| Isn't hate a certain form of love ? [Jo&Archie] |
| | (#)Dim 13 Déc 2020 - 23:52 | |
| Il avait fait une promesse en étant bourré et il était obligé de la respecter. Il n’aurait probablement pas dû refiler son numéro de téléphone à cette jeune femme qui s’est posée près de lui juste avant qu’il ne quitte le bar. Le whisky lui montait aux yeux, teintait ses iris, et sa cervelle noyée sous l’alcool l’a empêché de réfléchir avant de promettre à cette étrangère de l’amener au restaurant pour parler affaire – du moins, elle a prétendu être une entrepreneure et il n’a pas inspecté trop longtemps son regard pour s’assurer qu’elle ne mentait pas. À vrai dire, elle n’avait pas l’apparence d’une fille qui s’intéresse à la vie d’entreprise ; elle ressemblait plutôt à toutes ces jeunes femmes qui fêtent et qui boivent dans l’espoir de passer un bon moment et de peut-être tout oublier.
Mais sa parole vaut de l’or, à Archie, parce qu’il ne peut pas se permettre de faire mauvaise impression dans le milieu qu’il se trouve. Il est trop haut placé, la chute serait brutale. Si l’inconnue est réellement là pour créer sa marque et recevoir des fonds, il est de son devoir de l’écouter et de faire semblant d’être intéressé avant de refuser de l’aider pour telle ou telle raison. Rares sont les personnes qui arrivent à le charmer, l’entrepreneur, et il sert la main de potentiels clients seulement lorsqu’il est certain de faire une excellente affaire. Il est né avec des billets verts dans les mains, il ne changera pas de sitôt.
« Bonsoir Archie ! » Proprement vêtu de ses habits chics, la cravate bien nouée autour du cou, l’interpelé fronce les sourcils tandis que sa compagne le rejoint à l’entrée du restaurant. Elle l’appelle par son prénom : voilà un choix qui l’ébranle partiellement. Mais il ne laisse rien paraître en la saluant en retour, posant ses lèvres sur sa joue, une main au creux de ses reins. « Je ne connais toujours pas votre nom. » Il murmure, se séparant d’elle pour observer les traits de son visage. Elle est souriante, les yeux brillants, mais quelque chose cloche dans toute cette histoire. Ce ne serait pas la première fois qu’il tomberait dans ce genre de piège. « Appelle-moi Amélia. » Elle le tutoie. Ses lèvres se pincent et il hausse un sourcil. « Amélia. » Il répète, curieux de constater qu’elle n’a pas l’intention de se présenter entièrement. Un comportement atypique chez les personnes qui veulent que leur identité et leur marque soit connu du public. « Très bien. » Il souffle entre ses dents avant d’ouvrir la porte du restaurant pour la laisser entrer la première. Il en profite pour jeter un coup d’œil à la robe qui moule parfaitement ses hanches. Il commence à penser qu’il n’a pas été invité ici pour les bonnes raisons alors il veut mieux pour lui d’en profiter minimalement. Quelques minutes plus tard, ils sont installés à une banquette, près de la large fenêtre, et l’actionnaire ne perd pas son temps pour interroger la fameuse Amélia. Rapidement, elle admet qu’elle n’est pas là pour parler affaires mais qu’elle souhaite plutôt apprendre à le connaître – elle tente de le couvrir de compliments, d’ailleurs, mais il reste fermé à elle, réalisant qu’il s’est bien fait avoir. Ça lui apprendra de trop boire d’alcool en public. « Veuillez m’excuser. » Il finit par lancer après dix minutes de blablas inutiles. « J’ai besoin d’utiliser le petit coin. » Et il se lève, contourne la table et se dirige… Vers la sortie. Sans gêne, sans honte, fier comme un paon. Toutefois, son regard s’arrête sur une jeune femme à la chevelure foncée et il fige quelques secondes en la dévisageant. Elle ne le remarque pas tout de suite, les yeux baissés vers le menu du restaurant. Elle semble accompagnée – il y a deux verres d’eau sur la table – mais la place devant elle est libre, probablement encore chaude. Un sourire amusé étire finalement ses lèvres quand il arrive à remettre un nom sur son visage. Il l’a déjà vu à la télévision, celle-là. Alors il s’approche, se croyant tout permis, et il s’installe devant elle en posant ses deux coudes sur la table, l’air ahuri. « Ma sœur vous adore. » Il s’exclame. « Enfin, elle vous adorait, quand vous chantiez encore dans nos écrans. » La précision a besoin d’être faite. « C’est bien Jo, c’est ça ? Elle avait des posters de vous, collés sur les murs de sa chambre. » Il tapote la table avec ses doigts au rythme de notes qui lui reviennent lentement en tête. « Tun… tuntuntun… X-Factor, c’est ça ? Ouais c’est ça. Cette mélodie, c’était l’hymne officiel chez moi cette année-là. » Il souffle, les yeux grands comme des melons, posant finalement son dos contre la chaise comme s’il venait d’adopter cette place.
@Jo Carter Voilà pour toi ! |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 27 Déc 2020 - 18:45 | |
| ≈ ≈ ≈ {isn't hate a certain form of love?} crédits gif & code fiche/ (hqgifhunting & malibu) ✰ w/ @Archie Kwanteen En vrai, les talents de beau-parleur de Ray n’avaient d’effet que sur les pucelles qui se pointaient à l’Electric Playground dans l’idée de se faire sauter le bouchon avant que la société ne les estime trop vieilles ; un fait établi, que personne n’était assez malhonnête pour contester, tant le jeune homme était connu pour vomir de la flatterie avec de gros morceaux, bon appétit. C’était facile pour lui d’obtenir ce dont il avait envie. Il fonctionnait d’une façon plutôt simple, que voici : déambuler dans les grandes allées de la vie en agissant comme si tout lui était dû, du grain de poussière qu’il chassait d’une pichenette de ses platines avant d’enflammer le dancefloor du club, au pseudo-talent qu’il prétendait avoir pour lui, en grand génie du boom-boom-boom qu’il était, alors qu’il ne faisait rien d’autre que de pousser trois boutons et monter des séquences les unes après les autres en se reposant sur le travail, le vrai celui-ci, de ceux qui avaient créé le titre avant lui. D’après sa vision des choses, on ne peut plus mégalomane soit dit en passant, on n’échappait pas à son illustre charisme, à son impressionnante prestance, et chaque regard posé sur lui était une assurance de ne pas rentrer seul ; ce qu’il faisait rarement, grand bien lui faisait si on considérait l’éternelle expression détendue qu’il arborait en permanence sur son visage barbu, trop satisfait de lui-même pour faire semblant d’en avoir vraiment quelque chose à foutre de ce qui l’entourait. A première vue, cette attitude qu’il se trimballait, ça aurait dû être suffisant pour qu’avec Jo, ils s’entendent à merveille étant donné qu’ils avaient comme point commun de donner l’impression d’avoir été extrait de la cuisse de Jupiter. Mais Ray et sa verve de playboy à la manque, ils avaient autant d’impact sur elle qu’un orage en plein été : beaucoup trop prévisible en cette saison pour elle qui maniait l’arrogance aussi bien qu’elle savait chanter.
"Tu craqueras un jour." lui lança-t-il en quittant leur table sur une mine peu amène de Jo. Dans la seconde, la seule chose à laquelle elle consentait à prendre part, c’était un repas englouti à l’oeil, et tant pis si ça faisait d’elle une connasse d’opportuniste - une étiquette qu’elle s’auto-attribuait sans aucun problème. Au moins, elle ne cachait pas ses défauts et de toute façon, elle restait convaincue que dans le fond, Ray savait très bien que rien, absolument rien, ne se passerait jamais entre eux puisqu’ils se ressemblaient trop et que, loin d’elle l’envie de faire dans la psychanalyse de comptoir, elle avait trouvé depuis longtemps la meilleure façon de se la donner en solo. Comme quoi, la solitude, même si elle était dissimulée, ça vous faisait faire de drôle de chose comme accepter de se faire mener en bateau par une nana dans son genre. Il savait dans quoi il s’embarquait alors c’était bien fait pour lui en vérité. Il n’aurait que sa main droite pour essorer sa frustration, et encore il avait de la chance de ne pas être manchot hein ; se contenter de ce qu’on a, une nouvelle politique que Jo tenter de maîtriser en sautant sur toutes les occasions qui lui tombaient toutes cuites dans le bec, et ce soir c’était de prendre un repas en dehors des quatre murs de chez Nana. Remontant les bretelles de son ensemble à rayures avant de s’emparer du menu du bout de ses longs ongles, elle plissa ses paupières lourdes d’eye-liner et de faux cils, à la recherche de la formule qui ferait chavirer son coeur. Elle se préparait à déguster un dessert comme hors-d’oeuvre, ses pupilles sombres sautant d’une ligne à l’autre, persuadée dans tous les cas que ses caprices seraient les bienvenus au sein de l’amour propre de Ray qui lui avait dit qu’elle pouvait choisir tout ce qu’elle voulait. Comme s’il pouvait entre être autrement, ce n’était pas une condition sine qua non à leur petite sortie du soir, c’était juste factuel. Malgré ce qu'il semblait penser, le saltimbanque des platines, ce n’était pas lui qui tenait la partition, mais bel et bien elle. "OK, j’ai…" commença-t-elle en sentant une ombre se replacer en face d’elle. C’est seulement quand elle releva les yeux qu’elle s’aperçut que l’homme auquel elle s’adressait n’était pas Ray. La fermeture du menu se fit brusque. Un soupir. Le premier d’une longue liste, qu’elle s’efforça de contenir la seconde fois toutefois, car l’entame avec laquelle il s’adressa à elle l’intrigua assez pour que du tac-au-tac, elle lui réponde "Elle a bon goût ta soeur." Pourquoi s’encombrer de politesse, puisqu’il semblait déjà la connaître. Ça présageait qu’il était sans doute moins con qu’il en avait l’air, avec ses trois poils au menton et sa mèche à la Adolf. C’était bien sa veine de tomber sur le facho du coin, tiens. Imitant sa posture, calant ses deux coudes au bord de la table à laquelle il s’était invité, elle plongea ses yeux dans les siens "Dommage qu’elle soit pas ici, j’aurais pris le temps de prendre un selfie avec elle." Mais pas gratuitement, fallait pas pousser non plus. Même si c’était la première fois en trois ans qu’on la remettait pour son parcours à The X-Factor, elle se faisait un salaire de misère alors il n’y avait pas de petits extras. Réduisant son champ de vision en fronçant les paupières, elle le fixa toujours avec l’intensité qui lui était propre, entre la goguenardise et l’examen minutieux de chaque pore de sa peau qu’elle voyait à distance. Et puis après une longue seconde, elle chuchota en se penchant légèrement au-dessus de la table "On me le fait souvent, le coup de la petite-soeur…" Menteuse "Mais sois pas honteux d’avoir flashé sur moi, y a pire comme crush inatteignable." Après tout, elle avait été demi-finaliste. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Dim 28 Fév 2021 - 18:41, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 30 Déc 2020 - 21:59 | |
| S’il y a un type de personne qui agace Archie, c’est bien celui qui cache ses intentions, bonnes ou mauvaises. L’actionnaire est un livre ouvert : la plupart du temps, il fait savoir les pensées qui lui traversent l’esprit et il ne se gêne pas pour faire preuve d’honnêteté. Il est franc, direct, et c’est pour cette raison qu’il est à la fois adoré par ceux qui n’ont jamais subi son jugement final et détestés par ceux qui se sont ajoutés à sa longue liste de victimes. Il vaut mieux ne pas lui mentir pour éviter de se retrouver dans cette dernière sans avoir l’espoir de s’en sortir indemne. Ce n’était pas la première fois qu’une jeune femme se faisait passer pour une entrepreneure afin de tenter de se glisser dans sa cervelle et, par conséquent, dans son portefeuille. Malheureusement pour cette Amélia, elle n’est pas tombée sur le bon pigeon ce soir. Archie a beaucoup trop d’expérience malgré son jeune âge et s’il ne lui a pas proposé de le rejoindre sous les draps la soirée d’avant, c’est simplement parce qu’elle n’est pas de son goût. Alors, si elle n’a pas de projet à lui vendre, elle pourra rêver mille nuits avant qu’il ne songe à lui faire une faveur.
Il avait l’intention de sortir du restaurant sans que la menteuse à sa table ne s’en rende compte. Il s’était dirigé vers les toilettes mais avait fait demi-tour à la dernière seconde pour plutôt retrouver la sortie qui semblait appeler son nom. L’opération aurait été exécutée avec succès s’il n’avait pas croisé le regard de cette chanteuse qu’il aurait reconnu parmi des milliers, lui qui avait contemplé son visage trop longtemps sur les murs de la chambre de sa sœur passionnée par l’émission de téléréalité qui ridiculise des chanteurs pour en illuminer d’autres. "Elle a bon goût ta sœur." C’est une agréable surprise qui se lit dans les traits d’Archie lorsque l’ex candidate de X-Factor lui présente la grosseur de son égo dans un plateau d’argent. Un ricanement s’échappe de ses lèvres parce qu’il ne peut pas cacher sa satisfaction de constater qu’elle n’est pas le genre de vedette à avaler les compliments et à décorer son visage de faux sourires. Il se serait probablement senti davantage déstabilisé si cette Jo s’était avérée timide et renfermée, comme l’est sa propre sœur. Les extravertis se sentent complètement démunis lorsqu’ils se retrouvent devant un de leurs opposés. "Dommage qu’elle soit pas ici, j’aurais pris le temps de prendre un selfie avec elle." Mais ça n’empêcherait pas Archie de lui-même prendre une photo avec elle, histoire de se faire jalouser par Madison : qu’est-ce qu’un frère ne ferait pas pour taquiner sa sœur ? « On peut toujours en prendre un ensemble, pourquoi gaspiller un si beau moment ? » Il l’interroge du regard, fier comme un paon, ses doigts s’étant joints ensemble sur le dessus du menu qui ne lui appartient pas. Il n’a qu’à espérer que le propriétaire officiel de la place ne pointe pas le bout de son nez trop rapidement. "On me le fait souvent, le coup de la petite-soeur…" Ses paupières se plissent mais son air amusé ne quitte pas son regard. Il faut dire qu’il n’est pas surpris d’apprendre qu’il est le premier à l’accoster : les vedettes perdent automatiquement leur intimité lorsqu’ils signent un contrat. Si Archie se fait couvrir de compliments lors des soirées mondaines, dans la rue il est plutôt un parfait inconnu et c’est idéal ainsi. Pourtant, la suite des paroles de Jo lui arrache un rire incontrôlable. Il secoue la tête de droite à gauche, hilare, soulevant même son index pour la contredire. « Ah non, si j’avais flashé sur toi, je t’aurais plutôt proposé de payer tes consommations, ce soir. » Il s’y prend toujours de la même façon pour charmer ces dames : personne ne refuserait un dîner gratuit. Souhaitant en savoir plus sur la raison de sa solitude, il tapote la table en haussant un sourcil : « Mais j’imagine que la personne qui t’accompagne a déjà l’intention de te gâter ? » Il penche la tête sur le côté et cligne rapidement des paupières : « J’espère que je ne suis pas en train de gâcher un rendez-vous galant. » Si c’était le cas, il faudrait lui demander qu’une seule fois de partir pour qu’il s’exécute. Il est con, Archie, mais il connait les limites à ne pas franchir pour ne pas salir son image. C’est seulement pour cette raison que la plupart des gens le considèrent encore comme un brave et généreux type. Et encore, cette Jo n’est pas n’importe qui. Certes, Archie n’a plus entendu son nom depuis sa défaite filmée en direct mais il n’est certainement pas le seul à pouvoir la reconnaître dans une foule.
@Jo Carter |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 5 Fév 2021 - 15:27 | |
| ≈ ≈ ≈ {isn't hate a certain form of love?} crédits gif & code fiche/ (hqgifhunting & malibu) ✰ w/ @Archie Kwanteen C’était une évidence qui ne passait pas inaperçue, surtout pas du côté de Jo qui s’autorisait tous les compliments du monde parce qu’elle s’aimait trop pour prétendre le contraire, et ne pas s’attribuer la vérité absolue ; dans une foule, elle ne passait pas inaperçue. Ce n’était pas grâce à sa silhouette - bien moins longiligne que celles de ses consoeurs, toutes passées par la case rabotage de cellulite pour percer, la graisse qu’elles avaient dans le bide injectée dans leur décolleté pour rameuter les débiles libidineux du coin - ni même grâce à son beau visage - dont la jeunesse disparaissait sous la couche épaisse de maquillage qu’elle faisait en sorte de s’appliquer consciencieusement pour se vieillir un peu, la fraîcheur de son teint pouvant la faire passer pour beaucoup plus jeune qu’elle ne l’était en réalité, ce qui n’aurait pas servi ses intérêts à certains moment donnés, toujours là à se faire exagérément mousser -, mais bel et bien grâce à son charisme qui, bien qu’il était d’une insolence tout aussi manifeste que son tour de poitrine qu’elle prenait à peine le temps de couvrir par quelques carrés de tissus, brillait d’une lueur que peu pouvaient se targuer d’avoir en leur possession. Alors bien sûr qu’on la remarquait, bien sûr que quand elle faisait irruption dans une pièce, on ne pouvait s’empêcher de poser son regard sur elle qui faisait mine de ne pas avoir besoin de ça pour vivre quand en vérité, elle ne demandait que ça : qu’on la convoite des yeux, et qu’on considère son aura comme la plus plus ardente de toutes, supportée par l’apparat des tenues provocantes dans lesquelles elle s’engonçait pour attirer l’attention. Mais ce n’était pas de sa faute, elle avait été élevée ainsi. Portée sur le devant de la scène pour divertir, Josephine avait pris goût aux applaudissements, et comme cette bécasse de fée Clochette, il y avait des moments où elle avait le sentiment que sans les applaudissements d’une assemblée, elle se flétrissait, approchant inexorablement du moment où elle claquerait, affamée par le manque d’intérêt qu’elle avait reçu comme trophée avec son échec retentissant à la télé. Au moins, Ray lui donnait une partie de ce dont elle avait besoin pour continuer d’exister, la collant au train en permanence en ne prenant pas la peine d’essuyer la bave qu’il avait sur son menton, et ce type qui venait de s’asseoir en face d’elle également. C’était tant mieux pour elle dans le fond. Un peu moins pour lui. Puisque déjà, son regard inquisiteur bordé d’un épais éventail de faux-cils, se portant sur les traits aiguisés de son visage surplombé d’une coupe de cheveux d’un autre temps, elle flaira que l’échange qu’ils auraient, elle le ferait tourner à son avantage. Une souris dans les pattes d’un félin joueur, voilà ce qu’il était devenue à la seconde où il avait jugé bon s’approcher de sa table avec le meilleur prétexte que personne ne lui avait jamais servi au cours des quatre dernières années.
Si elle avait été moins vaniteuse, elle aurait admis que par le passé, peu l’avaient reconnu comme l’étoile montante de la variété australienne ; au mieux on la prenait pour quelqu’un d’autre, égratignant son manque de modestie pour le faire sortir de ses gonds, et déchiqueter mentalement - ou pas - la carcasse de celui qui avait osé. Ce jeune homme avait pour lui de savoir de quoi - de qui en l’occurence - il parlait, et il n’en fallait pas plus à Jo pour se sentir pousser des ailes, retrouvant l’aplomb des beaux jours en imaginant une gamine se pâmer devant le talent qu’elle avait démontré à la grande époque de The X-Factor. Elle n’y avait jamais pensé, mais finalement… elle avait sûrement fait naître des vocations. Un sourire carnassier fendit son visage sans défaut, captive de la rhétorique du jeune homme qui lui faisait face. S’il croyait pouvoir la lui faire à l’envers, il se rendrait vite compte qu’il avait tort de la sous-estimer. Basculant en arrière pour que son dos cogne contre la chaise sur laquelle elle était assise, elle planta ses yeux sombres dans les siens qu’elle devinait plus cristallins "C’est vrai, pourquoi le gaspiller." fit-elle seulement, ne bougeant pas d’un iota, bien décidée à lui faire comprendre que s’il comptait qu’elle vienne s’asseoir sur ses genoux pour immortaliser le moment, occupant la place d’une petite-soeur dont elle remettait en doute l’existence, il pouvait de suite calmer ses ardeurs tandis que verbalement, elle lui fit savoir qu’il n’était pas le premier à se cacher derrière des prétextes pour l’aborder. Et sa réponse la fit lever ses sourcils parfaits, et le chemin inverse qu’elle opéra pour mieux s’accouder à nouveau au bord de la table qu’ils occupaient lui donna l’air d’une ingénue - au moins le temps de quelques secondes, battant ainsi son propre record "Tu veux dire que je viens de me priver d’une cuite à l’oeil ?" lui demanda-t-elle, faisant battre ses cils pour affirmer son cinéma "Moi qui pensais que mon charme fonctionnait sur tout le monde, tu brises tous mes espoirs." La boutade était prononcée sans ironie "La personne qui m’accompagne a surtout l’intention de réussir à savoir ce que je cache sous ma jupe. Le romantisme est mort." finit-elle par lui répondre, sauter sur ses affirmations pour poursuivre le dialogue pendant qu’elle étudiait les traits de son visage trop bien rasé pour qu’il ne partage pas avec elle la moitié d’un amour propre moins assumé que le sien, mais qu’elle voyait suinter des pores floutés de sa peau pâle. Jo détourna le regard, entendant le cliquetis de talons hauts qu’elle savait reconnaître pendant qu’une jeune femme, répondant au cliché parfait de la bimbo de base, posait ses yeux sur leur table, levant le nez d’un air courroucé lorsqu’elle s’aperçut que son plus one du soir lui avait préféré quelqu’un d’autre. Classique. Un nouveau sourire en coin naquit sur le visage de Jo dont la tête vrilla pour mieux toiser son interlocuteur "Il l’est moins que le tien d’après ce que je vois." Puis la pique, facile, presque enfantine, prononcée avec un froncement de nez qui aurait été adorable si elle n’avait pas été aussi sérieuse "Jolie. Plus que toi." Et ses yeux, agrandis par le maquillage, s’écarquillèrent davantage, son menton s’enfonçant nettement dans la paume de sa main quand, continuant sur sa lancée espiègle, elle le sonda plus loin tout en lui demandant "Hey, dis-moi… quel genre de personne abandonne sa table pour s’incruster à une autre hum ?" Sur un chuchotement, elle poursuivit, se penchant un peu en avant pour créer comme un aparté qui n’avait pas lieu d’être, mais qui servait une belle mise en scène alors qu’elle les sentait, les effluves du parfum onéreux qu’il portait "C’est quoi son défaut pour que tu prennes la fuite comme tu viens de le faire ?" i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Dim 28 Fév 2021 - 18:41, édité 1 fois |
| | | | (#)Mer 17 Fév 2021 - 0:12 | |
| "C’est vrai, pourquoi le gaspiller." Elle n’a pas l’intention de bouger d’un centimètre mais cette réaction a le mérite de faire rigoler Archie qui, visiblement, ne s’attendait pas à tomber sur une tête aussi dure que la sienne. Le monde tourne autour d’elle ; il suffit de se perdre quelques secondes de trop dans ses yeux pour comprendre qu’elle n’est pas là pour faire la charité. Esquissant un sourire mélangé à un gloussement, Archie ne bouge pas d’un centimètre, lui non plus. Jo n’est pas la seule qui possède un égo surdimensionné à cette table et il ne lui fera pas l’honneur de l’afficher avec un homme vêtu d’un complet plus cher que tous plats sur la carte accumulés. Alors, sans lui demander son avis, il sort son téléphone de sa poche et se pivote pour faire dos à la chanteuse et, même si toute la largeur d’une table les sépare, il ne s’en soucie pas et il prend une photo dans laquelle il pointe la jeune femme en arborant un air surpris. Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour faire plaisir à sa petite sœur ? En tout cas, il ne se gênerait pas pour immortaliser un moment sans concrètement demander l’autorisation de celle qu’il a maintenant dans son téléphone. Un peu trop fier, il pose l’appareil sur la table et le fait glisser jusqu’à Jo pour la laisser voir la fameuse photographie. « On peut la reprendre, puisque tu tires l'une de ces gueules. » Il lui propose, le ton sarcastique. Il a déjà compris qu’il n’a pas besoin de jouer les doux avec elle, sa simple aura l’informe qu’elle n’est elle-même pas une miss parfaite. Et puis, il a besoin d’oublier un peu cette mauvaise soirée qui s’annonce en préparation à tous les messages qu’il recevra de la part sa campagne du soir quand elle aura réalisé qu’il a disparu de la table sans crier gare. Elle l’a mérité : elle a zappé l’idée selon laquelle Archie a déjà rencontré des centaines de menteuses qui ne souhaitaient que glisser leurs mains dans ses poches pour y voler des billets verts. Sa jeunesse ne fait pas de lui une proie facile.
"Tu veux dire que je viens de me priver d’une cuite à l’oeil ?" Lèvres pincées, il hoche la tête en arborant un air faussement désolé. « Tu es charmante, je ne peux pas dire le contraire. Seulement, je n’ai pas particulièrement envie de te ramener dans mon lit. J’ai trop souvent vu ta tête sur les posters dans la chambre de ma sœur, c’est comme si tu faisais partie de ma propre famille, maintenant. » Il admet, sourcils froncés, réfléchissant réellement à la question. Il est vrai qu’il aurait l’impression de trahir sa sœur en invitant l’une de son idole chez lui. De toute façon, ce n’est pas pour cette raison qu’il a approché Jo en premier. Et, sur ce coup-là, il est honnête – même si l’autre doute de l’existence de sa cadette. "La personne qui m’accompagne a surtout l’intention de réussir à savoir ce que je cache sous ma jupe. Le romantisme est mort." Son nez se froisse. Il attrape le verre d’eau devant lui et en boit une gorgée, content qu’il n’ait pas encore été touché par son véritable propriétaire. « Quelle vulgarité. » Il souffle, les yeux taquins. « Je peux te sauver si tu veux. » Sa proposition est réelle : il peut la sortir d’ici si elle n’a pas envie de subir plus longtemps les avances d’un homme curieux qui veut mettre en pratique ses cours d’anatomie féminine. Son regard s’accroche aux yeux joliment maquillés de la chanteuse et il laisse ses yeux scruter la courbe de son menton lorsque des talons claquent dans la salle. Il reconnait l’enjambée de celle qu’il accompagnait avant de lui fausser compagnie mais il ne lui offre aucune attention. "Il l’est moins que le tien d’après ce que je vois." Il ricane, ne détachant pas son regard de celle qui a réellement capté son intérêt – pas l’autre blonde qui a finalement réalisé qu’il n’a pas l’intention de retourner à sa table. « Les compliments c’est pas ton truc, hein ? » Il demande lorsqu’elle ne se gêne pas pour lui faire savoir qu’il n’est pas de son goût. "Hey, dis-moi… quel genre de personne abandonne sa table pour s’incruster à une autre hum ?" Il réfléchit à la question, posant son dos contre le banc, ses bras se croisant naturellement sur son torse, accentuant sa nonchalance. « Il est vrai que j’ai tendance à décevoir ces dames. » Il se rectifie rapidement : « Lorsqu’il s’agit de rencard au restaurant, évidemment. Pour le reste, je m’en sors pas mal. » La précision lui arrache l’un de ses fameux sourires ironiques parce qu’il se doute que Jo n’a pas envie de rebondir sur ce sujet – lui non plus, d’ailleurs, mais il puise du plaisir là où il peut en trouver. "C’est quoi son défaut pour que tu prennes la fuite comme tu viens de le faire ?" Il observe finalement la blonde du coin de l’œil. Il n’affiche aucune surprise lorsqu’elle soulève ses mains devant elle, comme pour lui demander ce qu’il fait à une autre table. « Elle ment aussi mal qu’une gamine. Et je ne me laisse pas aussi facilement berner qu’une babysitter. » Il reprend une gorgée d’eau pour s’éclaircir la gorge. « Je suis actionnaire. J’aide les entrepreneurs à lancer leur business mais je pense que, celle-là, elle n’avait entrepris que de faire de moi son portefeuille privé. » Il se rapproche de Jo, posant ses coudes sur la table et le menton dans sa paume. « Et toi, alors ? C’est comment d’être une célébrité ? Ça doit être chiant, tous les types comme moi qui s’arrêtent pour te demander un autographe. » Nouveau sourire sarcastique appuyé de cils battants – il s’est déjà mis à imiter son interlocutrice.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 28 Fév 2021 - 13:09 | |
| ≈ ≈ ≈ {isn't hate a certain form of love?} crédits gif & code fiche/ (hqgifhunting & malibu) ✰ w/ @Archie Kwanteen "Prends pas ma gueule comme excuse, c’est trop facile." se défendit-elle d’emblée, sa rhétorique lui venant comme l’instinct primaire de remplir ses poumons d’air. Un de ses sourcils se arqua, son regard plein de jugement se posant sur la face pâle de son interlocuteur dont elle reconnaissait l’aplomb avec une certaine bonne volonté - bien que réservée à l’intimité de ses pensées -, même s’il lui donnait l’envie irrémédiable de lui en coller une, et de le marquer profondément avec ses longs ongles acérés "Quand on voit la tienne, c’est clair qu’on a même pas envie d’en prendre une, de photo… allez, donne-moi ton truc." Putain d’amateur, qu’elle sembla dire, tirant sur son téléphone portable sans aucune délicatesse pour supprimer le cliché qu’il venait de faire sans demander son reste et prendre les choses en mains. Parce qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, une philosophie qui ne la fit pas plus sourire sur le cliché qu’elle prit en remplacement de l’autre, mettant son plus beau profil en valeur tandis que l’autre derrière elle avait l’air d’un débile profond, avec sa mèche grasse de sébum et de suffisance. De toute manière, si elle était vraiment pour sa petite soeur cette photo, elle en aurait rien à secouer de la tronche de son frangin. Ce qui comptait, c’était la starlette qu’elle avait adulé le temps d’une saison et qui, déjà à l’époque, n’était pas connue pour distribuer des risettes au premier venu… alors ça ne l’étonnerait pas, la gamine, de ne pas la voir sourire. Aussi ne se força-t-elle pas pour le faire, campant sur une autre de ses philosophies, et n’ouvrant les yeux pas plus qu’elle avait l’habitude de le faire, son charisme transperçant l’écran et s’affichant en millions de pixels une fois qu’elle eut pressé son pouce sur le déclencheur tactile. Satisfaite, même si elle ne jeta pas un seul regard au cliché en question, trop sûre d’elle, Jo lui rendit son bien. Balançant son téléphone dans sa direction pour qu’il le rattrape de justesse, elle l’écouta contredire ses propos. Et là, miracle ou pas, un vrai sourire fendit son visage qu’elle dissimula derrière la paume de sa main. Le regard planté dans celui du jeune homme, le coude vissé au bord de la table, elle l’observa avec la curiosité feinte des femmes fatales ; celles qui savent ce qu’elles font, mais qui adorent tellement jouer les ingénues qu’elles laissent leur intelligence s’évaporer le temps de se mettre au niveau de celui qu’elles ont en face d’elle. Ici, un minet qui avait certes du toupet, mais qui devait plus souvent se la donner avec sa main droite qu’avec un être fait de chair et de sang.
Elle aurait pu en rire, mais c’était trop facile, ça aussi. Il était comme tous les autres et dans le fond, elle fût presque déçue, lui qui semblait doté d’un répondant aussi bon que le sien, qu’il soit tout juste capable de coller au cliché de l’homme de base. L’entendre émettre des théories sur la manière dont leur soirée aurait pu se terminer s’il lui avait laissé la possibilité de se souler sur son compte, c’était presque frustrant - pas assez pour qu’elle ne lui réponde pas en retour, la tête légèrement inclinée sur le côté tandis qu’elle préparait son offensive avec aisance, prouvant qu’elle avait l’habitude de contrattaquer plus souvent qu’à son tour "Oh, parce que tu fais partie de ceux qui ont besoin d’une fille soule pour soulager ce petit truc qui te démange dans le pantalon ? Je suis pas du genre à adhérer aux conneries du style Me Too, mais c’est limite comme façon de voir les choses… et d’après ce que je sais, ça finit jamais bien ce genre d’histoire. J’espère que t’as un bon avocat." Elle se recula de la table pour croiser les bras sur sa poitrine généreuse, réduisant son champ de vision en plissant les yeux, ses faux-cils formant un éventail, pour mieux faire le point sur le spécimen reclus dans le coin opposé de leur table "Je suis plutôt directe, si j’avais voulu terminer dans ton lit, j’aurais même pas eu besoin de me cacher derrière une invitation à picoler contrairement à d’autres." Et quand elle disait à d’autres, elle pensait à lui "Et c’est à mon tour de briser tes espoirs ; j’ai d’autres standards que…" Elle le désigna dédaigneusement du menton, un air de dire toi, là, ne se démontant pas quand les intentions de Ray vinrent sur le tapis et qu’elle reprit, se remettant dans sa position du départ ; coude posé au bord de la table, regard plongé dans celui du jeune homme "Je donne l’impression d’avoir besoin d’être sauvée ?" Et le reste, elle n’y répondit pas car la scène qui se déroula devant ses yeux avait soudain plus d’attrait pour elle que de palabrer sur des évidences. Non, les compliments n’étaient pas son truc, et ceux qui en jouissaient les méritaient sûrement plus que celui qu’elle accusa d’être un mufle sans même le connaître. Elle en avait assez côtoyé, des bonhommes dans son genre, pour savoir comment ils fonctionnaient - et ce besoin qu’il semblait avoir de défendre sa virilité lui fit rouler des yeux si fort, qu’elle entendit presque sa grand-mère lui crier tu vas rester coincée, Josephine ! "Les femmes sont tellement vénales, n’est-ce pas ?" Sur le sujet du féminisme, Jo avait raté quelques leçons ; première à enfoncer le clou, elle était dure avec ses comparses. Seulement parfois, elle avait des élans de ce genre et la manière dont son interlocuteur dépeignit sa compagne du soir lui donna envie de montrer encore plus les crocs. Tandis qu’elle le voyait se caler sur sa façon d’être, elle prit sa question comme la provocation qu’il lui fallait pour rebondir "C’est pas pire que d’être tellement riche qu’on croit être considéré comme rien d’autre qu’un portefeuille sur pattes" Un peu faible pour l’instant, sa rebuffade se termina par une question qu’elle mima à la façon d’une petite fille curieuse. Les yeux grands ouverts, les épaules frétillants d’impatience, et se penchant vers lui, elle lui demanda tout bas, et de façon si surjouée sur l’ironie ne trompait pas "A combien elle est estimée ta fortune, que je sache si ça vaut le coup." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mer 3 Mar 2021 - 20:16 | |
| « C’est la seule chose qui cloche sur la photo, pourtant. » il réplique, jetant un coup d’œil plus consciencieux à la photographie qu’il a prise quelques secondes plus tôt sans attendre que Jo n’arrange ses cheveux, ne bombe son torse ou lève le menton pour affiner sa mâchoire. Yeux plissés, il redresse la tête et hausse un sourcil lorsqu’elle se permet pour la seconde fois d’insulter son apparence. Il sait toutefois qu’il n’a jamais eu besoin de se plaindre à ses parents parce qu’il n’a pas hérité des défauts de sa mère, ni de ceux de son père. Les commentaires de ce genre ne l’affectent pas, il les accueille plutôt comme des vannes. Malgré tout, en soufflant tout son air par ses narines, il tend finalement son téléphone à la jeune femme qui s’en empare sauvagement pour en faire sa possession. Sans surprise, elle devient la star de la photo et Archie serait surpris si la moitié de son visage apparaissait dans le cliché qu’elle prend quelques secondes plus tard, sûre d’elle, les joues brillantes d’highlighter. De son côté, il ne fait pas vraiment d’efforts. Il se contente de ne pas cligner des yeux. « Alors, satisfai…. » Il n’a pas le temps de terminer sa phrase que le téléphone s’envole en sa direction à une vitesse alarmante. De justesse, il l’attrape avant qu’il ne percute de plein fouet la table. « Trop aimable. » Archie marmonne en s’assurant que son appareil n’a pas été blessé par le geste brutal. Il jette un coup d’œil rapide à la photo, lâche un gloussement en constatant qu’elle n’a effectivement pas fait de son mieux pour les cadrer tous les deux et, sans plus attendre, il transfère la photo à sa sœur en l’accompagnant de la phrase « Regarde sur qui je suis tombée. Elle est bien plus gentille à la télévision. »
Cette étape terminée, il range son téléphone pour reposer ses deux coudes sur la table, couvrant à nouveau la chanteuse d’un regard toujours aussi ironique alors qu’elle prétend avoir compris le fond de sa pensée. "Oh, parce que tu fais partie de ceux qui ont besoin d’une fille soule pour soulager ce petit truc qui te démange dans le pantalon ? Je suis pas du genre à adhérer aux conneries du style Me Too, mais c’est limite comme façon de voir les choses… et d’après ce que je sais, ça finit jamais bien ce genre d’histoire. J’espère que t’as un bon avocat." La remarque lui arrache évidemment un sourire et il entre dans le jeu, conscient qu’il n’arrivera pas à entretenir une discussion normale avec celle qui a un égo aussi grand que le sien. « C’est encore mieux si je peux glisser un peu de drogue dans leur verre quand elles ont le regard tourné. » Il explique, le visage on ne peut plus sérieux, avant d’ajouter : « Je pense que mon avocat est effectivement talentueux puisque je ne suis pas encore en prison. » Et il s’empare encore du verre d’eau qui n’est pas à lui pour le terminer d’une traite sans jamais détacher ses yeux moqueurs de Jo. Elle se met à le scruter comme s’il était un animal en cage et, même si la situation le rend légèrement mal à l’aise, il arrive à dissimuler le moindre inconfort derrière son masque de marbre. "Je suis plutôt directe, si j’avais voulu terminer dans ton lit, j’aurais même pas eu besoin de me cacher derrière une invitation à picoler contrairement à d’autres." Il penche la tête sur le côté, curieux. « Et ça t’arrive souvent de retirer les pantalons des mecs en public ? » Elle se définit comme une personne directe, qui va droit au but : alors il ne peut s’empêcher de sauter quelques étapes dans sa réflexion. "Et c’est à mon tour de briser tes espoirs ; j’ai d’autres standards que…" Elle se permet une énième fois de le dévisager comme s’il était la pire des sardines dans une boîte de conserve. Celle tout en dessous, un peu décapitée par le passage répété d’une fourchette et qui à la fin se retrouve dans le fond de l’évier en pièces détachées huileuses. « Charmant. » Sourire forcé, pommette relevées ; c’est bon, il a compris qu’elle ne cherche pas un prince dans son genre. "Je donne l’impression d’avoir besoin d’être sauvée ?" Il hausse les épaules en s’assurant que son accompagnateur ne revient pas tout de suite de la salle de bains. « J’en sais rien. Tu veux lui montrer ce qui se cache sous ta jupe ou pas ? » Il demande en attendant une vraie réponse de sa part, conscient que la plupart des femmes n’apprécient pas de se faire traiter comme un objet (parce qu’il a appris sa leçon après que des dizaines de paumes aient atterri sur son visage pour le secouer un peu). Il ne peut s'empêcher d'ajouter : « Il est parti depuis plusieurs minutes déjà. Selon-moi, il se tape une méga-diarrhée. Ça risque de te faire quelques surprises ce soir. » Il grimace, faussement dégoûté, avant que le sujet ne dévie vers ses propres capacités à charmer les femmes. Il ne peut pas s’empêcher de vanter ses prouesses au lit à défaut de savoir s’y prendre avec la gente féminine. Souvent, on attend trop de lui et il a peu à offrir – hormis sa fortune. "Les femmes sont tellement vénales, n’est-ce pas ?" C’est un cliché qu’il ne pourrait pas défaire, trop souvent entouré de femmes qui savent estimer la grosseur de son portefeuille en jetant un simple coup d’œil à la fabrique qui constitue ses costumes sur mesure. « J’aurais tendance à confirmer. Mais je ne veux pas faire de généralités… C’est ma faute si je côtoie celles qui peuvent être achetées. Je ne suis pas intéressé à trouver la femme de ma vie. » Il se confie, comme s’il venait de lui offrir son plus grand secret. Toutefois, il ne doute pas une seconde que Jo est elle aussi entourée de gens qui jalousent sa prospérité et qui tentent d’en profiter d’une façon ou d’une autre. Que ce soit en prenant une photo avec elle pour la montrer à tous leurs amis. "C’est pas pire que d’être tellement riche qu’on croit être considéré comme rien d’autre qu’un portefeuille sur pattes." Elle lui met le doute aux lèvres. Réfléchissant un moment, il prend le temps d’observer le moindre de ses traits afin de déceler son opinion à elle. Si elle connait la popularité, elle doit bien comprendre son point de vue à lui, pas vrai ? « Je suis content de t’avoir croisée, alors. Ça me fait du bien d’être insulté par une femme qui ne connait pas encore mes défauts. Tu me sors de ma routine, merci. » Il ironise, ne se détachant toujours pas de sa mine amusée qui, pour une fois, traduit son véritable ressenti. Il n’est plus question de jouer les gentlemen en face d’elle qui se moque complètement de lui malgré son apparence prestigieuse. "A combien elle est estimée ta fortune, que je sache si ça vaut le coup." La réplique attire sa curiosité et il l’arrête aussitôt d’un signe de la main : « Attends… Je pensais que les vedettes de X Factor devenaient riches et célèbres. » C’est de cela que toutes les petites filles rêvent, non ? Passer à la télévision, gagner l’approbation des juges et ouvrir un paradis fiscal. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Mer 24 Mar 2021 - 12:25 | |
| ≈ ≈ ≈ {isn't hate a certain form of love?} crédits gif & code fiche/ (hqgifhunting & malibu) ✰ w/ @Archie Kwanteen "J’ai des talents cachés." roucoula-t-elle exagérément, battant presque des cils en entendant son interlocuteur rebondir sur ses provocations, et lui demander si ça lui arrivait souvent de défroquer des hommes en public. Au moins, il savait quoi en faire, de ses provocations donc, pas comme d’autres qui la regardaient avec des yeux ronds comme des soucoupes quand elle se montrait aussi audacieuse dans sa verve. Une verve qui n’était jamais poétique contrairement aux quelques textes qu’elle avait écrits et aux chansons qu’elle reprenait avec tout le talent dont elle était détentrice, mais qui avaient le mérite de laisser une marque indélébile dans la mémoire de ceux qui s’adressaient à elle. Et il y avait fort à parier que, ce soir encore, elle laisserait un souvenir impérissable à celui qui s’obstinait à croiser verbalement le fer avec elle, faisant naître chez elle une satisfaction secrète que ses questions rendirent plus vivaces encore. En bonne égocentrique qu’elle était, elle ne se lassait jamais de l’attention qu’on lui portait malgré l’attitude qu’elle revêtit soudain, soupirant à n’en plus finir, se laissant retomber en arrière contre le siège sur lequel elle était assise comme sur un trône. Elle était impolie, mais elle avait la grâce, il ne lui manquait plus que la tiare qui, dans son esprit tout du moins, elle portait depuis sa naissance au sein d’un royaume régenté par le masculin.
Elle reposa ses yeux agrandit par les faux-cils et le maquillage sur le jeune homme, arqua l’un de ses sourcils bien dessinés en continuant à observer ce qu’il cachait derrière son audace. Elle était bien placée pour savoir qu’il ne s’agissait que d’une carapace, et autant elle s’en foutait royalement de comme il avait sans doute souffert dans sa vie pour être aussi insolent, autant elle trouva ça intéressant d’être confrontée à quelqu’un qui, comme elle, avait ce besoin viscéral d’aller toujours plus loin dans le trop. Comme fascinée par son propre reflet, ses yeux s’ancrèrent pour de bon dans ceux de qu’importe comment il s’appelait tandis qu’une grimace, toute langue pendante, lui échappait. "Pas tellement, mais ça fait un an qu’il essaye. Je profite juste de sa faiblesse pour bouffer à l’oeil. Je m’abaisse pas à des méthodes du style verser de la drogue dans le verre de ceux que je veux pécho." le rabroua-t-elle, n’ayant pas pris le temps de juger davantage ses méthodes de drague aussi douteuses que les siennes. Se plaçant de trois-quart, elle posa son bras sur la tranche du dossier de sa chaise, quittant ses yeux pour les promener sur l’ensemble de l’endroit dans lequel elle était entrée avec Ray quelques minutes plus tôt et qui ne désemplissait pas alors qu’elle allongeait son discours "C’est du 50/50. Il espère, je m’engraisse… on bosse ensemble, ça ferait mauvais genre de dépasser le stade du dîner tu vois. Mine de rien, j’ai des principes, et je sais rester professionnelle." A peine. Elle insultait la totalité de ses collègues, et davantage son boss, à l’exception de Calvin, tout bonnement parce que son job de serveuse n’était qu’un job justement. Elle n’était pas là-bas pour se faire des amis, comme elle n’avait pas été l’attraction du tout Sydney à l’époque pour se faire des amis non plus. Elle s’en était fait un, et il fallait voir comment ça avait fini ; par des regrets et des souvenirs qui lui donnaient envie de se taper la tête contre les murs pour ne plus jamais qu’ils ne lui frôlent l’esprit - et ils - il - ne devaient pas lui frôler l’esprit maintenant. Aussi se jeta-t-elle sur la rhétorique de son voisin de table pour ne pas se perdre dans son auto-critique de cette époque-là ; où tout lui paraissait atteignable parce qu’elle était moins seule "Classe. Moi qui pensais que les richards dans ton genre respectaient un champ lexical plus approprié que celui-là. Je me rends compte que l’argent ne fait pas l’éducation… ni l’élégance d’ailleurs. Mais qui suis-je pour juger." Oui, vraiment, qui était-elle pour juger, elle, la poupée à la peau aussi lisse que celle d’un nourrisson avec ses insultes et sa grande gueule - qu’à défaut de savoir faire taire, savait respecter ses propres limites qu’il venait d’atteindre en faisant des révélations sur son quotidien d’homme courtisé par ce vil démon qu’était la femme. Elle se replaça en face de lui, leva les mains devant elle et en tendit une pour récupérer le verre d’eau qu’il avait descendu comme s’il lui appartenait en faisant, pleine de mauvaise foi "OK, je suis à mon maximum en matière de petites confessions auprès d’une inconnue. Si t’allais voir ailleurs, peut-être que tu trouverais celle avec qui tu passeras la nuit." Elle lui laissait la place volontiers, et puisque ce n’était visiblement pas une épreuve pour lui que d’être considéré comme la bourse de Rothschild, il n’avait qu’à en profiter autant que sa conscience le lui permettait - ou son porte-monnaie, ça ne devait pas être bien différent malgré le fait qu’il tacha de faire du mystère autour de ce qui dormait sur son compte en banque quand, joueuse, elle le questionna à ce propos… pour se voir retournée une question qui pinça un nerf fragile dans son for intérieur, et qui la fit se rebiffer d’emblée, de nouveau avec un sourcil arqué à son paroxysme, et ses yeux sombres sondèrent les siens avec une agressivité certaine "Peut-être que si tu sortais plus souvent le nez de la poudreuse que t’as les moyens de te payer, t’apprendrais la réalité des choses au lieu de faire des suppositions aussi puériles que celles-ci." lui fit-elle, se mordant la langue pour ajouter que dans son monde à elle, les artistes étaient des intermittents qui n’avaient même pas les moyens de se payer le slip qu’il portait sous son costume beaucoup trop cher, lui aussi. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Mar 30 Mar 2021 - 3:28 | |
| Il est impossible de jouer au jeu du chat et de la souris si les deux participants sont des chats. Jo et Archie auraient beau s’envoyer des réparties par dizaine, jamais l’un d’eux ne s’épuiseraient. Ils sont deux piles électriques qui s’alimentent à coups d’insultes, de reproches cachés ou de commentaire déplacé. Ça amuse l’actionnaire qui ne trouve que trop rarement des gens capables de comprendre le second degré et, encore mieux, de le manipuler à leur façon. Si cette fausse vedette de téléréalité ne s’était pas révélée aussi distrayante, Archie aurait certainement levé les voiles après avoir obtenu sa photographie. Mais, maintenant qu’elle l’a happée, il a l’impression que des clous le collent au siège qui ne lui appartient pas. Il a d’ailleurs oublié qu’il devra bientôt poursuivre son chemin vers la sortie parce que, même s’il a tendance à apprécier de provoquer les gens, il ne se permettrait pas de bousiller l’entièreté de la soirée de la jeune femme. Il n’est qu’un gentil connard, après tout. Il écrase les pieds de seulement ceux qui lui ont fait une mauvaise impression. Pour le moment, il prend un malin plaisir à transformer sa sortie qui s’avérait ennuyante jusqu’à présent. Sa première compagne n’avait pas beaucoup d’attributs – si on ne compte pas les seins, évidemment, parce que ceux-là étaient prêts à l’avaler tout rond.
Jo ne ressemble à aucune de ces princesses en détresse dans les jeux vidéo mais il ne peut s’empêcher de lui proposer de fuir avec lui si jamais son compagnon du soir était aussi ennuyant que le sien. "Pas tellement, mais ça fait un an qu’il essaye. Je profite juste de sa faiblesse pour bouffer à l’oeil. Je m’abaisse pas à des méthodes du style verser de la drogue dans le verre de ceux que je veux pécho." Sourcils froncés et lèvres pincées en une fausse moue, il bredouille : « Tu lui fais subir des couilles bleues depuis un an ? En tout cas, c’est ce que j’entends. Le pauvre. Selon-moi, c’est pire que la drogue. » Il plaisante, sarcastique évidemment, puisque jamais il n’userait d’un tel poison pour arriver à ses fins. De toute façon, il n’a jamais eu besoin de se faire prier : toutes les femmes qu’il ne désire pas s’accrochent déjà à ses semelles dans l’espoir que quelques pièces d’or s’extirpent de ses poches. Ajouter des hallucinogènes dans cette recette, se serait comme tirer une balle dans le cadavre d’un écureuil aplati au milieu de la route. « Je n’ai pas pensé une seconde que tu étais professionnelle en m’asseyant à cette table, si jamais tu veux savoir mon opinion. Que tu passes le stade du dîner avec lui ou pas, ça ne changerait probablement rien. » Il n’a jamais vu une femme à la parole aussi libérée, aux tabous absents. « Dans quoi vous bossez, alors ? Tu chantes encore ? Ça fait longtemps que je n’ai pas vu ta tête sur un album. » Il réfléchit un moment, se frottant la barbe. « Mais je ne passe pas ma vie chez le disquaire du coin, je fais peut-être erreur. » Il tente, haussant les épaules, souhaitant lui sortir les mots de la bouche. Si elle s’attendait à tomber sur un bon bourgeois, elle se trompe depuis le début. Certes, Archie sait manipuler les chiffres comme s’il les avait inventés mais il n’a jamais été un gentleman. Il se contente de charmer ceux qui peuvent lui rapporter plus qu’il ne possède déjà. « Si j’employais le champ lexical qui correspond à mon statut, je ne serais pas aussi divertissant à tes yeux. » Il se redresse légèrement dans son siège et plonge ses perles bleues dans les siennes pour lire son âme. « Qui es-tu pour parler d’élégance ? » Il ajoute sournoisement pour la provoquer encore et encore. Si son visage est parfaitement maquillé, il n’y a que cette couche de poudre artificielle qui reflète la moindre élégance. Son vocabulaire est aussi sale que les assiettes terminées des clients de la table voisine. La patience de Jo se révèle limitée et elle lui demande très gentiment d’aller voir ailleurs. Pourtant, le mystérieux garçon disparu à la salle de bains depuis trop longtemps n’est pas encore de retour : ça veut tout simplement dire qu’il a encore sa place à cette table. Et il ne cache pas sa surprise quand il apprend que Jo ne se roule pas dans l’or depuis son passage à X-Factor. "Peut-être que si tu sortais plus souvent le nez de la poudreuse que t’as les moyens de te payer, t’apprendrais la réalité des choses au lieu de faire des suppositions aussi puériles que celles-ci." C’est la première fois que le ton sa voix lui hérisse les poils. C’est une vérité crue qui se cache derrière sa répartie agressive et Archie se redresse pour se poser contre le dossier, s’extirpant de sa bulle. « J’ai posé le doigt sur un bouton rouge. » Il relance, plus aucun sourire n’étirant ses lèvres. « Ce n’est pas une supposition que j’ai faites. Les célébrités sont enviées et ce n’est pas parce qu’elles sont toujours bien habillées, bien maquillées, bien coiffées. Elles sont décrites comme des portefeuilles sur pattes. Il est toujours question de savoir quel salaire a touché Johnny Depp l’année passée. Ou Billie Eilish. Ou peu importe, je ne me tiens pas au courant des nouvelles tendances. » Il marque une pause et remarque du coin de l’œil qu’un garçon traverse le couloir qui sépare les salles de bains de la salle à manger. Il attrape son regard une seule seconde et il n’a pas besoin de s’attarder sur le personnage pour comprendre qu’il est celui à qui il a volé la place. « Ton petit ami revient. » Il esquisse un sourire malin et sort son portefeuille de sa poche. Une petite pile de cartes d’affaire s’y trouve religieusement, il s’empare de l’une d’elles et, avant de la tendre à Jo, il prend soin de déchirer la moitié sur laquelle sa profession est écrite. Elle n’est pas un client ; elle n’a besoin que de son numéro de téléphone. « Si jamais t’as envie de retrouver un adversaire à ta taille. Ou un pantin désarticulé dans lequel frapper. » Il pose la moitié de carte sur la table, sous son nez, juste avant de se lever avant que le collègue de Jo n'ait le temps de lui reprocher l'intrusion.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 15 Mai 2021 - 10:51 | |
| ≈ ≈ ≈ {isn't hate a certain form of love?} crédits gif & code fiche/ (hqgifhunting & malibu) ✰ w/ @Archie Kwanteen Soudainement, Jo n’avait plus envie de jouer. Elle n’était pas là pour s’épancher sur sa vie d’artiste ratée, encore moins avec quelqu’un de la trempe d’Archie qu’elle fixa d’un oeil mauvais de l’autre côté de la table, ses ongles en acrylique se resserrant comme des griffes colorées autour du verre qu’elle tenait entre les mains, et qu’avec davantage de volonté, elle aurait très certainement pu casser. Elle bloqua sa respiration dans sa poitrine, ne tenant pas à lui laisser l’impression que son coeur s’était emballé, soumis à la vérité qu’elle venait de lui balancer, aussi vive que ses nerfs qu’elle sentait gonfler sous l’épaisseur relative de sa peau bronzée. L’envie, dans sa forme la plus innocente qu’elle était, perça ses iris sombres quand elle comprit qu’autour de cette table, celle qui faisait le plus pitié en vérité, celle qui avait trop perdu pour faire autant la maline, c’était elle, et ça lui donna envie d’agripper la nuque du jeune homme pour lui éclater la tête contre la table en Formica. C’était le propre de la grande gueule, à vouloir trop se faire mousser, elle finissait toujours par en dire plus qu’elle ne le voulait. En se rebiffant comme elle venait de le faire, indubitablement incapable de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, aussi agressive qu’elle était provocatrice, Josephine venait de mettre en lumière sa plus grande faille dans laquelle son adversaire du soir n’hésita pas un instant à s’insinuer. Si elle se donnait les moyens de paraître forte et intouchable, il y avait pourtant chez elle un sujet sur lequel il était facile de la piéger ; son échec cuisant à The X-Factor, et la débandade qui avait suivit juste après, quand son statut de seconde lui avait fermé les portes d’un monde qu’elle avait frôlé du bout de ses doigts de pianiste, lui refusant l’accès pour préférer l’attribuer à celui qui l’avait sans doute plus mérité qu’elle parce qu’il avait une meilleure gueule, un meilleur tempérament, une meilleure voix. Putain de Craig, pourquoi fallait-il que chaque fois qu’elle regrettait d’avoir ne serait-ce qu’envisager de s’inscrire à ce télé-crochet, elle sentait son esprit déborder du souvenir de ce visage qui, s’opposant au sien pour concorder au principe du concours auquel ils avaient participé, avait fini par devenir une ancre qu’on lui avait retiré sitôt la lumière des projecteurs éteintes ? Jo ravala la réponse, elle ravala ses regrets, se concentrant sur les traits stoïques de la personne de l’autre côté de la table qu’elle n’écouta qu’à moitié, perturbée par son propre fil de pensées. Encore une fois, elle venait de perdre une partie par excès de confiance en elle — elle n’apprendrait jamais de ses erreurs décidément —, et quelque chose lui disait que ça ne plaçait pas le jeune homme en bonne voie pour obtenir autre chose d’elle que des sarcasmes et des insultes. Vraiment ?
Jo n’en savait rien, et même si elle y penserait encore quelques heures après qu’ils se soient quittés, elle ne marinerait pas plus que de raison sur cette rencontre avec le Jordan Belfort de Brisbane, consciente que le monde dans lequel ils évoluaient était bien distinct, et que les chances qu’ils se revoient étaient aussi mince que son manque de patience ; qui se rappela à elle quand, entendant la dénomination petit ami s’échapper des lèvres d’Archie, elle roula des yeux en pinçant les siennes pour tourner la tête vers Ray. Il s’avançait droit vers leur table, et fronça les sourcils lorsqu’il s’aperçut que Josephine n’était plus seule. Le regard vaseux, il s’essuya les narines avec sa manche, aussi prêt à en découdre avec son adversaire du soir, que de s’endormir en un claquement de doigt tant il paraissait défait par la dose qu’il venait de s’enfiler comme du sucre acidulé. Jo secoua la tête par dépit, les mâchoires serrées et le jugement pointant vers Ray qui s’avançait chaque seconde un peu plus. Et puis doucement, attirée par quelque chose qu’elle n’essaya pas de repousser, elle opéra un autre tour dans l’idée de poser son regard sur Archie avant de comprendre qu’il était sur le départ et qu’il lui laissait son numéro. Qui laissait encore des cartes à notre époque ? La question lui traversa l’esprit, mais ne l’empêcha pas de prendre le bout de carton tronqué du statut social du jeune homme dont elle ne connaissait toujours par le prénom - qui lui importerait peu une fois qu’elle l’aurait en sa possession, mais elle tenait à avoir le dernier mot "Hey, si t’espères un second round, va falloir me dire comment tu t’appelles pour inscrire ton nom sur ma liste noire." lui lança-t-elle à distance alors qu’il avait déjà traversé une partie de l’allée bordée de table "C’est qui ce guignol ?" intervint Ray en reprenant sa place, laissée chaude par Archie, juste en face de Jo. Cette dernière ne lui adressa pas un regard, le laissant vadrouiller sur le chemin que sa rencontre du soir venait de prendre, et qui lui laissa un goût doux-amer dans le fond de la gorge. Quiconque la connaissait un tant soi peu — et ils n’étaient pas nombreux — aurait décelé le maigre sourire qu’elle laissa filer avant de tourner la tête, l’expression d’une neutralité désarmante, vers Ray sur qui elle aboya brusquement "Ta gueule. Il t’en reste sur le bout du nez."
rp terminé. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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