| (maxias) l'instant fragile |
| | (#)Lun 2 Nov 2020 - 16:58 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
Elias a perdu signe de vie de ses proches, il a juste pour connaissance, celle de sa cousine Ava. Même Erin a disparu et ne parlons pas de Dylane. L’ambulancière ne répond plus à ses messages, et il a beau se présenter chez elle, tous les jours, il se retrouve face à un appartement vide, sans une ombre à l’intérieur. Au commissariat, c’est l’apocalypse, et le flic craint pour leur survie, considérant qu’il est bientôt l’heure de partir, de rentrer, il commence à préparer ses affaires et surtout ne se sépare jamais de ses deux armes, même dans la vie de tous les jours. L’avenir est incertain, et il doit veiller sur sa cousine, qu’il interdit de sortir hors de leur appartement à redcliff. Le repère le plus sûr pour le flic et dont elle a pour ordre de l’appeler au moindre souci. Mais on connaît tous Ava, on sait tous la tête de mule qu’elle est, et surtout quand il s’agit d’aller contre l’avis de son cousin. Peu importe, il se dirige droit à son appartement sans prêter attention à ce qui se passe autour de lui, il ne veut pas abandonner Brisbane mais partir serait pourtant le truc à faire. Rester ou mourir, le flic qui ressemble à un homme de soixante ans désormais que la malédiction a frappé l’île, devra prendre la décision. Mais bien trop fier, et surtout pas prêt à lâcher Erin et Dylane, il ne partira pas tant qu’il n’aura pas reposé ses yeux sur ses deux femmes là, qui semblent vouloir jouer à cache-cache avec lui – c’est ce qu’il préfère croire car une autre réalité ne lui conviendrait pas. Il grimpe deux par deux les marches en arrivant en bas de son immeuble, quasiment vide de toute vie. Beaucoup sont partis, et les quelques qui restent, sont morts, ou ont un regain d’espoir – un peu comme le flic qui pense qu’il peut continuer à vivre et à travailler comme si de rien était… Mais c’est lorsqu’il relève son visage et qu’il voit cette silhouette qui se tient face à la porte d’entrée de son appartement en tambourinant comme un fou furieux, il ne reconnaît pas Maxence. Il s’approche, furibond, pas prêt de vouloir le laisser entrer ou d’écouter ses plaintes. « Qui vous êtes ?! » Qu’il demande alors que l’homme se retourne et ne le laissant même pas s’adresser à lui, il lui crie : « Mayers ?! Dégage ! J’veux pas te voir ici ! » Il l’aime pas ce type, il ne lui inspire rien de bon à trop tourner autour de Ava comme il le fait ! Il n’aura jamais Ava du vivant de Sanders !
@maxence mayers |
| | | | (#)Dim 8 Nov 2020 - 18:53 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
C’est l’angoisse. Maxence est complètement perdu dans ce monde qui semble être plongé en plein apocalypse. Il sait pas quoi faire, ni où aller. Il a essayé de joindre ses proches, mais personne ne répond. A chaque endroit où il va en espérant trouver quelqu’un, il n’y a jamais personne. Le comble, c’est qu’il a perdu sa voix. Incapable de crier, incapable de communiquer. Cela dit, il a trouvé un moyen pour remédier à ça. Il a toujours son téléphone sur lui et quand il croise quelqu’un, il écrit dessus. C’est son seul moyen pour communiquer à l’heure actuelle et c’est clairement pas le plus pratique. Il espère de toutes ses forces qu’il va bientôt pouvoir récupérer sa voix. Il ne peut pas imaginer qu’il va rester à vie comme ça. Mais aujourd’hui, il s’est donné un nouvel objectif : trouver Ava. N’habitant pas très loin de chez elle, il lui faut peu de temps pour atteindre son immeuble et son appartement. Mais il a beau toquer, personne ne répond. Et il ne peut même pas hurler que c’est lui. Il se dit qu’elle a peut-être peur et qu’elle préfère ne pas ouvrir la porte. C’est le chaos dehors, les pilleurs se trouvent absolument partout, alors il pourrait le comprendre. Mais il n’a pas envie d’abandonner, peut-être que si il insiste, elle finira par lui ouvrir. Il se retrouve à frapper à la porte comme un fou, sans cesse, priant pour qu’elle ouvre. Malheureusement pour lui, une voix masculine l’interpelle et quand il se tourne, il se retrouve face à une personne qu’il ne connaît pas. Le teint pâle, les cheveux grisonnants et le visage marqué par les rides. Pourtant, lui, il a l’air de le connaître. Et de ne pas vouloir qu’il soit là. Tout de suite, il se dit que ça ne peut qu’être Elias. Il attrape rapidement son téléphone dans sa poche, écrivant simplement un “tu es Elias ?”. Parce qu’on ne peut pas dire que ce soit évident vu son physique. Il tend le téléphone vers lui, espérant qu’il ne va pas lui arracher la main directement vu comme il le déteste. Même en personne âgé, il fait flipper. Quand il le regarde, il lui fait signe qu’il ne peut pas parler, mimant une fermeture éclair sur ses lèvres. Oui, le brun devient un pro du mime en ce moment en plus d’avoir l’air d’un gros con. Mais il se débrouille comme il peut dans ce nouveau monde qui laisse des traces à tout le monde. @elias sanders |
| | | | (#)Lun 16 Nov 2020 - 12:21 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
Le monde est devenu ce que le flic craignait. Il tournait en rond, et ne faisait guère confiance à ceux extérieur, comme si il se doutait que se cacher quelque part, ses personnes néfastes pour leur survie. Pourtant Elias n’avait pas le choix que d’affronter mieux qu’il le pouvait cette destinée, qu’il n’avait pas le choix, parce qu’il était plus facile de tourner le dos à tout le monde, mais plus humain de les aider. Tourmenté entre ses deux facettes de sa personnalité qui ne semblaient pas vouloir le mettre au repos, le flic, ne supportait pas qu’on traîne aux alentours de son immeuble, encore moins à son étage. Il avait surpris des pilleurs au premier étage dans un appartement pratiquement vide, et s’était armé de différentes choses, cachées dans les recoins, seule Ava connaissait les cachettes, au cas où elle y serait confrontée et que le flic ne pourrait pas l’aider. Alors quand il voit une ombre qu’il ne reconnaissait pas, au premier abord, sa seule réaction fût de se jeter sur lui, sans prendre de pincette. De le repousser le plus loin possible et de lui barrer la route. Si il voulait rentrer, il devra passer sur son corps. Et quand bien même sa malédiction le rend vieux, il garde des pensées de jeunes, seuls ses réactions peuvent parfois jouer contre lui, et ce corps qui ferait fuir. Tous ses amis – ou le peu qu’il en possède, n’étant pas très adepte de la socialisation. « tu es Elias ? » Qui il voulait que ça soit d’autre ? Un autre prétendant d’Ava ou quoi ?! Il fronce les sourcils avant de relever le regard sur l’homme, il a perdu sa langue ou quoi ? Et quand il l’observe, faire le geste près de sa bouche, comme si il était devenu muet, il hausse les épaules, « tu veux quoi ? » De l’aide ? Voir Ava ? Jamais ! « Il n’y a rien à voir dans cet appart ! » Qu’il l’oublie ! Ca en valait mieux pour tout le monde. Il croise les bras, avant d’entendre un bruit vers le bas, une porte qui claque, mais sa fierté l’empêchait de bouger, ou d’agir ! |
| | | | (#)Mer 2 Déc 2020 - 12:46 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
Plus il y pense Maxence, plus il se dit que perdre la voix est l'une des pires choses. Bien qu'il ne soit pas un très grand bavard pour autant, là, ça lui manque plus que tout. Déjà des jours qu'il erre dans cette ville détruite, dans ces rues vides, seul. Il n'en peut plus, il a envie de voir des gens, d'essayer de rentrer contact avec n'importe qui. Alors d'un coup, il repense à Ava. Il se demande si elle va bien, si elle a réussi à survivre à tout ce chaos. Il ne réfléchit pas bien longtemps avant de se diriger vers chez elle dans l'espoir de la retrouver. Peut-être qu'elle a déjà quitté la ville depuis longtemps, mais comme les communications sont coupées, ce sera son seul moyen pour le savoir. Plusieurs minutes de marche avant d'arriver devant l'immeuble et de rapidement monter jusqu'à sa porte. Il tambourine pendant de longues minutes dans l'espoir qu'on lui ouvre. Mais rien, la porte ne s'ouvre pas, il n'y a aucun bruit. Peut-être bien qu'elle est partie, peut-être bien que cet appartement est vide. Perdu dans ses pensées, il ne voit pas cet homme venir jusqu'à lui pour le pousser de devant la porte. Il ne comprend pas, l'observant les yeux froncés. C'est un vieil homme aux cheveux blancs, mais à l'intonation de sa voix, il comprend rapidement que c'est Elias. Sûrement car il n'y a que lui pour le détester autant, même en plein chaos. Attrapant son téléphone, il tente d'être sûr de ce qu'il pense. « tu veux quoi ? » C'est bien lui, c'est évident. Mais sur le moment, le brun a quand même un peu peur qu'il lui saute dessus. « Il n'y a rien à voir dans cet appart ! » Il comprend bien qu'il parle d'Ava. Est-ce que c'est vrai ? Est-ce qu'elle n'est pas ici ? Il n'en sait rien. Il reprend son téléphone pour commencer à écrire avant d'être interrompu par un bruit venant d'en bas. Ca ne le rassure pas, les violences faisaient rage partout en ville et les pilleurs se baladaient partout. Malheureusement, quand une ville se retrouve détruite, ça laisse libre les criminels de faire ce qu'ils veulent. Et ils se font un malin plaisir à faire régner leurs propres règles partout en ville. Il n'arrive pas à écrire comme il le veut avec le stresse, Elias l'observant. « Putain ! » Qu'il lâche en bataillant avec son téléphone, alors qu'il lui faut quelques secondes pour comprendre. « Oh... Je parle ! Ok je sais que tu me détestes mais des gens montent les escaliers, faut qu'on se mette à l'abri ! » Vraiment oui, il a pas envie d'être passé à tabac ou même pire : tuer. Mais Elias le déteste, alors il ne peut pas s'empêcher de se dire qu'il va rentrer tranquillement dans son appart en le laissant sur le pallier. Surtout si Ava se trouve à l'intérieur. Sur le moment, il espère juste qu'il va avoir pitié de lui. @elias sanders |
| | | | (#)Sam 2 Jan 2021 - 21:57 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
Elias n’aime pas vraiment les hommes, surtout ceux qui fréquentent sa propre famille et clairement l’homme n’est pas le bienvenue dans cet immeuble, il ignore réellement ce qui s’est passé avec sa cousine, il ignore tous les détails, les seuls qu’il connaisse lui suffisent pour pas le porter dans son cœur et pour vouloir chercher à le contredire. A le détester, qu’importe dans quel monde vivent-ils aujourd’hui. Qu’importent dans quelle merde ils sont à présent, il le détestera coûte que coûte et ne l’aidera jamais… C’est pourquoi, en le voyant en haut des marches, Elias n’hésite pas à foncer sur lui, pour l’empêcher de sonner, de toquer à la porte comme si il avait peur que Ava soit là, et reparte dans ses travers. Comme si il se doutait que le Mayers avait encore emprise sur elle et qu’il ne lui suffirait pas de grand-chose pour faire rebattre de nouveau son cœur fragile ! Il avait eu du mal à la sortir de cet enfer, à lui ouvrir les yeux sur ce maudit personnage, si bien qu’il avait tout tenté pour les séparer, pour plus que Maxence s’approche d’elle. Ne la convoite, qu’elle ne sombre dans ses bras. Elle était heureuse aujourd’hui, Ava, et jamais il n’acceptera le revoir à ses côtés. Elias lui barre la route, voulant rester à distance de lui, comme si c’était le diable incarnée, la peste dans toute sa splendeur. « Putain ! » Qu’il écrit sur son téléphone avant de le tendre en direction d’Elias, presque tremblant de savoir si le flic n’allait pas le lui faire manger. Elias le regarde de travers, en repoussant sa main contre le mur. Il se fiche bien de savoir qu’il a peur, qu’il tremble, ou qu’importe. Ca l’insupporte que l’autre parle pas, il a l’impression qu’il se fiche de sa tronche ! « Oh... Je parle ! Ok je sais que tu me détestes mais des gens montent les escaliers, faut qu'on se mette à l'abri ! » Et là, le miracle, il finit par retrouver sa langue, le flic hausse les épaules en levant les yeux au ciel, pensant que clairement il s’est joué de lui tout le long ! « Tu te fous de ma gueule en plus ! Tu n’as rien perdu du tout ! » Parce qu’il croit que Sanders est quelqu’un qu’on peut se moquer facilement, il le maudit le grincheux ! « Je me fiche de savoir que tu finiras comme ce paillasson ! » Qu’il laisse entendre en le toisant du regard avant de le repousser fermement pour venir ouvrir rapidement la porte de son appartement, paix à son âme ! Ce n’était plus de son ressort désormais !
- Spoiler:
WIN : Max se met à faire de grand pas pour retenir de justesse la porte avant qu'elle ne se referme, se hissant à l'intérieur de l'appartement, sous le regard noir du flic SO CLOSE : Elias referme mal la porte d'entrée qui rebondit, et le temps qu'il s'en rend compte, Max est déjà à la porte, prêt à la refermer derrière lui. FAIL : il n'arrive pas à rentrer dans l'appartement, il soupire tentant de chercher un recoin pour s'y cacher, mais la porte se réouvre, et Elias sort en courant, suivie d'une créature très étrange.
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Sam 2 Jan 2021 - 21:57 | |
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| | | | (#)Mer 17 Fév 2021 - 15:01 | |
| « l'instant fragile » maxence mayers & elias sanders
Comme un miracle, après des jours sans réussir à parler, il retrouve l'usage de sa voix. Il n'en revient pas lui-même, il peut de nouveau parler. Et en observant Elias face à lui, il se rend compte que ces cheveux deviennent de plus en plus foncés, son visage a les traits moins tirés. Est-ce que tout ça est terminé ? Est-ce que la malédiction est levée ? A vrai dire, il n'a pas vraiment le temps d'y réfléchir ou d'y penser, il veut juste se cacher dans l'appartement avec Elias pour sauver sa peau. « Tu te fous de ma gueule en plus ! Tu n’as rien perdu du tout ! » Le brun lève les yeux au ciel, évidemment qu'il ne le croit pas. Il n'attendait pas à ce qu'il soit agréable avec lui de toute façon, peu importe les circonstances dans lesquels ils se retrouvent. « Je me fiche de savoir que tu finiras comme ce paillasson ! » Maxence fronce les sourcils, se disant qu'il ne peut pas le laisser là. Il ne le déteste quand même pas à ce point-là, si ? Mais il n'a pas le temps de réagir qu'Elias rentre dans l'appartement et referme la porte directement, le laissant sur le seuil de la porte, seul. « T'es vraiment qu'un connard ! » Qu'il lance en donnant un coup de pied contre la porte, Elias ne l'entendant sûrement pas parler. Il y a du bruit partout, il n'est pas en sécurité, il le sait. Il commence à observer un peu partout à la recherche d'une porte de sortie avant qu'Elias ne ressorte poursuivi par une espèce de créature étrange. « C'est quoi ce truc... » Il sent son pouls accéléré sous le coup du stresse alors qu'il monte dans les étages supérieurs à la recherche d'un endroit où se cacher, finissant par trouver une porte d'un appartement ouvert. Un dernier coup d'oeil dans le couloir de l'immeuble, il voit Elias s'approchait et affiche un sourire mesquin. « Chacun pour sa gueule. » Accompagné d'un joli doigt en sa direction, il referme la porte à clé avant de la bloquer avec les meubles présents autour de lui. Sûrement qu'Elias a réussi à se cacher ailleurs, ce n'est pas son problème. Il doit juste trouver le moyen de ressortir d'ici maintenant, décidant de laisser passer la nuit avant de se risquer à sortir. Sa venue ici aura été un véritable échec. @elias sanders |
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