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La patience avait beau être la plus grande de ses vertus, elle ne semblait pas vouloir s’appliquer à Penny lorsqu’elle en avait le plus besoin. Coincée tout en haut d’une grande roue de fête foraine en compagnie d’une fille avec qui elle avait failli en venir aux mains, sérieusement, quelqu’un s’amusait à tirer les ficelles là en-haut, c’était sur et certain. Au final, elle n’avait rien appris de plus sur la brune et la relation qu’elle semblait partager avec Clyde et la seule chose qu’elle semblait avoir récolté était un level up d’antipathie à l’égard de l’actrice. Allait-elle faire part de cette énième rencontre au brun ? Cette fois-ci elle n’était pas à l’origine de l’entrevue donc il pourrait difficilement lui en vouloir, d’autant que seule la panne de cette foutue attraction avait poussé les deux brunes à passer plus de temps qu’il n’en fallait l’une avec l’autre. « C’est des menaces? » Un sourire étira les lèvres de la brune en guise de réponse ; elle pouvait bien l’interpréter tant qu’elle le voulait, leurs chemins se sépareraient bien assez vite. Pour l’heure, elle n’avait qu’une seule et unique envie : retrouver le contact avec la terre ferme. « T’as jamais entendu parlé d’un truc qu’on appelle sarcasme? » « Bien sûr que si, il est très utile quand on est amené à te côtoyer. » Lança-t-elle en penchant légèrement la tête sur le côté, conservant son sourire alors qu’elle sentait la machine se remettre en route, signe que la liberté n’était plus très loin. « Recommence pas à crier, tu me donnes mal à la tête. » « Ta bonne humeur est partie rejoindre ton téléphone ? » Son index pointa en direction du sol alors que son regard restait figé en direction de l’actrice. La chute du portable avait été malencontreuse mais une part d’Halsey était ravie que ça soit arrivé, une juste vengeance pour ce qu’elle lui avait fait endurer là-haut. Le silence s’installa alors que Penny décidait enfin de rester tranquille, au grand soulagement de la jeune femme qui n’en pouvait plus « T’es arrivée à Brisbane en même temps que Clyde? » La brunette haussa un sourcil, surprise qu’elle lui pose ce genre de question après toutes les horreurs qu’elles s’étaient balancé. Une trêve ? Jamais de la vie, mais elle n’avait rien de mieux à faire de toute façon. « Oui, j’habitais Perth aussi. » L’information n’était pas difficile à trouver, autant la lui offrir sur un plateau d’argent si elle y tenait tant que ça.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Pour passer le temps normalement dans une situation comme celle-là tu aurais sans doute pris ton téléphone pour envoyer quelques messages ici et là (sûrement quelques uns expliquant en détails pourquoi tu n’en pouvais plus d’être assise ici), à scroller sans vraiment porter attention à ce que tu regardes sur Facebook ou sur Instagram, probablement en alternant les deux sans toutefois trouver quoique ce soit de pertinent sur ce fameux monde des réseaux sociaux. Mais tu ne pouvais pas faire ça parce que ton téléphone était fort probablement éclaté en mille morceaux au pied de la grande roue. Tu viens pour prendre ta bouteille d’eau seulement pour réaliser que cette dernière a elle aussi connu un destin aussi tragique que ton téléphone. Donc t’as soif et tu t’emmerdes, merci Halsey. Et pour couronner le tout, elle décide de te faire des menaces presque subtiles bien qu’elle refuse de l’admettre, te souriant plutôt alors que tu te retiens pour ne pas lui faire perdre éternellement, son sourire. Tu prends une longue respiration, tentant tant bien que mal de rester calme. « Bien sûr que si, il est très utile quand on est amené à te côtoyer. » « Considère-toi chanceuse, ton calvaire achève. » Et le mien aussi. T’as l’impression d’avoir dit tout ce que tu avais à dire (et probablement plus encore) et tu veux juste que le manège reparte sans s’arrêter jusqu’à ce que tu en sortes une bonne fois pour toute. « Ta bonne humeur est partie rejoindre ton téléphone? » « On peut dire ça, ouais. » C’est un autre virement complet que tu fais, n’ayant soudainement plus l’énergie ni l’humeur de te battre avec cette fille qui n’est rien de plus pour toi qu’un point (inutile) dans l’univers. Mais t’es assez ennuyée par la lenteur à laquelle le manège va pour vouloir quand même tenter une discussion (sans insulte, on y croit presque) avec la brune. « Oui, j’habitais à Perth aussi. » « Pourquoi Brisbane? Clyde est venu pour le boulot, mais toi? » Tu voudrais lui demander si elle l’a suivi, mais tu sais qu’à ça, elle ne répondrait sûrement pas. Alors tu détournes un peu le tout. « T’es venue travailler pour une firme de droit? » Tu n’y croyais pas, mais c’était les seules infos que tu possédais.
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Halsey ignorait combien de temps elles avaient bien pu passer là tout en haut à se crêper le chignon comme deux adolescentes qui n’auraient rien eu de mieux à faire, mais quoiqu’on puisse lui dire, ça lui aura paru être une éternité. Entre ses problèmes de vertige nouvellement acquis – ou plutôt, nouvellement connus – et le côté profondément irritant de sa voisine de manège, autant dire que l’expérience n’avait pas été folle et que si on lui avait demandé de noter ce moment, elle aurait plongé dans les négatifs. Mais si l’attraction amorçait enfin la descente tant attendue, elle le faisait à une lenteur exaspérante, ce qui poussa Penny à briser le silence, une fois de plus. « Considère-toi chanceuse, ton calvaire achève. » Le terme était plus que bien choisi pour illustrer ce qu’elle venait de vivre, et un hochement de tête entendu vint répondre silencieusement aux paroles de la brune. Chanceuse, elle l’était. Car la crise de nerf avait été évitée de justesse, tout comme une humiliation certaine si son estomac n’était pas parvenu à tenir le coup. Elle n’irait pas jusqu’à dire que tout ça était grâce à la présence de l’actrice, mais une part d’elle pouvait bien avouer qu’elle avait un peu participé. Juste un peu. « On peut dire ça, ouais. » Et voilà qu’elle tirait la gueule à présent, à croire qu’elle avait perdu toute son énergie vitale à se battre là-haut avec elle. « Relax, s’il est mort je t’en repayerai un avec plaisir. » Ou pas, mais l’impulsivité du moment et son impatience à rejoindre la terre ferme lui donnait presque un peu de sympathie à l’égard de la jeune femme. « Pourquoi Brisbane? Clyde est venu pour le boulot, mais toi? T’es venue travailler pour une firme de droit? » Tant de questions, est-ce que Clyde devait subir ça lui aussi ? « J’avais des affaires familiales à régler. » Et elles s’appelaient Raelyn. « Ensuite j’ai trouvé le coin sympa et j’ai décidé de m’installer. Puis j’ai trouvé un travail dans un cabinet. » Expliqua-t-elle en plissant les lèvres dans sa direction, se demandant elle-même pourquoi elle se pliait à cet interrogatoire. Peut-être parce qu’elle était lassée, elle aussi ?
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Voilà que tu avais laissé derrière ton inner bitch avec toutes ses répliques (pas toujours) sanglantes et son envie de faire criser Halsey, seulement pour laisser place à ton inner kid qui décidait maintenant qu’elle avait attendu assez longtemps et qui tapait du pied, exigeant que le monde se termine maintenant et surtout de ne pas te faire attendre une seule seconde de plus. Mais tu pouvais bien faire toutes les moues du monde, taper du pied, rouler des yeux et même maudire la brune assise à côté de toi, la grande roue n’allait pas aller plus vite et tu devais simplement composer avec cette réalité, aussi désagréable qu’elle soit. « Relax, s’il est mort je t’en repayerai un. » Tu tournes la tête légèrement vers elle, lui lançant un regard noir au passage. « J’y compte bien oui. » Après tout, c’était la moindre des choses puisqu’elle était la raison pour laquelle ton téléphone avait fait une chute mortelle. « Tu me dois une nouvelle bouteille d’eau aussi. » Penny, sérieux? Calme ton inner kid, veux-tu? Tu te décourages toi-même alors que tu viens placer tes bras sous ta poitrine, comme une gamine qui bouille de l’intérieur ce qui n’est pas tout à fait loin de la réalité quand on y pense. Mais tu parviens tout de même à te parler et à cesser (en partie) tes enfantillages alors que tu te mets à lui poser des questions, histoire de faire la conversation, en attendant votre libération commune qui met tant de temps à se réaliser. « J’avais des affaires familiales à régler. » Ah bon? Mais encore? Tu hoches la tête, espérant qu’elle daigne t’offrir un peu plus à ce sujet, sans succès. « Ensuite j’ai trouvé le coin sympa et j’ai décidé de m’installer. Puis j’ai trouvé un travail dans un cabinet. » « T’avais toujours habité Perth avant? » T’es presque désespérée à lui poser des questions futiles et dont les réponses ne changent rien à ta vie, mais à défaut d’avoir mieux à faire. « Donc t’as de la famille par ici? » Personne que je connais, j’espère.
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La bonne humeur de la brune avait définitivement disparu, à croire que c’était elle qui était désormais en proie au vertige et non Halsey. Cette dernière voyait d’ailleurs l’heure de la délivrance arriver, ce qui la poussait à sourire là où Penny semblait céder à l’impatience. N’était-ce pas elle qui lui avait servi un laïus sur le temps que mettait ces pannes à être réparées ? Elle qui avait jugé opportun de lui dire de se calmer ? Peut-être était-ce la réaction de quelqu’un qui n’aimait pas attendre après tout, là où la brunette était prête à prendre son mal en patience jusqu’à ce que ça soit enfin leur tour et qu’elle puisse faire un gros fuck à cette attraction sur laquelle elle ne monterait plus jamais. Espérant ou non lui tirer un sourire, la jeune femme lui indiqua qu’elle était prête à payer pour un nouveau téléphone si le sien s’avérait être passé dans l’au-delà – ce qui était très probablement le cas d’ailleurs. « J’y compte bien oui. Tu me dois une nouvelle bouteille d’eau aussi. » Son regard noir dénotait de l’absurdité de ses paroles, ce qui provoqua un rire non maîtrisé chez Halsey qui secoua la tête en la voyant se mettre à bouder, telle une enfant incapable de gérer la moindre frustration. « Tu te fous de moi là ? » Elle l’espérait, parce qu’elle était loin d’arranger son cas en agissant ainsi. « T’avais toujours habité Perth avant? » « T’as prévu d’écrire ma biographie sans m’en parler ? » Non parce qu’à un moment, hein. « Donc t’as de la famille par ici? » Un bien grand mot pour qualifier le cas « Raelyn », mais elle hocha la tête sans se donner la peine de lui donner davantage d’informations. « Et toi, tu viens d’où ? » Non pas qu’elle en ait quelque chose à foutre, mais autant que le sujet glisse vers elle parce qu’elle n’allait pas tarder à se prendre un mur en continuant de creuser du côté Blackwell.
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« Tu te fous de moi là? » Il y avait plusieurs réponses possibles à cette question. Après tout, tu te foutais de sa gueule depuis le moment même où vos regards s’étaient croisés avant d’embarquer dans cette foutue grande roue. Si jamais tu n’aurais cru que les choses dégénéreraient à ce point, il fallait avouer que tu avais tout de même légèrement provoquée la brune en la mettant au défi de faire l’attraction avec toi. Là avait d’ailleurs été ta première erreur, maintenant que tu te retrouvais sans téléphone, sans bouteille d’eau et d’une humeur affreuse. Tu ne savais pas d’ailleurs comment tu allais pouvoir rentrer en contact avec Chloe pour lui dire que tu étais prête à rentrer. Tu pourrais sans doute quitter la fête foraine sans rien dire et elle viendrait à comprendre que tu n’es plus là, mais tu détestes l’idée qu’elle puisse attendre après toi, même si elle ne s’était pas gênée à te faire attendre, toi. Tu te foutais aussi de la gueule de Halsey avec ton comportement puéril et enfantin, mais jamais tu ne lui ferais le plaisir de l’admettre à voix haute, du moins, pas en autant de mots. « Tu crois quoi? » que tu répliques sur un ton toujours aussi sarcastique, tes doigts impatients pianotant contre la barre de fer devant toi, ton regard pencher apercevant un couple sortir tranquillement, trop tranquillement de leur propre nacelle. Tu lui poses des questions pour tenter (sans succès) de faire passer le temps plus vite. « T’as prévu d’écrire ma biographie sans m’en parler? » « Je cherche à savoir s’il y a quelque chose d’intéressant à écrire avant de me commettre au projet. » Ta voix toujours aussi acerbe, tu es tout de même curieuse de savoir et de comprendre ce qui peut bien piquer l’attention du Wakefield chez cette fille. « Et toi, tu viens d’où? » Tu résistes à l’envie de lui dire d’aller chercher l’information dans un magazine, te rappelant que si tu coopères gentiment à cette discussion, elle risque d’en faire de même et parler, ça occupe l’esprit ce qui n’est pas de trop ni pour elle, ni pour toi. « Torquay. C’est à quelques heures de Melbourne. » Petite ville de plage sur la côte, il faut dire que tu t’ennuies particulièrement en ce moment. Ça fait trop longtemps que tu n’es pas rentrée. « Mes parents y demeurent toujours avec mon frère. » Information claire et précise, si tu lui montres comment, peut-être va-t-elle comprendre le principe.
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« Tu crois quoi? » Si Halsey avait été presque prête à se montrer un tant soi peu affable envers Penny, cette dernière semblait avoir décidé de changer radicalement d’attitude à son égard. Sans doute parce que ce manège avait enfin décidé de se remettre à fonctionner, annonçant par la même occasion la fin de leur échange. Pourtant, Halsey se rappelait sans peine que c’était bel et bien l’actrice qui l’avait attirée dans la file d’attente en la provocant et qui avait lancé une discussion, là où la brune se serait contentée de l’observer d’un air hautain avant de s’éloigner sans chercher à en savoir plus. Par conséquent, c’était donc sa faute si elles étaient coincées et donc, s’il y en avait bien une qui devait râler en ce moment, ça n’était pas elle. « Je crois que t’es vraiment une gamine pourrie gâtée qui est incapable de gérer ses frustrations. » Et c’était reparti. Pourtant, elle n’en avait pas eu l’intention au départ, mais puisqu’elle la cherchait avec son comportement puéril… « Je cherche à savoir s’il y a quelque chose d’intéressant à écrire avant de me commettre au projet. » Oh. Sa vraie vie était passionnante, mais celle qu’elle laissait entrevoir à la face du monde l’était beaucoup moins ; assistante juridique, divorcée deux fois, le tableau n’était pas très reluisant sur papier. « Comme si c’était à toi que je confierais une tâche aussi importante, laisse moi rire. » Halsey se prenait au jeu, un sourire dévoilant ses dents alors que son regard avisait les occupants des nacelles inférieures, ravie de constater que ça allait bientôt être à elles. « Torquay. C’est à quelques heures de Melbourne. Mes parents y demeurent toujours avec mon frère. » « Je connais pas. J’ai toujours vécu à Perth de mon côté, Brisbane c’est ma première destination touristique. » Lança-t-elle en haussant un sourcil amusé, avouant ainsi n’ayant jamais eu l’opportunité de voyager là où Penny avait déjà du découvrir bien endroits de par le monde.
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« Je crois que t’es vraiment une gamine pourrie gâtée qui est incapable de gérer ses frustrations. » Oh sérieux là? Tu roules des yeux de manière aussi exagérée que possible, tu peux pas croire que vous en soyez de retour à ce point-là toi qui essayait si gentiment de faire la conversation poliment en attendant que vous arriviez sur la terre ferme une bonne fois pour toute. « C’est toi que tu décris là? Le compte est bon, ça me semble plutôt juste. » Tu ne mets aucune émotion dans ta réponse, te contente de répondre sans tact et sans douceur comme vous veniez d’en prendre la charmante habitude dans la dernière demi-heure, bien que ça semblait avoir duré beaucoup plus longtemps tout ça. « Comme si c’était à toi que je confierais une tâche si importante, laisse moi rire. » « T’as peur que je trouve quoi si je fouille à ton sujet? » Et voilà que tu te prétendais prête à enfiler le rôle qui allait pourtant si mieux à Clyde et joué les investigatrices alors que la réalité était que tu te foutais parfaitement de ce qu’elle faisait dans la vie, que ce soit bien, mal ou complètement dépravée. Jamais tu ne perdrais une seule minute de ton temps oh si précieux à essayer d’en savoir plus sur la brune. Elle par contre s’était déjà montrée bien plus curieuse. « Je connais pas. J’ai toujours vécu à Perth de mon côté, Brisbane c’est ma première destination touristique. » Tu fronces les sourcils légèrement. « T’as jamais voyagé en étant gamine? Melbourne, The Great Ocean Road, Gold Coast? » Avais-tu vécu une enfance si riche que ça que l’enfant moyen ne sortait jamais de sa ville d’origine? Tu peinais à y croire. « Faut que tu visites un peu. L’Australie ça se résume vraiment pas juste à Perth et Brisbane. »
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La tête que tira Penny lui indiqua que sa remarque n’était pas passée, ce qui tira un nouveau sourire à la brune qui ne détacha pas son regard d’elle. Après tout, c’était elle qui avait une nouvelle fois cédé à la mauvaise humeur et qui se montrait aussi revêche qu’un vieil alpaga. « C’est toi que tu décris là? Le compte est bon, ça me semble plutôt juste. » Il était vrai que la définition aurait pu coller dans l’autre sens, à l’exception faite du côté « pourri gâté » puisqu’elle avait dû travailler très dur pour en arriver là où elle en était aujourd’hui – comprenez qu’elle avait du passer beaucoup de temps à affuter ses capacités de séduction, c’était tout un art, vraiment. « Peut-être qu’on a quelques points communs, finalement. » Le visage de Clyde apparu une nouvelle fois dans son esprit, mais elle s’abstint du moindre commentaire au sujet du brun. Il était hors de question de donner une nouvelle opportunité à Penny de se servir de lui pour faire monter la tension. « T’as peur que je trouve quoi si je fouille à ton sujet? » Halsey plissa les lèvres, n’appréciant que moyennement d’entendre quelqu’un parler de fouilles à son sujet. Elle était assez prudente pour couvrir ses traces, mais elle n’avait pas besoin d’une hystérique enragée pour foutre la merde gratuitement là où ça n’était pas nécessaire. « Pour avoir peur, il faudrait déjà que je pense que tu aies la moindre compétence en la matière. » La provocation était-elle le bon moyen de réagir ? Sans doute pas, mais elle en avait sa claque de cette fille et de son petit air suffisant. « T’as jamais voyagé en étant gamine? Melbourne, The Great Ocean Road, Gold Coast? Faut que tu visites un peu. L’Australie ça se résume vraiment pas juste à Perth et Brisbane. » Halsey se retint de sourire puisque ses seuls « vrais » voyages étaient ceux qu’elle avait fait durant ses lunes de miel. Autant dire qu’elle n’avait rien vu à part l’intérieur de l’hôtel et du spa, ce qui la poussait à agir comme si elle n’avait jamais quitté le pays, car c’était un peu vrai, malgré tout. « Tu te proposes ? » Penny en guide touristique, voilà qui était drôle à imaginer.
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« Peut-être qu’on a quelques points communs finalement. » Tu ne sais pas si tu es censée trouver ça amusant qu’elle ne tente même pas de nier l’insulte que tu viens pourtant de lui renvoyer au visage. Tu n’avais pas nier toi non plus, même si tu préférais penser que tu avais été privilégiée en grandissant et non pas pourrie gâtée comme elle s’était permise de le dire. Et puis pour la gestion de la frustration, ce n’était pas faux de dire que tu n’étais pas la meilleure à ce niveau, tout comme elle aussi t’avait prouvé qu’elle ne savait pas faire. Tu ne lui souris pas toutefois quand tu penses à vos similitudes, préférant de loin prétendre que les goûts de Clyde sont éclectiques plutôt que de penser que Halsey et toi êtes le même genre de filles. Plutôt mourir que de t’imaginer être comme elle. « Exagère pas quand même. J’espère que t’as pas l’intention de te mettre à m’idolâtrer ou un truc du genre. » que tu lances toujours aussi sarcastique, même si tu peines cette fois à ne pas laisser transparaître un sourire sur le coin de tes lèvres. Vous n’êtes plus aussi à vif et piqué que vous aviez pu l’être quelques instants plus tôt et ça se ressent assez facilement. « Pour avoir peur, il faudrait déjà que je pense que tu aies la moindre compétence en la matière. » Tu fronces de nouveau les sourcils, légèrement surprise par sa réponse. « Ça veut dire qu’il y a bel et bien quelque chose a trouvé ça? » Et juste comme ça, ta curiosité était moindrement piqué, ce qui n’était généralement pas un bon signe. Surtout que si elle te mentait sur toute la ligne, il allait être difficile de chercher quoique ce soit, pas que tu en avais véritablement l’intention. « Tu te proposes? » « Plutôt mourir. » Partir en voyage avec Halsey? Mais quelle mauvaise idée. « J’ai seulement du mal à croire que tu n’as jamais voyagé avant de venir t’installer ici. »
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Sa répartie n’était pas dénuée de vérité car plus le temps passait, et plus Halsey se devait d’admettre que certains points de caractère avaient leurs similitudes, même si ça ne lui plaisait que moyennement de l’avouer. Clyde aurait-il un genre de fille ? Encore une perspective qui faisait vriller son égo, elle qui se pensait unique en son genre à être capable de le rendre fou en n’importe quelle circonstance. Pas toujours de la meilleure des façons, mais la brune était convaincue que ce qu’ils partageaient n’appartenait qu’à eux et rien qu’à penser qu’une relation privilégiée avec Penny puisse exister la rendait folle. « Exagère pas quand même. J’espère que t’as pas l’intention de te mettre à m’idolâtrer ou un truc du genre. » Halsey leva les yeux au ciel et l’ombre d’un sourire apparu enfin au coin des lèvres de la brune, signe qu’elle arrivait enfin à se détendre, malgré tout. « Jamais de la vie, t’es pas à la hauteur. » Répliqua-t-elle sur le même ton avant de sourire à son tour, une lueur amusée dans le regard. « Ça veut dire qu’il y a bel et bien quelque chose a trouvé ça? » Pitié l’inspecteur gadget, tu te calmes. « Tu me prends pour qui, Mata Hari ? » La brunette secoua la tête avant de pencher la tête sur le côté, sans se départir de son sourire en coin. « Plutôt mourir. J’ai seulement du mal à croire que tu n’as jamais voyagé avant de venir t’installer ici. » Cette réponse était relativement vexante, mais Halsey décida de faire l’impasse afin de lui donner une miette de satisfaction, juste pour l’avoir supportée là haut dessus sans la jeter par dessus bord. « Je suis allée à Bora-Bora une fois, mais j’ai rien vu d’extraordinaire à part la plage et la structure de l’hôtel. Mon ex-mari n’était pas du genre aventurier. » Et voilà, une banalité lancée l’air de rien suffirait sans doute à apaiser sa curiosité mal placée, du moins l’espérait-elle. Il ne manquerait plus que Penny ne devienne a pain in the ass.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
La fin approche enfin. Il ne reste que quelques nacelles avant la votre et tu as bien l’intention de t’enfuir aussitôt que tes pieds touchent la terre ferme. Tu te demandes vraiment si tu vas parvenir à trouver Chloe au milieu de la foule. T’aurais bien voulu qu’elle soit là la blonde, d’ailleurs. C’est elle la pro des joutes verbales entre vous deux, même si tu oses croire que tu l’aurais rendu plutôt fière aujourd’hui, à ne jamais vraiment laisser l’autre brune prendre le dessus de quelconque manière. « Jamais de la vie, t’es pas à la hauteur. » « Pas à la hauteur d’inspirée une mythomane? Encore heureux. » Tu rigoles légèrement. De ce que tu sais d’elle, t’as pas du tout envie d’être son inspiration de toute façon. Toi aussi, tu aspires à beaucoup mieux que ça. Tu dis que t’en as rien à faire d’elle, ce qui est le cas, mais tu ne peux t’empêcher d’être légèrement curieuse sur ce qui se cache derrière ce persona qu’elle maîtrise clairement à la perfection, ne montrant que très peu de failles dans son jeu. « Tu me prends pour qui, Mata Hari? » Tu éclates de rire. Non mais vraiment, c’est elle qui ne se prend pas pour de la merde là. « Je croyais qu’on avait déjà établi que je te voyais comme une pute de bas niveau. » Et ça semblait déjà beaucoup plus réaliste que de lui découvrir une double-vie. « Mais j’avais oublié que t’avais monté les échelons, donc disons une pute de luxe. » Tu hoches la tête légèrement. « Je suis allée à Bora-Bora une fois, mais j’ai rien vu d’extraordinaire à part la plage et la structure de l’hôtel. Mon ex-mari n’était pas du genre aventurier. » Ex-mari? Une réalité ou un autre de ses mensonges. « Wow, je suis surprise d’apprendre que quelqu’un t’ait supporté assez longtemps pour te passer la bague au doigt. » Tu ricanes davantage. « Il était sourd et aveugle du coup? » C’est pas très gentil ça Penny, vous étiez si près du but.
Get you to burst just like you were a bubble ft @Penny Stringer
La brune se risqua une nouvelle fois à regarder en bas et fût rassurée de constater que la terre ferme se rapprochait de plus en plus rapidement, même si quelques nacelles faisaient encore obstacle, à croire que la panne n’était pas totalement résolue pour que tout ça soit aussi lent. Et pour pallier à l’attente, Penny décida de se montrer curieuse, en mode Columbo, lui posant un tas de questions et mettant en doute la possibilité qu’elle puisse mener une double vie. Halsey n’était pas stupide ; Penny lançait ses idées dans le vide et aucun sérieux ne se cachait derrière, mais tout de même. « Pas à la hauteur d’inspirée une mythomane? Encore heureux. » Mythomane ? La brune était loin de croire en toutes les histoires qu’elle pouvait raconter, et encore heureux. « Je suis inventive, il y a une nuance. » Et pas n’importe laquelle. Un sourire étira ses lèvres alors qu’elle estompait les accusations de son interlocutrice en lui riant au nez. « Je croyais qu’on avait déjà établi que je te voyais comme une pute de bas niveau. Mais j’avais oublié que t’avais monté les échelons, donc disons une pute de luxe. » Halsey hocha la tête à son tour, ravie de constater qu’elle n’allait pas continuer sur son délire d’investigation, ce qui n’était pas plus mal compte tenu du fait qu’elle n’aurait strictement aucun talent en la matière. « Passer de Mata Hari à Vivan Ward, quel honneur. » Elle n’espérait pas la voir s’emporter pour si peu, sérieusement ? Sa bonne humeur était revenue en même temps que les nacelles s’étaient remises en marche et par conséquent, Penny pouvait bien raconter ce qu’elle voulait, elle s’en fichait. « Wow, je suis surprise d’apprendre que quelqu’un t’ait supporté assez longtemps pour te passer la bague au doigt. » Et pourtant. « Il était sourd et aveugle du coup? » Halsey éclata de rire tant cette pique était facile, trop facile, même pour elle. « Aucun des deux, il était plutôt charmant en réalité. » Suffisamment même pour se laisser avoir dans un divorce capitaliste et se demander encore à l’heure actuelle ce qui lui était arrivé. Le pauvre.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Je suis inventive, il y a une nuance. » Vraiment? Parce que tu peinais à comprendre que pouvait être cette nuance dont elle faisait mention. Il y avait une différence entre être actrice et jouer des personnages comme tu le faisais au quotidien depuis bien longtemps déjà et s’inventer des vies pour se rendre intéressante comme semblait le faire Halsey. Similaires, mais oh combien différentes au fond. Et tu savais que tu préférais ton rôle au sien, et de loin. « C’est ce que tu te dis le soir pour te convaincre que t’es pas complètement tarée? » C’est que ce devait être lourd sur la conscience pour la brune, de devoir vivre avec de tels défauts. Ça ne t’empêchait pas de te montrer moindrement curieuse sur cette vraie vie qu’elle semblait tenir à garder secrète, ne faisant d’ailleurs que te rendre un peu plus curieuse malgré toi. T’aurais certainement pu demander des détails à Clyde, même si tu doutais sincèrement qu’il ait envie de te partager quoique ce soit concernant cette brune qui partage son quotidien (et son lit surtout de ce que tu comprends) depuis longtemps. « Passer de Mata Hari à Vivan Ward, quel honneur. » « T’aimerais ça pas vrai? Que tout le monde connaisse ton nom comme ceux de ces femmes? » Même si ce n’était pas nécessairement pour de bonnes raisons. « T’es jalouse parce que je suis connue et que t’es personne, c’est ça? » Et voilà que tu te mettais à jouer les grosses têtes, un rôle qui ne t’allait pas du tout pourtant. C’est toi qui allait avoir du mal à dormir ce soir à ce rythme-là, non pas que tu laisserais la brune à tes côtés le savoir. « Aucun des deux, il était plutôt charmant en réalité. » Halsey, mariée. Tu oses croire que Clyde le sait, même si tu trouves difficile d’encaisser l’information. « Alors qu’est-ce qui s’est passé? Il approuvait pas ta vocation? »
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« C’est ce que tu te dis le soir pour te convaincre que t’es pas complètement tarée? » Halsey leva une nouvelle fois les yeux au ciel, réalisant que Penny ne parvenait pas à se remettre de son petit mensonge lors de leur première rencontre, la fois où elle avait prétexté être une fan afin de l’approcher et d’obtenir son attention. Il allait falloir passer à autre chose, sans quoi la patience allait finir par se transformer en irritation – à moins que ça ne soit déjà le cas ? « Je t’ai menti parce que j’avais aucune envie de te dire qui j’étais, juste de savoir ce qu’il se tramait entre vous deux. » Elle haussa un sourcil avant de planter son regard dans celui de la brune, déterminée à lui faire cesser ses accusations. La folie ne faisait pas partie de sa longue liste de défauts, même si elle semblait se plaire à le croire. « T’aimerais ça pas vrai? Que tout le monde connaisse ton nom comme ceux de ces femmes? » Est-ce que c’était une nouvelle tentative d’analyse psychologique à la con ? Non parce qu’elle pensait que son manque de talent en la matière avait été établi, sauf que le déni semblait avoir une place de choix dans la vie de l’actrice. Un rire s’échappa des lèvres de la brune alors qu’elle secouait la tête face à l’absurdité de ce qu’elle venait de lui dire. Halsey n’était même pas sur les réseaux, ses activités l’obligeant à faire profil bas. Autant dire que l’anonymat était préférable, au cas où le téléphone éclaté au sol n’était pas un indice suffisant pour le lui faire comprendre. « T’es jalouse parce que je suis connue et que t’es personne, c’est ça? » Seigneur, ça devenait de mieux en mieux. « Tu devrais faire soigner ton complexe de supériorité avant que quelqu’un ne le fasse à ta place. » En lui écrasant la face avec un coup de poing bien placé par exemple ; elle en rêvait. « Je préfère largement ma situation à la tienne, qu’on se le dise. » Et l’honnêteté de sa voix était flagrante cette fois. Rien de pire que de voir tous ses faits et gestes épiés à chaque instant, il s’agissait d’une vie qu’elle n’aurait voulu pour rien au monde, en dépit des avantages certains qui allaient avec. La rançon de la gloire. « Alors qu’est-ce qui s’est passé? Il approuvait pas ta vocation? » La brune pencha la tête sur le côté, à la fois par incompréhension et dans le but de jeter un énième regard vers le bas ; plus que deux nacelles, et la délivrance serait enfin là. « Ma vocation ? »