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 (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir.

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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyMar 19 Jan 2021 - 16:58

(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. Ua1n
 « condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. »  (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 873483867  dylane bradford & elias sanders


Sanders a ruminé toute la journée à cause d’un abruti de service qui n’a rien fait d’autre que le provoquer, alors qu’il était censé venir voir juste sa petite amie. Ce petit con allait le lui payer un jour ! Il ne sait pas se contenir le flic quand quelque chose le dérange et puisqu’il n’obtiendrait pas raison avec le dit abruti, il allait venir en toucher directement un mot à l’ambulancière. Parce que les nombreuses provocations de l’homme ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd, et que si il s’en amuse, c’est bien pour une raison. Et pas que, parce que Sanders est arrogant, ou prétentieux. Et pas que, pour le voir marronner, pourquoi ferait-il ça le Peter, après tout, il ne le connaît pas… Elias a les yeux rivés devant lui, ses mains qui serrent dangereusement le volant, il roule vite. Beaucoup trop vite. Signe que sa colère monte peu à peu devant l’échéance qui approche. Ca allait évidemment trop bien avec la Bradford pour pas qu’elle se joue de lui ! Et il ne comptait pas tomber dans un énième piège, il avait déjà suffisamment souffert avec cette saleté de Doherty, il ne laisserait personne d’autre se foutre de sa gueule, c’est alors en arrivant devant l’ambulancière que sa portière claque derrière son passage, remontant l’allée, furieux. Se répétant la scène du matin dans sa tête toute la journée, il avait préféré partir en le menaçant alors qu’un coup de poing aurait sans aucun doute suffit à calmer son ardeur. Ce ne serait pas comme si c’était la première fois qu’il serait venu le poing abîmé, ou en sang. Inutile de préciser que le Mulligan n’avait aucun intérêt à être présent, ou pire encore, à se mêler encore une fois d’une discussion entre le couple, Elias ne le porte pas dans son cœur, mais ça ne surprendrait personne, n’est-ce pas ? Il sonne, laissant son doigt appuyé longuement sur la sonnette, et en voyant aucune porte s’ouvrir, il recommence une seconde fois. Tapant à la porte, qu’elle ne fasse pas la morte, ça ne ferait qu’empirer la chose… « Dylane, ouvre ! Je sais que t’es là ! » Et peu importe qu’elle soit déjà couchée, qu’elle soit sous la douche, sur son canapé à regarder un film ou en train de manger. Il se fiche bien de savoir ce qu’elle est en train de faire à une heure si tardive, il avait fait des heures supplémentaires, et n’avait pas pu la rejoindre avant. Pour autant, il ne comptait pas lui en parler quand sa colère serait redescendue, non il voulait crever l’abcès tout de suite, ou conclure à un échec avant même d’avoir réellement laissé une chance ! C’était ça ou rien. Au bout de quelques instants, la porte s’ouvrit et soulagé – même si il ne le montrait pas, que ce ne soit pas l’autre crétin qui lui ouvre la porte, il entre dans la villa, non sans même déposer de baiser sur ses lèvres. Elle sentait sûrement les ennuis arrivés, « il est où le pitre qui te sert de coloc ? » C’était sa première phrase, celle qui résumait au mieux son état d’esprit du moment. Il se retourne en direction de Dylane qui refermait la porte d’entrée. Après avoir jeté un coup d’œil furtif au salon et dans la cuisine pour voir si le Mulligan n’était pas caché dans un coin. « J’espère qu’il a épargné aucun détail de notre mésaventure du matin ! Parce que pour Sanders, Pete avait déjà détaillé, déformé, le tout, il n’en n’avait aucun doute ! C’est quoi en faites votre liaison ? » Il demande de but en blanc, sans même prendre de pincette, sans réellement accepté ce qui pourrait être une sentence. Il ne veut laisser aucune chance à Dylane de s’en sortir aussi facilement, - et si elle croit qu’il va suffire de quelques mots pour détendre l’atmosphère, elle se trompe lourdement.


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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyDim 24 Jan 2021 - 2:41

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 « condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. »  (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 873483867  dylane bradford & elias sanders


Pour une fois, Dylane s'était accordée une matinée rien qu'à elle ce qui voulait dire séance de massage au spa suivi d'un repas et ensuite d'un peu de shopping et le tout seule avec elle-même. En temps normal, elle aurait proposé ces activités à Lena ou encore Mia mais les deux étant prises, elle y était tout de même allé. Certes, cela n'avait pas été pareil mais le tout lui avait fait un bien fou. De retour chez elle, elle a croisé Pete qui lui a dit qu'Elias était passé, une chose qu'elle ignorait autrement elle aurait, sans aucun doute, été présente pour le voir. Curieuse, elle lui a de suite demandé comment ça s'était passé entre eux sachant bien que le flic n'est pas friand qu'elle ait un colocataire. Pete lui a alors dit qu'à part quelques petites plaisanteries, tout s'était bien passé et naïvement, elle l'a cru l'ambulancière. Après tout, pourquoi aurait-il menti la dessus ? Il n'a rien à y gagner sauf qu'elle s'énerve dessus et lui dise de retourner chez sa mère dans cette fameuse chambre d'ado dont il ne veut pas entendre parler. Le reste de la journée, elle l'a passé devant Netflix essayant de rattraper le retard sur les quelques séries qu'elle suit et ensuite elle a surfé sur le web et vu quelques articles sur Mason ce qui l'a fait soupirer encore et encore. A croire qu'il aime faire parler de lui et pas dans le bon sens du terme. Et même si elle devrait s'en foutre, elle n'y arrive pas la Bradford. Alors qu'elle a le casque sur les oreilles et la musique à fond en jouant à un jeu vidéo, elle n'entend pas de suite la sonnette. Ce sont ses chiens qui lui mettent la puce à l'oreille. Le casque enlevé, elle entend alors Elias qui s'énerve ce qui la fait rire mais elle ne va pas rire longtemps la brune. « Dylane, ouvre ! Je sais que t’es là ! » D'ailleurs, elle est étonnée de le voir s'amener aussi tard mais ce n'est pas pour la déranger et en plus Pete n'est pas présent donc ils auront la villa pour eux deux. Du moins, c'est ce qu'elle aime penser sans savoir réellement la raison de sa venue. Arrivée à la porte, elle l'ouvre et son regard suit le flic qui entre sans même la saluer.  « il est où le pitre qui te sert de coloc ? » Ses sourcils se froncent et elle soupire de suite. «  Bonsoir à toi aussi « Dit-elle tout en refermant la porte sentant bien que son chère colocataire a du omettre bien des détails mais ça, elle le réglera avec lui plus tard. «  Et il n'est pas présent comme tu peux le voir, à moins que tu veuilles fouiller chaque pièce de la villa » Dit-elle avec ironie et sacarsme croisant ensuite les bras sur sa poitrine attendant un peu plus de la personne qui partage sa vie actuellement. « J’espère qu’il a épargné aucun détail de notre mésaventure du matin ! «  Et elle hausse un sourcil Dylane en soupirant craignant bien le pire avec l'un comme l'autre. Elle sait que Pete peut être casse-pied et qu'Elias a un caractère de merde alors les deux ensemble, ça a du y aller bon train et c'est à ce moment précis qu'elle se rend compte que les fameuses blagues de l'architecte n'ont pas du être si anodine que cela. «  Tu veux bien m'expliquer là ? » Car elle n'est au courant de rien Dylane et qu'elle n'a pas envie d'appeler l'autre concerné pour avoir des réponses alors que le flic se trouve là devant elle. «  C’est quoi en faites votre liaison ? » Par contre là, c'est la phrase qui casse tout. «  Pardon ? Tu insinues quoi là ? » Car non, Dylane ne va pas se défendre. Elle est droite dans ses bottes et s'il n'a pas confiance en elle alors il peut bien aller se faire voir. Certes, elle aura mal ... Non elle crèvera de mal mais elle supportera pas qu'il puisse douter d'elle ou de sa fidèlité. Surtout que depuis qu'il est dans sa vie, depuis cette rue, il n'a fait que hanter ses pensées au point où elle n'a plus posé les yeux sur aucun autre hommes. Cela a déjà été assez difficile à admettre alors si à la moindre crainte, il remet tout en question, ils sont mal barrés. Et puis, elle est fière Dylane autant que lui donc non, elle ne se justifiera pas et encore moins quand elle n'est pas en tort. Si elle avait voulu jouer avec lui, elle l'aurait déjà dégagé car elle se serait lassé alors que là, c'est bien tout le contraire qui se passe dans son coeur ...


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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyLun 25 Jan 2021 - 0:16

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Ca pouvait paraître dérisoire toute cette histoire, comment le flic pouvait tomber dans le piège de ce morveux ? Peut-être parce que Pete est un peu comme lui, qu’il sait où toucher pour frapper sur l’ego surdimensionné. Peut-être parce qu’il a compris que Sanders est un type arrogant, prétentieux, qui n’aime pas vraiment la compétition de ce genre-là ! Qu’il peut vite paraître agressif et violent, même si il était parvenu à prendre beaucoup sur lui, ce matin. Il était parvenu à claquer cette porte, sans se retourner, sans démolir le joli minois de l’architecte – et ce n’était pas le manque d’envie. Pour autant, il est impulsif Sanders, il ne lui en faut jamais beaucoup pour ne pas aimer un type, pire encore vouloir le rayer de la vie de l’autre, sans laisser planer de doute sur ce qu’il ressent. Et clairement, il n’accepte pas être sur le même piédestal de l’autre homme, il ne lui voue aucune sympathie, suffisamment pour chercher à le faire déguerpir, à laisser cette idée germer dans la tête de l’ambulancière – plus encore depuis leur dernière entrevue. Depuis les nombreuses et multiples provocations du Mulligan. Cette manière bien à lui de faire planer un quelconque doute. Parce qu’il a bien compris que ça l’emmerdait le flic, de le savoir près de Dylane. Que ça le rongeait même, que ça en devenait trop pour lui. Et à ce jeu, Elias est certain de gagner. Parce qu’il ne lâchera jamais, si Dylane est obstinée, il l’est aussi lui. La porte s’ouvre, Dylane qui arque un sourcil, souriante, s’appuyant contre le pourtour de la porte, attendant son baiser quotidien. Mais il n’en fit rien, pas même une légère attention, alors qu’il pénètre dans la maison, « bonsoir à toi aussi, » qu’est-ce qu’il pouvait être con Elias quand il est mal luné. Quand il ne songe qu’à une chose. Quand il ne veut pas voir plus loin que le bout de son nez, il cherche lui-même si la présence du coloc le priverait d’une conversation seul à seul avec l’ambulancière. « Et il n'est pas présent comme tu peux le voir, à moins que tu veuilles fouiller chaque pièce de la villa » Il arque un sourcil, se retournant vers elle, croisant les bras, franchement ? Franchement il en serait capable, qu’elle ne le provoque pas sur ça ! Il a fait bien pire pour montrer sa virilité, comme si il avait besoin de ça, mais c’est pas quelque chose qu’il gère, qu’il maîtrise. « Ne me mets pas au défi Dylane ! J’en suis capable ! » Mais elle le sait, n’est-ce pas ? Elle le connait suffisamment pour savoir qu’il est capable de bien pire, de bien plus. Qu’il n’acceptera jamais de reconnaître ses torts, et qu’il fera tout être plus important que l’autre. « Tu veux bien m'expliquer là ? » Qu’elle demande, elle semble totalement perdue et désemparée. Comme si elle ne savait rien, comme si il ne lui avait rien dit. Ou alors lui avait-il dit que ce qu’il voulait, sans tout lui raconter, et il irait doublement lui casser la figure pour cette raison ! Les gars comme lui, ça l’insupportait ! « Pardon ? Tu insinues quoi là ? » Elle arque un sourcil en le dévisageant du regard. Elle s’approche légèrement de lui comme si elle voulait être au première loge de cette conversation. Mais il n’en démord pas Elias, « j’sais pas… Explique-moi par exemple pourquoi il est encore là, alors qu’il doit bien avoir de la famille pour l’accueillir ? » Qu’il commence, pointant dans un premier temps, leur précédente conversation concernant l’homme, et ce fait que Dylane a été renfermée sur elle-même lorsqu’il a évoqué que Peter devait quitter la villa. « Et tu veux vraiment savoir ce qu’il m’a appris sur toi ? » Pas qu’Elias l’a réellement cru de prime abord, pourtant c’était dans sa tête, ça restait coincé malgré lui, « il a été plutôt élogieux à ton physique, bon rien d’étonnant, et c’était pas Elias qui prétendra le contraire, mais clairement le Pete lui avait bien précisé ne pas être indifférent aux petites brunes comme elle, mais à première vue, vous êtes assez proche… Que vous passez beaucoup de temps ensembles, pour cuisinier, pour faire du sport entre autre… » Et il veut même pas penser à quel type de sport, ils s’apprêtent mais au vu de son regard, c’était clairement pas celui de salle. « Je continue en te reprenant son air condescendant ? » Bon, Elias avait le même quand il le voulait, mais il campait sur sa position, regardant Dylane sans même prendre le temps de s’installer dans le salon ! Il voulait avoir sa version à elle !
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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyJeu 28 Jan 2021 - 22:27

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Normalement voir le flic devant sa porte devrait la faire sourire mais vu l'accueil qu'il lui offre, elle déchante assez vite la brune. Et qu'elle entend le nom de son colocataire sortir, elle ne peut réprimer un long et bruyant soupir. Ils s'étaient vu ce matin et ça, elle est au courant mais vu la réaction d'Elias, il est fort à prévoir que tout ne s'est pas déroulé comme prévu ou plutôt comme Pete lui a raconté. Est ce qu'elle est étonnée ? Pas vraiment en soi. Comment est ce que ça pourrait coller entre un petit et un caractèriel ? Aucune chance. Mais elle ne voit pas trop ce qu'il aurait pu dire qui rende Elais dans cet état mais il est fort probable qu'elle ne va pas tarder à le savoir et elle craint le pire à l'instant présent l'ambulancière. A croire que c'était bien trop calme et mignon entre eux pour que cela dure encore un peu ... Le regard sur le brun, elle le voit chercher après l'architecte qui n'est nullement présent et elle ne peut s'empêcher de la tacler tout en roulant des yeux. « Ne me mets pas au défi Dylane ! J’en suis capable ! » Il n'aurait pas du dire ça ! Non vraiment pas ! «  Très bien » Et sans demander son reste, elle lui attrape la main et lui fait traverser le salon «  Pas là «  pour ensuite aller vers la cuisine «  Pas là non plus «  se dirigeant ensuite vers le jardin » Personne non plus » Ne lâchant pas prise, elle le tire de nouveau l'intérieur et le fait monter les marches les séparant de l'étage. Elle entre dans la première chambre qui est celle de Pete «  Pas là non plus «  Par contre, quel bordel qu'elle ne peut s'empêcher de penser en se dirigeant vers la deuxième chambre et enfin la sienne «  C'est bon ou tu veux faire les deux chambres non aménagés, la cave et le grenier en plus ? «  Qu'elle lance tout en lâchant sa main et croisant les bras sur sa poitrine. Par contre, le flic va trop loin quand il ise demander quel est sa liason avec lui ! Il balance ça comme si elle couchait avec lui et elle ne peut s'empêcher de serrer les dents pour ne pas le foutre dehors de suite.  « j’sais pas… Explique-moi par exemple pourquoi il est encore là, alors qu’il doit bien avoir de la famille pour l’accueillir ? » Sa main glisse sur son visage. » Peut-être car il ne sent pas d'être auprès de ses parents et puis ça peut faire quoi sérieusement ? » Elle ne comprend pas trop le problème la dedans. Plein de personne ont des colocataires et puis Dylane se sent moins seule quand elle rentre du boulot et qu'elle attérit dans cette grande maison. Car non, Elias ne peut pas toujours être là, il a aussi un boulot prenant et une vie en dehors d'eux deux. « Et tu veux vraiment savoir ce qu’il m’a appris sur toi ? » Son regard se lève vers lui, un regard plein d'incompréhension vu qu'elle ne sait pas du tout de quoi il parle et surtout ce que Pete aurait bien pu dire. « il a été plutôt élogieux à ton physique,  Et on y vient. Elle va le tuer. «  Et t'as pas compris que c'est juste pour t'emmerder ? Juste pour que tu aies justement la réaction que tu as actuellement ? » Car elle le connaît Pete et si Elias est entré dans son jeu, il a du s'en donner à coeur joie mais ce n'est pas pour autant qu'elle cautionne ce qu'il a fait, pas du tout même et elle aura une discussion avec lui en temps voulu. mais à première vue, vous êtes assez proche… Que vous passez beaucoup de temps ensembles, pour cuisinier, pour faire du sport entre autre… » Et là, elle rit Dylane. Un rire jaune car tout est tellement faux ... «  Et toi, tu y as cru ? Et bien je te félicite pas ! Je pensais que tu aurais un minimum confiance en moi mais faut croire que pas du tout «  Et ça fait mal mine de rien, ça pique même un peu trop. « Je continue en te reprenant son air condescendant ? » Ho que non, elle ne veut plus rien entendre la brune «  Certainement pas ! Si tu préfères croire ce qu'il t'a inventé, que grand bien te fasse, de mon côté j'en ai assez entendu comme ça » Elle soupire un bon coup et relève son regard pour poser ses yeux dans les siens « C'est simple, si tu n'as pas confiance en moi, je te prierais de quitter les lieux de suite et de ne pas revenir » Et ça lui fait mal de dire ça mais elle n'a pas d'autres choix. Il a aussi une réputation le flic et pourtant, pas une fois, elle n'a douté de lui à ce niveau. Pourtant, elle aurait pu quand il dit bosser tard mais non, elle le croit simplement et lui tombe dans le panneau et monte au premier tour. Maintenant, elle espère qu'il ne quittera pas la maison, pas sa chambre car elle aurait l'air conne, car elle serait mal Dylane et l'attente de sa réaction la stresse au plus haut point. Mais est ce que ce serait la première fois qu'un de ses proches ne la croit pas et lui tourne le dos ?! Malheureusement non, il n'y a qu'à demander à Mason ...


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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyMar 2 Fév 2021 - 12:49

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Sanders avait ruminé des heures dans son coin sans même prendre la peine de l’appeler, ou de lui envoyer un message. Il aurait peut-être pu désamorcer cette bombe depuis bien longtemps, mais finalement, en avait-il réellement envie ? Il n’en sait rien, tout ce qu’il se souvient c’est des paroles du Mulligan, le grand architecte dont avait finalement fait levé les yeux au ciel du flic. Grand architecte, encore faudrait-il avoir de la concurrence dans le métier pour ça ! Il n’était pas d’humeur Elias, et au lieu de rentrer chez lui après son boulot pour que Ava et Erin calme son ardeur masculine, il avait eu besoin de la retrouver. De la confronter. Est-ce que cela voulait dire qu’au fond elle comptait pour lui ? Un petit peu, suffisamment pour qu’il prête attention à ce qu’elle pense, et à ce qu’elle fait ? Ou est-ce juste une manière comme une autre de lui montrer qu’elle n’devrait pas se foutre de sa gueule ? Non évidemment que non. Combien de fois Sanders s’est moqué de ses relations éphémères, ne prêtant guère attention à ce que ses femmes pensent de lui ? Combien de cœur ont péri au creux de ses doigts sans qu’il n’en trouve de remord ? Il ne voudra pas l’avouer, mais elle compte bien pour lui, à ses yeux, et évidemment qu’il n’acceptera pas qu’il soit qu’un jeu, qu’un pantin au milieu de tout ça. C’est nouveau pour lui, il n’a pas l’habitude d’être en couple. Pas l’habitude de faire des compromis. Mais il attaque et ça semblait évident qu’elle allait surenchérir. Qu’elle n’allait pas se laisser faire, pas de la sorte. « Très bien… Pas là… » Elle ne demande pas son reste, en attrapant sa main tout en se rapprochant de lui, pour le diriger vers le salon, Elias ne comprend pas de suite, et regarde le salon malgré lui, vide. « Pas là non plus… » Qu’elle ajoute en faisant demi-tour pour se retrouver dans la cuisine, et finalement le tirant avec elle, ils se retrouvent face au jardin où il n’y a pas un chat, pas même un oiseau. « Personne non plus… » Elias soupire, levant les yeux au ciel, pathétique, alors qu’elle glisse un peu plus son emprise dans la main du flic, le tirant à elle pour l’attirer de nouveau dans la maison, à l’étage, en parcourant le long couloir, là où même ils se sont amusés à se poursuivre l’un et l’autre, pour finalement arriver dans une chambre en bordel, caleçon et chaussettes par terre, et finalement il n’a pas le temps de s’étendre davantage qu’elle le fait sortir, refermant la porte pour se retrouver finalement dans la sienne. « Pas là non plus… » Il se retourne vers elle, alors qu’elle lâche sa main, fronçant les sourcils. « Tu as finit ?! » Exaspéré, il soupire longuement. « C'est bon ou tu veux faire les deux chambres non aménagés, la cave et le grenier en plus ? » Qui sait ce dont il serait réellement capable… Il la foudroie du regard en se rapprochant d’elle, avant que son doigt remonte le long de son bras sans la lâcher du regard pour autant, « ne m’provoque pas Dylane, tu seras jamais gagnante ! » Qu’il dit presque voix basse. Mais en réalité plus qu’une phrase de l’architecte se répète de nouveau, dans sa tronche. Celle où il a évoqué être en train de faire de la cuisine et du sport avec l’ambulancière alors qu’elle n’était pas avec le flic ce soir-là… « Peut-être car il ne sent pas d'être auprès de ses parents et puis ça peut faire quoi sérieusement ? » Elle se pousse et Elias, laisse ses fesses tomber sur le rebord du lit de l’ambulancière. « Ca fait quoi ? Il n’est pas à sa place ! » Il n'en démord pas ! Il a bien compris que Pete allait s’incruster de plus en plus, n’être qu’un poids supplémentaire, et qu’il resterait là, juste pour le faire chier, entre autre ! « Et t'as pas compris que c'est juste pour t'emmerder ? Juste pour que tu aies justement la réaction que tu as actuellement ? » Elle lève un peu les mains en l’air tout en parlant, ne voulant pas trouver d’excuse au flic. Cherchant à démentir, évidemment. Et en réalité, il le savait au fond de lui, que c’était probablement pour le faire chier, il n’aurait pas eu ce sourire provoquant, en coin sinon. « Et toi, tu y as cru ? Et bien je te félicite pas ! Je pensais que tu aurais un minimum confiance en moi mais faut croire que pas du tout… » C’est la meilleure, ça allait être sa faute maintenant ! « C’est pas une question de confiance Dylane… » Qu’il poursuit, avant de reprendre, « je suis pas comme toi, je suis pas comme ça, habituellement Dylane… » Il s’arrête net, sans même réellement dire comment il est habituellement. Parce que finalement, il est un peu comme Pete, il ne s’attache jamais normalement, et s’en va bien avant de sombrer pour quiconque, et que c’est pas naturel de faire confiance aux autres pour le flic. « Certainement pas ! Si tu préfères croire ce qu'il t'a inventé, que grand bien te fasse, de mon côté j'en ai assez entendu comme ça… Elle croise les bras en cherchant à capter son regard, c'est simple, si tu n'as pas confiance en moi, je te prierais de quitter les lieux de suite et de ne pas revenir… » C’est la meilleure ! Elias la fixe un moment silencieux, immobile sans même se relever. « Tu aurais préféré quoi ? Que je lui en foute une ? » C’était tout ce que l’architecte aurait mérité ! Il y songera la prochaine fois… Et puis il finit par se relever, « tu veux que je quitte cette chambre ? » Qu’il demande, en se rapprochant d’elle, la fixant droit dans les yeux. « Je suis bien avec toi Dylane, je veux dire… » Vraiment bien, sinon elle aurait été comme toute ses autres, un nom de plus sur sa liste, une partie de jambe en l’air, une de plus dont il aurait piétiné son cœur. « Mais je ne pourrais pas supporter tout ça… » Tout ce qui se passe autour d’eux, les piques de ses hommes qu’il a juste besoin de contrer, de riposter. Il ne part pas, il ne se retourne pas, mais il sait combien il ne serait pas capable de la savoir entourer par d’autres hommes…
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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptySam 6 Fév 2021 - 18:01

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Là de suite, Dylane a autant envie de donner une claque derrière la tête d'Elias que d'en foutre une à Pete. Ils sont aussi cons l'un que l'autre et ça la sort de ses gonds. Vraiment, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, mais genre vraiment pas du tout. Pete avait été faire son paon devant le flic sachant très bien l'importance qu'il a pour elle et ça, elle ne pourra pas laisser passer, ho que non. Et Elias, fidèle à lui-même, à foncer dans le piège comme un gamin. Alors sans plus attendre, elle lui attrape le bras sans lui laisser le choix. Il veut vérifier que son colocataire n'est pas présent et bien il va être servi. Pièce après pièce, elle lui fait voir qu'il est absent de la villa et dans tous les cas, il est de moins en moins là mais ça, elle se garde de lui révéler. Elle pourrait pour apaiser les tensions en soi mais non car elle est bornée aussi Dylane et ça il le sait. C'est bien pour ça qu'ils se sont trouvés. Le même caractère, le même sens du jeu mais aussi les mauvais côtés. Et des fois, ils ne sont pas beaux à voir comme actuellement. Arrivée dans sa chambre, elle lâche son bras pour croiser les siens sous sa poitrine et soutient son regard ne voulant en aucun cas lui donner gain de cause. « Tu as finit ?! »  Et elle roule des yeux. «  Ca dépend de toi ça «  Car s'il veut, elle se fera un plaisir de continuer la visite. « ne m’provoque pas Dylane, tu seras jamais gagnante ! » Un soupir sort d'entre ses lèvres. «  Je serais pas perdante non plus alors arrêt ça «  Car jamais elle ne se laissera marcher dessus et encore moins pour des enfantillages pareils et surtout quand elle n'a rien à se reprocher. Le flic remet en cause la place de Pete ici ce qui l'exaspère. Bon elle dira pas qu'il a tort mais pas qu'il a raison non plus. Mais ça, c'est une histoire qu'elle doit régler avec Pete et personne d'autres.  « Ca fait quoi ? Il n’est pas à sa place ! » Peut-être oui mais dans l'autre sens, combien de personnes ne sont pas en colocation ?! Alors merde. «  C'est juste un colocataire, rien de plus. Si t'es pas content, t'as qu'à prendre sa place hein » Qu'elle lance sans peser le poids de ses mots et sans réellement réfléchir au sens de sa phrase car elle est énervée Dylane et ça se sent. Si bien qu'elle finit par retourner la chose en mettant en porte à faux Elias car il a cru aux histoires de l'architecte sans se douter qu'il se foutait ouvertement de lui, qu'il a dit tout ça pour le faire chier et qu'il a réussi haut la main. C'est aussi là que Dylane se rend compte qu'il n'a pas confiance en elle pour laisser le doute l'envahir et ça, par contre, ça lui fait mal. Certes, elle était du genre volage avant lui et ne disait pas spécialement non pour un flirt avec un inconnu en boîte mais c'était avant de le connaître, avant de tomber sous son charme, avant de sombrer dans son regard.  « C’est pas une question de confiance Dylane… »  (...) « je suis pas comme toi, je suis pas comme ça, habituellement Dylane… » Elle hausse un sourcil. «  Comme moi ? De quoi tu parles ? Tu crois que de mon côté j'ai l'habitude d'être amou... «  Et elle stoppe sa phrase se rendant compte de ce qu'elle allait dire pour revenir sur terre et la situation dans laquelle ils se trouvent actuellement. C'est pas réellement le moment pour des confidences de la sorte. Un ultimatum sort d'entre ses lèvres et même si elle redoute de la réponse, elle ne peut plus faire marche arrière. Soit il lui fait confiance, soit il s'en va. Car elle n'a pas envie de devoir justifier tous ses gestes à chaque moment, toutes ses fréquentations masculines alors qu'elle ne fait rien de mal, qu'elle a bien trop de respect pour le flic que pour dévier dans les bras d'un autre. « Tu aurais préféré quoi ? Que je lui en foute une ? » Ses lèvres se pincent alors qu'elle hausse les épaules. «  Ca lui aurait peut-être remis les idées en place » Qu'elle lance songeant bel et bien lui en coller une quand il daignera passer la porte que ce soit ce soir ou le lendemain. « tu veux que je quitte cette chambre ? » Qu'il dit pour ensuite se lever et s'approcher de la brune. Bien sur que non, elle ne veut pas mais elle se mord la lèvre à la place de répondre. « Je suis bien avec toi Dylane, je veux dire…  (...)  « Mais je ne pourrais pas supporter tout ça… »  D'un coup, toute l'animosité qu'elle avait s'évapore. Il sait trouver les mots le bougre et elle soupire tout en secouant la tête. «  Je veux pas que tu partes non mais ... «  Sa main vient se poser sur sa joue qu'elle caresse de son pouce.  «  Tu dois comprendre qu'il n'y a que toi Elias. Les autres sont invisibles à mes yeux «  Qu'elle finit par avouer non sans détourner légèrement le regard n'étant pas spécialement à l'aise dans ce genre de révélation. «  Je parlerais à Pete de tout ça et je vais pas rester sans lui en coller une, je t'assure » Qu'elle dit avec une moue boudeuse. «  Mais fais moi confiance, c'est tout ce que je te demande. T'as un passé aussi, des filles qui te tournent autour et ça me plaît pas plus mais je dis rien car ... «  Car c'est avec lui qu'il est et que vu le caractère du flic, elle peut s'estimer heureuse qu'il ait poser les yeux sur elle et non une autre. «  Car enfin je te fais confiance » Qu'elle dit simplement en ayant déjà trop dit ce soir ... Et pas assez à la fois.


@Elias Sanders (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 3258319053 (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 3031831951
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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyJeu 11 Fév 2021 - 22:59

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 « condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. »  (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 873483867  dylane bradford & elias sanders


Ca n’avait pas été la bonne idée d’attendre toute la journée en ruminant pour le soir se rendre chez Dylane et lui cracher à la figure tout ce qu’il ne pense pas vraiment. Mais Sanders a du mal à se laisser aller en couple, à faire confiance. Il n’a jamais vraiment eu l’habitude de l’être par le passé, parce que la seule avec qui il aurait pu être, s’amusait à flirter avec d’autres – et surtout devant son nez, et ruiner à néant tous ses plans avec d’autres, même d’une nuit. Il a donc entretenu ce besoin de coucher un soir, sans en attendre davantage, parce qu’aucune ne lui arrivait à la cheville. Et puis elle est partie peu de temps après qu’il est avoué avoir tiré sur son chéri du moment – et même si il était en mission pour son travail, il y a trouvé une justice, il n’a jamais regretté son geste malgré qu’il est ôté la vie d’un homme. Mais tout ça, elle a finis par le savoir des années après, après qu’il lui est menti en la regardant droit dans les yeux quand Freya lui a demandé si il était impliqué dans cette mort. Et qu’il a rien dit, qu’il a répondu non. Et puis il y a eu la rencontre avec Dylane, qui a tout bouleversé. Elle est rentrée dans sa vie, et ne lui a guère laissé le choix que d’y croire. De nouveau. En quelqu’un d’autre que sa propre famille. Même si les débuts furent compliqués, plus de bas que de haut, finalement ils ont décidés après des mois de lutte de se donner une chance. Une chance aujourd’hui, qui est compté, parce qu’on aime encore jouer avec ses nerfs et qu’il tombe bien trop facilement dans le panneau. « Ca dépend de toi ça… » Ils arrivent dans la chambre de Dylane, elle lui lâche le bras, lui ayant fait visiter de gré ou de force chaque pièces de la maison, comme si ça pourrait le calmer. Comme si ça pourrait apaiser les choses. «  Je serais pas perdante non plus alors arrête ça… » Il lève les yeux au ciel, parce qu’il serait bien capable de continuer le flic, juste par fierté, juste pour avoir ce putain de dernier mot. Juste pour retourner dans la chambre de ce Peter et tout foutre en l’air. Mais c’est une mauvaise idée, très mauvaise idée, il oublie ça… « Tant qu’il restera ici, je cesserai pas… » De lui dire qu’il n’a pas sa place ici, auprès d’elle. Qu’elle a d’autres chats à fouetter que ce rigolo ! Non vraiment il aura beau faire tous les efforts qu’il faut, il a rayé ce nom à la seconde même où il lui a ouvert la porte torse-nu avec son sourire malicieux au coin des lèvres. Mais Dylane soupire, «  c'est juste un colocataire, rien de plus. Si t'es pas content, t'as qu'à prendre sa place hein… » Il a un moment de recul, fronçant les sourcils. Prendre sa place mais pourquoi faire ? Elle a besoin d’un coloc pour l’aider financièrement ? Ou d’une présence ? Le flic ne comprend pas vraiment, et est-il réellement en état de chercher davantage ?! « Comment ça prendre sa place ? » Qu’il surenchérit avant de reprendre, « je croyais que t’avais pas besoin d’argent… » Mais lui, il a Ava et Erin et il ne peut pas les abandonner. Elles font constamment des conneries – bon surtout sa petite sœur… « Tu sais bien que j’ai Erin et Ava… » Il soupire légèrement, parce que finalement, voire davantage le matin au réveil ou le soir en rentrant de son travail l’ambulancière ne le dérangerait pas, bien au contraire… Et il s’en rend compte. «  Comme moi ? De quoi tu parles ? Tu crois que de mon côté j'ai l'habitude d'être amou... » Distant, lointain, surpris, il fronce les sourcils, ne surenchérit pas. «  Ca lui aurait peut-être remis les idées en place. » Il hausse les épaules. « Dylane Bradford m’aurait rien dit si on en serait venu aux mains ? » Il arque un sourcil, ça l’étonnait, et pourtant il répond, « je le saurai pour la prochaine fois ! » Parce qu’avec ses garnements, il y a toujours des prochaines fois. La vermine ça s’accroche… Ca ne disparaît jamais, ça s’efface pas. Il finit par se lever du lit de Dylane, et s’avancer vers elle. «  Je veux pas que tu partes non mais ... Tu dois comprendre qu'il n'y a que toi Elias. Les autres sont invisibles à mes yeux… » Sa main qui vient se poser sur sa joue, qu’elle caresse avec tendresse en détournant le visage. «  Je parlerais à Pete de tout ça et je vais pas rester sans lui en coller une, je t'assure. » Il soupire Elias, « Laisse-moi lui en coller une alors… » C’était pas son rôle à elle, pas pour cette histoire-là du moins, alors que l’une de ses mains récupère celle qui est libre de l’ambulancière, qu’il resserre dans son étreinte, entre ses doigts. Il veut lui faire comprendre qu’il entend ce qu’elle dit, et qu’il est là… «  Mais fais moi confiance, c'est tout ce que je te demande. T'as un passé aussi, des filles qui te tournent autour et ça me plaît pas plus mais je dis rien car ... » Il fronce les sourcils, le seul passé qu’il a, n’est pas si terrible que ça, enfin rien de bien entreprenant. Il s’amusait des femmes le flic, rien de plus. Pas d’attachement, que des jambes en l’air, sans jamais le reproduire avec la même le lendemain… «  Car enfin je te fais confiance… » Sa main de libre vient toucher le menton de Dylane, qu’il ramène davantage devant lui. S’avançant d’un pas, vers elle, ses lèvres viennent toucher, caresser celles de Dylane. Qu’il embrasse avant de se détacher d’elle quelques secondes plus tard, il se devait d’être franc. « Il n’y a jamais vraiment eu de femmes auparavant… » Difficile à croire, pourtant c’est un peu vrai – hors mi Freya Doherty, mais il se contentera de nier son existence, « Elles n’ont jamais eu l’importance à mes yeux qu’elles auraient dû… » Il recule de quelques pas, pour s’asseoir sur le lit, l’entraînant avec lui, sans détacher sa main de la sienne. « Je te promets de faire des efforts. » Même si ça allait être compliqué, et il en avait conscience, « pour toi, Dylane… » Qu’il dit plus bas, en relevant son regard sur elle.
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Se prendre la tête avec Elias, la brune savait que ça arriverait. Ces dernières semaines avaient été bien trop belles pour que cela reste ainsi. Mais elle n'aurait certainement pas cru que cela viendrait à cause de Pete. Certes, elle savait que la présence de l'architecte ne plaisait pas à Elias mais pas à ce point. Maintenant, elle ne peut pas remettre tous les torts sur lui car connaissant le clown, il a du en dire des conneries et rien que les phrases que le flic lâche ne laisse pas grande place pour l'imagination. Une chose est certaine, elle s'occuperait de son cas plus tard et elle n'allait pas être avec lui. Qu'elle le laisse vivre ici est une chose mais qu'il sabote sa relation amoureuse en est une toute autre. Seulement sur le coup, c'est pas lui qui prend mais bel et bien Dylane qui n'a absolument rien demandé. Du coup, avec le caractère merdique qu'elle a, elle ne se laisse pas faire et fait faire le tour du propriétaire au flic lui montrant bien qu'il n'est point présent et qu'elle ne sait même pas quand il le sera vu qu'il est de moins en moins dans la villa. A se demander pourquoi il est encore là ?! Cela aussi, il faudra qu'elle lui en parle, sa maison, c'est pas un hôtel où il vient quand bon lui semble non plus. Et puis, faut avouer qu'elle aime bien passer du temps avec lui en toute amitié bien qu'elle s'abstiendra de le dire au flic qui est déjà assez sur les nerfs. Le tour se termine dans la chambre de la brune alors qu'elle n'a aucune arrières pensées en ce moment même. Dans d'autres circonstances, elle ne l'aurait pas venir pour rien. Ici, elle n'a juste pas fait attention à l'ordre des pièces. Ils ont fini ici tout comme ils auraient pu finir dans la buanderie ou encore la cave. Les bras croisées sur sa poitrine elle le voit lever les yeux au ciel mais n'a aucune réaction bien décidée à ne pas se laisser faire.  « Tant qu’il restera ici, je cesserai pas… » Là de suite, l'ambulancière a juste envie de laisser tomber et qu'ils se démerdent tous les deux mais elle ne le fait pas, bien trop fière et ne souhaitant pas aggraver la situation non plus. Surtout que tout vient d'une putain de farce, non marrante, de la part de Pete. « On a le temps alors » Qu'elle lance car elle ne le mettra pas dehors non plus. C'est pas son genre à Dylane et ça il devrait le savoir vu qu'ils ont le même caractère. Dites lui blanc, elle fera noir et vice versa. Et là, elle lâche une phrase sans se rendre compte de l'impact et ce qu'elle pourrait vouloir dire. « Comment ça prendre sa place ? » (...) « je croyais que t’avais pas besoin d’argent… » D'argent mais pourquoi il parle d'argent ? Elle le regarde en haussant un sourcil ne comprenant pas tout sur le coup. « Tu sais bien que j’ai Erin et Ava… » Tilt, l'ampoule s'allume et sa main se plaque sur son visage. «  Non mais j'ai dit ça comme ça ... Je ... Ho puis merde, tu me perturbes aussi » Qu'elle dit en essayant de noyer le poisson. C'est pas que ça la dérangerait que le flic s'installe ici mais cela serait beaucoup trop tôt, ils n'ont pas mis de mots sur leur relation alors vivre ensemble serait brûler les étapes et pas qu'un peu. Tant qu'ils y sont, il n'ont qu'à faire un enfant maintenant à ce rythme là. Heureusement que tout cela n'est qu'un quiproquo qu'elle s'empresse de mettre au placard. « Dylane Bradford m’aurait rien dit si on en serait venu aux mains ? » Ses épaules se haussent alors qu'elle soupire las de tout ça. «  Au moins tu aurais réglé ça avec lui et j'en aurais pas fait les frais » Mais de là à dire qu'elle aurait aimé que cela se passe ainsi, non tout de même pas.  « je le saurai pour la prochaine fois ! » De suite, elle hoche la tête négativement. «  Ha non, il n'y aura pas de prochaine fois » Car elle compte bien faire en sorte que cela s'apaise avec Pete. Elle lui demande pas de l'aimer, mais au moins qu'ils se respectent mutuellement. Dylane n'a pas envie de se retrouver le cul entre deux chaises et pourtant, elle a bien l'impression que c'est bien parti pour. Faut qu'elle fasse quelque chose pour éviter ça mais quoi ?! Elle ne sait pas encore. Malgré tout, elle s'apaise un peu et essaye de lui montrer qu'elle comprend sa jalousie mais qu'il n'y que lui qui compte. Au point où elle manque de sortir une phrase qu'elle n'est pas prête d'assumer. S'en rendant compte, elle avorte vite fait le tout et dit qu'elle s'occupera de Pete en temps voulu si ça peut le rassurer. « Laisse-moi lui en coller une alors… » Ses yeux roulent vers le ciel. «  Il aura l'air plus con si ça vient d'une fille. Et faut pas croire je peux taper quand je veux » Il l'a vu à l'oeuvre dans cette salle de sport après tout. Bon, elle fait pas mal en soi vu sa silhouette mais la rage peut amener tellement de choses. La confiance est quelque chose qu'elle n'accorde pas beaucoup et là, elle doit avouer qu'elle lui a accordé malgré tout et tout ce qu'elle lui demande en retour, c'est la même chose. Sans ça, comment pourront-ils avancer ? C'est foutu d'avance. « Il n’y a jamais vraiment eu de femmes auparavant… »  Ses lèvres s'ouvrent mais aucun son ne sort car elle ne s'y attendait pas du tout. Elias Sanders qui n'a eu personne avant elle, du moins de sérieux, elle a du mal à y croire et pourtant, elle ne voit pas pourquoi il lui mentirait la dessus. De son côté, elle ne peut pas trop dire la même chose bien que ce qu'elle ressent pour lui, elle n'a jamais ressenti pour personne. Elle a juste cru aimer tandis que là son coeur lui dit bien que l'amour est présent et qu'il est vrai. « Elles n’ont jamais eu l’importance à mes yeux qu’elles auraient dû… »  Qu'il dit tout en l'invitant à venir le rejoindre en l'attirant vers le lit. « Je vais pas te dire que ça me dérange «  Car ce serait mentir. Elle aime le fait d'être celle qui a su sortir du lot. « Je te promets de faire des efforts. »  (...) « pour toi, Dylane… » D'un coup, toute l'animosité qu'elle avait s'amenuise et elle porte sur lui un tout autre regard, plus doux, plus ... amoureux alors qu'elle se mord la lèvre inférieure. « Un pas après l'autre «  Qu'elle lui dit tout en plongeant ses iris bleues dans les siennes sachant bien que rien de tout ça ne serait simple pour Elias. Sa main libre vient se poser sur sa joue qu'elle caresse de son pouce. «  Tu sais, il pourrait avoir un millier d'hommes autour de moi que je ne verrais que toi » Qu'elle avoue dans un souffle avouant l'aimer à demi-mot sans le dire totalement. Ces trois petits mots n'arrivent pas encore à passer la barrière de ses lèvres mais il y a tant d'autres manières de le montrer. Comme celle-ci. Elle va doucement déposer ses lèvres sur siennes pour un chaste baiser et se recule pour le regarder et venir à nouveau capturer ses lèvres pour un réel baiser cette fois-ci.  


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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyJeu 25 Fév 2021 - 10:23

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Cette fois-ci plus qu’une autre fois, Sanders se voudra impartiale, se voudra intouchable. Elle peut frôler ce qui lui appartient, jamais il ne cèdera devant cette tentation. Qui n’est qu’abrupt, brutale, et intrépide. Elle peut le lorgner de son regard langoureux, l’attirer dans son jeu le plus démoniaque, il n’en démordra pas, elle ne l’aura pas, jamais. Elle n’aura jamais sa peau, jamais ses tripes, jamais ses excuses. Il ne comprenait pas pourquoi ce sentiment l’avait envahi, lui qui se voulait indifférent et le genre intouchable. Lui qui ne se voulait pas être juste le petit ami de, et qui demeurait toujours être ce type arrogant et prétentieux lorsque ses sentiments l’envahissaient. Et puis, à force de se tourner autour, de se titiller, de se renvoyer la balle, elle avait finis par l’user. Elle avait réussi à lui tirer en plein cœur, il a tenté de ne pas céder. De résister du mieux qu’il le pouvait, et encore aujourd’hui, cette sensation d’avoir fait la plus belle connerie de sa vie en lui offrant la possibilité de le déstabiliser ainsi, s’emparait de lui. Il ne pouvait rien contre ce sentiment qui le connait que trop bien, qui le tue à petit feu, le poussant souvent à se sauver, à quitter le bateau avant qu’il ne coule. Et pourtant, cette fois, il ne partira pas. Il n’offrira pas cette chance au Mulligan ou à quiconque. Il était donc à présent devant l’ambulancière pour lui rendre des comptes, comprendre sans se ménager. Sans ménager ses paroles parfois blessantes, mais c’est sa seule arme. Se comporter en abruti, se confronter à ce qu’il ressent sans jamais vouloir l’admettre. Et à trop jouer au con, elle le tire dans chacune des pièces de la maison, ne lui laissant pas le choix en réalité pour lui montrer cette vérité. Il n’est pas là, ce coloc, cette vermine qui finira par avoir sa peau. Il lui fait face dans sa chambre au bout de longues minutes, mais il ne proteste pas, se contentant d’hocher la tête, de lui faire un signe à la va-vite quand elle veut finalement entendre qu’il a tort. Qu’il n’y a personne, remettant sa parole en doute, se contentant donc de lui donner ce qu’il veut. « On a le temps alors… » Il arque un sourcil, campant sur ses positions lui aussi, et elle le connaît suffisamment pour savoir qu’il ne lâchera jamais. Qu’il l’aura à l’usure, en reparlant dès que l’occasion se présentera à eux, même si ça le fait passer pour un lourd, un râleur pro. « Ca veut dire quoi ça ? » Qu’il se contente de répondre, un peu amer, n’acceptant pas vraiment passer en second plan. Et puis elle cherche à se défendre, à argumenter quand lui, pense que ce n’est qu’une question d’argent, parce que ça le dérangerait que ce soit pour autre chose. Par sympathie, ou autre… L’amitié fille/garçon, il l’a bien connu et est bien placé pour savoir que ça n’existe pas… Il cherchera à prouver le contraire, mais au fond de lui, n’y croit pas du tout… Surtout pas un type comme Pete, qui est semblable à lui sur bien des points… Il y a toujours une arrière-pensée, finalement… « Non mais j'ai dit ça comme ça ... Je ... Ho puis merde, tu me perturbes aussi… » Elle hésite, se reprend, et son regard se perd un peu, ses pensées sans doute avec, ça le fait sourire finalement le flic, et ça le détend légèrement, « dans le bon sens j’espère ? » Le fait de la perturber. Mais ça l’étonne qu’elle les laisse se battre sans rien dire. La connaissant elle aurait tapé l’un en prenant l’autre. « Au moins tu aurais réglé ça avec lui et j'en aurais pas fait les frais. (…) Ha non, il n'y aura pas de prochaine fois…  » Ils ont l’air comme deux cloches, éloigné l’un de l’autre, à se regarder sans s’apprivoiser désormais que tout semble éloigner. « Ca ne tient qu’à toi… » Un murmure, des mots qui s’échappent de ses lèvres sans qu’il ne veule retenir quoi que ce soit. Plus fort que lui. Alors qu’il aimerait tout effacer, que tout ça ne devienne plus qu’un passé. Mais tout le monde sait que c’est douloureux de s’en rendre compte, plus encore de le dire à haute voix. Il préfère faire taire cette voix, cette lueur d’espoir. « Il aura l'air plus con si ça vient d'une fille. Et faut pas croire je peux taper quand je veux. » Il hausse les épaules finalement en souriant à la fin de sa deuxième phrase. Bien sûr qu’il le sait, il n’en doute pas, et d’ailleurs, elle l’a déjà exécuté au tout début. Un soupire sort de ses lèvres, alors que sans savoir pourquoi, il a besoin de la rassurer, et que même si il feinte une absence qui l’a autrefois touchée, au jour d’aujourd’hui, il n’est plus capable de penser à Freya, à cette ancienne meilleure amie. Il a préféré l’enterrer dans un coin de sa tête et de son cœur, et à part elle, aucune autre femme n’avait eu l’importance escomptée, amoureusement parlant… « Je vais pas te dire que ça me dérange… » Immobile, face à lui, alors que ses fesses sont sur le lit de l’ambulancière. « Un pas après l'autre, elle pose ses doigts contre son visage, sa joue qu’elle caresse alors que ses yeux la fixent un court instant, tu sais, il pourrait avoir un millier d'hommes autour de moi que je ne verrais que toi… » C’est parfois bon de l’entendre. Parfois ça réchauffe le cœur. Parfois ça fait juste du bien. Il la tire vers lui, pour l’obliger à s’asseoir sur ses genoux, alors qu’elle plonge son regard dans le sien, et que ses lèvres lui volent un baiser. Distant, lointain, rien de bien prenant, tandis qu’il glisse sa main sur la sienne, « il n’y en a pas d’aussi importante que toi, à ce jour… » Qu’il répond à voix basse, presque chuchotant, et c’est une chose sincère, qu’il pense. Laissant son passé derrière lui, laissant ses femmes loin de lui, loin de ses quelques souvenirs. Et quand elle plonge ses lèvres sur les siennes, il les capture à son tour pour lui rendre le baiser, intense, et de la même envergure, avant de glisser sa main derrière son dos, et de se laisser tomber en arrière sur le lit, la retenant contre lui, pour qu’elle s’exécute.  
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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyLun 8 Mar 2021 - 16:24

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 « condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. »  (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 873483867  dylane bradford & elias sanders


Si les rôles étaient inversés, est ce que la brune aurait réagi tout comme le flic ? Certainement voire même avec plus de virulence. Savoir qu'une fille, autre que faisant partie de sa famille, pourrait vivre avec lui, elle ne l'aurait pas accepté. Sa jalousie aurait pris le dessus et elle lui aurait sûrement fait une crise digne de ce nom. Et pourtant, elle s'obstine sur le fait que Pete, c'est pas pareil car en soi, elle ne le voit pas comme un danger ou autre. C'est un ami qui avait besoin d'un toit et elle lui en a offert un. Aucune arrière pensée n'avait traversé son esprit et cela ne lui arrivera pas. Mais ça le flic devrait le savoir mais ce n'est pas d'elle qu'il se méfie mais bel et bien du Mulligan et à juste titre vu les âneries qu'il a sorti. Dylane devra régler ce problème et il peut compter sur elle pour que ce soit fait dés qu'elle mettra la main dessus. Elle veut bien plaisanter mais pas avec son couple, pas si ça peut mettre en danger la relation qu'ils ont. Est ce que cela serait une raison suffisante pour qu'elle baisse les armes et donne raison au flic ? Bien sur que non. « Ça veut dire quoi ça ? » Elle hausse les épaules et roules des yeux. «  Tu le sais très bien «  Aussi têtu l'un que l'autre, ils ne laisseront personne avoir raison et ça même s'ils ont tort et là tous les deux. Car Elias aurait du ne pas croire Pete et Dylane devrait comprendre sa jalousie. Mais non, deux bourriques qui se font une sorte de guerre qui n'a pas lieu d'être alors qu'ils terminent dans la chambre de l'ambulancière. Voilà qu'il croit qu'elle a besoin d'argent alors qu'il connaît sa situation et que l'argent ne manque pas et ne manquera jamais dans sa vie. Ça lui fait une belle jambe, si au moins, elle avait cette excuse, tout irait peut-être mieux mais même pas. Elle essaye de se défendre la brune et se perd totalement, essayant de remonter la pente. « dans le bon sens j’espère ? » Ses yeux se posent dans les siens alors qu'elle se mord l'intérieur de la joue pour ce qu'elle a dit et ne voulant pas en dire d'avantage et sombrer totalement dans les sentiments qui l'animent et qui font qu'Elias arrive à la rendre faible, vulnérable. « Faut croire que oui » Qu'elle avoue à demi-mots alors qu'un léger sourire a naquis sur les lèvres du brun. La violence, c'est pas son truc mais là, si ça avait pu empêcher cette situation, elle aurait presque fait une exception. « Ça ne tient qu’à toi… » Et il continue Elias à vouloir qu'elle se débarrasse de lui comme d'un vulgaire déchet, chose qu'elle ne fera pas. «  Il ne restera pas encore des mois de toute façon » Qu'elle dit en haussant les épaules car c'est pas prévu ainsi et que de toute façon, il est de moins en moins présent dans la villa et qu'elle a l'impression que sa chambre sert juste d'endroit pour quand il n'a pas des draps à éreinter. Donc, elle n'est pas dupe Dylane et sait que Pete mettra bientôt les voiles. Et si ça peut faire en sorte que le brun soit plus serein, elle prend. Le regard toujours posé sur lui, elle ne sait pas comment mais ils en viennent à des confidences qu'ils ne sont jamais fait. Un mal qui conduit vers un bien en soi. Apprendre qu'il n'y a pas d'autres filles gonfle son cœur et elle ne peut pas dire que ça la dérange, bien au contraire. A son tour de rassurer Elias car il n'y a que lui et il n'y a jamais eu que lui. Il a été le seul et restera sûrement le seul à percer sa carapace jour après jour, si bien qu'il ne reste plus grand chose mais la dernière couche est certainement la plus solide, celle qui s'est construite il y a passé deux ans ... Celle qu'elle ne veut pas enlever, pas maintenant, pas avant d'avoir tout régler. Attirée par lui, elle se retrouve sur ses genoux alors que sa main se pose sur la sienne et qu'elle glisse ses doigts entre les siens. « il n’y en a pas d’aussi importante que toi, à ce jour… » Son cœur papillonne à la brune et tout ce qui les animais plus tôt disparaît en un coup de vent. Plus de Pete, plus de coloc dans sa tête mais rien que le flic. «  J'espère que ce sera le cas encore longtemps » Ose-t-elle dire avant de se laisser entraîner dans ce baiser qui se veut envieux. N'épousant aucune résistance, elle se laisse tomber sur sur son corps sans lâcher ses lèvres continuant le baiser de manière à ce qu'il comprenne qu'elle est à lui et à lui seul. Sa main remonte doucement vers son cou qu'elle caresse du bout des doigts tandis que son autre main se pose sur ses pectoraux. Seulement, la porte grince ce qui la fait se relever d'un coup pour apercevoir un de ses chiens. « Bon sang, j'ai eu peur » Car ça aurait pu être son coloc et c'est là qu'elle se rend compte que vivre à plusieurs n'est pas spécialement des plus positifs par moment. Le chien mis dehors, elle ferme la porte et la verrouille pour s'y appuyer et regarder le flic toujours sur le lit. « On sera tranquille comme ça » Qu'elle dit insinuant bien des choses alors qu'elle se mord la lèvre tout en le regardant et s'avançant vers lui à un rythme lent.


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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyJeu 11 Mar 2021 - 16:03

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 « condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. »  (dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. 873483867  dylane bradford & elias sanders


Il ne pouvait pas tolérer la présence du Mulligan dans la vie de l’ambulancière, et peu importe qu’il n’y est rien entre eux, ou qu’il n’y est jamais eu de sentiment pour elle, rien que le fait de connaître le vrai visage de l’architecte, poussant le vice plus loin l’avait sorti de ses gongs. Le voir, le provoquer, l’user de la sorte l’avait hérissé les poils, et il n’avait à présent qu’une idée en tête : le lui faire payer ! Il n’avait rien à faire là, il avait qu’à aller à l’hôtel ou chez sa mère, il s’en fichait éperdument le flic, et comptait bien obtenir grâce aux yeux de sa belle, il ne lui laisserait pas le choix – même si il sait aussi, qu’elle aime ce genre de défi. Dylane n’est pas qu’une nana à qui ont dit un truc et qui obéît, elle est rancunière et obstinée. Et c’est aussi pour ça, que ça fonctionne entre eux, n’est-ce pas ? Il ne sera donc pas aisé de lui faire entendre raison mais comme tout challenge, le flic prend. Use de son charme, crie, râle. Cette passion déferlante en lui, alors qu’il pose doucement les yeux sur elle. Même loin de lui, même énervée, il la trouve belle, et n’a d’yeux que pour elle. Il semble réellement enfin avoir trouvé quelqu’un pour qui il est prêt à tout, et c’est assez étrange qu’il s’en rende compte, ça le dérange presque. Il se souvient encore quand Erin et sa cousine ont voulu absolument savoir qui été cette étrangère dans son cœur, toute ses questions qu’elles lui posaient. Et le fait qu’il cherchait à les menait sur une mauvaise piste, juste pour pas qu’on le charrie de trop – parce que rien n’était gagné avec Dylane. Elle croise les bras le regardant, droite et immobile devant lui, alors qu’il la suivie jusqu’à sa chambre. Pas même le fait que ce soit la dernière pièce qu’elle lui montre ne passe par sa tête, et encore heureux qu’il ne retrouve pas le Mulligan ici. Il veut chasser l’homme de son esprit… Du moins pour le moment, «  tu le sais très bien… Elias lève les yeux au ciel, non il ne sait rien… Il a besoin d’être rassuré, qu’elle obtempère. Il a besoin d’avoir le dernier mot. Il veut avoir le dernier mot ! Faut croire que oui… » Dit-elle, en se mordillant la lèvre, alors qu’un sourire apparaît au coin de ses lèvres. Serait-il prêt à succomber l’un et l’autre, aussi facilement ? Pas tout à fait, car si il s’avance un peu vers elle, sa main vient attraper l’arrière de sa tête, et il tire légèrement sur ses cheveux pour lui relever ses yeux sur lui, déposant un baiser sur ses lèvres tout en maintenant sa mâchoire de son autre main, il confie presque à voix basse, « je ne cèderai rien Miss Bradford… » Qu’il se contente juste de dire sur le sujet du ‘super’ coloc qui en est franchement pas un à ses yeux. «  Il ne restera pas encore des mois de toute façon… » Elle se renfrogne un peu, alors qu’il lève les yeux au ciel, « ah, mais je te le confirme… » Il se connaît Elias, il est capable des pires crasses pour le voir se casser, il est capable d’élire domicile chez l’ambulancière et lui faire regretter à ce Pete, sa venue dans cette villa. Il l’attire avec lui, sur le lit, alors qu’il s’y installe pour s’asseoir. Assise elle aussi, sur les genoux du flic, elle le regarde et ce petit moment d’intimité lui fait le plus grand bien, il prend ce qu’il peut, entrelaçant leurs doigts. «  J'espère que ce sera le cas encore longtemps… » Qu’elle confie, alors qu’il se laisse tomber sur le dos, sur ce lit, sans jamais lâcher les lèvres de l’ambulancière, l’attirant avec lui dans sa chute et elle se rattrape un peu en posant sa main contre son torse. Un sourire malicieux au coin des lèvres. « On va tout faire pour… » Il se détache légèrement pour embrasser le haut de son front, alors qu’elle se relève légèrement devant la porte qui se rouvre. «  Bon sang, j'ai eu peur… » Qu’elle constate quand elle aperçoit la frimousse du canidé, qui aboie en tournant sur lui-même, l’air de dire « levez-vous » ! «  On sera tranquille comme ça… » Qu’elle confie, dos appuyé sur la porte d’entrée alors qu’elle vient de la fermée à double tour, un regard qui en dit long en direction du flic. Il arque un sourcil, restant couché sur le lit. « Pour faire quoi… ? » Plein de sens, il relève à peine son regard sur elle, alors que Dylane s’avance avec lenteur, jouant de son impatience. « J’ai hâte que tu me fasses part de tes pensées… » Qu’il se contente de dire, passant ses bras sous sa tête, il n’a hâte que d’une chose : qu’elle lui montre combien elle est attirée par lui.
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Message(#)(dylias) condamne-moi d'un regard, à saigner pour t'avoir. EmptyMer 14 Avr 2021 - 0:06

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En acceptant d'héberger Pete, la brune ne s'était pas imaginée que cela aurait fait des dégâts dans son couple. Peut-être car elle n'a rien vu de mal en soi. Le Mulligan est un pote et est devenu un ami, rien de plus, rien de moins. Mais en y réfléchissant, elle se rend compte de l'énervement du flic même si elle n'est pas prête à lui dire qu'il a raison, trop fière pour cela. Alors elle lui fait visiter la maison lui prouvant qu'il n'est pas présent et de toute façon, il est de moins en moins là. Ça aussi elle ne le présice qu'à demi-mots bien trop énervée sur le moment car Elias pourrait lui faire confiance, un minimum. Elle n'est pas le genre de fille à aller voir ailleurs et si elle avait encore voulu papillonner, elle ne serait pas engagée avec lui. Le brun n'a pas l'air de comprendre à quel point, elle est éprise de lui. Maintenant, Dylane n'est pas le genre de nana à montrer ses sentiments à tort et à travers. C'est déjà un miracle qu'elle parle de lui comme son petit ami, notamment à Mia. L'amour l'a toujours fait fuir. Apeurée comme un agneau devant un lion, elle a toujours couru à l'autre bout et pourtant avec Elias, elle n'a pas eu envie de le faire. Car c'est lui tout simplement. Arrivée dans la chambre, elle le regarde et soupire par moment car cette situation est loin d'être plaisante et elle est loin de s'imaginer les paroles qui vont suivre. Des révélations voient le jour comme ça, d'un coup. Quand ce n'est pas prévu, c'est encore mieux à ce qu'il paraît et cela est bien vrai. Malgré tout, elle ne cède pas devant lui et sa gueule d'ange et cela même si l'envie est présente rien que pour lui arracher un sourire. Chose faite quand elle se perd totalement dans ses mots et ce qu'elle essaye d'exprimer sans succès. Il la perturbe le flic et il le sait le fourbe. Bien des hommes ont tenté et ont lamentablement échoué et lui il y arrive avec une facilité déconcertante. Sa main s'avance pour l'amener à lui et d'un geste il la fait le regarder pour ensuite déposer ses lèvres sur les siennes lui offrant un baiser qu'elle accepte volontiers. « je ne cèderai rien Miss Bradford… » Elle ne le sait que trop bien mais lui dire ça est équivalent à la mettre à l'épreuve et elle ne compte pas lâcher prise aussi facilement. Malgré tout, elle concède à lui dire qu'il ne restera pas encore des mois. « ah, mais je te le confirme… » La guerre a l'air déclaré entre Pete et le flic. Dylane sera aux premières loges pour voir le spectacle même si elle n'en a pas réellement envie. La dedans, elle n'est pas maître du jeu et ne pourra rien dire qui le fasse changer d'avis alors elle ne dit rien cédant presque. Assise sur ses genoux, elle profite de ce moment de répit serrant sa main exprimant le fait qu'elle veut que leur histoire dure. Le perdre, elle a du mal à l'imaginer. Il est devenu, sans le vouloir, un des piliers de sa vie. Elle n'a pas grand monde sur qui compter réellement et en aura encore moins dans quelques temps. La brune se laisse volontiers embarqué avec Elias sur son lit n'émettant aucune résistance. « On va tout faire pour… »  Cette phrase lui arrache un sourire tout contre ses lèvres. Des lèvres qu'elle quitte avec un léger sursaut quand elle entend la porte s'ouvrir. Ce n'est que son chien qui a fait une entrée non prévue. Elle se lève pour aller fermer la porte. Le regard qu'elle porte alors sur le brun est dans équivoque.  « Pour faire quoi… ? » Une question qui est plus une constatation qu'autre chose et à laquelle elle ne répond que par un sourire en coin. « J’ai hâte que tu me fasses part de tes pensées… » Elle avance doucement mais sûrement vers cet homme qui la fait vibrer de tout son être. «  T'es sur de vouloir savoir ? «  Qu'elle lance tout en se positionnant à califourchon sur lui. Ses cheveux tombent sur le torse du flic alors qu'elle vient capturer ses lèvres à nouveau glissant sa main dans son cou et lui octroyant quelques caresses de l'autre. Il l'attire comme jamais et si elle pouvait passer sa vie dans ses bras, elle le ferait sans hésiter. « Tu me rends folle, tu le sais ça au moins ? » Et dans tous les sens du terme bien que là elle ne vise qu'un trait particulier et elle n'a pas réellement besoin de mentionner lequel ...  Tout cela démarrait bien sauf que la brune reçoit un appel du boulot. Elle aimerait tant nier son portable qui sonne mais ayant mis une sonnerie spécifique pour la caserne, elle sait qui est en train d'essayer de la joindre. C'est donc après un long soupir qu'elle se détache du brun et répond. Bien entendu, elle doit aller bosser car un collègue a un soucis personnel. Son regard se pose sur le flic alors qu'elle raccroche. " Je dois y aller mais ce n'est que partie remise" Qu'elle lui dit pour lui voler un baiser et malgré elle partir vers son boulot lui laissant le double des clés pour qu'il ferme les porte et parte à son aise. Mine de rien, maintenant il aura ses clès et ce n'est pas rien ...


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