take me to the lakes where all the poets went to die (damon)
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
NOM ≈Williams. Oui, encore un. Oui, comme Saül. Oui, oui et la prochaine réponse est surement oui aussi - il a pris l'habitude de toujours répondre oui quand il s'agit de sa famille.PRÉNOM ≈Damon, sans besoin de préciser que ce prénom lui va de plus en plus comme un gant, au fur et à mesure du temps qui passe. Prénom qu'il a adopté lors de son entrée au lycée, qu'il prononce dès qu'on lui demande, qu'il met en avant dès que l'occasion se présente. Cosimo lorsqu'il doit faire face à ses parents, témoin de ses racines et de son origine, l'Italie dans le sang et dans les nerfs. Son second prénom est Modesto, le vrai prénom de son vrai père. Saül a eu l'audace de donner le prénom de son frère en second prénom à son fils, comme s'il ne jouait pas déjà assez avec le feu comme ça dans cette situation.ÂGE ≈Il vient de souffler sa vingtième bougie. Il pensait qu'en entrant dans une nouvelle décennie, les choses seraient plus simples mais il semble se fourrer le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. LIEU DE NAISSANCE ≈Il mio rifugio, sei tu - les Pouilles l'ont vu naitre et grandir, la mer a été son terrain de jeu et d'apprentissage, Brindisi la terre qu'il l'a accueilli lors de son premier cri. Il en est parti jeune, à peine son septième été entamé, pour l'immensité et le froid glacial du Canada.STATUT SOCIAL ≈Si pendant des années, il a vu le (prétendu) bonheur de ses parents sous ses yeux, lui influant l'envie de partager le reste de sa vie aux bras d'une jolie jeune femme, il est présentement célibataire, profitant des opportunités que la vie peut lui donner. MÉTIER ≈Etudiant en sciences politiques à la Colombia University de New-York. Il profite de sa troisième année d'études, effectuée en alternance entre stage et école, pour se rapprocher de sa famille et venir la passer à la Queensland University. Il a été accepté au sein de la Michael Hills pour réaliser son stage (on dit merci papa). ORIENTATION SEXUELLE ≈Il ne sait pas s'il s'agit là d'une simple rébellion ou d'une vraie révélation, mais Damon se qualifie de bisexuel. Si ce n'est pas quelque-chose qu'il cache au quotidien, il ne vient pas spécialement démontrer ce penchant devant ses parents - il sait très bien que ça ne serait pas particulièrement bien reçu par eux... ou au moins par l'un des deux.GROUPE ≈17 ans encore.AVATAR CHOISI ≈Rudy Pankow. CODE VALIDATION ≈- Vous connaissez la blague du nombril ? - Non ? - Bril.
Les informations en vrac
01. Saül a toujours été un modèle pour Damon. Depuis son plus jeune âge, le bambin regardait son père avec des grands yeux d'admiration. En grandissant, il faisait tout pour lui ressembler, pour mettre en application les mêmes choses que lui. Maintenant qu'il ne porte plus de couches-culottes depuis longtemps, ce nuage de fumée que formait l'image de son père s'atténue peu à peu. Contre son gré - il aurait préféré rester petit garçon toute sa vie et voir son père à travers la lentille de l'innocence plus longtemps. C'est désormais un semblant de méfiance qu'il exerce envers cette figure paternelle, encore trop souvent absente de sa vie. 02. C'est d'ailleurs en prenant exemple sur son père qu'il a adopté un prénom plus anglophone une fois arrivé au lycée. C'est en se faisant appeler Saül et non Massimo qu'il a réussi, alors pourquoi est-ce que ça ne fonctionnerait pas avec lui ? S'il aimerait que sa famille adopte également cette habitude quand ils s'adressent à lui, il ne bronche cependant pas quand un Cosimo est utilisé de ci, de là. 03. Damon est quelqu'un de très sensible - trop sensible pour être un homme un vrai, surement. Lorsqu'il perçoit des émotions, il les perçoit dans leur entièreté, de plein fouet; et s'il s'est pendant longtemps retenu de les ressentir d'une telle façon pour ne pas que l'on vienne porter un regard empli de jugement sur lui, il ne s'arrête désormais plus à ça. Et s'il savait être obéissant et conciliant avant, il ne se laisse désormais plus marcher sur les pieds et est souvent dirigé par ses émotions. 04. Cela va également surement de paire avec le fait qu'il ne désire plus s'écraser devant ses parents. S'il a été un bon petit garçon jusque la fin de ses années lycée, l'entrée à l'université a changé du tout-au-tout la vision de Damon sur le monde. Nager à contre-sens est une option plus que délectable, il s'est aperçu, et ce n'est pas la renommée de son école qui vient l'empêcher d'en profiter. Si bien que partir en stage chez son père en Australie, revenir auprès des siens tombe à un moment plutôt opportun - les mots de l'administration de l'université, pas les siens. 05. S'il garde une distance presque de sécurité avec son père, distance sur laquelle il met un point d'honneur ces derniers temps, il est en revanche proche de sa mère. Elise a toujours été très attentive envers lui, à lui déverser de l'amour surement plus que de raison. Ils ont parcouru le monde côte-à-côte, alors que Saül se plongeait corps et âme dans le travail. Si bien que de voir sa mère malheureuse à cause des deux hommes de sa vie fait souvent mal à Damon. Il voit bien que tout s'écroule autour de leur famille, que sa mère en souffre, et il aimerait pouvoir faire quelque-chose pour l'aider. 06. L'élément qui manque à sa connaissance, et qui va être plus que perturbateur lorsqu'il l'apprendra, c'est que Saül et Elise ne sont en réalité pas ses parents. Si l'illusion est assez parfaite pour perdurer vingt-ans après, Cosimo n'est pas prêt à recevoir une nouvelle de cette taille. Lui qui a passé ses plus jeunes années à plaire à l'homme qui pensait être son père n'est en réalité que son oncle. Son oncle actuel et officiel, en revanche, est son vrai père - et s'il ne portait pas une attention particulière à ce dernier jusque maintenant, il en vient à se rapprocher d'Auden depuis son arrivée en Australie. 07. C'est l'art qui rapproche le père caché de l'enfant volé. C'est l'art qui vient mettre du liant entre Auden et Damon. Si ce n'est pas une branche dans laquelle il s'est tourné pour ses études - cela aurait fortement déçu son père -, c'est un domaine dans lequel il se trouve être plutôt doué. La peinture comme thérapie depuis des années, et un oncle peintre dont la réputation n'est plus à faire. Les deux se retrouvent donc à pouvoir apprendre à se connaître grâce à l'art, et surtout à apprendre à s'apprivoiser. Damon n'a jamais connu Auden, parti trop tôt des terres natales pour le reste du monde, et Saül n'en fait pas réellement des louanges depuis ce moment là. 08. Si la peinture est un domaine qu'il apprécie particulièrement et dans lequel il se trouve ne pas être mauvais, ce n'est cependant pas l'art qui l'intéresse le plus. Si Damon n'avait pas eu à suivre des études dans un domaine se rapprochant du monde de son père - voulant absolument, à ce moment là, continuer à être l'enfant parfait dans le regard de son père -, il se serait tourné vers des études de littérature. Damon adore écrire, Damon a toujours un carnet quelque-part dans ses poches, Damon note la moindre pensée lui passant à travers l'esprit. Il aurait secrètement voulu devenir un auteur célèbre et reconnu, publier des romans à faire trembler le monde entier, coucher ses émotions et ses pensées sur le papier. Secrètement, et l'histoire se termine là. 09. S'il a passé les plus jeunes années de sa vie auprès de ses parents, ces derniers n'étaient pas les seules figures d'autorité à ses côtés. Il a grandi entouré de nannies et de au-pair, surtout lorsque Damon est parti pour le lycée loin des siens - la faute remise toujours et encore sur le dos d'une même personne. Mais ça ne l'a jamais dérangé. Il a toujours apprécié la liberté que ça a pu lui procurer, de ne pas avoir ses parents en permanence sur son dos mais de pouvoir toujours compter sur quelqu'un. C'est d'ailleurs grâce à ces personnes que le jeune Williams a pu apprendre, en plus de l'italien et de l'anglais qu'il maitrise à la perfection, à parler l'espagnol et le français. Deux langues qu'il n'utilise plus quotidiennement mais qui s'avèrent pouvoir être un atout dans ses études. 10. Damon est cancer, ascendant bélier - mais il aurait pu être gémeaux que ça lui irait tout autant au teint à certains moments.
Le joueur derrière l'écran
Sur le net, on m'appelle luleaby, mais appelez-moi julia (ou sinon, on me siffle, mais ça me rend de moins bonne humeur). J'ai vingt-cinq ans, et je viens de tours, en france (mais casse-dédi à toi ravioli, j'ai mis les pieds à Montréal en France). J'ai découvert 30YSY grâce à une force supérieure, a.k.a moi-même, et j'ai cédé à m'inscrire (de nouveau, oops) parce que le j c'est le s (lol, y'a vraiment besoin de faire genre et de répondre à cette question ?). Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présente assez souvent pour que vous en aillez rapidement marre de voir le petit con connecté. Mon personnage est un scénario ô combien (d)étonnant des fratés Williams (cc @Auden Williams et @Saül Williams). Je suis contente de vous rejoindre dans l'aventure et j'ai su lire entre les lignes .
Pour recenser votre avatar
Code:
<pris>rudy pankow ≈</pris> damon williams
à remplir si vous refusez le doublon de prénom
Code:
<pris>DAMON</pris>
Dernière édition par Damon Williams le Jeu 31 Déc 2020 - 10:19, édité 1 fois
Damon Williams
l'héritier du vide
ÂGE : "i don't know about you, but i'm feeling" + 2 ans (04.07). SURNOM : le petit cappuccino frappé, a.k.a 'pleurnichard' (Saül, 2021). STATUT : mais c'était sur en fait, qu'il n'allait pas résister au charme de megan bien longtemps. mariés depuis novembre 2021, ils ont pris leur temps pour s'apprivoiser mais ces derniers mois ont montré qu'il en pince plus que de raison pour sa propre femme. MÉTIER : avoir un diplôme en poche, ça sert juste à faire joli apparemment - surtout quand vous n'avez pas du tout l'intention de vous en servir. abandonne complètement l'idée de suivre les traces que feu-son-père a tracé un jour pour lui, cherche sa voie pour se retrouver dans ses ambitions. LOGEMENT : #61 st paul's terrace (spring hill), là où la vue devient imprenable sur la ville la nuit tombée. sa chambre est devenu avec les semaines une chambre d'amis dans laquelle il ne met un pied que pour piocher dans son dressing. POSTS : 7554 POINTS : 290
TW IN RP : abus émotionnel, difficultés de procréation/infertilité/procréation médicalement assistée, violences (physiques et verbales). ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : né cosimo, se faisant appeler damon depuis plus de cinq ans désormais › les liens du sang, c'est toujours compliqué, mais dans sa famille ça l'est d'autant plus. en effet, son père est son oncle et son oncle son père (bon courage pour suivre) › étudiant prêté de la colombia university à la queensland university depuis janvier 2020 › parle couramment l'anglais et l'italien.CODE COULEUR : navy. RPs EN COURS :
sait compter deux par deux et lacer ses chaussures.
what did the buffalo say to his son when he left for college ?:
AVATAR : rudy pankow. CRÉDITS : cheekeyfire (avatar) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 01/11/2020
Il avait relevé une dernière fois le regard, pour déposer ses yeux sur le tarmac, au delà de la vitre en plastique. Il avait relevé une dernière once d'espérance envers cette terre qu'il laissait derrière lui, le coeur lourd et chargé d'un sentiment qui ne saurait lui seoir. Ca n'avait jamais été son rêve de partir de l'autre côté de la frontière pour voir ce qu'il s'y passait. Ca n'avait jamais été son envie de s'imposer à ce monde là pour voir ce que ça faisait. Lui qui préférait largement la quiétude d'un foyer où le bonheur pouvait y être la seule source de chaleur. Lui qui préférait laisser ce monde s'effondrer si ça pouvait signifier l'espoir de garder au moins une part intacte de façon égoïste. Il avait relevé une dernière fois le regard, et s'était aperçu à l'instant où les roues avaient quitté le bitume que rien ne serait plus pareil désormais. Les souvenirs commençaient déjà à prendre la poussière, à se tarir dans son esprit, à devenir de simples ombres auxquelles il fallait s'habituer avec le temps. Le Canada avait été sa terre et sa patrie pendant de longues années, terre qui l’avait vu grandir et s’épanouir, passer du bambin qu’il était en arrivant à l’adolescent dans la fleur de l’âge qu’il était désormais. C’était l’endroit où il s’était senti chez lui plus d’une fois - et pourtant c’était également l’endroit qu’il quittait aujourd’hui. Contre son gré, contre son envie, lorsqu’il toucherait de nouveau terre, il se trouverait de l’autre côté de la frontière. Ville rêvée et idéalisée par des milliers de personnes dans le monde, Damon allait devoir faire de New-York sa nouvelle maison, y construire son nouveau cocon. Ce n’était pas lui qui avait eu envie de partir voir ailleurs, mais son père ne lui avait pas réellement laissé le choix de la destination. Là où ses camarades de classe avaient été acceptés dans le lycée de la région, le petit italien n’avait pas eu d’autre option que de se fondre dans la masse immense qu'était la grosse pomme. Fabriquer de nouveau ses repères, apprendre à vivre sans ses parents, dépendre de lui-même plutôt que des autres. A seulement quinze ans, Damon était devenu l'adulte qu'on avait toujours attendu de lui, indépendant et sur les rails pour devenir l'héritier parfait d'un empire déjà commencé depuis des années.
Si parfois, des choses se mettaient à échapper aux gens, il y avait aussi des gens qui pouvaient échapper aux choses. Pour Damon, ce furent les deux scénarios à la fois, en même temps. Il y avait beaucoup de choses qui lui échappaient, qui lui semblaient étranges et dénuées de sens. Il ne comprenait pas tous les sous-entendus lors des dîners de famille, ni les regards échangés entre ses parents. Il n’avait pas les détails concernant certains coups de téléphone avortés ou même encore sur certaines questions restées trop longtemps sans réponses. Certaines choses lui échappaient à Damon, mais il échappait à certaines choses également. Et d’ailleurs, les deux concepts furent souvent, malgré eux, reliés. Si certains coups de téléphone sont restés en suspens, si certaines questions n’ont elles jamais eu de réponses, ce fut pour les mêmes raisons. Si Damon n’avait jamais compris pourquoi il devait se rendre dans une école à plusieurs heures de chez eux, à vivre en internat la semaine pour avoir le loisir de rentrer chez ses parents uniquement le week-end - si ce n’était pas uniquement pendant les vacances -, c’était parce-qu’il se trouvait dans les tirs croisés de ses parents. Des choses lui échappaient, mais il échappait également aux choses. Plus tard, peut être qu’il viendrait à les remercier. De lui avoir permis de s’en réchapper, de l’avoir éloigné de tout ce que ses yeux d’enfants ne lui permettaient pas de comprendre sur le moment. Peut être, oui, qu’il remercierait ses parents d’avoir pris cette initiative là à ce moment là - mais il n’en était pas encore à ce point là.
Certains choses étaient encore trop pleines de mystère pour qu’il puisse se permettre de passer outre. Il se rappelait parfaitement bien du dernier de repas de noël, pour ne citer que lui en exemple. Il se souvenait des longues heures de vol pour revenir en Italie, la façon dont les flocons n’avaient pas réussi à tenir plus de quelques heures sur le bas côté de la route alors que son père était venu le chercher à l’aéroport - il avait d’ailleurs été étonné de le voir venir en personne, étant donné qu’il avait plus pour habitude de faire dépêcher quelqu’un à sa place pour ne pas perdre trop de temps. Il se souvenait comme si c’était hier du sourire que sa mère lui avait réservé pendant la première partie du diner, les chants de noël résonnant en fond sonore presqu’inaudible mais pourtant bien présents, l’odeur du diner s’échappant de la cuisine et surtout, le sourire que sa mère avait osé lui servir en seconde partie de soirée. Après que son père et Auden aient été faire un tour dans la cour, se soient échappés un instant de table, aient - apparemment - réglé des différents. Il se souvenait parfaitement de ce frisson malsain qui s’était immiscer sous sa peau, se frayant un chemin jusque son échine. Tous les détails étaient parfaitement ancrés dans son esprit, comme les ressentis s’y associant. Quelque-chose de déterminant et à la fois de repoussant - il n’avait jamais su mettre le doigt sur l’exactitude de ce qu’il ressentait quand il repensait à ce moment là. Tout ce qu’il savait, tout ce dont il était sûr, c’était qu’on lui cachait quelque-chose. Parce-que son père avait fui son regard tout le long du réveillon à la suite, que sa mère ne savait faire autre chose que de lui sourire en étirant un brin trop les lèvres, que son oncle ne lui avait jamais fait aussi peu de blagues mal adaptées. Les adultes lui cachaient quelque-chose de gros. Il ne savait pas ce que c’était, mais il savait juste que la vérité finirait par éclater. Parce-qu’il ne supporterait plus ses regards en coin allant de pair avec les messes basses, qu’il n’apprécierait plus l’infantilisation qu’ils faisaient, malgré eux, de sa personne, parce-qu’il en avait plus que marre d’être pris pour un idiot.
december, 25th of 2019 - italia:
Mon père est furieux. Mon oncle est furieux. Ma mère est désespérée, je crois. Je n'aime pas ça. L'ambiance qui pesait sur la fin du déjeuner de noël.Ils pensent tous que je ne vois rien, mais je sais. Quelque-chose pèse sur nous et ils se refusent à me dire de quoi il s'agit. Ma question, une fois que papa et Auden sont revenus à table, ne leur a pas plu. Ils ne s'attendaient pas à ce que je remarque les petits détails, entende les pas dont la cadence avait changé entre l'aller et le retour vers l'extérieur. Ils ont rejeté ma question d'un vulgaire geste de la main. Alors, je n'aime pas ça. Encore moins que d'habitude. Parce-que je sais, je sens désormais que j'en suis un des acteurs principaux et qu'ils me refusent le rôle qui me revient de droit. Ils me refusent l'accès à une information qui ne peut être que capitale lorsque l'on voit la tension que cela a jeté autour de la table. Mon instinct est d'accord avec moi. J'ai fait comme si je n'y portais pas une importance particulière, mais ça me ronge de l'intérieur. Je n'aime. pas. ça.
Car c’était bien quelque-chose qu’il n’était pas, Damon - idiot. Beaucoup d’autres adjectifs pourraient lui être attribués, mais celui-ci ne faisait pas partie de la liste. Depuis tout jeune, la facilité dans tous les domaines lui avait permis de s’écarter d’adjectifs péjoratifs sur ses capacités intellectuelles. Préférant sauter une classe au primaire pour avancer plus vite dans la cour des grands et arriver au collège avec un an d’avance, finissant major de sa promotion au lycée avec les félicitations du jury, parlant rapidement une nouvelle langue la première à peine maîtrisée, intégrant des notions de la société avec une aptitude qui pouvait déconcerter même les plus âgés, se parant d’une politesse à tout égard qu’importe la situation se présentant - il avait tous les traits d’un gendre parfait. En apparence. Il n’était pas idiot, Damon, mais il avait également appris à grandir, vivre et à s’adapter à un monde qui n’était pas le sien. Celui de sa famille - de son père -, à n’en pas douter, mais ce n’était pas le sien. Les soirées mondaines à s’enivrer de champagne et de rires faussés, de courbettes et de faux compliments n’étaient pas sa tasse de thé. Il savait se fondre parfaitement dans la masse, il connaissait par coeur les noms de toutes les têtes qu’il pouvait croiser à ces événements, mais à peine la porte se refermait derrière lui que le masque tombait et le sourire éclatant se froissait. Et ce comportement était celui qu’il adoptait presque quotidiennement - si vivre à des milliers de kilomètres de ses parents pouvait être considéré comme une habitude quotidienne. Dès que le rideau se levait, il enfilait le parfait costume de l’enfant roi, de la progéniture irréprochable. Dès que les regards pouvaient être portés sur eux, il récitait son texte sur le bout des doigts, les ficelles du métier depuis bien longtemps en place. Mais il ne jouait qu’un rôle dans ce théâtre, Damon, et ce rôle il commençait à s’en lasser. Alors, à peine les regards tournés vers d’autres sujets de convoitises, il préférait délaisser là son armure et courir à couvert, là où il ne pourrait être repéré, là où il pourrait être lui-même.
Le seul endroit où il ne s’affublait guère de ce type de tenue, c’était à l’université. Même s’il était connu là bas, contre son gré bien sûr, comme étant le fils de Saül Williams, ce dernier point n’était pas le plus déterminant dans cette histoire. Dans son histoire. Car s’il avait toujours voulu marcher dans les pas de son père, imiter ses traits et ses habitudes, les deux dernières années à côtoyer les bancs de la faculté lui auront appris qu’être le fils de son père, c’était bien, mais qu’avancer par soi-même permettait d’aller plus loin. Et surtout, cette façon de faire permettait de porter un regard différent, un regard nouveau sur ce monde qui entourait Damon. Alors, dans ce nouvel environnement étant désormais sien, le Williams ne s'était jamais privé de profiter - mot qu'il n'avait réellement intégré à son dictionnaire jusqu'à ce moment là. Si ses notes frôlaient toujours la perfection, son comportement se vit se dégrader de semaines en semaines. La faute sûrement à ses parents trop absents, à ce manque de repères stables depuis trop d'années, à ce besoin - cette nécessité - d'être adulte avant l'heure et de réfuter toutes ces affirmations d'un coup d'un seul quand bien même il les savait plus vraies que jamais. ll les connaissait par coeur, les dédales secrets de la faculté, Damon. Il les connaissait tellement par coeur qu'il en était devenu impossible de l'y suivre sans s'y perdre à son tour. La curiosité, au début, l'avait poussé à s'aventurier toujours plus loin. Le ressenti d'enfin vivre pour lui-même et par lui-même l'avait ensuite poussé à continuer ses explorations. Il les connaissait tellement par coeur les souterrains que ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd, dans l'esprit d'un fou. Repéré par d'autres étudiants de sa promotion, connu pour ce savoir plus que précieux, ils avaient fait de ce petit italien un allier précieux. Pas influençable réellement mais en manque d'une identité propre, Damon s'était laissé embarqué dans quelque-chose de plus grand que lui. Parce-que si les souterrains n'étaient pas connus de tous, ils permettaient d'y organiser des événements en dehors du champ de connaissances de l'administration de la faculté.
La rumeur était même devenue si forte qu'il paraitrait que les meilleures soirées privées s'y passaient là-bas, désormais, Damon aux commandes d'un armada qui ne faisait par partie de son plan. Lui qui n'était pas populaire auparavant avait été propulsé sur le devant de la scène - et jeté sous les roues du bus lorsque l'administration avait eu vent de ces nouvelles pratiques, de cette nouvelle lubie. Le labyrinthe présent dans les sous-sols de la faculté devait rester un mystère et non une attraction de fête foraine. Le secret surement le mieux gardé de la Columbia se devait de rester, justement, un secret. Il avait beau s'être défendu, Damon, il avait beau avoir prouvé qu'il n'était qu'un pion dans un jeu d'échecs bien plus grand, les figures d'autorité n'avaient pas vraiment voulu savoir s'il disait la vérité. Alors, ils avaient regardé Damon dans le blanc des yeux - ils en étaient même venus à l'appeler Cosimo pour la première fois depuis le jour de son inscription, ce qui n'avait pas laissé le jeune homme de marbre -, et à jouer cartes sur table avec lui. Sa scolarité en dépendait, son avenir s'envolait. En réalité, il n'en avait que faire, Damon, de ces prédictions. Lui qui n'avait jamais réellement aspiré à cette voix toute tracée pour lui. Mais Damon n'était pas que lui et était également une partie d'une famille bien plus dysfonctionnelle que ça, et qui pesait malgré tout sur lui bien plus qu'il ne l'aurait souhaité. L'ombre de son père planait toujours sur son esprit d'enfant, la recherche de l'approbation de son aîné si dure à obtenir dictait toujours ses actes dans le fond de son coeur. Alors, il avait eu une idée - murmurée par les supplications de sa mère depuis des années. Les rejoindre en Australie. Insensée, comme idée, mais qui sembla plaire à tout le monde. Cela lui permettait de s'éloigner d'un événement qui pourrait virer scandale, et de brouiller les pistes auprès des siens. Un matin d'hiver, où la neige tenait fermement au sol, il fit sa valise, quitta son appartement au coeur de Manhattan et vit le tarmac s'éloigner de lui une fois de plus, le coeur toujours plus lourd que les fois précédentes.
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Auden Williams
le complexe de Dieu
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983) STATUT : Le divorce avec Ginny est acté, il a signé les papiers pour elle. MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder. LOGEMENT : Nouvelle maison flambante neuve à West End, où il se plaît à détester toutes choses et tout le monde. POSTS : 23730 POINTS : 270
TW IN RP : violence physique et verbale ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autruiCODE COULEUR : darkgreen RPs EN COURS : (05) › savannah #9 › james #25 › ginny #116 › akira › gideon
ginauden #116 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?
damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.
famiglia:savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.
RPs EN ATTENTE : damon #16
willton #25 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.
edit : (parce que je voulais que le VRAI papa soit le premier mais faut faire les choses bien ensuite )
Je suis heureuse multiplié par l'infini que tu tentes Couscous, ta version est parfaite et oui je me répète, c'est l'âge, n'y fais pas attention. J'ai fort fort fort hâte de voir ce petit démon évoluer en rp et fort fort fort hâte de pouvoir engueuler un de tes persos sans craindre pour la vie du mien. (bah quoi ?) T'es la plus belle mascarade du monde coeur coeur sur toi, tu te portes bien pour un mort
edit 2 : AH OUI ET DU COUP C'EST BON POUR LA VALIDATION
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Dernière édition par Auden Williams le Dim 1 Nov 2020 - 16:43, édité 2 fois
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 36 ans (23.12.1987) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Son âme sœur est morte en prison : elle est veuve depuis le 16.07.2024. Micah a l'âge de poser des questions mais pas celui de comprendre la mort et, de toute façon, Raelyn est trop brisée pour répondre aux interrogations de sa fille. MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Propriétaire et gérante de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et mère célibataire, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Le loft du 721 Daisy Hill Road (Logan City) lui semble bien vide et froid maintenant qu'elle s'endort loin des bras de son époux. POSTS : 34325 POINTS : 3130
TW IN RP : Mention de drogues dures, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, deuil, automutilation. ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
maxyn #7 & sms ☆ i'm sick, yeah, i'm sick, and honestly, i'm getting high off it. your smoke in my hair hot and dirty like the l.a. air. that face, baby, it ain't fair, but you don't know what you don't know. oh, so you wanna talk about power ? oh, let me show you power. i eat boys like you for breakfast, one by one hung on my necklace. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7
spencer #14 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danalyn #4 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
cecilia #2 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.
miles #1 & #2 ☆ i've been waiting patiently, i built this tower quietly. And when my well of wellbutrin is running dry of serotonin i can say things I don't mean. or maybe it's the truth in me, i feel it building, bubbling up.
RPs EN ATTENTE : aisling #3
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
l'invasion des williams continue rebienvenue je n'ai lu que très vite en diagonale, mais j'aime beaaaucoup cette fiche
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
mais quel choix de TC j'ai sorti ilaria exprès parce que vu l'âge, la première chose à laquelle j'ai pensé c'est ... ON VA POUVOIR SE TROUVER UN LIEN superbe choix et cette fiche est parfaite rebienvenue à la maison avec ce petit jeune contente de voir qu'il y a pas que moi qui craque pour la jeunesse donc je viendrai t'embêter pour un lien bientôt
Non j'édite pas en fait, je dois rEpASsEr pour valider et ça mérite un second message. Mon dieu cette présentation elle fait zumba cafew dans mon cœur.
Citation :
NOM ≈ Williams. Oui, encore un. Oui, comme Saül.
Citation :
et j'ai cédé à m'inscrire (de nouveau, oops) parce que LE J C'EST LE S
C'EST PAS LA CAPITALE, C'EST MARSEILLE BEBE *bruit de tonnerre*
Citation :
TOURS, EN FRANCE (mais casse-dédi à toi ravioli, j'ai mis les pieds à Montréal en France)
Pouahlala il est trop génial en fait, je mets 666/20. Vraiment quel honneur de le voir si bien dépeint par tes soins, avec une plume si juste et des mots si débordants de swag. J'ai juste trop hâte de te voir le jouer, ça va être zinzin, oui les Williams continuent de vous envahir, non je ne suis pas désolée par ce spectacle merveilleux.
Je pose le fameux "validé par la street" désormais légendaire.
Arthur Coventry
la chute d'Icare
ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860
TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06)greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
en voyant le nom de famille, je me suis demander qui ça pouvait bien être dans la famille, mais LA SURPRISE ! mon dieu, j'ai tellement hâte de vous stalker comme jamais, ça promet tout ça re re re bienvenue chez toi
take me far from streets and roads. lead me out in the night, don't show me the way back home. because i'm craving, craving, craving something i can feel. where do i go, what do i need, is it ecstasy or is it fear? am i on my own, am i even close? because i'm still craving something i can feel