When the crow meets the bride. And you are one of the best meetings I can do is this.
J'étais bien la première personne a se douté que l’adrénaline peut nous faire faire des choses assez folle, je savais qu'à l'hôpital il ne fait et ne pas avoir froid aux yeux mais surtout avec des montés d'adrénaline assez surprenant. Donc je ne me doute bien que pour le moment tu étais encore tout tendus. Je voyais bien que tu avais hésité a entré, surement par peur que mon mari soit là, mais non sinon il serait encore debout. Je sors les clefs de mon sac puis j'ouvre la porte. J'entre en première mais une fois que tu es entré toi aussi je referme la porte juste derrière toi. Je souris doucement, étant heureuse que tu sois rentré juste après moi. « Bien sur que ça ne me dérange pas sinon je ne t'aurai pas dit d'entré. Installe toi vas y. » l'appartement était constitué d'un salon/salle à manger avec une cuisine a l'américaine. Quand je te fais cette proposition je te fais signe avec la tête de t'asseoir. C'était assez simple et neutre chez nous. Mais, j'entends rapidement un drôle de bruit débouler de la chambre, c'était mon chat Duck qui arrive comme une furie, il part totalement du cul quand il tourne pour venir nous rejoindre. Je ne peux pas m'empêcher de rire et de le prendre dans mes bras pour venir alors lui donner quelques caresses. Il me faisait rire ce chat a vrai dire. Un peut imbécile sur les bords, comme on vient de voir mais très câlin. Quand je le dépose a terre, il vient alors s'approcher de toi et s’aplatir, se frotter littéralement contre tes jambes en ronronnant. Quand je vois la scène je ne peux m'empêcher de rire a nouveau, un rire amusé. Puis je dépose alors mon regard sur ton visage en ayant un large sourire « Me reposer ou tu veux plutôt dire tourné en rond dans mon lit a ne pas vouloir dormir trop profondément par peur de ne pas entendre mon biper s'il y a quoi que ce soit a l'hôpital ? » C'est juste une partie de vérité, je ne voulais aussi pas rester toute seule. Depuis le début tu ma montré que tu pouvais être présent et ça me soulageait. Je retire alors mon sac de mes épaules pour le déposer sur un petit meuble a l'entré. Je sors de celui-ci mon téléphone et le dépose a coter de mon biper qui était déjà sur le petit bar qui sépare la cuisine. Je me retourne vers toi en me pinçant doucement mes lèvres « Dit moi si c'est trop indiscret mais... Que t'es t'il arriver a ta jambe ? C'est vrai que c'est un peut intriguant et que si je peux t'aider voilà... » je hausse doucement des épaules. Tu n'étais pas obliger de répondre a cette question car elle peut être trop indiscrète pour ce soir je pouvais très bien le comprendre. Mais toi tout entier m'intrigue. Je voulais savoir plein de chose et j'en allais surement en avoir l'occasion. Puis après cette question gênante je me dirige derrière le petit bar pour aller me diriger vers la bouilloire je devais prendre un thé, oui je ne buvais pas trop de café sauf lors de nuit de garde assez longue. Je viens m'en préparé puis, je me souvient qu'au bar tu buvais une bière. J'ouvre alors le frigo puis en sort une, la lève un peut plus haut pour que tu la voit et sourit. « Tu en veux une ? » Je me doute fort que tu puisses dire non mais je préfère te proposer avant de te l'apporter.
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Duck était un chat assez bête mais très affectueux. Une fois que tu lui a fait des caresses il monte rapidement sur le fauteuil qui est non loin du canapé, il avait l'habitude d'aller a cette endroit. Bien sûr je t'écoute attentivement et quand tu me parles de ses personnes qui te sont tombés dessus je fronce doucement les sourcils. Certes tu les avais provoquer mais ce n'était pas judicieux de t'être tomber dessus comme ça. Je n'allais pas te juger, tu es comme tu es et personne n'y changera rien. Nous avons notre propre caractère et par moment on ne sait pas vraiment ce taire puis il nous arrive certaine conséquence grave. Je me pince doucement les lèvres, par moment je devrais apprendre a me taire mais, au moins tu te confis a moi. Ayant mon regard sur ta personne je réplique tranquillement « Si un jour tu as besoin de quoi que ce soit. Si tu as l'impression d'avoir des douleurs vieille comme le monde qui reviennent tu m'appelle. Les parties où ils t'ont touchés sont très vital surtout les vertèbres. J'ai se qui faut pour soulager ça et tu n'hésite pas. » Je prends alors ma tasse entre mes mains en même temps continuant de te regarder. Je souffle doucement sur le liquide chaud pour venir boire une petite gorgé, pour un thé qu'il fait chaud faut être fou mais j'aimais ça. Mais aussi, il ne faut pas laisser traîner des vieilles blessures qui peuvent être soigner immédiatement en faite. Je savais trop bien ça, surtout, quand on voit les patients dans des états pitoyable après ça. Bien sûr je réplique. « Et si un jour tu te retrouve a l'hôpital pour quoi que ce soit tu me demande. Pédiatrie ou non je viens. Puis je suis au soin intensif en ce moments et ça pour un temps indéterminé encore. » Il est vrai que je navigue beaucoup entre les services. Je savais que ce n'était pas très idéale mais fallait bien ou remplacer des collègues ou, s'occupé de personne qui te demande. Malgré tout, ça ne me dérange pas. Il était vrai que par moment, a cause de ça je travail jour et nuit ce qui peut fatigué. « Quand est-ce que ça t'es arriver ? » Avec se que tu me raconte j'en avais vaguement entendus parler, parce qu'il est vrai que nous les infirmières nous parlons beaucoup entre nous. Et ça, il me semble que je m'en souviens qu'une amie m'en parler. Je quitte la dit cuisine pour venir me placer a t'es coter, je dépose ma tasse sur le comptoir puis je te regarde dans les yeux, je viens dépose mes mains sur tes bras pour que tu me fasse face toi aussi. T'es paroles me font sourire, non pas parce que je trouve stupide bien au contraire je t'en suis reconnaissante, très peut aurait fait ça. Je viens doucement dépose ma main sur ta joue en gardant mon regard plonger dans le tien. « La stupidité ce n'est pas toi qui la porte mais eux. C'est eux qui mon chercher et toi tu n'as fait que me défendre d'accord ? Ne te sens pas stupide car tu ne l'ai pas du tout. » Je voulais te rassuré au maximum et te faire oublié cette impression de stupidité que tu as en toi car ce n'était pas vrai. Je viens doucement caresser ta joue de mon pouce en souriant, puis, je retire doucement celle-ci. Je viens passer mes deux mains dans ma chevelure pour la remonter en hauteur et pour les attachés en queue de cheval. Je laisse le reste retomber. J'étais plus conciliante sur beaucoup de chose, et, a présent j'étais capable de partir en pleine nuit si tu m'appelle et de venir à toi, t'aide, te soigner ou même te tenir compagnie.
Daniel s’en était plutôt bien sorti avec cette agression. A chaque fois, il se disait que ça aurait pu être bien pire, que son état de santé aurait pu ne pas s’améliorer du tout et qu’il se serait retrouvé cloué dans un fauteuil toute sa vie. Mais ces types n’y étaient pas allés assez fort, et d’ici peu de temps, l’américain serait capable d’abandonner sa béquille une bonne fois pour toute. Avoir vécu au crochet de ses parents pendant plusieurs semaines l’avait rendu malade, il avait passé l’âge d’avoir besoin de leur assistance, mais c’était nécessaire, sachant qu’il ne se voyait pas demander ça à des amis. Ils avaient quitté Tokyo en hâte pour venir ici, et Daniel leur en était plus que reconnaissant. Cependant, aujourd’hui, ils n’avaient aucune idée de ce qui se passait dans la vie de leur fils, et mieux valait qu’ils ne le sachent jamais. Daniel n’était pas un excellent menteur, mais il suffisait que le sujet ne soit jamais abordé pour qu’il n’ai pas à lutter contre l’envie d’être sincère. C’était difficile de ne pas en parler au quotidien, il ne pouvait partager ça qu’avec Crash, mais ça ne comptait pas pour lui. Peut-être qu’il arriverait à aborder le sujet avec quelqu’un d’autre un jour… Liv se montrait bienveillante avec lui, elle lui proposait de l’aide au cas où il en aurait besoin. Daniel trouvait ça très généreux de sa part, et sourit doucement en regardant la jolie rousse. « Je n’y manquerais pas, merci d’être aussi gentille avec moi… » A sa question, il haussa les épaules. Il n’avait pas eu ce réflexe de compter les jours, la date exacte de son accident. Il s’en fichait pas mal et préférait ne pas y penser. S’il avait agit en sens contraire, il serait probablement devenu fou, vu le temps qu’il avait passé à tenter de se remettre debout sur ses jambes. « Quelques semaines… suffisamment pour que je ne supporte plus la position assise. » Il sourit timidement et baissa les yeux sur sa bière. C’est vrai qu’à l’heure actuelle, il se délectait de marcher, et avait du mal avec le fait de devoir se poser. Il préférait se fatiguer à rester debout plutôt que de rester des heures sur une chaise. Il avait assez donné comme ça…
Liv fit le tour du comptoir de la cuisine pour venir du côté de Daniel. Elle posa ses mains sur les bras de ce dernier pour qu’il se tourne face à elle. Lorsque la main de la rousse entra en contact avec son bras gauche, il eu un léger mouvement de recul, dû à la douleur d’un hématome. Il grimaça discrètement puis leva les yeux vers la demoiselle, au moment où elle posa sa main sur sa joue. L’américain resta figé face à ce geste, et sentit ses joues chauffer. Ce qu’elle venait de dire le rassurait, et il sourit doucement en la regardant dans les yeux. Elle caressa sa peau avec délicatesse, ce simple geste en lui-même était apaisant. « T’es vraiment une fille bien Liv… » dit-il en baissant les yeux. Il n’avait eu droit à de compliments depuis longtemps, et de toute façon, il avait du mal à les accepter. « Pourquoi tu es si gentille avec moi ? » demanda-t-il en la regardant dans les yeux. « Je veux dire… je ne suis qu’un mec banal, tu aurais très bien pu m’ignorer ou… j’en sais rien. » Il haussa les épaules et s’humecta les lèvres. « J’ai rien d’exceptionnel… et puis je ne suis pas un mec bien dans le fond. »
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Quand tu me parles de ton séjour a l'hôpital je ne m'en souviens pas, mais surtout on ne l'a pas du m'en parler en faite. Mais c'est vrai qu'on se dit tout en générale. Si je te propose ça c'est que je veux vraiment venir en ton aide, je ne veux pas te laisse ainsi mais surtout, je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit a cause de ça. C'était des choses graves avec les quels il ne faut rire. Puis je réplique en souriant. « C'est normal d'accord ? Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. » mais nous passons rapidement ce sujet, car parler d'un moment de notre vie qu'on ne veut pas repenser, je le comprends. C'était aussi une des raisons que je suis venu face à toi, je ne m'attendais pas a se que tu recule ton bras ainsi mais surtout que tu grimace. Je plisse doucement les sourcils, qu'à tu au bras ? La question allait se poser plus tard c'était sur, mais je garde a présent mon sourire aux lèvres. « Je suis peut-être un peut trop gentille au fond mais. Je n'aime pas voir les gens mal j'aime quand je les vois sourire et même rire en faite. Voilà pourquoi c'est peut-être une raison. Ou je l'ai toujours trop été et ça mets toujours retomber sur le coin de la figure a un moment... » Bien sûr je reprends ma tasse en main puis je te fais un petit signe de la tête de venir avec moi pour t'asseoir sur le canapé. Il était juste derrière nous en faite, donc, je bois une gorgé de ma boisson et dépose ma tasse sur la table basse. « Personne n'est banale Danny. Nous avons tous un quelque chose d’exceptionnelle. » Je dépose en suite mes mains sur mes jambes en venant alors les entre-lacé entre elle. Quand tu me dis que tu n'est pas une personne bien, je fronce doucement les sourcils en penchant un peut la tête tout en te suivant du regard. « Pourquoi tu dis ça ? » C'est vrai que je me demande pourquoi tu dis ça de toi. Je ne te connais pas assez et je ne compte pas te lâcher d'aussi tôt parce que, maintenant que tu es entré dans ma vie, qu'on c'est mutuellement poser des questions plus ou moins personnelles j'ai l'envie, non je veux te connaitre, savoir tes tracas, savoir certaines raisons des blâmes que tu te fais, ou tu as surement raison mais je veux en décider de moi même. Après tout, on ne connait pas nos réactions de chacun mais, j'ai vue tellement de chose en étant déjà adolescente mais aussi dans ma vie d'adulte que malgré ma fragilité que je cache derrière ma force je ne suis pas prête a blâmer quelqu'un. Nous devons faire des conneries pour apprendre la vie la plus part du temps.
Daniel aurait voulu la croire, mais il n’arrivait pas à s’estimer comme quelqu’un d’exceptionnel, ou avec un semblant de bonté en lui. Ce temps était révolu, il était devenu un rejet de la société, une personne sur laquelle on ne peut pas compter sans craindre de souffrir ensuite. Il n’était même pas sûr de pouvoir prendre soin de lui-même, alors il s’imaginait mal veiller sur quelqu’un à l’heure d’aujourd’hui. Danny avait choisit cette vie volontairement, mais il songeait parfois à sa vie d’avant, à cette époque où il était le garçon que tout le monde aimait pour sa gentillesse et sa générosité. Ses proches le voyaient comme une personne de confiance capable de remuer ciel et terre pour aider les autres, capable de tout. Il ne se rétractait jamais, tenait toujours ses promesses et ne mentait jamais. Aujourd’hui, c’était différent. Daniel était obligé de vivre dans l’ombre, ne pas mentionner un seul fait sur son quotidien et se montrer agressif envers n’importe qui, quitte à ce que les conséquences soient graves. Il n’avait pas encore atteint le stade de l’homme infréquentable, mais à ce rythme, ça ne saurait tarder. Cependant, tout ça ne l’empêchait pas d’être humain, et il le prouvait avec Liv ce soir. Elle était avenante avec lui, faisait preuve d’une grande gentillesse, et c’était tout à son honneur. De ce fait, l’américain se sentait coupable de lui mentir et ne pas lui confier ses sombres secrets. Il savait que c’était risqué, qu’il allait sûrement atteindre un point de non-retour, mais il devait essayer, histoire de s’assurer qu’elle ne souffrirait pas plus tard en apprenant que l’homme en qui elle pensait trouver un ami, était en réalité un monstre.
Elle lui fit signe de venir s’installer sur le canapé. Daniel laissa sa béquille contre le comptoir de la cuisine et alla rejoindre la jeune femme. Une fois assit, il tira légèrement sur les manches de son sweat et baissa la tête en silence. Evidemment, elle s’interrogeait sur ce qu’il venait de dire, mais il l’avait voulu. Il passa une main dans ses cheveux, nerveux, et se racla la gorge avant de regarder son bras gauche. Il ne pouvait pas anticiper sa réaction, mais c’était le moment ou jamais. Alors, dans un élan de courage, il retroussa manche pour découvrir les hématomes au creux de son articulation. L’américain leva les yeux vers la jolie rousse, et resta silencieux quelques secondes pour qu’elle prenne conscience de ce dont elle était témoin. Il passa une main sur sa nuque, laissant son bras à nu et haussa les épaules avant d’appuyer son dos contre le fond du canapé. « J’en ai besoin. » dit-il simplement en regardant droit devant lui. Il savait que les premières réactions des bonnes personnes seraient de le faire arrêter, de le supplier de changer d’avis, mais il n’écoutait pas ces conseils. Il n’en avait pas envie, pourquoi se forcer ? Et même s’il s’était plongé dans un monde obscur, il aimait les dangers et l’adrénaline de tout ce que ces risques lui apportaient… Il s’humecta les lèvres et tourna la tête vers Liv. « Le monde entier pense que c’est mal, mais une fois que t’as commencé… » Il se frotta le visage et soupira avant de se décider à parler ouvertement. « C’est tellement libérateur… tous tes problèmes s’envolent, tu ne penses à rien, juste à toi, et ce bien-être… comme dans une bulle. Rien ne peut t’atteindre, tout est… » Il marqua une pause, et rejeta la tête en arrière sur le dossier du canapé pour regarder le plafond. « Tout est parfait. »
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J'étais déjà assise sur le canapé, je me demande bien se que tu allais me montré ou bien me dire. C'est alors que je vois ton bras, je reste surprise, étonner mais surtout choquer. De vieux souvenirs me remonte rapidement en tête, j'avais les lèvres légèrement entre-ouverte. La première question qui me vient en tête c'est "Pourquoi ?" mais je ne l'exprime pas a voix haute. J'avais limite les bras qui m'en tombe, comme dit si bien l'expression, c'est qu'en faite, sur le coup de la surprise t'es épaules se relachent rapidement et tu laisse aller tes bras contre ton corps. Je referme doucement mes lèvres en te suivant du regarde quand tu t'assois je me lève dans un bon. Je passe doucement mes mains sur mon visage puis dans mes cheveux tout en laissant mes mains s'appuiées sur ma nuque, j'étais pour le moment dos a toi. Et marmonne doucement, « Non pas encore... » Je reste quelques secondes comme ça, il est vrai que de mauvais souvenirs reviennent. Je me revois adolescente dans les bras l'homme qui était a l'époque mon copain. Je ferme un instant les yeux et déglutis. Je les ouvres rapidement. C'était alors que je me retourne vers ta personne, j'avais les sourcils légèrement froncés, j'avais une expression de visage choquer mais surtout triste a la fois. Triste que tu puisses faire ça, mais tu avais tes raisons des raisons que je ne pense pas comprendre cette fois-ci, que je n'ai jamais trop compris. Bien sûr je t'écoute parler en te regardant doucement. Je n'arrive pas a comprendre comment on peut se libéré en se droguant en réalité. Mais si pour toi c'était un libération je ne pouvais pas t'en empêcher, tu dois surement faire ça pour quelque chose de précis mais quoi. Enfin, je secoue alors la tête en laissant mes mains revenir contre mon corps je les croises un instant sous ma poitrine mais rapide, je m'approche de toi, je viens alors m'asseoir a t'es côter. A ton côter gauche cette fois-ci, j'était légèrement de travers puis je me permets de prendre ton bras entre mes doigts. Je le dépose sur mes cuisses puis je passe doucement le bout de mes doigts sur ton avant bras, contre ta peau, sans vraiment toucher t'es hématomes. Ca devait te faire mal, vraiment, vue la couleur que ça. Plus aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche a présent. J'étais bien trop surprise que, non je ne savais plus quoi dire. Je sais qu'il y a d'autre solution pour se libéré et être dans ça bulle mais toi tu as choisi ça, c'était ton propre choix. Mes tes dernière paroles me tournent en boucle dans ma tête surtout quand tu as dit que le monde entier trouve ça mal. Je relève mon regard sur ta personne, un regard remplis de tristesse puis j'arrive enfin a prononcé quelques mots « Je... je trouve aussi... Tu as t'es raisons après tout. » Je rebaisse doucement mon regard sur ton bras puis je le lâche doucement en venant le redéposer ou il était. Je me mords doucement les lèvres inférieurs et pivote pour m'installer comme il faut. Non, vraiment j'arrivais pas a dire quoi que ce soit, si ce n'est pour te dire qu'il ne faut pas faire ça, que j'ai vue bien trop de monde ne jamais s'en sortir, que je pourrai te faire une leçon de moral ? Non ce n'est pas mon genre. J'étais bien trop dans mes vieux souvenirs mais surtout, je n'aurais jamais cru que toi aussi tu fais ça.
Daniel s’apprêtait à franchir un cap important, à savoir si Liv était la femme digne de confiance qu’il pensait avoir en face de lui. Elle ne lui inspirait rien de négatif, absolument rien, mais il voulait s’en assurer. Et puis il ressentait un certain soulagement d’aborder un sujet aussi délicat avec elle. Il était rare de tomber sur une personne capable de vous faire sentir ainsi en si peu de temps, et la rousse était l’une de ses exceptions. Qui plus est, elle ne méritait pas qu’on lui cache des choses, ou qu’on lui fasse du mal. Il l’avait dit lui-même tout à l’heure, alors autant jouer la carte de la franchise avec elle, et jusqu’au bout. C’était gênant, carrément stressant, mais c’était une mauvaise épreuve à passer. Tout dépendrait de sa réaction, elle pouvait très bien l’insulter, lui exprimer un dégoût certain, et il saurait ensuite à quoi s’attendre. Il valait mieux lui dire maintenant que trop tard, au moment où ils s’attacheraient réellement. Alors, lorsqu’il releva sa manche, ce fut non sans une certaine appréhension. Ses doigts tremblaient, et il n’osa pas la regarder dans les yeux durant les premières secondes. Elle s’était levée du canapé, et arbora un comportement stressée, carrément gênée. Mais Daniel avait décidé d’aller jusqu’au bout, lui donner ses arguments, bien qu’il ne s’attendait pas à ce qu’elle comprenne.
Une fois son petit récit terminé, la jolie rousse revint s’asseoir près de lui, et prit le bras de l’américain pour l’observer de plus près. Le simple fait qu’elle frôle sa peau du bout des doigts lui provoqua un frisson. Il la regardait faire, observait les moindres expressions de son visage, les lèvres pincées. Elle n’eut pas de réaction démesurée, mais suffisante pour qu’il comprenne qu’elle n’était pas apte à accepter une telle addiction. Danny baissa les yeux vers son bras et s’attarda sur chaque bleu, chaque trace de piqûre avant de ramener son bras vers lui et de le coller contre son ventre, mal à l’aise. « Tu comprends maintenant ? » dit-il en regardant le sol. Il avait peur, peur de ce qu’elle pouvait penser ou dire. Il tourna lentement la tête vers la belle rousse.
« Je ne suis pas quelqu’un de bien, plus maintenant. J’ai choisi d’être différent, et beaucoup trouveront mes raisons absurdes, ou que je suis un lâche, mais j’en ai rien à foutre. Tout ce que je veux, c’est… qu’on me foute la paix. » Il secoua la tête et passa une main dans ses cheveux en bataille. « Je conçois que des personnes ont une vie bien plus difficile que la mienne, mais chacun sa merde. Sauf… pour toi. » Il releva les yeux vers Liv et attendit quelques secondes, avant d’afficher un sourire timide et craintif. « Je te trouve vraiment géniale, et ça peut paraître con de s’avancer autant, mais… c’est bizarre, je n’ai pas envie que tu me vois comme un monstre. J’ai envie que tu me vois comme une personne que tu peux apprécier. Tu es de loin la plus belle rencontre que j’ai eu depuis longtemps. » Timide, il enfonça son dos dans le canapé, et se mit à tordre ses doigts entre eux, nerveusement. « Tout à l’heure, je ne t’ai pas défendu pour rien. Si c’était à refaire, le n’hésiterais pas une seconde. »
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Je sais qu'on a tous nos raisons de faire ça, je sais que nous ne sommes pas tous parfait, mais pour ça, j'avais encore du mal il est vrai. J'avais vue des personnes en mourir sous mes yeux, c'était surement ça ma plus grande crainte à présent que tu y reste. Quand tu me dis encore que tu es un monstre je secoue la tête négativement, pour te dire que non. Malgré que j'ai la tête légèrement baisser, je t'écoute, j'écoute t'es paroles qui me font vraiment plaisir. Des paroles qui me touche malgré tout je souris doucement. C'était rare d'entendre des paroles comme ça. Puis je me résigne a me tourner a nouveau pour venir te regarder, je me pince doucement les lèvres. Puis je m'exprime enfin, en plongeant mon regard dans le tien « Tu n'es pas un monstre loin de là, j'en ai connus des monstres comme tu veux me dire mais toi non tu es une personne qui est adorable malgré tout. Tu as t'es raisons, je trouve ça bête car moi aussi j'ai mes raisons mais jamais je ne t'en empêcherais. Je sais trop bien que, quand vous êtes accroc on ne peut pas faire arrêter une personne comme ça... » Puis je baisse doucement celui-ci, je le dépose un instant sur ton bras. Et dis assez bas mais tout en étant audible. « Je parle en connaissance de cause... » Puis tes paroles me reviennent rapidement en tête, et a mon tour je laisse un petit sourire s'étiré sur mes lèvres, en replongeant alors mon regard dans le tien. « Je ne te verrait jamais comme un monstre, tu m'as défendus toute à l'heure tu as su m'écouter quand j'en avait besoin et je t'en suis reconnaissante de tout ça. Alors maintenant, ne me dit plus que tu es un monstre s'il te plait. Je t'apprécie Danny ! Maintenant a toi de me faire confiancer. » J'étais sincère dans mes paroles, j'ai aussi un débit de parole qui ne s'arrête limite plus comparé a il y a quelques minutes. J'étais tout près de toi c'est comme ça que je viens a nouveau reprendre ton bras entre mes doigts, j'ai bien vue que tu voulais le cacher. Je le dépose de nouveau sur mes jambes, je me permets de remonter comme il faut ton sweet pour faire tenir la manche assez haute et qu'elle ne touche pas tes hématomes. « Je vais te dire, je n'étais pas capable de tout comprendre avant. Mais maintenant, ayant bien plus de connaissance. T'es hématomes, laisse les a l'air libre, n'est pas honte avec moi maintenant. Tu as su me le dire, alors ne t'en cache pas a voir. Je ne veux pas, même au contraire, si un jour ça ne va pas et que tu .... voilà, appel moi je serais là a t'es coter. » Je te regarde alors dans les yeux, je voulais que tu pense a autre chose qu'à t'es hématomes, où je commence a déposer délicatement la paume de ma main dessus. J'y vais doucement, mais je voulais que tu sente au moins la chaleur de ma main, je ne pouvais rien faire d'autre, je ne pouvais même pas essayer de te désinfecter ça ou bien même t'appliquer un pommade ça allait te faire encore plus mal. Mais je laisse quelques secondes de silence et encore, j’enchaîne assez rapidement mes mots. « Dit toi que tu n'es plus seul, dit toi que je suis là maintenant. Si tu pense que je ne peux pas comprendre j'ai envie de te dire détrompe toi. Mais sache aussi que voilà, certaines soirs, même si je suis a l'hôpital ou que je rentre juste. Si tu as besoin de moi j'arriverais dans la minute qui suit. » Après ses paroles je passe ma seconde main contre ta joue a nouveau, pour te rassuré. Mais surtout pour te montré que tu n'es plus seul.
Daniel avait toujours été du genre à écouter les problèmes des autres, c’était un automatisme dont il n’avait jamais pu se défaire. Le bonheur de ses proches passait avant le sien, et pourtant il savait que ce ne serait pas une mauvaise chose de penser un peu à lui-même de temps en temps. Il n’aimait pas confier ses problèmes et ses secrets, il considérait cette démarche comme inutile, et surtout, il n’avait pas envie de lire l’indifférence dans les yeux de ses interlocuteurs. Cependant, il savait pertinemment que ça lui ferait le plus grand bien, le simple fait de parler était une libération, et c’était retirer un poids immense qui pouvait peser sur ses épaules. Daniel n’était pas seul dans le fond, il avait des amis, de la famille, des gens à qui parler… Mais il voulait toujours passer pour un homme fort et indestructible, une image exemplaire. Il se mentait à lui-même, c’était mauvais, ça le rongeait petit à petit. Non sans dire qu’en cet instant, Daniel se sentait différent, comme faible. Liv en était responsable sans le vouloir. Elle avait su instaurer une sensation de confiance, une envie folle de partager des ressentiments avec elle. C’était étrange et pourtant si rassurant. Elle se montrait compréhensive, patiente, bien qu’elle devait sans doute trouver ça atroce. Comment pouvait-on tomber par hasard sur quelqu’un comme elle ? C’était probablement un signe, mais Daniel ne pouvait pas se résoudre de laisser ça à une vulgaire coïncidence. Elle essayait de le rassurer en lui disant qu’il n’avait pas à s’inquiéter sur ce qu’elle pouvait penser, qu’elle ne le jugerait pas, et c’est tout ce qu’il avait besoin de savoir et d’entendre.
Elle reprit le bras de Danny contre elle, et remonta correctement la manche de son sweat. Inutile de lui cacher maintenant qu’elle était au courant, ils étaient seuls, ce n’était pas un problème. L’américain hocha timidement la tête en baissant les yeux, les lèvres serrées. Les paroles qui suivirent de la jolie rousse lui réchauffèrent le cœur. Il leva la tête vers elle et écouta attentivement chacun de ses mots, en se disant alors qu’il avait trouvé une épaule sur laquelle se reposer. Qui sait, peut-être qu’avec ça, il arriverait à passer outre son addiction. Ce n’était pas gagné, mais on pouvait toujours espérer. La main de Liv se posa sur sa joue. Ce contact était délicat et tellement agréable. Daniel ferma les yeux et resta silencieux un moment, avant de poser sa main sur celle de la jeune femme. « Merci… » murmura-t-il enfin avant de plonger son regard de celui de l’écossaise. Un doux sourire se dessina sur ses lèvres. « Sache que ça marche dans les deux sens… » Il se mit à caresser la main de la rouquine. « Je suis là si jamais tu as besoin de quelqu’un, si tu veux parler, ou simplement te reposer sur quelqu’un, tu peux m’appeler. Je ne suis pas la personne la plus exemplaire qui existe, mais je ne laisse jamais tomber mes proches… » C’était un message subliminal, il espérait que ce soit comprit. Il se pinça les lèvres. « Alors toi non plus, tu n’es pas seule… loin de là… »
When the crow meets the bride. And you are one of the best meetings I can do is this.
Je laisse un petit sourire s'emparé de mes lèvres. Je savais bien que ça marchait dans les deux sens tu me la montré il y a pas longtemps. Je garde alors mon regard plonger dans le tien sans le lâcher en réalité. Quand tu viens serrer ma main, je fais de même. Ce contact était assez agréable, un contact doux et chaleureux d'une part. Puis je me rapproche alors de toi, de ton être pour venir alors dépose délicatement ma tête sur ton épaule. « Je le sais et je ne l'oublierais jamais. C'est promis. » Sa me réchauffe le coeur quand tu me dis ses paroles, c'était rare de les entendre, rare que beaucoup les prononces, rare qu'elles soient sincères mais ici, présentement, quand tu les dis elles sont sincères et j'y crois. Je garde alors ta main dans la mienne, ne voulant pas vraiment la lâcher puis je ferme un instant les yeux, j'étais bien, bien avec toi. Quand je ferme les yeux, je vois mon petit ami, un copain que j'ai tellement aimer, qui lui aussi touchait aussi a la drogue. Qui ma fait du mal quand il a fait ses actes. J'ai toujours sa lettre qu'il ma écrite avant que je le retrouve dans l'état qu'il était. C'était un homme comme toi en faite, à l'écoute des autres, a être attentionnée de tout le monde qui ne voulait pas m'avouer qu'il se droguait sur le coup. Quand je l'ai su, j'ai été totalement démunie. J'ai essayer de comprendre, de savoir pourquoi il faisait ça. Même si je connaissais sa vie par coeur je n'ai toujours pas compris pourquoi il avait fait ça. Mais bon, on était jeune et la moindre raison pouvait nous faire perdre les pédales. Ca c'était avant. Je viens alors doucement ouvrir mes yeux a nouveau, laissant un petit soupire m'échapper et de bien être mais aussi d'une légère tristesse. Je n'ai pas envie que tu finisse comme lui en réalité, je pense que je m'en voudrait encore plus. Puis telle une adolescente, je viens doucement jouer avec t'es doigts ayant peur de te dire ça mais fallait que ça sorte. « Je veux que tu fasse gaffe avec ça Danny... S'il te plait... » Je me pince alors mes lèvres, je garde ma tête sur ton épaule en regardant mes doigts joués avec les tiens. « Même si, j'en suis sur, je n'arriverais pas a comprendre les raisons je ne veux pas que tu finisses mal, que tu... que je te retrouve presque mort ou que tu sois interné aux urgences a cause de ça... » Je soupire doucement en disant ça, puis je cesse de suite de jouer avec tes doigts. Je ferme doucement mes yeux et les réouvres rapidement en sentant un petit poids sauter sur mes jambes c'était mon chat, sauf qu'il va rapidement sur les tiennes. Ca ne m'empêche pas de continuer a te parler. « Sauf, si ça arrive et que tu te retrouver a l'hôpital. Demande après moi et personne d'autre. Je préfère que ça soit moi qui te voit dans cette état et pas une autre personne qui sera capable de juger. » Duck se frotte sur ton ventre et je laisse complètement tomber allonger a moitié sur ton ventre puis l'autre moitié sur tes jambes.
L’instant était si étrange, apaisant et troublant à la fois. Daniel avait l’impression que le temps s’était accéléré, qu’ils étaient sur ce canapé depuis des journées entières à discuter. Liv ne se comportait pas comme une étrangère avec lui, mais plutôt comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Une soirée sous le signe de la confidence et du témoignage d’affection. En temps normal, Danny aurait pu trouver ça bizarre mais il n’avait pas du tout l’impression de brûler des étapes, comme si c’était banal. La rouquine paraissait particulièrement touchée par l’histoire de l’américain, le fait qu’il soit devenu accro à la drogue… ça ne la laissait pas indifférente, et Daniel l’avait bien remarqué. Il s’en voulait presque de la mettre dans un état pareil. Honteux, il n’osait plus la regarder dans les yeux, bien qu’il essayait de dévier la conversation en lui faisant comprendre qu’elle pouvait compter sur lui en cas de besoin. Il avait perdu une bonne masse de son humanité depuis qu’on le cataloguait comme un junkie, mais dans le cas de l’écossaise, il gardait cette part de bonté en lui. Elle avait été adorable avec lui, pourquoi serait-il un monstre ?
La tête de Liv reposa sur l’épaule de Daniel. Ce dernier fut d’abord surprit par ce geste mais ne le montra pas. Il n’osa pas bouger sur le moment, et resta immobile, muet tandis qu’elle faisait la promesse de ne jamais oublier ce qu’il venait de dire. La main de la rouquine serrait la sienne, et bientôt, un doux sourire se dessina sur les lèvres de l’américain. Il regardait l’union de leurs mains en silence, transporté par ce simple instant de tendresse qui faisait lentement sa place entre eux. Elle se mit à jouer avec ses doigts, geste que Daniel trouvait particulièrement agréable, allez savoir pourquoi. Il avait l’impression de revenir des années en arrière, jeune homme encore innocent qui passait un simple instant de complicité avec une fille. Il répondait à ces mouvements, jouant lui-même avec les doigts fins de la rouquine en l’écoutant parler. Elle avait peur, il ne pouvait ignorer ce détail, et c’était encore plus troublant. Sourcils froncés, le junkie restait silencieux et observa le chat venir s’installer sur lui. Il caressa lentement l’animal, attendrit par un tel geste d’affection, et se pinça les lèvres sans vraiment savoir quoi dire. Comment pouvait-il lui dire qu’il ferait attention alors qu’il tentait le Diable à chaque prise ? Il appuya sa joue sur le haut du crâne de la jeune femme.
« Si jamais il m’arrivait quelque chose, tu serais la première informée, je te le promets. » dit-il d’une voix basse, se voulant rassurante et douce. Il posa une main sur le chat, et prit une légère inspiration. « Je ne sais pas si j’arriverais à… décrocher un jour. » Il ferma les yeux et resta dans cette position sans broncher. « C’est difficile, je me doute que ça doit être une sacrée épreuve, mais je n’ai pas envie d’arrêter. C’est plus fort que moi. » Il se pinça les lèvres, et comme pour se rassurer, partit rechercher la main de Liv pour la prendre dans la sienne. Ce geste avait eu comme un effet curatif, autant en profiter encore un peu. « Mais maintenant que tu m’as dit tout ça… j’ai de la peine… de la peine pour toi. Je n’ai pas envie que tu te fasses autant de souci pour moi. Tu as déjà tes propres problèmes, ça m’emmerde de savoir que tu pourrais te préoccuper des miens. » Il sourit légèrement en caressant les phalanges de la rousse avec son pouce. « Tu es beaucoup trop gentille, on te l’a déjà dit ? » demanda-t-il sur un air qui voulait montrer que cette phrase était un compliment, et non pas un reproche.
When the crow meets the bride. And you are one of the best meetings I can do is this.
Je ne pouvais pas te juger comme un Junkie même si tu en es un car moi-même je n’ai jamais réussi à juger une personne comme tel. Tu as tes raisons, j’ai le mienne pour avoir du mal à comprendre pourquoi tu fais ça mais c’est ainsi et pas autrement. Je ne vais surtout pas être du genre à t’obliger à arrêter, j’aimerais vraiment, mais non je n’ai aucun moyen pour faire ça. Je n’ai pas eu le mot et les moyens pour faire arrêter mon petit ami d’adolescence alors je ne sais pas comment je ferais pour te faire arrêter. Puis de toute façon si c’est pour que tu craque juste après non. Je ne trouve pas ça idéal. Puis malgré se que peuvent dire les gens, tous les Junkies ne sont pas des monstres avec tout le monde. Du moins presque tout le monde. J’avais besoin de réconfort et d’affection entre parenthèse c’était pour ça que j’avais dépose ma tête sur ton épaule mais surtout que je jouais avec tes doigts, quand tu fais de même je ne peux m’empêcher de sourire. Certain ça ne fais pas longtemps qu’on se connait mais… tu me faisais penser a une personne qui a été cher a mon cœur et je ne veux pas te laisser tomber. Pas toi. C’est alors que je sens ton visage se dépose son ma tête que je ferme à nouveau mes yeux, tout en t’écoutant. Que tu ne puisses pas décrocher je peux comprendre c’est une addiction que tu dois avoir depuis un sacré moment et on ne peut pas la faire disparaître comme ça. Je ne dirais pas un mot la dessus car, c’est a toi de décider maintenant. Mais tu sais que tu as quelqu’un qui ne te juge pas. Puis quand tu en viens a mes problèmes mais surtout a se que je m’inquiète pour toi, je réplique d’une voix assez calme « Ne t’inquiète pas pour mes problèmes Danny. Maintenant que tu m’as dis ça je ne peux que m’inquiété pour tu serais pourquoi tu comprendrais… Puis tu vois mon couple ce n’est pas une question de vie ou de mort que toi… » Je soupire doucement ne finissant pas ma phrase. Mais la douceur de ta main dans la mienne, de t’es caresses sur mes phalanges me fais sourire doucement, j’avais l’impression de ne pas être la personne que je suis à présent, j’ai l’impression d’être une gamine et d’être assise la sur un canapé et d’être en présence d’un doux et attachant. Mais non ce n’est pas qu’une simple impression tu l’es réellement et je pense que je ne m’en lasserais jamais. Mais quand tu me fais se compliment je ne peux pas m’empêcher de laisse un petit rire m’échapper « On me la toujours dit reproche mais jamais comme toi tu viens de me le dire. Ca me touche. » Mais en étant ici assis a parler je ne me rends pas compte que les heures défilent à une vitesse phénoménal. Mais une sonnerie, désagréable, qui ne met pas inconnue me rappelle à l’ordre. J’ouvre doucement les yeux, puis je soupire doucement en me rappelant que c’est mon biper. Je murmure un « non pas ça… » Puis je viens doucement relever ma tête de ton épaule et lâcher doucement ta main de la mienne. Je me lève doucement, me dirige vers le plan de travaille pour prendre alors mon biper. Je viens regarder se que c’est et fronce doucement les sourcils. Quand on n’arrive pas à me joindre sur mon téléphone mon biper me rappelle a l’ordre. Je dépose alors mon biper et prend mon téléphone pour regarder le message. C’était une amie infirmière qui m’envoie un message par rapport a un enfant qui est la depuis maintenant deux années et ce n’était pas trop une bonne nouvelle. Elle s’était attacher a cet enfant mais la nouvelle qu’elle m’annonce n’était pas spécialement bonne, plutôt, cet enfant n’a pas supporter un nouveau traitement et a faillit y rester. Ont c’est très bien que dans ce métier on doit se faire une raison avec certain diagnostic mais c’était aussi dur. Je viens dépose mon téléphone à coter de mon biper et soupire doucement. Je dépose un instant mes coudes sur la planche en bois qui serre de mini bar puis je passe mes mains sur mon visage en le frottant doucement. Je soupire à nouveau, tristement, puis je secoue ma tête doucement. Je reviens doucement a t’es coter. « Désoler… » C’était le seul mot qui réussi à sortir de ma bouche a présent. Je n’aurai pas du regarder mais bon, je ne voulais pas laisser sonner cette sonnerie assez désagréable pendant un moment. J’ai malgré tout le regard un peut baisser. Ses choses me touchent tellement. J’avais décidé de devenir infirmière pour des raisons assez importantes. Mais aussi travailler en service pédiatrie parce que je ne pouvais pas comprendre comme des enfants tels qu’eux pouvaient être touché alors qu’ils ne commencent que leur vie. Mais c’est alors que je relève le nez pour regarder la pendule face a nous que je me mets doucement a soupire, je baisse mon visage en a nouveau et pas mes mains sur chacun de mes bras. Mon mari n’allait pas tarder a rentré et je n’avais pas envie qu’il te trouve là ou bien même qu’il s’énerve mais aussi j’avais pas envie que tu partes…
C’était si bon de se sentir important pour quelqu’un, un véritable être humain avec ses faiblesses qui avait besoin de soutien. En quelques heures, Liv avait réussit à lui prouver que la bonté pouvait nous tomber dessus sans qu’on s’y attende. C’était une femme comme il aurait toujours aimé rencontrer. Dans un sens, elle lui faisait penser à Shannon. Cette fille avait toujours été bonne avec son entourage, généreuse, soucieuse de tout, prête à aider son prochain sans se soucier du reste. Elles avaient ce point commun non négligeable qui parvint même à envoyer Daniel quelques années en arrière, comme s’il était de nouveau face à cette adolescente qu’il avait aimé comme jamais. Souriante, douce et respectable. La rousse était comme une lueur d’espoir, une fille qu’il n’imaginait pas oublier demain au réveil. Il ne voulait pas que leur relation s’arrête là, continuer à la voir et profiter de sa présence encore et encore. L’américain n’était pas méfiant de nature, mais suffisamment pour ne pas s’attacher en un claquement de doigts. Avec Liv c’était différent. Elle avait réussit à le rassurer et le faire se sentir plus important. Est-ce qu’il le méritait ? Ca c’était une autre histoire, mais là n’était pas la question. Assit sur ce canapé avec elle, jouant avec ses doigts, le junkie se laissait aller à cet instant de complicité et de bien-être, buvant chaque parole qui sortait de la bouche de la jeune femme. Il aurait pu passer des heures à la complimenter, c’est certain, mais mieux valait ne pas foncer tête baissée et risquer de lui faire peur. N’importe quelle action pouvait être mal interprétée, il fallait savoir se comporter convenablement et ne pas abuser des bonnes choses.
Une sonnerie retentit, brisant le silence et ainsi ce moment que Danny savourait pleinement. Liv se leva pour prendre son biper, et l’américain comprit que quelque chose n’allait pas, ou du moins qu’elle venait probablement de recevoir un message de son lieu de travail. Lorsqu’elle s’excusa, il secoua lentement la tête en souriant doucement. Elle ne devait pas avoir un quotidien de tout repos, et c’était compréhensible. Le junkie se pinça les lèvres et se mit à caresser le chat posé sur ses jambes en restant silencieux quelques instants. Il ne devait pas s’éterniser ici, n’oublions pas que la rousse était mariée et qu’il serait sûrement mal vu que l’époux rentre et découvre un inconnu dans son salon, surtout avec une tête pareille. Après avoir posé l’animal sur le canapé, Danny se leva lentement et attrapa ses béquilles en se tournant vers la jeune femme. « Je ferais bien d’y aller. Il est tard. » Il s’approcha de la rouquin, et une fois près d’elle, alla déposer un baiser sur sa joue. Il regarda brièvement autour de lui, et vit un stylo posé sur le plan de travail ainsi qu’un bloc note. Sans hésiter, il s’y dirigea, attrapa l’objet et griffonna des numéros sur le papier. Il arracha la feuille, la plia et alla la mettre dans la main de Liv. « C’est mon numéro. Si jamais tu as besoin de… parler, n’hésite pas. » Avec un clin d’œil, il se dirigea maintenant vers la porte de l’appartement, et l’ouvrit avant de jeter un dernier coup d’œil en arrière. « Merci pour cette soirée, je ne risque pas de l’oublier. » Et sur ces mots, il quitta l’appartement de la rousse. Le cœur léger, un sourire rêveur aux lèvres, et l’impression qu’elle allait chambouler son quotidien…
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