| | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Dim 27 Sep 2020 - 22:15 | |
| Deux semaines depuis l’accident.
Le bleu sur mes côtes à changer plusieurs fois de couleurs et commence doucement à s’effacer. La plaie sur mon front s'est refermée, laissant une fine cicatrice blanche. Encore quelques jours et je pourrais enfin enlever mon attelle et utiliser mon poignet. Dans une semaine, Jill aura complètement tenu sa promesse. Elle ne quitte pratiquement pas la maison et surtout fait de son mieux pour aider avec les bébés. Chaque jour, je la vois interagir un peu plus avec les jumeaux tandis que le silence ne cesse de peser entre nous. Tout oscille entre complicité et conflits, entre sourires et prise de tête. Constamment attirer comme deux aimants, on finit par se déchirer pour une broutille. Rancœur contre regrets résultant à une ambiance parfois morose qui réveille de vieilles angoisses que je pensais reléguer au placard pour toujours. Va-t-elle disparaître du moment où je serais déclaré guéri ? Est-ce que tout cela n’est qu’une passade ? Et la prochaine crise l’enverra au bout du monde sans nous ? Des questions qui ne cessent de tourner dans un coin de ma tête bouffant toute mon énergie et ma résilience. À chaque jour, je me questionne sur nos sentiments. Les miens restent intacts malgré les trahisons, mais en est-il de même pour la brune ? Perdu dans une tempête qui me dépasse, je préfère m’enfermer dans mon silence, murer mes émotions et m’enfermer dans une bulle alors que ça n’a jamais été le cas avec elle. Incapable de parler, je fais passer ma reconnaissance au travers de gestes et de sourire qu'elle seule saurait interpréter.
Cette ambiance étrange et tendue m’a redonné l’envie de coucher mes émotions sur le papier. À la recherche de l’un de mes carnets, j’ai fini par retomber sur la carte postale que j’avais trouvée parmi les affaires de Jill. Celle qu’elle ne m’avait jamais envoyée lors de sa fuite. Celle où il est écrit ‘on’ à toutes les phrases, sans jamais préciser l’identité de la personne qui l’accompagnait. Cette carte que j’avais jeté dans un coin refusant de me laisser bouffer par mes doutes et mes angoisses. Cette carte que je finis par prendre avec moi pour rejoindre Jill dans le salon. Les jumeaux dorment depuis une petite heure et on devait dîner ensemble. Si habituellement, je ne suis pas bavard, si j’ai peur de lancer une quelconque conversation sérieuse avec ma femme, ce soir, je ressens ce besoin de lui poser la question.
Elle est accoudée au comptoir Jill, en train de surveiller l’eau des pâtes qui est en train de frémir dans la casserole, lorsque je glisse la carte sous son nez. « J’avais trouvé ça. » A l’endroit même où elle l’avait volontairement laissé, je le sais. « Tu es parti avec qui Jill ? » Et mes poings se serrent tandis que je me promets de gérer la crise qui interviendra dès l’instant où elle me donnera le prénom d’un homme. |
| | | | (#)Dim 27 Sep 2020 - 23:21 | |
| Ca fait déjà deux semaines qu’elle vit dans la maison familiale de nouveau. Elle apprend à apprécier de vivre avec eux, et à créer quelques liens importants avec ses enfants. Mais la relation avec Bailey est toujours aussi tendue et compliquée, elle ne sait pas comment réagir la jeune femme, elle ne sait pas quoi faire pour que tout revienne comme avant. Il a changé Bailey et elle se demande s’il veut encore d’elle. Plus le temps passe et plus elle en doute. Bientôt, ils n’auront plus besoin d’elle pour vivre, bientôt, il aura récupéré son poignet et pourra s’occuper des jumeaux. Et elle se demande bien comment ça va se passer quand il ne portera plus son attelle. Elle ne sait pas où ils en sont, c’est trop compliqué mais elle n’ose pas poser les bonnes questions, elle a bien trop peur des réponses qu’il pourrait donner.
Elle prépare à manger alors que Bailey est à l’étage. Elle ne sait pas ce qu’il fait, et elle ne sait pas comment va se passer la soirée. Elle préfère se concentrer sur l’eau qui commence à bouillir doucement. Elle sursauterait presque quand il arrive lentement dans son dos. Tout à changer. Il y a quelque temps, il était en train de préparer des crêpes et elle était enceinte assise sur le plan de travail. Elle regarde l’endroit et elle secoue la tête, elle essaie de s’habituer à tout ce changement, mais ils n’ont jamais été aussi distant. Elle pose ses yeux sur la carte postale qu’elle a écrite et qu’elle n’a jamais envoyé. Il l’a lu, mais il n’a pas l’air heureux des mots qu’elle a écrit. Elle pince les lèvres et attend les questions, elle a l’impression que ça risque de mal se passer. Ses yeux se ferment quand il pose la question, la seule chose qui l’a marqué c’est le on qui dit qu’elle n’était pas seule en Nouvelle Zélande. “Ca t’importe vraiment ?” Et c’est à ce moment là qu’il risque de penser qu’elle veut lui cacher quelque chose. “Je suis partie avec Louisa. Elle m’a rejoint à l’aéroport.” Elle n’a rien à lui cacher, mais elle n’aime pas le ton d’accusation qu’il a employé.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
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| Si je m’écoutais, je m’enfermerais dans une pièce, casque sur les oreilles pour me concentrer sur ma musique. Cela fait des semaines que je n’ai pas pris le temps de me poser au piano ou même pour écouter un peu ce qui se fait en ce moment. Je tente de suivre les différentes actions menées au studio, mais même cela s’est compliqué quand Sebastian à décider que je ferais mieux de m’occuper de mes enfants. Heureusement, j’ai toujours Amélia et James pour me donner des nouvelles, pour me demander des conseils, mais il faut dire que depuis l’accident, je n’ai pas été très disponible pour eux. Je voudrais pouvoir rattraper tout cela, mais je me sens comme couper mille morceaux. Il faut que je me repose, c’est un fait que je ne peux plus nier. Je dois veiller sur mes enfants autant que je me dois de faire attention à ce qui est en train de se passer avec Jill. Le manque total de communication au sein de notre relation (je ne sais même plus si j’ai le droit de dire couple) m’aspire toute mon énergie, occupant mes pensées du lever au coucher. Alors, je me contente d’attraper mon carnet, faisant glisser la carte postale de Jill à mes pieds. Ce souvenir de sa fuite que j’avais tenté de dissimuler dans mon bureau et qui revient me hurler au visage qu’elle est partie avec quelqu’un sans rien dire à personne. Et c’est la jalousie bestiale et primaire qui prends le dessus lorsque je descends les escaliers pour, enfin, lui demander ce qu’elle a bien pu faire durant une semaine entière.
Peut-être que j’ai trop attaqué de front. Peut-être que j’aurais dû annoncer mon arrivée. Peut-être qu’en réalité, rien ne va plus entre nous et que l’on est tout simplement incapable de se parler normalement à nouveau. « Ça t’importe vraiment ? » Le ton qu’elle emploie me donne envie de hurler, je retiens le tout dans un frisson avant de me planter face à elle, laissant le comptoir comme séparation. « Je suis ton mari et tu m’as laissé ici comme un pauvre con pendant une semaine, alors oui ça m’importe. » Je me souviens avoir lu cette carte et m’être pris la tête pendant des heures à savoir avec qui elle avait bien pu partir. Ce n’était personne de sa famille, pas même Dorian puisque le jeune homme lui en voulait plus que tout. Ce n’était personne de proche et c’est probablement ce qui m’inquiète le plus. Je ne supporte pas l’idée qu’elle est pu partir avec un autre homme, cela a toujours été comme ça d’ailleurs, mais avant, j’étais le Bailey trop bon, trop con qui ne disait rien, qui laissait faire. Aujourd’hui, je crois que je n’ai plus rien à perdre.
« Je suis partie avec Louisa. Elle m’a rejoint à l’aéroport. » « Louisa ? » Il me faudra quelques secondes pour replacer le prénom. « La Louisa de Londres ? » Bien sûr qu’il s’agit d’elle. Celle qui à l’époque prenait un malin plaisir à embrasser Jill sous mon nez. Celle qui m’a toujours fait comprendre que je ne serais jamais légitime aux côtés de la McGrath. « Tu la vois encore celle-là ? » Cette sale gamine qui en a probablement bien profiter. « Vous avez fait quoi ?! » Jamais je ne lui avais posé autant de questions, jamais je n’avais laissé transparaître que tout cela m’atteint. Je ne faisais que baisser la tête, attendre que la tempête passe pour qu’elle revienne. Je ne veux plus être comme cela, je ne veux plus l’attendre, je ne veux plus la laisser tout contrôler. Je l’aime, c’est une variante qui jamais ne flanchera, mais je ne veux plus me taire lorsque quelque chose ne me plaît pas, je suis fatigué de tout ça. |
| | | | (#)Lun 28 Sep 2020 - 19:44 | |
| Jill ne s’attendait pas à devoir répondre à des questions ce soir. Elle est étonnée du comportement de Bailey, et de son visage fermé. Il a l’air furieux et elle se demande bien ce qu’il a encore à lui reprocher. Elle réfléchit à ce qu’elle doit répondre, depuis quand Bailey se la joue jaloux. Elle fronce les sourcils, évite la réponse. Il connait déjà Louisa, et ça ne va pas le rassurer de savoir qu’elles sont parties toute les deux. “Tu es mon mari ? J’en ai pas l’impression ces derniers temps.” Elle a l’impression d’avoir à faire à un inconnu qui n’ose même pas l’approcher. Elle est persuadée qu’il ne l’aime plus, que quelque chose s’est brisé et qu’il n’a aucune envie de le réparer contrairement à Jill. Elle pince les lèvres, elle ne peut rien dire sur tout ça, elle sait qu’elle a ses torts, mais Bailey n’est pas tout blanc non plus. “Je t’ai peut-être laissé comme un con, mais t’étais un con sans alliance quand j’ai ouvert la porte.” Elle ne l’oubliera pas ce passage de la soirée, quand il a décidé de quitter ce lien qui était si important.
Elle répond, elle donne le nom de Louisa et elle attend qu’il se souvienne en même temps qu’elle elle se souvient de la fois où ils se sont rencontrés. “Oui de Londres.” Comme s’ils connaissaient des centaines de Louisa. Mais elle attend la réaction de Bailey. Il a l’air changé, il a l’air différent et ça l’intéresse Jill, elle a envie d’en voir plus. S’il est jaloux, c’est que ce n’est pas fini entre eux. Et elle aime cette nouvelle facette de Bailey, le Bailey qui s’impose et qui ose montrer qu’il l’aime. Pourquoi il n’est pas sorti plus tôt celui là ? “Oui je la vois encore, je lui écris même régulièrement pourquoi ?” Elle veut qu’il s’exprime, alors elle le pousse un peu à s’énerver. S’il s’énerve, c’est qu’il l’aime. Elle a besoin de le voir comme ça, de se rassurer. “On a voyagé.” Elle se détourne des pâtes et plante son regard dans celui de Bailey. “C’est quoi la vraie question que tu veux poser ? Parce que je peux te raconter tous les endroits qu’on a visité dans les moindres détails si c’est cette partie qui t’intéresse.” Elle reste calme, et elle attend.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| « Tu es mon mari ? J’en ai pas l’impression ces derniers temps. » « A qui la faute ? »
Coup bas contre coup bas. Elle passe son temps à chercher la petite bête, Jill. Je devrais m’y être habitué en une dizaine d’années, mais ces derniers temps c’est quelque chose que je supporte de moins en moins. Elle veut toujours avoir le dernier mot même lorsqu’elle est en tort. Trop souvent, je lui ai accordé le point quand en réalité, j’avais tout un tas de choses à lui dire. Ce soir, je n’ai plus envie de faire semblant. On vient de passer deux semaines a marcher sur des œufs, incapable de se parler, trop effrayer à l’idée de faire un pas de travers. J’étais le premier à vouloir apaiser les choses, à ne pas faire de vague, mais retrouver cette carte postale me rappelle qu’elle est partie, que je lui en veux et que de toute manière, je l’ai déjà probablement perdue. Plus rien ne me retient. « Je t’ai peut-être laissé comme un con, mais t’étais un con sans alliance quand j’ai ouvert la porte. » Je pourrais me la fermer, accepter que l’erreur viens de moi sur ce coup-là, mais elle joue à la forte tête et me fait monter en pression sans que je ne le contrôle. « Depuis quand tu t’attaches au matériel Jill ? » Elle a si souvent refuser les cadeaux que je voulais lui faire, elle qui disait que l’on avait besoin de rien pour savoir que l’on était ensemble, que l’on était en train de vivre quelque chose d’unique. Elle a le droit de ne pas avoir apprécié mon geste, mais j’ai aussi besoin de lui rappeler que tant de fois elle m’a fait comprendre que je n’étais qu’un pion dans son petit jeu.
Lorsqu’elle en vient à évoquer sa compagne de voyage, c’est la jalousie qui prime sur les émotions. Celle instinctive qui vous vient des tripes, celle que l’on ne contrôle pas et qui se déverse sans filtre. « Oui, je la vois encore, je lui écris même régulièrement pourquoi ? » Cool. Je devrais m’en foutre après tout, elle a bien le droit de voir qui elle veut. Oui, mais pas Louisa. Pas quand elles ont eu une véritable relation et pas quelque chose de complètement passager. « On a voyagé. » Je hoche la tête, l’écoutant qu’à moitié dans le fond, tant j’imagine la pire des choses et tant cela me fait rager. Je retrouve des sensations que je pensais avoir laissé à Londres ou dans une autre époque. Quand je n’étais en rien légitime dans sa vie si ce n’est un sale secret que l’on garde dans les placards. Pour rien au monde, je ne souhaite pas y retourner dans ce placard sombre et triste. Tout se bouscule et je ressens ce besoin, stupide mais intense de lui rappeler qu’elle est avec moi, que l’on est lié. « C’est quoi la vraie question que tu veux poser ? Parce que je peux te raconter tous les endroits qu’on a visité dans les moindres détails si c’est cette partie qui t’intéresse. » Et c’est plus fort que moi. « T’as visité son lit aussi ?! »
|
| | | | (#)Lun 28 Sep 2020 - 21:08 | |
| Elle lâche la cuisson des pâtes, peut-être qu’ils n’en mangeront même pas finalement. Elle plante son regard dans celui de Bailey. Il est blessé, elle l’est aussi, et pourtant, ils continuent à appuyer sur les points qui font mal. C’est douloureux quand il lui rappelle que c’est en partie de sa faute toute cette situation. Elle pince les lèvres et ne répond pas, c’est rare ça, mais elle ne trouve rien à dire face au regard accusateur de l’homme nouveau qui se tient en face d’elle. « Depuis quand tu t’attaches au matériel Jill ? » elle se prend un coup de poignard en plein coeur. “T’es en train de me reprocher de m’être attachée à ça ?” Elle fronce les sourcils, véritablement peinée. Elle ne sait pas où elle en est, où ils en sont. Si Bailey veut que tout soit fini qu’il le dise une bonne fois pour toute et qu’il arrête de tourner autour du peau en l’accusant de s’être attachée au symbole que représente la bague qui trône toujours autour de son annuaire gauche.
« T’as visité son lit aussi ?! » La question fait naître un sourire sur son visage. Ca l’intéresse donc. Mais pourquoi ? Pourquoi il fait comme si ça l’intéressait alors que quelques minutes avant il avait l’air de dire que leurs alliances ne représentaient rien. Elle pose son dos contre le plan de travail, reste face à lui à une distance raisonnable. “On a dormi dans le même lit oui.” Il veut la vérité, il l’a, mais Jill aime jouer avec sa colère. Elle doit avoir une lueur défiante dans le regard, cet état, ce comportement, elle l’apprécie Jill. “J’ai pas couché avec elle.” Parce que c’est ça la question de fond, celle qu’il n’a pas posé. “J’ai couché avec personne depuis un moment.” Et elle n’en a même pas envie, mais ça, c’est un autre problème qu’elle devra régler plus tard. En attendant, elle garde ses yeux braqués dans ceux de Bailey, elle attend une réaction, n’importe quoi. C’est là qu’elle va savoir si les choses sont totalement terminées entre eux ou s’il y une lueur d’espoir cachée quelque part.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Lun 28 Sep 2020 - 22:18 | |
| La tension qui résidait entre nous depuis plusieurs jours est lentement en train d’exploser alors que je la mets à nouveau devant les faits. C’est elle qui a décidé de s’enfuir plutôt que de me parler, plutôt que de me demander de l’aide, une pause ou n’importe quoi. Une fois encore, elle n’a pensé qu’à elle. Il est grand temps que j’en fasse de même. Je ne sais pas si c’est notre séparation, l’accident ou tout simplement un ras-le-bol qui me fait ouvrir les vannes, mais je suis lancé et je sais que je ne pourrais pas m’arrêter aussi facilement. « T’es en train de me reprocher de m’être attachée à ça ? » Frapper fort, juste là où ça fait mal. C’est sa spécialité habituellement, mais Jill oublie probablement que je la connais mieux que personne. Mon but n’est pas de la blesser, mais je me laisse complètement aveugler par mes émotions. « Je m’étonne juste que tu le sois réellement. » Je ne me reconnais pas tant la rancœur prends le dessus. Ce sont des années de frustration et de non-dits qui explose, juste là, sous mon nez. Il aura fallu du temps, mais je me suis retenu pendant des années pour en arriver à une zone grise où je ne sais plus réellement si elle veut encore de moi dans sa vie. Il était temps de crever l’abcès.
Ce n’est pas la symbolique qui m’intéresse, pour le moment, mais plutôt ce qu’elle a bien pu faire avec Louisa lors de leur voyage. Apprendre qu’elle a quitté le pays, m’avais fait l’effet d’un coup de poignard. Savoir qu’elle est partie avec son ex-petite amie me tords le bide. Je sens cette colère sourde qui monte en moi, qui s’immisce dans mes veines sans prévenir. Obnubilé à l’idée qu’elle est pu me tromper, j’en deviendrais presque méchant. « On a dormi dans le même lit oui. » Alors que j’étais seul ici, à me soucier de nos enfants. Un rire nerveux fend mes lèvres. On dirait le scénario d’une série B. Celle qui voudrait tuer les clichés, c’est la femme qui trompe son mari rester à la maison avec les enfants. Je me sens idiot et bafoué. « Super. » que je commente empli d’un sarcasme que je ne me connaissais pas. Elle ouvre la bouche et je me sens fébrile. « J’ai pas couché avec elle. » « Vraiment ? » Le doute reste présent. « J’ai couché avec personne depuis un moment. » « Tant mieux. » que je clame sèchement quand c’est moi non plus que je voudrais dire, quand je pourrais tout rattrape là, juste à cet instant. Je ne vois rien. Je reste sur la jalousie de la savoir partie avec une autre, avec cette Louisa.
Vexer, je reste dans mon coin. Je rumine comme un con. « L’eau déborde. » que je lui notifie sans réellement croiser son regard. Je ne sais pas ce qui me prends, je ne sais pas pourquoi je lui en veux tellement. C’est Louisa le problème, elle qui a toujours été bien trop proche de Jill, elle que je revois avec ses mains sur le corps de ma femme. Et alors que je ne cesse de bouder dans mon coin depuis quelques minutes, je repense soudainement à quelque chose. « C’est quand même pas avec elle que tu t’es installé ?! » Elle a pris un appartement, elle en avait parlé. Une semaine et elle va quitter cette maison, je le sais. Quoiqu’il arrive, elle partira. On ne sait plus vivre ensemble, mais si c’est pour qu’elle aille avec l’autre, je préfère encore vivre dans les silences et la gêne à deux. |
| | | | (#)Mer 30 Sep 2020 - 18:00 | |
| Elle risque de s’énerver elle aussi s’il continue comme ça. Elle déteste qu’il lui parle comme ça, qu’il pense qu’elle n’est pas capable de s’attacher à la symbolique de leur mariage alors que c’est elle qui lui a vraiment demandé de l’épouser. « Je m’étonne juste que tu le sois réellement. » Un rire nerveux s’échappe d’entre ses lèvres et elle hausse un sourcil, se demandant s’il est vraiment sérieux. “Vas te faire foutre Bailey.” Elle siffle entre ses dents et les serre au passage. Elle resserre sa prise autour du plan de travail de ses mains, et tente de garder son calme le plus longtemps possible. “Si tu regrettes de l’avoir gardé c’est pas de ma faute.” Il lui reproche des tonnes de choses, et il ignore les erreurs que lui a faite. Mais Jill ne les oublie pas, elle ne les oubliera sûrement jamais que ça lui plaise ou non.
Elle va répondre à ses questions, mais elle le laisse bouillir. Elle veut voir ses réactions, voir jusqu’où il va aller maintenant. Il change, il évolue, et le changement plaît beaucoup à Jill même si elle ne dit rien à voix haute pour le moment. Elle est bien trop énervée, et lui aussi. Elle lui dit qu’elle n’a couché avec personne depuis un moment, et qu’elle n’a pas craqué avec Louisa. Elles n’ont fait que voyager, et elle l’a aidé à se changer les idées. Elle en avait besoin Jill, bien plus que ce qu’elle n’aurait pu imaginer. S’il n’y avait pas eu Louisa avec elle, elle ne serait sûrement pas rentrée aussi tôt, et elle ne tenterait pas de faire autant d’efforts avec Bailey. Si elle est comme ça aujourd’hui, elle le doit en partie à son amie. « Vraiment ? Tant mieux. » Sérieusement ? Elle se retient de lui hurler dessus, elle veut qu’il s’exprime et il n’en fait rien. Elle le déteste à cet instant. “J’aurais eu l’occasion pourtant.” Elle le cherche, bien sûr qu’elle n’arrête pas de le faire. Pour la première fois il se passe quelque chose entre eux, il y a cette petite étincelle, ce petit truc en plus qui lui donne envie de rester face à lui dans cette cuisine. Elle se calme, elle ne lâche pas les yeux de Bailey, à l’affût de la moindre réaction.
L’eau boue, l’eau déborde et elle n’en a rien à faire. “Et alors ?” Elle n’a même plus faim de toute façon, et elle ne lâchera pas le regard du brun qui se tient encore en face d’elle, pour une durée indéterminée. « C’est quand même pas avec elle que tu t’es installé ?! » Elle n’aurait pas penser jouer sur ça, et pourtant, le jeune homme lui offre une nouvelle possibilité de s’amuser sur un plateau d’argent. Elle va titiller la moindre réaction, la moindre seconde de jalousie qu’il veut bien lui donner. Elle en a besoin pour se prouver qu’il tient encore à elle, elle espère qu’il ne s’arrêtera pas en si bon chemin. “Peut-être bien.” Elle penche sa tête sur le côté, elle n’est pas obligée de lui dire que son colocataire est et sera Matt pendant quelques temps.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
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| « Vas te faire foutre Bailey. » « C’est ça t’as raison. »
La conversation tourne court. C’est bien trop souvent le cas entre nous. Jill refuse de discuter, elle se ferme comme une huître et balance alors les premières insultes qui lui viennent en tête. J’en ai bien fait les frais durant des années sans jamais réellement y répondre. Je voudrais hurler qu’elle ne me comprend pas, quand en réalité on ne s’écoute plus depuis bien trop longtemps. Je voudrais crier aussi fort qu’elle a pu faire par le passé, mais je rester planter sur place comme un idiot, à lui reprocher de s’attacher à son alliance alors que la symbolique est tout aussi forte pour moi. On se perd dans notre bêtise. « Si tu regrettes de l’avoir gardé, ce n'est pas de ma faute. » « Je regrette rien du tout, moi. » Ni le mariage, ni les enfants. Oh boy. Dès demain, je me repasserais cette conversation en boucle et je m’en voudrais probablement d’avoir été aussi sec. Sur l’instant, là, juste en face d’elle, c’est comme si mon cerveau nageait dans la brume. Je ne pense plus aux conséquences, à l’impact de mes mots. C’est toute la bile qui s’échappe sans prendre de formule de politesse, sans tourner en rond. Des années de rancœurs qui petit à petit s’échappent par toutes les failles que j’ai bien trop laissé grandir.
Tout laisse place à une jalousie bien trop souvent étouffer, jamais vraiment admise. L’idée même qu’elle est pu passer une semaine loin de tous avec cette Louisa fait naître une rage que je ne me connaissais pas. Le sentiment est primaire, presque animal. La jalousie de peut-être l’avoir perdu pour une autre, qu’elle se soit confiée à cette fille qui ne voulait que nous séparer, il y a des années de cela. Elle joue avec mes émotions Jill, je le vois dans son sourire. Elle me cherche depuis le début de cette conversation et je fulmine déjà. « J’aurais eu l’occasion pourtant. » C’était quoi déjà ? Ah oui… « Va te faire foutre Jill. » Purement et simplement. C’est si bas de jouer sur mes insécurités quand j’ai toujours pensé qu’elle finirait par partir avec quelqu’un d’autre, quand je me suis toujours dit que je n’étais pas assez. La jalousie laisse place à bien d’autres émotions qui m’avale dans les tréfonds de cette hypersensibilité qui ne cesse de gâcher mon existence.
On en oublie l’eau qui frémit, la raison même de notre présence dans cette cuisine. À mes yeux, il n’y a plus qu’elle et tout ce qu’elle me fait ressentir. Retour à la case départ, comme au premier jour, quand tout n’était que dispute et tourments. « Peut-être bien. » Peut-être bien avec elle, peut-être bien avec un autre. Et déjà, je l’imagine à nouveau fréquenter les bars, ressortir ses robes provocantes celle qui me faisait tourner la tête au repas de famille. Je l’imagine draguer et ça fait mal, juste là, dans la poitrine. « Ça t’amuse tellement de jouer là-dessus, hein ?! » Me mettre sous le nez toutes les opportunités qu’elle pourrait avoir loin de moi quand je n’ai toujours eu d’yeux que pour elle. J’ai toujours été le con dans cette histoire. « Faut que je sois jaloux pour que tu réagisses ? » Dis-moi la vérité, une bonne fois pour toute. |
| | | | (#)Jeu 1 Oct 2020 - 21:52 | |
| Jill est toujours en face de Bailey, elle joue avec le feu, comme elle l’a toujours fait. Mais il semble que Bailey a décidé de ne pas l’accepter ce soir. Elle soupire, elle ne se concentre plus une seule seconde sur l’eau qui boue et elle aussi elle commence à bouillir de l’intérieur. Ils se cherchent, ils continuent, jusqu’à ce qu’un des deux aille trop loin. C’est ce qu’ils font tout le temps ces derniers temps. Tout est en train de changer et elle se demande bien comment ça va évoluer et s’ils arriveront à se relever de tout ça. Elle se tait, il a cherché et il l’a trouvé même si ça ne lui plaît pas. Elle ne changera pas de caractère, et c’est à lui de voir s’il l’aime toujours comme ça ou si c’est devenu trop après 10 ans. Elle pince les lèvres, il ne regrette rien, lui. Elle ne fait que le fixer dans les yeux, peut-être que comme ça il arrivera à voir à quel point il peut être con des fois. Elle serre les dents, ne veut pas dire n’importe quoi pour tout gâcher encore plus. “C’est vrai que toi t’es parfait j’avais oublié !” Il est parfait là, à lui parler comme ça et lui reprocher tous les malheurs du monde. Elle encaisse Jill, et elle n’explose pas. Pas encore.
Et c’est qu’il reprend les mots de Jill, il a l’air vraiment touché et elle attend de voir jusqu’où il peut aller. Elle l’a dit pourtant qu’elle n’avait pas couché avec Louisa, mais c’est apparemment trop difficile de lui faire confiance. “Tu me fais pas confiance ?” Elle est là la question, parce que sans confiance il n’y a plus de couple, il n’y a plus rien de construit entre eux. Elle s’approche, le comptoir toujours entre eux pour garder une certaine distance de sécurité. Elle ne lâche pas l’affaire, ça fait des semaines qu’elle n’a pas ressenti cette proximité, ce petit truc qui lui prouve qu’elle l’aime et que c’est possible que lui aussi l’aime encore. “Tu poses des questions je réponds.” Elle ment, elle transforme et oui elle s’amuse. Elle cherche parce qu’elle aime trouver ce Bailey jaloux qu’elle avait pu entrevoir au début de cette relation malsaine. Ils ont besoin de ça ? Peut-être bien. Jill a l’impression d’en avoir besoin. “Ouais peut-être.” Elle ne lâche pas son regard. C’est lui qui veut qu’elle soit honnête, qu’elle montre que pour elle aussi tout est loin d’être beau et rose. “Peut-être que j’ai besoin de ça oui, que tu t’imposes.” Il ne l’a jamais vraiment fait, il était prêt à passer après n’importe qui Bailey, il ne veut jamais déranger, jamais faire d’esclandre, quitte à la laisser partir avec quelqu’un d’autre. Mais peut-être qu’aujourd’hui ça a changé et qu’il a grandi lui aussi.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
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| « C’est vrai que toi t’es parfait j’avais oublié ! » « Je suis loin d’être parfait. »
Jamais je ne me suis estimé parfait dans notre couple. C’était avant ça, le couple sans reproches, lisse et sans défaut. C’était quand je passais mon temps à mentir pour la retrouver elle. L’être humain est loin d’être parfait et clairement, on ne l’a jamais été ensemble. Cela a toujours été trop fort, trop rapide ou trop intense. On n’a jamais su faire dans la demi-mesure et cette conversation le prouve encore. On ne sait pas faire comme les autres, on n’a rien d’une normalité ennuyante. Peut-être que c’est ce qui a fini par nous perdre. Peut-être que l’on a brûlé les étapes sans avoir de grandes discussions, sans analyser notre situation. Je n’en sais rien. On pourrait refaire le monde avec des suppositions quand ce qui compte, c’est le moment présent. Là, dans notre cuisine, quand elle avoue qu’elle aurait pu fricoter avec Louisa et qu’elle se vexe de ma réaction. « Tu me fais pas confiance ? » Je devrais faire attention à ma réponse, prendre des pincettes comme toujours. Toute la fragilité de notre couple réside dans cette question et la réponse que je voudrais bien lui apporter. Je pourrais enjoliver les choses, arrondir les angles, prétendre encore et toujours que le temps arrangera les choses. Quand en réalité, il est temps de se dire les choses franchement. « Je ne sais plus. » Elle fait mal la vérité, elle vous tiraille de tous les côtés, elle pique, brûle et étouffe. Pourtant, le constat est là, je ne sais plus. « Je t’aime, Jill. » Il fallait que je le dise, maintenant. Mon regard cherche le sien pour la première fois dans ce bordel. « Je t’aime. Parfois d’une manière si intense que je me demande si c’est vraiment normal de ne plus savoir comment respirer quand t’es pas là. » Et pour rien au monde, je ne voudrais changer cela, je crois. « Et je comprends pas ce qui nous arrive, ce qui m’arrive, alors je sais plus. » C’est un amour qui ne s’explique pas. C’est si fort que je ne sais pas faire sans, c’est si intense que malgré la rancœur, on se bat encore, sans se comprendre, mais on se bat. Et après son départ, je me suis senti perdu au milieu de tout ça.
« Ouais peut-être. Peut-être que j’ai besoin de ça oui, que tu t’imposes. » Je suis incapable de retenir ce petit rire nerveux qui m’échappe. M’imposer. C’est bien un mot qui ne colle pas à la définition même de Bailey Fitzgerald, celui qui s’est toujours écraser pour les autres. Je prétends, pourtant, vouloir prendre mon indépendance, ne plus subir les diktats que les autres m’impose. C’est ce qu’elle me demande, là, ma femme. « Quand je te dis réellement les choses, tu te vexes et tu t’en vas. Quand je ne dis rien… Tu finis par te vexer et souvent, tu t’en vas. » Encore et toujours. Un schéma inlassable qui ne cesse de se répéter depuis dix longues années Un silence s’installe alors que ses derniers mots ne cessent de me revenir en tête. Elle veut que je m’impose. « J’ai passé trente-huit ans à m’écraser pour les autres. » L’admettre face à elle est bien plus violent que je ne pourrais jamais l’admettre. Uppercut du droit. Je suis plié en deux sur le ring, suffocant et à deux doigts de lâcher prise. « Je ne sais pas m’imposer comme toi, tu ne sais pas ne pas exploser. » Les deux opposés qui se sont toujours attirés. « Mais une chose est sûre, je n’ai jamais supporté que tu partes avec d’autres, t’es à moi Jill McGrath. » Et ça, je ne lui avais jamais dit comme cela. Jamais. |
| | | | (#)Jeu 1 Oct 2020 - 23:50 | |
| Elle est importante cette question qu’elle n’osait pas poser depuis des jours. Si la confiance est perdue elle ne reviendra pas une nouvelle fois. Ils ont trop tiré sur la corde, ils ont trop essayé de se blesser pour se tester et ça leur a fait trop de mal. C’est à double tranchant, un oui ou un non qui déterminera la fin ou le renouveau de leur relation. Il a tout entre les mains Bailey, il a juste une décision à prendre. C’est compliqué, c’est long, et elle s’arrête de respirer pendant de longues secondes Jill. Il ne sait plus, et elle ne sait pas non plus quoi penser d’une telle réponse. Ils sont dans un entre deux, encore une fois. Et elle doit attendre qu’il sache, encore une fois. Ces mots, elle avait l’impression de ne pas les avoir entendu depuis des années. Elle relève les yeux vers lui, elle se tait, le laisse continuer ses explications parce qu’il y a sûrement un mais derrière tout ça. “Je comprends pas non plus.” Et c’est ça le hic, c’est ça qui fait qu’ils en sont là aujourd’hui. Parce que Jill a peur de la vie qui l’attend si elle choisit Bailey et les jumeaux pour de bon, lui il a peur que ses vieux démons reprennent le dessus une nouvelle fois. Ce qui risque d’arriver au cours de sa vie, parce qu’ils sont nombreux les démons dans l’esprit de Jill. Elle l’aime aussi, mais elle ne le répète pas, elle se demande si c’est viable pour lui de l’aimer aussi fort. Elle croise à nouveau son regard, rempli de doutes cette fois.
Elle parle elle aussi, elle aimerait qu’il s’impose, qu’il lui fasse comprendre ce qu’il veut vraiment. Elle a besoin de savoir à quel point il la veut dans sa vie, s’il la veut encore vraiment auprès de lui d’une autre manière que seulement la mère de ses enfants. “Je suis pas partie là.” Parce que si lui il fait des efforts, elle en fait aussi. Elle aurait pu partir à de nombreuses reprises la jeune femme, pourtant elle est restée dans cette cuisine qui semble trop petite pour accueuillir autant de tensions. “C’est jamais trop tard pour changer.” Un regard de défi, il a toujours toute ses chances de pouvoir faire tout ce qu’il veut le Fitzgerald, il doit juste être capable de s’en rendre compte une bonne fois pour toute. « Mais une chose est sûre, je n’ai jamais supporté que tu partes avec d’autres, t’es à moi Jill McGrath. » Cette phrase résonne dans la tête de Jill. Il n’a pas parlé au passé, il parle au présent et ça la rassure. “Montre le alors. Que je suis à toi.” Elle est libre Jill, et elle le restera toujours. Mais son coeur peut appartenir à une seule personne, il doit lui montrer ce qu’il veut.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| Avant, je me serais torturé l’esprit pour lui offrir la réponse la plus parfaite qui soit à ses yeux. J’aurais dilué la vérité enrobé dans tout un tas de mots compliqués pour surtout ne jamais avoir à trancher. Ce soir, je lui avoue tout simplement à quel point, je me sens perdu dans notre histoire. Mon amour pour elle reste indéniable, la confiance aveugle que je pouvais lui accorder auparavant n’a cessé de se fissurer pour éclater en mille morceaux dès l’instant où elle s’est enfuie en Nouvelle-Zélande. Et on en est là. Incapable de se parler sans pour autant avoir envie de se quitter pleinement. Elles fusent dans tous les coins les questions que j’ose à peine formuler. Est-ce que cela vaut la peine de s’acharner ? Est-ce que l’on vivrait mieux chacun de son côté ? Je ne saurais imaginer ma vie sans Jill, mais cette confiance effritée ressemble tristement à une fin. Comme s’il devenait impossible d’entrevoir une lumière au bout du tunnel. « Je comprends pas non plus. » Et c’est là, que l’on devrait se lancer enfin. C’est là que l’on devrait prendre le temps de discuter, rien que tous les deux. C’est là, que je reste tel un idiot, bouche fermer, cœur en berne.
Elle retombe en douceur la tension qui s’agite dans toute la pièce. Petit à petit, les langues se délient sans que l’un ou l’autre ne hurle. « Je suis pas partie là. » Elle est là, droite, face à moi. Son regard ne cherche pas la fuite et pour la première fois depuis ce qui me semble être une éternité, j’ai la sensation d’avoir toute son attention. Tellement que je ne sais plus réellement par où commencer. « Merci. » D’être encore là, de m’écouter. C’est probablement ce qui nous a toujours manqués : l’écoute. On hurlait si fort intérieurement que l’on en finissait par ne plus rien avoir à se dire. « C’est jamais trop tard pour changer. » Je pouffe un peu, hoche la tête en signe d’approbation. « On efface pas trente ans comme ça. » que je murmure, mimant un claquement de doigt. J’aimerais parfois me réveiller le matin avec cette nouvelle détermination, cette certitude de pouvoir réussir par moi-même enfin. Mais les démons sont là, tapis dans l’ombre. Pour elle et pour moi. Parfois, ils ne sont pas si différents, parfois ils sont si diamétralement opposés qu’ils nous éloignent. Un Ying et un Yang qui dérivent sans retrouver leur point d’attache.
« Montre le alors. Que je suis à toi. » Les mots sont puissants, ils attrapent sans prévenir et remettent tout dans la balance. Elle n’a pas répondu à mes je t’aime, laissant le silence tout chamboulé une fois encore, mais je peux faire ce dont elle a besoin. « D’accord. » Je l'entends, je l'écoute, je prends en compte. Lui montrer, faire des efforts, lui prouver que l’espoir n’es pas mort. Je l’entends, j’ai probablement été merdique sur ce point-là ces derniers temps. Je prends le blâme à cent pour cent. Je pensais toujours lui avoir démontré, mais le manque de communication semble avoir débuté dans ce point si innocent et pourtant capital d’une relation. Le nerf névralgique de la guerre se démontrer à quel point on s’aime. « Je… » J’hésite encore alors qu’elle a exprimé la nécessité que je m’exprime. Je me reprends, redresse la tête, croise son regard. « Il faut que ce soit donnant-donnant. » Il faut que l’on arrête ce jeu bancal où l’un donne tout tandis que l’autre panse ses blessures dans son coin. Les silences et les non-dits ont trop duré au point de nous amener à la rupture. Celle qui fait mal et qui ne laisse pas qu’à la colère. « Je veux plus être le seul à me battre pour nous. » C’est ensemble ou c’est fini. |
| | | | (#)Ven 2 Oct 2020 - 23:15 | |
| Ils ont haussé le ton, ils ont commencé à s’énerver mais tout redevient calme quand ils avouent tous les deux qu’ils ne savent pas où ils en sont. Ils ont peur tous les deux, et sont aussi perdus l’un que l’autre. Elle ferme les yeux, soupire dans la cuisine mais arrête de jouer avec lui et ses sentiments pendant quelques minutes. Ils sont sérieux, ils communiquent, et elle se rend compte qu’elle aussi elle a besoin d’être rassurée. Elle a besoin qu’il s’impose comme l’homme qui l’aime et qui est prêt à le dire à voix haute et à le montrer. Il faut qu’ils fassent des efforts, qu’ils apprennent à s’écouter et qu’ils comprennent qu’ils ont le droit de s’aimer et de le montrer. Mais Jill continue de se demander si elle est bonne pour lui, elle se le demandera sûrement toujours. Elle aura l’impression que tout peut vriller à cause d’elle et de ses démons du jour au lendemain. Elle est dangereuse Jill, et la relation qu’ils décident d’avoir ensemble l’est encore plus. Il la remercie de ne pas être partie et elle sourit un peu. Elle n’a rien à dire de plus et ils continuent cette discussion bien plus calme qu’elle n’aurait pu l’imaginer.
Elle ne s’attendait pas à cette réaction, elle s’attendait à ce qu’il vienne vers elle sans rien dire de plus. Mais il continue de communiquer Bailey, il a besoin de parler, il a besoin de montrer que certaines choses changent. Elle sait que ça doit aller dans les deux sens, qu’il ne veut pas faire les efforts seul mais cette fois il ose demander. Il ose imposer ce qu’il veut et ça l’étonne Jill. Il évolue Bailey, et elle aime cette différence. Peut-être qu’au fond ils avaient besoin de tout ça, de tout ce chaos pour entrevoir un peu de lumière au bout du tunnel. Le trajet est encore sinueux et brumeux, mais c’est peut-être maintenant qu’ils ont le pouvoir de faire évoluer et grandir tout ça. “Je sais.”
Elle a 2 choix. Elle abandonne et c’est terminé, ou elle se bat avec lui pour qu’ils réussissent à remonter la pente et créer du solide. Cette petite voix dans sa tête continue de lui dire qu’elle n’est pas prête pour tout ça, que cette vie n’est pas faite pour elle et qu’il vaudrait mieux qu’elle parte une nouvelle fois en courant, loin de la maison et de cette famille dans laquelle elle commence à se faire une place. Elle fait le tour du comptoir pour se planter face à lui, plongeant son regard dans celui de Bailey un long moment avant de dire quoi que ce soit. “T’as jamais été seul.” S’il avait été seul elle l’aurait réellement abandonné depuis longtemps. “Faut y aller doucement” Ils en ont autant besoin l’un que l’autre, et ils ont tout leur temps devant eux. Elle plaque sa main sur la bouche de Bailey avant de poser ses lèvres dessus, sa main faisant office de barrière entre leurs lèvres. Puis elle s’éloigne, un sourire amusé sur les lèvres.
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| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7497 POINTS : 900 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| On s'est perdu en chemin tous les deux. Je ne saurais dire quand exactement, je ne saurais dire pourquoi. Il y a toujours eu une base fragile. Notre histoire n’a pas commencé sous les meilleurs auspices, on n’aurait jamais dû se jeter à corps perdu dans cette relation qui n’avait rien de saine tant il était impossible de concevoir que j’ai toujours été amoureux de ma belle-sœur et jamais de celle qui a officiellement été ma femme la première. Tout est bancal dans cette explication. Epouser une sœur et puis l’autre. L’une par obligation, l’autre par réelle envie et amour. Peut-être que c’est là où tout a flanché. On n’a jamais réellement pris le temps de panser nos blessures du passé que déjà, on se mariait sur une plage du bout du monde et quelques semaines après on apprenait pour la grossesse. Je ne sais plus réellement, mais il est temps que l’on se parle sincèrement. J’ai toujours eu peur de m’affirmer face à la brunette, peur qu’elle s’en aille, peur que tout se brise parce que j’ose dire ce qui ne me plaît pas. Il était temps de réaliser que tout cela n’avait rien de normal. C’est elle qui finit par me demander de m’affirmer. Le déclic se fait, en douceur, le chemin sera encore long je n’en doute pas, mais certaines choses ont été dites. Il fallait que je laisse place à ma jalousie pour ouvrir le dialogue. C’est aussi simple qu’idiot, mais si cela fonctionne pour nous alors je prends.
« T’as jamais été seul. » Mes lèvres se serrent alors que je ferme douloureusement les yeux. C’est là que tout prêche selon moi. Probablement là que nos avis diffèrent. « Prouve le moi, Jill. » J’ai besoin de voir que je ne suis pas le seul à me battre pour nous. Je ressens ce besoin de savoir qu’elle m’aime, qu’elle me choisis délibérément. « Faut y aller doucement » « Qu’importe le temps que ça prendra. » Il faut que l’on se le donne ce temps qui nous a toujours cruellement manqués. On courrait après les minutes pour se voir toujours en secret et c’est comme si on n’avait jamais réellement perdu ses habitudes passées.
Et comme si le temps se suspendait, elle s’approche de moi, propose un baiser qui n’en a pas réellement un, mais qui ouvre une symbolique que je pensais perdu à tout jamais. Il est temps que l’on travaille sur nous, que ce soit chacun de son côté ou ensemble. Et l’avenir nous dira si on est capable de tout surmonter. Ce soir, en tout cas, je me sens apaisé et peux être que ce presque baiser a ramener un nouveau sourire au coin de mes lèvres. |
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