| it takes two to piss them all off - Knox |
| | (#)Sam 19 Déc 2020 - 14:06 | |
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It takes two to piss them all off
Ce RP a lieu en mai 2020, un mois après l'arrivée d'Ana à Brisbane. Ana est entrée sans payer, comme souvent, pas qu’elle soit totalement sans le sou mais elle garde ses dollars pour des dépenses qui valent le coup, chez son dealer principalement. La musique, elle peut en avoir facilement et gratuitement dans les raves qui sont nombreuses autour de Brisbane. Mais ce soir, elle est entrée sans payer dans une boîte, parce qu’on lui a dit que le DJ était pas mauvais et surtout parce qu’il y a une personne qu’elle doit voir à cette soirée, une des connaissances qu’elle s’est fait rapidement en un mois de présence en Australie. Le genre de gars qui rachète les téléphones qu’elle a subtilisés dans les poches des passants, les nettoie et remet à neuf avant de les revendre. Avec les cinq iPhones qu’elle a dans la poche intérieure de sa veste, elle aurait largement pu se permettre de payer l’entrée à dix balles, mais par principe elle est rentrée par la fenêtre des toilettes. Elle est arrivée en avance, a eu le temps de se faire offrir de nombreux verres, de se faire quelques petits rails dans les toilettes et de profiter du mix, elle a même dansé parmi les clubbers transpirants tout en guettant le message de son acheteur sur son téléphone la prévenant de son arrivée, se fondant ainsi dans la masse. C’est à la fin du mix du blondinet plutôt appétissant qu’elle reçoit le message, elle commence donc à s’extraire de la foule en mettant des coups de coude sans vergogne pour se frayer un chemin parmi les corps agglutinés.
Son coude rencontre durement la mâchoire d’une nana minuscule sans même qu’elle ne s’en soucie. Ça gueule dans son dos, elle répond par une insulte hurlée pour être sûre que son insolence ne soit pas couverte par la musique, sauf que le mec de la nana n’est pas minuscule lui. Il l’attrape et la retourne, Ana se débat en ne se départissant pas de ses remarques provocantes, il la secoue comme un prunier et là c’est le drame. Elle sent un téléphone, peut-être plusieurs, chuter de sa poche et tomber au milieu de la foule. Elle comptait juste laisser le gars se défouler en l’agitant comme une paire de maracas et repartir en leur adressant un doigt d’honneur cordial, mais là, elle pète un plomb. Si son butin se fait piétiner par les danseurs, elle aura perdu une mine d’or en quelques secondes. Alors plusieurs coups partent, un flot d’insultes, des menaces, elle essaye de se libérer de l’emprise du gars pour sauver les smartphones encore sauvables. Elle ne frappe pas que son assaillant, ses gestes désordonnés touchent d’autres gens qui n’ont pas vu d’où cela venait. Ils sont en bord de la piste de danse mais toujours dans la masse, et l’agitation d’Ana créé un mouvement de foule, des quiproquos, d’autres personnes commencent à se battre parce que l’un a poussé l’autre, parce l’une croit que l’autre l’a frappé. Ana ne le voit pas, mais même le DJ qui vient de quitter la scène et passe près de là se retrouve pris à partie.
Ça devient le bordel, Ana est libérée dans la confusion et elle sait que se retrouver au sol dans ce merdier est la pire idée du siècle mais elle plonge tout de même, dans l’espoir de retrouver son butin intact. Elle se fait à moitié piétiner mais elle repère rapidement un téléphone non loin et avance à quatre pattes pour le récupérer. 800 fucking bucks, don’t be fucking smashed... Il a l’air intact, c’est un putain de miracle, elle l’a presque en main, il ne reste que quelques centimètres pour que ses doigts ne le saisisse mais un gros pied vient littéralement l’exploser sous ses yeux. You’re fucking kidding me! Par réflexe et par colère, elle saute sur les jambes de l’inconnu, le déséquilibre et sans réaliser qu’il s’agit d’un membre de la sécurité de la boîte, commence une lutte au sol avec lui. La suite est peu glorieuse, elle et plusieurs personnes se font maîtriser, embarquer dans une pièce en attente de l’arrivée des flics. Ana, alcoolisée et survoltée par la coke, n’en démord pas et couvre le videur qui les surveille d’insultes tout en s’agitant : « Hey you fat fuck ! Are you listening to me or you’re fucking deaf from all that intense wanking ? I told you, you didn’t get the one responsible for all this shit ! The son of a bitch started all that by attacking me and tossing my phone on the floor and that’s me you’re detaining, motherfucker ?! » Elle essaye de l’avoir à l’usure, histoire qu’il finisse par la relâcher, avant que les flics arrivent surtout parce que s’ils la fouillent et trouve quatre iPhones volés sur elle, il va encore falloir que Saül vienne payer les pots cassés et elle se passerait bien de sa leçon de morale qui suivra. Voler c’est mal, se battre c’est mal, se droguer c’est mal, bla bla bla… Dans la pièce avec elle, il y a le DJ et un pauvre type qui est tellement saoul qu’il est en train de s’endormir sur sa chaise. Elle se tourne vers le blondinet : « And you, can’t you make them release us ? You’re working here, no ? Make yourself fucking useful ! »
- Spoiler:
Désolée, j’ai un peu galéré à poser le décor, c’est pour ça que cette ouverture arrive si tard. J’espère que ça te convient, je te laisse expliciter comment tu te retrouves dans le merdier et dis-moi si tu veux que je change un truc
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| | | | (#)Lun 21 Déc 2020 - 10:28 | |
| Cela fait quelques heures déjà que j’ai fini mon set à la boite. Je bossais tôt ce soir, mais je n’ai eu aucune envie de rentrer chez moi, alors je suis resté. Je me suis trouvé un coin tranquille, un coin VIP, c’est l’avantage de bosser ici c’est que je n’ai pas besoin de payer, et que je peux profiter tranquillement sans être emmerdé par les gens un peu trop bourrés sur le dance floor. Je commande une bouteille, m’installant tranquillement avant de remarquer un mec que je connais, celui qui vient souvent vendre de la drogue dans le coin et je dois bien avouer qu’il tombe à pic. Je me relève, fini mon verre cul-sec, et me dirige rapidement vers lui. Je lui achète quelques trucs, discrètement, jusqu’à ce qu’un autre mec débarque et commence à s’énerver parce que le dealer refuse de lui donner quoi que ce soit sans être payé. J’essaye de m’éloigner, ne voulant pas être pris dans les problèmes, mais rapidement le mec commence à essayer de frapper autour de lui.
Je ne calcule pas vraiment ce qu’il se passe, parce que j’ai un peu bu, et déjà pris une petite pilule de couleur, mais mes poings rencontrer plusieurs fois le visage du mec en face de moi. Jusqu’au moment où je sens quelqu’un me retenir. La sécurité. Eh merde. Le brun qui voulait de la drogue sans payer se fait entraîner aussi vers la petite salle. Moi qui voulais éviter les grosses embrouilles, je crois que c’est louper. « Come on mate, you know this shit started it. » Mais le mec de la sécurité, un nouveau que je n’ai vu qu’une ou deux fois qui s’appelle James, me lance un regard sans bronché et je sais que c’est peine perdue. Je soupire lourdement et me pose sur une chaise. Je crois que je suis bon pour passer la nuit en tôle vu que les flics ne vont surement pas tarder. Je suis à peine assis qu’il amène aussi une blonde, maquillé avec beaucoup de noir autour des yeux et qui se met à gueuler. « Hey you fat fuck ! Are you listening to me or you’re fucking deaf from all that intense wanking ? I told you, you didn’t get the one responsible for all this shit ! The son of a bitch started all that by attacking me and tossing my phone on the floor and that’s me you’re detaining, motherfucker ?! » Elle est vulgaire, encore plus que je ne le suis quand je suis énervé et en verité, cela me fait sourire. Je les connais pourtant les mecs de la sécurité ici, et malheureusement, on ne s’en sortira pas avant que les flics débarquent. « And you, can’t you make them release us ? You’re working here, no ? Make yourself fucking useful ! » Elle se tourney vers moi et je fronce les sourcils. « First of all, don’t fucking talk to me like that. And second, they’re no point of trying to argue with them, they’re a pain in the ass. So just sit the fuck down and shut up. » Je lève les yeux au ciel, mais tant quand même de me tourner vers James pour négocier. « Come on mate, let us go. You know if I have trouble there’ll be nobody to play tomorrow night. » Mais il reste impassible, mais lancant à peine un regard et j’ai beau être grand et assez muscle, je n’irais pas me frotter à James. Je soupier. « Well fuck you then. » Et je m’avachis un peu plus sur ma chaise. |
| | | | (#)Mer 30 Déc 2020 - 19:32 | |
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It takes two to piss them all off
Ana n’y croit pas, de tous ces débiles qui se tapaient dessus il n’y a qu’elle qui se fait embarquer. Tout ça parce qu’elle s’est attaquée à un gars de la sécurité, mais il a piétiné son iPhone 12 aussi, ça va lui coûter une fortune. Tout ça a commencé parce qu’un décérébré a voulu défendre le pseudo honneur de sa naine de compagnie en secouant Ana comme un prunier. Quand on la jette dans une petite pièce, elle se débat comme si sa vie en dépendait, juste pour faire chier le vigile et lui rendre la tâche plus compliquée. Ils sont déjà deux là, elle reconnaît le DJ qui mixait quand elle est arrivée, un beau gosse blond et bronzé, un vrai Australien. A côté, y a un gars mort saoul avec le visage tuméfié. Apparemment, il n’y a pas eu du grabuge que de son côté. Elle s’acharne sur le gars qui les surveille en s’indignant de la situation avec un nombre d’insulte à la seconde assez impressionnant pour un non initié. Puis elle se retourne vers ses compagnons d’infortune et voit le sourire en coin du beau gosse. Alors elle l’interpelle avec toute la délicatesse dont elle sait faire preuve pour qu’il se montre utile. « First of all, don’t fucking talk to me like that. And second, they’re no point of trying to argue with them, they’re a pain in the ass. So just sit the fuck down and shut up. » Elle lâche un rire qui la détend un peu. Elle a trouvé un challenger sur la récurrence de l’utilisation du mot fuck et de ses dérivés. « Yeah, yeah and don’t tell me what to do, Mick Fanning. » lâche-t-elle avec un sourire insolent. Mick Fanning, c’est un surfer australien, Ana n’y connaît rien en la matière mais il est célèbre le gars, elle a vu sa tronche et son nom un peu par hasard. Ça l’amuse simplement de comparer le DJ à un surfeur, il faut dire que ça l’étonnerait même pas qu’il en fasse, il a la gueule de l’emploi. Elle reste debout bien sûr, car elle ne compte suivre les ordres de personne, puis aussi car les deux seuls sièges de la pièce sont occupés par le gars mort saoul et le DJ. Sa colère envers le vigile est reléguée au second plan, elle regarde juste le blondinet lever les yeux au ciel avant de tout de même tenter sa chance pour les libérer. « Come on mate, let us go. You know if I have trouble there’ll be nobody to play tomorrow night. » Ana observe la scène adossée au mur dans le coin de la pièce. Elle lève les yeux au ciel à son tour, l’argumentaire du blond ne semble pas le moins du monde efficace. Le vigile a l’air de s’être transformé en statue de marbre, il ne laissera s’échapper ni le DJ, ni Ana. « Well fuck you then. » L’italienne reporte son regard sur l’australien et s’esclaffe : « You and your mate have a lovely relationship... » Elle se décolle du mur pour s’approcher de lui, avachi sur sa chaise et l’observe plus attentivement, il est définitivement sexy le bonhomme. Il a un air de Monsieur Parfait qui agace Ana, mais les circonstances dans lesquelles ils se rencontrent tendraient à prouver que les apparences sont trompeuses. Elle détourne son regard vers le sac à vin à moitié endormi sur la chaise à côté, attrape le dossier de la chaise et la penche en avant lentement, faisant ainsi glisser le pochtron de son siège avec fluidité. Jusqu’à ce qu’il tombe au sol durement, ça c’était moins fluide et qu’il commence à râler et pousser un juron sans pour autant prendre la peine de se relever. Il est totalement cuit. « Yeah, yeah shut up and eat shit. » Elle soulève la chaise et la place face à celle du blond avant de s’asseoir dessus. « Your set wasn’t that bad that they had to call the cops on you… So what did you do ? » Tant qu’à être bloqués là, autant sociabiliser entre délinquants au physique agréable. Elle se retourne vers le vigile et le surprend en train de tendre l’oreille pour essayer d’écouter ce qu’ils se disent : « Do you mind, dipshit ? We’re trying to have a private conversation here. » Il lève les yeux au ciel lui aussi, l’air sur le point d’exploser, mais ça n’inquiète pas Ana plus que ça, elle a l’habitude de mettre les gens dans cet état. Elle reporte son attention sur le beau gosse dont elle ne connaît même pas le prénom et décide de se présenter : « I’m Ana and you ? I could call you David Guetta but you’re much better looking than him... » Est-ce qu’elle peut se fier à lui ? Est-ce qu’il pourrait l’aider à planquer tous les trucs incriminant qu’elle a sur elle avant que les flics débarquent ? La coke et les téléphones surtout.
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| | | | (#)Ven 1 Jan 2021 - 12:53 | |
| Elle est vulgaire la blonde qui est assise sur le banc face à moi dans la cellule de tôle, presque plus vulgaire que moi et cela me fait un peu sourire. Ma mère râle toujours lorsque je sors le mot fuck, et pourtant je crois que la nana en face de moi lui ferait encore plus hérisser les poils. Ca me dérange pas qu’elle soit vulgaire, pas vraiment lorsqu’elle s’adresse au mec qui surveille notre cellule, mais ca me dérange beaucoup plus quand elle s’adresse à moi. Elle m’agresse et pas du genre à me laisser faire, surtout pas une petite minette comme elle, je lui réponds sur le même ton ce qui a visiblement le don de la faire rire. Elle ne doit pas avoir l’habitude qu’on lui réponde la blonde, pas sur le même ton qu’elle prend en tout cas. « Yeah, yeah and don’t tell me what to do, Mick Fanning. » Je lève les yeux au ciel, ne répondant pas à la blonde et fini par me lever à mon tour pour aller vers le garde de sécurité. Je tente de négocier un peu, parce que je le connais et que je me dis que si je le prends un peu par les sentiments il finira par nous laisser sortir, du moins au moins moi, le reste je m’en fou. Mais il reste impassible, il me regarde à peine et ne prend même pas la peine de répondre, alors moi aussi je l’insulte avant de revenir m’asseoir. « You and your mate have a lovely relationship... » « Oh fuck off! » Je lui dis, le plus poliment du monde.
Je l’observe la blonde, alors qu’elle s’avance vers le mec complètement torché qui est avec nous pour lui piquer sa chaise. Elle n’a aucun scrupule et le laisse tomber au sol avant de venir s’asseoir sur la chaise à présent libre. « Yeah, yeah shut up and eat shit. » Et puis c’est vers moi qu’elle se tourne, pour visiblement venir me parler. Surement un moyen de passer le temps. « Your set wasn’t that bad that they had to call the cops on you… So what did you do ? » Je lève mon poing abîmé et légèrement en sang vers elle. « Fucking assholes, that’s how. » Oui parce qu’il y a toujours des gens pour ruiner la soirée, pour foutre la merde et ce soir n’a pas louper à la règle. « What about you? Did you some broke one of your nail so you punched him? » Je lui demande avec un petit sourire en coin, parfaitement sur que ce n’est pas pour cela qu’elle est là. « Do you mind, dipshit ? We’re trying to have a private conversation here. » Qu’elle dit en se tournant vers le vigile et je remarque alors qu’il tend l’oreille pour tenter d’écouter notre conversation.
« I’m Ana and you ? I could call you David Guetta but you’re much better looking than him... » J’hésite, je la regarde essayant de voir ce qu’elle veux vraiment, parce que je connais ce genre de nanas. « Knox. » Je réponds simplement. « And don’t try to make a deal, we’ll spend the night in cells believe me. » Je les connais les vigils, je les connais les flics qui viennent nous récupérer et ce n’est pas la première fois que je vais passer la nuit en cellule de dégrisement. « Get comfy. » J’ajoute avant de m’avachir un peu plus sur la chaise et de croises les bras.
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| | | | (#)Dim 3 Jan 2021 - 14:12 | |
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It takes two to piss them all off
Les impolitesses d’usage sont échangées, un pochtron est envoyé au tapis et Ana a finalement un siège à sa disposition pour se retrouver à la hauteur du blond. Elle lui demande comment il a atterri là puisque visiblement il a du faire de la merde pour que son mate ne veuille pas le libérer. « Fucking assholes, that’s how. » C’est la faute des autres, Ana est tout à fait d’accord avec cette affirmation. « My point exactly ! » Il lui a brandi son poing égratigné pour expliciter un peu plus les circonstances du merdier. Il ya donc eu deux bagarres simultanées ou presque dans cette boîte, c’est vraiment malfamé par ici. Cette pensée fit pouffer Ana qui fréquentait des endroits bien pires que cette discothèque. « What about you? Did you some broke one of your nail so you punched him? » Ana lui lance un regard désabusé et lui adresse un magnifique doigt d’honneur orné d’un ongle long et peint en noir. « First of all, fuck you. And no, just some random wanker who attacked me for no reason and made my phone fell down. Another wanker came along and crushed it with his fucking enormous foot just before my eyes … I flipped on him, long story short it was the fucking bouncer... » Bien entendu, il suffit qu’Ana décide sur un coup de tête de s’en prendre physiquement à quelqu’un, alors que ce n’est clairement pas sa spécialité, pour que ce soit un putain d’agent de sécurité. Le gars en question n’est pas celui qui les surveille planté devant la porte, mais il a l’air tout de même de s’intéresser à la conversation comme si c’était de lui dont il s’agissait. Ana l’envoie donc bouler une fois de plus avant de se retourner pour faire les présentations. Elle peut bien lui trouver des surnoms toute la nuit au blondinet, mais autant savoir à qui elle a affaire.
Il la jauge du regard et elle lui adresse un sourire insolent. « Knox. » Knox, knox, who’s there ? Knox. « And don’t try to make a deal, we’ll spend the night in cells believe me. » Quel rabat-joie celui-là. Ana perd son air amusé, elle n’a aucune envie de passer la nuit au poste, surtout avec ce qu’ils vont trouver sur elle. Elle va être obligée d’appeler Saül pour qu’il vienne glisser un paquet de billets pour qu’ils la laissent repartir et elle aura droit à une leçon de morale sans fin par la suite. « Get comfy. » Et elle le voit s’enfoncer dans son siège résigné. Ana jette un regard discret vers le vigile, il a l’air absorbé par un truc sur son téléphone, il a peut-être abandonné l’idée d’écouter leur conversation, après tout il va les livrer aux flics et dans quelques minutes, ils ne seront plus son problème. Elle se penche vers DJ Knox Knox et à voix basse lui dit : « Yeah, but I’m a bit loaded... » Dans tous les sens du terme, s’ils leur font des tests de drogue, elle est mûre mais surtout, elle veut dire qu’elle a les poches pleines de choses illégales qui risquent de prolonger son séjour au poste. Et c’est d’ailleurs pour cela qu’elle désigne discrètement son sac bandoulière, comme elle tourne le dos au vigile il ne peut techniquement pas voir ses gestes à moins de se pencher. Elle s’avance encore un peu vers Knox et baisse encore d’un ton : « Isn’t there a way to hide my things somewhere here and safely retrieve them later… ? » La pièce est encombrée de bordel, à coup sûr personne ne vient fouiller là-dedans mais il en saura forcément plus qu’elle puisqu’il bosse là. Et elle va avoir besoin d’une diversion pour planquer son butin sans que le vigile s’en rende compte, et elle n’a que lui à disposition. Il va peut-être l’envoyer chier mais qui ne tente rien n’a rien. Elle se retourne subrepticement pour vérifier ce que fait le vigile et vérifier qu’il n’a rien entendu.
- Résultat des dés:
Win : Il est en train de se marrer en regardant une vidéo sur son téléphone, il va pas les surveiller plus que ça jusqu’à l’arrivée des flics. So close : Il n’a rien entendu, mais il relève les yeux à ce moment-là et il sent le coup fourré. Il range son téléphone et se met à les fixer avec insistance. Fail : Il a visiblement tout entendu, il attrape le dossier de la chaise sur laquelle Ana est assise et tire violemment en arrière pour la placer de l’autre côté de la pièce, loin de Knox. « Pas bouger » Il va les garder séparés jusqu’à l’arrivée de la police.
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31461 POINTS : 400 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Dim 3 Jan 2021 - 14:12 | |
| Le membre ' Anastasia Williams' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Lun 4 Jan 2021 - 14:27 | |
| Les caractères fort je connais ca, parce que dans la famille on est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, surtout moi d’ailleurs ; Et j’ai une meilleure amie qui est plutôt têtue dans son genre aussi. Alors quand la blonde qui se trouve dans la même pièce que moi ce met à jurer, cela me fait rire doucement. Elle jure, elle utilise de grands mots et je me dis qu’elle doit bien être une chieuse dans le reste de sa vie, ce n’est pas difficile de le deviner. Mais j’aime bien les nanas a caractère, c’est souvent avec ce genre de femmes que je m’entends bien. « My point exactly ! » Qu’elle répond alors que je me laisse tomber sur une chaise. Nous ne sommes pas prêt de sortir de là, surtout que les flics sont sur le point d’arriver. « First of all, fuck you. And no, just some random wanker who attacked me for no reason and made my phone fell down. Another wanker came along and crushed it with his fucking enormous foot just before my eyes … I flipped on him, long story short it was the fucking bouncer... » Je lève les yeux au ciel en entendant l’histoire de la blonde. Tout ca pour un telephone, je pense, c’est un peu con.
Elle se présente la blonde, et n’ayant rien d’autre de mieux à faire, je me présente en retour. Je lui fais également bien comprendre que ce n’est pas la peine qu’elle perde sa salive pour essayer de se sortir de la situation parce que nous allons très probablement passer la nuit en cellule de dégrisement. Ce ne serait pas ma première fois et je doute que ce soit la première fois de la nana qui se vient de s’assoir face à moi. « Yeah, but I’m a bit loaded... » Je n’ai pas besoin qu’elle m’explique pour que je comprenne. Ca se lit sur son visage qu’elle a touché à la drogue et je ne suis pas du tout surpris de savoir qu’elle doit bien en avoir sur elle aussi. « Isn’t there a way to hide my things somewhere here and safely retrieve them later… ? » Je m’apprête à répondre, à l’aider même mais le vigile se tourne vers elle, saisit sa chaise et traine la blonde à l’autre bout de la pièce. « Are you fucking serious?! » Il a décidé d’être chiant le vigile ce soir, visiblement pas d’humeur à plaisanter. Je soupire lourdement. « Asshole. » J’ajoute dans ma barbe, sur qu’il n’a pas entendu.
Une vingtaine de minutes plus tard, alors qu’il est occupé à faire autre chose, j’en profite pour discrètement me rapprocher de la blonde. Je tente de lui monter qu’il y a une brique creuse dans le mur ou elle peut y planquer ses trucs. Après tout, peut-être qu’elle pourra partager plus tard si je l’aide. Je jette un regarde au vigile une dernière fois et vient aider la nana à planquer sa drogue.
- Spoiler:
Win : Ils ont le temps de planqué la drogue avant que les flics n’arrivent. So close : Ils planquent la drogue, le vigile le voit mais au même moment que les flics arrivent donc il n’arrive pas à se rappeler derrière quelle brique ils l’ont planqué. Fail : Les flics arrivent à ce moment là et voit bien ce que sont en train de faire Knox et Anastasia.
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31461 POINTS : 400 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Lun 4 Jan 2021 - 14:27 | |
| Le membre ' Knox Baxton' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Mar 5 Jan 2021 - 3:27 | |
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It takes two to piss them all off
Ana tente de faire comprendre au DJ qu’elle a besoin de se décharger quelque peu d’une cargaison gênante. Elle veut bien se détendre dans l’attente des flics mais elle a bien trop de choses incriminantes sur elle. Elle voit dans le regard du beau blond qu’il a compris exactement où elle veut en venir. En même temps, maintenant qu’elle y pense, il a les pupilles bien dilatées, il probablement consommé lui aussi. Ils sont dans la même galère, ou presque, peut-être qu’il a laissé son matos dans sa loge ou un truc du genre. Elle lui demande son aide dans un murmure, sans réaliser que le vigile n’était pas si distrait que ça et clairement pas d’humeur à les laisser faire des messes basses. Elle se sent tirée en arrière avec la chaise sur laquelle elle est assise. « Stay. » qu’il lui ordonne en lui lançant un regard mauvais. « Are you fucking serious?! » s’exclame Knox aussi surpris qu’elle par la tournure des évènements. « I’m not your fucking pet. » s’insurge-t-elle en se levant de sa chaise qui s’est retrouvée propulsée à l’autre bout de la pièce. Le vigile lui broie l’épaule, la forçant à se rasseoir : « Sit. And shut up ! » qu’il beugle avec l’air d’être pas du tout d’humeur à rigoler. Ana croise les bras et rage entre ses dents : « Dickhead... »
Il les surveille comme l’huile sur le feu pendant de longues minutes et Ana garde simplement son regard fixé sur Knox. Plus les minutes s’égrainent et plus l’arrivée des flics est imminente. Elle n’est pas en panique totale, elle sait que Saül viendra la sortir de là à grand renforts de dollars australiens si elle se fait choper avec tout ça sur elle. Par contre, elle préférerait franchement ne pas perdre les cent balles de coke qui sont dans sa poche et les milliers qu’elle pourrait se faire en revendant tous ces iPhones. Ce serait du gâchis. A cet instant, quelqu’un frappe à la porte et le vigile passe la tête dans l’embrasure. Il jette un œil vers l’intérieur de la pièce et leur ordonne encore une fois de rester tranquilles, puis il sort. Ils ont peut-être besoin de lui, peu importe Ana s’en fout, elle voit le signe que lui adresse Knox avant même qu’ils soient seuls dans la pièce. Il lui montre le mur,. Elle adresse un sourire ironique au videur avant qu’il sorte de la pièce et ils se retrouvent tous deux côte à côte à palper la paroi du mur. Une brique creuse. « You’re a fucking genious ! » s’exclame-t-elle tout en attrapant le sachet de coke qu’elle glisse dans la brique. Elle plonge enfin sa main dans la poche intérieure de sa veste et en sort trois iPhone dernière génération, une vraie petite fortune. Elle prie pour qu’ils rentrent dans l’interstice et oui, c’est comme si l’emplacement avait été prévu pour ça. En quelques secondes c’est plié, le butin est dissimulé et Ana se sent plus légère. Ils se redressent juste au moment où la porte s’ouvre sur le vigile et deux policiers.
« I told you not to move... » s’énerve le vigile. « Whatever, you’re not my problem anymore. » qu’il rajoute en saisissant Ana par le bras et en la balançant dans ceux des policiers. « Hey asshole, is it fucking illegal to stand in this fucking stupid country ? » lui balance-t-elle au videur en jetant un dernier regard discret vers le mur qui contient toute sa fortune qu’elle espère retrouver très bientôt. Les policiers les embarquent tous les trois, ils les menottent, hormis le déchet humain qu’ils traînent jusqu’à la voiture. Et après une vingtaine de minute de trajet entassés à l’arrière du véhicule de police, ils sont emmenés en cellule. Apparemment, c’est une nuit agitée car ils n’ont pas assez de place pour tout le monde, c’est ainsi qu’ils finissent par entasser Ana et Knox dans la même minuscule cellule de dégrisement où une seule personne tiendrait tout juste allongée. « Great… we’ll be so comfy... » râle-t-elle pour la forme en entrant dans la pièce qui doit faire dans les 2 m². Mais en réalité, elle n’est pas mécontente, s’ils doivent se blottir l’un contre l’autre, elle préfère largement être avec Knox plutôt qu’avec le sac à vomi qui a fait le trajet avec eux. Une fois qu’ils sont enfin seuls, elle s’adosse au mur, il n’y a aucun mobilier dans la pièce, juste un sol, un plafond, trois murs et une porte en barreau : « Nice hiding place you’ve got there... » Elle a bien conscience qu’il peut totalement l’arnaquer maintenant, il a une raison d’accéder à la boîte lui, il y bosse. Elle n’a pas franchement l’ascendant sur cette situation et elle n’aime pas bien ça l’italienne, elle aime savoir où elle va : « You won’t screw me right ? I mean… With the snow. » Et elle ajoute avec un clin d’oeil : « ‘Cause I’m totally up for another type of screwing... » … if you know what I mean.
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| | | | (#)Dim 10 Jan 2021 - 13:08 | |
| « You’re a fucking genious ! »
La brique remise en place et voilà que les flics débarquent pile à ce moment-là. Nous avons eu chaud, vraiment chaud parce qu’à quelques secondes nous aurions été pris la main dans le sac en train de planquer de la drogue et visiblement quelques iPhones volés. Le vol ce n’est pas mon truc, ca ne l’a jamais été, mais je ne suis pas non plus du genre à me mêler des affaires des gens, alors je ne dis rien. Après tout, elle fait bien ce qu’elle veut la blonde. « I told you not to move... Whatever, you’re not my problem anymore. » S’exclame le vigile qui se tient au côté des deux flics et qui semble encore bien énervé contre le caractère rebelle de la blonde. Mais elle ne se laisse pas faire bien sur, et réplique avec autant de mordant que les fois d’avant. « Hey asshole, is it fucking illegal to stand in this fucking stupid country ? » Moi qui ai toujours penser être un mec chiant, je crois que j’ai trouvé bien pire que moi et cela me fait rire. Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons cependant tous les deux menottés et emmené vers la voiture de police garer devant le club.
« Great… we’ll be so comfy... » Dit le blonde en voyant la taille de la cellule vers laquelle nous sommes amenées. Il est vrai que l’endroit n’est pas grand et que nous n’allions définitivement pas pouvoir nous allonger pour nous reposer un peu. Il faut croire que c’est une nuit blanche qui est à l’affiche pour ce soir et je n’ai jamais autant rêvé de retrouver mon lit qu’en cet instant précis. Il referme la porte de la cellule derrière nous et je vais immédiatement m’assoir sur le banc rikiki qui se trouve dans un coin de la cellule. « Nice hiding place you’ve got there... » Je relève la tête vers la blonde. « Well, you know. It’s not my first rodeo princesse. » je sais que le surnom va surement l’emmerder mais je m’en fiche un peu. Je lui fais un léger clin d’œil et repose la tête en arrière contre le mur. Je ferme les yeux, bien décidé à ce que cette nuit se fini le plus vite possible. « You won’t screw me right ? I mean… With the snow. ‘Cause I’m totally up for another type of screwing... » Je rouvre les yeux pour planter mon regard sur la nana face à moi. Elle ne perd pas de temps visiblement la blonde. « Well… I wouldn’t mind you share a bit. » J’hésite quelques instants, la regardant un peu plus. Je ne dis jamais non à une partie de jambe en l’air, mais je n’ai pas envie de me retrouver avec une folle sur les bras et la dénommée Ana n’a pas l’air des plus raisonnables. « And for the other kind… Let’s say we’ll see if you still want to after a night in here. » Je ris un peu. « I guess it’s not the first time you end up in here? »
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| | | | (#)Sam 16 Jan 2021 - 16:44 | |
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It takes two to piss them all off
Ils sont dans une minuscule cellule de dégrisement, à peine y a-t-il la place d’y tenir à deux et le seul mobilier de la pièce est un banc rikiki permet à peine de poser la moitié d’un postérieur de taille normale. Il y prend place aussitôt, tandis qu’Ana s’adosse au mur et évoque la cachette inattendue qui lui a sauvé la mise dans la boîte de nuit. « Well, you know. It’s not my first rodeo princesse. » Instantanément, sa mâchoire se contracte et elle fusille le blonde du regard. Qu’est-ce qu’ils ont tous à l’appeler « princesse », ils pourraient utiliser mille surnoms ou insultes qu’elle n’en aurait rien à faire, mais non, à chaque fois c’est « princesse » qui sort de leur bouche. Princesse, le petit sobriquet niais à souhait que lui donnaient ses parents quand elle était jeune, même quand elle a commencé très tôt à s’opposer à eux et à leur faire des crises de colère, ils ont tenté d’en faire une petite princesse sage. Visiblement, ils n’ont réussi qu’à la rendre allergique à ce sobriquet et à la faire d’elle tout l’inverse d’une héritière de famille royale. En temps normal, Ana se serait contentée de le noyer d’insultes et de ses barrer mais elle est comme qui dirait « coincée ». Elle pourrait aussi lui broyer les testicules pour lui passer l’envie de l’appeler à nouveau comme ça, mais ils sont surveillés et elle avait d’autres projets pour son appareil génital. Alors, elle ravale son instinct qui lui murmure d’arracher les cordes vocales de quiconque se permet de l’appeler ainsi, elle lâche un soupir pour évacuer la rage et se contente de répondre : « Don’t ever « princess » me again… I’m not kidding... » Elle a bien envie de rajouter que ceux qui ont emprunté ce chemin malgré ses avertissements ne sont plus de ce monde pour le prouver, mais même Ana est capable de réaliser que balancer des menaces de mort en plein poste de police n’est pas une riche idée.
Elle préfère changer de sujet bien vite, ne pas lui laisser l’occasion de se la jouer petit merdeux provocateur, elle peut déjà anticiper qu’il serait du genre à le répéter, juste pour voir ce qu’il se produit s’il le fait. Ce serait bien le genre de réaction qu’elle pourrait avoir elle-même, elle ne sait que rarement s’arrêter, Ana, et quand elle le fait c’est souvent trop tard. Elle a souvent déjà dépassé le seuil de tolérance de son interlocuteur et elle ne peut compter que sur son légendaire sprint pour se sortir de la situation critique dans laquelle elle s’est mise toute seule. Alors, elle enchaîne sur la coke et le sexe, de quoi détourner leur attention à tous les deux du Princess Gate. « Well… I wouldn’t mind you share a bit. » Ana lève les yeux au ciel, elle s’en doutait pourtant, on n’a jamais rien gratuitement sur cette planète. « Yeah, right, but only you-know-what. I’m getting my phones back. » Comme s’il s’agissait de ses téléphones personnels, comme si il allait croire cela, mais en même temps elle n’allait pas crier dans la cellule qu’elle avait volé des téléphones. Ils ne la connaissent pas encore pour ses capacités de pickpocket à Brisbane, bien que ce ne soit pas sa première visite au poste. « And for the other kind… Let’s say we’ll see if you still want to after a night in here. » « I guess we’ll see… » Mais Ana n’est pas franchement regardante, dès l’instant où elle est attirée par la personne, il n’y a pas grand-chose qui puisse la faire changer d’avis. Elle ne cherche pas l’amour, ni même une connexion quelconque, le sexe n’est qu’un plaisir immédiat et facile à obtenir, il lui donne la satisfaction d’allonger son tableau de chasse et un orgasme si elle est chanceuse. Alors elle n’est pas bien exigeante sur la conversation du mec et le seul vrai critère est qu’il ne se sente pas émasculé par sa personnalité dominante et provocatrice, ce qui arrive souvent depuis son arrivée à Brisbane. Des petites natures ces Australiens, elle n’en a pas trouvé beaucoup pour lui tenir tête dans la conversation ou sous les draps...
« I guess it’s not the first time you end up in here? » Elle rit également. « Is that so obvious ? » Il a dû remarquer à quel point les menottes lui vont bien, elle a appris à les porter avec style à force de finir embarquée. « It’s actually italian cops thas know me really well. I’ve been here for a few weeks only, didn’t get the chance to learn all their first names yet... » plaisante-t-elle en désignant les officiers au bureau et de passage dans le couloir. Elle finit par poser son demi-postérieur sur le banc miniature, ils sont maintenant épaule contre épaule, il faut dire qu’il prend de la place l’Australien avec sa carrure de body builder. « You ? Do you beat up drunk assholes on a daily basis ? » questionne-t-elle avec un sourire amusé. Ana est assise et quiconque la connaît sait qu’elle ne tiendra pas bien longtemps immobile, mais pour le moment c’est sa jambe qui tressaute inconsciemment, pas qu’elle soit stressée mais c’est une manière d’évacuer son trop plein d’énergie d’une manière dérivée. Puis Ana décide que si cette nuit est sensée être une sorte de période d’essai menant à un coït potentiel, autant se renseigner sur l’individu qui se trouve face à elle. « What do you think about playing a drinking game ? » Oui, c’est un jeu qui requiert habituellement de grandes quantités d’alcool et il y a peu de chance qu’un policier accepte de leur fournir le carburant nécessaire au jeu. « We play now, remember the scores and drink them on the second date ? » Si l’on peut considérer qu’une nuit en cellule de dégrisement est un premier rendez-vous… Le deuxième rencard, selon Ana, ce sera celui où il lui rendra la coke au moins en partie et les téléphones, le deuxième rencard où elle tentera de rajouter le stéréotype de l’Australien blond, bronzé et musclé à son tableau de chasse. « I start : never have I ever fucked in a public place. » Elle le regarde un instant et se marre en faisant mine de boire dans un verre invisible : « I lied, I did. I drink. That’s one for me. Your turn. » A son tour de prétendre boire s’il l’a fait et à son tour de lancer une nouvelle manche du jeu, de quoi en apprendre l’un sur l’autre et faire passer le temps dans cette étroite cellule.
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| | | | (#)Lun 18 Jan 2021 - 11:01 | |
| « Don’t ever « princess » me again… I’m not kidding... » Je la regarde avant de rire un peu. Elle me fait rire la blonde, à faire sa grosse dure, mais je suis sur que juste parce qu’elle m’a dit de ne pas l’appeler comme cela, c’est exactement ce que je vais refaire dans cinq minutes. Mais pour le moment je n’insiste pas, je ne dis rien de plus qu’un : « Whatever. » Et je m’installe sur le banc présent dans la cellule. Je sens que la nuit va être vraiment longue.
La nana semble pourtant rapidement inquiète pour ce qu’elle a planqué dans le mur de retour à la boite de nuit. Je veux dire, j’y serais de retour bien avant elle parce que j’y bosse, et l’idée de lui piquer un paquet de poudre blanche me traverse bien évidemment l’esprit. J’ai bien envie d’être un connard et de lui dire que je verrais si je lui rends ou pas, mais je décide de ne pas le faire, parce que je suis certains qu’elle serait capable de me faire bien trop chier la blonde. Elle a une tête de teigne, de grande chieuse quand elle s’y met. « Yeah, right, but only you-know-what. I’m getting my phones back. » J’hausse les épaules. « I don’t fucking care about your phones. Don’t need more than mine. » Plus je passe du temps avec la junkie face à moi et plus je comprends pourquoi se passage par la case prison est bien loin d’être le premier et surement pas le dernière non plus. Elle doit y finir bien souvent et je me demande même comment elle n’a pas été condamnée plus longtemps que vingt quatre heures. Et puis soudain, elle me propose même que l’on s’occupe autrement, que l’on baise un bon coup et cela ne manque pas de me faire rire. La cellule de prison n’est pourtant pas assez grande pour cela. « I guess we’ll see… » J’hoche la tête. La curiosité prend le dessus et je lui demande alors si c’est la première fois qu’elle finit ici même si la réponse est plus qu’évidente. « Is that so obvious ? » « Kind of yeah. » « It’s actually italian cops thas know me really well. I’ve been here for a few weeks only, didn’t get the chance to learn all their first names yet... » Je lève les yeux au ciel en l’entendant. Je suis presque persuade que si elle ne c’est jamais fait arrêter plus longtemps c’est qu’elle doit avoir un père avocat ou flic, un truc du genre. « You ? Do you beat up drunk assholes on a daily basis ? » « It’s happens yeah, when they’re really fucking dickheads. » Je lui réponds. J’ai beau être un connard, ne pas être le mec le plus correct et le plus sain, j’ai quand même des limites.
« What do you think about playing a drinking game ? » J’hausse les épaules. « We play now, remember the scores and drink them on the second date ? » Je fronce les sourcils avant de rire un peu et de lui répondre. « You seem pretty sure of that. » Je lui dit alors qu’elle a l’air persuade que l’on se reverra. Elle semble vraiment y croire. « I start : never have I ever fucked in a public place. » Je lève le bras et lève les yeux au ciel alors qu’elle fait mine de boire un verre invisible. Je n’ai pas spécialement envie de jouer, mais bon, au moins cela fait passer le temps. « I lied, I did. I drink. That’s one for me. Your turn. » « Never have I ever fucked with more than one person at the same time. » Je la regarde.
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| | | | (#)Mar 26 Jan 2021 - 18:06 | |
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It takes two to piss them all off
Ils sont beaux, ils sont jeunes, ils sont saouls et ils sont coincés dans la même cellule de dégrisement. Cela ressemble au début d’une comédie romantique, cela mis à part qu’il n’y a rien de romantique dans la façon dont Ana regarde le DJ. Elle se dit simplement qu’elle va pouvoir se mettre sous la dent un sacré morceau, si elle ne le fait pas fuir trop rapidement. Il la traite de princesse, elle le menace mais elle voit à son expression qu’il se fera probablement un plaisir de la provoquer à nouveau avec ce sobriquet qu’elle déteste tant. Mais pour l’heure, ils se mettent d’accord sur l’arrangement dont ils n’ont franchement pas eu le temps de parler : le partage du butin que Knox a sauvé in extremis des flics. « I don’t fucking care about your phones. Don’t need more than mine. » Il n’est pas con, il a forcément deviné que ce sont des téléphones volés. Mais de toutes façons il n’a pas l’air d’avoir besoin d’argent et il serait probablement incapable de refourguer les iPhones sans se faire choper. « Fucking great ! » répond-t-elle avec un haussement de sourcil sarcastique, le juron est inutile mais elle l’ajoute simplement pour ne pas lui laisser le monopole de vulgarité.
Puis, Ana saute directement aux avances, elle lui propose sans détour et il émet un doute sur le fait qu’elle en ait encore envie après une nuit en sa compagnie. Il doit avoir l’habitude de saouler les gens, pas de chance, Ana aussi a l’habitude de faire péter un plomb à son entourage. On verra bien lequel des deux est le plus excédé au petit matin, lequel des deux en aura perdu sa libido. Peut-être qu’ils le seront tous deux, ou au contraire qu’ils auront toujours envie de se sauter dessus à la sortie, mais seul l’avenir le dira. Viennent ensuite les habituelles questions entre délinquants, est-ce que ça t’arrive souvent de finir derrière les barreaux ? Est-ce que tu tabasses souvent des mecs bourrés ? « It’s happens yeah, when they’re really fucking dickheads. » Il lève beaucoup les yeux au ciel, le Knox, presque à chaque fois qu’Ana ouvre la bouche. « You think you’re better than me ? Is that it ? » lui balance-t-elle en le jaugeant des pieds à la tête. Il ne la connaît pas, elle ne le connaît pas plus et aucun des deux n’est bien placé pour juger l’autre. Pas qu’Ana se soucie de ce qu’il peut bien penser d’elle, mais le voir rouler des yeux de manière aussi condescendante, ça lui donne envie de lui donner des claques. Elle ne va pas le faire, bien sûr, car elle n’a pas envie d’allonger la liste des infractions de la soirée, surtout sous le nez des flics, mais aussi car elle préférerait franchement évacuer son agacement en le chevauchant complètement nus.
Ils s’agacent mutuellement, peut-être parce qu’ils sont trop semblables. Mais Ana est loin d’être rancunière, elle passe d’une humeur à l’autre en un clin d’œil et c’est ce qui se produit quand elle réfléchit à la manière de passer la nuit de manière intéressante. Voilà donc qu’elle fait référence à leur second rencard qu’elle n’évoque pas au conditionnel. « You seem pretty sure of that. » « I am. » répond-t-elle avec un sourire confiant, pas qu’elle soit persuadée d’être la plus séduisante du monde, pas qu’elle n’ait aucun doute sur l’issue de leur « relation », mais elles ne les montre pas. Dans le doute, toujours foncer tête baissée, ça fonctionne plutôt bien, dans 50 % des cas en tous cas. Alors qu’Ana lance le jeu à boire sans alcool, elle interprète le bras levé de Knox comme un oui, il a déjà baisé dans un lieu public lui aussi. Mais il lève les yeux au ciel encore, elle ne peut retenir un soupir. C’est décidé, elle lui bandera les yeux quand ils baiseront. « Never have I ever fucked with more than one person at the same time. » Il la regarde sans faire un mouvement. « Of course, I have. You too, right ? » lui demande-t-elle presque inquiète de le voir répondre non, choquée comme s’il laissait entendre qu’il était encore vierge. « You’re a prude or something ? » s’esclaffe-t-elle moqueuse. Après tout, il est beau gosse et il dit presque autant fuck qu’Ana, mais ça ne veut pas pour autant dire que c’est une bête de sexe. Peut-être qu’elle a mal compris son bras levé et que ça ne veut pas dire qu’il a déjà tringlé dans un lieu public, ou alors peut-être que les deux exploits sexuels n’ont rien à voir. Mais Ana ne se pose pas tant de questions, elle attend juste sa réponse avec un air de défi.
Soudain, il y a du vacarme dans le couloir et deux flics arrivent en se débattant avec un grand gars couvert de tatouages qui est visiblement très alcoolisé et n’a pas l’intention de se laisser faire. Ils se dirigent vers la cellule où Knox et Ana ont déjà peu d’espace vital à partager et l’italienne n’attend pas pour protester : « Hell no, you’re fucking kidding me, right ? »
- Résultat des dés:
Win : Mais ils ne plaisantent pas et il leur refourgue une troisième personne avec eux, un inconnu qui se met en boule dans un coin et ne dit plus un mot. So close : Le gars est saoul et chiant en plus, il a décidé que comme il n’a pas envie d’être là il va pourrir la vie de tous ceux qui pourront l’entendre et il se met donc à chanter (hurler) une chanson paillarde en boucle. Fail : Le gars est saoul mais ça ne l’empêche pas de reconnaître Ana tout de suite. « Hey ! I know you ! We fucked at the technival, last week ! » Ana le fixe perplexe, elle était bien défoncée à cette rave et ses souvenirs sont quelques peu flous. « In my car... » Ah oui, elle s’en souvient vaguement. « Great, you want a feedback or what ? »
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31461 POINTS : 400 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Mar 26 Jan 2021 - 18:06 | |
| Le membre ' Anastasia Williams' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
| | | | (#)Lun 1 Fév 2021 - 11:33 | |
| « Fucking great ! »
Ce n’est pas la première fois que je me retrouve en cellule de dégrisement, ce n’est clairement pas non plus la première fois de la blonde et elle s’en doute bien lorsqu’elle me questionne. Mais ma réponse semble lui faire prendre un peu la mouche. « You think you’re better than me ? Is that it ? » Et elle me regarde, de haut en bas mais honnêtement, cela ne me fait ni chaud ni froid. Il en faut beaucoup pour m’énerver vraiment ou me faire réagir et ca ne marchera pas. « Jeeez, relax princess. » J’appuie sur le dernier mot, juste pour l’emmerder et si elle vient me frapper je n’en serais pas du tout surpris. « You actually look like someone I could get along with. » Je finis par ajouter. Elle a l’air d’en avoir rien à foutre du reste du monde, un peu comme moi et ca me plait bien.
Ce sont ensuite des avances qu’elle me fait la blonde, et si nous avions été dans un endroit différent, un endroit avec un peu plus de place, j’aurais surement dit oui. Après tout, c’est mon mode d’emploi, de coucher avec des nanas ou des mecs que je ne reverrais jamais et au moins avec la dénommée Ana je suis presque certain qu’il n’y aura pas de prise de tête après. Elle n’a pas l’air du genre à s’attacher, elle me ressemble d’ailleurs un peu trop, c’est assez perturbant. Mais ces avances sont loin de me déplaire, et je suis sûr que je vais la prendre aux mots et que cela finira dans un lit à un moment ou à un autre. Elle me parle d’un deuxième date et cela me fait un peu rire. « I am. » Elle a l’air sure d’elle et cela me fait doucement sourire alors qu’on se lance dans une partie de ‘never have I ever’. Elle me pose une première question, puis c’est à mon tour de lui en poser une. « Of course, I have. You too, right ? » Bien sur que j’ai déjà fait des plans à plusieurs, à trois, mais j’attends de voir si elle boit avant de réagir. « You’re a prude or something ? » J’hausse un sourcil avant de venir prendre une gorgée du verre imaginaire. « Please. » Je dis simplement.
Je m’apprête à reprendre la parole lorsque la porte de la salle de cellule dégrisement s’ouvre et qu’un flic apparait avec un mec bien trop bourré. Great… An asshole, je pense alors que le flic le fait rentrer dans la cellule en compagnie de la blonde et moi. « Hell no, you’re fucking kidding me, right ? » Le flic lui lance un regard noir, lui montrant bien qu’il ne rigole pas. « Hey ! I know you ! We fucked at the technival, last week ! » Je jette un coup d’oeil à la blonde qui ne semble pas trop se rappeler. « In my car... » « Great, you want a feedback or what ? » La réponse d’Ana me fait doucement rire alors que le mec semble devenir tout blanc. Je l’aime définitivement bien cette chieuse, je crois qu’on pourrait faire une équipe d’enfer. « If you puke on us I swear to god I’ll fucking kill you. » Je lui lance un regard noir à mon tour.
- Spoiler:
Win: Le mec ne vomit pas et se met dans un coin, un peu blessé par les propos d'Ana. So close: Le mec vomit sur les barreaux de la cellule donc plutôt vers le dehors. Fail: Le mec vomit à moitié sur les pieds de Knox et d'Ana.
Dernière édition par Knox Baxton le Lun 1 Fév 2021 - 11:34, édité 1 fois |
| | | | | | | | it takes two to piss them all off - Knox |
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