« croire qu'on peut tout réinventer »    dylane bradford & elias sanders

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Si habituellement, il vient comme chaque année en présence de sa cousine Ava et de sa sœur Erin, cette année le goût est différent, et c’est avec conviction qu’il a proposé cette fois à Dylane de l’accompagner. Il aime prendre du plaisir à traîner sur la plage à une heure tardive en profitant de la chaleur, du sable, des parcs et de la bonne viande grillée. Il avait tout prévu lorsqu’il quitte sans vraiment s’étaler sur sa destination auprès de sa sœur, qui le regarde d’un œil agile, cherchant à deviner par elle-même ce qu’il fricote. Elle a bien capté qu’il y avait quelqu’un, elle a bien capté qu’il ne revient pas en pleine nuit torché en chantant à tue-tête, dans la cage d’escalier. Elle a bien capté que derrière ses messages qu’il reçoit, ou ses sourires qu’il tente de cacher, il y a bien une nana. Avec Elias, il s’agit toujours de nana. Mais elle est loin d’imaginer que c’est l’ambulancière qui le rend ainsi. Il ne s’énerve même plus, quand elle lui dit qu’elle s’absentera le reste de la soirée, profitant ainsi de ses quelques heures pour les passer avec la Bradford. Grimpant dans sa bagnole, rien que le fait de venir enlever Dylane à son crétin de coloc lui redonne le sourire, si bien qu’il a presque une heure d’avance. Et il ne compte pas s’attarder longtemps dans la villa de Bayside, il préfère donc prendre les devants, en envoyant un message directement à la principale concernée pour qu’elle se tienne prête. « Prête pour un pique-nique ?! » Qu’il demande à la principale concernée lorsque celle-ci, ouvre la portière passagère, lui offrant un sourire avant de finalement poser ses lèvres sur les siennes. Pas de tempête ne s’abat sur eux et Elias apprécie, parce qu’il se doute qu’un amour plat et sans encombre n’existe que dans les films, mais sans doute pas dans une réalité comme la leur. A savoir si le Peter leur a parlé de leur petite conversation ‘musclé’ quand il est venu la voir, et qu’il est tombé sur cette andouille à deux neurones. Oui, le flic ne porte évidemment pas son coloc dans son cœur et est bien décidé à vouloir le faire décamper de chez sa belle, usant de son charme et de ses principes (pas toujours catholique), mais qui ne tente rien, n’a rien n’est-ce pas ? Il prend la route, et lorsqu’il doit s’arrêter à un feu rouge, glisse sa main sur la cuisse de l’ambulancière avant de se pencher vers elle, pour lui déposer un baiser chaud dans le cou, alors qu’une voiture klaxonne juste derrière lui. Le feu vient de passer au vert, « deux secondes, connard ! » Qu’il gueule en regardant dans son rétro, levant les bras et klaxonnant à son tour… Vous pensez qu’il est calme même en compagnie de l’ambulancière ? Reprenant alors la conduite, au bout de plusieurs longues minutes, il lui demande, « ta journée d’hier s’est bien passé ? » Il n’avait pas vraiment eu le temps de l’appeler en réalité, et savait qu’ils auraient tout le loisir de parler aujourd’hui, seul à seul… « On est arrivé… » Qu’il avoue en se garant sur la première place de parking, d’un côté l’herbe et quelques arbres, de l’autre l’étendue de cet océan calme, avant de se diriger vers l’herbe, face à eux, quelques barbecues libres, et prêt à être utilisé par l’un des participants de ROA.

@dylane bradford

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Depuis qu'elle bosse, Dylane n'a plus rien fait pour la fête nationale. Pas qu'elle n'en a pas eu envie mais elle était quasi à chaque fois de service. Ho bien entendu, ils ont fait des barbecues entre collègues mais entre tenter de cuire la viande et les interventions, c'était rare qu'ils savent manger correctement. Cette année fait changement vu qu'elle a sa journée . Bien que ce n'est pas pour autant qu'elle sait ce qu'elle va faire. Si bien qu'elle est encore occupé de traîner dans son lit quand elle reçoit un message du flic. Un sourire se pose sur ses lèvres en le lisant et elle n'a jamais été aussi vite debout. Une douche prise, elle enfile une petite robe d'été et descend dans le salon où se trouve Pete ne pouvant s'empêcher de lui ébouriffer les cheveux en passant ce qui bien entendu le fait râler. Une nouvelle passion qu'elle a depuis qu'il a emménagé ici. La brune pense encore avoir du temps devant elle mais le moteur de la voiture d'Elias se fait entendre. «  A ce soir ou demain » Qu'elle lance à son coloc en attrapant son sac-à-main contenant tout ce dont elle a besoin et de claquer la porte. Après quelques pas, elle se retrouve dans la voiture du flic et sourit en voyant son visage. Faut croire qu'elle n'en est pas encore lassée et ne présage pas de l'être. « Prête pour un pique-nique ?! » Elle opine du chef et le sourire déjà présent s'agrandit quand elle sent ses lèvres sur les siennes. Elle profite Dylane car elle sait que tout ne sera pas toujours rose. Ho ils se sont déjà pris la tête mais rien de bien méchant. La vraie dispute n'est pas encore arrivé et si elle doit être franche vu son caractère et celui du flic, elle la redoute un peu, beaucoup même. Alors oui, les moments comme celui-ci, elle les chérit sans pour autant l'avouer devant lui, essayant juste de rester elle-même, rester fidèle à ce qu'elle a toujours été. «  Je savais pas que tu fêtais le jour national » Dit-elle alors que la voiture roule pour ensuite s'arrêter à un feu rouge. Sa lèvre se pince quand elle sent la peau de brun au contact de la sienne et ses lèvres octroyer une chaleur supplémentaire dans son cou. « deux secondes, connard ! » Bien entendu, sa réaction ne la surprend pas et la fait même rire. Elle n'en attendait pas moins de lui. « ta journée d’hier s’est bien passé ? » C'est vrai que la soirée pointe le bout de son nez. «  Et bien je suis restée au lit jusqu'à ton message. J'étais fatiguée de ma garde d'hier » Normal vu qu'elle avait terminé beaucoup plus tard que prévu et qu'elle était rentrée chez elle aux aurores à la place de 20h. Donc presque 22 h de garde, elle s'en passerait bien. «  Et pour une fois que Pete fait pas l'andouille et me laisse dormir, j'en ai profité aussi » Dit-elle sans se douter que cela va lui faire grincer les dents au flic car aucun des deux n'a été se venté de s'être vu mais ça, elle le saura bien assez tôt. « On est arrivé… » Son regard se pose sur l'endroit alors qu'elle sort de la voiture. L'odeur de nourriture arrive vers elle et elle ne peut s'empêcher de sourire en coin. «  Un barbecue donc et moi qui n'ai pas encore mangé, c'est parfait » Elle s'avance un peu vers la table devant eux et se tourne vers le flic. «  T'as pris de la viande vegan au moins ? » Bien sur qu'elle le fait marcher car même si elle aime les animaux de tout son être, elle n'est pas du tout vegan ou végétarienne. Elle en mange moins par contre, c'est certain et ça contribue malgré tout.

@Elias Sanders

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Assez étrangement, il avait besoin de profiter du temps qu’on lui laissait, avec sa petite amie. Ils n’avaient jamais réellement mit de mot sur leur relation, et n’était pas certain de vouloir un jour qu’on le mette devant le fait accomplie. Préférant rester dans l’ignorance, et ça semblait convenir à l’ambulancière. Mais il se doutait que sur le plan d’une évolution, un jour ou l’autre, ça viendra sur le tapis. Que toutes les nanas ont envie d’être privilégiées. Qu’elle en demandera plus et qu’il sera obligé de céder si elle continue à prendre de la place dans sa vie. Mais Elias ne veut pas y penser, il préfère rester muet sur son éventuel sentiment concernant la brune. Les regards ne trompent pas, les gestes non plus. Leurs baisers avec, avec fougue et arrogance. Elle monte dans la voiture, sans tarder et il la démarre. « Je savais pas que tu fêtais le jour national… » Il hausse les épaules, à vrai dire lui non plus. « C’est pas ce que je fête en priorité, mais t’arracher à ton coloc, je ne refuse jamais… » Un sourire en coin, elle allait sans doute lever les yeux au ciel, mais refuserait-elle de passer du temps avec lui ? « Ca me permets de passer du temps avec toi… » Qu’il avoue, en glissant sa main sur celle de l’ambulancière tout en tournant légèrement son regard vers elle, pour profiter de son visage quelques secondes avant de replonger son attention sur la route. « Et bien je suis restée au lit jusqu'à ton message. J'étais fatiguée de ma garde d'hier, » qu’elle avoue, tout comme lui, elle est passionnée par son boulot, et ne compte pas ses heures. Ses moments permettent de souffle un peu. « Et pour une fois que Pete fait pas l'andouille et me laisse dormir, j'en ai profité aussi… » Celui-là, à pas intérêt de faire trop l’andouille en sa présence, si il est parvenu à freiner son ardeur, pas sûr qu’il y parvienne pour le restant de sa vie… « Et tu as bondi du lit à la seconde même où tu as vu mon prénom sur ton portable… Il envoie sans gêne, se moquant à peine en imaginant la scène, mais j’aime cette vision. » Il la sent se renfrogner sur son siège et ne peut s’empêcher de la taquiner. Finalement ils arrivent sur le lieu et la plage qui s’offre à eux. Enveloppant son bras autour du cou de l’ambulancière, ils avancent, la laissant deviner de l’endroit où ils sont. « Un barbecue donc et moi qui n'ai pas encore mangé, c'est parfait » Ca le fait sourire, il avait visiblement choisie la bonne heure, venir ici le ventre plein aurait été tout d’un coup un peu moins appétissant ! Elle se retourne vers lui, « t'as pris de la viande vegan au moins ? » Elle se moque de lui n’est-ce pas ? Le silence fait sa place alors qu’il la dévisage, cherchant à savoir si elle plaisante. « T’es sérieuse Dylane ? » Non parce que lui c’est un carnivore pure souche ! Tout ce qui est animaux, et tralala, il s’en fiche pas mal le flic, enfin en tout cas ça ne le privera pas de manger un bon steak cuit à point ! Elle semble sérieuse, jusqu’à ce qu’elle craque, et qu’elle se mette à rigoler, il arque un sourcil, ça mérite bien une vengeance !! « Ah ouais ?! Tu commences ! » Et il laisse tomber ses affaires sur le sable avant de vouloir l’attraper, elle se met à courir sur la plage en criant. Mais à ce jeu il est bien plus balèze qu’elle, et il finit par la rattraper en passant sa main autour de sa taille, l’attirant à lui. « Ca mérite bien que je te jette à l’eau, » qu’il susurre au coin de son oreille, alors qu’aussi vite dit, aussi vite entraîné avec lui, en direction de la flotte et tant pis si elle mettra tout son poids pour l’éviter. Et qu'elle essaye même pas de l'amadouer !

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Des sorties de couple, Dylane n'y est toujours pas habituée. Peut-être car le seul gars avant lui avec qui ça a duré, ils n'en faisaient pas. Elle ne faisait que le voir soit chez elle ou chez lui. Déjà là, elle aurait du sentir l'embrouille. Ho certain diront qu'elle a eu Adam après mais c'est complètement différent et cela dans tous les sens du terme car ils ont été amis avant de franchir ce cap et de se rendre compte que leur amitié comptait plus que tout. Avec le flic, ils sont passé par la case je te déteste à je te veux ce qui est d'autant plus perturbant par moment. Surtout quand elle sent au fond de ses tripes qu'elle ne voudrait pas le perdre aussi insupportable soit-il par moment. Assise dans la voiture du flic, elle le regarde et s'étonne qu'il fête ce jour, lui qui ne fait jamais rien comme personne, qui n'aime pas les conventions.  « C’est pas ce que je fête en priorité, mais t’arracher à ton coloc, je ne refuse jamais… » Et elle roule des yeux Dylane n'ajoutant rien ne souhaitant pas mettre de l'huile sur le feu. A quoi ça servirait de toute façon ?! Rien du tout. Et puis Elias va devoir s'y faire dans tous les cas car elle ne compte pas mettre Pete à la porte, du moins pas sans une bonne raison. « Ca me permets de passer du temps avec toi… » Cette réponse lui convient beaucoup plus et il arrive à lui arracher un sourire de suite. Naturel, spontané car elle l'est avec lui autant pour les bons côtés que les mauvais. L'ambulancière n'est pas du genre à cacher son sale caractère par moment ou souvent serait plus approprié mais à cela ils sont à part égal. Par contre cacher ses blessures et ses craintes, là, elle est douée ... Elle avoue qu'elle n'avait rien de prévu de sa journée son boulot lui prenant quasi toute son énergie mais un job qu'elle ne changerait pour rien au monde. « Et tu as bondi du lit à la seconde même où tu as vu mon prénom sur ton portable… (...) mais j’aime cette vision. » Et là, elle secoue la tête vivement. «  Rêve pas non plus «  Qu'elle lâche avec un sourire en coin car ce serait mentir de dire qu'elle n'a pas été heureuse de recevoir ce message. Passer du temps avec lui et profiter lui font extrêmement de bien, plus qu'elle ne l'avouera. «  Dis plutôt que c'est toi qui n'a pas su t'empêcher de m'inviter car je te manquais de trop » Et elle lui tire la langue alors qu'ils arrivent près de la plage, devant un barbecue libre. Devant cette scène, la brune ne peut s'empêcher de taquiner le flic et parler de viande vegan alors qu'elle est loin de l'être et qu'elle ne le sera sûrement jamais. « T’es sérieuse Dylane ? » Ses lèvres se pincent pour ne pas rire. «  Bien sur voyons, un steak de soja c'est très bon » Mais non, elle n'arrive pas à garder son sérieux et la voilà occupée d'éclater de rire.  « Ah ouais ?! Tu commences ! » Ho ho ... Elle court l'ambulancière sur cette plage et envoie balader ses chaussures par la même occasion. Une chose qui la ralentit et qui fait que le flic la rattraper aisément. Bien que si elle doit être franche, il l'aurait tout de même rattraper car il est plus rapide qu'elle. La main d'Elias autour de sa taille, elle rigole. « Ca mérite bien que je te jette à l’eau, » En entendant ça, elle se débat la brune.  « Ha non non non, j'ai pas de vêtements de rechange en plus » Qu'elle hurle presque contre son oreille mais rien à faire. Il est déterminé et plouf elle termine les fesses dans l'eau. Une moue boudeuse sur le visage, elle le regarde et profite d'un moment d'inattention de sa part pour le faire valser à son tour en attrapant ses chevilles. » Elle est bonne tu trouves pas ? «  Après tout pourquoi elle serait la seule à profiter des bien faits de cette mer bleue turquoise.

@Elias Sanders

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C’est indéniable le flic aime jouer, provoquer, et ainsi quand elle lui demande pourquoi il fête le jour national – ce qui n’est pourtant pas une surprise pour quiconque connaissant sa mère qui fête à peu près n’importe quel jour particulier même les plus stupides, il ne trouve rien d’autre que de remettre sur le tapis la présence du Mulligan sur le tapis. Elle devra le savoir Dylane, elle devra se douter qu’à aucun moment, il ne lâchera le morceau, qu’il abandonnera. C’est peut-être stupide en soit, mais il n’est pas capable d’abandonner, de crier à sa perte. Pas capable de lui dire qu’il lâche l’affaire, parce que c’est tout sauf lui. C’est tout sauf ce qu’il veut montrer aux autres. Mais il voit bien qu’elle lève les yeux au ciel, qu’elle ne semble pas comprendre pourquoi il en fait une affaire d’état. L’égo, sans doute. C’est même évident, une fierté qu’il ne parvient pas à dissimuler quand il se retrouve face à d’autres mecs, qui lui ressemblent plus que de raison en plus. « Rêve pas non plus » Il plisse légèrement les yeux, alors c’est ce qu’elle souhaite qu’il croit ? Il fait une moue boudeuse en fixant la route, mais son sourire en coin qui apparaît sur le visage de l’ambulancière qui sait parfaitement comment l’atteindre à présent. « Dis plutôt que c'est toi qui n'a pas su t'empêcher de m'inviter car je te manquais de trop. » Ils arrivent sur le parking et il n’a pas besoin de lui répondre, il hausse juste les épaules avant de sortir du véhicule, se dirigeant vers l’arrière du véhicule pour récupérer ses affaires. « T’es ptètre pas loin de la vérité… » Qu’il lâche, un sourire en coin, son regard amusé avant de refermer le coffre, provoquant une envie particulière de l’embêter, tout comme elle aussi. Il faut croire qu’ils aiment se chamailler, se taquiner, que c’est plus fort qu’eux. En arrivant sur la plage, elle semble vouloir lui rendre la monnaie de sa pièce en provoquant le fait qu’elle n’aimerait pas manger de la viande. Mais le flic est un carnivore pur et dur. Il n’comprend pas trop cette mode de manger sans viande, de manger de l’herbe quand on a la chance de manger varié. « Bien sur voyons, un steak de soja c'est très bon… » Il lui lance un regard, fronçant ses yeux, cherchant à sa savoir si elle disait vrai, tout en poursuivant leur marche sur le sable. Mais il capte qu’elle plaisante, il plisse les yeux, jetant à moitié les affaires sur le sol, ils s’en occuperont plus tard, parce qu’à la seconde même où il comprend qu’elle se fout de sa gueule, qu’elle rigole, il part à sa rencontre alors qu’elle se met à courir dans le sable. Finalement, il finit par l’attraper, la portant par la taille, ses lèvres embrassent la joue de Dylane alors qu’il détaille son plan. « Tu peux te débattre autant que tu veux… » Qu’il chuchote à son oreille, un sourire en coin, taquin. « Ha non non non, j'ai pas de vêtements de rechange en plus… » Et ça le fait sourire alors qu’il la jette à la flotte. « Tu rentreras en sous-vêtements, » qu’il s’amuse à dire en arquant un cil pour la provoquer. Il allait s’éloigner de la flotte quand il sent une main qui s’agrippe fortement à sa cheville il devine aisément à qui elle appartient alors qu’elle cherche à le déstabiliser. Il a juste le temps de retirer son tee-shirt pour le jeter de justesse sur le sable et se laisse tomber de tout son poids dans la mer ce qui éclabousse Dylane. « Elle est bonne tu trouves pas ? » Assis au bord, la mer tout autour d’eux, il attire la jeune femme à lui, avant de lui déposer un baiser sur ses lèvres, « j’ai comme l’impression que cette journée commence très bien. » Glissant un instant sa main dans la sienne, regardant à l’horizon, cette étendue d’eau. Il voulait profiter de cette accalmie, elles sont rares.

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Même si c'est vrai qu'elle est sortie du lit aussitôt qu'elle a vu son message et qu'elle a sourit bêtement, elle ne lui donnera pas raison et ça juste pour l'emmerder un peu. Juste pour le taquiner car son sourire la trahit malgré elle. Car avec lui, elle a du mal à cacher ses émotions et quand elle y repense, elle n'a jamais pu le faire. Est ce que c'est bien ou mal ? Elle ne sait pas trop. Cela pourrait lui jouer des tours dans le futur mais tant pis, elle prend le risque. Elle prend tous les risques avec le flic car son coeur est seul maître et que la raison a laissé sa place et s'est retirée sans rester trop loin non plus. « T’es ptètre pas loin de la vérité… » Et elle sourit Dylane car il s'ouvre un peu plus lui aussi et qu'elle se sent bien avec lui. Malgré ses peut-être qu'il lâche toujours comme pour garder une contenance, pour garder sa fierté d'homme. De toute façon, elle l'aime comme ça et pas autrement. D'ailleurs si tout ça n'avait pas commencer comme un jeu, ils n'en seraient sûrement pas là. Ils se sont cherchés et se cherchent encore à maintes reprises et ce n'est pas fini, ho non, tout cela ne fait que débuter. Alors qu'il sort les affaires de la voiture, il faut qu'elle lâche une connerie sur le fait d'être vegan sachant très bien quel carnivore il est pour l'avoir vu dévorer des hamburgers ou autre cochonneries. Cependant, elle ne garde pas son sérieux longtemps l'ambulancière devant sa bouille déconfite et part en éclat de rire. De suite, il lâche tout pour la poursuivre. La plage est désormais leur terrain de jeu. Elle court aussi vite qu'elle peut mais il la rattrape facilement. « Tu peux te débattre autant que tu veux… »  A cet instant précis, elle sait déjà que son sort est jeté et qu'elle va se retrouver dans l'eau. « Tu rentreras en sous-vêtements, » Elle hausse un sourcil la brune et tout en débattant encore même si cela est en vain. «  Ha bah écoute, faudra pas râler si on me regarde alors » Mais sa phrase arrive alors qu'elle tombe dans l'eau. Pas question qu'il s'en sorte comme ça Elias, alors elle attrape sa cheville et tente de le faire vaciller comme elle peut. Mais il voit la chose arrivée et a le temps d'enlever son t-shirt avant de quasi volontairement la rejoindre tout en l'éclaboussant mais au point où elle en est, elle n'est plus à ça près et sourit tout en le voyant faire.  Les lèvres du flic viennent lui voler un baiser et elle l'allonge un peu pour ensuite se pousser et enlever ce t-shirt lui collant à la peau. « j’ai comme l’impression que cette journée commence très bien. » Glissant une main dans ses cheveux alors qu'il s'approprie l'autre, elle plonge son regard dans le sien. «  J'en ai bien l'impression aussi » Dit-elle pour le tirer plus dans l'eau et nager un peu vers où elle n'a plus pieds ce qui n'est pas compliqué avec son mètre soixante. Eloigné du sable, elle vient glisser ses bras autour de son cou tout en se collant à lui alors que ses lèvres viennent à nouveau capturer les siennes. « Je resterais bien là tout l'après-midi » D'un coup le barbecue est devenu le moindre de ses soucis et elle n'a plus faim de nourriture mais bel et bien de lui se foutant pas mal des personnes autour et du qu'en dira-t-on. Ils sont jeunes, beaux et insouciants après tout ...

@Elias Sanders

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Un jeu enfantin dont lequel ils se perdent comme à leur habitude, sans se prendre la tête. Parce qu’elle compte beaucoup trop pour le flic et que même si il ne veut pas vraiment l’avouer, il le ressent au fond de lui, assez pour vouloir passer plus de temps que possible auprès de l’ambulancière. Sans qu’à l’époque, ça soit de tel, rien n’avait été prémédité, il n’y croyait plus vraiment au bonheur ou à des éventuels sentiments qu’il pourrait ressentir. Tout ça semblait compromis pour lui, et puis elle a débarqué dans sa vie. Elle a tout emporté avec elle, alors qu’il avait clairement envie de l’envoyer promener, elle l’agaçait autant qu’elle l’attirait physiquement. Quand il s’est retrouvé avec l’ambulancière devant sa porte de maison pour lui ramener son téléphone et qu’elle lui a imposé de se soigner, ça l’a davantage saoulé, et pourtant en même temps, ils ont pu échanger, s’apprivoiser à leur façon, et visiblement pas de la pire des manières. En attendant, ils continuent de mûrir ce jeu entre eux deux, se provoquant, se chamaillant pour un oui ou pour un non. Se convoitant discrètement, finissant au lit dès lors qu’une dispute éclate. C’est tout ce dont il a besoin pour l’instant, ne pas mettre de mots réels sur leur relation. Profiter du moment présent sans se soucier du lendemain, ou de ce qu’ils peuvent ressentir l’un pour l’autre. Jusqu’au jour où tout ceci ne sera qu’un détail et où ils pourront se parler à cœur ouvert, découvrir les faces cachés l’un de l’autre. Il n’est pas encore prêt à partager son monde le flic, ses craintes, ses doutes. Il n’est pas encore prêt à dévoiler son jardin secret. En arrivant sur cette plage, il course assez rapidement Dylane – en vérité à la seconde même où il comprend qu’elle se fout ouvertement de lui, il décide même de se venger de la plus douce des façons, lorsqu’il la laisse tomber à l’eau, elle n’a pas le temps de se retirer quoi que ce soit, et elle a beau lui hurler dans les oreilles, rien ne change vraiment. Il se retrouve lui aussi pris au piège – et dans le fond il s’y attendait, il avait tenté quand même d’échapper aux vilaines mains de sa nouvelle copine, mais elle fût bien plus rapide que lui, sur ce jeu, et il soupira en tombant le cul dans l’eau. Fort heureusement il a eu le réflexe de balancer son tee-shirt sur le sable. « Ha bah écoute, faudra pas râler si on me regarde alors… » Il arque un sourcil, quand il la voit enlever son tee-shirt. Il ne peut s’empêcher de plisser les yeux, pour regarder autour de lui, le premier qu’il la regarde, il lui fait bouffer tout ce qui lui vient sous la main ! … « Tu voulais qu’on soit à égalité ? Qu’il demande, alors qu’il se rince avec exagération ses yeux sur le décolleté qu’elle lui offre. En la rapprochant de lui, alors que Dylane s’éloigne un peu au large. Tu sais que le premier qui te regarde, je lui colle une prune ! » Et pire encore… Bien sûr qu’elle savait… A en voir son petit sourire en coin, le provoquant, le titillant. Jouant avec ses nerfs à présent, alors qu’elle le tire avec elle un peu plus au large, elle se colle légèrement à lui, et profite pour encercler l’ambulancière de ses bras. « J'en ai bien l'impression aussi. » Elle souffle, répondant à sa phrase alors que ses yeux cherchent son contact, ses lèvres cherchent ce réconfort qu’elle seule peut lui procurer. « Mademoiselle Bradford, qu’avez-vous prévu cet après-midi ? » Il demande, d’une voix remplie de sous-entendu, jouant de sa main libre avec la bretelle de son soutif, pour finalement la faire tomber contre son bras, un sourire presque gêné, presque hein… «  Je resterais bien là tout l'après-midi… » Et elle capture ses lèvres qu’il répond sans heurt, son autre main qui descend sous l’eau, pour se poser en bas de ses reins, au-dessus de ses fesses pour la coller davantage à lui. Il n’y avait plus qu’elle, à présent qu’il comptait. Ses lèvres se figèrent un long moment dans son cou alors que son doigt s’amusait à faire redescendre l’autre bretelle encore en place.

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L'amour est quelque chose que Dylane a toujours fui ...Depuis ce type qui lui a brisé le coeur. Elle se complaisait dans sa relation avec ce mec tout en sachant que quelque chose clochait, qu'il lui cachait la vérité et elle est tombé de haut en l'apprenant car même si elle avait des doutes, elle avait espérer, naïve qu'elle était que tout ça n'était que dans sa tête. Après lui, elle a fermé son coeur à double tour. Même Adam n'a pas réussi à lui ouvrir et l'amitié a repris ses droits. Et pourtant avec le flic, tout est différent, tout est ... Elle n'a même pas de mot pour le définir tellement elle se perd quand elle pense à lui. Son coeur s'émoit dés qu'elle le voit, un sourire vient se poser sur ses lèvres ... Elle ressent des choses dont elle se pensait incapable. Il a réussi à trouver la faille en elle et même si elle ne l'admet pas, si elle ne veut pas mettre de mot sur leur relation, elle sait très bien ce qu'il en est. Heureusement que la dessus, Elias est comme elle à ne pas vouloir parler plus que ça de leur situation, un jour ils le feront mais c'est pas le moment. Là, ils se cherchent encore, se taquinent. C'est leur façon à eux de montrer l'importance qu'à l'autre et ça leur convient et c'est là tout ce qui compte. Très vite une bataille commence et la brune se retrouve à courir sur la plage très vite rattrapée par Elias qui n'a qu'un seul objectif la foutre à l'eau. Elle râle Dylane car elle a pas de vêtements de rechange, ce qui n'a pas l'air de gêner le flic. Une fois à l'eau, elle fait tout pour qu'il la rejoigne de gré ou de force. Les voilà tous les deux dans cet océan et c'est à ce moment qu'elle décide d'enlever son haut qui ne lui sert plus à rien du tout.  « Tu voulais qu’on soit à égalité ? «  Elle sourit la brune et le regarde tout en mordant la lèvre inférieure. « Si je le voulais totalement, j'aurais encore un bout de tissu à ôter «  Qu'elle lance mine de rien mais non sans une idée derrière la tête. « Tu sais que le premier qui te regarde, je lui colle une prune ! » Sans aucun doute qu'il le fera mais elle s'en fout de ça Dylane car elle est dans l'eau et que personne ne peut la voir. Au pire de loin, on peut penser qu'elle est en bikini mais ça s'arrête là. Même si elle aime bien faire chier le flic, elle n'ira pas jusqu'à se pavaner devant les autres mecs juste pour le voir dans cet état de jalousie. A la place, elle le tire plus loin dans l'eau, là où ils pourront être tranquille et presque à l'abri des regards curieux. Alors que ses bras ont entouré son cou, elle en profite pour venir poser ses lèvres sur les siennes dans un baiser tendre et assez chaste ne voulant rien dévoiler de son plan.  « Mademoiselle Bradford, qu’avez-vous prévu cet après-midi ? » Cependant le flic a l'air d'avoir vu clair dans son petit jeu ce qui la fait sourire. « Je ne vois pas de quoi tu parles » Qu'elle souffle alors qu'elle vient lui attraper la lèvre inférieure pour la mordiller tendrement avant de la relâcher tandis qu'il joue avec sa bretelle qui retombe sur son bras. Son regard se pose dans le sien. «  Mais toi tu as peut-être des choses en tête «  Qu'elle souffle pour ensuite s'approprier à nouveau ses lèvres le laissant la coller à lui. Les lèvres du flic dévient facilement dans son cou pendant que son autre bretelle tombe à son tour. La brune penche sa tête en arrière pour glisser ses mains dans son dos et dégrafer son soutien gorge se foutant de tout et puis personne ne peut les voir d'où ils sont ... «  C'est mieux comme ça, tu ne trouves pas ? » Dit-elle en le regardant de façon à ce qu'il comprenne qu'elle est à lui et rien qu'à lui et glissant une main sur son torse alors que l'autre glisse dans les cheveux du brun. Toutefois, elle jette un regard autour d'eux  et vérifie que personne n'est dans les parages avant de laisser la dentelle s'en aller vers le rivage.

@Elias Sanders

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Il est d’humeur taquin le flic aujourd’hui, plus qu’aucun autre jour, ou c’est peut-être le fait d’être avec l’ambulancière qui le rend ainsi. Mais il a envie de profiter d’elle et de ce moment en tête à tête avec elle. Pour jouer avec la jeune femme, pour lui plaire et jouer de son charme. Elle lui rend de toute évidence la pareille assez rapidement quand son regard le fixe un instant. Charmeuse et malicieuse, Dylane a ce sourire au coin de ses lèvres, et elle s’empare rapidement des pensées du flic qui n’a d’yeux que pour elle. Ils étaient censé pique-niquer sur la plage, il était censé lui montrer ses prouesses en tant que roi de la jungle, et le voilà à flirter dans l’eau, jouant de sa voix suave et de ses paroles remplies de sous-entendu. Pire encore, de ses mains baladeuses et de ses doigts maladroits. Il pourrait faire au moins semblant d’être désolé, mais même pas, ça l’amuse en réalité. Il l’attire vers lui, lui extirpe un doux baiser, mais elle réveille en lui, ce besoin inexorablement de ne faire qu’un avec elle quand elle le mordille la lèvre alors que sa main s’aventure sur sa peau, caressant de ses doigts furtifs cette chaire qu’il aime sentir près de lui. Contre son torse, Elias relève ses yeux dans l’immensité de cet océan, il ne réalise pas la chance qu’il a. Il ne réaliste pas que 2020 a été propice pour lui. Qu’il a perdu quelqu’un mais a gagné au double, son bras autour du cou de Dylane, son dos appuyé contre le torse du flic, ils regardent dans la même direction. C’est ainsi qu’il voit les choses, et il voit des jours meilleurs auprès d’elle, dont il ne se lasse pas, assez étrangement. Pourtant, il y a encore quelques mois, il aurait rigolé à la figure de la personne si on le lui avait fait part de ça. Il aurait levé les yeux au ciel, et penser que la personne aurait été complètement folle ! Et puis elle est entrée furtivement dans sa vie, et a pris la place la plus importante malgré les débuts compliqués, et les nombreux heurts. Elle finit par se mettre sur ses genoux, se tournant en sa direction, un sourire en coin, lui volant un baiser. Alors que ses mains se promènent sur sa chevelure brune. Finalement, elle le tire avec elle, un peu plus au large, il s’exécute, la suivant dans quelques brasses avant de la récupérer contre lui. Les jambes de Dylane qui entoure la taille du flic alors que l’eau leur monte presque jusqu’au torse et à la poitrine. Peu de personne autour d’eux, mais il ne peut s’empêcher de regarder autour de lui, déclenchant sans aucun doute une bagarre au moindre regard qu’il jugerait suspecte, alors que la main de l’ambulancière tourne son menton en sa direction pour mordiller sa lèvre inférieur, et si elle commence ainsi, elle risque de ne pas être déçue du voyage. « Si je le voulais totalement, j'aurais encore un bout de tissu à ôter… » Les deux bretelles sur chaque côté, dévoilant un peu davantage sa poitrine, il en explore de son regard chaque recoin comme si c’était la première fois qu’elle était dans cette position devant lui. Un sourire amusé au coin de ses lèvres, alors qu’il avoue, d’une voix taquine, « j’ai hâte de m’y confronter… » Un regard qui se veut amuser par cette situation, alors qu’elle l’entoure de ses bras davantage, collant ses lèvres sur le siennes, Elias réceptionne ses lèvres. « Je ne vois pas de quoi tu parles, mais toi tu as peut-être des choses en tête… » La main du flic qui vient de faire tomber les bretelles dans l’eau, alors que l’une descend le long de son dos pour se poser en bas de ce dernier, juste au-dessus de ses fesses. Il embrasse son cou un instant, « rien de plus important que ça… » Qu’il souffle avant de redéposer de nouveau ses lèvres sur sa peau, « c'est mieux comme ça, tu ne trouves pas ? » Un regard amusé alors qu’elle dégrafe sans hésitation son soutien-gorge, se tenant toujours à son cou, Elias à ce rictus au coin des lèvres, fallait pas le pousser de trop le brun. « J’aime la parité dans le couple, » qu’il avoue, avant de reprendre, malicieux. « Mademoiselle se dévergonde… » Qu’il souffle, pas vraiment le genre à être choqué ou perturbé, au contraire c’est un jeu plutôt excitant, et puis au plus loin que sa mémoire remonte, il n’a jamais été dans cette position. Son torse qui se colle contre sa poitrine alors que sa main libre vient maintenir sa tête pour approcher ses lèvres, et l’embrasser avec passion, et fièvre, avide de ses lèvres et de ce qu’elle lui propose. Il fait quelques pas pour s’éloigner d’avantage, là où l’ambulancière n’a probablement plus pied, parce que lui touche à peine le sable du bout de ses pieds. Balançant légèrement sa tête en arrière dans l’eau, les lèvres du flic vagabonde sur le corps de la jeune Bradford, d’abord descendant dans son cou puis s’arrêtant un instant sur ses deux seins. On venait de le perdre, et dans tous les sens du terme.

 « croire qu'on peut tout réinventer »    dylane bradford & elias sanders

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Ils ne savent pas rester sérieux plus de deux minutes. Dés qu'ils arrivent sur ce bout de plage où ils auraient du préparer de quoi manger, elle le nargue avec une phrase et se trahit dés qu'un sourire naît sur ses lèvres. Le jeu est lancé mais un jeu bon enfant, si bon, si naturel ... Très vite, ils se retrouvent tous les deux à l'eau mais ça n'a pas l'air de les gêner. Le regard des autres est le dernier des soucis de l'ambulancière qui profite des bras et des lèvres du brun. Aujourd'hui, elle veut profiter de lui plus que jamais. Des journées comme celle-là, il n'y en a pas tous les jours et surtout, elle a toujours cette peur ancrée en elle que tout s'arrête du jour au lendemain et cela même si aucun signe ne montre que ce sera le cas. Elle n'a pas peur du flic Dylane mais bel et bien de la vie qui offre tout pour tout reprendre un peu plus tard car c'est comme ça qu'elle fonctionne et elle ne l'a toujours connue qu'ainsi. Alors oui, elle chérira tous ces moments autant qu'elle le peut, tant que son souffle lui permettra de le faire. Si bien que la dans ses bras, elle n'a plus envie de bouger. Posée contre lui, elle se tait un moment se contentant des battements de coeur du brun pour la bercer et ne fait que regarder devant elle cette immensité qui est leur terrain de jeu. Seulement, elle a envie de ne l'avoir rien qu'à lui et là, elle estime qu'ils sont encore trop prêts du monde extérieur alors sans prévenir, elle se bouge de ses bras l'entraînant au large. Là où ils pourront fermer leur bulle, où plus rien ne pourra les atteindre. Dés qu'ils arrivent plus loin, elle vient capturer ses lèvres à nouveau n'en ayant jamais assez et voulant y goûter à n'en plus finir. Le flic ne perd pas le nord quand il s'amuse avec ses bretelles et elle ne peut pas dire que ça la dérange, bien au contraire. Il éveille en elle une envie de plus, une faim avide envers son corps athlétique. Et elle le cherche tout en émettant le fait qu'elle pourrait enlever ce bout de tissu recouvrant sa poitrine souhaitant voir sa réaction car même s'ils sont dans leur monde, celui extérieur n'a pas cessé de tourner et que des regards pourraient être braqués sur eux. « j’ai hâte de m’y confronter… » Un sourire en coin se pose sur ses lèvres alors qu'elle nie avoir une idée derrière la tête même si cela se voit comme la tour Eiffel lui retournant alors la pareille sans honte. « rien de plus important que ça… » Qu'il lui répond alors que ses lèvres caressent sa peau. Les yeux de l'ambulancière se ferme quelques instants pour profiter au maximum de qu'il peut lui faire ressentir. «  Je vois «  Qu'elle dit lui donnant alors libre court à ses envies qui doivent être les mêmes que les siennes. A un détail prêt qu'elle s'empresse d'enlever et qui dévoile sa poitrine généreuse. Dylane n'est pas prude mais ce qu'elle fait là, elle ne l'a jamais fait avant lui. C'est avec Elias qu'elle a envie de partager ces moments bien précieux, de découvrir plein de chose et cela à tout niveau. « J’aime la parité dans le couple, » Le mot couple lui fait se mordre la lèvre inférieure bien qu'elle ne le relève pas pour ne pas mettre un malaise qui n'aurait pas lieu d'être. « Mademoiselle se dévergonde… » Elle hausse les épaules en faisant mine de rien. «  C'est depuis que je te connais ça » Qu'elle lance avec un sourire amusé car faut avouer qu'elle aime ça et qu'elle en redemande à chaque fois. Avec lui, elle se sent bien, elle a l'impression que rien ne peut lui arriver une fois qu'elle est dans ses bras. Il est tellement plus qu'un simple crush Elias ... Il fait partie intégrante de son coeur. Alors qu'elle profite encore de ses baisers, ses mains viennent se balader sur sa peau sans aucune retenue. Elias l'attire encore plus loin comme pour qu'ils soient à l'abri de tout regard indiscret. Dylane ne touche plus le sable et doit resserer ses jambes autour de sa taille, son bassin venant de heurter au sien. Les lèvres du flic descendent et viennent s'attarder sur sa poitrine qui lui est offerte. Comment pourrait-elle rester insensible à de tels actes ? Elle ne peut définitivement pas, ce serait inhumain. Une de ses mains glissent dans ses cheveux mouillés pendant que l'autre descend dangereusement sur son bas ventre qu'elle caresser par moment du bout des doigts et par moment avec plus de fermeté, jouant avec lui et l'envie naissante entre eux. Ses lèvres se rapprochent du lobe d'oreille du brun qu'elle vient mordiller alors qu'elle chuchote doucement «  J'ai envie de toi ... «   

@Elias Sanders

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Ca n’avait pas été prévu ainsi, il avait eu réellement la prétention de vouloir lui montrer ses talents pour allumer un feu, et faire un barbecue, comme la tradition – laquelle pourtant il se fiche habituellement, le voulait. Mais l’ambulancière attaque avant même de rejoindre le bout de la plage et si elle croit qu’il serait capable de pas sur enchérir, de la laisser planter dans son jeu, toute seule, elle avait faux. Et il ne tarde d’ailleurs pas à l’attraper, et à la foutre à l’eau. Il le savait qu’il finirait lui aussi par y aller, qu’elle ne le laisserait pas repartir sans vouloir le punir aussi. Sans vouloir qu’il tombe comme elle, à la flotte et dans le fond, ça l’amuse le flic. Cette situation l’amuse mais très vite le jeu reprend entre eux. Un jeu d’enfant dont il ne peut totalement se passer, dont il ne peut se lasser. C’est certain. Elle anime son cœur bien plus qu’il ne l’accepterait, qu’il ne le voudrait, mais c’est ainsi que cette vérité est frappante. Elle le tire avec elle un peu plus dans l’océan, et il s’exécute sans donner de résistance, un sourire en coin, parce qu’il sait ce qu’elle a en tête. Parce qu’il doit avoir à peu près la même chose qu’elle en tête, et se relève, se laissant alors tirer dans l’eau, ses mains contre ses hanches, battant des pieds alors qu’elle marche sur le sable, vers les profondeurs, mais Dylane semble encore avoir pied. Elias s’amuse à l’embêter, et lui tenant par les hanches, il avance son visage et ses lèvres pour aller croquer ce qui s’offre devant lui, la peau douce de l’ambulancière, jouant au requin, devant les rires de la jeune femme qui finalement s’agrippe à lui lorsqu’elle ne parvient plus à avoir pied. Ses jambes de chaque côté du flic, il l’embrasse, une nouvelle fois, avec passion, posant ses yeux envieux sur la jeune femme, le cœur battant. Et il ne peut résister longtemps à ce que ses lèvres s’emparent du corps de la Bradford, embrassant et descendant dans son cou un court instant. Elle a sa main qui se loge sur la nuque du flic, à moitié dans ses cheveux. Ses mains baladeuses qui se posent à l’arrière du dos de Dylane, juste au creux de ses reins, en bas de son dos. « Je vois… » Un sourire en coin, alors que sa main lâche sa nuque pour finalement ôter le tissu, dévoilant la courbe de ses seins. A peine cachée par la flotte. Un sourire apparaît au coin de ses lèvres alors que son regard en dit long sur ce qu’il ressent, à présent pour elle. Et ses sentiments qu’il tente de cacher mais qui grandisse néanmoins de semaines en semaines. « Tu sais que je ne peux jamais leur résister… » Qu’il souffle dans son oreille, insufflant de l’air chaud, « c'est depuis que je te connais ça… » Et ça le fait sourire, la vie ainsi a l’air simple, chose qu’il n’a jamais réellement connu, il ne sait pas vraiment jusqu’où ça pourrait aller, et si un jour, les nuages ne débarqueront pas, assombrir le tableau, pour autant, il ne veut pas y penser, préférant prendre ce qu’on lui donne. Jouant parfois le jaloux – assez régulièrement d’ailleurs, mais à l’instant présent, il n’y avait plus qu’eux deux. Plus qu’eux contre le monde entier, qui n’avait plus vraiment de valeur à ses yeux. S’enfonçant un peu davantage dans l’eau, Dylane se colla contre lui, main sur sa nuque, pour se tenir plus fermement à lui, comme si elle avait peur de s’en détacher. Alors que son corps se détacha par moment du sien, juste pour que son autre main libre se promène sur le corps du flic, sur son torse mais descendant plus dangereusement plus bas, une moue coquine au coin des lèvres dont il pouvait facilement remarquer. « J'ai envie de toi … » La main derrière la nuque du flic ne faiblissait pas, et elle l’attira à elle, pour le faire succomber aussi à cette envie, ce besoin inné, alors qu’elle lui mordille le lobe d’oreille, tandis qu’Elias se laissait aller par les courants, ne touchant même plus pied le sable. Heureusement pour eux, il faisait un beau temps, et peu de vent ce jour-là. Mais en réalité ça aurait été sans doute pareil. Il vient attraper d’une de ses mains le haut de la tête de Dylane pour attirer son visage contre le sien, l’embrassant, avec cette seule passion qui l’anime quand l’envie le dépasse. Leurs corps qui se collent l’un et l’autre, alors que les légères vagues leur permettent d’avancer, et de reculer au gré du vent, au gré des vagues présentes. « Montre-le moi… » Qu’il finit par chuchoter contre ses lèvres, avant de lui-même descendre dans son cou puis sur la poitrine de Dylane tout en ôtant le bas de son maillot d’une de ses mains alors qu’il sent se refermer l’étreinte de ses doigts autour de sa nuque le temps de ce plaisir qu’il lui procure quand ses lèvres heurtent sans ménagement sa peau. Il bat des pieds par moment pour ne pas couler.

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Ce moment de détente est vite devenu un moment de complicité, de jeux d'enfants ... Une chose qui définit leur couple car oui ils en sont bel et bien un bien qu'ils n'ont encore jamais utilisé ce terme. Sûrement pas encore prêt à l'entendre de vive voix que ce soit l'un ou l'autre. Tout cela finit vite dans l'eau ou la température monte. Dylane se lâche comme si une bulle s'est formée autour d'eux, comme si plus rien n'a d'importance à part le flic. Heureusement qu'ils sont assez loin de la rive et que personne ne peut deviner leurs intentions bien plus charnelles qu'autre chose. Leurs corps se rapprochent pour se procurer une chaleur intense et un plaisir immense ... Ils sont dans un autre monde l'espace d'un instant et ils sont biens, heureux. Ils profitent de ces moments car il savent tous les deux que cela peut être éphémère. Les envies comblées, ils retournent sur le sable récupérant leurs vêtements au passage flottant toujours dans l'eau. Enfin, ils peuvent s'attarder au fameux barbecue qu'Elias allume d'une main de maître. Le reste de la journée se passe dans les rires et la bonne humeur. Une journée quasi parfaite que la brune va garder en mémoire un long moment car il est rare de la voir réellement heureuse et avec lui, elle l'est. Il est celui qu'elle attendait, celui qui cicatrise ce coeur qu'elle a longtemps voulu mettre à l'abri, ce coeur qui a été brisé et le restera dans un certain sens mais pas du point de vue amoureux car de côté, elle ne s'en fait pas actuellement. Peut-être qu'elle devrait mais elle n'en a pas envie ... non pas du tout et pourtant ... Elle devrait, elle le sait au fond d'elle car comme dit une phrase, «  c'est trop beau pour être vrai « 

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