| (asher) si je pouvais tout envoyer valser |
| | (#)Dim 8 Nov - 22:19 | |
| « si je pouvais tout envoyer valser » asher buckley & elias sanders
Il est déjà quatorze heures et le train d’Erin devrait arriver d’une minutes à l’autre, coincé dans les bouchons, Sanders ne ménage pas son klaxon pour que ses vieux, avancent. Ils vont le faire arriver à la bourre alors qu’il avait largement le temps de partir, et d’arriver à l’heure. Mais entre une grand-mère qui l’a stoppé pour qu’il l’aide à retrouver son chien perdu, et un gamin qui a traversé au feu rouge pour récupérer son ballon en pleine rue bondée de circulation, le flic est plus qu’exaspérer par cette situation. Grâce à un miracle, il parvient enfin dans le quartier de redcliffe, et même à être garé sur l’une des nombreuses places de parking. Il descend à toute vitesse et se dirige rapidement vers l’entrée de la gare, pensant y retrouver déjà sa petite sœur. Mais elle n’est toujours pas là. Quand on est un policier, on n’est jamais bien loin des principes même de la protection d’autrui. Elias passe son temps à observer les autres, son regard qui se pose sur les autres, aux alentours lui permet d’analyser la scène qui s’offre devant lui. Dans cette gare, il patiente, visiblement le train de sa soeur a du retard. C’est donc les mains dans les poches et le regard perdu, qu’il aperçoit un homme qui gigote dans tous les sens. Il n’a pas l’air si sûr de lui, du moins ce n’est pas ce qui montre au premier abord au flic, qui le surveille de près. Il est prêt à trouver le moindre prétexte, la moindre excuse pour vérifier ses papiers – et même si il n’est pas en tenue de travail, pendant ses heures de contrôle. Mais Elias a ce besoin d’être rassuré avant tout, et c’est donc légitime qu’il observe autour de lui. Un train qui arrive à quais, des gens qui en sortent, d’autres se bousculant pour ne pas le louper, le flic est exaspéré d’être devant cette scène. Mais le type que Sanders reluque depuis bien cinq minutes et qui semble soit être en manque, soit possédé par je ne sais quel esprit, laisse son sac à terre et se dirige d’un pas décidé vers les portes des toilettes. Rien qui ne lui indique une bonne chose. Le flic fronce les sourcils, et se décide donc à se diriger vers ce fameux sac devenu égaré, tout en le signalant au premier vigil qu’il croise, se présentant comme policier, et armé de doute quant à l’individu propriétaire du sac. « Monsieur, éloignez-vous s’il vous plait… » Qu’il demande, à un homme se tenant à un mètre du sac, celui-ci surpris, s’exécute alors que le vigil repart avec le sac et qu’un autre remercie Sanders pour son observation, l’homme qui revient, claquant la porte des wc, pensant sans doute récupérer ses affaires, comme si de rien n’était…
@asher buckley |
| | | | (#)Lun 9 Nov - 19:55 | |
| Tu reviens d’un show dans une ville paumée un peu plus au nord de l’Australie. T’es chargé. T’as ton matos de musique (ta guitare surtout), plus ton sac d’affaires. T’as bien hâte d’être de nouveau populaire si ce jour arrive encore. Avoir des gens qui sont là pour porter le matos et te dire où aller quand etc… C’était bien pratique ça. Il est vrai que revenir aux tout débuts ça a son charme. Ca te rend aussi pas mal nostalgique d’avant. Vous étiez un groupe de quatre, plus des potes qui venaient squatter ici et là. Toujours du fun. Que du fun. Là t’es seul, parc que Johnny a pris un autre chemin retour. Il file quelques jours ailleurs mais toi t’as préféré rentrer directement. T’as d’autre choses à faire ici comme, aller au travail. Ca t’avait pas manqué de jongler entre la musique et le boulot pour avoir une rentrée d’argent sûre. L’avance du label c’est bien, mais si vous pouvez pas rembourser le tout avec les ventes de votre futur album, ça va être la merde. Tu t’arrêtes pas à ça. Vous avez déjà fait cette erreur par le passé. Pas deux fois.
Chargé comme une mule, tu sors des toilettes de la gare quand tes yeux tombent sur un petit attroupement. Pas grand chose et tu sais pas pourquoi t’es attiré par eux. Jusqu’à ce que tu vois ton sac être embarqué. Tu t’approches en vitesse. « Hey attendez ! C’est à moi ! » Mais tu galères à rattraper le gars qui a ton sac parce que y’a tout qui bouge de tous les côtés. T’en as sur le dos, dans les mains. « ATTENDEZ ! » Tu passes devant Elias sans faire attention à lui parce que ce qui t’importe c’est tes affaires. Putain t’es trop con Asher. Parce que non, c’était pas voulu. Tu as oublié ce sac. Ca arrive quand t’as beaucoup de trucs avec toi. Faudrait que tu te les enchaînes dessus. Si tu peux pas récupérer ton sac et qu’ils vont le faire exploser tu vas avoir la rage. « ATTENDEZ PUTAIN ! »
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| | | | (#)Lun 9 Nov - 21:30 | |
| « si je pouvais tout envoyer valser » asher buckley & elias sanders
Elias guettait l’homme depuis quelques minutes et il ne lui inspirait rien de bon. En réalité, il se demandait réellement si il avait pas bu ou si il avait pris autre chose, son accoutrement avec ses sacs qui pendouillent le long de son sac à dos ressemble plus à un sans papier qui est venu se loger là, c’est la raison pour laquelle l’homme l’intrigue. Pourquoi ne va-t-il pas s’allonger sur un banc directement ? Vaudrait peut-être mieux que le flic s’occupe de ses affaires mais ça semble difficile pour lui, parce qu’il a décidé finalement d’intervenir, quand l’homme s’éloigne de sa position, y laissant un sac à terre. Pas à un seul moment, Sanders se dit que peut-être il l’a égaré ou qu’il reviendra le chercher. L’esprit du flic ne lui laisse pas le temps de réfléchir, qu’il se précipite pour éloigner tout le monde, et ainsi avoir un accès rapide, avec les vigiles. Ils ne manquent pas de réactivité, surtout quand il montre son insigne. Il n’a pas l’uniforme parce qu’il n’est pas dans ses ordres de fonction ce jour-là, mais un flic ne demeure jamais loin de ses propres principes. Et par précaution, il préfère prendre le taureau par les cornes. Il aurait seulement fallut qu’il aille le voir, qu’il l’intercepte, mais Elias ne régit pas trop dans cette méthode-là. C’est donc sans une once de gêne, satisfait de leur boulot qu’il voit l’homme revenir vers eux, et quand il réalise que son sac est déjà entre les mains d’un vigil, qu’il accélère le pas. Sanders arque un sourcil, l’observant, silencieux.« Hey attendez ! C’est à moi ! » Ils avaient bien compris que c’était à lui, Elias l’avait vu faire. « Regardez… ! Qu’est-ce que vous je vous disais… » Qu’il ajoute à l’autre vigil, en pointant de la main l’homme qui marche rapidement jusqu’à eux. Que voulait-il faire ? Rattraper l’autre gars ? « ATTENDEZ ! » Il crie un peu plus fort, tentant de se frayer un chemin dans cette foule, déjà agglutinée de base. « ATTENDEZ PUTAIN ! » Une énième plainte qui reste sans réponse, s’arrêtant à hauteur du vigil et de Sanders, ce dernier ne peut que rétorquer au vigil en toisant presque l’homme du regard, « il va falloir surveiller le hall de la gare plus sérieusement… » Parce que là, ça craignait un peu quand même… |
| | | | (#)Mar 10 Nov - 8:39 | |
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« Regardez… ! Qu’est-ce que vous je vous disais… » Tes yeux se posent sur le gars qui vient de faire cette remarque. Il veut quoi ? C’est qui ? Tu décrocherais bien une droite mais t’as bien trop d’affaires importantes avec toi pour les laisser de nouveau sans supervision involontaire. Ta priorité là c’est récupérer ton sac et tu vas faire attention à ce que tu dis ou fait. T’as bien compris que c’était pas de la rigolade. Ils ont pris ton bien car ils pensent que c’est une menace pour autrui. T’es là pour leur prouver le contraire. Tu n’arrives pas à retenir une grossièreté mais c’est pas grand chose encore. « il va falloir surveiller le hall de la gare plus sérieusement… » Sauf que y’a ce gars qui met encore son grain de sel. Il se fou de ta gueule avec ses remarques et son air de monsieur je sais tout. Son air de c’est moi qui suis le patron ici petit con. Parce que oui, là t’as l’impression d’être revenu à tes 20 ans et qu’il est un adulte qui est là pour t’expliquer la marche à suivre quand t’es pas dans les clous. Un peu toute l’histoire de ta vie ça puisque tu n’as jamais suivi le chemin qui était déjà tout prêt pour toi. L’autre direction est beaucoup moins simple car il s’y trouve beaucoup d’opposition. Comme là.
« Y’a rien de dangereux dans mon sac. Je suis juste trop chargé et je l’ai oublié. » Ton ton est sec parce que sa réaction t’agace fortement. Mais tu te contiens bien. T’es sobre. Ca aide. Ou pas. « D’ailleurs si vous l’aviez pas trouvé j’aurai sûrement complètement zappé. » Asher. Il manque un « merci » à la fin de cette phrase. Tu le sais. Il t’arrache la gorge… « Merci de l’avoir trouvé. » Le voilà. Tu mets ton égo de côté pour récupérer ton sac. Mais c’est pas facile du tout. Dans le meilleur des mondes, tu serais simplement en train de sauter sur le dos du vigile après avoir mis une droite à cette tête de con à côté de lui. « Y’a mon nom dessus, sur l’étiquette. Asher Buckley. » Tu remets l’étuis de ta guitare un peu mieux sur ton dos alors que tu dis ça. Tu sais pas si t’espères qu’ils s’y connaissent en courses de voiture pour reconnaître ton nom. Tu sais pas si t’espères qu’ils connaissent ta famille. Tu sais pas si t’espères qu’ils écoutent du métal… Mais là, ce serait pratique tu penses. Visiblement ton polo tout propre sur toi, ton jeans et ton air de premier de la classe n'aide en rien à ce moment. Ou pas.
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| | | | (#)Mar 10 Nov - 22:15 | |
| « si je pouvais tout envoyer valser » asher buckley & elias sanders
La situation qui échappe à l’homme alors qu’Elias le regarde un instant, sans être totalement touché par sa performance d’homme à qui la vie est injuste. Il ne sait pas d’où lui vient cet esprit de compétition, quand il croise son regard alors que le type semble chercher à comprendre ce qui se passe. Peut-il avoir sérieusement une explication ?! Le brouhaha autour d’eux ne prête qu’à la confusion alors qu’il hausse les épaules, le type à la guitare sur le dos s’arrête à sa hauteur, il semble être en colère, à en noter son regard noir, mais c’est pas ce qui fera reculer, ou excuser le flic. « Y’a rien de dangereux dans mon sac. Je suis juste trop chargé et je l’ai oublié. » Il insiste avec son regard en direction d’Elias comme si il lui parlait directement à lui. Comme si il devait éprouver un certain manque de renseignement, un jugement un peu trop hâtif qui embêterai l’homme. A vrai dire il a l’habitude le flic qu’on cherche toujours à se disculper de tout, de remettre la faute sur les autres ou à pas de chance. « Vous avez l’air de déplacer votre maison avec vous… » Histoire juste d’enfoncer un peu le clou, en lui indiquant qu’il n’avait pas besoin d’avoir autant de sac pour lui tout seul, ça éviterait bien des soucis. « D’ailleurs si vous l’aviez pas trouvé j’aurai sûrement complètement zappé. » Nous y sommes ! Il l’aurait donc laissé là, en pleine gare sans se soucier des autres passagers ! « Merci de l’avoir trouvé. » Qu’il poursuit, Elias sent bien qu’il se force un peu, suffisamment du moins pour que ça se ressente, mais il ne dit rien, se contentant pour sa part d’hausser les épaules. « Y’a mon nom dessus, sur l’étiquette. Asher Buckley. » Buckley… Buckley, un nom qui lui dit vaguement quelque chose, mais de où… Là tout de suite ça ne vient pas. Puis Elias n’aime pas les laisser passer, c’est pas avec lui qu’on en aura ! « Qu’est-ce qu’il contient ce sac ? » Que le flic finit par demander, pour qu’il en fasse toute une histoire c’est que son contenu doit être important ou coûter cher n’est-ce pas ? « Autant pour moi… Agent Sanders. » Qu’il ajoute en montrant sa plaque, pourquoi lui répondrait-il sans voir sa plaque ? Lui-même ne répondrait pas à n’importe qui sans réellement savoir. |
| | | | (#)Ven 13 Nov - 15:45 | |
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« Vous avez l’air de déplacer votre maison avec vous… » Tu le regardes en fronçant les sourcils. Il sous entend quoi par là ? Tu prends beaucoup sur toi mais si il continue avec ses remarques de la sorte, ça va pas être chill bien longtemps. « J’ai loupé le memo comme quoi c’était interdit. » Parce que tu ne comptes pas te justifier de quoi que ce soit à propos de tes affaires. Ils pensent vraiment que t’es un terroriste avec une bombe. Tu vois pas d’autres explication. T’as laissé ton sac sans surveillance et tu en paies le prix avec tout ces questionnements. Mais c’est qui ce fils de pute?? Parce que vraiment, t’as juste envie de lui refaire le portrait, mais à la place tu donnes ton nom. Zen Asher. « Qu’est-ce qu’il contient ce sac ? » Mais le gars il aide en rien du tout.« C’est une blague…? » C’est qui ce gars ?? Tu le regardes avec des yeux ronds sans comprendre ce qu’il te veut. Le vigile est à côté et même lui, tu trouves ça limite qu’il ne te rende pas juste ton sac quand tu viens de leur expliquer la situation. « Autant pour moi… Agent Sanders. » Un flic. Un putain de flic.
« Agent Sanders je pense qu’il y a des choses bien plus importante à faire que de garder mon sac en otage. » Tu tournes les yeux vers le vigile qui a le sac. « Je peux le récupérer maintenant ? C’est pas bien compliqué de vérifier mon nom dessus. » Ton ton commence à se lever. Parce que tu n’en peux plus de cette mascarade. Sérieusement. T’as pas que ça à faire. « Vous avez de la chance je suis en chemin pour chez moi et j’ai pas un train à prendre. » Savoir qu’il est flic te retient d’aller en mode fury tout de suite. Tu sens gros comme une maison qu’il ne va pas te la faire si simple et que tu vas t’énerver encore plus. Pas impossible que tu en viennes aux mains. Il va te faire vriller s’il continue à te parler comme un gosse qu’on doit corriger. Zen Asher. Ce serait une immense victoire pour toi comme pour lui si jamais tu peux finir cet échange avec ton sac et pas au poste de police. Mais tu sais bien que les flics adorent ça faire chier leur monde. Bâtards.
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| | | | (#)Lun 16 Nov - 12:21 | |
| « si je pouvais tout envoyer valser » asher buckley & elias sanders
C’est indéniable, le flic aime provoquer, plus encore quand il a des soupçons (qui sont infondés) mais qu’importe, il ne veut pas voir ça. Il le regarde de la tête au pied, et l’homme ne vas pas apprécier pour un sous, pour autant il ne faudrait pas trop qu’il rentre dans son jeu, parce que jouer, il sait faire Sanders. Et qu’avec son statut, il risque d’en profiter bien allègrement sans une once de gêne. Et tant pis si ça fait déplacer un ancien coureur de F au placard, qui n’a même plus ses deux bras pour se consoler de son triste sort, le flic ne regarde pas la F1. Il serait plutôt du genre à ne pas se soucier des choses, à vivre à l’instant présent, sans vouloir jamais présenter d’excuses, manquerait plus que ça ! « J’ai loupé le memo comme quoi c’était interdit. » Il lève les yeux au ciel, il commence doucement à se rebeller le type sans abris, il semble avoir retrouvé sa langue pour dire autre chose que « rendez-le moi » comme si ça pourrait un jour émouvoir le flic. Il lève les yeux au ciel, et sent bien que l’homme le fusille du regard, il doit être en train de l’insulter dans ses pensées, ou le tuer quatre fois d’affilés ; mais peu importe. Il aime bien faire son chieur. « En ses temps, il vaut mieux éviter d’oublier son sac dans une gare ou un aéroport, oui effectivement. A moins que vous n’ayez pas d’outils pour connaître les nouvelles qui se passent dans le monde, ou sur notre île… » couillon qu’il pense presque trop fort à tel point que l’homme pourrait devenir le surnom qu’il lui a donné, par mégarde dans ses pensées. Il a aimé voir sa tronche se décomposée quand il lui a annoncé être flic. D’où ses questions, d’où ce léger tête à tête qu’il aurait voulu s’épargner, en attendant sa sœur. Très certainement que si elle arrivait à cet instant, elle lèverait les yeux au ciel, en lui avouant ‘tu n’peux vraiment pas t’en empêcher ?!’ Faut croire que non… « Agent Sanders je pense qu’il y a des choses bien plus importante à faire que de garder mon sac en otage. » Il hausse les épaules, « comme ?! » Qu’il lui donne une seule et unique bonne raison de le laisser repartir sans heurt, sans devoir le suivre jusqu’au commissariat ? « Je peux le récupérer maintenant ? C’est pas bien compliqué de vérifier mon nom dessus. » Le ton qui commence à monter, mieux vaut pourtant qu’il la ramène pas trop. Pas envers Sanders du moins. « Baissez d’un ton oui ! On est pas là pour s’amuser ! » Qu’il surenchérit en se tournant volontiers envers le mec. C’était en venir au main qu’il souhaitait ? Parce que si c’est le cas, il trouverait adversaire à sa taille ! « Vous vous croyez où là ? » Il est dans un lieu public pas chez lui, même si visiblement chez lui c’est partout, à le voir faire ! « Vous avez de la chance je suis en chemin pour chez moi et j’ai pas un train à prendre. » Et alors ? Il arque un sourcil, en soutenant son regard, il ne suffirait qu’il allume la brèche pour que le feu s’empare de lui. « On a de la chance ?! » Qu’il rétorque, acerbe ! « C’est plutôt vous qui en avez, » un brin moqueur, l’homme ne doit pas savoir à qui il s’adresse… |
| | | | (#)Jeu 26 Nov - 12:07 | |
| « En ses temps, il vaut mieux éviter d’oublier son sac dans une gare ou un aéroport, oui effectivement. A moins que vous n’ayez pas d’outils pour connaître les nouvelles qui se passent dans le monde, ou sur notre île… » En ces temps quoi ? Tu regardes pas les infos, t’en as rien à foutre. Tu ne te justifies pas, ce gars cherche juste à te faire chier. Il s’ennuie. C’est clair. Il te trouve peut être à son goût pour passer le plus de temps avec toi possible dans sa journée si maussade. Fuck off. « comme ?! » Tu laisses glisser. T’es en train de réfléchir à ce qui est vraiment important dans ce sac là parce que oui, tu vas te barrer. Tu t’en fou si tu perds du matos. Il va te faire vriller s’il continue. T’as grave du mal à garder ton calme parce que c’est une grosse farce qui est en train de se jouer sous tes yeux. T’as pas eu de chance mais ça, c’est rien de nouveau. T’en as vu d’autres des situations comme ça. « Baissez d’un ton oui ! On est pas là pour s’amuser ! » Ca te fait doucement sourire (non) qu’il te vouvoie alors qu’il te traite comme un moins que rien qui n’a pas le droit de récupérer son sac ce fils de pute. « Vous vous croyez où là ? » Tu roules les yeux, la colère ne demande qu’une petite étincelle supplémentaire pour sortir de ses gonds. « On a de la chance ?! C’est plutôt vous qui en avez, » Tu hoches la tête. « T’as de la chance ouais, garde le ce sac, t’as gagné ta journée. » Et tu fais demi tour te disant presque que tu devrais rentrer jusque chez toi à pied pour pouvoir évacuer toute cette colère que tu n’arriveras pas à canaliser bien plus longtemps. L’autre sac que tu as dans ta main que tu serres fort. Tu vas certainement pas ouvrir ce poing avant un long moment. Tu vas même essayer de trouver le premier endroit où tu vas pouvoir laisser sortir tout ça. Faut que tu investisses dans un sac de boxe pour pouvoir faire ça chez toi et arrêter de frapper des gens qui t’ont rien fait. Ta vie allait un peu mieux récemment, c’était que quelques semaines de répit. Tu le sais très bien que l’enfer n’est jamais loin. Limite il te manque parfois.
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| | | | (#)Ven 27 Nov - 23:23 | |
| « si je pouvais tout envoyer valser » asher buckley & elias sanders
Vaudrait mieux pour s’éviter les foudres de Sanders que ce mec lui dit clairement ses pensées. Le fait que possiblement il soit attiré par lui, entre autre. Elias ne supporte pas qu’on le prenne pour ce qu’il n’est pas, et hors de question qu’un homme, quel qu’il soit le lui dise ouvertement ! Sous peine de se recevoir sans aucun doute son propre procès en pleine gare ! En attendant l’homme reste silencieux, le regardant parfois – le flic se demande bien ce qui se passe dans sa tronche à celui-là. Habituellement quand on est hors de cause, on proteste davantage, on se bat pour la liberté. Lui semble stoïque, ou dépité. Pire encore, il s’est présenté de manière désinvolte comme si son nom valait quelque chose… Pas dans le monde du coureur illégale. Il n’en a rien à battre qu’il s’appelle Pierre Paul Jacques. Tout ce qui intéresse Elias c’est faire sa loi, plus encore quand la tronche de l’autre paraît suspecte. Il ne saurait quoi dire de ce qui le dérange, mais il le dérange et prend conscience de bien kiffer ce qui lui arrive. Il ne le dira évidemment pas à voix haute mais Sanders aime bien quand ça se finit ainsi. Il ne lui rendra pas le sac il peut même se rouler par terre en chialant qu’il se fiche complètement. Mais le fameux Buckley commence à élever sa voix et ça le fait rire le flic, qui hausse les épaules d’un air je m’en foutiste. Est-ce que c’est censé l’effrayer ? Lui faire poser des questions ? « T’as de la chance ouais, garde le ce sac, t’as gagné ta journée. » Qu’il dit alors que le mec n’attend pas une minute supplémentaire pour faire demi-tour, et quitter la gare devant le regard idiot des deux. « Attends ! On en a pas fini ! » Non mais il est sérieux le type ? Il est parti sans rien dire, Elias le course jusqu’au parking, mais sa sœur va pas tarder à arrive, il va pas le suivre jusqu’à l’autre bout de la ville. Il claque des dents, bien prêt au jour où il le reverra traîner dans les rues !
FIN |
| | | | | | | | (asher) si je pouvais tout envoyer valser |
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