ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Les vagues sont parfaites pour toi aujourd’hui. Pas trop rapides. Pas trop hautes. Pour une fois, la plage n’est pas trop bondée de monde ce qui est toujours un avantage. Depuis que tu tournes dans la quotidienne Neighborhood, on te reconnaît beaucoup plus et tu peines toujours avec le concept d’agir familièrement avec des gens que tu ne connais pas du tout. Tu as toujours été très sociable, ce n’est pas un problème, mais c’est complètement différent quand tu as des gens de tout âges — quoique majoritairement des jeunes filles ou des couples plus âgés — qui t’abordent comme s’ils te connaissaient depuis toujours, te disant combien ils aiment te voir à la télévision les soirs de semaine. Ça fait toujours plaisir à entendre, il n’y a pas de doute là-dessus, mais tu dois encore t’habituer à voir ton espace personnel souvent réduit à pas grand chose lorsque tu es en public. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui c’est tranquille. Que toi et ta planche de surf. T’es pas particulièrement douée, c’est pour ça que des vagues plus calmes, ça t’arrange. Tu accueilles bien les vagues le trois quart du temps. Tu tombes aussi plus souvent que tu n’as envie de l’admettre, mais tu profites du moment et ça te fait du bien, de te retrouver seule avec toi même le temps de quelques heures, pour faire changement.
Quand tu sors finalement de l’eau, tu remarques que la plage est bien plus occupée que lorsque tu es arrivée. Il faut dire que tu avais profité de ce chaud matin d’été pour te rafraîchir dès la première heure. C’était ta seule journée de congé et tu comptais bien profiter de chaque minute libre que tu avais. Ton temps était trop peu souvent tien, ton agenda toujours bien chargé entre les différents tournages, les événements et ton bénévolat. Il n’était pas rare que tu ne saches plus où donner de la tête. Mais pas aujourd’hui. Tu profites de chaque rayon de soleil. De la sensation du sable chaud sous tes pieds mouillés. Des rires d’enfants qui jaillissent ici et là, avec toute l’innocence et la bonté du monde. T’es bien, Penny, et ça se voit par le sourire sur ton visage. Y’a pas de drame à côté de ton nom dans les médias. Tu profites de ton célibat depuis le départ de Micah pour les États-Unis, sans vraiment trop te poser de questions sur ce qui était et ce qui aurait pu être. T’es un peu distraite alors que tu marches vers le stationnement, à quelques mètres de la plage, mais ton regard est soudainement attiré vers ce qui semble être à première vue un ramassis de rose. C’est seulement au deuxième regard que tu distingues la robe d’été aux teintes de roses, s’agençant parfaitement à la crinière d’un rose tout aussi pastel. Tu reconnais la jeune femme, bien que tu mettes quelques secondes à te souvenir d’où tu peux bien la connaître. Tes pas sont déjà en train de te guider à elle alors que tu te souviens. Elle avait travaillé sur ton dernier téléfilm, quelques semaines auparavant. Une robe que ton personnage avait porté dans le cadre d’un bal de finissant. Quelque chose de bien plus éclaté que ce que tu aurais imaginé, mais dont tu étais finalement tombée amoureuse dans le montage final. Une fois à sa hauteur, tu remarques qu’elle dessine dans un grand cahier. Tu ne vois pas vraiment ce qu’elle fait, mais tu peux facilement te douter qu’elle doit être de travailler sur son prochain design. « Rose, c’est ça? » Et tu ne parles pas seulement du couleur de sa robe ou de ses cheveux. Tu es presque certaine de te souvenir que c’est son prénom aussi. Quite fitting. « Penny. » que tu dis, en emmenant ta main libre contre ta poitrine. « Je ne sais pas si tu te souviens, tu as fais une robe pour mon personnage dans un film que j’ai tourné récemment. »
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. Ceci explique probablement pourquoi il ne t’appartient pas souvent. Il est rare de te voir ouvrir les yeux avant 10h du matin. Et ce n’est même pas à cause d’un côté nocturne. Tu te couches avant minuit sauf exception ponctuelle. Tu es juste une marmotte. Tu as besoin de dormir au minimum huit heures par jour pour ne pas être grognon. Dix et tu es au top de ta forme. Par contre, plus et tu restes endormie toute la journée bien qu’éveillée. Tu as de la chance d’être ta propre patronne. Tu peux gérer ton emploi du temps à ta guise. Tes heures de sommeil sont ainsi préservées. Sauf quand ton alarme te sort des bras de Morphée à 8h. Tâtonnant ta table de chevet à la recherche de ton téléphone, tu le fais tomber par terre. La sonnerie ne s’arrête pas pour autant. Le bras trop court, tu dois sortir de tes draps pour le ramasser et couper le bruit. Les paupières lourdes, tu as envie de te rallonger. Pourquoi donc as-tu mis une alarme ? D’ordinaire, tu te laisses réveiller naturellement. Du moins avant, avant que ton carnet de commandes ne se remplisse de partout.
Tu ne l’as pas vu venir ce coup-là. Il t’a fallu un coup de pouce du destin. Un contact pour une création, une actrice montante, une exposition médiatique de ton œuvre et de nombreuses admiratrices de ta robe se sont mises à te solliciter. Beaucoup ont souhaité la même robe de bal taillée à leur morphologie. Refusant de travailler en série, tu as apporté une touche unique à chacune des pièces, marquant une particularité de la cliente. Une partie est restée fidèle et te réclames des tenues. Et de fil en aiguille, si tu oses dire, ton nom a été ébruité et d’autres femmes font désormais appel à tes talents. Une journée n’étant pas extensible, tu as dû apprendre à sacrifier un peu de ton confort somnolant afin de satisfaire chaque requête dans des délais respectables. Tu te lèves et te dirige vers ta salle de bain. Après une bonne douche chaude d’une vingtaine de minutes voire trente, tu files dans ta cuisine. Tu te prépares un petit déjeuner copieux. Trois tartines beurrées recouvertes de confiture de groseille et un grand bol de chocolat au lait. Ton repas englouti, tu retournes dans ta chambre. Tu revêts une robe longue sans manche aux couleurs de ta crinière. Tu sautes dans tes spartiates. Tu attrapes ton nécessaire à dessin que tu glisses dans ton sac et tu te sauves.
Tu prends la direction de la plage. Tu t’y rends en bus. Sur place, tu constates le peu de foule présent malgré la météo ensoleillée. L’astre solaire rayonne d’une douce chaleur. Il tente probablement de teinter ta peau blanchâtre. Tu t’assois sur un banc, vue sur l’étendue bleutée et les Hommes venus la taquiner. Ton cahier sur les genoux, tu commences à griffonner. Le temps défile. Tu ne saurais dire combien exactement. Ton portable le pourrait si tu ne l’avais pas, une nouvelle fois, oublié chez toi. Ton estomac encore calme t’indique que midi n’est pas encore proche. Le cas échéant, le gourmand qu’il est t’en aurait informé via de puissants gargouillis. Tu reprends tes coups de crayon lorsqu’une voix t’extrait de ton monde. Tes mirettes quittent ta feuille. Il ne leur faut qu’une demi-seconde pour reconnaître cette bouille malgré sa wetsuit et sa planche de surf sous le bras. « Elsie ! », la nommes-tu spontanément. Ton regard pétille. Jamais tu n’aurais cru croiser cette comédienne. Comédienne que tu adores comme le signale ta nomination de sa personne par le prénom du personnage qu’elle incarne dans cette célèbre série. « Oui c’est bien ça. » Ta puce intérieure saute de joie. Elle t’a reconnue alors qu’elle doit côtoyer bien du monde. Tu peux remercier ton style vestimentaire et ton gyrophare capillaire. Comme quoi l’originalité paie.
Tu hoches la tête frénétiquement de bas en haut. Tu te souviens parfaitement de cette robe, de ce visage, de ces séances d’essayage. « Bien sûr ! Comment pourrai-je t’oublier ? » Tu glousses légèrement. Tu es en mode groupie. Tes pommettes se sont certainement rougies. Tu ne lui avoueras pas regarder au moins une fois par semaine cette scène. Tout comme tu garderas pour toi de l’éteindre chaleureusement ou de lui offrir une bise. « Tu as pu la garder ? » Tu ignores comment fonctionne le cinéma. Bien que faite sur mesure, rien ne dit que le réalisateur n’a pas conservé la tenue pour un futur tournage. A votre époque, tout est prétexte à faire des économies. Tu n’en reviens toujours pas de lui faire face. Tu te pinces l’avant-bras. Une douleur et une coloration rouge te prouvent être dans le réel. « Je peux avoir un autographe s’il te plait ? », lui demandes-tu en lui tendant ton bloc-notes et ton crayon. Tu as dégainé le large sourire et le regard de biche. Avec ces deux arguments, tu as toujours fait craquer ta mère. Évidemment, cette blonde n’est pas ta mère. Tu espères tout de même qu’elle cédera à ton caprice. Après tout, ceci doit faire partie du package de sa profession de choyer ses fans. La célébrité n’as pas que du bon. Puis tu as prononcé le mot magique. Elle ne peut pas refuser.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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« Elsie! » Ça te fait toujours sourire quand on t’appelle par le nom de ton personnage dans Neighborhood. Tu le prends toujours pour un compliment d’ailleurs, ça veut dire que ton interprétation du personnage est apprécié. Si Elsie a une vie bien plus remplie et dramatique que la tienne, tu aimes croire que ta personnalité ressemble un peu à celle de la Chapman. Elsie est douce après tout, appréciée par ceux qui l’entoure. Elle a un sens de l’humour qui est particulier (du moins, bien différent du tien) mais elle est pleine de bonnes intentions, même si les choses ne tournent pas toujours en sa faveur. « Oui c’est bien ça. » Tu lui offres un autre sourire, tu es contente de voir que ta mémoire ne te fait pas défaut. C’est toujours rassurant, surtout pour une actrice. Et puis, tu sais que même si elle ne se souvient pas nécessairement de ton prénom, elle sait au moins qui tu es grâce à la série. Tu te doutes aussi qu’elle doit se souvenir de la robe qu’elle a créé pour toi, mais tu n’aimes présumer de rien. Même si ça commence à faire un bon moment que tu profites d’une certaine célébrité, tu restes toujours surprise quand on te surprend dans la rue, quand on parle de toi à la radio ou à la télévision. Comme si tu peinais à complètement enregistrer dans ta tête que oui, tu es une personne connue. Que oui, on te reconnaît dans la rue et qu’on s’étonne de te voir faire des trucs complètement ordinaires du quotidien, comme d’aller faire ton épicerie, de passer à la pharmacie ou même de faire du surf parmi le commun des mortels en un matin ensoleillé. « Bien sûr! Comment pourrai-je t’oublier? » Ça aussi, tu ne t’y fais pas alors que tu sens le rouge monter tes joues encore humide de ta séance de surf matinale. « Tu vas me faire rougir. » que tu dis avec un petit rire dans la voix alors que la vérité est que tu rougis déjà. Avec un peu de chance, elle ne va pas le remarquer trop trop, la styliste à la chevelure éclatante.
« Tu as pu la garder? » Tu hoches positivement la tête avec un sourire. Tu ne pensais pas que les réalisateurs accepteraient ta demande, mais avec un peu d’acharnement de ta part, tu avais réussi à les convaincre. « Ils étaient pas vraiment d’accord au départ, mais puisqu’elle était fait sur mesure pour moi, j’ai bien réussi à leur faire comprendre qu’ils ne seraient pas en mesure de l’utiliser pour une autre réalisation. » Non pas que tu avais un corps particulièrement disproportionné ou quoique ce soit dans le genre, mais il s’agissait d’une robe assez prêt du corps qui avait été conçu avec ton personnage en tête et tes dimensions propres, bien difficile à imaginer sur une autre ou dans un autre contexte. « Je ne sais pas si j’aurais moi-même l’occasion de la reporter pour un évènement, mais ça fait toujours plaisir de voir cette cascade de rose dans mon garde-robe. C’est un beau souvenir du tournage. » Tu es entièrement sincère lorsque tu dis ça. Si votre collaboration n’avait pas été particulièrement longue, tu avais apprécié travailler avec la jeune femme et en découvrir un peu plus sur son processus créatif. « J’ai d’ailleurs reçu beaucoup de compliments dessus quand le film est sorti. » Tu la remarques qui se pince l’avant-bras, et ça étire ton sourire encore plus. T’as envie de lui dire que oui, t’es bien réelle, que non elle ne rêve pas, mais tu ne dis rien. Tu ne voudrais surtout pas la rendre mal à l’aise. « Je peux avoir un autographe s’il-te-plaît? » Ça aussi, tu ne t’y fais pas. Tu ne comprends pas la valeur de ton nom sur une pièce de papier, mais tu acceptes tout de même. Après tout, tu aurais été bien mal placé de lui dire non, surtout avec la façon dont elle semblait être en train de te faire les yeux doux. « Avec plaisir. » Tu attrapes son cahier et son crayon, et tourne sur une page vierge sur laquelle tu inscris À Rose, ma fan la plus colorée. Avec amour, Penny Stringer. Ta signature est un gros P et un gros S avec les lettres restantes de ton nom s’entremêlant entre elles. Tu lui retends le cahier et le crayon avec ce sourire un peu con toujours collé sur tes lèvres alors que ton regard croise à nouveau celui de la jeune styliste. « Tu travailles sur quoi dernièrement? » que tu demandes curieuse. Tu as bien vu une robe sur la page avant celle ou tu as apposé ta signature, mais tu n’as pas osé regarder trop longtemps au cas ou elle n’aurait pas voulu que tu regardes. « Ça a l’air vraiment joli, ce que tu dessines. »
Elsie. Penny pardon. Tu ne dois pas confondre l’actrice et son rôle. Même si ce n’est pas simple dans ta tête. Ton esprit associe irrémédiablement ce visage à ce personnage. D’un côté, tu as une excuse. Le matraquage médiatique est permanent. En plus, il ne t’est pas rare de revoir tes épisodes favoris. Tu en connais certains par cœur. Tu pourrais lui réciter toutes les répliques au mot près de l’épisode douze par exemple. Et dire que tu galères à retenir ton adresse. Ta mémoire est bien étrange. Elle a un drôle de sens des priorités. Ma foi, si tous les chemins mènent à Rome, ils mènent également tous à ton appartement. Tu finis toujours par retrouver ton domicile. Parfois cela t’a pris plusieurs heures par contre. L’important est de retrouver son cocon à temps pour Neighborhood. Au pire, tu peux remercier la fonction replay. La comédienne semble avoir moins de souci de mémorisation. Ce n’est guère étonnant vu son métier. Il serait problématique d’avoir une mémoire de poisson rouge dans son travail. Elle a des textes à retenir. Et même s’ils ne sont pas les plus élaborés du monde, ils réclament de la concentration. Chose que tu admires énormément tant tu en es incapable. Sauf munie de ton carnet et d’un crayon ou calée derrière ta machine à coudre. En fait, tout dépend de ses centres d’intérêts. « Ce n’est pas grave. Le rouge va bien à tes joues. » Un léger rire se joint au sien. Tu visualises quelques scènes où elle a ses pommettes rosies. Même si la teinte n’est probablement pas naturelle et aidée par du maquillage, tu apprécies voir sa bouille dans cette état. Tu trouves que cela lui ajoute du charme. Charme qu’elle possède de base.
Tu apprends que ta création est désormais sienne. Tu es ravie. Tu aurais eu mal au cœur d’apprendre qu’elle était enfermée dans un placard, privée de toute lumière, ou encore posée sur un cintre, au milieu d’autres robes insignifiantes, en attendant peut-être un jour recevoir toute l’attention qu’elle mérite. « Tu la reporteras pour la cérémonie des Oscars. Comme ça le monde entier verra en direct comment elle te va superbement bien quand tu iras récupérer ton prix. » Tu lui offres un plus large sourire. Tu es on ne peut plus sérieuse. Du moins, avec tes propos concernant sa future nomination. Cette femme est bourrée de talents. A tes yeux, il ne fait aucun doute qu’elle sera un jour récompensée. En y réfléchissant rapidement, lorsque ce jour arrivera, tu espères qu’elle oubliera cette robe et qu’elle te sollicitera pour en confectionner une nouvelle. « Et moi beaucoup de commandes ! », complètes-tu sa phrase. Il est clair que ce film a fait décoller ta carrière. Tu as eu plus de commandes en deux mois qu’en un an depuis ton début d’activité. Sans elle, tu seras encore à galérer. Tu aurais peut-être même dû te résoudre à rejoindre un groupe et perdre ton indépendance. Plus qu’une fan, tu lui es reconnaissante. Tu lui dois ta réussite. Jamais tu ne pourras la remercier assez pour cela. Tu pourrais lui offrir un passe-droit et lui créer des tenues gratuitement à vie. Tu ne penses pas à la pub qu’elle te ferait en pensant à cette éventualité. Tu es loin d’être une spéculatrice. Tu cherches juste à lui faire plaisir. Faire plaisir aux autres est te faire plaisir. Évidemment, tu prendrais volontiers les retombées s’il y en a. Il serait stupide de les refuser. Tu as aussi des factures à payer. Et tu ne peux les régler en sourires.
Peut-être que ton propriétaire se montrera plus conciliant sur tes retards avec un autographe de cette star. Surtout qu’ils ne sont dus qu’à ton étourderie et non un problème financier. Tu devrais envisager de programmer un virement automatique mensuel. Le souci réside dans le fait que tu oublies à chaque passage à ta banque de le demander à ta conseillère. Penny, ça y est tu sembles avoir pris le pli de son prénom, saisit ton carnet et ton crayon. Elle griffonne dessus et te rend le tout. Tes yeux s’écarquillent devant son attention. Ses mots te touchent. Bien qu’elle personnalise probablement tous ses autographes. Tu déposes ton bloc-notes et te lèves. D’instinct, tu viens déposer un baiser sur sa joue droite du bout de tes lèvres. Tu accompagnes ton geste d’un « Merci. » soufflé tendrement. Tu te rassois, un sourire radieux ornant ton visage. Tu récupères ton carnet. Tes mirettes scrutent une nouvelle fois sa griffe calligraphiée. Elle est belle et épurée. A son image. Tu l’encadreras sûrement pour l’accrocher au-dessus de ton lit. Tes prunelles quittent ta feuille à sa question. Nullement pressée de te quitter, voilà qu’elle s’intéresse à toi. Et en plus, elle te complimente. Cette fois-ci, tu es forcément écarlate. Tu mettras cela sur le dos du soleil si elle te questionne. « Une robe de mariage pour une cliente. Enfin pour une invitée, pas pour la mariée. » Tu n’as pas reçu de demande de la sorte. Visiblement, les gens ne sont pas prêts à afficher du rose lors du plus beau jour de leur vie. Toi, tu le feras pour sûr. Mais tu as le temps d’y penser. Il te faudrait déjà trouver ta princesse. « Assis-toi et je te montre si tu veux. Je veux bien ton avis. » Tu débarrasses le siège de tes affaires pour libérer la place. Elle n’a plus qu’à poser ses fesses à tes côtés. Si elle le souhaite. Tu comprendrais qu’elle ait autre chose à faire. Sa vie est bien remplie.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
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ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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« Ce n’est pas grave. Le rouge va bien à tes joues. » Et juste comme ça, tu les sens chauffer légèrement, tes joues sous ce nouveau coup de gêne. T’as jamais été une fille particulièrement gênée mais tu dois tout de même admettre que les compliments ont tendance à te faire rougir. Tu aurais cru qu’avec le temps, tu te serais habituée mais ça te fait toujours le même effet. Si tu n’as jamais eu aucun problème à te mettre de l’avant, à te faire remarquer, c’est les remarques qui sont et restent le plus difficile à prendre et à gérer, même quand les retours sont généralement positifs. Tu ne dis rien alors, te contente de sourire. T’es certaine que tu n’as pas besoin de dire quoique ce soit pour savoir que ça te fait vraiment plaisir, qu’elle se souvienne de toi, tout comme elle semble agréablement touché que tu te souviennes d’elle. Tu doutes toutefois qu’on puisse facilement l’oublier, vu sa chevelure et son style qui laisse définitivement une impression, bonne ou mauvaise. « Tu la reporteras pour la cérémonie des Oscars. Comme ça le monde entier verra en direct comment elle te va superbement bien quand tu iras récupérer ton prix. » Ton sourire s’élargit davantage, même si tu ne sais toujours pas comment répondre aux compliments sous-entendus que te fait la styliste. Le rêve est beau, ce serait définitivement mentir que de dire que tu ne rêves pas de recevoir un jour un prix d’une telle prestance. T’as tellement l’impression que le rêve est loin toutefois. Oui, ton nom est bien reconnu parmi la population australienne, mais en Amérique, ailleurs dans le monde, tu n’es personne. Pour le moment du moins. Tu rêves du jour ou l’on va t’offrir un rôle digne de ce nom. Un rôle qui fera parler de toi d’un bout à l’autre de la planète. Un rôle qui te remportera un Oscar. Un jour, peut-être. « Je pense que j’ai encore bien des choses à prouver avant de me rendre là. » Oui, beaucoup de choses. La route est encore longue avant d’y parvenir, tu t’en doutes bien, mais tu vas continuer de travailler jour après jour. Donner le meilleur de toi-même dans tout ce que tu fais. Auditionner pour tous les rôles, même ceux qui semblent fous et impossibles. Et espérer que cette vie a de grandes choses prévues pour toi. T’es pas particulièrement spirituelle, mais tu crois au destin. Tu crois que rien n’arrive pour rien. « Et moi beaucoup de commandes! » Ça, ça te fait encore plus plaisir à entendre que n’importe quel compliment. Elle mérite la reconnaissance. Elle mérite que son nom se passe sur les lèvres des grands dans le milieu. « Tu as reçu beaucoup de commandes depuis que le film a passé à la télévision? » Tu espères que oui. Tu te doutes que ça ne doit pas être toujours facile d’avoir sa propre entreprise, de dépendre que de soi constamment et espérer que tout se passe pour le mieux.
Tu lui offres un autre sourire alors que tu lui rends son cahier. Elle s’approche de toi et tu figes légèrement lorsque ses lèvres viennent se poser contre ta joue. Si tu n’avais pas déjà les joues pourprées avant, c’est sûr qu’elles le sont maintenant. « Merci. » « Ça me fait plaisir. » Tu ne peux t’empêcher de faire ta curieuse alors que tu aperçois un croquis dans le cahier qu’elle te tend pour que tu lui offres un autographe. Tu n’as pas vraiment le temps d’apercevoir les détails, ni d’être complètement certaine de savoir sur quoi elle était en train de travailler, mais tu as envie d’en voir plus. Elle se rassoit et tu continues de la regarder, te demandant momentanément si tu devrais la laisser travailler et rentrer pour te changer, ou si tu continues la conversation. Il faut l’avouer, tu es curieuse et tu as envie d’en voir plus, d’en savoir plus. Elle ouvre le cahier et tu remarques les traits d’une robe que tu devines courte, aux motifs colorés et fleuris, dans le même genre que la robe qu’elle t’a fait. « Une robe de mariage pour une cliente. Enfin pour une invitée, pas pour la mariée. » Tu hoches la tête. Tu peux facilement imaginer la robe malgré le fait que le croquis semble encore être en stade commencement. Elle a vraiment un style particulier qui est à son image. « Assis-toi et je te montre si tu veux. Je veux bien ton avis. » Tu échappes un petit rire, tu n’es pas certaine d’être la meilleure personne pour avoir un avis sur le sujet. La mode, c’est loin d’être ton domaine. La création non plus. Mais tu prends tout de même place à côté de la jeune femme, t’assurant toutefois de ne pas être trop près pour ne pas mettre de l’eau sur ses choses, sachant que tu portes encore ton wetsuit. « Oh tu sais, je ne sais pas si je peux vraiment t’être utile. Je connais pas grand-chose à la mode et crois-moi, c’est mieux si je ne dessine rien. » Tu dessines comme un enfant de quatre ans. La majorité du temps, c’est à peine si t’es en mesure de ne pas dépasser de tout bord et tout côté quand tu fais du coloriage. « Ça m’impressionne que tu puisses créer de si jolis choses. Je n’ai définitivement pas le talent ni la patience. » Tu échappes un petit rire, tu n’as définitivement pas la patience qu’il faut pour un travail aussi minutieux et précis que le sien. « Mais j’aime beaucoup ce que tu fais. Tu as pensé en faire une robe longue plutôt que courte? »
Tu n’es pas très cinéma. Tu ne regardes que rarement la télé. En fait, avant de découvrir Neighborhood, elle restait éteinte en permanence. Il a fallu une de tes énièmes maladresses pour réviser tes habitudes. Carnet et crayon en main, tu t’es assise sur la télécommande en t’installant dans ton canapé. Sans le vouloir, tu as allumé l’écran au moment de la série. Tu as pris dix secondes à regarder la diffusion en cours. En ces dix secondes, l’héroïne a capté toute ton attention et t’as entraînée dans ses aventures. Dès la fin de l’épisode, tu t’es lancée dans une opération rattrapage. Tu as enchaîné les nuits blanches. Au bout de trois jours d’intense visionnage uniquement entrecoupés de pauses repas, tu t’es mise à niveau.Tu ne saurais dire pourquoi cette série te captive tant. Son scénario pour sûr joue un rôle là-dedans. Cependant, il serait vain de nier que l’actrice principale contribue cent fois plus à ton appréciation de ce programme. Tu la trouves si douée. Et même si sa beauté biaise ton jugement, son talent est réel. Tu n’as aucun mal à l’imaginer dans une super production. Tu la vois bien être une James Bond girl, dans une magnifique robe confectionnée par tes soins. Une femme fatale vêtue de rose. Un concept original, dans l’air du temps. Ou juste de ton esprit enfantin. Tu vas sans doute trop loin pour Hollywood. « Ça peut aller vite. Je suis prête à parier une glace que tu auras ton étoile à ton nom sur Hollywood Boulevard avant tes trente ans. » Tu lui tends ta main. Elle n’a plus qu’à taper dedans pour sceller ce défi. Elle ne risque pas grand-chose. Un dessert en cas d’échec ne devrait pas la ruiner. Surtout si tu remportes ce challenge. Si elle devient une star mondiale, elle aura les moyens de se payer moult glaces.
Tu espères qu’elle ne t’oubliera pas pour autant. Tu trouverais dommage qu’elle balaye ta personne au profit de la célébrité. Après, tu l’accepterais. Tu n’as pas le même standing que le gratin hollywoodien. Ce monde a beau être pailleté, il est à l’opposé du tien. Trop sérieux, trop pécuniaire, tu n’y as pas ta place. Tu te contentes d’être une styliste inconnue. Tu n’as pas l’ambition de traverser les frontières. Tu ne cherches pas la reconnaissance. Elle t’est tombée dessus à ton insu, à cause de, ou grâce à, cette exposition médiatique. « Tu n’imagines pas à quel point. Je crois que mon agenda est complet pour les cinq prochaines années. » Ton rire trahit ta plaisanterie. Tu as tout de même du travail pour facile cinq mois. Tu vas pouvoir te projeter dans l’avenir sereinement. Tu n’as plus à te soucier du règlement de tes factures pour un moment. Tu ne dois pas te reposer sur tes lauriers non plus. Tout comme Penny, tu te dois d’être toujours au taquet. Le relâchement est l’ennemi des artistes. Il effacerait votre fibre et vous rendrait ternes. Tu ne tiens pas à apercevoir la comédienne comme une parmi les autres. Te concernant, il est impossible que tu le deviennes. Tes teintes vives ne te quitteront jamais. Surtout celle qui trône dans tes cheveux. Tu as toujours la solution de monnayer l’autographe. Quoi qu’il est personnalisé. Hormis une femme se prénommant Rose et étant adepte des couleurs, tu as peu de chance de le vendre. De toute façon, tu n’en as pas envie. On ne vend pas un cadeau. Encore moins quand il vient du cœur. Ainsi, elle ne pourra pas vendre nous plus ton baiser. Tes lèvres sont imprimées sur sa joue. Jusqu’à ce que le pourpre disparaisse et que la pâleur de sa peau reprenne ses droits.
Tu es ravie de son acception de ta proposition. Tu te retiens de déposer un baiser sur son autre joue. Tu l’envisageras à son départ, pour ne pas faire de jaloux. « Tu n’as pas besoin de t’y connaître en mode pour donner ton avis. Je n’y connais pas grand-chose non plus. Je crée suivant mon style et j’ignore s’il colle aux tendances du moment. » Tu ne suis pas l’actualité du milieu. Tu te refuses de te faire diriger par l’actualité. Ton inspiration et ton monde sont tes seuls guides. Saupoudrés des exigences de tes clientes de temps en temps. Quand tu ne les évinces pas par omission involontaire voire volontaire. Tu lui montres ton esquisse en cours. Un compliment s’échappe de sa bouche. Cette fois-ci, ce sont tes pommettes qui deviennent écarlates. « C’est faux. Tu es pétrie de talent et de patience. Tu les utilises juste différemment. » Il n’est pas donné à tout le monde de pouvoir alterner d’un rôle à l’autre aussi facilement, de pouvoir passer du rire aux larmes à a demande. Tu ne parleras pas des heures de tournage à faire et refaire les prises jusqu’à ce que lea réalisateur.rice soit satisfait.e. Ses journées ne sont pas toutes drôles. Tu as conscience des nombreuses minutes passées devant la caméra pour la durée d’un épisode. Tu partages ce ressenti tant tu as besoin de temps pour créer une tenue. Entre le dessin, la couture et tes pauses gourmandises chocolatées, Chronos a de quoi agiter son sablier. « J’y ai pensé. Mais le mariage a lieu en janvier. En plein été, elle sera mieux en robe courte. Surtout que la cérémonie aura lieu en plein air. Je n’ai pas envie qu’elle fonde. » Tu te mets à rire. Tu raisonnes par instant avant d’agir. Pas souvent mais ça t’arrive. « Et toi, tu te vois comment le jour de ton mariage ? En robe longue ou courte ? De quelles couleurs ? » Tu pivotes ta tête. Tu la scrutes de haut en bas. A tes yeux, une robe longue aux teintes vives siérait parfaitement ses courbes même si elle cacherait ses jolies jambes.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Ça peut aller vite. Je suis prête à parier une glace que tu auras ton nom étoile à ton nom sur le Hollywood Boulevard avant tes trente ans. » Elle te fait vraiment sourire la jolie jeune femme alors qu’elle dit exactement ce que tu veux entendre, exactement ce que tu désires au plus profond de toi. Tu n’as même pas encore 25 ans, vient à peine de célébrer tes 24 années de vie il y a de ça quelques mois et pourtant, tu peux facilement te projeter dans quelques années. À 30 ans, tu espères que ton nom sera connu mondialement. Tu espères apparaître au grand écran, aussi souvent que possible. Avoir définitivement mis derrière toi tout ce qui est téléfilms et sitcoms de basse reconnues seulement en Australie. Tu veux être une des grandes qui vient de down under, une Nicole Kidman ou une Hugh Jackman des temps modernes. Tu sais que tu vises haut, peut-être trop haut même, mais la passion est là et l’ambition aussi. Tu veux y croire, mais tu n’es pas arrogante pour autant. Si tu as l’intention d’y mettre tout ce que tu possèdes, tout ce que tu es, tu restes tout de même réaliste et terre à terre. Il y a tant de choses qui peuvent se produire en 6 ans. Alors qu’elle te tend la main pour finalement sceller le pari, tu y joins la tienne en espérant sincèrement que ce soit un pari que tu vas perdre. « Deal. Quelle est ta saveur préférée, que je me fasse une note? » que tu lui dis avec un regain d’assurance et un sourire éclatant. Elle te fait vraiment du bien à l’égo, la jeune styliste. Mais ce qui te fait plaisir par dessus tout, c’est d’apprendre que l’apparence de sa robe dans ton film a fait connaître son nom assez pour bien l’occupée. Tu sais que tu n’as rien eu à voir avec la décision qui a emmené tout ça, tu n’as été que le visage utilisé, mais tu ressens tout de même une certaine fierté et surtout un très grand bien-être de savoir que tu as pu l’aider, directement ou indirectement, ça t’importe bien peu. « Tu n’imagines pas à quel point. Je crois que mon agenda est complet pour les cinq prochaines années. » Son rire résonne et tu y joins le tien. Elle est belle quand elle sourit, encore plus quand elle rit. Plus ton regard se perd sur son visage, plus elle te plaît, la fille aux cheveux roses et à la personnalité tout aussi douce. T’es contente de l’avoir reconnu et de t’être arrêter.
« Tu n’as pas besoin de t’y connaître en mode pour donner ton avis. Je n’y connais pas grand chose non plus. Je crée souvent mon style et j’ignore s’il colle aux tendances du monde. » Ça t’arrache un sourire. Ce n’est pas difficile de voir et de comprendre qu’elle fait ça parce qu’elle adore, que les règles du jeu ne l’intéresse pas plus qu’il faut. « Une rebelle. Ça prend du caractère, pour ne pas si plier à ce qui est attendu. » Tu le sais trop bien car même si tu tentes toujours de rester le plus fidèle à toi-même, c’est difficile de ne pas se modeler selon les différentes attentes du milieu. La pression est toujours haute d’ailleurs et tu tiens à garder cette réputation sans tache que tu cultives depuis plusieurs années déjà. Un seul faux-pas et tout chavire. Tu l’as vu arriver à tellement de jeunes actrices. Tu refuses d’ajouter ton nom à cette liste. « C’est faux. Tu es pétrie de talent et de patience. Tu les utilises juste différemment. » Tu tournes ton regard du livre jusqu’à elle et tu lui offres un autre sourire. Tu ne sais pas ce que tu as fait pour mériter autant de compliments, mais tu le sens qu’elle est sincère dans ce qu’elle dit, qu’elle le pense vraiment et ça vient te toucher encore plus. « Je suis certaine que je connais beaucoup de monde qui pourraient te confirmer le contraire. Du moins, pour la patience. » que tu lui dis toujours avec un rire dans la voix. Si tu es généralement patiente et perfectionniste sur les plateaux, tu es généralement le contraire dans la vie de tous les jours. « J’y ai pensé. Mais le mariage a lieu en janvier. En plein été, elle sera mieux en robe courte. Surtout que la cérémonie aura lieu en plein air. Je n’ai pas envie qu’elle fonde. » « Ah oui, la robe courte est sans doute plus appropriée alors! » Tu continues de regarder le croquis attentivement, toujours aussi impressionnée par chaque trait de crayon déposer sur le papier. Comme tu aurais aimé savoir dessiner. « Et toi, tu te vois comment le jour de ton mariage? En robe longue ou courte? De quelles couleurs? » Ton visage se tourne brusquement vers le sien alors que le question te surprend. Pas le genre de sujet que tu abordes dès les premières rencontres normalement, if ever. « Oh wow. Ça fait longtemps que je n’y ai pas pensé. » Des années sans doute, dans cette période de transition entre l’enfance et l’adolescence. Quand tu rêvais encore d’un mariage de princesse. Tu ne sais pas si tu souhaites te marier un jour. À l’instant, les relations simplistes sans engagement te conviennent parfaitement. Mais tu joues le jeu, parce que ça reste agréable à imaginer. « Je dirais longue, du genre sirène avec un décolleté en cœur. Quelque chose de classique mais avec une touche de couleur. Je ne pourrais dire laquelle. » Tu essayes d’imaginer la robe, mais tu présumes que ça lui est plus facile à elle qu’à toi de l’imaginer selon ton descriptif. « Mais ce n’est pas demain la veille que je serais prête à épouser qui que ce soit donc j’ai encore bien du temps pour y penser. » Tu n’as personne dans ta vie en ce moment. Personne depuis que vous avez décidé d’arrêter de vous voir avec Giovanni. Ça a duré quelques mois, c’était agréable, mais vous étiez tous les deux prêts à passer à autre chose, ne cherchant après tout rien de sérieux l’un auprès de l’autre. « Et toi? De grandes idées ou de grands rêves pour ta robe de mariée? »
Tu ignores tout des ambitions de Penny. Peut-être qu’elle ne voit pas aussi grande que tu ne la vois. Elle n’a pas obligatoirement envie de devenir une star mondiale. Tu la comprendrais. La célébrité n’a pas que des bons côtés. Les strass, les paillettes, les soirées mondaines, l’argent sont des points motivants. Par contre, l’exposition médiatique, les paparazzis, la difficulté à avoir une vie privée sont de sacrés freins. Tu l’imagines déjà à Hollywood alors qu’elle préfère peut-être son existence actuelle. Elle n’a pas forcément le désir de quitter l’Australie non plus. Elle y a sans doute des attaches, des ami.e.s, de la famille. Personnellement, tu ne te verrais pas vivre dans un autre pays. Tu as déjà tant souffert lors de ton départ pour Melbourne. Tu ne saurais supporter une autre séparation avec ta mère. Ton cœur n’y est pas prêt. Visiblement, ton annonce concorde avec ses projets. Elle tape dans ta main et relève ton défi en te demandant une précision. « Chocolat ! », lui réponds-tu enthousiaste. Cette saveur est de loin ta préférée. S’il était possible de se nourrir que de chocolat, tu le ferais. Malheureusement, le corps humain est mal fait à ce niveau. Il ne sait se contenter de sucre. Sauf dans tes rêves où tu as construit un monde uniquement fait de chocolat. Un véritable délice onirique que tu adores détruire en le dévorant pour mieux le reconstruire. « Note aussi que je veux de la chantilly. », complètes-tu en riant. Une glace sans crème fouettée est comme une tenue sans rose dans ses teintes : elle est terne. Du moins de ton point de vue. Après, même en l’absence de chantilly, ta gourmandise te fera manger cette glace. Tu te refuses de la laisser fondre et de la gâcher pour un caprice. Ton estomac ne te le pardonnerait pas.
Le temps de canaliser vos rires et elle s’installe à tes côtés. Tu lui indiques ta philosophie. Sa remarque te fait sourire. Jamais personne ne t’a qualifié de rebelle. Tu as pourtant eu droit à de nombreux qualificatifs. Pas toujours flatteurs d’ailleurs. Le plus beau est celui qui te qualifie d’enfant. Dans ce cas-là, tu es ravie d’être correctement identifiée. « Je ne m’estime pas rebelle. Je suis juste moi-même. Je ne sais pas faire semblant. Je ne pourrai pas être actrice comme toi. » Tu n’es pas en train de dire qu’elle est fausse. Son métier lui exige de se glisser dans des rôles. Tu te doutes bien qu’elle n’est pas Elsie ni aucun autre de ses personnages dans la réalité. Quoi que l’existence d’Elsie te passionne. Tu la verrais bien mener cette vie. Tout comme tu te verrais bien la partager en sa compagnie. Ce personnage te fascine. Il anime parfois tes songes. Tu t’es déjà imaginée te marier avec. Elsie ferait une excellente princesse à tes yeux. Par extension, tu penses que Penny également. Ce qui explique sans doute pourquoi ton cœur bat plus vite depuis qu’elle s’est assise. Et en partie la rougeur de tes pommettes qu’elle a déjà colorées via ses compliments. « Han, tu n’es donc pas parfaite ? Je suis déçue. Mais comme je ne le suis pas non plus, tu peux rester. » Tu ris de plus belle. Tu la taquines gentiment. Tu possèdes toi-même des tonnes de défauts. Comme tout le monde en fait. Tu ne cherches pas à les corriger pour autant. Ils font partie intégrante de toi. S’ils en agacent certain.e.s, d’autres les apprécient. Puis ils te sont parfois utiles. Tu penses à ta maladresse. Tu as déjà percuté une cliente dans un bar, renversant son verre sur son chemisier. Sans cette étourderie, elle ne serait probablement pas venue chez toi pour se faire prêter une robe. Et tu tais le reste par pudeur.
Tu lui montres ton esquisse. Elle valide ton idée de la tenue courte en été. Tu dévies rapidement sur ses propres envies. Tu n’essayes pas de gagner une commande. Tu n’es pas vicieuse. De toute façon, avec sa notoriété, elle sollicitera sûrement un.e styliste réputé.e pour la confection de sa robe de mariage. Tu es juste curieuse. Tu écoutes attentivement sa description. Plus elle avance et plus tu visualises le vêtement. Et pour cause, il te remémore l’une de tes créations. Tu te mets à feuilleter ton carnet. Les pages défilent, affichant par instant des croquis précis et colorés et d’autres où traits gris difformes et anarchiques règnent. Tu cherches frénétiquement. Tu es presque sûre de l’avoir réalisé dans ce bloc-notes. A l’avant-dernière page, tu tombes enfin sur ton Graal. « Un peu comme ça ? », lui demandes-tu en lui montrant ton dessin. Elle peut apercevoir une robe correspondant exactement à sa description. C’est assez troublant quand on y pense. Vos esprits semblent connectés. Est-ce un signe ? Elle est coloriée d’un bleu turquoise se dégradant du haut vers le bas. Ainsi, le pan de la robe est d’un blanc immaculé. « C’est une de mes créations personnelles. Elle est rangée dans ma penderie. A l’occasion, je te la montrerai si tu veux. Tu as juste à venir chez moi. » Tu lui souris. L’invitation est lancée. Elle connaît déjà ton adresse en plus. Ton atelier se trouve dans ton appartement. Elle y est venue pour les séances d’essayage. Elle te renvoie logiquement la question. Tu t’y étais attendue. « Je rêve toujours en grand. » Tu glousses de nouveau. Rêver dirige ta vie. Tu rêves plus que tu ne vis. Ou tu vis une vie de rêve. Tu ne sais jamais vraiment. « Plus ou moins. Une robe longue, très longue, dont le pan devra être tenu par deux enfants pour ne pas trainer par terre. Je la vois bustier, dévoilant mes épaules recouverts de ma chevelure de princesse avec des fleurs dedans… » L’image se forme dans ta tête. Tu te vois, rayonnante, apprêtée, tout de rose vêtue. « Et rose bien sûr ! », termines-tu au cas où elle ne l’aurait pas deviné.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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« Chocolat! » qu’elle s’exclame et ton sourire s’agrandit davantage sur ton visage. « Le meilleur choix. » que tu renchéris automatiquement. Après tout, tout ce qui est fait de chocolat de près ou de loin est une ligne directe à ton coeur, c’est d’ailleurs un fait qui ressort souvent sur toi dans les magazines. Allez savoir pourquoi, c’est apparemment le genre de détails que les jeunes adolescentes aiment savoir sur leurs vedettes préférées. Tu ne sais pas si c’est réaliste de dire ou de croire que la jeune femme à la chevelure rose fera toujours partie de ta vie dans toutes ces années, mais le pari te semble trop bon pour ne pas l’accepter et puis dans tous les cas, ce n’est pas comme si l’une ou l’autre perdait beaucoup à ce que le tout ne se réalise pas. « Note aussi que je veux de la chantilly. » Tu ris doucement tout en hochant de la tête. Vous semblez toutes les deux avoir le palais d’enfants de six ans, et elle, dans sa robe colorée avec sa chevelure qui brille au soleil, elle semble aussi avoir le look et le coeur d’enfant qui vient avec. Il y a quelque chose de particulier chez elle qui te donne envie de sourire juste à la regarder. « Promis, je n’oublierais pas. » Tu es une actrice après tout, la mémoire, c’est un peu ton plus grand talent. Tu es terriblement impressionnée par tout ce qu’elle te montre, les détails sont impressionnants et tu te dis que ça doit être bien joli dans son esprit, entre tout le rose et toutes les robes qui y habitent de manière permanente.
« Je ne m’estime pas rebelle. Je suis juste moi-même. Je ne sais pas faire semblant. Je ne pourrai être actrice comme toi. » C’est à ton tour de sourire légèrement à ses commentaires. Tu n’estimes pas que ton travail demande à ce que tu fasses semblant. Au contraire, tu as parfois l’impression d’être plus vraie que jamais lorsque tu te faufiles dans la peau d’un des divers personnages que tu as le plaisir de jouer. Elsie sera éternellement l’une de tes préférés d’ailleurs. Ça te fait bizarre de penser que ton temps avec elle est compter désormais. Ça aura été une très belle aventure, même si tu es prête à vivre autre chose dans les années qui viennent. C’est aussi différent, depuis le départ de Micah, ou Benjamin comme Rose doit le connaître dans la série. Elsie te semble un peu vide sans l’homme qui a fait battre son coeur pendant tant d’années. « Je ne dirais pas que je fais semblant. Chaque fois personnage que je joue devient une petite partie de moi. Les faire vivre, c’est un privilège que j’ai jour après jour. » Tu aimes tellement ce que tu fais, tu ne sais pas vraiment qui tu serais sans le jeu, sans les caméras, sans cette envie de distraire le public, une vingtaine de minutes par soir. C’est un beau métier, malgré les mauvais côtés. Tu es choyée, tu le sais. « Han, tu n’es donc pas parfaite? Je suis déçue. Mais comme je ne le suis pas non plus, tu peux rester. » Tu sens tes joues qui chauffent à nouveau, elle a vraiment le don de te gêner sans même le réaliser. Chaque compliment fait son chemin dans ta tête, tu penserais qu’elle te fait du charme et la simple idée te fait sourire et rougir davantage. « Désolée de briser tes attentes sur ma personne. » que tu dis sur un ton léger, ce fameux rire toujours dans la voix. C’est à ton tour cette fois de lui rendre les compliments. « J’ai bien du mal à croire que tu n’es pas parfaite toutefois. » Dans tous les cas, tu restes. T’as les pieds enfoncés dans le sable, le sable qui colle sur ton wetsuit et sur ta peau encore humide des vagues surfer il y a quelques minutes à peine. T’as envie de profiter de ce moment un peu plus longtemps avant de retourner à ta réalité trop occupée, tes obligations et tes responsabilités qui t’attendent comme elles le font toujours.
Vous parlez de mariage soudainement et tu tentes tant bien que mal de mettre les mots sur l’idée plus ou moins précise que tu te fais de ta robe de mariée, si tu devais un jour décidé descendre la grande allée. Elle ne dit rien et puis soudainement elle se met à tourner les pages de son grand carnet à dessin, les esquisses défilant rapidement sous tes yeux sans que tu n’aies le temps d’en apprécier pleinement la beauté. Et puis elle s’arrête finalement sur une page et te tend le carnet à nouveau et tes yeux s’agrandissent devant la robe qui est sous tes yeux. Elle est belle, encore plus belle que ce que tu t’étais imaginée, les détails exactement ceux que tu viens de donner à la jeune styliste. « Un peu comme ça? » qu’elle te demande finalement, et tu mets quelques secondes à comprendre ce qu’elle vient de te dire, ton esprit toujours occupé à analyser chaque détail de la robe. Les teintes de turquoises sont parfaites, c’est exactement la couleur que tu t’étais imaginée sans avoir été en mesure de le nommer. « C’est encore mieux que ce que j’imaginais. » que tu finis par lâcher. T’as l’impression qu’elle a vu l’image dans ta tête et qu’elle a su la transporter sur papier avant même de t’entendre le dire. Tu ne sais pas comment elle a fait. On dirait presque de la magie. Or fate. « C’est une de mes créations personnelles. Elle est rangée dans ma penderie. À l’occasion, je te la montrerai si tu veux. Tu as juste à venir chez moi. » « Avec grand plaisir. » que tu réponds sans même y penser, ton regard toujours sur la robe. Et puis tu réalises ce que tu viens de faire et tu tournes la tête vers Rose, les joues plus foncées que jamais. « Enfin, je pense pas avoir besoin d’une telle robe bientôt, mais j’adorerais la voir en personne. » Et puis, tu adorerais revoir Rose, soyons honnête. La robe, c’est une excuse plus-que-parfaite pour forcer une autre rencontre entre vous deux. « Je rêve toujours en grand. » Ça ne te surprend pas le moins du monde de l’entendre dire ça. « Plus ou moins. Une robe longue, très longue, dont le pan devra être tenu par deux enfants pour ne pas traîner par terre. Je la vois bustier, dévoilant mes épaules recouverts de ma chevelure de princesse avec des fleurs dedans.. » Ça te fait sourire. Elle y a définitivement pensé plus souvent que toi. « Et rose bien sûr! » « Tu n’aurais pas un croquis? Je suis très visuelle. » Si tu peux te faire une idée globale de la robe, ce serait encore mieux avec un dessin pour bien te la représenter. « Donc tu veux te marier je présume? Il y a un ou une chanceuse à l’horizon? » T’es pas subtile pour du tout pour lui demander si elle a quelqu’un dans sa vie. Ça fait limite trop sérieux avec le sujet du mariage sur la table, mais une fille prend ses chances là ou elle peut, non?
A travers ses propos, Penny t’indique être également être une amatrice de chocolat. Tu es ravie de l’entendre. Et ton estomac gargouille de joie. Avec ses allures d’athlète, tu as cru un instant qu’elle se privait de ce délice pour préserver sa ligne. Son métier lui impose sûrement une diététique équilibrée. Il serait probablement mal vue de voire Elsie avec dix kilos de plus à l’écran. Le réalisateur de la série et la plupart des téléspectateur.rice.s seraient déçus de perdre l’image svelte de leur héroïne favorite. Toi, tu t’en moques. Le physique n’a jamais été ton critère principal dans l’appréciation d’une personne. Les courbes arrondies ne t’effraient pas. Tu dirais même qu’elles sont délicieuses à caresser. Le sourire est ce que tu recherches chez les gens. Celui de la blonde est merveilleux. Aussi rayonnant que celui de son personnage. A la différence notable qu’elle n’est pas dans son rôle en ce moment. Ce qui rend son sourire d’autant plus beau et sincère. Au point qu’il se fige dans ton cœur. Tu ne serais malgré tout pas étonnée d’apprendre qu’elle est suivie par une nutritionniste. Si son jeu d’actrice est primordial dans sa réussite, son corps n’y est pas étranger non plus. Son image est importante pour pourvoir s’identifier à elle. Ceci explique sans doute sa tenue du jour et la présence de sa planche de surf. Le sport autorise les excès. Il permet de les éliminer au prix de quelques efforts et de sueur. Tu n’es pas sportive. Tu ne te prives pas pour autant. Depuis ta sortie de l’anorexie, tu as même un bon coup de fourchette. Tu peux remercier ton métabolisme. Tu ne stockes ni le sucre ni le gras. Tu restes tout de même raisonnable et le bichonne. Tu ne manges pas plus de deux cookies par jour. Et tu marches beaucoup. Mine de rien, tu en dépenses de l’énergie via cette activité. Surtout avec ta capacité à te tromper de direction. Tu fais de nombreux kilomètres non prévus. Heureusement que tu as de bons pieds et de bonnes chaussures.
Tu l’écoutes attentivement te donner son point de vue sur son travail. Dans son ton, tu ressens tout le plaisir qu’elle prend à le faire. Sa voix reflète sa passion. Il ne fait aucun doute qu’elle fait un métier qu’elle aime. C’était de toute façon prévisible. Sans amour pour sa profession, elle ne serait pas aussi douée. Le talent seul ne suffit pas. Sans l’envie, il est impossible de l’exprimer pleinement. « Tu as bien de la chance. Je te souhaite de continuer à en faire vivre encore de nombreux. Moi, je me contente déjà de me faire vivre moi-même. Et je t’assure que ce n’est pas tous les jours de tout repos. » Tu éclates de rire. Il n’est facile de jongler avec tes diverses personnalités. Entre l’enfant joueur, l’artiste styliste, l’addict au chocolat goinfre, la cohabitation n’est pas toujours évidente. Souvent, tu satisfais tout le monde en même temps pour avoir la paix. Voilà comment tu en arrives à manger une tablette de chocolat tout en dessinant avec tes doigts tâchés de temps en temps. Tes mêmes doigts qui aimeraient bien effleurer ses pommettes colorées de rouge. Le rouge va magnifiquement à ses joues. Tu notes de continuer de la complimenter pour qu’elles conservent cette teinte même si ce n’est pas très gentil de profiter de ses expressions. D’un côté, elle ne l’est pas non plus. Ses répliques sont tout aussi adorables et rosissent ton visage. « Personne n’est parfait. » Cette généralité ne te ressemble pas. Tu n’aimes pas ces phrases toutes faites qui rangent les gens dans des cases. Tu admets que ce proverbe est réel. Même la perfection est imparfaite. « Sauf Elsie. », complètes-tu en lui lançant un clin d’œil. Tu ne lui trouves aucun défaut. Elle est la femme idéale à tes yeux. Elle ferait une jolie princesse dans ton existence. Malheureusement, il est impossible de se marier avec un personnage fictif. Tu devras poursuivre ta quête avant de te rendre à la mairie. Tu n’as pas encore rencontré celle capable de vivre avec un enfant déguisé en adulte.
A discuter avec Penny, tu ne nieras pas que tu te projettes un peu. Votre entente est bonne, elle est belle et elle semble apprécier ta présence étant donné qu’elle t’a abordée. Les signes sont encourageants. Ou juste un amas de coïncidences et tu te fais des idées. Tu lui montres ta création. Ses yeux brillent davantage à sa découverte. Et les tiens pétillent à l’acceptation de ton invitation. Tu vas donc la revoir. Et pas habillée de cette combinaison. Tu feras des biscuits pour l’occasion. Tu ne précises pas leur saveur. Il n’en existe aucune en dehors du chocolat. Tu ne peux être que joie. Doublement joie même comme en témoigne tes sautillements sur le banc. « Et pourquoi donc ? C’est une robe que tu peux porter tous les jours. Je l’ai mise pas plus tard que la semaine dernière pour aller faire mes courses au supermarché. » Elle n’a pas besoin d’un mariage pour l’enfiler. Du moins de ton point de vue. Tu es coutumière des tenues colorées extravagantes. Elle est plus classique. Plus mouton noyé dans la masse. Tu ne lui en veux pas. Son image dicte sa popularité. Puis elle le droit de vouloir être discrète afin de ne pas se faire alpaguer dans la rue tous les deux mètres. Tu lui décris ta robe de mariée imagée. Si tu la visualises parfaitement dans ton esprit, elle a plus de difficulté. « Seulement dans ma tête. Tu peux essayer d’y entrer par mon oreille si tu veux. Mais si tu le fais, vas-y en douceur, je suis chatouilleuse. » Ton rire résonne plus fort dans l’air. Tu es de bonne humeur. Tu te sens bien en sa compagnie. Tu hoches la tête positivement une fois calmée. « Oui je veux me marier. Et oui, il y a une chanceuse à l’horizon : la vie. » Un rictus orne tes lèvres. La blonde risque de ne pas comprendre tes paroles malgré ton sérieux. Elle ignore par quoi tu es passée avant de revenir à Brisbane. Depuis tes déboires, tu as appris à aimer la vie avant tout. « Sinon, personne. Tu veux te porter volontaire ? », lui demandes-tu en battant des cils, tes prunelles plantées dans les siennes, la bouche en cœur. Si ton ton se veut plaisantin, tu admets qu’il y a une part de désir dans ton interrogation.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Tu as bien de la chance. Je te souhaite de continuer à en faire vivre encore de nombreux. Moi, je me contente déjà de me faire vivre moi-même. Et je t’assure que ce n’est pas tous les jours de tout repos. » Tu ris avec elle. Ça te semble tellement naturel comme moment. Comme si tu la connaissais depuis bien plus longtemps alors qu’en réalité, vous n’avez jamais vraiment eu l’occasion d’échanger de cette façon avant aujourd’hui. Elle a une personnalité qui pique ta curiosité, un look qui attire ton regard et une envie soudaine de la connaître un peu mieux, la jeune femme. « Oh tu sais, il est bien plus simple pour moi de faire vivre tous ses beaux personnages que de m’endurer le trois-quart du temps, donc je te comprends. » C’est bien vrai après tout, quand tu te glisses dans la peau d’un personnage, Elsie majoritairement depuis quelques années, tu parviens à oublier tout de ton quotidien à toi. Il n’y a qu’Elsie et ses embrouilles, son coeur géant et son histoire d’amour rocambolesque avec Benjamin qui s’est terminé en un départ de ce dernier pour l’armée, un classique de la télévision. De ton côté, tu préférais autant que possible oublier ton histoire avec Micah, cette dernière se terminant en dent de scie sans conclusion vraiment satisfaisante vu son départ pour les États-Unis. Tu continues d’offrir à Rose tes plus beaux sourires, des compliments alors que ton bras touche parfois le sien alors que vous êtes assises l’une à côté de l’autre. « Personne n’est parfait. Sauf Elsie. » Son clin d’oeil te fait rougir davantage. De ton côté, tu la trouves tellement loin d’être parfaite Elsie, avec toute son indécision et sa naïveté, parfois même sa bonté qui semble légèrement over the top alors qu’elle continue de mettre les besoins de tout le monde avant les siens. Toutefois, tu ne viens pas contredire la jeune styliste. « Je m’occupe de lui passer le message. » que tu dis sur un ton plaisantant.
Devant la magnifique robe de mariée, tu ne peux t’empêcher d’imaginer de quoi elle aurait l’air si c’est toi qui en était vêtue. Ta peur de l’engagement risque de faire tarder le même ou tu enfileras finalement une robe de la sorte, mais ça n’a jamais tué personne de rêvasser, pas vrai? « Et pourquoi donc? C’est une robe que tu peux porter tous les jours. Je l’ai mise pas plus tard que la semaine dernière pour aller faire mes courses au supermarché. » « T’es sérieuse? » Tu demandes même si tu te doutes bien de la réponse. Évidemment qu’elle est sérieuse et tu peux parfaitement l’imaginer avec sa traîne relever à se balader dans l’épicerie ne se souciant pas le moins du monde des regards qui se tournent vers elle. Elle dit qu’elle n’est pas rebelle, mais t’es pas d’accord du tout, et ça te plaît encore plus. « Si je me promène tout bonnement habillée d’une robe de mariée, tu peux être certaine de voir mon visage sur tous les magazines people avec des rumeurs prétendant que je suis en couple avec n’importe lequel des hommes avec qui j’ai été vu ou avec qui j’ai travaillé dans les cinq dernières années. » Rien de moins et honnêtement, tu préfères ne même pas penser au bordel que ce serait. Alors tu lui laisses le plaisir de s’accoutrer de toutes ses belles créations et tu vas te contenter de regarder de loin, ou de plus près si tu vas vraiment chez elle pour voir tout ce qui se cache dans son garde-robe. Elle te parle de sa robe de mariée de rêve et tu es légèrement déçue d’apprendre qu’elle ne possède pas de croquis de son idée, bien que tu ne laisses rien paraître sur ton visage. « Seulement dans ma tête. Tu peux essayer d’y entrer par mon oreille si tu veux. Mais si tu le fais, vas-y en douceur, je suis chatouilleuse. » « Je suis petite, ça devrait le faire sans trop de problème. » Tu ris de plus belle, son imagination est débordante et elle te donne vraiment des vibes de petite fille vivant sur son nuage. Tout a l’air beau et bon autour d’elle, c’est réconfortant, c’est confortable, c’est vraiment rose. « Oui je veux me marier. Et oui, il y a une chanceuse à l’horizon : la vie. » Tu souris à sa réponse. Elle n’est vraiment pas comme toutes les autres filles que tu connais, tellement loin de celles que tu fréquentes normalement, mais c’est là la beauté du hasard et des rencontres qui donnent des petits papillons au moment les plus inattendus. « Sinon, personne. Tu veux te porter volontaire? » « Je ne fais pas dans l’engagement à long terme. » que tu avoues de bout en blanc. Tu ne perds pas ton sourire toutefois devant la proposition très claire de la jeune femme. Elle te surprend légèrement oui, mais tu ne montres pas qu’elle t’a désarçonné. Tu joues le jeu, ton regard toujours plonger dans le sien alors que la distance entre vous est minime. « Je ne peux pas me proposer pour le mariage, mais j’ai une contre-offre à te faire. » Tu espères qu’elle va jouer le jeu. « Une sortie. Ce weekend, le restaurant de ton choix. » Qui a dit que la courtoisie c’était seulement une affaire d’hommes?
Tu es ravie de découvrir qui se cache derrière Elsie. Penny est une actrice accessible, qui n’a pas pris la grosse tête, qui profite de la vie et qui exprime sa joie de vivre via son rire si communicatif. Quiconque vous croiserait sur ce banc pourrait facilement voir deux amies tant les éclats résonnent de toutes parts. Elle n’était pas aussi souriante lors de vos entretiens. La présence quasi permanente du réalisateur pour donner son avis a dû y être pour quelque chose. Il n’était guère sympathique ce quinquagénaire au ventre bedonnant et à la chevelure poivre et sel qui commençait à se faire la male de son crâne. Si l’actrice n’avait pas été cette blonde, tu aurais sûrement refusé ce contrat. « Je suis sûre que tu es facile à vivre. Une femme souriante ne peut que l’être. » Tu continues de la complimenter. Tu n’arrives pas à lui trouver des défauts. Le fait de ne pas la connaître réellement joue un rôle dans ta vision. Mais la première impression est plutôt bonne. Penny t’est agréable. Elle l’était déjà de visu, avec ses courbes élancées et sa bouille angélique. Désormais, elle l’est davantage avec son caractère relâché et son humour. « Tu as déjà pensé à incarner des personnages moins beaux ? Je ne veux pas dire moches, tu ne pourrais pas avec ta beauté. Je veux dire des personnages plus dramatiques ? Plus méchants ? » Tu as du mal à l’imaginer dans un tel rôle. Tu demandes par curiosité. Souvent, les rôles à contre-courant des habitudes des comédien.ne.s donnent des rendus magnifiques. Tu visualises un acteur, dont tu as encore perdu le nom, réputé pour ses rôles comiques. Dans son dernier film, il est dans la peau d’un tueur en série. Son jeu est superbe. Tellement que tu as mis tes mains devant tes yeux après quinze minutes dans le cinéma tant tu as eu peur. Et tu ne les as retirées qu’au générique final.
En y réfléchissant, tu ne tiens pas à voir Penny de la sorte. Tu préfères conserver l’image de sa personne rattachée à celle d’Elsie. Ou tu préfères encore projeter sa silhouette dans tes robes colorées. « Tu peux demander à l’agent de sécurité si tu ne me crois pas. Il a cru que c’était pour un enterrement de vie de jeune fille. Tu aurais vu sa tête quand je lui ai dit que non et que je n’avais pas perdu un pari non plus, tu aurais bien ri. » Tu reprends ton fou rire. Il était décomposé dans sa tenue tirée à quatre épingles. Tu as remarqué qu’il n’était pas content de ton accoutrement. Lui, il a perdu toute partie de son âme d’enfant pour sûr. « Oh mais ce serait super ! Je préfère voir cent fois voir ton visage en couverture que celui de n’importe qui d’autre ! » Ton enthousiasme trahit ta sincérité. Pas branchée presse à scandale ni presse tout court, tu achètes néanmoins tout journal, tout magazine, toute revue où tu aperçois la face de cette charmante blondinette ou son nom. Tu ne lis même pas les articles la concernant. Tu ne t’intéresses qu’aux photos. Tu adores l’admirer. Tu n’en es tout de même pas au point de découper les pages et d’encadrer les clichés. Tu n’en découpes que certains que tu ranges dans un tiroir. Tu es une fan raisonnable. A tes yeux en tous cas. Peut-être qu’elle te prendrait pour une folle si elle savait cela. Ou peut-être qu’elle trouverait que cela colle avec ta personnalité juvénile comme en témoigne tes derniers propos plaisantins. Elle ne te fuit toujours pas. Elle rentre même dans ton jeu. Vos rires s’unissent et résonnent aisément jusqu’à la plage. « Tout ce qui est petite est mignonne. », complètes-tu en effleurant légèrement son bras. Tu as féminisé le fameux proverbe. Tu lui offres un énième compliment déguisé. Tu tentes malicieusement de rougir un peu plus ses joues.
Tu avances un pion plus grossièrement. Qu’elle folie t’est passée par la tête ? Il était évident qu’elle allait te rembarrer. Pourquoi s’embêterait-elle avec une fille comme toi quand le gratin australien voire hollywoodien lui tend les bras. Elle doit avoir des centaines de prététendant.e.s. Chaque admirateur.rice est un.e prétendant.e en puissance. Une moue balaye ton radieux sourire. Bien que prévisible, ses mots te blessent. Ils viennent de percer les ballons qui maintenaient ton nuage utopique en suspension. Et ils laissent place à une chute. Tombant en direction du sol, Penny te tend un parachute inattendu. Il ne t’en faut pas plus pour retrouver le sourire. Tes mirettes pétillent de bonheur. Sans prononcer un mot, leur lueur trahit ton acceptation. Tu aurais tout accepté pour passer un autre moment en sa compagnie. D’autant plus au restaurant. Ton estomac est on ne peut plus ravi. Il s’imagine déjà se goinfrer des délicieux plats du Burrow. Et il a raison. Tu vas l’emmener là-bas. « On ira au Burrow. Je me charge de réserver une table pour 21h samedi soir. On se retrouve directement sur place ? Ou tu veux que l’une de nous deux passe chercher l’autre ? Oh je sais ! Et si tu passais chez moi pour 20h ? Comme ça je te montre la robe turquoise et je te la fais essayer. » Tu as dégainé ton sourire charmeur. Tu espères la convaincre avec cet argument de poids. « Tu pourras même la porter au restaurant si elle te va. » Si elle le veut, bien sûr. Généreuse, tu lui prêtes avec plaisir si elle le souhaite. Tu en doutes fortement étant donné ses paroles précédentes. D’un côté, ce serait drôle. Tu l’imagines faire la une des magazines le lendemain, dans cette robe de princesse, au bras d’une demoiselle aux cheveux roses. Les rumeurs iraient bon train sur votre relation. Relation qui n’est rien hormis un début de lien amical, n’est-ce pas ? « Je t’aurai bien proposé l’essayage après le diner mais avec ce qu’on va s’engloutir, tu ne seras plus apte à rentrer dedans ! » Tu réclates de rire pour la énième fois. Les repas de l’établissement sont copieux. Même le plus petit menu suggère un bon appétit. Tu as mal à ta mâchoire à force d’exercer tes zygomatiques. Cependant, tu ne comptes pas arrêter de les torturer. C’est un mal qui fait du bien. Surtout quand il est partagé en aussi bonne compagnie.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Je suis certaine que tu es facile à vivre. Une femme souriante ne peut que l’être. » Oh Rose. Ne fais pas l’erreur de te baser seulement sur ce que je dégage. Les apparences sont si souvent trompeuses. Tu ne considérais pas que tu étais une fille particulièrement difficile à vivre, mais tu avais définitivement un caractère bien trempé et tu n’avais pas l’habitude de te laisser marcher sur les pieds. Tu aimais dire tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas et tu n’hésitais pas à faire comprendre qu’une situation ne te plaisait pas lorsque cela arrivait. Mais en contre-partie, tu avais aussi l’habitude d’être une fille solaire, sociable, toujours prête à donner un coup de main à quiconque, le sourire sur les lèvres et ça n’avait pas l’habitude de laisser les autres indifférents. Tu pouvais le voir une fois de plus dans la manière que Rose avait à parler de toi alors qu’elle te connaissait si peu, ou plutôt qu’elle te connaissait majoritairement sous la peau de quelqu’un d’autre, un personnage qui de toute évidence ne laissait pas la jeune femme aux cheveux colorés indifférente. Et de ça, tu allais jouer légèrement, parce qu’elle te plaisait bien à toi aussi, la fille assise tout près qui sent bon le ciel. « Tu as déjà pensé à incarner des personnages moins beaux? Je ne veux pas dire moches, tu ne pourrais pas avec ta beauté. Je veux dire des personnages plus dramatiques? Plus méchants? » Tu hoches légèrement la tête alors qu’un petit rire siffle entre tes lèvres. Évidemment que c’est ton rêve de jouer des personnages avec un peu plus de substances, surtout que tu as l’impression qu’Elsie a perdu un peu de sa personnalité depuis que le personnage de Benjamin ne fait plus partie de sa vie. Le départ de Micah avait laissé un trou dans ta vie, autant professionnellement que personnellement, même si tu t’entêtais à dire le contraire sur les deux parties. « Je pense qu’en ce moment, mon physique m’oblige à jouer des personnages plus jeune que je ne le suis. Et puis bon, je crois qu’Elsie me colle à la peau et qu’on peine à me croire capable de quelque chose de plus profond. » Mais tu en étais capable et un jour, ta chance de le montrer viendrait. Tu ne perdais pas espoir là-dessus.
« Tu peux demander à l’agent de sécurité si tu ne me crois pas. Il a cru que c’était pour un enterrement de vie de jeune fille. Tu aurais vu sa tête quand je lui ai dit que non et que je n’avais pas perdu un pari non plus, tu aurais bien ri. » Tu éclates de rire sur le moment, tu as beau ne pas connaître beaucoup cette fille extravagante à tes côtés, tu ne doutes pas une seule seconde de la véracité de ses propos. « Ne t’inquiète pas, je te crois. » que tu parviens à dire entre deux rires, hochant la tête doucement alors que tu tentes tout de même de t’imaginer la scène. T’aurais bien aimé voir ça en effet. « Oh mais ce serait super! Je préfère voir cent fois ton visage en couverture que celui de n’importe qui d’autre. » « Et moi je préfère que tu le vois en vrai plutôt que sur un magazine. » Tu tournes légèrement ton regard pour croiser celui de Rose, un sourire non-équivoque habitant désormais tes lèvres alors que tu gagnes en assurance au fil que la discussion se joue entre vous. « Et puis, ma mission est un peu d’éviter les cover de magazine People, faudrait pas que tu essayes de me nuire. » que tu ajoutes toujours sur le ton de la plaisanterie, ne lâchant pas ses yeux du regard. « Tout ce qui est petite est mignonne. » Les compliments partent d’un côté comme de l’autre avec une aisance hallucinante et tu te contentes de lui répondre avec ton sourire toujours aussi charmeur.
Elle semble légèrement blessée lorsque tu lui fais comprendre que tu ne fais pas dans l’engagement à long terme. Peut-être aurais-tu dû voir là une raison de ne pas faire ce que tu fais tout de même en lui proposant de sortir ensemble. Tu as envie de passer du bon temps avec elle, tu apprécies sa présence, tu l’as trouve belle et tu n’as pas envie de te priver des petits plaisirs de la vie. Tu espères seulement qu’elle sait et comprend ce que tu essayais de lui dire juste avant. « On ira au Burrow. Je me charge de réserver une table pour 21h samedi soir. On se retrouve directement sur place? Ou tu veux que l’une de nous deux passe chercher l’autre? Oh je sais! Si tu passais chez moi pour 20h? Comme ça je te fais essayer la robe turquoise et je te la fais essayer. » Tu souris tendrement à son idée, mais tu as peur que si elle te voit dans une robe si élégante et au double-sens prononcée, elle se fasse davantage d’idées. « Tu pourras même la porter au restaurant si elle te va. » Oh la la. « C’est une offre vraiment généreuse, mais je crois que ça ferait beaucoup trop jaser. J’essaye de me faire discrète en sortie. » Et c’est le contraire même de ce que Rose est, évidemment. « Je vote plutôt pour qu’on se rejoigne au restaurant à 21h. Le Burrow, c’est parfait. » Tu lui lances un autre sourire charmeur alors que tu sens ton téléphone qui vibre dans ton sac. Un simple coup d’oeil te permet de réaliser que tu es sur le point d’être en retard sur le plateau si tu ne te grouilles pas. « Je t’aurai bien proposé l’essayage après le dîner, mais avec ce qu’on va s’engloutir, tu ne seras plus apte à rentrer dedans. » Et elle continue de rire de ce rire enfantin qui te plaît tant, mais tu sais que tu ne peux rester plus longtemps. « Je suis vraiment désolée, mais je dois filer. Le travail m’appelle. » que tu dis rapidement en lui montrant ton téléphone. « Oh tiens, donne-moi ton numéro et je te confirme le tout pour samedi soir, ça te va? » Tu lui tends l’appareil, tu espères qu’elle ne va pas penser que tu te sauves comme une voleuse alors que la vérité est que tu as vraiment très hâte à samedi soir soudainement.
Ton jugement est biaisé. Tu raccroches trop Penny à Elsie. Tu as des difficultés à détacher les deux entités. Comment t‘en vouloir ? Son sourire est aussi radieux que celui de son personnage. En réalité, il l’est même davantage. Tu en ressens toute la sincérité. Elle n’essaye pas te séduire via un sourire de façade. Tu n’es pas réalisatrice. Elle n’a pas à essayer de se vendre pour un rôle. Tu n’as rien à lui offrir. Si ce n’est de larges sourires en retour. C’est peut-être ce qu’elle cherche à obtenir. Tu es belle quand tu souris. Tout le monde est beau quand il sourit. Sauf quand les gens se forcent. Dans ce cas, ils grimacent. Ton faciès est franc. Tes rires cristallins le prouvent. Tu exprimes ta joie de vivre autant que celle de partager un moment avec la comédienne. Tu es bien à ses côtés. La blonde est une sorte de soleil humain. Ses rayons illuminent ta journée. Et également ton cœur. Tu es si heureuse de son accessibilité. Tu risques de vanter ses qualités auprès de tes ami.e.s. Tu penses à ta mère, fan également d’Elsie. Vous n’avez pas fini de faire ses éloges. Et tu n’oses imaginer sa tête lorsque tu vas lui montrer l’autographe. Elle risque d’afficher une bouille méchante, d’une véritable vilaine limite jalouse. Elle retrouvera rapidement le sourire face à sa princesse. Celui de Penny ne l’a pas quittée. Tu as même l’impression qu’il s’amplifie au fil du temps. Encore dix minutes à bavarder et sa mâchoire se décrochera. Ce sera embêtant pour son métier. Surtout pour interpréter Elsie. Pourtant, tu n’es pas décidée à diminuer d’un iota l’écartement de ses lèvres. Bien au contraire. « Je peux t’aider à la décoller de ta peau. », que tu lui proposes en riant. Tu accompagnes tes mots d’un effleurement de son bras. Tu frottes dessus, faisant mine d’essayer de lui retirer une pellicule épidermique. La douceur de tes gestes trahit ta malice et ton opportunisme. Elle s’en été probablement doutée dès ton annonce teintée de premier degré.
Évidemment, tu n’as rien décollé du tout hormis quelques gouttes d’eau, résidus de son passage dans l’océan. Tu as pu profiter du grain lisse de sa peau. Si un paparazzi se trouve dans les environs, il a eu de quoi prendre des clichés tendancieux. Tu le sauras demain, en fonction de la couverture des magazines people. Tu espères ne pas lui avoir créé des ennuis tout de même. Tu t’en voudrais terriblement. Ce sera un coup à lui passer l’envie de te voir. Pire, elle pourrait te détester et te rendre pour responsable de son exposition médiatique. « Moi aussi je préfère te voir en vrai. Tu es plus belle en vraie qu’en photo. » C’est toujours le cas. Tu n’aimes pas les clichés. Tu les trouves trop figés. Tu ne comprends pas l’intérêt d’emprisonner un instant vivant dans un cadre. Ceci explique ton désamour des selfies. Et peut-être aussi ton habitude à oublier ton téléphone. Ton étourderie ne peut pas endosser tous les tords. « Jamais je ne ferai quelque chose pour te nuire. », lui précises-tu en posant ta main sur sa cuisse malgré le ton plaisantin de ses propos. Ton regard appuie tes paroles. Ta façon de la regarder, vos façons de vous regarder, témoignent d’une appréciation mutuelle. Tu retires ta paume rassurante. Tu te montres bien tactile à son égard. Ce n’est pas totalement anodin. Le courant passe bien entre vous. Ton monde coloré semble lui plaire. Elle parait vouloir y entrer. Avec de tels sourires, tu lui en ouvres grand les portes. Tu ne comptes pas les refermer à cause de son refus d’être ta prétendante. Tu n’étais pas sérieuse dans tes propos. Après, tu ne nieras pas qu’une partie de toi y a un cru un peu. L’actrice est une jolie femme. Tu n’as aucun mal à la projeter en princesse de ta vie. Tu es prête à te contenter d’un rôle de princesse d’un soir. Le restaurant est parfait pour cela. Puis, rien ne dit que son rôle n’évoluera pas. Après tout, Elsie n’est plus la même que depuis l’épisode pilote. Alors l’espoir est permis.
Tu glousses en l’entendant. Vouloir être discrète et sortir en ta compagnie sont deux notions opposées. Tu ne cherches pas à te faire remarquer non plus. Les couleurs de tes cheveux et de tes tenues ne sont pas faites pour attirer l’attention. Elles ne reflètent que ton état d’esprit. Tu es déçue mais tu comprends sa décision. Elle concorde avec son évitement de la presse. Il ne sera déjà pas forcément simple d’être tranquille au Burrow si on la reconnaît, il n’est nul besoin de la revêtir de cette robe turquoise. C’est même préférable. Tu souhaites passer une soirée en tête-à-tête sans vous faire déranger pour une demande d’autographe et / ou de selfie toutes les cinq minutes. Le mieux aurait été de réaliser chez diner chez toi. Le Burrow peut livrer. Tu n’as pas osé lui faire cette contre-proposition. Elle aurait pu mal l’interpréter. « D’accord. Ne sois pas en retard sinon tu auras un gage. » Tu pouffes. Lui faire cette remarque alors que tu n’es pas ponctuelle toi-même. Tu ne manques pas de culot. Tu feras un effort pour cette occasion. Il est hors de question qu’elle puisse croire que tu lui as posé un lapin. Tu sors ton téléphone de ton sac. Avant d’oublier, tu programmes déjà une alarme pour samedi. Te connaissant, tu la notes pour 20h. Avec une heure de marge, tu devrais t’en sortir. Tu saisis son portable par la suite. Tu savais que le moment de la séparation arriverait. Tu aurais aimé prolongé votre rencontre. Tu entres ton numéro que tu inscris sous Rose avec un cœur rosé pour ponctuer ton prénom. Tu lui rends son smartphone. Avant qu’elle ne l’attrape, tu rétractes ton bras. « Pas de téléphone samedi soir. » Tu prends ton air le plus déterminé. Elle se doit de déconnecter et de profiter pleinement de votre soirée. Tu lui rends pour de bon son téléphone. Tu déposes un baiser sur la joue qui n’en a pas eue précédemment. « J’attends de tes nouvelles. » Ton sourire est le plus large que le permet ta morphologie. Tu n’as jamais été aussi pressée de vieillir de ces quelques jours qui te séparent de votre rendez-vous. Tu comptes déjà les minutes. Plutôt les secondes.
(c) DΛNDELION
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Il y a des rencontres qui se font avec un tel naturel que c’est facile d’oublier que tu ne connais pas beaucoup la personne à côté de toi et qu’elle ne te connaît pas vraiment non plus. Du moins, elle ne connaît pas la vraie personne qui se cache derrière ce rôle qu’elle semble tant apprécier alors que les compliments de Rose à l’égard d’Elsie s’accumulent sans aucune gêne, bien qu’elle semble en mesure de faire la distinction entre le personnage et l’actrice. Tu te doutes parfois que son affection à ton égard est teinté de l’affection qu’elle éprouve pour l’un de ses personnes préférés, c’est souvent ainsi que ça débute même si tu ne doutes pas qu’elle pourrait éventuellement éprouver une affection complète pour toi, sans l’influence d’une Elsie qui peut être similaire en certains points avec ta personnalité, mais qui reste complètement différente. Tu lui racontes comment tu as l’impression que le personnage d’Elsie te colle à la peau et tu as parfois l’impression que cela te limite dans les rôles que l’on t’offre. Tu voudrais faire plus grand, plus complexe, plus demandant et tu espères sincèrement que cela viendra avec le temps. Tu ne souhaites pas être le genre d’actrice qui se retrouve à jouer le même genre de rôles toute sa carrière. Tu veux de la variété, tu veux des défis, tu veux te glisser dans la peau de personnages que tu ne comprends pas au départ mais qui prennent tout leur sens avec le temps. « Je peux t’aider à la décoller de ta peau. » qu’elle t’offre sur un ton toujours aussi joueur, ses doigts sur ton bras encore humide alors qu’elle prétend enlever une pellicule invisible de sur ta peau et le contact t’amuse alors qu’elle ose de plus en plus être tactile avec toi. « J’espère que t’es patiente, elle est bien ancrée. » que tu ajoutes sur un ton qui tire tout autant sur la plaisanterie. C’est simple avec Rose, dans son monde bonbon ou tout sembles léger et enfantin. Ça te fait du bien, comme si c’était exactement ce dont tu avais besoin en ce moment.
« Moi aussi je préfère te voir en vrai. Tu es plus belle en vraie qu’en photo. » Ton sourire s’étire d’avantage face à cet énième compliment et tu voudrais pouvoir rester dans ce moment de simplicité partager avec elle, même si tu le sais que l’horloge tourne et que bientôt, tes obligations te rappelleront à l’ordre. « Jamais je ne ferai quelque chose pour te nuire. » Et tu l’as crois alors qu’elle vient poser sa main sur ta cuisse dans un geste qui se veut aussi provocateur qu’il ne semble naturel venant d’elle. « Je l’apprécie. » que tu souffles alors que tes yeux sont toujours perdus dans les siens et tu profites de chaque seconde qui file. Le rendez-vous est proposé et si tu rejettes quelques unes des propositions de la jeune femme, elle ne semble pas trop le prendre à coeur, comprend certainement que tu ne peux pas te permettre de faire retourner les têtes comme quelqu’un qui vit d’un parfait anonymat médiatique. Tu ne peux pas faire comme elle et aller faire ton marché en robe de mariée simplement parce que l’envie te passe. Tu dois trop souvent prévoir tes déplacements et tes sorties à l’avance, les imprévus et la spontanéité étant la meilleure manière de te faire voir et de ne pas être préparer à toute éventualité. Ça te pèse trop souvent, cet aspect de ton métier et de ta célébrité à laquelle tu t’habitues encore, mais tu fais ton possible pour que cela ne t’empêche pas de vivre et de profiter des moments simples de la vie, comme de partager un repas dans un bon restaurant avec une fille qui te plaît. « D’accord. Ne sois pas en retard sinon tu auras un gage. » Tu souris de plus belle alors que tu te lèves, prête à quitter finalement ce moment qui aura certainement mis un baume sur ta journée, même sur ta semaine en entier. Tu lui tends ton téléphone pour qu’elle te donne son numéro et au moment ou tu viens pour le reprendre, elle le ramène vers elle pour quelques secondes. « Pas de téléphone samedi soir. » Tu échappes un petit rire. « Pas de retard et pas de téléphone, promis. » Tu reprends ton smartphone, replace ton sac contre ton épaule, attrape ta planche de surf et lui offre un dernier sourire. « J’attends de tes nouvelles. » « Bonne journée Rose. » Et juste comme ça, tu disparais au travers des gens qui sont sur la plage en ce doux matin, tes pas qui te dirigent vers ta voiture, sachant que tu allais devoir courir toute la journée pour rattraper le retard de ce petit arrêt spontanée. Mais ça en vaudrait certainement la peine.