La nuit avait été longue. Sa petite soeur avait déconné et Andrew avait été la chercher, à trois heures du matin, là où elle était. Y'avait eu une fête. Elle s'était amusée. Elle avait un peu trop bu. Y'avait eu un peu trop de bruits et les flics avaient fini par débarquer. Alors oui, elle était majeure. Alors oui, elle aurait pu rentrer par ses propres moyens. Mais les flics n'avaient pas voulu la laisser repartir, comme d'autres jeunes, et au lieu d'appeler ses parents parce qu'elle était sûre et certaine qu'elle allait prendre la brasse de sa vie, elle avait préféré appeler son frangin. En soit, c'était pas une mauvaise idée. Parce qu'elle allait jouer sur la corde sensible et qu'elle savait très bien qu'Andy ne vendrait pas la mèche. Mais bon, il avait passé la moitié de la nuit dans la salle de bain avec sa petite soeur à lui tenir les cheveux parce qu'elle était au dessus de la cuvette et qu'elle n'arrêtait pas de vomir ses tripes. Une bonne leçon, en quelque sorte. Et Andrew espérait que ça allait, justement, lui servir de leçon et qu'elle ne recommencerait pas. Mais bon, de cela, il n'en était pas certain et se doutait qu'elle recommencerait un de ces jours. C'était comme ça. M'enfin, il ne voulait pas trop y penser. La nuit avait été agitée. Mais ce n'était pas pour autant qu'il allait annuler ce qu'il avait prévu ce matin là. Heureusement qu'il ne dormait pas beaucoup mine de rien. Qu'il n'avait pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil. Sans quoi, la journée allait être fichtrement longue, pour sûr. Andrew s'était préparé. Il avait ouvert la porte de la chambre d'amis. Sa soeur dormait encore. Cela ne l'avait pas empêché de s'approcher d'elle et de déposer un baiser sur son front. Il lui avait laissé un petit mot sur la table de la cuisine. Histoire qu'elle oublie pas de fermer derrière elle si jamais elle s'en allait. Il lui disait également qu'il repasserait très certainement à l'heure du déjeuner, enfin, si elle éait encore là. Et que si elle était pas là, qu'elle le prévienne par sms. Bah ouais. Ca serait con qu'il rentre chez lui si y'avait personne au final, non ? Ce qu'il avait prévu de faire ce matin là ? Il allait prendre le petit déjeuner avec Liv. C'était toujours sympathique de se voir en dehors de l'hôpital. Ca permettait d'entretenir les liens de franche camaraderie, non ? Andrew avait pris sa voiture. Direction le Pearl Cafe pour le petit déjeuner avec Liv. Y'avait pas trop de circulation. Une chance. Il n'aimait pas quand y'avait des bouchons ou bien trop de voitures sur la route. Ouais, il faisait souvent les trajets à pied. Du moins, quand c'était pas trop loin. Ou qu'il n'était pas pressé. Et là, fallait qu'il se bouge parce qu'il avait pris un peu de retard. D'où la voiture. Il s'arrêta en face du café et sortit de son véhicule. Il fit attention avant de traverser la rue. Manquerait plus qu'il se fasse renverser. Et en moins de temps qu'il ne le faut pour dire ouf, il était dans la boutique. Le carillon avait sonné quand il avait passé le pas de la porte. Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche, Liv ne semblait pas être encore arrivée. mais elle n'allait plus tarder. Du moins, c'était ce qu'il se disait.
Little breakfast between friends. A small friendly enough usual friends.
Et voilà tu as encore loupe ton réveille Liv, chapeau, bravo je te félicite. C’est rare que je sorte comme ça, mais surtout c’est rare que je loupe mon réveille comme ce matin. Quand j’ai senti Sam ce lever, j’ai attrapé mon téléphone puis j’ai appelé l’hôpital pour leur dire que je ne viendrais pas ce matin, ce n’était qu’une petite garde puis je n’avais pas envie d’aller travailler avec la gueule de bois. Ô que non surtout pas ça. Puis de toute façon Andrew m’avait donné rendez-vous pour déjeuner. Ca allé fait un plaisir fou de le revoir en réalité. Même s’il travaille a l’hôpital on ne se voit pas si souvent que ça, on n’a pas vraiment le temps de parler ensemble et faut s’avouer que notre rencontré a été assez bizarre au début. Deux jeunes inconnus qui discutent sur un banc dehors a l’aéroport a attendre un taxi puis qu’au final travailler ensemble dans le même service quand je venais tout simplement d’être diplômer. J’étais bien trop maladroite au début et j’avais peur que de perdre mon poste à ce moment donner. Andrew m’avait bien rassuré a cette période de ma vie. Quand j’ai su qu’il partait, je lui avais souhaite de réussir et d’en profiter. C’est la moindre des choses. Qui ne voudraient pas partir comme lui, pour exercer son métier ailleurs ? Beaucoup de monde. J’aurai cette occasion je pense que je ne serais pas ici a se moment présent. Je ne serais surement pas mariée mais surtout je ne serais pas celle que je suis…
« Aller Liv bouge tes fesses et lève toi et prépare toi ! » Après ses paroles je me lève rapidement de mon lit, je file sous la douche, une fois que j’ai pris ma douche je m’habille simplement, un jean ainsi qu’un débardeur. J’attache ma chevelure rousse en une queue de chevale puis je me maquille légèrement. Une fois que l’heure arrive, je sors de l’appartement puis je monte dans ma voiture. Je me dirige vers le Pearl Cafe ou tu m’as donné rendez-vous. J’étais légèrement en retard. Je pousse alors la porte puis je regarde tout autour de moi, quand je te vois au loin j’ai un large sourire aux lèvres et m’approche de toi. « Andrew ! Je suis désolée je suis un peut en retard. » Je viens alors lui faire la bise quand je suis face a lui.
Pas de jolie rousse à l'horizon. Sans doute qu'elle devait avoir un peu de retard. C'était même certain à dire vrai. Est-ce qu'elle allait venir ? Est-ce qu'elle allait, au final, lui envoyer un message pour lui dire qu'elle ne pouvait pas venir et qu'elle remettait leur entrevue à un autre jour ? Il n'en savait rien. D'une certaine manière, il espérait bien qu'elle allait venir. Ca faisait longtemps qu'ils n'avaient pas eu l'occasion de discuter tous les deux. Certes, ils travaillaient dans le même hôpital. Mais cela ne voulait pas dire pour autant qu'ils se croisaient tout le temps. Ca arrivait qu'ils se croisent au détour d'un café, dans la salle de pause, ou bien même à la cafétaria. Mais ils n'étaient pas dans le même service. Et oui, se croiser pouvait être compliqué parfois. Pour sûr. C'était bien dommage. Parce que Liv était gentille. Elle était sympathique. Il aimait bien discuter avec elle. Et ne pas la voir, oui, c'était ennuyeux. Enfin, passons. Andrew s'était installé à une able, près de la fenêtre. Oui, ils seraient bien là. Et si on les voyait ? Et alors, il s'en foutait. Andrew n'avait rien à cacher. C'était pas comme s'il l'avait invitée pour la draguer. Ils étaient simplement de bons amis. Et puis, sortir avec une collègue de boulot ... C'était ... problématique. Enfin, ça finissait par poser des problèmes. Et Andrew préférait l'éviter. Le boulot, c'était le boulot. L'amitié au boulot, ça ne le gênait pas. Plus, ça pouvait devenir gênant. Et il n'avait pas envie que ça arrive. C'était certain. Une serveuse avait fini par s'approcher du grand brun afin de prendre sa commande. "Vous pourriez repasser ? J'attends une amie." avait-il jugé bon de lui dire. Oui, il préférait attendre Liv et commander une fois qu'elle serait là. Pour sûr. Il finit par redresse la tête et finalement, la rouquine était là. Elle venait de passer le pas de la porte et elle s'était rapprochée de lui pour lui faire la bise. Alors, bien évidemment, il s'était levé pour éviter qu'elle se baisse. "Mais non, mais non, t'es pas en retard." Ils se firent alors la bise. "Comment ça va toi ? Ca faisait un petit moment mine de rien qu'on n'avait pas eu le temps de prendre un petit déjeuner ensemble." Et de se parler. Puisque l’intérêt, justement, c'était de manger ensemble et de discuter un peu.
Quand je te vois te lever pour éviter que je me baisse je remarque a quel point tu étais toujours aussi grand. Je passe alors mes mèches de cheveux derrière mes oreilles et m'assois en même temps que toi, juste en face. Je relève le nez a ta question, j'ai toujours mon doux sourire attacher a mes lèvres en te regardant. « Je vais plutôt bien et toi donc ? Oui c'est vrai qu'on a pas trop eu le temps ses derniers temps. Depuis que je suis en pédiatrie je vais t'avouer que je n'ai plus une minute a moi. » Je reprends doucement mon souffle puis je reprends directement. « Bon et toi ? J'ai appris que tu étais parti en ... Attends que je ne me trompe pas, Afrique c'est ça ? » Je dis en riant doucement. Je n'étais pas sur du nom du pays, mais je pense ne pas mettre tromper en faite. La serveuse revient quelques minutes après mon arriver. Avec son large sourire elle nous regarde l'un après l'autre. Comme pour nous demander se que nous mangeons. Sur le coup je reste un peut bouche bée ne sachant pas moi se que je pouvais prendre. Puis je viens alors te regarder. « Je prendrais la même chose que monsieur ! » Je laisse un sourire amusée ainsi qu'une petit rire m'échappé de mes lèvres, je voulais te laisser chercher mais surtout je ne savais pas quoi prendre du tout. Ultimatum que je te laisse répondre. J'avais dépose mes bras croiser sur le rebord de la table en te regardant dans les yeux attendant que tu puisses répondre, la serveuse commence a s'impatienté se qui je peux que m'amuser aussi. Je lève mon regard bleuté. « On vous appellera quand on aura décidé. Il aussi perdu que moi. A si, en attendant je peux avoir un thé s'il vous plais. » Elle lève les yeux aux ciels et repart en soupirant. Je laisse un second rire m'échappe de mes lèvres et te regarde a nouveau. « Et bien tu as perdu t'as langue ? » J'ai toujours mon petit air taquin et amuser, sur ce point je n'avais pas vraiment changer je t'avais fais le coup plus d'une fois de prendre la même chose que toi a nos petit déjeuner. Se qui était bien c'est qu'il n'y a que de l'amusement entre nous deux, je viens en suite coller mon dos contre la chaise en continuant de te regarder. « Bon dans tous ça tu as beaucoup de chose a me raconté malgré tout ! C'est pas en se voyant rapidement dans les couloirs de l'hôpital que tu vas me raconter toute t'as petite vie ! » L'image de nous deux en plein milieu des couloirs de l'hôpital entrain de discuté était assez amusante et m'arrache un sourire sur mes lèvres. Surtout qu'on avait jamais vraiment le temps de bien discuté.
Elle allait bien. C'était une bonne chose. Cela l'aurait ennuyé de savoir que ce n'était pas la grande forme pour elle. Bien qu'il se doutait, néanmoins, qu'elle ne devait pas tout lui dire et qu'elle faisait bonne séance. M'enfin, dans l'immédiat, il n'avait rien, aucun indice qui lui faisait croire que ça n'allait pas chez la rouquine. Elle lui retourna la question et eut un hochement de la tête. "Ca va bien aussi. J'ai retrouvé mes marques depuis mon retour. Et ça ne pourrait aller mieux." Il avait la pêche. Il gardait le sourire. Oh, y'avait certains patients avec qui c'était difficile. Mais comme tout le monde. Elle était, maintenant, en pédiatrie. "Oui, j'ai appris que t'avais changé de service. Et tu aimes bien t'occuper des enfants ?" avait demandé Andrew en penchant la tête sur le côté. Est-ce que lui il aurait pu le faire ? Passer du temps avec les gamins, il le faisait, de temps à autre. Quand il savait pas quoi faire. Quand il avait pas d'opération sous le coude. Ouais, il allait les voir. Il jouait aux cartes avec eux. Ou il les trimbalait dans l'hôpital, histoire qu'ils s'ennuient pas à mourir dans leur chambre. Il eut un hochement de la tête tandis qu'elle lui demandait s'il était bien parti en Afrique. "C'est ça. Au Mali principalement, même si j'ai pu bouger un peu à droite, à gauche, durant ces six ans. Et j'suis pas mécontent d'être rentré, même si c'était une formidable expérience. J'regrette pas d'être parti." Il avait perdu quelques amitiés dans le lot. Des personnes qu'il avait fini par perdre de vue parce qu'il s'était éloigné. Mais bon. Il s'en ressortait ... grandi, en quelque sorte. Avec un autre genre d'expérience. Formation médicale dans l'armée plus formation dans le bush avec peu d'outils à disposition. Quand il avait une opération qui tournait mal, il avait toujours un plan B. Ou bien, il faisait en sorte de rafistoler les dégâts. Il était doué. Y'avait pas à dire. Et il aimait ce qu'il faisait. La serveuse avait fini par se pointer. Liv était là mais ça ne voulait pas dire pour autant que Andrew savait déjà ce qu'il allait prendre. Elle prendrait la même chose que lui. "Ah ouais, t'es comme ça toi ?" Il la regardait. Elle lui faisait souvent le coup. Elle commanda un thé et demanda à la serveuse de revenir un peu plus tard, le temps de les laisser choisir ce qu'il prendrait. "Un latté macchiatto pour moi en attendant." En fait, il savait pas trop quoi choisir. Simple en restant sur un pain au chocolat ou bien un croissant ? Ou autre chose, comme un chausson aux pommes, un crumble, un donut's. Ou des pancakes ... Mouais ... Ca serait sans doute des pancakes. Avec du miel. La serveuse s'éloignant, ils pouvaient, ainsi, discuter un peu. Il eut un hochement de la tête. "Tu marques un point. Et encore, c'est rare qu'on se croise dans les couloirs. On n'est pas vraiment au même étage." Du tout. C'était bien ça qui était dommage. Ils bossaient dans le même hôpital, mais cela ne voulait pas dire pour autant que ... Et bien, qu'il avait si souvent l'occasion de croiser ses collègues. Et de discuter avec eux. "Et bien et bien ... que dire ... Bon, tu t'en doutes un peu. Ca fait à peu près sept mois que j'suis rentré du Mali. Ca a pas été rose tous les jours là-bas." Il eut un hochement de la tête. "Le job ... il est bien différent en fait de ce qu'on fait ici. Moins de moyens. Plus de malades. Et des trucs qu'on peut pas toujours guérir, faute de moyens d'ailleurs." La serveuse s'était pointée avec le thé et le latte. Le temps, maintenant, de commander autre choses. "On va prendre des pancakes. Avec du miel." Ils ne mettaient pas directement le miel sur les pancakes. Toujours à côté. "Merci." La serveuse avait quand même jeté un coup d'oeil à Liv histoire de savoir si elle allait vraiment prendre la même chose que lui. Ou pas.
Je garde alors mon sourire aux lèvres en venant alors te regarder quand tu me parles du changement de service dont la pédiatrie j'ai mon sourire qui s'élargie de plus en plus en te regardant. « Oui j'ai fais ma demande quelques mois après ton départ en réalité. Vue que j'ai toujours voulu des enfants et que j'ai la possibilité de travailler avec eux je l'ai fais. Et vue qu'il mon accepter je ne le lâche plus depuis six ans maintenant. Mais je travaille beaucoup avec les gynécologues de l'hôpital et par moment on me kidnappe aux urgences ! » Je laisse un petit rire m'échapper, je pensais a cet homme recensement qui a voulu me draguer mais surtout que je le soigne. Mais je pense aussi a ma demande que j'ai faite quand mes beaux-frères étaient hospitaliser il y a peut de temps. Je suis l'infirmière qui est capable de passer de service en service surtout avec les débuts que j'ai fais a t'es côtés. Mais c'est vrai que je t'es demander comment c'était quand tu es partie, tu me précise le nom exacte du pays. Je fais une petite moue ne connaissait pas du tout de quoi me parle ni de quel pays mais je t'écoute attentivement. Ca m'intriguais les histoires comme ça, je demande souvent a ma belle-soeur ses voyages. Bon entre temps, la serveuse nous coupe, je ne peux m'empêcher de rire doucement a t'es paroles. Je n'avais pas changer j'ai toujours ce jeu amuser par rapport a la nourriture. Mais nous revenons rapidement aux sujets de l'hôpital, c'est vrai que malgré qu'on ne soit pas dans le même service on pouvait se croiser par moment sauf que non nous avons pas cette chance tout les deux. « Non tu veux juste me fuir même si beaucoup vienne travailler avec nous aux services, mais je vais t'avouer que je navigue beaucoup entre les services, je suis réclamé ! » Je prends un petit air amusé en te disant ça puis je rajoute « Madame Beauregard et régulièrement demander ! » J'ai un petit sourire en coin, tu m'avais connu sous le nom de "Rosevear" et non "Beauregard". Je sais que ça allait te faire tilte quand je te dis mon nom. Je secoue doucement la tête, et penche un peut mon visage sur le coter pour venir t'écouter en te regardant. A t'es explications je comprends que c'était dur là-bas malgré tout, dur dans tous les domaines, que ça soit médicale ou niveau maladie. Je me pince doucement les lèvres « Ca t'as fais une bonne expérience mais je peux comprendre que ça devait être dur là-bas. Tu étais plus particulièrement avec des adultes ou des enfants ? » Ca m'intrigue assez, même si je pense que c'étais pas si joyeux. La serveuse revient et tu lui dis notre commande quand elle me regarde je hoche positivement la tête en souriant doucement et la remercie pour les boissons je prends rapidement ma tasse et l'apporte a mes lèvres doucement pour boire une gorgée.
Ca faisait un petit moment que Liv avait demandé son transfert dans le service pédiatrique. Et Andrew espérait que ça lui plaisait. Ca devait être le cas. Sans quoi, elle ne serait pas dans ce service et elle aurait, sans doute, demandé un autre transfert. Pour sûr. Andrew eut un sourire à son encontre. "C'est bien si t'as trouvé ta voie. C'est même très bien. C'est jamais marrant d'aller de service en service sans arriver à se trouver à sa place." Andrew ne disait pas pour autant que ... Et bien, il n'avait pas vécu cet état de fait. Il avait toujours su que la chirurgie, au final, ça serait pour lui. Parce que c'était ce qu'il avait fait, quand il était sur le terrain. Il avait été obligé de rattraper des blessures graves. De mettre ses mains dans le cambouis, si on peut dire cela ainsi. Il en avait vu des vertes et des pas mûres quand il était à l'armée, c'était un fait. Et ça avait continué d'évoluer. Il avait vu d'autres choses. Et ce boulot, ouais, ça lui tenait à coeur. Il ne se voyait pas faire autrement. Il ne se voyait pas faire un autre boulot. "C'est bien également qu'on te kidnappe. Ca te permet de voir d'autres choses. Et j'présume que t'aimes bien bosser avec les enfants, j'me trompe ?" avait-il fini par lui demander en penchant la tête sur le côté. Sans doute, sinon, elle serait partie dans un autre service. "C'est sympa de travailler avec les gosses mine de rien. J'ai pas trop souvent l'occasion de le faire." Nan, quand il avait des opérations à faire, il passait du temps plutôt avec les parents. Il voyait les enfants, également, mais moins quand même. Cela ne l'empêchait pas de tenter de passer un peu de temps avec eux. Surtout ceux qui étaient en long séjour et qui s'ennuyaient un peu. "Par contre, j'kiffe les emmener se promener un peu dans l'hôpital, dans leur fauteuil roulant." Est-ce qu'un jour il aurait des enfants ? Oui, il en voulait. Il espérait qu'il en aurait. Histoire de changer de sujet, Andrew lui avait parlé de l'Afrique. De l'endroit où il était. De ce qu'il avait pu faire. Mais il n'eut pas le temps de lui en parler plus longuement. A cause de la service qui venait leur demander ce qu'ils allaient prendre. Alors, bien sûr, Andrew ne savait pas trop quoi prendre. Alors, pour le moment, il s'était contenté de prendre une boisson. Et il verrait après. Une fois que la serveuse serait revenue avec les boissons. Il eut un léger rire tandis que Liv lui expliquait qu'elle allait et venait souvent entre les différents services. C'était la base de son job. Elle était infirmière après tout. Lui, il était chirurgien. Et il était souvent dans une pièce, enfermé, ou presque, avec un peu de musique. Et il devait se concentrer. Il devait faire en sorte de ne pas foirer l'intervention. Il avait, entre les mains, une vie à sauver. Alors, il pouvait pas se permettre de déconner. "Tu peux te permettre de naviguer entre les services. Malheureusement, j'ai pas trop le temps." avait-il dit dans un hochement de la tête. Pour sûr. Il fut néanmoins surpris par la suite. Beauregard ? Madame Beauregard ? "Sérieux ? Avec lequel des frères tu t'es mariée ?" avait-il fini par lui demander. Pas Tom. Il était heureux avec Ida. Très heureux. Ne restait plus que ce cher Ezra ou bien Samuel ? Après cela, après cette petite explication, Andrew lui avait parlé un peu du Mali. "Bonne expérience ... Façon de parler. J'avais déjà eu ce genre d'expérience avec l'armée." avait-il dit dans un nouveau hochement de la tête. "Mais c'est difficile, oui. Surtout quand on finit par se retrouver sous les coups de feu ennemis alors qu'on ne s'y attendait pas vraiment." La serveuse s'était pointée avec les pancakes que Andrew avait commandé un peu plus tôt. "Merci." Il l'avait gratifié d'un sourire. "Les deux. Enfants, adultes ... Vieillards aussi. On traite tous ceux qui passent notre porte. Et c'est pas des journées de huit ou neuf heures qu'on fait. Table plutôt sur les quinze, voire seize heures dans le pire des cas. Mais ce qui est dur surtout, c'est de ne pas avoir les moyens pour sauver les gens." Et ça, oui, c'était le plus compliqué. Selon lui.
Oui j’avais enfin trouvé ma place et j’étais contente, contente de voir que ce service est pour moi quelque chose de bien et qui me montre que je ne suis pas qu’une simple infirmière. Ca me montre aussi que tous ses enfants on aussi besoin d’avoir une infirmière qui est a leur écoute mais aussi qui est là pour les aider et même joués avec eux quand ils ont besoins. J’ai toujours aimé les enfants en réalité. Je ne me voyais pas travailler dans une garderie, je ne sais pas, le métier d’infirmière ma toujours attiré quoi qu’il arrivait. Mais c’est vrai que j’ai commencé en étant une simple infirmière alors beaucoup c’est comme je travaille. Souvent les urgences m’appellent en plus de travailler avec les gynécologues « Oui c’est vrai que c’est bien mais je préfère quand ses les enfants qui me kidnappe pour leur raconté des histoires joués avec eux, pas me faire kidnappé par des adultes pour me faire draguer. » je laisse un rire m’échapper en te regardant, en te disant j’approuve le fait que j’adore les enfants. Trouver l’occasion de naviguer dans les couloirs, je réfléchis un peut en haussant doucement les épaules. « Surement oui, mais je ne sais pas trop. Tu sais, il y a de plus en plus d’enfants qui arrive donc entre les soins, les appels urgents etc je n’ai pas temps de temps que ça de me promené dans les couloirs. » Je te regarde en souriant, c’est assez dur par moment mais c’est que je dois m’imaginer que pour toi aussi ça doit être dure, surtout a être concentré a ne pas devoir un faux pas, avoir une vie entre les mains. Je n’ai jamais eu l’occasion de participé a une intervention comme ça, ça doit être impressionnant. Quand tu me dis que tu passes dans le service pour aller te promener avec les enfants qui sont en fauteuil en te regarde en riant doucement. « Mais c’est toi qui me kidnappe mes petits chéris quand ils doivent les visites habituelle. » je prends un petit air choquer mais j’étais amuser et je ne pouvais pas le garder « Tu as bien raison de faire, ça leur fait vraiment plaisir. C’est vrai que nous on n’a pas vraiment le temps de faire ça. Mais la prochaine fois tu passes par l’endroit infirmière pour faire un coucou. » Ca m’étonne sans m’étonne, car je connais un autre chirurgien qui adore les enfants et qui est intervenu plus d’une fois dans le service. Donc je sais que tout le monde aime les enfants et qui veulent les aidés. Mais c’est vrai que j’aimerais vraiment avoir des enfants, j’espère juste que le sujet n’arrive pas, j’aimerais juste l’évité. Beaucoup savent que je n’aurai pas d’enfant, du moins pas pour le moment. Lorsque que la serveuse nous donnent nos boissons, j’attrape alors ma tasse entre mes doigts je souffle doucement sur le liquide chaud puis je bois quelques petites gorgés. Je t’ai subtilement dit que j’étais mariée a ta réaction je ne peux pas m’empêcher de rire doucement « Thomas impossible comme tu dois le savoir puis non, pas Thomas. Après, James lui c’est plus une grande histoire d’amitié folle que d’amour alors maintenant il en reste deux…. » Je souris en te regardant, j’arrête alors le suspense « Bon je te dis, c’est Samuel ! » J’ai un large sourire sur mes lèvres en te regardant, quand je dis que je suis avec Samuel, j’en suis heureuse malgré que notre soit entrain de battre de l’aile. « C’est grâce a James que nous sommes ensembles, il a limite poussé l’un dans les bras de l’autre ! » Après t’avoir dit avec le quel des Beauregard je suis, je plisse doucement les yeux en te regardant. « Et toi, tu as quelqu’un dans ta vie ? Tu veux nous la cacher ? » un doux rire s’échappe après ses quelques paroles. Puis tu me parles du Mali, je te regarde en hochant un peut la tête en t’écoutant attentivement. Je peux alors comprendre que ce n’était pas facile du tout, niveau physique et mentale aussi. La serveuse arrive, je lui souris en la remerciant, puis quand tu reprends la parole je t’écoute à nouveau. Je prends alors mes couverts pour venir couper et manger mon morceau. Je viens alors reprendre la parole en ayant un petit sourire pour te rassuré. « Tu as fais du mieux que tu pouvais avec les moyens que tu avais. Tu as sauvé beaucoup plus de vie que tu ne le pense et j’en suis sur qu’ils t’en seront reconnaissait tout au long de leur vie. » Je voulais te rassuré comme je pouvais, je n’ai pas vécu ça mais je voulais faire de mieux que je peux pour te rassuré.
Andrew se mit à rire quand elle lui parla de kidnapping. Sur le fait qu'elle préférait que ça soit les enfants qui la prennent en otage plutôt que les adultes et qu'elle se fasse draguer par ces messieurs. "Ah, on n'y peut pas grand chose ma grave malheureusement." avait-il dit dans un hochement de la tête. "Ca arrive même aux médecins tu sais. On voudrait se concentrer sur le patient et au final, bam, on s'fait draguer par le parent." avoua-t-il en soupirant. Ca arrivait. De temps à autre. Que la mère soit chamboulée parce que son enfant se retrouvait à l'hôpital et devait subir une opération, oui, Andrew n'avait rien contre cela. Mais voir que la mère lui faisait clairement du rentre dedans ou bien les yeux doux, non. Andrew, c'était pas son genre. Non pas qu'il pourrait pas sortir avec une de ses patientes ou bien la mère d'un enfant dont il avait la charge. Mais trop d'ennuis selon lui. Il voulait pas s'y risquer. Oh que non. Ne jamais mêler boulot et amour. Ca finissait par provoquer des problèmes et Andrew n'avait pas besoin de cela. Et puis, il avait rencontré Malia. Bon, il ne savait pas vraiment ce que ça allait donner. Ils avaient juste ... Partagé une voiture au festival. Mais il espérait bien la revoir, c'était un fait. "De toute manière, avec le boulot qu'on fait, on ne peut pas vraiment se permettre de garder le nez levé et d'attendre que ça passe." Non. Pour sûr. Ils étaient demandés. Régulièrement. Parfois, ils devaient faire des heures supp. Parfois, ils partaient à point d'heure de l'hôpital. Andrew s'en fichait. Il était pas de famille. Enfin, pas de copine, pas de femme, pas d'enfant. Mais une fois qu'il aurait tout cela, enfin, s'il arrivait à se caser, oui, faudrait qu'il passe moins de temps à l'hôpital. Sans quoi son couple imploserait rapidement. Et il n'avait pas envie que ça arrive à dire vrai. Oh que non. Mais pour en revenir à ce qui nous intéresse, oui, Andrew lui avait avoué qu'il passait de temps à autre avec les gamins. Si bien que Liv ne retrouvait pas les gamins dans leur chambre et qu'elle devait leur courir après, se demandant où ils étaient passés. Il mit les deux mains en l'air, comme si elle était en train de le braquer avec une arme. "J'avoue m'dame la juge, j'suis coupable de promenade avec les enfants sans prévenir personne, obligeant nos pauvres membres du personnel médical à leur courir après dans les couloirs." Et il s'était mis à rire. Ca ne dérangeait pas Liv. Elle voulait juste qu'il vienne la voir quand il passait. "Promis m'dame la juge, j'passerais." Il avait hoché la tête. "Et même si j'passe pas par la case enfant pour aller en promener ici ou là, ça m'empêchera pas de passer si j'ai le temps." Entre deux opérations par exemple. Ca pourrait être sympa, oui. En tout cas, Andrew était surpris. Il était loin de se douter qu'elle avait fini par se marier avec un Beauregard. Samuel ou bien James ? C'était l'un ou l'autre. Parce que Thomas était heureux avec Ida. Et il n'avait pas eu d'info comme quoi ils avaient divorcé. Donc ouais. Son coeur avait craqué pour lequel des deux ? Il aurait pu penser James, parce qu'ils étaient proches. Mais non. C'était sur Samuel qu'elle avait jeté son dévolu. "Et bien félicitations ma grande !" Il avait levé sa tasse en direction de Liv. "A ton mariage que j'ai loupé. J'ose espérer que j'aurais été invité si j'avais été dans le coin, non ?" S'il ne l'avait pas été, il n'en aurait pas fait toute une histoire de toute manière. Il espérait qu'elle soit heureuse en tout cas. "T'as pas prévu de mini Beauregard pour le moment ?" Il avait porté sa tasse à ses lèvres. Il ne savait pas trop si c'était un sujet sensible ou non. Il espérait pas. Elle lui avait posé une question. Sur une future Madame Miriyan. Enfin, elle l'avait pas dit comme ça, mais c'était ce qu'il comprenait. "Pas pour le moment, non. Enfin, j'ai peut-être rencontré quelqu'un. Mais j'veux pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué." Il avait hoché la tête. "Après, ouais, ça serait bien si ça pouvait fonctionner. Mais je pense pas qu'on en est encore à ce stade." Ils s'étaient vus quoi ? Deux fois. C'était pas assez. Alors, bien sûr, il avait prévu un café, un thé ou quelque chose dans le genre avec elle dans les prochains jours. Encore fallait-il qu'elle accepte. Andrew lui avait parlé du Mali. Du fait que c'était difficile. Loin d'être évident. Qu'il en avait bavé. Mais il était revenu en entier. "On fait avec les moyens du bord. J'l'ai souvent répété à Duncan. Il bouillonnait parce qu'il aurait tant aimé avoir plus de moyens pour tous les sauver. Mais bon, on pouvait pas." C'était bien triste. Mais c'était comme ça. Il avait sauvé des vies. Il avait fait son possible. Et il n'avait pas à s'en vouloir pour ça.
Quand tu m’exprimes le fait de se faire draguer par une mère en détresse ne peut que me faire rire, c’était vrai. Une mère quoi, généralement on n’ose pas mais bon après ils y en a beaucoup qui le font même mariés. Je dépose mon regard sur ta personne penchant un peut mon visage sur le coter « Mais avoue le aussi, toute les femmes craquent sur toi attend ! Entre toi et le Dr Wilde, vous êtes les deux dont les femmes se jettent ! » J’allais apprendre que tu connaissais Duncan, c’est vrai que vous deux vous avez un certain charme et charisme qui fait qu’on pourrait vite se jeter sur vous pour un oui pour un non. Heureusement ça n’a jamais été mon cas, même avant que je sois avec Sam, jamais je n’aurai pensé me jeter sauvagement sur toi… J’ai une sourire amuser sur mes lèves malgré tout, un sourire qui me fait limite rire. J’attrape a nouveau ma tasse entre mes mains pour en boire une petite gorgée en hochant la tête, tu avais tout a fait raison. On ne dirait pas mais même une infirmière a beaucoup de responsabilité, de travail. Surtout que les enfants me réclame la plus part du temps donc par moment je ne sais plus ou mettre de la tête. Mais si j’ai réussi à trouver quelqu’un malgré que je sois mariée a mon travaille tu y arriveras, je sais que c’est totalement possible. Surtout si tu trouves quelqu’un qui, comprends ton travail. Puis quand tu m’avoues kidnapper mes enfants je ris doucement, c’est surtout a la façon que tu le dis. Comme un coupable condamné « Tu es le deuxième qui me fait ça quand même ! Je suis entrain de penser que vous magouiller contre nous pour nous faire courir. Nous faire faire notre sport de la journée ! Je vais vous convoquer les deux médecins kidnappeur ! » Je rigole doucement, bien sur je parle de Duncan qui lui aussi le fait par moment, mais, il passe par la case infirmière avant. « Tu as intérêt oui ! Puis quand j’ai des petits temps je passerais te voir aussi. Maintenant que je sais que tu es dans l’hôpital. » Je souris en disant ça, bien évidemment je prendrais le temps pour passer. Dire bonjour et passer quelques instants avec un ami c’est toujours agréable. Quand on parle de moi et ma vie de couple, je savais que tout le monde me voyait marié et surtout avec des enfants de James mais non. C’était la chose la plus impossible pour nous deux, on tient bien trop a notre amitié pour faire cette erreur puis … non. C’était aussi pour cette raison qu’il m’avait présenté Sam, c’était parfait … avant. Quand tu me félicite je souris en levant ma tasse en même temps que toi « Merci beaucoup ! » puis je secoue la tête amusé « Bien sur que oui t’aurais été invité si t’aurait été dans les parages attends ! Comment t’oublié surtout pour un moment comme celui-ci ? » Je garde mon sourire aux lèvres, mais tu me poses une question assez sensible en réalité. Mon sourire reste toujours sur mes lèvres mais diminue doucement et je secoue simplement la tête négativement. Je sais que je peux tout te confier mais, j’ai encore bien trop de mal de penser que Sam n’arrive pas a assumé son rôle de mari mais surtout a se niveau. Il sait très bien que je veux des enfants mais il me répète qu’il n’ait pas prêt… Je hausse doucement les épaules en relevant alors mon regard sur ta personne, je t’avais alors retourné la question surement pour changer assez rapidement de sujet. Mais ça me fait rapidement tilte dans ma tête, Malia m’avait parlé d’un homme, grand, brun qui bosse en trauma. Duncan c’était impossible il ne restait plus que toi puis, amuser je te regarde « Cette demoiselle ne serait pas brune avec longue et belle chevelure, de taille moyenne et assez jolie ? » Malia est ma voisine et ce n’est pas la première qu’on se voit, certes on c’était rencontré au festival mais elle c’était fait rattrapé par des cookies tellement bon que j’ai craqué et que j’ai tout mangé … Mais j’ai réussi a lui soutiré ça. Puis tu me parles de Duncan juste après ça, je me rends compte que oui, vous vous connaissez. « J’en doute pas une seconde, et ça ne m’étonne pas de Duncan. Il a une ambition tellement forte qu’il pourrait déplacer des montagnes pour ses idées. Mais vue se qu’il a pu me dire, ça devait être dur… » Je savais qu’à vous deux vous avez fait votre maximum et c’était le principale. Vous êtes deux médecins merveilleux qui ont du faire une équipe de choque là-bas.
Andrew avait ri encore. C'était flatteur qu'une femme puisse le trouver attirant et que celle-ci lui fasse du charme. Mais pas sur son lieu de travail. Il se refusait à toute relation sur son lieu de travail. Il avait tenté une fois. Ca ne lui avait pas apporté des ennuis et il se considérait comme étant chanceux que ça ne foute pas le bordel au boulot. Alors, sortir avec des collègues, non. Sortir avec des patientes, encore moins. Et sortir avec la mère de ses patients, même pas en rêve. Oui, il pouvait s'autoriser à regarder. Mais c'était tout. Et puis, honnêtement, ses pensées étaient tournées vers Malia. Oui, elle l'intéressait. Elle l'intriguait. Et si y'avait une personne avec qui il souhaitait tenter sa chance, c'était avec elle. Et avec personne d'autre. "Se jeter sur nous ... Quand même." Andrew secoua la tête de la droite, puis vers la gauche. Heureusement qu'il n'était pas un coureur de jupons. Sans quoi, il aurait une terrible réputation à l'hôpital mine de rien. "Faudra quand même que j'le dise à Dun. Histoire qu'il protège ses arrières." Ouais, pour sûr. Après, si Duncan voulait, lui, sortir avec quelqu'un de l'hôpital, que ça soit une collègue ou bien une patiente, libre à lui de le faire. Mais c'était pas Andrew qui allait briser ça. Pour sûr. En tout cas, Andrew lui avait avoué qu'il passait, de temps à autre, par le service pédiatrique, histoire de jouer avec les enfants. Il n'en avait pas. Et y'avait des fois où il le regrettait. Il atteindrait bientôt la quarantaine et ouais, il espérait, très honnêtement, qu'il aurait des enfants avant la quarantaine. Encore fallait-il qu'il trouve celle qu'il lui fallait. Chaussure à son pied comme on pouvait le dire. Pour en revenir à Liv, elle n'était pas très contente de savoir qu'on lui faisait des petits blagues de ce genre. Andrew haussa quelque peu des épaules. "Le but, c'est pas de vous faire courir. Mais plutôt de faire sourire ou bien rire les gamins. Bon, ok, ils aiment bien les infirmières, j'le nie pas. Mais c'est marrant aussi de les kidnapper un moment et d'aller faire les fous dans le couloir. Le mieux, c'est la nuit. Quand ils arrivent pas à dormir, bien sûr." Parce qu'il ne lui viendrait jamais à l'idée de réveiller un gamin qui dormait. Oh que non. S'ils dormaient, Andrew passait et ne faisait rien. Mais ouais, la nuit, c'était sympa. Moins de monde. Ils pouvaient foutre un peu plus le bordel. Enfin, sans trop en faire non plus. Parce qu'il n'avait pas non plus envie qu'ils se fassent réprimander. "Fais-nous convoquer mais je nierais tout en bloc." Ouais, pour sûr. Andrew avait attrapé sa tasse afin de boire un peu son liquide. Il lui promettait de venir la voir au poste des infirmières. Tout comme elle d'ailleurs. Liv lui parla de son mariage. Avec Sam. Andrew avait pensé que ça serait plutôt avec James. Parce qu'ils se connaissaient bien. Comme quoi, la vie nous réservait quelques tours. "Faudra que tu me fasses voir des photos. Ca sera comme si j'y avais été alors." avait-il dit dans un sourire. Il avait manqué pas mal de choses en six ans. Il allait tenter de les rattraper maintenant, même s'il ne pourrait pas tout rattraper malheureusement. Liv ne répondit rien sur le sujet des enfants. Sujet houleux apparemment. Est-ce qu'elle en voulait ? Est-ce que ça posait problème avec Sam ? Andrew préférait ne pas pousser le bouchon trop loin et de ne pas lui reposer la question. Non. Si elle voulait lui en parler, elle lui en parlerait. Peut-être un autre jour. Peut-être jamais. C'était pas grave. Il ne lui en voudrait pas pour ça. Liv voulait savoir s'il y avait quelqu'un dans sa vie actuellement. Alors, Andrew lui avait parlé de Malia. Sans évoquer son prénom. Pourtant, ça semblait faire tilt dans la tête de Liv. "Okay okay ... Et là, tu vas me dire qu'en fait, tu connais cette personne et qu'elle est carrément pas intéressée, c'est ça ?" Oh la poisse ... Il connaissait pas Malia depuis longtemps. Et si ça se trouvait, en fait, il se faisait peut-être un film pour rien. S'il apprenait que Malia n'en avait rien à faire lui ... Ca serait un coup dur mine de rien. "Duncan voulait sauver tout le monde. Il a eu du mal au départ. J'ai été obligé de le booster un peu. Mais comme tu le dis, c'était dur. C'était pas rose tous les jours."
Désolée. J'ai pas répondu avant parce que j'ai pas vu que t'avais répondu XD
Voilà que nous parlons de personne qui nous draguent a l’hôpital. Je me rends compte que ne suis pas la seule à me faire a draguer. Mais c’est amusant de connaitre les anecdotes des collègues. C’était assez amusant en réalité. Bon c’est vrai que les mères qui draguent les médecins de leurs enfants ce n’est pas le mieux. Bien par moment il ne faut pas mélanger boulot et vie privée. Ce n’est pas top et ça ne provoque que des problèmes. Bref, c’est comme ça il y aura toujours des personnes qui viendront faire leur vie pour trouver un conjoint en abusant de leur enfant. Je t’avais dis aussi que toi et Duncan vous êtes des médecins qui doivent se faire sollicité régulièrement. Ca ne m’étonnerait pas du tout. Bon après nous parlons des enfants que vous kidnappé durant vos temps libre, c’est vrai que ça leur fait totalement plaisir de ce balader comme ça dans l’hôpital, mais j’exprime aussi le fait que vous puisez venir dire bonjour ou parler avec nous, nous sommes peut-être pas des enfants mais ça nous fait plaisir quand vous venez nous voir. Mais de nuit ça ne m’arrive pas souvent quand ont ne retrouve pas les enfants. Quand ils ne dorment pas je passe régulièrement les voir vue qu’ils nous bip mais je ne vous ais jamais vue vous déplacer avec eux, c’est l’idée que je t’exprime car c’était vrai, mais je pense qu’aussi ça fait une moment que je n’ai pas travailler de nuit. Notre sujet tourne rapidement sur moi et mon mariage, c’est vrai que si tu aurais été en ville se jour là tu aurais été invité directement, je n’allais pas t’oublier bien sur que non ! Quand tu me demande pour les photos je hoche la tête positivement et accepte avec plaisir. Je t’ais aussi glisser qu’il faudrait que tu viennes un jour manger a la maison comme ça, ça sera une bonne occasion. Quand tu m’as demandé pour les enfants j’ai rapidement changé de sujet. Je ne voulais pas en parler, pas maintenant en réalité. C’est pour sa que je change de sujet sur toi, toi qui a une belle demoiselle en vue, une demoiselle qui se trouve être ma voisine et qui m’a rapidement parler de toi. Je te rassure en te disant qu’elle ma parler de toi en bien mais surtout avec des étoiles pleins les yeux. Il fallait bien que je te rassure en voyant ta tête surpris se qui m’avait arrache un petit rire. Mais bien sur, tout au long de notre petit déjeuné nous continuer a parler et dire toutes les choses qui se sont arrivés durant notre longue absence sans nous voir. Après avoir passé ce petit déjeuner, et quand il faut y aller je te remercie et bien sur t’impose un rendez-vous pour venir à la maison.