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 Have yourself a merry little christmas | Gionny2

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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyDim 6 Déc - 21:48


It's beginning to look a lot like Christmas. Toys in every store but the prettiest sight to see is the holly that will be on your own front door.


La période de Noël est l’une des préférées du Medici. En dehors de son côté commercial qui explose au fil des ans, ça reste une fête où le plus important est d’être en famille, une fête qui même quand il y a des discordes rapproche tout le monde – sauf peut-être les Williams -. C’est compliqué pour l’italien de rejoindre sa famille qui est toujours en Italie. Son travail au restaurant lui prend quasiment tout son temps et fête ou pas fête il doit continuer de tourner. Il ne pouvait réserver que pour le vingt-trois et pas avant, ce fut un pari risqué, mais il le tenta. Il confie une fois de plus les clés de son restaurant au second avant de partir se coucher tôt pour ne pas louper son avion. C’est qu’il est vraiment tout le temps excité pendant cette période, si on lui connaît déjà la réputation de l’ouvrir tout le temps et d’être hyperactif, le mois de Décembre amplifie exponentiellement ses traits-là. Il ne fait même pas attention à ce qu’il met dans sa valise, il y met juste un maximum de fringue et un costume pour le réveillon. La playlist clichée de chansons de Noël qui tourne comme s’il en a besoin pour s’ambiancer un peu plus, un petit message plus tard pour s’assurer que son second a toutes les infos pour la gestion durant son absence et il embarque dans un taxi commandé quelques minutes plus tôt. « À l’aéroport international de Brisbane s’il vous plait. » Il commence déjà à se frotter les mains pensant déjà être arrivé à sa terre natale. Le Medici embarque dans l’avion sans trop de soucis, la douane fut une formalité et le plaisir de la first classe qui ne font qu’accentuer son excitation.

Gio commence à regarder sa montre à plusieurs reprises, ça devait déjà faire plusieurs minutes que l’avion aurait dû décoller, mais rien il reste toujours sur le tarmac et il n’a pas bougé d’un pouce. Il commence à s’inquiéter l’italien parce que ce sont tout de même plusieurs heures qui l’attendent à traverser une bonne partie du globe. « Excusez-moi, vous savez quand est-ce que nous allons décoller ? » « Je suis désolé monsieur, ça ne devrait plus tarder. » Il retourne s’assoir tranquillement, dégustant le champagne qu’on lui a servi un peu plus tôt. C’est après presque une heure d’attente qu’on vient finalement le chercher pour lui indiquer le chemin vers le débarquement, l’avion a un problème technique il ne peut pas partir. Il secoue la tête le Medici, il se retient de toutes ses forces de gueuler sur le petit personnel dont il sait qu’ils ne sont pas responsables de la situation. « VOUS RIGOLEZ, vous n’avez rien d’autre à me proposer ? » Le ton monte cependant un peu plus une fois qu’il arrive à un centre d’accueil pour faire échanger ses billets et espérer prendre un avion d’une autre compagnie dans la journée. Il sait que s’il attend qu’on vienne lui proposer quelque chose il ne s’en sortirait pas et il en aurait pour encore plusieurs heures. « Je n’en ai rien à faire, j’ai payé ces billets une fortune, vous n’allez pas me faire croire qu’il n’y a rien pour moi avant TROIS JOURS ? » Il est exaspéré le napolitain. Il balance ses billets sur le bureau de la femme à qui il faisait face avant de faire volteface et de sortir de cet endroit où il voulait tout casser. Il s’empresse de prévenir ses parents qu’il ne pourra finalement pas être présent pour Noël cette année, une première pour le Medici.

C’est en étant seul et dépité chez lui qu’il scrolle sur instagram. Toutes ces stories qui ne font que le déprimer encore plus à l’idée de finalement passer seul la fête qu’il préfère par-dessus tout. Un flash lui arrive cependant, il n’est pas vraiment seul, enfin il pourrait ne plus l’être si jamais Penny n’a toujours rien de prévu. Il s’empresse alors de faire le numéro de la brune espérant qu’elle décroche son téléphone. « Ciao bella*, c’est Gio. Dis-moi, tu n’as toujours rien de prévu pour ce soir ? Prépare-toi, je passe te chercher un peu avant vingt heures. » Il est déjà prêt lui le Medici, vêtu d’un magnifique costume italien trois pièces. Il sait aussi qu’il y aura sûrement beaucoup de médias à ce bal, peut-être était-ce le meilleur moment pour s’afficher en public en dehors des photos insta. Est-ce pour autant une très bonne idée ? Peut-être pas, il faudra qu’il espère que ça ne lui gâche pas non plus sa soirée parce que malgré les appareils photos qui seront sûrement braqués sur eux dès que Penny sera en ligne de vue, il espère malgré tout lui changer un peu les idées par la même occasion et tout simplement prendre du bon temps. Il ne peut pas comprendre ce que traverse la jeune femme, mais il peut l’aider à ce que ça soit moins compliqué.

Gio arrive pile à l’heure et il vient frapper à la porte du loft de la jeune femme en profitant qu’un autre locataire sorte de l’immeuble en même temps qu’il arrive. Il n’est pas venu les mains vides le Medici, il a fait faire pour la jeune femme un magnifique bracelet floral, oui comme pour un bal de promo, que voulez-vous il a le sens de l’humour non ? La porte commence à s’ouvrir et un sourire commence déjà à se dessiner sur les lèvres du jeune homme. « Madame, êtes-vous déjà prête ? Humm... visiblement non. » L’ironie et toujours l’ironie, comme s’il ne pouvait s’empêcher de faire le con. Il est une fois de plus invité à rentrer alors qu’il cache encore son petit cadeau pour la jeune femme. « Je suis désolé de t’avoir demandé au dernier moment, j’ai eu un petit souci avec mes projets pour la veille de Noël. » Elle sait Penny que s’il n’avait pas pu accepter sa proposition la première fois qu’elle lui avait demandé c’est parce qu’il devait retrouver ses parents et non pas parce qu’il ne voulait pas passer une soirée avec elle. Sa soirée fut sauvée grâce à la brune et ça, il lui en est vraiment reconnaissant. Il attend les derniers préparatifs de la jeune femme, ils ne sont pas vraiment pressés de toute manière. « Tu sais, finalement je me dis que ça n’est peut-être pas plus mal que je passe le réveillon en ta compagnie, au moins ça m’évitera les discussions reloues des boomers. Tu n’imagines pas à quel point ça peut être chiant un repas où tu es entouré par des mecs qui se prennent pour des aristos. » Et il se met à rire le Medici, parce qu’il ne se considère pas du tout comme eux. Alors que ses prunelles accrochent celles de la jeune femme à plusieurs reprises quand elle passe devant lui pour finalement repartir dans sa chambre avant de revenir dans le salon. « Aller, laisse-moi faire, je vais t’aider. » Il lui arrache un objet qui doit sûrement lui servir pour son maquillage et si elle ne veut pas que ce soit un véritable massacre il va falloir vite lui reprendre des mains.

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Dernière édition par Giovanni Medici le Mar 15 Déc - 15:45, édité 1 fois
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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
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Have yourself a merry little christmas | Gionny2 MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
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POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
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penisycause baby, the best part of me is you.
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AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 26/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMar 8 Déc - 22:17


@giovanni medici
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Tu as toujours aimé Noël. Noël et ses lumières. Noël et ses festivités. Noël et le temps passé en famille. Chaque année, tu fais ton possible pour pouvoir être avec tes parents le 24 au soir ou le 25 au matin. Tu y tiens, si fort. Tu réussis généralement à libérer ton agenda assez pour que ce soit possible mais pas cette année. Entre ton tournage a Los Angeles pour la majorité du mois de décembre et tes différents engagements communautaires à Brisbane la semaine de Noël, il avait tout simplement été impossible pour toi de trouver le temps. S’ils avaient été à Torquay, ça aurait pu se faire (même si ça aurait voulu dire passer une bonne partie du 24 et du 25 décembre à l’aéroport, dans l’avion ou dans l’auto) mais avec le voyage à Hawaï , prévu depuis longtemps, ça ne se pouvait tout simplement pas. Tu étais triste d’ailleurs, de ne pas être sur une plage à Hawaï avec tes parents et ton frère en ce moment. Triste et fâchée de te retrouver seule dans ton loft soudainement trop grand et trop silencieux la veille de Noël. Tu penses à Chloe qui est restée avec Los Angeles et tu te demandes si elle va réussir à convaincre Victor de passer la soirée avec elle. Tu penses à Jessian qui est avec Morgane, et ses sœurs probablement et tu espères qu’elle a réussi à faire la paix avec ses parents ne serait-ce que pour un soir aussi important que celui de Noël dans le cœur d’une gamine de cinq ans. Tu penses même à Swann et tu te demandes s’il passe la soirée avec Lucia. Sûrement. Vous ne vous êtes pas vraiment reparlés depuis la soirée au bar. Comme si tout avait été dit, du moins, pour le moment.

Et puis tu penses à Rory.
Même quand tu essayes de ne pas y penser, il y a toujours son visage qui te revient en tête.
Rory, son regard fuyant et son sourire triste.

Tu détestes à quel point la situation est lourde entre vous deux en ce moment. Tu détestes que vous soyez incapable de vous parler. Tu détestes qu’il prenne ta fausse relation avec Giovanni aussi mal. Jamais tu n’avais eu l’intention de le blesser en acceptant cette proposition aussi folle que loufoque. Tu pensais qu’en étant officiellement avec quelqu’un, ça calmerait les rumeurs sur Rory et toi, surtout en vue de votre tournage ensemble. Tu pensais que ce serait plus sage, autant pour toi que pour lui, si on arrêtait de mettre des photos de vous ensemble sous des articles aux titres se voulant plus accrocheurs les uns des autres. Tu pensais que ça te donnerait une chance de faire le ménage dans ta tête et dans ton cœur face au Craine justement, sans que l’Australie en entier ne décide de donner son opinion sur le sujet. Jamais tu n’aurais penser que vous en seriez là. Veille de Noël. Incapable de vous regarder dans les yeux, encore moins de vous parler. Il y a Instagram d’ouvert sur ton téléphone, le profil du Craine qui traîne la, toi qui regarde trop sans jamais rien aimer, sans jamais rien commenter. Il y a une photo de lui et Wendy autour de la table, et ça te pince le cœur. De penser que t’aurais peut-être pu être là, toi aussi. Tu tentes tant bien que mal de le chasser de ton esprit et t’as ton téléphone entre les mains lorsque tu vois le nom de Giovanni apparaître sur l’écran. T’as même pas le temps de dire bonjour que déjà la voix de l’italien se fait entendre au bout du fil. « Ciao bella, c’est Gio. Dis-moi, tu n’as toujours rien de prévu pour ce soir? Prépare-toi, je passe te chercher un peu avant vingt heures. » Et juste comme ça, avant même que tu es le temps de confirmer que tu es bel et bien libre ce soir, il raccroche et tu échappes un léger soupir. T’es pas certaine que t’as le cœur de sortir, le coeur encore et toujours trop lourd, mais tu te lèves quand même de ton canapé, à la recherche d’une robe à mettre. Tu sais qu’il y a un bal en ville ce soir et tu connais assez l’italien pour savoir que s’il a décidé de te sortir ce soir, ça allait se faire là où vous alliez pouvoir être à la vue de tous.

C’est une robe de style sirène noire qui te colle à la peau que tu enfiles finalement alors que tu commences à te préparer. T’as pas vraiment le courage de faire quoique ce soit avec ta crinière blonde, alors c’est une ligne queue de cheval qui l’emporte, tes cheveux raidis à la perfection qui tombe machinalement contre ton dos. T’es en train de commencer ton maquillage lorsque tu entends quelques coups frappés à ta porte. Il est pile à l’heure, ce qui veut automatiquement dire que toi, tu n’es pas prête. Il a jamais appris le concept d’être fashionably late l’italien? Tu ouvres la porte et la première chose que tu remarques, c’est la boutonnière qu’il tient entre les mains. Il est sérieux là? « Madame, êtes-vous déjà prête? Hummm... visiblement non. » Haha. Non. « C’est ce qui arrive quand j’ai même pas un heure d’avis et que tu te donnes pas la peine d’arriver ne serait-ce qu’une dizaine de minutes en retard. » Tu allais avoir besoin d’un peu plus que dix minutes, mais ça, tu ne lui dis pas. Il allait s’en rendre compte bien assez vite de toute façon. « Je suis désolé de t’avoir demandé au dernier moment, j’ai eu un petit souci avec mes projets pour la veille de Noël. » « Je croyais que tu serais déjà en Italie à l’heure qu’il est. Qu’est-ce qui s’est passé? » Tu l’invites à te suivre alors que tu reprends le chemin jusqu’à ta salle de bain où tout ton effectif de maquillage est bien en vue. Tu attrapes une éponge et commence à appliquer une première couche de fond de teint, regardant l’italien au travers du miroir. « Tu sais, finalement je me dis que ça n’est peut-être pas plus mal que je passe le réveillon en ta compagnie, au moins ça m’évitera les discussions reloue des boomers. Tu n’imagines pas à quel point ça peut être chiant un repas où tu es entouré par des mecs qui se prennent pour des aristos. » Tu roules des yeux légèrement alors qu’un sourire se place au coin de tes lèvres. « T’oublies que c’est pas la première soirée que je passe avec toi. » que tu dis, à moitié à la blague, malgré le petit fond de vérité. C’est qu’il semble presque oublié son petit côté précieux, le Medici. « Et puis ça fait plaisir d’être ton plan de secours. » T’es sarcastique une fois de plus, malgré le sourire qui te trahit. Ça te dérange pas vraiment en réalité, c’est quand même mieux que de passer la soirée toute seule à regarder le profil Instagram de Rory et déprimée. Il attrape ton recourbeur de cils et s’approche de ton visage sans vraiment savoir ce qu’il fait et ça t’arrache un rire. « Aller, laisse-moi faire, je vais t’aider. » « Arrête, donne-moi ça, tu vas faire mal à quelqu’un si tu continues! » Tu lui reprends l’outil des mains avant de te retourner à nouveau vers le miroir, passant à la prochaine étape de ton maquillage. « Y’a du vin dans le frigo si tu veux te servir un verre pendant que je finis ça. Ça devrait pas être trop long. » Et ça risque d’aller beaucoup plus vite s’il est pas là à te regarder, à toucher à tout et à vouloir t’aider. « Où est-ce qu’on va au fait? » À voir son habit et la boutonnière, t’es presque certaine que c’est le bal organisé par la ville. Mais autant en être certaine.
(c) ethereal



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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyJeu 10 Déc - 11:40


It's beginning to look a lot like Christmas. Toys in every store but the prettiest sight to see is the holly that will be on your own front door.


Il ne savait pas vraiment si c’était vraiment une bonne chose de recontacter Penny pour le jour même, parce que si on lui avait fait ça à lui il aurait sûrement ri au nez de la personne avant de raccrocher aussi vite qu’il aurait répondu. Dans sa tête la proposition de la jeune femme continuait d’être valable jusqu’au soir minuit, sûrement une excuse toute trouvée pour qu’il ne se sente pas coupable de la rappeler. C’est également lui qui a eu cette idée bien farfelue de faire croire aux tabloïdes à leur couple, il ne sait même pas vraiment pourquoi il a proposé ceci. Était-ce simplement pour s’amuser un peu ? Pour vraiment aider la brune avec ses rumeurs infondées ? Lui-même ne doit sûrement pas trop le savoir alors que c’est sorti de sa bouche sans vraiment réfléchir, proposant cette solution à Penny comme une autre. De ce qu’il pouvait voir ça marchait plutôt bien, même un peu trop quand ce fameux Rory faisait part de ses doutes et surtout du fait que ça ne lui plaisait pas tant que ça comme solution à leurs problèmes. C’était en partie pour ça que Penny se retrouvait toute seule pour la période de Noël, est-ce que ça allait vraiment arranger leur souci de communication si on les voyait ensemble au bal ? Sûrement pas, mais c’est un problème qui peut toujours se gérer plus tard après un ou deux verres et une nuit au lit non ? Le destin a finalement voulu que Giovanni reste lui aussi à Brisbane, sorry not sorry Rory.  Il a déjà en tête toutes les petites phrases qu’il balancerait aux pseudos journalistes le Medici, tout a été étudié au mot prêt pour qu’ils soient tranquilles ce soir et eux plus tard quand toutes ces fameuses rumeurs lasseraient les lecteurs. C’était une idée tout droite sortie d’un vieux film de série b où le prince charmant arrive à la rescousse de la demoiselle en détresse à quelques détails près que Gio n’est pas tellement un prince charmant et ça elle le sait très bien la brune. Qu’est-ce qu’il a à y gagner le Medici dans toute cette histoire ? À part peut-être une mauvaise pub pour ses restaurants si les rumeurs empirent ? Pas grand-chose, il ne fait pas vraiment ça dans le but d’obtenir quelque chose ou si c’est le cas il cache vraiment bien son jeu.

Il fait tous les efforts du monde ce soir-là l’italien pour ne pas faire de commentaire désobligeant et ce même s’il doit avouer que de voir Penny dans sa robe noire en train de se préparer pour le bal lui fait légèrement regretter l’époque où c’est lui qui allait la retrouver dans son lit le soir.  « Que veux-tu, un gentleman se doit d’être à l’heure non ? » Il parcourt une nouvelle fois le sol de son appartement, allant ici et là touchant cette petite babiole avant de le reposer ni vu ni connu. Alors oui ça se casse ça Gio. Le fait que le Medici devait déjà avoir rejoint à cette heure-ci n’a pas échappé à Penny et même si la pilule a encore du mal à passer pour le chef étoilé il se résigne à avouer cette terrible épopée qu’il a vécue. « Si, un avion ça peut tomber en panne, tu le savais ça ? Et pour couronner le tout il n’y a plus aucunes places de disponibles avant trois jours. J’ai payé une fortune pour être en first classe et je me fais rejeter comme ça, si c’est pas triste… » Elle peut très bien discerner l’amertume encore présent dans la voix du Medici, parce que même s’il est plutôt heureux de passer cette soirée avec la jeune femme, il aurait tout de même préféré ne pas avoir à se couper de la tradition familiale. Il essaie tant bien que mal d’en rigoler, de même se dire que c’est peut-être mieux comme ça, mais c’est surtout un moyen pour lui de ne pas retourner à l’aéroport pour traiter chaque employé de tous les noms possible et imaginable. Il fait la mine faussement choqué Gio en appuyant avec sa main sur son torse, lui se prendre pour un aristocrate ? J.A.M.A.I.S, enfin sauf quand ça l’arrange ça bien sûr, mais encore une fois il ne l’avouera pas. « Je me sens tellement trahi, tu n’imagines même pas la peine que ça me fait de t’entendre dire ça, je suis… déçu… » On y croit tous Gio, ce petit numéro d’acteur ça ne passe plus trop maintenant. « Oh, mais je ne te considère pas comme un plan de secours, sinon je n’aurais pas fait autant d’effort pour me préparer. » Wink, wink. Il s’approche finalement de la salle de bain où la porte est ouverte attrapant ce que Penny a dans les mains au passage. Elle essaie de se débattre tan bien que mal et de lui reprendre son " truc ". « Tututututu, on laisse faire les grandes personnes. » Il se résigne cependant à vite lui redonner son recourbeur de cils avant de continuer à farfouiller comme s’il était chez lui dans sa trousse à maquillage. Il attrape alors un crayon noir avant de l’approcher de ses propres cils, c’est qu’il n’est pas si novice que ça le Medici. Avant d’avoir failli se faire renier par sa famille, il a eu l’occasion l’occasion de se maquiller à plusieurs reprises, ce n’était que du léger et à peine perceptible, mais il a quand même eu cette habitude. « Oh, il y a du vin ? Intéressant. » Il continue les dernières petites touches au niveau des yeux avant de poser le crayon et de se diriger vers la cuisine. Il sort au passage deux verres à vin et verse le précieux liquide. « Je pense que tu dois déjà te douter où est-ce que je vais bien pouvoir nous emmener pour avoir mis cette magnifique robe, non ? » Un large sourire se dessine sur les lèvres de Giovanni alors qu’il arrive avec les deux verres devant la salle de bain. « Tu vas même me rendre jaloux si jamais tu attires trop l’attention des autres. » Il commence à boire sa première gorgée posant la tête contre le mur attendant patiemment que la belle demoiselle ne finisse de se préparer. « Si jamais ça devient trop lourd à supporter on pourra toujours s’enfuir sans problème je suppose. Je veux dire pour cette histoire de paparazzis, d’appareils photos et tout le reste. » Il ne sait pas à quel point cette affaire peut bien intéresser la curiosité des autres, ni à quel point la popularité de Penny – qui est bien plus grande ici en Australie que la sienne – peut être un problème s’il y a trop de monde. « On a qu’à se donner un code pour prévenir l’autre qu’on désire se barrer, qu’est-ce que tu en dis ? » Il lui tend alors son verre à elle, attendant qu’ils trinquent au futur succès de cette soirée sans qu’ils soient emmerdés par des trouble-fêtes qui ne pensent qu’à faire vendre du papier avant de respecter la vie privée des autres. Tout ce qu’il veut le Medici c’est qu’elle oublie ses problèmes et qu’elle puisse enfin penser à autre chose que ce qui va bien pouvoir l’attendre en ouvrant un énième article parlant de son pseudo triangle amoureux.




Dernière édition par Giovanni Medici le Mer 16 Déc - 0:27, édité 2 fois
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MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
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ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
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DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
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INSCRIT LE : 26/10/2020
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyDim 13 Déc - 8:40


@giovanni medici
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« Que veux-tu, un gentleman se doit d’être à l’heure, non? » Tu hoches négativement de la tête. Non justement, un vrai gentleman, ça sait de toujours offrir à la fille un peu plus de temps pour se préparer, mais tu ne te lances pas dans ses explications parce que tu connais assez bien le Medici pour savoir que vous en avez jusqu’à Noël l’année prochaine à débattre si tu entres dans vos définitions bien distinctes de ce qu’est un gentleman. « Si, un avion ça peut tomber en panne, tu le savais ça? Et pour couronner le tout il n’y a plus aucunes places de disponibles avant trois jours. J’ai payé une fortune pour être en first classe et je me fais rejeter comme ça, si c’est pas triste... » Tu es drôlement partagée entre l’envie de te moquer de lui (parce qu’il rend toujours ça terriblement tentant) et le fait d’être honnêtement désolée pour lui. Tu ne souhaitais à personne d’être loin de leur famille la veille de Noël et si tu étais quand même contente d’avoir quelqu’un avec qui passé la soirée malgré tout, tu sais que malgré ce qu’il en dit l’italien, il aurait sans doute préféré être entouré des siens ce soir plutôt que de se pavaner à ton bras pour faire semblant de quelque chose. Limite s’il y gagnait quelque chose, ça pourrait être une autre histoire mais comme tu n’avais pas vraiment l’intention de passer la soirée avec lui comme ça, tu ne pouvais t’empêcher de te demander ce que lui trouvait vraiment au sein de votre arrangement. « Je suis désolée de l’apprendre. » que tu réponds sincèrement, ignorant ainsi toute la mise en scène qui accompagne souvent toutes les paroles de l’italien. Tu savais qu’il était déçu et de cette façon, tu lui laissais savoir que c’était correct pour une fois, de ne pas jouer la comédie.

« Je me sens tellement trahi, tu n’imagines même pas la peine que ça me fait de t’entendre dire ça, je suis… déçu... » Et le voilà qui recommence. Un autre roulement des yeux, un autre soupir, c’est ce ça devient une danse familière tout ça à la longue. Tu continues de te maquiller dans l’espoir que vous puissiez sortir avant que minuit ne sonne. « Oh, mais je ne te considère pas comme un plan de secours, sinon je n’aurais pas fait autant d’effort pour me préparer. » Tu te retournes vers lui en fronçant des sourcils. « Tu vas me faire croire que c’est pas exactement ce que tu avais prévu de porter ce soir? Monsieur je dépense une tonne d’argent en première classe? » Tu n’avais rien du tout contre le fait d’être le plan de secours, encore fallait-il que l’italien s’assume au moins. Tu réalises bien vite que d’avoir Giovanni dans ta salle de bain, ça ressemble beaucoup à avoir un gamin de trois ans qui s’intéresse à tout et qui n’écoute rien comme compagnie et si t’es bien honnête, tu ferais plus confiance à un enfant qu’à Gio ne pas complètement foutre le bordel dans ton maquillage ou de ne pas briser quelque chose. « Tututututu, on laisse faire les grandes personnes. » Tu lui fais alors un autre air sévère et il se range enfin de ton côté, redéposant ainsi ton recourbeur de cils sur le comptoir de la salle de bain, bien qu’il semble déjà à la recherche de son prochain truc à se mettre entre les doigts. T’es sur le point de te plaindre à nouveau lorsque tu remarques qu’il a pris l’un de tes nombreux crayons noirs et qu’il s’en met déjà une fine ligne sous les yeux. « Un homme aux multiples talents à ce que je vois. » que tu ne peux t’empêcher de dire avec un sourire aux lèvres alors que de ton côté tu te mets une couche de mascara. « Oh, il y a du vin? Intéressant. » Tu n’es pas étonnée que la mention de la bouteille soit un appel attirant pour l’italien qui fini ses yeux, le fin coup de crayon juste ce qu’il faut pour bien faire briller le bleu de ses iris, et tu pousses un soupir de soulagement de finalement le savoir hors de ta salle de bain. Tu continues de ton côté à faire aussi vite que possible alors que tu l’entends sortir la bouteille du frigo et ce que tu devines être deux verres se poser contre la table.

« Je pense que tu dois déjà te douter ou est-ce que je vais bien pouvoir nous emmener pour avoir mis cette magnifique robe, non? » Tu ne peux empêcher un sourire de se placer sur tes lèvres. Il faut croire que même après tout ce temps, tu n’es pas complètement immunisée contre le charme Medici. « J’ai bien une petite idée. » Ça allait être bruyant. Ça allait être bondé. Vous alliez être vus par beaucoup de monde. Le cover-up parfait. C’est bien ce que tu voulais, non? Tu essayes de te convaincre que oui, mais un seul coup d’oeil à ton téléphone te remet automatiquement dans le doute. Pas de nouvelles de Rory. Tu devrais le savoir que tu n’en auras pas ce soir. Quel intérêt aurait-il à te souhaiter Joyeux Noël de toute façon? Tu reposes ton regard dans le miroir, le reflet qu’il te renvoie n’est pas celui d’une fille heureuse d’aller à un bal, mais tu n’allais certainement pas laisser ça t’empêcher de faire semblant un peu plus longtemps. Et puis certainement que le vin allait aider à la situation alors que Gio réapparaît derrière toi, avec un verre qu’il te tend. « Tu vas même me rendre jaloux si jamais tu attires trop l’attention des autres. » « Jamais je n’oserais voler l’attention qui te revient. » Tu ne sais pas vraiment s’il voulait dire qu’il allait être jaloux qu’on te porte plus d’attention qu’à lui, ou jaloux que d’autres essayent de prendre ton attention loin de lui, mais tu prétends qu’il s’agit de la première option parce que tu ne peux tout simplement pas imaginer rendre la situation plus compliquée avec l’italien. Il fallait que les termes restent clairs. Vous deux : que du faux. N’importe quoi qui viendrait contredire ce fait n’aiderait en rien ta situation qui était ma foi, déjà bien trop complexe. « Si jamais ça devient trop lourd à supporter on pourra toujours s’enfuir sans problème je suppose. Je veux dire pour cette histoire de paparazzis, d’appareils photos et tout le reste. » Tu hoches la tête alors que tu préfères ne pas trop penser à tout ça avant même d’avoir quitter ton loft, des plans pour que tu changes d’idée sur la soirée au complet.Tu attrapes ton verre de vin et en prend quelques longues gorgées avant de te mettre à appliquer un lipstick d’un rouge vif. Une fois qu’il est mis, tu sais que tu ne pourras pas prendre de gorgée de ton verre avant quelques minutes, le temps que le lipstick tienne bien en place.  « On a qu’à se donner un code pour prévenir l’autre qu’on désire se barrer, qu’est-ce que tu en dis? » Tu réfléchis quelques secondes alors que tu inspectes ton visage dans le miroir, t’assurant de ne rien avoir oublier pendant ta routine de maquillage. Tu tentes de penser à un mot qui pourrait servir de mot clé alors que ton regard tourne maintenant sur tous les objets autour de toi. « Genre… mascara? » que tu dis en montrant le bâton à l’italien. « Si l’un de nous place le mot mascara dans une conversation, on comprend que l’autre en a eu assez, deal? » Ça te semble être un bon plan après tout. Il n’y avait aucune garantie que tout irait bien, comme il ne semblait pas y avoir de raison particulière pourquoi ça devrait mal se passer non plus. « Je pense que je suis prête. Qu’est-ce que tu en penses? » Tu fais semblant de défiler devant lui et puis te tourne sur toi-même pour lui donner une vue d’ensemble. Tu n’as rien fait de particulièrement extravagant, ni pour tes cheveux ni pour ton maquillage, mais tu es tout de même étrangement satisfaite du résultat final, peu importe ce que l’italien puisse en dire. « T’as prévu un moyen pour qu’on se rende? » Tu te doutais bien que vous n’alliez pas conduire pour vous y rendre et que le Medici avait plus d’un tour dans son sac.
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMer 16 Déc - 13:42


It's beginning to look a lot like Christmas. Toys in every store but the prettiest sight to see is the holly that will be on your own front door.


L’ironie, cette façon qu’il a de toujours tout prendre à la légère, à tout faire pour montrer que rien ne l’atteint, qu’au pire des cas il y aura toujours ce même sourire niais sur ses lèvres voulant dire : tout va bien, tout ceci n’est la plupart du temps qu’une façade. Une façade que le Medici a érigée au fil des années quand il était tout petit. Malgré les écoles d’élites qu’il a côtoyé depuis l’enfance ce n’était pas vraiment le plus populaire, bien au contraire. Faire l’idiot, c’était sa façon d’attirer l’attention, de montrer qu’il existait, qu’il était là lui aussi, qu’il voulait tout simplement s’intégrer aux autres. À force de consolider cette fameuse façade elle est devenue bien trop imposante, bien trop solide pour que lui-même ne s’en débarrasse aujourd’hui. La seule personne qui possède une petite clé pour cette minuscule porte qu’il a laissée c’est Caterina qui la possède, leur relation frère/sœur devrait être un exemple pour toutes les familles et surtout pour leurs cousins Williams. Toujours est-il qu’aujourd’hui Gio n’arrive jamais à jurer autrement que par ce masque qui a fusionné avec lui, peut-être que c’est toujours mieux que de vouloir le connaître réellement, connaître le vrai petit Medici qui se trouve derrière. La première à en faire les frais ce soir est Penny, celle pour qui il a eu une idée plus farfelue qu’autre chose, mais qui pour le moment – même après quelques petites erreurs de parcours – marche plutôt bien, pour combien de temps ça c’est une autre histoire. « Tu n’as pas à être désolé. Ce n’est pas la première fois que le mauvais karma me crache à la gueule, alors on va dire que je suis habitué. » Voilà quelque chose qu’il ne fait une fois de plus quasiment jamais, se plaindre. C’est qu’il déteste attirer la pitié des autres, ça ne fait que le sentir plus mal, le sentir plus faible. Il voit bien dans les yeux de Penny qu’elle est sincère, qu’elle pense savoir ce que voulait réellement le Medici, c’est exactement ce genre de regard auquel il ne veut pas faire face. Il détourne alors son regard de celui de la brune alors qu’il fait semblant d’être attiré par cette autre babiole qui traîne sur la table du salon. Voilà comment il marche le Medici, il fait chier son monde, il rit de tout et dès qu’on essaie ne serait-ce qu’un instant de passer outre son petit jeu il se braque comme cet éternel enfant qui se vexe. L’autre soir elle a eu la chance de le voir se confesser comme ça, il ne l’aurait jamais fait dans une autre situation, mais la voir si mal l’a motivé à lui raconter une infime partie de son histoire. « Si on ne peut pas passer Noël avec sa famille, on peut au moins le passer avec une personne qu’on apprécie bien. » Toujours le regard fixé sur cette table alors qu’il entend toujours Penny se préparer dans la salle de bain, il décide de la rejoindre, d’essayer de changer le sujet, de resserrer son masque.

Le souffle de la jeune femme le rassure, sa petite technique pour exaspérer les autres marche toujours. « Tu sais je ne porte pas tout le temps un costume de créateur. Tu serais étonnée de savoir ce que j’ai dans la penderie. » Pourquoi est-ce si compliqué pour Penny de comprendre que parfois oui, on préfère simplement être en compagnie d’une personne et c’est tout. Un plan de secours c’est ce qu’il était quand elle lui a demandé par sms ce qu’il faisait pour Noël, certes il avait refusé, mais pour lui la proposition tenait toujours. Il aurait bien aimé savoir sa place sur la liste des personnes à qui demander de passer le réveillon ensemble. « J’ai beaucoup trop de respect pour simplement considérer la situation comme étant un plan de secours. » Et c’est vrai, il aurait préféré passer cette soirée seul dans son loft avec son scotch que de devoir se résoudre à avoir un plan de secours. Le seul point négatif de tout le temps être dans l’ironie, c’est que maintenant beaucoup de personnes ont du mal à le croire, à le prendre au sérieux malgré le ton. Il le sait, mais il ne peut pas s’empêcher de continuer comme ça et après avoir finalement cédé à lui rendre son outillage déçu de ne pas pouvoir aller au bout. Il se contente alors de se maquiller légèrement lui-même, un souvenir bien vieux, ça faisait une éternité qu’il ne l’avait pas fait. Rien d’extravagant, seulement un petit coup de crayon par-ci et un autre par-là. Des petites touches qu’il aimait bien mettre pour une fois de plus se distinguer des autres, attirer leur attention même si cela lui avait valu des moqueries à l’époque et des remarques déplacées de la part de ses parents. « Comme ça on sera deux à avoir du goût. » La robe de la demoiselle est de bon goût, l’habitude des tapis rouges sûrement, mais le résultat est là et il est appréciable aux yeux du Medici. La suite reste classique, Gio termine les derniers traits autour de ses yeux puis va sortir les coupes de vin, endroit du placard qu’il connait particulièrement bien pour avoir vidé pas mal de bouteilles en compagnie de la brune avant de rapidement revenir vers elle avec les coupes remplies.

Il la regarde terminer les dernières touches, il boit une gorgée puis un autre alors qu’elle se pose une question dont elle a déjà la réponse la brune. Ça devrait être la soirée parfaite pour elle, ils allaient se montrer en public pour la première fois, c’est le réveillon de Noël, pourtant il sent que c’était comme si elle était ailleurs, le regard fuyant vers un endroit où elle aimerait bien se retrouver. Il s’est calmé le Medici et il attend patiemment Penny dans le couloir ne prenant appuie que sur le mur derrière lui. « Je ne parlais pas vraiment de ça, mais ça me fait quand même plaisir de l’entendre, merci. Tu penses à mon petit ego, que c’est gentil. » Il se met à cligner des yeux comme un fou le Medici alors qu’il lui propose une façon simple et efficace de faire comprendre à l’autre que la soirée doit se terminer, qu’il est temps pour tout le monde de rentrer respectivement chez eux. Une fois de plus il fait ça plus pour la brune, aucunes caméras ou appareils photos ne viendraient faire fuir le cuisinier. Il laisse échapper un léger rire alors que Penny a visiblement trouvé leur code. « Très bien, cette soirée aura pour nom de code : Mascara. Ça me va très bien. » Il boit l’une de ses dernières gorgées de vin alors que Penny se met à tournoyer sur elle-même ayant enfin terminé de se préparer. Il ne sait pas quoi lui répondre, la dernière fois qu’il lui a fait un compliment ça n’est pas très bien passé, mais après tout, est-ce qu’il serait vraiment lui s’il devait se retenir ? Il se dit non tout de suite. « T’es parfaite, mais ça fait plus de dix minutes là. » Il ricane une fois de plus tel l’idiot qu’il est. Il rit, mais il dit aussi la vérité, c’est là où il faut savoir lire entre les lignes quand le Medici s’amuse à faire des compliments avant de les démonter derrière, la plupart du temps il pense tout de même tout ce qu’il dit. « Et toi qu’en penses-tu ? » Il se met à son tour à tourner sur lui-même les bras écartés de son buste. Oui, il a vraiment sorti un costume aussi cher pour cette soirée, costume qu’il n’a sorti que pour les ouvertures de ses restaurants. Il lui sort son regard, celui qui agace tout comme il peut le rendre charmant pour certaine personne, cherchant simplement à détendre un peu l’atmosphère après avoir parlé de ce qui pourrait mal se passer là-bas. « Ça c’est une autre surprise. Je veux déjà savoir si tu veux vraiment sortir ce soir ? J’ai l’impression que tu as un peu la tête ailleurs, tu n’es pas obligé de faire ça pour me faire plaisir. » Ça serait la pire des choses pour le Medici, quelqu’un qui se sent obligé de lui faire plaisir, ça serait tout simplement s’apparenter à le prendre en pitié.

« Par contre je crois qu’il manque quelque chose à ta tenue. » Il sort enfin cette fameuse boutonnière qu’il n’a pas si bien caché que ça. C’est peut-être ringard, un accessoire pour les gamins prépubères du collège ou lycée, mais c’est aussi une petite tradition dans sa famille quand on invite une gente dame à ce genre de soirée, quand on dit que certaines traditions restent éternelles ce n’est pas un euphémisme. « Tu n’es pas obligée de l’accepter. Je me suis juste dit que, laisse tomber, on y va ? »


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Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
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ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMar 22 Déc - 6:42


@giovanni medici
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« Tu n’as pas à être désolé. Ce n’est pas la première fois que le mauvais karma me crache à la gueule, alors on va dire que je suis habitué. » Tu voudrais lui dire qu’il dramatise, encore, mais tu sais qu’il y a une plus grande part de sérieux que ce qu’il t’offre normalement alors tu restes silencieuse, attentive. Tu ne savais pas grand-chose de vrai sur l’italien alors de l’entendre être plus honnête qu’à la normale t’indiquait à quel point c’était réellement une déception pour lui de ne pas pouvoir célébrer le réveillon de Noël près des siens. Tu pouvais comprendre la déception après tout, toi aussi tu aurais préféré auprès de tes parents et de ton frère ce soir. Mais les obligations étaient ce qu’elles étaient et tu n’avais pas pu te rendre à Hawaii comme ça avait été le plan depuis si longtemps déjà. Billet d’avion acheté – et perdu, un peu comme l’italien sans la fameuse first class en plus – et de la déception all around. Ta mère avait paniqué un peu à l’idée de faire le voyage sans toi parce qu’elle savait que tu étais une présence rassurante et calmante pour ton petit frère. Qu’est-ce que tu n’aurais pas donner pour voir le sourire de ton frère le 25 au matin devant ses cadeaux. Pour pouvoir serrer ta mère dans tes bras et te délecter du merveilleux brunch qu’elle prépare toujours avec une attention particulière dès la première heure. Tu étais une fille de tradition et cette année, rien ne tenait la route. Et si les plans venaient de changer à la dernière minute, au moins tu n’étais pas seule. Si tu étais encore légèrement agacée par toute la situation instagram qui s’était déroulée alors que tu étais encore à Los Angeles, il aurait été mentir de dire que tu n’étais pas contente de voir l’italien, plan de secours ou non. « Si on peut passer Noël avec sa famille, on peut au moins le passer avec une personne qu’on apprécie bien. » « Dommage que Charlie n’ait pas répondu à l’appel. » Tu te pinces les lèvres, t’aurais probablement dû retenir le commentaire, c’était plus fort que toi pourtant. T’es pas jalouse, pas comme ça du moins, mais tu ne peux t’empêcher d’être agacée. Tu te retournes rapidement vers lui, affiche un sourire alors que tu roules légèrement des yeux. « Je plaisante, je plaisante. » Hm, ouais. On repassera pour l’humour Stringer.

« Tu sais je ne porte pas tout le temps un costume de créateur. Tu serais étonnée de savoir ce que j’ai dans la penderie. » Ça t’amuse qu’il soit autant sur la défensive déjà. Tu te doutes bien qu’il n’a pas seulement des costumes super chers dans sa garde-robe, même si tu doutes trouver quoique ce soit qui ne soit pas de grandes qualités ou de grandes marques. Tu as toi-même une garde-robe assez impressionnante – même si tu n’as pas vraiment eu la chance d’ajouter de grandes pièces à ta collection cette année par faute d’évènements ou aller – mais tu restais persuadée que la garde-robe de Giovanni devait être plus garnie que la tienne. « J’ai beaucoup trop de respect pour simplement considérer la situation comme étant un plan de secours. » Tu le sais au fond, que c’est plus que ça malgré tes commentaires. Tu devrais vraiment penser à être un peu moins cynique par moments. Ta mauvaise humeur se fait ressentir et ce n’est pas à Giovanni d’en payer le prix. « Je sais. Merci d’avoir pensé à moi. » Tu tentes d’être plus douce, plus sincère alors que tu finis de te préparer. Le coeur y est pas tout à fait, mais presque. C’est une bonne occasion de réparer les dégâts fait par le post accidentel de Charlie. Si la plupart des commentaires semblent plutôt se ranger derrière les excuses presque sincères que Gio a fait suite à la publication, il n’en demeure pas moins qu’il y a des sceptiques. Et par moment, tu ne peux t’empêcher de te demander tu fais partie de quelle liste. « Comme ça, on sera deux à avoir du goût. » Il fini ses petites touches de crayon noir, tu finis tes petites touches de maquillage. L’image que te renvoie le miroir est belle, elle fait rêver. Suffit d’ajouter des sourires bien plantés sur vos visages et c’est gagner d’avance pour faire fondre le coeur de la population australienne avec votre histoire d’amour à la con. Les gens sont vraiment prêts à croire n’importe quoi dans le fond. Ou est-ce plutôt toi qui est prête à dire n’importe quoi pour éviter de voir encore et encore les mêmes photos de Rory et toi dans les médias? La ligne semble de plus en plus mince dans ton esprit.

« Je ne parlais pas de ça, mais ça me fait quand même plaisir de l’entendre, merci. Tu penses à mon petit ego, que c’est gentil. » « Petit ego? Gio, c’est le temps de réapprendre ce qui est grand et ce qui est petit je pense. » Il y a un sourire taquin qui vient habiter tes lèvres. Tu évites de répondre à la partie de son commentaire parce que tu as peur de ce qui pourrait être dit, peur de ce qui pourrait être interpréter. T’as pas envie de jouer avec lui, pas envie de lui donner de fausses impressions. C’était son idée le faux-couple après tout, il sait bien dans quoi il s’est embarqué, non? Vous n’êtes même pas encore partis que déjà, vous pensez à une manière de faire comprendre à l’autre qu’il est grand temps de se tirer. Ça ne présage rien de bon tu as l’impression, mais tu veux tout de même faire un effort. Il est là, il est beau, la soirée est jeune et le Medici demeure d’abord et avant tout un ami, avec ou sans la couverture. La soirée, même si elle n’est pas du tout celle que tu avais prévu de passer, peut être belle quand même. Tu dois t’en convaincre, et rassurer l’italien par la même occasion. « Très bien, cette soirée aura pour nom de code : Mascara. Ça me va très bien. » Tu hoches la tête alors que tu finis d’arranger tes cheveux, dernier petit détail avant d’être finalement complètement prête. Tu parades devant Giovanni, plutôt satisfaite de tes efforts de dernière minute. « T’es parfaite, mais ça fait plus de dix minutes là. » « Je te l’avais dit qu’il fallait arriver un peu en retard! » Et puis bon, cinq ou dix minutes de plus, ce n’est pas la fin du monde, pas vrai? Il ricane et ton rire joint le sien alors qu’il décide de parader à son tour. Il est beau l’italien et il le sait, il n’a pas besoin de toi pour flatter son ego, mais tu joues le jeu parce que t’as l’impression que tu lui dois bien ça après tout. « Et toi qu’en penses-tu? » « Absolument parfait. » Pas un pli dans son complet, son petit trait de crayon juste ce qu’il faut pour bien faire ressortir ses yeux. Il n’a qu’à sourire pour faire craquer toutes les femmes le Medici. Et c’est à ton bras pourtant qu’il sort ce soir. Ça, tu peines à te l’expliquer, couverture ou pas.

« Ça c’est une autre surprise. Je veux déjà savoir si tu veux vraiment sortir ce soir? J’ai l’impression que tu as un peu la tête ailleurs, tu n’es pas obligé de faire ça pour me faire plaisir. » Merde. Il te connaît vraiment mieux que tu ne te l’étais imaginée, le Medici. Bien plus attentif que tu ne lui en donnais crédit. « Non, non, t’inquiète pas. Je suis toute préparée, ce serait du gâchis que personne ne puisse nous admirer sur notre 31. » Tu tentes un sourire que tu espères plus convaincant cette fois. « Et puis, j’adore les surprises. » Tu te demandais d’ailleurs ce qu’il pouvait bien avoir prévu de plus en si peu de temps, l’italien. « Par contre je crois qu’il manque quelque chose à ta tenue. » Il ressort finalement la boutonnière qui s’agence parfaitement avec sa cravate et qui ajoute un petite touche de couleur à ta robe sombre. Ça t’arrache un petit rire, t’as l’impression d’être de retour au lycée et de te rendre au bal des finissants, revenant un bon dix ans en arrière. « Tu n’es pas obligée de l’accepter. Je me suis juste dit que, laisse tomber, on y va? » « Non, non, arrête! C’est parfait. » que tu lui dis en tendant ton poignet auquel il vient finalement mettre le corsage. « Je suis désolée si je semble un peu dans la lune. Tu vas me trouver conne, mais j’étais censée passer la soirée avec Rory. » Enfin, pas vraiment, mais t’as pas particulièrement envie de rentrer dans les détails et puis tu devines aussi facilement que le Medici n’a probablement pas envie de passer sa soirée à entendre parler de l’acteur. « Promis, je ne redis pas son nom ce soir. » Il faut que tu te le sortes de la tête et ce bal, l’italien et les surprises à venir étaient les distractions parfaites.
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMer 6 Jan - 17:57


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Si Gio a décidé de l’appeler ce soir-là afin de passer le réveillon avec elle c’était effectivement pour ne pas se retrouver seul, mais également parce qu’il avait l’impression que le moral n’était toujours pas au beau fixe du côté de Penny. Un ami, voilà ce qu’il est, un très bon même ! Il est sûrement le dernier choix sur la liste de la brune, mais il s’en contentera, ce n’est pas comme s’il pouvait vraiment faire autrement. Ses doutes étaient fondés et il voit bien malgré la soirée qu’ils s’apprêtent à passer ensemble, malgré le fait qu’elle soit présente physiquement devant lui tout montre que ses pensées sont ailleurs. Une soirée qui normalement devrait être sous le signe de la bonne humeur, mais qui ne le sera peut-être pas et la remarque cinglante que lui assène Penny ne le contredira pas. « …. Je n’ai pas appelé Charlie et de mon côté je suis combien sur la liste avant d’avoir reçu ton message ? » Il répond du tac au tac le Medici, il n’y a aucune méchanceté dans ses mots, mais ce fut tout simplement plus fort que lui. Il n’arrive pas à se retirer de la tête qu’il est le seul à vraiment jouer le jeu dans tout ça et que finalement Penny n’a accepté que pour lui faire plaisir et c’est tout ce qu’il voulait éviter quand il lui a proposé leur petit arrangement. Le but n’était pas seulement de faire taire des rumeurs, mais aussi de lui changer les idées, qu’elle pense à autres choses que ses problèmes à LA, visiblement il a eu faux sur toute la ligne, il est impossible pour la Stringer de se changer les idées. « Je plaisante aussi, je sais très bien que je suis le premier numéro dans ton répertoire. » Il essaie de faire bonne figure Giovanni, peut-être qu’elle arrive à remarquer maintenant que ça l’a plus touché qu’elle ne pourrait le penser. Il a fait une erreur en laissant trainer son téléphone surtout en connaissant le caractère de Charlie qui adore s’amuser en foutant la merde un peu partout, mais il ne pensait pas non plus que Penny réagirait de cette manière, pas après avoir mis elle-même en place les conditions de leur accord. « Par contre si la prochaine fois tu as envie d’être de la partie il n’y a pas de soucis de notre côté. Il suffisait juste de nous le dire. » Il se met à rire le Medici et ce n’est pas un rire forcé, il connait déjà la réponse de la Stringer et surtout de la réaction qu’elle va avoir. Comme si elle allait s’en sortir sans qu’il la fasse un peu chier sur le sujet après tout c’est elle qui l’a abordé en premier, pour une fois il faut le souligner ! « C’est à moi de te remercier, après tout c’est toi qui me l'as proposé en premier. Sans ça je serais probablement entre de me gaver de popcorn ou de vin devant une énième série Netflix dont je m’en fous éperdument. » Je pense qu’on peut se mettre d’accord qu’on a tous vu mieux comme réveillon de Noël, non ? Il sait aussi qu’elle ne le croit pas à cet instant précis, pourquoi est-ce qu’il est si difficile de lire en lui ? Son masque est-il si efficace que ça ? C’est un léger silence qui s’installe alors que l’un après l’autre terminent petit à petit les dernières petites touchent à leur rôle respectif. Il regarde la brune du coin de l’œil alors qu’elle est occupée à faire son maquillage, il a bien remarqué son petit effort pour être moins froide, mais ce regard, celui qu’elle a à cet instant précis, il le connaît que trop bien, c’est le même regard perdu qu’il avait quand il était en hôtellerie à Florence. Il cherche ce qu’il pourrait bien faire pour l’aider à s’en débarrasser, mais jusqu’à maintenant rien n’a vraiment réussi et c’est peut-être là son plus gros échec à Giovanni.

« Je ne vois pas de quoi tu parles, j’ai déjà reçu les honneurs pour avoir été reconnu en tant que personne la plus humble sur la planète. »  L’humilité Gio, l’humilité, il y était presque avec un peu plus de conviction il aurait sûrement pu réussir à la convaincre, ou pas. « Tu parlais bien de ma façon à égocentrique n’est-ce pas ? » Dit-il en pointant la jeune femme avec le crayon qu’il a encore entre ses doigts. Un large sourire se dessine doucement sur ses lèvres alors qu’il n’a pas besoin d’en ajouter plus pour expliquer de quoi il parle. Il est fort probable que même à quatre-vingts balais il continuera de faire ce genre de blague digne de collégiens. Il continue de la taquiner un peu alors qu’il a terminé de mettre son dernier coup de crayon et elle termine en même temps que lui. Il la contemple de haut en bas et il ne ment pas une fois de plus en lui disant qu’elle est magnifique. Sa tenue est sobre tout comme son maquillage qui ne vient pas lui enlever sa beauté naturelle. Il n’en dira évidemment pas plus connaissant très bien la jeune femme, elle se mettrait à se refermer une fois de plus sur elle-même pensant sûrement qu’il essayera de lui sauter dessus à la première occasion. C’est à son tour de faire un tour sur lui-même, replaçant comme il faut le nœud papillon qui est à son cou – ce qu’il n’a jamais vraiment su faire en réalité -. « Si avec ça on n’est pas élu Roi et Reine du bal je ne sais pas ce qu’il leur faut. » Il pourrait presque vraiment s’y croire le Medici, mais comme elle lui avait très bien fait comprendre il y a un mois, il ne l’intéresse pas. Est-ce qu’il arrivera au moins à lui faire penser à autre chose que Rory ce soir ? C’est la question qu'il se pose. Il a la chance d’avoir cette magnifique femme à son bras au bal de Noël alors si elle ne pense qu'à quelqu'un d'autre il va être plutôt déçu l’Italien. « Aller, je sens que cette soirée va être parfaite et crois-moi quand je te dis que j’ai toujours une bonne intuition ! » Le plus dur allait surtout de passer les photographes etc à l’entrée, une fois à l’intérieur ils devraient normalement être à l’abri de tout perturbateur potentiel.

Il ose enfin lui demander le Medici, parce que comme toujours l’honnêteté est ce qu’il y a de plus cher à ses yeux. Il préfère encore connaître une vérité qui fait mal, que de recevoir des petits mots doux que personnes ne pensent, mais qui sont là seulement pour faire plaisir. Ça ne fait que quelques minutes qu’il est là, il a cependant tout de suite remarqué que Penny est une fois de plus sur la réserve, comme si elle se sentait obligée de faire ça.  « Pour sûr ça serait du gâchis effectivement, mais je ne veux pas que cette soirée te mine le moral, pas plus que tu ne l’as déjà. » Ce à quoi il pense surtout le Medici c’est que s’il y a véritablement un manque d’envie ça ne fera qu’aggraver les choses et ce n’est peut-être pas le mieux pour la Stringer. Il sort enfin son petit cadeau de la soirée – le premier – afin de l’accrocher au poignet de Penny, un accessoire bien démodé et ridicule, mais est-ce que c’est vraiment un souci ? Pas pour Giovanni ça c’est certain. Ce n’est pas n’importe quel bracelet, ce sont des fleurs qui viennent de sa demeure en Italie, il était déjà préparé depuis quelques jours ' au cas où ' il serait amené à rester à Brisbane pour Noël. Elle dénoue enfin sa langue et lui avoue à demi-mot le pourquoi du comment il la trouve un peu bizarre ce soir et ça ne l’étonne même pas finalement. Il se doutait déjà depuis les sms qu’il s’était passé quelque chose avec Rory et qu’aujourd’hui encore elle était en train d’y penser. Il vient tout de même prendre la main de la jeune femme afin de lui attacher le bracelet délicatement. « Tu n’as pas à t’excuser, je sais très bien que je ne suis pas ce premier numéro dans ton répertoire, mais oui, pense à autre chose. Essaie simplement de l’oublier l’espace d’une seule et petite soirée et tu verras que tout arrivera à t’éclater, ok ? » Il pose ses mains sur ses joues tout en la fixant du regard, il est vraiment prêt à l’aider, il le fait même déjà depuis plusieurs semaines, mais pour ça il faut aussi qu’elle y mette du sien, sans ça elle gardera toujours ses pensées qui la hantent sans qu’elle arrive à ne les faire fuir. « J’espère bien sinon je parle de Charlie toute la soirée, c’est ce que tu veux ? » Lui dit-il avec cet air idiot qu’elle connait que trop bien tout en secouant la tête de haut en bas. Il attrape la veste de son costume prêt à partir tout en tendant son bras à Penny afin qu’elle vienne le saisir. « Il va falloir fermer les yeux maintenant ! » Il ouvre alors la porte tout en tenant la main de son amie, la surprise est là et bien à l’heure. Il commence déjà à sourire comme un con l’Italien, lui qui fait toujours dans le ridicule et l’extravagance. Elle va encore avoir l’occasion de se foutre de sa gueule la brune, mais qu’importe il se délectera de son expression qui dira s’il a encore une fois réussi son coup ou non.  « C’est bon tu peux les ouvrir ! Madame, si votre carrosse est arrivé. » Lui dit-il tout en faisant la courbette. « Nan, je déconne ça ce n’est pas pour nous, par contre notre chauffeur est bel et bien là. » Il vient ouvrir la porte de sa limousine afin de laisser le soin à son accompagnatrice de s’y installer comme il se doit, Alfred étant déjà prêt à démarrer de son côté. Il se met ensuite à faire le tour de cette dernière afin de monter de l’autre côté avec un sourire aux lèvres. « Tu connais déjà la destination mon cher ? - il se retourne ensuite vers Penny tout en se frottant les mains l’une contre l’autre – Ne me dis pas que tu aurais préféré le carrosse, si ? » Il y a encore un léger rire qui s’échappe alors qu’il sait très bien qu’elle n’en aurait pas voulu, enfin, c’est ce qu’il s’est dit alors qu’il était tout de même prêt à le faire avant d’arriver chez elle.



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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
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ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMer 6 Jan - 22:47


@giovanni medici
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« … Je n’ai pas appelé Charlie et de mon côté je suis combien sur la liste avant d’avoir reçu ton message? » Tu te pinces les lèvres. C’est ce que tu aimes bien chez Giovanni, il n’a jamais laissé tes piques prendre toute la place, il a toujours su y répondre à son tour. Il aurait été mentir que de dire qu’il était ton premier appel, le Medici. Et pas parce que tu ne te plaisais pas à passer du temps avec lui ou parce que tu n’aimais pas le fait que vous ayez repris contact dans les dernières semaines (même si c’était une situation tout à fait hors de l’ordinaire). La réalité restait la même toutefois : tu avais vu la dernière année te briser, briser le Craine et au fil des mois à tenter de vous reconstruire ensemble, tu étais tombée amoureuse. Comme ça, sans même t’en rendre au départ et maintenant que les choses étaient plus compliquées que jamais, tu peinais à mettre tout ça de côté au profit de celui qui prenait un risque toutefois en posant en tant que petit-ami pour le monde médiatique. Tu ne dis rien, préférant le silence à un mensonge ou une vérité qui pourrait le blesser. « Je plaisante aussi, je sais très bien que je suis le premier numéro dans ton répertoire. » Petit rire. Qu’est-ce que tu peux vraiment répondre à ça, sincèrement? « Par contre si la prochaine fois tu as envie d’être de la partie il n’y a pas de soucis de notre côté. Il suffisait juste de nous le dire. » À ça, tu fais une grimace prononcée et fais semblant de vomir. La dernière chose dont tu as envie, c’est certainement de te retrouver dans un lit avec elle. « Sois pas crasse Medici. » que tu te contentes de dire, préférant ne pas aller là du tout. Le sexe est ce sujet encore tabou pour toi, toute forme de proximité encore difficile à gérer. Ça semblait complètement ridicule, mais même les photos complètement stagées que vous aviez pris avant ton départ avaient été difficiles à faire sans que l’anxiété ne prenne le dessus. Ce soir, tu savais que tu allais devoir prendre sa main, danser contre lui, l’embrasser même devant les caméras. Toutes des choses que tu avais fait par le passé, mais tout avait un goût différent maintenant. Sous ta peur, sous les mensonges, rien de tout ça ne te viendrait naturellement et tu le savais. Mais tu prenais la chance de le faire, espérant sincèrement qu’au bout de cette histoire, le jeu en aurait valu la chandelle. « C’est à moi de te remercier, après tout c’est toi qui me l’as proposé en premier. Sans ça je serais probablement en train de me gaver de popcorn ou de vin devant une énième série Netflix dont je me fous éperdument. » « C’est drôle, j’avais exactement le même plan. » Et pendant quelque secondes, tu ne pus t’empêcher de te demander quel plan était vraiment le meilleur des deux.

« Je ne vois pas de quoi tu parles, j’ai déjà reçu les honneurs pour avoir été reconnu en tant que personne la plus humble de la planète. Tu parlais bien de ma façon à égocentrique, pas vrai? » Tu le regardes, l’air légèrement découragée avant de laisser un petit rire s’échapper d’entre tes lèvres. C’était pire que d’être avec un enfant par moments, et même si ça venait mettre une petite touche de légèreté dans une soirée ou tu en avais bien besoin, tu ne pouvais t’empêcher de rouler les yeux. Vous finissez tous les deux de vous préparer et tu es plutôt fière du résultat pour quelque chose fait à la va vite avec très peu de préparation. Il faut croire que toutes ses années à voir les maquilleuses faire, les stylistes en tout genre s’occuper de toi ont été assez utile pour que tu saches bien utiliser leurs petits trucs ici et là. « Si avec ça on est pas élus Roi et Reine du bal je ne sais pas ce qu’il leur faut. » Il te fait rire, toujours à la recherche d’un compliment de plus, d’une confirmation quelconque qui va bel et bien lui prouver que oui, c’est lui le meilleur de la place. « Je pense pas que ce soit ce genre de bal Gio. » que tu rajoutes d’un ton amusé parce que non, vous êtes plus au lycée et que même si les concours de popularité sont bel et bien présents même dans le monde adulte, ils ne sont pas annoncés comme tel. « Aller, je sens que cette soirée va être parfaite et crois-moi quand je te dis que j’ai toujours une bonne intuition. » Tu souris, tu voudrais tellement voir le tout de la même manière que lui, mais tu peines à sortir de ta tête assez longtemps pour vraiment te permettre de profiter de tout ce qu’il tente en vain de t’offrir l’italien : la simplicité d’une belle soirée sans question et sans doute. Tu échappes un léger soupir et hoche la tête. « Je te fais confiance. » que tu annonces, espérant que ça suffisse pour laisser tout le reste derrière.

« Pour sûr ça serait du gâchis effectivement, mais je ne veux pas que cette soirée te mine le moral, pas plus que tu ne l’as déjà. » Un autre hochement de la tête. « Le moral est bon, promis. » Menteuse. Tu sais que ce n’est probablement pas la meilleure idée de finalement le mentionner, mais tu as l’impression qu’il vaut mieux prendre conscience de l’éléphant dans la pièce plutôt que de le laisser prendre toute la place. Même si tu promets de ne plus parler de lui, tu ne peux t’empêcher d’y penser. Qu’est-ce qu’il fait en ce moment? Est-ce que sa mère a bu un verre, trois, ou bien dix à l’heure qu’il est? Est-ce que sa sœur est venue avec ce mec super ennuyeux? Est-ce qu’il pense à toi?  Mais il y a les mains de Giovanni qui viennent se poser sur tes joues et tu t’obliges à laisser tout ça derrière alors que tu te concentres sur les mots qui quittent les lèvres de l’italien. « Tu n’as pas à t’excuser, je sais très bien que je ne suis pas ce premier numéro dans ton répertoire, mais oui, pense à autre chose. Essaie simplement de l’oublier l’espace d’une seule et petite soirée et tu verras que tu arriveras à t’éclater, ok? » Tu sais qu’il ne veut qu’une chose le Medici, c’est que tu sois présente avec lui dans ce moment plutôt que bien loin avec un autre dans ta tête. Tu lui dois au moins ça, à Giovanni. Alors que vous passez dans le salon, bientôt prêts à partir, tu attrapes ta coupe toujours à moitié pleine de vin et décide d’en finir le contenu en quelques gorgées. Ce n’est probablement pas la meilleure solution pour te mettre dans l’ambiance, mais c’est la seule que tu as trouvé dans le moment. « J’espère bien sinon je parle de Charlie toute la soirée, c’est ce que tu veux? » « Non merci. Autant dire qu’ils sont bannis ce soir, deal? » L’opération mascara était maintenant devenu l’opération mascara avec interdit de mention pour Rory et Charlie. En espérant que les conditions ne continuent pas de s’ajouter pour que vous soyez en mesure de passer une belle soirée.

« Il va falloir fermer les yeux maintenant. » « Gio... » que tu ronchonnes mais tu décides rapidement de jouer le jeu, sachant que ça lui ferait plaisir. La porte de ton loft n’est même pas encore ouverte que déjà tu as une main devant tes yeux et l’autre qui se joint à celle de l’italien alors qu’il te guide en dehors de chez toi. « C’est bon tu peux les ouvrir! Madame, votre carrosse est arrivé. » « Pardon? » Et comme de fait, il y a un carrosse et des chevaux devant chez toi et il doit lire la panique sur ton visage parce qu’il s’empresse d’ajouter : « Nan, je déconne ça ce n’est pas pour nous, par contre notre chauffeur est bel et bien là. » Tu reprends tranquillement ton souffle alors que tu vois la limousine qui vous attend. Il s’adresse rapidement au chauffeur avant de se retourner vers toi. « Ne me dis pas que tu aurais préféré le carrosse, si? » « Non. » que tu réponds rapidement avant d’éclater de rire. Les rêves de princesse, tu gardes ça pour quand tu joues le petite sirène. « La limousine est très bien, merci. » Tu lui offres un sourire sincère alors que tu remarques tout de suite les deux coupes de champagne vides et la bouteille prête à être servie. Tu n’attends pas plus longtemps avant d’ouvrir cette dernière. « Attention! » que tu cris comme une gamine alors que tu fais péter le bouchon qui revole plus loin dans la limousine et tu fais attention pour ne pas faire couler le liquide sur ta longue robe noire avant de servir un verre que tu tends à Gio et un pour toi. Le chemin jusqu’au bal n’est pas long et dès votre arrivée, tu aperçois la ribambelle de journalistes. C’est une bonne chose que tu aies eu le temps de boire deux verres de champagne avant votre arrivée, tu te sentirais presque prête à affronter cette réalité. Giovanni sort en premier et tu le suis de près, ta main dans la sienne alors que vous vous arrêtez quelques secondes pour poser devant les photographes. Son bras t’entoure, sa main venant se placer contre ta hanche alors que ton bras se place derrière lui aussi. Tu souris, de ses sourires parfaits que tu as pratiqué maintes et maintes fois pour des évènements exactement comme celui-là, ou le coeur n’y est pas mais ou vaut mieux faire semblant pour continuer de plaire. Après ce qui semble être un long moment, vous faites finalement votre chemin jusqu’à l’intérieur de la salle, ou la musique joue mais pas trop fort encore, des dizaines de petits groupes discutant autour d’un verre sont éparpillés au travers de la grande pièce joliment décorée. « Nous y voilà. » que tu annonces, toujours un peu incertaine, mais tentant de te mettre autant que possible dans l’ambiance. « Je vais nous chercher quelque chose à boire. » C’est probablement problématique que tu ressentes déjà le besoin de boire un peu plus, mais pour ce soir, c’est réellement le mieux que tu puisses faire.
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptySam 20 Mar - 19:18


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Il a la réplique facile le Medici. Ne réfléchissant jamais très longtemps il se retrouve régulièrement à répondre de manière un peu trop acerbe, par chance – ou talent – il se trouve qu’il arrive toujours à plutôt bien s’en sortir dans ces situations, l’autodérision est toujours un bon moyen de faire oublier des mots qui peuvent parfois se retrouver à être blessant suivant les situations. C’est ironique quand on y pense, il cherche à tout prix à retirer cette image de gosse de riche qui saute sur tout ce qui bouge auprès de Penny, mais finalement il ne fait pas grand-chose derrière pour qu’elle le voit vraiment lui. Il a bien essayé d’en raconter un peu plus sur sa personne, sur son passé en Italie, mais est-ce réellement suffisant ? Et par le plus grand des hasards bien évidemment, la Stringer ne porte pas tellement Charlie dans son cœur, encore une fois bien joué Giovanni, tu te démerdes très bien pour compliquer les choses. Il ne pense pas vraiment ce qu’il dit – quoique – mais ça ne l’empêche pas non plus de lever légèrement les yeux au ciel afin d’imaginer ce que ça pourrait donner. « Ne dis pas ça, je sais très bien que tu en meurs d’envie, mais c’est pas grave, pas de soucis, ma proposition n’a pas de date d’expiration. » Ses mimiques qu’elle n’arrive presque jamais à cacher, c’est ce qu’il préfère chez la brune le Medici, il retombe encore un peu plus en enfance quand il se trouve à côté d’elle et ça lui fait un bien fou et ça l’éloigne tellement du stress au travail quand le rush arrive ou quand il doit gérer un énième problème familial. Il ne pense plus à rien sauf aux problèmes des autres et à comment les aider. C’est ce qui l’avait poussé à aider Penny, en dehors du fait de reprendre réellement contact avec la jeune femme il voulait l’aider avec cette histoire pour ne pas qui lui arrive la même chose que quand les médias italiens avaient publié plusieurs articles sur sa relation avec Lorenzo. « Et après tu oses encore dire qu’on n’est pas fait l’un pour l’autre, franchement, si c’est pas un signe du destin ça. » Les dernières petites touches à leur tenue se terminent petit à petit, alors que Giovanni continue à remettre en place ce foutu nœud papillon qui a décidé de n’en faire qu’à sa tête ce soir. « Comment ça ce n’est pas ce genre de soirée ? J’aurais pu y aller en sandale / chaussette que ça reviendrait au même. Bon, je pense que je vais devoir m’assoir sur un cinquantième trophée. » Qu’est-ce que je disais déjà quand il n’essaie pas du tout de changer à ses yeux alors que c’est ce qu’il cherche à faire ? Confiance, si seulement elle pouvait savoir à quel point il a besoin de ça, qu’elle lui fasse plus confiance. Il ne ferait pas tout ça s’il savait que ça ne ferait qu’empirer les choses pour elle, au plus profond de lui il se dit que c’est la bonne chose, qu’il faut qu’elle sorte, qu’elle se change les idées. Il y aura assurément des caméras et des photographes qui viendront lui rappeler ses démons, mais il sera là pour les chasser, il sera là pour qu’elle puisse oublier tous ses problèmes le temps d’une danse, le temps d’une petite soirée. Il sait très bien que même si elle lui assure qu’elle ne pense plus à lui, qu’elle est cent pour cent concentrée sur la soirée, ses pensées elles sont à bien des kilomètres de là avec un autre homme qui hante ses esprits tout autant que les photos qui apparaissaient de page en page dans les revues people. Mais que peut-il y faire l’italien ? Il ne peut décidément pas la forcer d'être complètement présente avec lui. « Ça me va très bien, on a un deal ! » Il lève son petit doigt, attendant que Penny en fasse de même de son côté afin de sceller leur mini pacte d’avant soirée. Il ne sera pas vraiment compliqué pour lui de tenir sa promesse, mais en sera-t-il de même pour la brune ? Le Medici va tout faire afin qu’elle l’oublie espérant qu’ils arrivent vraiment à passer une belle soirée de réveillon.

« Tututututu, on ne ronchonne pas ! On joue le jeu, allez ! » Il attrape délicatement sa main avant de refermer la porte derrière eux. Il ne faut pas très longtemps au couple de fortune de se retrouver dehors alors qu’Alfred est déjà arrivée et prêt à les amener jusqu’à leur soirée. La présence d’un véritable carrosse sonne comme une aubaine pour le Medici de faire une fois de plus le gamin, comme si le destin cherchait à tout prix à ce qu’il ne change pas aux yeux de la Stringer, il ne peut décemment pas passer à côté d’une telle occasion de l’emmerder un peu plus. « T’es certaine ? Je peux très bien aller proposer un peu plus d’argent au cocher afin de réquisitionner notre nouveau véhicule. » Il mentirait s’il disait qu’il ne voulait vraiment pas monter dans ce magnifique moyen d’encore faire l’intéressant, ça attirerait à coup sûr le regard de tout le monde et il est peut-être bien là le problème pour la jeune femme. Alfred vient presque aussitôt leur ouvrir la porte de la limousine afin qu’ils puissent monter dedans. Ce n’est pas la plus grande limousine qui puisse exister – et ça peut être étonnant venant du Medici -, mais elle reste spacieuse et elle l’accompagne depuis tellement d’années maintenant qu’il aurait du mal à s’en séparer. Il partage le sourire de la jeune femme alors qu’il la voit prendre la bouteille de champagne à plusieurs centaines de dollars, mais il la laisse faire, après tout ça sera de sa faute si elle en met partout sur les sièges en cuir, Alfred ne pourra pas lui en vouloir. « Bonne technique, pour le cri je mets un sept sur dix, pour le coup de poignet ça sera un joli sept aussi, tu peux encore t’améliorer sur ce point et pour ce qui est du service dans les verres ça me paraît tout bon, il n’y a pas trop de mousse et tu n’en as pas mis partout donc ça sera un neuf, on ne met jamais de dix sur dix. » Son rire s’ajoute au sien alors qu’il apporte sa coupe de champagne jusqu’à ses lèvres. Le reste de la route se passe dans le calme, Giovanni observant les yeux de la brune qui observent les bâtiments passer les uns après les autres. Il profite encore quelques secondes d’un instant de sincérité sur le visage de Penny avant que son magnifique sourire factice ne se mêle à la soirée afin de faire plaisir aux photographes. Une fois arrivée il est le premier à descendre du véhicule, Alfred tenant la porte alors que le Medici se contente d’attraper délicatement la main de la Stringer afin de l’aider à descendre. Ils avancent doucement, s’arrêtent avant de reprendre quelques pas afin de faire de jolies photos qui apparaîtront à coup sûr le lendemain, on pourrait presque croire qu’ils ont fait ça toute leur vie. Gio relâche son étreinte alors qu’il a pris la décision d’aller répondre à une ou deux questions d’un journaliste à la con, au moins ça sera fait pour ce soir et on ne lui prendra plus la tête avec ça. « Vous avez terminé ? Maintenant je vais retourner auprès de celle que vous avez harcelé depuis plusieurs semaines maintenant. » Aussitôt dit aussitôt fait, Giovanni attrape de nouveau la main de Penny. Ça fait un moment qu’il n’a pas mis les pieds dans ce genre de soirée et il doit avouer que ça lui avait presque manqué. Les faux sourires et les faux-semblants sont légions dans ce genre de soirée, mais sans vraiment arriver à se l’expliquer il aime s’y retrouver, sûrement par soucis de se montrer à coup sûr. Il la laisse s’envoler vers un serveur qui passe dans le coin alors qu’il regarde un peu partout autour de lui, cherchant à voir s’il y avait une tête qu’il reconnaissait ou non, mais rien, en tout cas pas au premier coup d’œil. Il rejoint peu de temps Penny qui lui tend de nouveau une coupe. « J’ai une petite idée. On parie combien que ce mec avec les mèches grises est venu avec sa maitresse ? Comptable dans une entreprise à la con qui est dans l’imprimerie. Il fait style qu’il a de l’argent à jeter par la fenêtre, mais ils sont venus en voiture de location et ça elle, elle ne le sait pas. » C’est un jeu auquel il a toujours aimé participer, deviner la vie des autres en exacerbant bien évidemment sinon ça ne serait pas amusant. « Et peut-être qu’il a même mytho sur sa véritable vie, en se faisant passer pour un riche investisseur qui voyage à travers le monde. » Le Medici plisse les yeux afin de se donner un air sérieux qu’il arrive à peine à tenir tout en faisant tournoyer le précieux liquide se trouvant dans son verre.




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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
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Have yourself a merry little christmas | Gionny2 MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
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TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
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penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 26/10/2020
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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptyMer 5 Mai - 23:06


@giovanni medici
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« Ne dis pas ça, je sais très bien que tu meurs d’envie, mais c’est pas grave, pas de soucis, ma proposition n’a pas de date d’expiration. » Tu retiens à peine la grimace qui habite tes traits, mais tu ne commentes pas plus longuement l’humour crasse du Medici parce que tu te connais assez pour savoir que tu pourrais bien t’énerver s’il continue sur cette lancée et t’as déjà l’humeur à fleur de peau, pas question de gâcher la soirée avant même qu’elle n’ait commencé pour cause de commentaires passé sur Charlie dont tu préfères nier complètement l’existence. Tu sais que pour le reste, il fait des efforts Giovanni. Il veut que tu passes une belle veille de Noël, même si ce n’est pas exactement la manière dont tu avais imaginé. Ça te fait rire d’ailleurs quand il mentionne le popcorn, le vin et la soirée Netflix. Tu ne peux pas t’empêcher de continuer à croire que ce plan sonne quand même bien plus agréable qu’un bal dans une salle remplie de pleins de gens dont tu te fiches éperdument à prétendre être dans une relation qui n’est que du vent, pour faire taire des rumeurs qui te bouffent de l’intérieur depuis trop longtemps déjà. Mais il a fait l’effort de tout préparer pour toi et t’as fait l’effort de te mettre belle pour la soirée, alors autant aller au bout de l’idée et au bout de l’effort, pour ce que ça vaut. « Et tu oses encore dire qu’on n’est pas fait l’un pour l’autre, franchement, si c’est pas un signe du destin ça. » Tu ricanes doucement alors que ton regard vient croiser celui de l’italien pendant quelques secondes, alors qu’il continue de se débattre avec son nœud papillon. « Allez, laisse-moi faire. » Tu tasses ses doigts et tu ajustes le nœud une bonne fois pour toute avant de te reculer doucement et de passer un dernier coup de fard à joues sur ton visage. Ce n’est pas le look du siècle, mais pour ce soir, ça fera l’affaire. « Comment ça, ce n’est pas ce genre de soirée? J’aurais pu y aller en sandale/chaussette que ça reviendrait au même. Bon, je pense que je vais devoir aller m’asseoir sur un cinquantième trophée. » « C’est vraiment de toute beauté la modestie chez toi Medici. » Tu continues de secouer doucement la tête. Clairement, il y a des choses qui ne changent pas et tu avais l’impression que Giovanni était le genre de personnes à se plaire particulièrement dans ce rôle de vantard, même si tu le connaissais assez pour savoir qu’il se cachait un peu plus derrière ce rôle qu’il aimait tant jouer. « Ça me va très bien, on a un deal! » Donc, plus de Charlie et plus de Rory. Pour une fois, tu es bien contente de les laisser tous les deux derrière. Cette soirée allait être belle, elle allait être douce, malgré tout. Il le fallait.

Le soleil a beau être sur le point de se coucher vu l’heure de la soirée, il fait encore chaud dehors et Giovanni lui, continue dans ses idées de grandeur. « Tututututu, on ne ronchonne pas! On joue le jeu, allez! » Tu fermes les yeux, te laissent guider par l’homme surtout pour lui faire plaisir. La panique est grande quand tu ouvres les yeux et que pendant quelques secondes, il veut te faire croire que vous allez vous rendre au bal à part d’un carrosse, le pire plan pour attirer toute l’attention sur vous alors que tu préférerais et de loin être complètement invisible. Ce n’est qu’un malheureux hasard quand il te confirme que c’est la limousine garé juste un peu plus loin qui va vous mener à destination, thank god. « T’es certaine? Je peux très bien aller proposer un peu plus d’argent au cocher afin de réquisitionner notre nouveau véhicule. » « Ça va aller. » Il insiste, il se trouve drôle sans aucun doute, mais tu ne démords pas. Faire les choses en grand, ça n’a jamais été ton point fort. De la célébrité, c’est sans doute quelque chose qui t’attire le moins, les besoins de grandeur de certains. Tu prends place dans la limousine et le véhicule a à peine le temps de se mettre en route que déjà, tu fais péter le bouchon d’une bouteille de champagne hors de prix. Giovanni s’amuse à critiquer ta manière de faire, mais tu balaies ses commentaires d’un revers de la main alors que tu prends une longue gorgée de ta coupe et qu’il finit par en faire de même. L’arrivée au bal est accentuée de la présence de journalistes et photographes en tout genre et tu laisses Gio prendre le contrôle du moment, sa main se plaçant sur tes hanches alors que tu offres un sourire par mille fois pratiqués, sans aucune once de sincérité bien qu’il serait difficile de le prouver. On te pose des questions, on te demande de statuer ta relation avec le chef à ton bras, celui qui disparaît quelques instants à son tour pour répondre à des questions, mais de ton côté, tu restes silencieuse, fidèle à ton pas de commentairedepuis presque dix ans maintenant. Tu sais que votre simple présence ici suffira à faire jaser, ça et quelques clichés déjà poster sur Instagram. C’est tout ce que tu as le courage de faire, pas envie de devoir inventer la moindre histoire sur les comment et les quand et autres informations du genre. Giovanni repousse quelques journalistes insistants et vous parvenez enfin à créer votre chemin jusqu’à l’intérieur de la salle de bal.

Tu ne mets que quelques instants avant de disparaître, à la recherche de quelque chose à boire et c’est par le plus grand des hasards que tu tombes sur Clyde et bientôt, tu réalises que Halsey fait aussi partie du décor. Ça t’amuse plus qu’autre chose, considérant ta rencontre avec cette dernière quelques jours plus tôt à peine, et si l’échange ne dure que quelques minutes au total, il vient mettre un sourire plus mesquin sur tes lèvres quand tu rejoins Giovanni à nouveau. « Désolée, j’ai croisé un ami. » Est-ce que tu pouvais encore considérer Clyde comme tel? Rien n’était moins sûr en ce moment, mais tu voulais croire que oui. Tu tends une coupe à Giovanni avant de venir porter la tienne à tes lèvres. « J’ai une petite idée. On parie combien que ce mec avec les mèches grises est venu avec sa maîtresse? Comptable dans une entreprise à la con qui est dans l’imprimerie. Il fait style qu’il a de l’argent à jeter par la fenêtre, mais ils sont venus en voiture de location et ça elle, elle ne le sait pas. » Tu regardes dans la direction que Giovanni pointe, l’homme en question qui ne semble pas aussi à l’aise qui le devrait dans son costume prétendant être de grande marque mais qui ne l’est pas. T’as vu assez de choses avec Micah pour être capable de faire la différence du vrai et du faux. « Et peut-être même qu’il a mytho sur sa véritable vie, en se faisant passer pour un riche investisseur qui voyage à travers le monde. » « Tu sais ce qui serait vraiment drôle? C’est que sa femme soit ici aussi avec son amant. Imagine ils finissent par faire un face à face. » Tu en rigoles maintenant, alors que ce n’est que du pretend, des vies inventés à des visages que vous ne reverrez jamais, mais lui comme toi savez trop bien que les histoires d’adultères ne sont que trop communes dans le monde de la bourgeoisie, monde qui semble omniprésent ici ce soir. « Regarde elle, elle a l’air misérable au bras de son mari, elle arrête pas de jeter des coups d’oeil au petit bum là-bas qui a pas l’air d’être à sa place. » Tu pointes une grande femme vêtue d’une longue robe bourgogne, au bras d’un homme tout aussi grand à qui elle n’accorde aucune attention, son regard sans cesse tourner vers un homme à quelques mètres de là vêtu d’un veston détaché et d’une paire de chaussure pas le moindrement approprié pour l’évènement. « J’parie que lui là-bas, c’est son amant et celui qu’elle aime vraiment, mais elle est prise au piège d’un mariage arrangé. » Tu voulais croire que le concept était complètement démodé, mais tu avais été contrainte d’admettre qu’il y avait encore des familles qui forçaient ce genre de pratique. « T’imagines être obligé de passer ta vie avec quelqu’un que tu n’aimes pas? L’horreur. » Tu ne pouvais qu’être reconnaissante du fait que tu ne venais pas de ce genre de familles, t’es pas certaine que t’aurais su comment te plier aux volontés de tes parents si ça avait été le cas.
(c) ethereal



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Message(#)Have yourself a merry little christmas | Gionny2 EmptySam 17 Juil - 11:18


It's beginning to look a lot like Christmas. Toys in every store but the prettiest sight to see is the holly that will be on your own front door.


C’était l’heure des derniers petits préparatifs, des derniers ajustements ainsi que des dernières blagues lourdingues que Giovanni adorait faire proliférer à longueur de journée alors que Penny devait passer la majorité de son temps à lever les yeux au ciel devant supporter l’Italien jusqu’à pas d’heure. Il lui avait fait part à plusieurs reprises sa non-motivation de participer à cette soirée qu’elle avait pourtant elle-même proposer en premier lieu au Medici, une visible non-motivation qui pouvait faire plus de mal qu’autre chose au moral de la jeune femme alors que ce dernier n’était déjà pas au meilleur de sa forme à chaque minute qu’elle passait éloigné de celui pour qui ses sentiments n’ont jamais réussi à se finir par du concret. Que devait faire Giovanni ? La laisser dans son coin à se morfondre en silence ? Essayer de lui changer les idées en lui faisant passer ses nerfs sur la grande stupidité de ses répliques enfantines au possible ? Il n’avait pas pu rejoindre sa famille en Italie, elle n’avait pas pu rejoindre Rory Craine. Tout les sépare et pourtant ce soir-là ils étaient au même point, se retrouver seul le jour du réveillon de Noël. Giovanni savait très bien qu’elle allait avoir la tête ailleurs, mais la décision a tout de même été pris d’y aller à cette soirée qui devait être un parfait exemple de mise en situation pour le faux couple. « Je ne savais pas que tu étais douée pour ça. » Il laissa Penny se charger de son nœud papillon, celui dont Alfred était toujours en charge et que le Medici n’a jamais réussi à bien centrer. Un objet source de toc pour Gio qui refuse qu’il soit décalé ne serait-ce que d’un tout petit centimètre. De son côté il arrivait tant bien que mal à adoucir un peu plus l’atmosphère avec toujours plus de conneries sorties à la seconde. « Tu devrais savoir que la modestie ne fait pas partie de mon vocabulaire. Pour moi la modestie c’est simplement de l’hypocrisie qu’on sort pour les beaux yeux des autres. » Giovanni n’a jamais cru dans la modestie qui pour lui est une simple construction sociale afin de se faire accepter par un plus grand nombre. Les gens n’ont jamais vraiment aimé ceux qu’ils considèrent comment étant imbu de leur personne. Il était pour une fois très sérieux le Medici, mais il savait aussi que Penny préférait rire de cette haute opinion qu’il a de lui-même et qu’elle n’a jamais cherché à le juger pour ça. Il est l’aîné de la famille, il est celui qui devait porter les titres un jour s’il le fallait, il a été élevé de cette façon le Medici et même s’il a essayé d’oublier un maximum de ces codes en s’éloignant de la belle vie dans les nombreuses villas et manoirs, il en reste toujours une grosse partie encrée en lui. « Tu penses que j’ai le temps de me raser ou c’est mieux avec la barbe ? D’ailleurs t’as pas un rasoir qui traîne par là ? » Il était le premier à être pressé il y avait encore quelques secondes et maintenant c’est à Penny de le pousser dans le dos vers la sortie afin de ne pas arriver trop en retard à cette fameuse soirée qui allait être un MAGNIFIQUE moment comme il pouvait aussi être le pire pour les deux protagonistes. Le trajet se passa rapidement entre deux coupes de champagnes qui trinquèrent, le verre de vin à l’appartement n’ayant visiblement pas suffit à donner assez de courage à la jeune femme afin d’affronter la horde de paparazzis qu’ils allaient devoir affronter une fois le pied mis dehors. Giovanni passa le temps de la route à regarder à travers la vitre de la limousine et à tourner son regard vers sa cavalière pour la soirée. Il se savait difficile à être compris, à lire en lui, mais il n’avait jusqu’à ce soir-là jamais soupçonné le talent d’actrice de la jeune femme, il lui était tout aussi impossible de savoir ce qu’elle pouvait bien penser, ce qu’elle pouvait bien ressentir à ce moment précis. Il n’osa pas ouvrir la bouche et prononcer ne serait-ce qu’un son pensant qu’elle avait besoin qu’il arrête de parler pour dire de la merde ne serait-ce que le temps du trajet. Il retourna sa tête avant d’admirer les illuminations accrochées dans toutes les rues de Brisbane en cette période festive.

Le tapis rouge aurait pu se passer bien plus mal, mais en dehors d’un journaliste ou deux avides de détails tout s’est plutôt bien passé dans la tête de l’Italien. Ils ont eu leur petite photo, leur petit sourire factice, ils étaient contents et le faux couple pouvait enfin se diriger vers l’intérieur. Il y avait des lustres en cristal un peu partout dans les différentes pièces, une musique douce qui résonnait aux oreilles, elle n’était ni trop basse ni trop forte alors que le son des discussions lui était audible de dehors. Le Medici se retrouva rapidement seul quelques minutes, il commençait à croire que Penny avait finalement décidé de lui fausser compagnie, mais elle revint vers lui avec une autre coupe de champagne dans chacune de ses mains. « Tu n’as pas à t’excuser, ça m’a permis de faire mon premier repérage. » Parce que l’Italien n’attendait que son retour pour commencer son petit jeu préféré lors de ce genre de soirée. Inventer des vies, des intentions aux autres, ça peut paraître totalement con, mais quand on s’y prend vraiment au jeu ça a quelque chose de plutôt divertissent, comme si c’était une petite commère qui juge tout le monde autour de lui. « Franchement ? Je pense que je tombe instantanément au sol, ça serait trop pour moi. » Giovanni lâcha un rire plus que sincère, alors qu’il surprit Penny à se joindre à son jeu en essayant à son tour quelque chose. Il l’écouta attentivement en essayant d’analyser aussi de son côté la personne pointée par la brune. « Pas certain que ce soit un mariage arrangé, ça sent le couple qui s’est formé à l’université ça, le mec populaire avec la fille la plus populaire de l’école, un classique des films ça ! » La remarque de Penny ne pouvait pas mieux tomber, parce qu’il a failli connaître ça Giovanni, même si pour lui ce n’était pas le cas de ce pauvre couple victime de leurs moqueries, il savait de son côté que c’était pourtant toujours une pratique qui se faisait et ce même dans les pays développés. Être marié à la fille de la comtesse de je ne sais plus où, voilà ce qui attendait Giovanni avant qu’il ne parte pour Florence faire ses études en hôtellerie. « Que tu n’aimes pas au début, mais est-ce qu’il n’y a pas un monde où à force de passer ton temps avec cette personne tu commences à nourrir de réels sentiments pour cette dernière ? Alors même que tout les oppose ? » Il aime à penser que rien n’est jamais figé, que même si une personne ne peut jamais profondément changer ce n’est pas le cas des nombreux sentiments qu’elle peut éprouver. « Et toi qu’en penses-tu à part : l’horreur. » Giovanni était prêt à aller aider cette dame et ce gamin à se rapprocher en allant donner du courage à ce dernier afin d’aborder sa future maitresse, mais Penny lui posa une question qui l’intrigua, le minot pouvait bien attendre encore quelques secondes avant de se livrer à l’ivresse de la chair avec cette femme d’au moins une quinzaine d’années son ainée. « En tout cas si ce couple est vraiment marié de force, ils me donnent tort. Parce qu’elle a furieusement envie d’aller voir ailleurs, c’est une certitude ça. » l’Italien se mit à rire alors qu’il but la dernière gorgée de son verre le posant au passage sur le plateau du premier serveur qui passa sous son nez.




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