pour vivre sa vie et faire ses propres choix, Rudy venait de lui prouver qu'elle n'était maître de rien : les décisions étaient siennes ce soir, elle n'avait d'autre choix que de les subir. Alors elle était là sans l'être, elle le laissait l'embrasser sans comprendre pourquoi il ferait ça, pourquoi il s'amusait d'elle ainsi. Pour lui elle ne devait être qu'une femme parmi tant d'autres ; pour Lena il était le premier dont elle était si proche physiquement. C'était son premier baiser, et elle n'aurait jamais cru que ça se passerait de cette façon : dans la panique, avec un geste de recul à peine leurs lèvres se séparaient enfin. Des secondes lui parurent une éternité alors qu'elle était figée face à Rudy, incapable de réagir à ce qu'il venait de se passer. Et alors qu'il semblait fier de son geste idiot, elle fit encore trois pas en arrière avant de complètement se retourner pour fuir d'un pas rapide, espérant qu'il n'ait pas décidé de continuer sa mascarade. Elle rentrait chez elle terrorisée, mais aussi fascinée de l'intérêt qu'on venait de lui porter. | | i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ? |
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| | | | | | | | take me back to the night we met (lendy) |
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