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Message(#)I thought life passed me by. EmptyMer 29 Juil 2015 - 15:11

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Sean ✧ Gabriella
Gabriella venait d'ouvrir sa boutique. Il était bien trop tôt pour ses petits yeux. Sa mine était plutôt fatiguée et pourtant, elle faisait bonne figure histoire de ne pas effrayer les clients. Sa librairie fonctionnait plutôt bien et elle en était très heureuse. Les personnes revenaient ou les nouvelles têtes lui disaient qu'un proche leur avait conseillé de venir ici. C'était un petit coin de paradis, au calme. Loin du tumulte de la ville. Il y avait une odeur de fleur d'oranger dans toute la pièce. Cette odeur qu'adorait la jeune femme. Elle s'y mélangeait aux autres vapeurs qu'émanaient les différents sachets de thés trempant dans les théières en céramique toutes droit venues du Japon.

Elle aimait être ici. C'était son jardin secret, son petit coin de paradis. Tout ici lui faisait penser à la douceur, au romanesque de ses livres préférés. Se sentant presque une autre femme entre ces quatre murs. Tout ici n'était que délicatesse, ce qui pourrait être assez déconcertant pour certaines personnes. Gabriella ne montrait que très rarement cette facette de sa personnalité. Préférant montrer son côté explosif. Cette impulsivité qui la caractérisait si bien, voire trop. Mais il ne s'agissait que d'une carapace qui couvait une jeune femme demandant qu'à être aimé. Malheureusement, les derniers événements n'avaient rien arrangé. La mort de sa mère, les révélations sur ce père atroce, sa maison partit en poussières, ce déménagement à l'autre bout du monde forcé suite à ses menaces faites par son propre père et pour finir, Charlie qui ne lui parlait plus. La jeune femme se sentait comme maudite.

Maintenant, elle devait refaire sa vie, la reprendre en main. Aller s'excuser auprès de son frère. Lui dire que oui, elle avait bien merdé. Le sommeil était difficile à trouver en repensant à tout cela. Heureusement, il y avait son antre. Ici, Gaby était qu'une jeune petite anglaise venant d'ouvrir sa librairie, rien de plus et ça lui suffisait amplement. Sa vie anglaise lui manquait terriblement, même si l'Australie n'était pas si horrible que ça. Pourtant, elle restait une terre d'exil que la jolie brune avait du mal à accepter. Tout ça à cause de ce père qu'elle connaissait à peine. De ce monsieur Keynes que la jeune femme avait menacé. Oui, Gabrielle était comme ça. Rien ne l'arrêtait et encore moins sous la rage face à la mort de sa mère. De ce secret si bien gardé durant tant d'années. Alors elle voulut venger sa mère en demandant à l'homme une grosse somme d'argent contre son silence. Mais tout cela, s'était retourné contre la jeune femme.

Gabriella était à la vitrine de sa boutique. Chiffon à la main, prête à faire la guerre à la moindre saleté. S'il y avait bien une chose qui énervait la jeune femme, c'était les traces de doigts sur les vitres. Elle avait ce petit tablier en blanc en dentelle qui enlaçait si bien sa taille de guêpe. Celui-ci cachait une partie de sa petite robe bleue. Gaby avait sa petite frimousse qu'elle faisait lorsqu'elle était concentrée. Son nez retroussé, ses yeux en amande fixant cette satanée tache qui lui donnait du fil à retordre. La rue était calme. Il faut dire qu'il était encore trop pour voir les habitants sortir de chez eux. Cependant, une ombre attira son attention. Il s'agissait d'un homme. Pendant un instant, elle crut le reconnaître. Ce visage lui disait étrangement quelque chose. Non, c'est impossible… Gabriella continua automatiquement à laver la tache qui n'existait plus tout en regardant l'homme continuer son chemin. Quoi ? Il venait dans la direction de la librairie. Voilà une chose à laquelle la jeune femme ne s'attendait pas. Ce dernier n'avait pas l'air, l'allure d'un grand lecteur. Il était musclé, les cheveux mi-longs, plutôt beau garçon et semblait faire attention à lui, rien à voir avec ses clients habituels. Mais les préjugés étaient un vilaines choses, même Jane Austen était d'accord avec cela. La libraire fit semblant de continuer de frotter lorsque celui-ci ouvrit la porte de la boutique. « Bonjour ! » Lui dit-elle avec un simple sourire. La jeune femme ne put s'empêcher de le regarder au loin. Sa tête lui semblait familière. Cela commençait à la perturber. Chiffon posé, elle partit vers lui. Il fallait le voir de plus près. Trouver une excuse pour lui adresser la parole. « Avez-vous besoin de quelque chose en particulier ? » C'était l'astuce la plus plausible pour venir à sa rencontre. Après tout, Gaby était le chef des lieux. Son sourire cachait quelque chose. On pouvait lire dans ses yeux, une sorte d'ambivalence, le regardait étrangement. C'était plus fort qu'elle. Et il faut avouer que Gabrielle avait raison sur ce coup. Ce n'était pas qu'un simple client...
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyMer 19 Aoû 2015 - 14:59

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ft/ Gabriella ∆ Sean


« Le destin est simplement magique »
Brisbane, la ville qui me rapproche de mes cadets. Pourquoi ? Surement parce qu’il me manquait. J’avais envie de profité d’eux mais aussi de les voir bien plus régulièrement qu’avant. Donc j’ai décidé d’accepter ma mutation ici dans cette ville. Ville que je trouve très agréable malgré tout. Je ne connaissais pas, mais mes cadets m’ont fait visité puis après tout je travail ici et la secrétaire de mon patron et ma première copine mais aussi ma meilleure amie. J’ai appris qu’une petite librairie vient de s’ouvrir. Un petit moment de douceur a se qui parait. Je devais alors voir cette boutique pour que je puisse alors voir se qui avait comme lire. Et pourquoi ne pas prendre plaisir à me remettre à lire durant mon temps libre a part passer des journées entières a la salle de sport.

Je ne travaillais pas aujourd’hui mais avec mon habitude de me lever tôt je n’arrive pas à faire des grâces matinée comme beaucoup le font. Je souffle doucement en étant dans mon lit, mon chien encore tout jeune il vient alors faire le fou. Je ne peux m’empêcher à rire puis je le fais descendre du lit et me lève à mon tour. Petit déjeuner, nourriture pour lui, je file alors sous la douche puis j’enfile alors un simple jean avec une chemise bleuté. Je passe mes mains dans mes cheveux pour les mettre en arrière. Je regarde l’heure sur ma pendule puis je remarque que les magasins ouvrent. J’attrape alors mon porte feuille que je dépose dans la poche arrière de mon pantalon ainsi que mon téléphone que je dépose dans ma poche avant. Je sors de chez moi glisse mes clefs dans les poches de mon pantalon. Je suis partie, a pied, je n’étais pas très voiture sauf pour les urgences. Ca me permet aussi de voir se qui m’entour mais aussi de m’orienté comme je peux. Je suis alors très pensif. Je me remets à penser à mes années ou j’étais à Londres. Mes années les plus belles je crois. Celle ou j’étais le plus heureux. Là-bas je n’avais pas besoin d’être populaire pour être connus. Simplement à être gentil et agréable avec les autres et tout se passait bien. J’avais fait des rencontres tellement merveilleuses que jamais je n’aurai pensé quitter. Mais quand on a quatorze ans on doit suivre les parents et ne rien dire. Je laisse alors un petit soupire m’échapper. Je passe ma main dans mes cheveux. C’est alors  que je tourne mon visage vers l’autre coter de la route que j’aperçois la petit boutique qu’on m’a parlé. Sur le moment je ne fais pas vraiment gaffe à toi. C’est en entrant que je jette un petit coup d’œil en te saluant à mon tour. Mais un petit truc me fait tilt chez toi. Cette chevelure, ce regard me disait clairement quelque chose. Je fronce doucement les sourcils et secoue un peut ma tête. Mais l’odeur qui se trouve dans la boutique m’arrache un doux sourire. C’était reposant en réalité. Je m’enfonce dans une allée, l’aller des romans policier. Le livre que je recherche, j’espérais le trouver.

Je me croyais seul dans l’allée c’est alors que je me mets à parler tout seul mais d’une voix assez basse « Alors est-ce que c’est ça… Non…  Rhant mais t’es ou ! » Je déposais mon index sur le haut des livres pour les tirés un peut et livre le devant de couverture, je cherchais « en mémoire de Mary » de « Julie Parson » j’avais réussi a le trouver a Los Angeles mais depuis que je suis ici je ne le retrouve pas. Je n’avais pas envie de tout déranger car je peux m’imaginer que c’est assez désagréable de tout réanger. C’est alors que je sens ta présence a mes coter. Je tourne doucement la tête en souriant. « Bonjour, euh oui. Je cherche… » Puis je me stop directement dans mes paroles, car j’avais déposé mon regard sur ta personne et ton sourire vient alors confirmer mes pensés. Est-ce que tu étais la belle jeune fille que je ne cessais de protégé à Londres. Je pouvais clairement me rappeler de qui tu étais. Je détestais quand on venait te chercher des noises et surtout je ne supportais pas qu’on t’embêter alors j’étais toujours là. Bon tu avais bien changé mais ce sourire et ce regard ne changera jamais. Je me permets alors de poser la question « Eumh, est-ce que vous… tu ne serais pas Gabriella. La Gabriella qui était dans le même établissement que moi adolescent a Londres ? » Je laisse un petit rire m’échapper après ses paroles, tu devais surement me prendre pour un fous. « J’espère que tu me reconnais au moins, sinon je me sentirai vraiment débile. » j’étais sur a presque 100 % que c’était toi, mais j’avais envie d’en être sur. Sur que tu sois la Gaby que j’ai connus, la brunette aux petites nattes qui lui tombait sur ses épaules et que je trouvais ça super mignon.
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Message(#)I thought life passed me by. EmptySam 29 Aoû 2015 - 16:54

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Sean ✧ Gabriella
Son visage lui disait étrangement quelque chose. Il lui rappelait ce jeune Sean avec qui elle était au collège. Ce garçon qui la protégeait, un peu plus vieux qu'elle, sur qui la petite Gaby avait craqué. Adolescente, Gabriella était du genre à s'attirer des ennuis, bons, il faut avouer que c'était toujours le cas. Mais il lui arrivait de s'en créer pour voir son prince charmant voler à son secours. Sean avait toujours un œil sur sa petite protégée. D'une nature plutôt possessive, elle n'aimait pas non plus que l'on s'approche de lui. Ce pourrait-il que ce soit lui ? La libraire n'osait pas y croire. Mais sa nature curieuse avait pris le dessus, elle devait en avoir le cœur net. C'est alors qu'elle décida de lâcher le carreau de sa vitrine pour venir à sa rencontre. Après tout, c'était peut-être ce fichu destin qui le fit rentrer dans sa librairie. Ce destin qui, en ce moment, aimait lui jouer des tours !

L'homme avait l'air de marmonner quelque chose. Sûrement chagriné de ne pas trouver le livre qu'il cherchait pensa Gaby. Le brun fut surpris de la voir apparaître. Il se tourna, le sourire aux lèvres. Oui, il cherchait bien un bouquin. Le client se stoppa net, sans finir la fin de sa phrase. En l'observant de plus près, Gabriella était presque sûre à cent pour-cent qu'il s'agissait bien de Sean. Ce regard, cette voix… Ça ne pouvait qu'être lui. Il avait l'air aussi interloqué qu'elle. L'avait-il reconnu ? Oui, c'était bien cela. Serte, son ton n'était pas sûr, ayant peur de passer pour un idiot en prenant une personne pour une autre, mais il avait bien raison. Gaby lui fit un grand sourire et l'observa un moment sans rien dire, s'amusant de la situation. Elle aimait le faire tourner en bourrique et ça depuis des années. Alors, la jeune femme fit semblant de ne pas le reconnaître. Faisant mine de ne pas le reconnaître et de se demander de qui il pouvait bien parler ? Le pauvre… Mais c'était tellement drôle de le voir gêné de la sorte que s'en était irrésistible.

« Sean Grimes... » Un large sourire retroussa sa petite frimousse. Ses yeux brillaient de tendresse et la nostalgie se lisait dans ses yeux. Toutes ces années passées ensemble, à tout se raconter, à se surprotéger et à se prendre dans les bras. Face à lui, Gabriella avait l'impression d'avoir à nouveau seize ans. Instinctivement, elle entoura ses bras autour de son cou tout en sautillant de joie à l'idée le retrouver ici. « Je suis si heureuse de te revoir… » Elle s'écarta de lui pour l'observer une fois de plus. « Bon dieu Sean, tu sais que t'es pas mal du tout ! » Son rire retentit dans la pièce. C'était sincère, il était beau comme un dieu. « J'ai l'impression d'être à nouveau au collège en te voyant devant moi… Moi, avec mes tresses sur la tête et mes converses aux pieds à te courir toujours après et toi à me protéger…» Gaby avait toujours le sourire aux lèvres. « Que de bons souvenirs... » Oui s'en étaient. Sa mère lui revint en tête, ainsi que Charlie. Tout cela lui paraissait si lointain. Presque d'une autre dimension tellement sa vie avait changé. Gabriella se demandait bien ce que Sean faisait ici, lui aussi dans ce fichu pays. Loin de leur terre natal. Loin du thé, du brouillard londonien... « Il n'y a pas grand monde à cette heure-là… Je ne devrais pas trop être dérangée. Je t'offre un thé ? Tu as le temps de discuter un peu avec une vieille amie ? » La jolie brune le suppliait du regard, avec ses jolis yeux couleur noisette. Dit oui allez, dit oui.
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Message(#)I thought life passed me by. EmptySam 5 Sep 2015 - 5:44


C'est vrai que je suis complètement gêner par la situation, gêner de paraître déplacer mais surtout de me tromper de personne se qui m'étonne fort au passage. Sur le coup je ne dis pas un mot, mais je pouvais alors voir que tu as un petit air amusé mais surtout je ne me suis pas du tout tromper. Ce large sourire qui ne quitte pas ton visage et qui m'arrache le mien. Surtout quand tu dis mon nom et prénom. C'est bon tu t'es bien moquer de moi et tu n'avais pas changer. Tu aimais bien faire le coup a plusieurs personnes. Quand tu entour t'es bras autour de mon cou, je passe les miens autour de ta taille pour te serré contre moi en gardant mon sourire  « Je suis tout aussi heureux Gaby ! » Puis je viens doucement te lâcher quand tu t'éloigne de moi pour briser cette étreinte. A t'es paroles je ne peux pas m'empêcher de lâcher un rire amuser, passant alors ma main dans mes cheveux, c'était flatteur venant de ta part. Puis quand tu me parles des années collègues je souris amuser « C'est vrai que tu avais des petites nattes et t'es converses, tu étais mignonne comme ça. Tu es toujours aussi mignonne de toute façon. Tu es devenu... plus féminine ! » Je souris amuser comme pour te dire qu'avant tu ne l'étais pas mais si tu l'as toujours été c'était aussi pour ça que je te protégeais et considérait comme une soeur. Mais c'est vrai que tu me rappelles Londres, mes souvenirs, nos délires qu'on avait mais surtout les personnes avec qui je me suis battus pour te défendre « Mais toi tu avais tes nattes et t'es converses, mais moi j'avais mes pantalons et tee-shirt trop grand ! » Je laisse échapper un petit rire a nouveau en te regardant, puis quand tu me propose ça, j'observe ta petite bouille qui ai entrain de me supplier. Je te laisse quelques minutes comme ça, légère vengeance mais je hoche la tête positivement « J'accepte volontiers, puis tu dois tout me raconter, me dire se qui t'es arriver a mon départ, pourquoi tu es ici et que tu dois avouer que je continuerais a te protégé de toute façon. Je mors maintenant ! » Je laisse un nouveau rire m'échapper puis je viens te suivre dans la pièce d'accoté, la ou se trouve les fauteuils, la petite table, tel un salon très agréable. Tout était agréable ici en faite. Ca reflète ta personnalité, ça ne m'étonne pas de toi tout ça te ressemble. Le duo Gabriella et Sean sont de retour, sont a nouveau réunis. Quand je m'assois dans le fauteuil, je dépose mon regard sur ta personne en souriant. Je me rappelle, la toute première fois que je t'es vue dans les couloirs. Tu te faisais embêter par des garçons en plus de ça ils étaient plusieurs. Trois quatre sur une jeune fille je dis non de suite. Je me suis sentis comme obliger et attiré par toi, ta petite bouille. Je t'ai défendus comme il le fallait. En plus de ça, dans le lycée j'étais pas très bien vue pour être très gentil avec les autres mecs. A la maison c'était pas super donc, le lycée c'était une sorte de vengeance. Mais pas toi, toi tu me faisais penser a une petite fille en danger qui pouvait se faire manger par toute sorte de requin mesquin et profiteur. Je n'avais jamais profiter de toi ni de ta personne bien au contraire, j'avais appris a te connaitre et surtout tu avais commencer a me défendre a mon tour. Tu n'aimais pas certaines filles que je fréquentait. Quand tu faisais la tête j'avais toujours le petit truc pour te remonté le moral, les mots ou même les petits cadeaux qui te remontait le moral. Je connaissais beaucoup de chose de toi et toi de moi. On se protégeait peut-être mutuellement mais on se confiait plusieurs petits secrets aussi. Tu sais les problèmes que j'avais a la maison, mon petit frère qui en faisait qu'à sa tête, ma petite soeur qui prenait partie pour personne, mon père qui était toujours sur moi... Bref, tu savais beaucoup de chose de moi. Je passe a nouveau ma main dans mes cheveux, je ne t'avais pas quitter du retard. « Gaby chérie, rassure moi, Londres ça n'a pas beaucoup changer où ? » Je me souvenais encore des rues que l'on parcourait pour rentré chez nous ou même quand on n'allait pas en cours. Les parcs tellement magnifique les soirs ou bien même le matin très tôt. Les grandes avenues qu'on faisait juste parce que tu cherchait une robe pour une soirée... Je me souviens encore de tout.


Dernière édition par Sean Grimes le Jeu 15 Oct 2015 - 15:24, édité 1 fois
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyMer 9 Sep 2015 - 20:39

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Sean ✧ Gabriella
Sean… Dans ses bras, Gabriella se sentait bien. Comme protégée de tout. Sa joie était gravée sur son visage. « J'ai du mal à y croire encore… Sean, dans ma libraire… » Le voir, lui fit repenser à tous ces bons moments passés avec lui. Elle se revoyait plus jeune, lui courir toujours après comme une petite groupie. La jeune femme rougit lorsque son ami lui dit qu'elle était toujours aussi mignonne. Faisant tournoyer sa robe en bougeant son bassin, comme une petite fille gênée. « C'est vrai que j'essaye de faire des efforts niveau féminité… Et puis j'ai trente ans maintenant… Mon dieu, le temps passe bien trop vite...» C'était vrai. Gabriella n'était pas du genre très féminine à l'adolescence, au contraire. Mais elle avait pris goût à cela en voyant l'élégance légendaire de la belle Audrey Hepburn. Et puis, pour charmer un mannequin, français de surcroît, il fallait bien être à la hauteur… Du moins essayer.

En repensant à ses vêtements dix fois trop grands pour lui, Gabriella éclata de rire. « Oui, je m'en souviens bien de ça… Nous étions si jeunes… J'ai pourtant l'impression que ça date d'hier tout cela… » La nostalgie se lisait entre ses paroles. « J'aimerai parfois retourner dans le passé... » C'était l'époque où tout était simple pour elle. Gaby n'était qu'une jeune fille qui n'avait qu'à se soucier des problèmes lambda d'une adolescente sans-souci. Jamais elle n'avait pensé que sa vie prendrait ce virage. Gabriella se souvenait de la première où ils s'étaient rencontrés dans le couloir de l'école. La petite brune était entrain de se chamailler avec des garçons plus âgés. Ils aimaient l'embêter entre deux cours. Mais Sean est venu la sauver des griffes de ses brutes. En un rien de temps, ils avaient disparu. L'adolescent qu'il était à cette époque en impressionnait plus d'un. C'est à partir de cet instant qu'ils ne se lâchèrent plus. Elle l'attendait devant la porte de sa classe, pressée de lui raconter les derniers potins, les dernières farces qu'elle avait fait subir à son frère… Il lui arrivait parfois de monter sur ses épaules, à faire semblant de se battre. Tout était si simple…

Gabriella le supplia de rester un peu pour discuter autour d'un bon thé. Lorsque son ami fit semblant de réfléchir à sa proposition, Gaby perdit patience. « Mais arrête ! C'est pas bien de jouer avec mes nerfs ! » Elle bouscula gentiment tout en rigolant. « J'espère bien que tu acceptes… Tu n'avais pas vraiment le choix en réalité… Et tu le sais ! » Dit-elle l'air fier, tout en repassant avec ses mains son tablier. Tout lui expliquer… Par où commencer ? Tant de choses avaient changé dans sa petite vie. « Je… On va discuter… » Elle était gênée à l'idée de lui avouer la cause de sa venue ici. Allait-elle tout lui dire ? S'il y a bien une personne à qui Gaby disait tout il y a encore quelques années, c'était à Sean. « Comme si tu ne mordais pas déjà… Mais je ne suis pas contre un peu de protection… » La brune lui fit un clin d’œil. « Va t’asseoir, j'arrive avec du thé et de quoi grignoter. »

Lorsqu'elle réapparut dans la pièce, Gabriella portait un petit plateau avec une théière accompagnée de deux tasses ainsi que des petits gâteaux. La libraire le posa sur une petite table et servit son ami. « Pour monsieur… Attention, c'est très chaud ! » En s'installant en face de lui, Gabriella sentit que son Sean ne la lâchait du regard. Quand il posa sa question, la jeune femme lui sourit. « C'est vrai que ça fait longtemps que tu es parti de Londres… Je te rassure, c'est toujours aussi magique... » En repensant à son départ, un sentiment de tristesse lui emplit le cœur. «Tu m'as énormément manqué, tu sais… Ne plus te voir… » Elle s'arrêta un moment, jouant avec lui cuillère qui faisait tournoyer délicatement son thé. La brune n'osait pas le regarder. « Ce fut très difficile… On avait beau être jeune, tu étais quelqu'un d'important pour moi…» Son regard se posa enfin sur le sien. « Mais Londres n'a pas changé, je passais souvent par le parc où nous nous étions toujours fourrés… À discuter, à escalader les arbres… Rien a changé, je te rassure… » Dans cette dernière phrase, Gaby parlait de leur ville natale, mais aussi de ce lien qui les liait à tout jamais.
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Message(#)I thought life passed me by. EmptySam 26 Sep 2015 - 10:10

Il est vrai que pour moi aussi ça me fais bizarre d’avoir la Gabriella. Quand tu bouges ton bassin pour faire bouger ta robe j’ai un large sourire amusé qui s’affiche sur mes lèvres. Je devais avouer que maintenant tu es devenu très mignonne, très jolie et ce n’était pas désagréable. Puis quand tu parles du fait que tu as déjà trente ans je rigole doucement. « Tu es splendide pour une jeune femme de trente ans ma chérie ! » Je te dis ça en souriant, ce petit surnom n’est tout simplement qu’amicale en réalité et je sais qu’on ne se gênera pour s’en donner. Je viens d’observer à nouveau en souriant, tu étais vraiment jolie mais tous les compliments que je te disais n’étaient purement et simplement amicaux et réaliste. Je n’aurais jamais aucun arrière pensé en vers toi.

Quand je te fais attendre dans ma réponse c’est assez mignon de te voir fait une petite mine enfantine en insistant. J’accepte bien évidemment, j’étais en congés aujourd’hui donc je pouvais rester autant de temps que possible ici au près de toi. Dans t’es paroles je pouvais clairement ressentir ta nostalgie, une nostalgie totalement compréhensive. Je l’avais eu aussi avant de partir et même pendant un petit moment mais je me suis clairement habituer. J’adorais quand tu m’attendant après mes cours et que tu me racontais toute la misère que tu pouvais faire subir aux autres personnes. Beaucoup nous prenons pour un couple car j’avais pris l’habitude de passer mon bras sur tes épaules pour qu’on s’accompagne mutuellement dans nos cours respectifs, a nos cassier et même a la sortie. Mais a mes yeux tu étais comme une petite sœur pour moi, tu l’es toujours, j’ai tellement regretté t’avoir laissé en déménagement mais les parents avaient décidés ainsi et pas autrement. Je te suis dans le petit coin ou se trouve des fauteuils et table « Oui j’aimerais, savoir tout de a nouveau. » j’ai un petit sourire aux lèvres, tu savais pertinemment qu’avec moi aucun de t’es secrets ni même de t’es problème ne sort de ma petite tête même sous la torture personne ne pourra me faire cracher le morceau. Tu m’as tant confié de secret qu’aucun d’entre eux n’ont jamais été répété. C’est qu’on appel l’amitié et la confiance. Je ne voulais pas que tu vois en moi un mec débile qui ne sait pas garder un secret ou qui serait à être comme les autres à parler sur tout le monde. A t’es paroles et ton clin d’œil je prends un air très protecteur en regardant autour de moi « Psst ! On ne touche pas, on ne fait pas de mal a ma Gaby ! Maintenant c’est finit, je suis de retour ! » Puis je souris amusé, j’hoche la tête quand tu vas chercher le thé et des petites choses a grignoté je m’installe en t’attendant. Je regarde tout autour de moi, mais tu reviens rapidement. Je tourne doucement mon visage en souriant. Je te laisse me servir et prends la tasse en main « Oui chef ! » Je prends alors la petite cueillir que je fais doucement tourné dans le thé déjà bien diffusé. Je lève doucement mon regard, je pouvais lire de la tristesse dans ton regard. Je dépose doucement ma tasse puis, je passe ma main sur ton avant bras doucement en te regardant. « A présent je suis ici, pour un moment et je te promets, je te le jure que je ne te lâcherais plus jamais. » Je m’arrête un petit temps j’étais sincère dans mes paroles, adolescent on ne pouvait rien dire ni prévoir alors que maintenant, maintenant nous sommes adultes et je peux choisir quoi faire de ma vie. Je reprends rapidement mes paroles « Quand je suis partis a New-York ça été l’un des pires moments de ma vie, mais a Los Angeles j’ai tout fais pour te retrouver mais j’avais peur… Peur que tu me rejettes… » Je baisse un peut mon regard, je t’avais en quelques sorte briser le cœur en partant et surtout je ne t’avais donner aucune nouvelle. Je viens reprendre ma tasse, puis je l’attrape doucement entre mes mains, souffle un peut dessus puis je bois une petite gorgé de celui-ci. Ce thé, ce thé me fais pensé a Londres a mon adolescence mais surtout accompagner de tes paroles, je ferme un instant les yeux et je nous revois. Les deux monstres des parcs, les deux qui n’arrêtaient pas d’embêter tout le monde ou qui jouais les vrais signes aux arbres. Je viens doucement ouvrir les yeux pour te regarder « Il y a toujours l’arbre ou nous avons graver nos initiales comme des adolescents totalement amoureux ou je t’ai fais la promesse de …. De revenir ? » Je déglutis doucement en finissant ma phrase, promesse que je n’ai jamais tenu mais je me souviens parfaitement de notre lien, notre amitié, de nous deux.



Dernière édition par Sean Grimes le Mar 6 Oct 2015 - 5:21, édité 1 fois
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyJeu 1 Oct 2015 - 18:08


You were a thief you stole my heart and I'm your willing victim.
Elle aurait tout donné pour revoir ce sourire ainsi que son visage. Celui de Sean, cet ami qu'elle aimait tant. Oui, ça faisait longtemps, beaucoup trop longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus. Mais Gabriella ne l'avait jamais oublié. L'Anglaise avait essayé de le rechercher, mais c'était peine perdue. Ils avaient bien grandi, voire un peu trop au goût de la jeune femme. « Toi aussi tu es pas mal pour un vieux de plus de trente ans mon chouchou !» Elle avait toujours aimé le taquiner sur le fait qu'il était plus vieux qu'elle. Entendre Sean l'appeler ''chérie'' lui fit comprendre que rien avait changé entre eux. C'était toujours sa petite chérie, comme toujours. Ce n'était pas de l'amour, mais une profonde affection. Voyant certainement en Gabriella une sorte de petite sœur. Et c'était son chouchou, d'une nature plutôt possessive, la petite brune n'aimait pas qu'on rôde autour de son meilleur ami.

Gabriella était aux anges lorsque Sean accepta de rester, et puis, il n'avait pas vraiment le choix. Et l'entendre dire qu'il voulait tout savoir à nouveau laissa un arrière-goût amer entre ses lèvres. C'est vrai que Gaby avait toujours tout raconté à son protecteur, mais à cet âge, il s'agissait que de simples enfantillages, rien de plus. Là, c'était bien plus. Des erreurs dont l'Anglaise était la première responsable et elle n'en était pas fière. Gabriella ria aux éclats en entendant Sean expliquer que personne ne devait lui faire du mal. À vrai dire, la brune avait plutôt l'impression que c'était elle qui semait le malheur chez ses proches. Charlie, Jamie… La petite fille innocente aux petites tresses était bien loin maintenant… Mais quelque chose lui disait qu'elle allait bientôt souffrir à nouveau. Tout était trop beau pour être vrai entre James et elle. Ça ne pouvait pas être vrai… Gabriella croyait au bonheur pour les autres, mais il n'avait jamais frappé à sa porte.

Gaby servait Sean, qui avait l'air amusé de voir son amie jouer à la parfaire femme au foyer. Servant du thé, un petit tablier autour de sa taille. Et il faut avouer qu'elle adorait faire ça. La jeune femme s'installa en face de lui. Son visage était bien plus sombre. Embrumé par ses inquiétudes. Cette question qu'elle se posait à chaque fois qu'on lui demandait ce qu'elle faisait ici. Les raisons de sa venue à Brisbane. Son ami, qui la connaissait si bien mis peu de temps à déceler la tristesse qui se lisait dans ses yeux. Il lui avait tellement manqué. Lorsque sa mère est morte, il l'était la personne chez qui Gabriella aurait aimé partir pour trouver du réconfort. Des bras pour l'entourer. Ressentir à nouveau cette sensation d'être protégée contre tout. Que rien, plus jamais rien ne pourrait lui arriver. Mais il n'était pas là. Gabriella ne lui en voulait pas. Sean aurait aimé être là, elle le savait sans même lui poser la question.

Ses yeux se relevèrent sur Sean lorsque celui-ci fit la promesse de ne plus jamais l'abandonner. « Je l'espère oui… Moi non plus je te lâcherais plus ! Hors de question... » Elle lui souriait tendrement. Gabriella l'écoutait dans le plus grand silence. Les larmes prêtent à traverser le seuil de ses yeux. Alors lui aussi avait essayé de la rechercher. « Sean... » Gaby soupira profondément. « Jamais je t'aurais rejeté ! Je ne t'en veux pas du tout. Je sais que tu ne voulais pas partir là-bas… Et puis tu étais tellement important à mes yeux… » La brune savait très bien que Sean n'était pas responsable de tout cela. Ils étaient que des enfants en ce temps-là. Ça faisait partie de leur histoire, voilà tout. « Et tu l'es toujours Sean. » Gabriella lui fit son plus beau sourire. C'était plus que sincère. Il fallut simplement le voir traverser cette porte, ainsi que son sourire pour comprendre qui rien avait changé. « Los Angeles ? Pourquoi tu étais là-bas ? »

Lorsque Gabriella commence à lui rappeler de nombreux souvenirs, lieux qu'ils avaient en commun, Sean ferma les yeux. S’enivrant complètement de cette douce nostalgie. Elle pouffa de rire en repensant à cette histoire avec ce fameux arbre. Ça lui rappelait tellement de bons souvenirs, mais à la fois cette sensation désagréable, cette tristesse qu'elle avait ressentit à cet instant. « Oui, il y a toujours nos initiales… Promesse que tu viens de te tenir en traversant cette porte. » Gabriella avala une gorgée de thé, l'air amusé. « Écoute Sean, j'en ai rien à faire de cette histoire de promesse, je ne t'en veux pas du tout, nous étions que des enfants ! » Elle prit une main entre les siennes. « Maintenant que je t'ai retrouvé, je veux savoir comment tu vas… Ce qu'est devenu mon meilleur... » Ses yeux brillaient. « Tu es heureux ici ? Que fais tu maintenant ? » Il y avait tellement de questions qui lui traversaient l'esprit. « Il y a une madame Grimes ? » Cette idée la fit rire. « Je dois donner mon accord, n'oublie pas ! »
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyMar 6 Oct 2015 - 5:58

Un vieux, c’est vrai que je n’arrive toujours pas à me dire que c’est trente trois ans et que voilà je suis vieux. Comparé a la jeunesse de mes cadets je me sens comme un vieux crouton près d’eux mais tu me rassure a t’es paroles en me disant que je ne suis pas mal « Aaah ça c’est d’avoir fait du sport plus jeune et de continuer a entretenir mes petits muscles ! » je rigole doucement, mon chouchou, ma chérie, mon chat ouais tout ça c’est a nous, c’est notre façon de nous montré que rien entre nous n’a changer et que rien ne changera. C’est qui est merveilleux entre nous là-dessus.

Comment j’aurais pu refuser une telle proposition, ne pas resté en ta compagnie serait faire de moi un mec odieux puis non je ne le ferais pas, je ferais tout pour rester avec toi et profité de ses petits moments qu’on peut avoir. C’est vrai que j’aimerais que tu me raconte tout, tout se qui c’est passer. Peut-être pas maintenant, mais je sais que tu me le confieras et que je serais là, a ton écoute sans juger le moindres fait passer. Après tout notre passer on ne peut pas le jugé ni même revenir en arrière. Si c’était possible j’aurais surement pu réagit bien plutôt sur les actes que mon père m’a fait subir. Enfin bon je préfère te laisse le temps, le temps que tu sois prête à tout me dire. Je n’insisterais pas là-dessus, puis après tout j’aurais tellement aimé être près de toi pour t’aider et te soutenir dans les moindres problèmes qu’ils auraient pu se passer. Même avec toi j’ai loupé mon rôle de protecteur, de frère si je peux dire. J’ai déjà loupé ça avec mes cadets. C’est quelques choses que je m’en veux, réellement.

C’est vrai que tu voir là, à être une femme parfaite à me servir ce thé je me rends compte qu’on a bien grandis et que tu es devenu une vraie femme, toujours aussi belle et surement encore un peut rebelle, ça ne m’étonnerais pas du tout en réalité. Mais c’est au moment ou je pouvais voir, lire dans t’es yeux cette tristesse, qui m’arrache le cœur, mais qui me fait dire cette promesse, promesse qui maintenant je la tiendrais. Mais je laisse un petit rire m’échapper quand tu me dis que toi non plus tu ne me lâchera pas « Il y a intérêt oui que toi aussi tu ne me laisse pas attend ! Le duo de choque est de retour non ? » Je te souris en grand en disant ça, le duo de choque, nous étions de base un duo de choque et j’allais continué à être l’homme fou pour te redonner de la joie. J’écoute attentivement t’es parole qui me font sourire, ça me rassure, ça me rassure que tu ne m’aurais pas rejeté. « J’en ai beaucoup voulu a mes parents quand on est partie c’est vrai… Mais a moi aussi tu étais et tu es toujours aussi importante à mes yeux Gaby. » Nous étions sincère l’un envers l’autre. Ton sourire me le prouve, car malgré tout je te connais toujours aussi bien. Tu as différent sourire, les sourire sincères comme celui-ci, ceux ou tu es triste mais que tu ne veux pas le montré et surtout le sourire de joie, le plus beau je trouve. Celui-ci qui éclaire ton visage. Je ris doucement a ta question « Je suis partie là-bas pour fuir mon père en faite. Mais aussi m’éloigner un peut de mes cadets car rien n’allait, ce n’était pas la joie et je suis partie a la grand aventure. J’aurais pu partir dans la ville d’accoté mais on m’a proposer du boulot a Los Angeles et je n’ai pas refuser. » Je souris, un sourire un peut triste malgré tout surtout quand je parle vaguement que ça n’allait pas dans ma famille.

Mais j’oublie rapidement se petit mal être car tu me reparles de Londres, cette ville magnifique et toujours pleine de vie. L’arbre, cette arbre ou nous avons gravé ses initiales et toujours vivant. Je rigole doucement, c’était assez fou ce jour là, nous avions faillit se faire attrapé par la police a cheval… Je relève alors mon regard pour le dépose dans le tien en t’écoutant, j’écoute tes paroles qui me rassure et me réchauffe le cœur. Tu avais ce don pour me rassuré. Quand tu prends ma main dans l’une des tiennes je viens doucement la serré puis la caresser du bout de mon pouce. « Je vais très bien, tu vois j’ai même acheter un petit husky qui me tient compagnie tout les soirs ! Et il est aussi fou que moi. » je rigole doucement, c’était vrai qu’il pouvait être aussi foufou que moi ce qui m’amuse. « Et bien tu vois, j’aurai penser qu’en arrivant ici je ne serais pas heureux que je n’aurai pas eu ma place mais… J’ai retrouver mes cadets, certes c’est encore un peut froid entre nous mais ça va beaucoup mieux, puis maintenant je t’es toi donc comment ne pas se sentir heureux ? » j’ai un sourire amuser puis je me mets a rire doucement « Non pour le moment il n’y a pas de madame Grimes. Vraiment il me faut ton accord ? Ah j’avais oublier ! » Je viens alors te taquiner, je savais que tu allais raller gentillement c’est pour ça que je te dis ça. Ca me fait un bien fout de pouvoir te revoir, reparler avec toi. Être moi-même en faite. Je n’avais pas envie que ce moment au près de toi s’arrête au que non…
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyDim 11 Oct 2015 - 14:05


You were a thief you stole my heart and I'm your willing victim.
Vieux n'était certainement pas le meilleur mot pour qualifier Sean, mais Gaby adorait le taquiner. « Petits muscles petits muscles… J'ai connu bien plus petit ! » Elle tapota l'un de ses bras, l'air amusé. C'est vrai qu'il était musclé. Son haut mettant d'ailleurs en valeur sa carrure. « Je vais t'appeler monsieur musclor ! » Son rire résonna dans la pièce. Il y avait toujours eu ce petit jeu entre eux. Valsant entre tendresse et chamaillerie. Ce dernier qui avait tant manqué à l'Anglaise. Gaby avait essayé de retrouver ce lien avec une autre personne, mais elle savait d'avance que cela était complètement impossible. Sean restera à jamais ce grand-frère qui lui manquait. Celui dont elle avait tellement pleuré l'absence.

Hors de question qu'il parte d'ici. Si Sean s'était amusé à refuser sa proposition, Gaby l'aurait attaché à une chaise pour le garder rien que pour elle, le temps d'un après-midi. Mais son protecteur ne pouvait rien lui refuser, c'était bien connu. Il arrivait même à la jeune Gaby d'en profiter un peu. Ils avaient pourtant changé. La trentaine venait de frapper à leur porte sans crier garde. Mais à son contact, Gabriella avait l'impression de redevenir la petite fille qu'elle était auparavant. La brune savait que son ami lui laisserait le temps pour tout lui avouer. Ce n'était rien contre lui, mais plutôt contre elle-même. Bien trop honteuse de lui avouer l'horreur de ses actes. Lui avouer que la maison où il venait la chercher n'était plus qu'un tas de cendres. Une ruine qui hantera à tout jamais la jeune femme. Elle fit comprendre à Sean que plus rien ne les séparerait, plus jamais. Rien ni personne. En entendant sa réponse, Gaby souriait. « Oh que oui il est de retour ! Attention, Brisbane, le Gabriean arrive ! » Elle aimait ce surnom. Le mélange de leurs deux prénoms ne faisant plus qu'un. « Il faudrait que je te présente une personne. Je suis sûre que tu vas l'adorer !» C'était Marius. Son nouveau meilleur ami que Gaby adorait plus que tout. La libraire était persuadée que ces deux la pourraient bien s'entendre.

Bien sûr que Gabrielle ne l'aurait jamais rejeté ! Comment lui en vouloir ? Sean n'avait pas demandé à partir vivre à l'autre bout de la planète. « Tout ceci est derrière nous, maintenant nous sommes ici, à Brisbane, à boire un bon thé dans ma librairie !» Elle rigola face à cette situation qui paraissait complètement invraisemblable. « C'est fou quand même hein ? J'en reviens toujours pas...» Gaby le regardait, toujours aussi émue par ces retrouvailles. Mais l'Anglaise demandait ce qu'il pouvait bien faire à Los Angeles. Gabriella savait que Sean était du genre sauvage, tout comme elle, voire un peu plus à présent. Sa réponse confirma ce qu'elle pensait. « Tu as raison, c'était une bonne opportunité ! Je te reconnais bien là-dedans… Nous sommes pareilles tous les deux...» Gaby avait aussi pensé à la possibilité de tout plaquer et de partir ailleurs suite à son altercation avec Jamie. Il avait été si dur envers elle… Y repenser la fit frissonner. De revoir ses yeux emplis de colère à son égard… Les larmes qui coulaient sur ses joues. Il n'y avait que lui pour la blesser autant. Alors oui, elle avait pensé à partir d'ici. Laisser Charlie et Jamie tranquille. Jusqu'à ce que James vienne tout chambouler et puis il y avait sa librairie… Comment pouvait-elle abandonner son rêve ? Non, c'était inconcevable.

Non, rien avait changé à Londres. Gabriella était heureuse de voir sa mine triste à nouveau rayonner lorsqu'elle lui décrivait le parc, ce fameux arbre, leurs bêtises… Il y avait de la nostalgie dans l'air. Mais la libraire voulait lui faire comprendre à quel point le passé restait le passé. Que sa disparition n'était qu'une simple tâche noire dans leur amitié façonnée d'un millier de couleurs. Bien trop infime pour tout gâcher sur cette magnifique fresque qu'ils étaient encore en train d'écrire. Rien ne pourra ternir ce duo, plus jamais. Alors elle lui prit la main. Le touché était une chose qui permettant de rassurer autant la personne qui fait ce geste que celle qui le reçoit. Comme le meilleur moyen pour Gabriella de faire passer ce message. Il lui arrivait bien trop souvent d'être maladroite avec les mots. Sean disait aller bien, alors Gabriella osa y croire. Elle rigola en entendant cette histoire de chien. « Aussi fou que toi ? C'est possible ça ? Tu vas me dire… On dit bien tel maître tel chien alors... » Son regardait débordait de malice. « Oh ! Ton frère et ta sœur sont aussi ici ? Je suis contente de savoir que ça va un peu mieux entre vous. Je me fais aucun souci pour la suite ! Et puis oui, il y a pas de raison que tu ne sois pas heureux avec tout ça, moi y comprit bien évidemment. » Elle lui souriait comme jamais ! Une question lui titillait l'esprit. Est-ce qu'il était marié ? Non, pas de bague au doigt. Mais en couple ou fiancé ? Il fallut peu de temps à Gaby pour poser la question et la réponse lui donna l'envie de le frapper. Il aimait la taquiner et ça marchait. « Comment ça tu avais oublié ? Pas le choix pour la promise que d'avoir mon aval non mais oh ! Comme si toi tu ne me cassais jamais les pieds quand j'avais un petit copain ! Monsieur ''je fais confiance à aucun mec qui t'approche !''» Une autre question lui vint en tête. Une qu'elle aurait dû lui poser depuis longtemps. « Mais quand j'y pense… Tu fais quoi maintenant ? Je veux dire, comme boulot ? Je suis bête, je t'ai même pas posé la question avant ! »
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Message(#)I thought life passed me by. EmptySam 24 Oct 2015 - 5:10

Quand tu viens tapoter mon bras puis me donner ce surnom je laisse un rire m’échapper et se mélanger au tien. C’est vrai que j’ai jamais cessé de m’entretenir des que j’ai commencé le football mais aussi après mes études. Ca fait un bien fou de retrouver cette complicité que l’ont avaient au par avant, mais je savais que personne, vraiment personne n’a pu te remplacé tu étais tellement a par entière que je ne pouvais pas avoir une fille qui était comme toi. Puis comment aurais-je pu te remplacer ? Je me serais menti à moi-même de toute façon.

J’adorais te taquiner sur le fais que je ne reste pas, mais comment faire pour que je parte comme ça, comme un voleur que je viens tout juste de te retrouver. Non, non impossible pour moi. Après tout ma question était de savoir se que tu étais devenu mais j’ai pu apercevoir cette tristesse dans ton regard. C’est pour ça que je n’ai pas insisté plus, et que je sais que tu me parleras de tout ça le moment venu. Je n’ai jamais insisté quand ça n’allais pas, je préfère que tu viennes m’en parler de toi-même. Malgré tout j’étais là, près de toi à te soutenir. Mais je souris a mon tour quand tu prononce notre surnom « Gabriean » ça m’avait tellement manqué de ne pas l’entendre, ni même de le dire. Ce surnom montre que nous sommes l’un et l’autre lié « Et oui les gens de Brisbane, la folie, la joie et la bonne humeur, l'arc-en-ciel Gabriean arrive dans vos vie. Vous ne cesserait d’en entendre parler ! » Je prends un air confiant mais tel un dictateur qui pourrait prononcer un discours poignant. Je viens alors rire doucement a mes paroles, je ne pouvais pas vraiment être sérieux avec toi, fallait toujours qu’on se montre qu’on prouve que la vie mérite, malgré tout, d’être vécu avec humour. Mais à ses paroles suivantes, je plisse doucement les yeux en te regardant avec un petit air suspect. « Que me caches-tu demoiselle ! » J’ai assez intrigué par t’es paroles. Qui voulais-tu me présenter. J’espère juste que c’est une personne qui a c’est te rendre heureuse mais aussi qui a aussi cette folie qui bouillonne et qui veut faire ressortir. Mais après tout, je resterais le protecteur que tu as toujours connus malgré tout.

Quand tu me parles de ta librairie je souris en grand, je savais que tu aimais cet univers et c’était vrai que je te voyais bien ici. Ton image colle plutôt bien a la petite libraire parfaite, qui adore aider les personnes totalement perdu dans les aller à chercher désespérément un livre comme j’étais venu faire quand j’ai déposé les pieds dans ta librairie. Tu avais créé un petit cocon rien qu’à toi, un endroit où on peut sentir agréablement bien. Mais après, t’as demande tu fais que j’ai quitté New York était assez évident pour moi, mais bon, c’était normale que tu me pose la question. Se que tu ne savais pas c’est quand on est arrivé a New York mon père a littéralement changer et j’ai commencé à prendre des coups. J’en ai malheureusement gardé des cicatrices physiques. J’ai réussi à oublier un peut cette période qui ma longtemps ronger, mais, je devais déjà réussir à en parler a mes cadets sinon je ne pourrais jamais en parler a quelqu’un d’autre. Voilà la fuite ça doit être un peut notre domaine j’ai envie de dire. Je ne savais pas que toi aussi tu voilais tout quitté mais je hausse doucement les épaules « Je me souviens adolescent ont voulaient quitter le pays. Prêt à prendre le premier train et partir, mais je pense qu’on avait l’un et l’autre quelque chose qui nous retenait. Il me semble que tu avais ta mère qui te retenait. Au, comment elle va ? » Je me souviens très bien d’elle car je la voyais régulièrement quand je venais te chercher. Se que je ne sais pas c’est qu’elle n’est plus de notre monde. Mais surtout ce que je ne sais pas c’est que je viens de faire la plus grosse boulette du monde en te posant cette question.

C’était bon de se rappeler le bon vieux temps, mais c’était aussi tout aussi agréable que tu me fasses comprendre que tout ça n’est que du passer. Passer bien trop mouvementé et joyeux pour l’oublier, un passer que seulement nous deux pouvons le comprendre, les endroits, les fêtes, les quatre cent coups qu’on faisait. Tout ça n’est que bon souvenir aux quels je pouvais penser quand rien n’allait chez moi. Tu étais, tu es mon rayon de soleil, l’arc-en-ciel de bêtise qui me réchauffe le cœur. Nous sommes a nous deux un arc-en-ciel de bêtise ! Cette tendresse qui a entre nous, ta main dans la mienne, un réconfort que tu peux avoir sur moi. Tout cette tendresse n’est que bénéfique et amicale rien d’autre. C’est une chose qui ne cessera jamais entre nous. Mais ton rire me fait sourire en grand, mon chien, alala, lui je pourrais commencer à écrire un livre sur lui ! « Je te jure il déjà grand mais qu’est-ce qu’il peut faire comme connerie ! L’autre jour, je rentrais de notre promenade et il a rencontré la voisine qui elle a un petit chien tout mignon. L’autre fou l’a emmené jouer dans le jardin non mais, t’y crois toi ? Mais tu viendras a la maison, tu le verras, et tu seras a quel point il est fou ! Il a fait la fête à Julian quand je suis allé chez lui… Genre le chien qui a peur de personne ! » Bon ensuite la maîtresse n’a pas dis non a mon invitation, preuve que nous sommes des fous, mais il est vrai qu’il anime bien mes journées ce chien ! A ta question pour mes cadets je hoche la tête positivement « Ouais, Julian est arrivé ici avec sa fiancé il y a ... » J’essaye de me souvenir du temps qu’ils sont là, fronçant les sourcils en cherchant, mais impossible. « Longtemps ! Et Meaghann ça fait un petit moment aussi. Donc quand on ma dit que j’avais le choix de mutation je suis venu ici. Puis toi, avec toi impossible d’être malheureux, t’sais, comme si c’était le cas. » Je secoue doucement la tête, mais je garde quand mon sourire aux lèvres en te regardant. Mais il est vrai que durant tout ce temps j’aurais pu avec une femme ou bien même une copine, mais la dernière avec qui j’étais ma totalement briser le cœur. Dois-je t’en parler ? Non sinon tu serais capable de la retrouver et de lui faire la peau. Mais en voyant ta réaction je ne peux m’empêcher de rire doucement. « Non mais c’est totalement normal ! Attend tout ceux avec qui tu étais n’était pas bien pour toi. Puis fallait bien que je te casse les pieds pour quelques choses. Mais tu sais que, le futur ou le monsieur qui en couple, marié, fiancer ou qui songe à vouloir sortir avec toi dois avoir mon accord ! » Je laisse mon petit rire m’échapper en te disant ça, mais j’allais apprendre plusieurs choses en te demandant. Puis à ta question limite paniqué je ris doucement. « Je suis huissier de justice. » je bombe doucement le torse fier de moi. J’ai toujours été très bon a l’école mais finir ainsi « Ouais ouais, je vire des gens de leur maison, toussa toussa mais bon je ne voyais pas avocat comme mes cadets ! » je rigole doucement en te regardant. Mais j’aime mon métier malgré tout. « J’ai finis mes études a New York, a Los Angeles les dossiers allait et venait comme des fantômes. C’était toujours très vite, rapide. Mais ici, je prends mon temps pour étudier les dossiers. Certaines personnes ne méritent pas d’être expulsées ainsi… » Je hausse doucement les épaules, ouais malgré tout le cas de ses personnes me touchent comparé a se que beaucoup de monde peuvent pensés !
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyMar 10 Nov 2015 - 12:29


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Il était inconcevable pour Gabriella d'oublier son ami d'enfance. Ce Sean avec qui elle passait toutes ces journées à rire, à faire des bêtises en tous genre ou encore à parler de tout et de rien. À refaire le monde à travers leurs imaginations sans fin. Deux adolescents totalement utopiques qui ne faisait que crier leur cœur. Il y a des amitiés qu'on ne peut pas oublier, à laquelle il est impossible de renoncer. Même si Sean et Gabriella étaient loin l'un de l'autre, la brune pensait toujours à lui. Et elle était persuadée que son ami en faisait de même. Et maintenant, la libraire en avait la preuve. Rien avait changer entre eux. Malgré les années, leurs séparations ainsi que les innombrables changements dans leur vie respective.

Un sourire angélique éblouissait son visage. L'air intrigué de Sean l'amusait terriblement. « C'est un ami que je me suis fait ici, Marius. Il est adorable et je pense que tu l'adorais autant que moi ! » C'était vrai. Et puis, Gaby se demandait s'il était possible de ne pas aimer sa Jane. Cet homme qui avait toujours le sourire, la force et les mots pour vous réconforter. Lorsque Sean évoque le fait qu'adolescents, ils rêvaient de partir à l'autre bout du pays, Gabriella avait le sourire aux lèvres. L'air à la fois pensante et rêveuse. Comme si la jeune femme était plongée dans le passé. Vient sa dernière question. Lui rappelant tout ce qu'elle avait sacrifié pour sa mère. Certains de ses rêves, certaines envies qu'avaient toutes jeunes de son âge. Mais Gabriella ne regrettait rien, rien du tout. Son visage s'assombrit d'un seul coup. Elle posa sa tasse sur la table. Sa mère lui manquait tant. Ses yeux reflétaient à quel point son absence était encore un déchirement. La libraire prit une grande inspiration avant de lui répondre. Un silence trônait. « Elle… Elle est décédée quelques semaines avant mon départ avec l'Australie… Un cancer, on ne pouvait rien faire. » La libraire trouva la force de sourire. Comme pour lui dire que ça allait.

Mais elle préférait ressasser les bons souvenirs de leur passé commun. Leurs balades, leurs rigolades… Les fois où ils escaladaient les grilles du parc en pleine nuit. La libraire voulait lui faire comprendre que son absence n'était rien de grave. Que leur amitié était bien trop forte pour succomber à cela. Son rire résonna dans toute la pièce lorsque Sean parlait de son chien. Une boule de poils aussi folle que lui, voilà qui était amusant. La libraire continua de rigoler en entendant les aventures de son chien. « C'est bien ce que je pensais, il est comme toi… Peur de personne ! » Elle lui fit un clin d’œil. L'Anglaise se souvenait du frère de Sean, ainsi que de sa sœur. Mais il n'y avait jamais eu de réels échanges entre eux. La jeune Gabriella était déjà bien trop occupée avec l’aîné de cette famille. « Julian est fiancé ? C'est génial ! Et il est hors de question que je vois une lueur de tristesse sur ta bouille ! » Elle lui pinça la joue comme si c'était un petit-enfant. Gaby continua à tirer sur ce petit bout de peau lorsque son ami la rappelait à l'ordre. « Oui, je sais qu'il va falloir ton accord pour que monsieur puisse sortir avec moi ! » Monsieur. Oui, Gaby parlait de James. Mais il n'est pas sûr que Sean voit dans la réponse de son amie la possibilité que Gaby soit tombée sous le charme d'un homme.

Mais Gaby voulait tout savoir sur lui. Sur le nouveau Sean qui était venu par un coup du destin passer le pas de la porte de sa librairie. Le destin était du genre farceur à Brisbane. « Huissier de justice ?! » Elle ne s'attendait pas à cela. Oui c'est vrai que Gaby pensait le voir avocat, mais Sean était un vrai rebelle. « J'espère que tu ne vires pas les pauvres petites personnes tout comme moi qu'on du mal à joindre les deux bouts. » Un battement de cils dans sa direction. «Mais je suis contente de savoir qu'il n'y a pas que des vilains de cette profession ! » Une chose la tracassait. «Ton père en pense quoi de tout ça… ? » Parler de son père, c'était comme déclencher une bombe à retardement. Elle savait que c'était un sujet sensible, mais Gabriella restait sa Gaby. La jeune femme était au courant des différents entres les deux hommes et elle voulait savoir si c'était toujours d'actualité. « Mais je suis sûre que tu es parfait pour ce job ! On s'en fout de ce qui pense... »
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Message(#)I thought life passed me by. EmptyVen 27 Nov 2015 - 12:44

Il était vrai que le temps nous a complètement rattrapé mais c’était bon de se revoir, de se retrouver comme avant, comme des adolescents, c’est ça qui nous fait penser qu’on est encore jeune en réalité. Mais quand tu me parles que tu veux me présenté a une personne, c’est vrai que je suis totalement intriguer, mais qui est cette personne. C’était la première question qui me vient totalement en tête. Puis tu me m’explique qui c’est, du moins vaguement je souris doucement pour venir alors te taquiner. « Qui te dis que je m’entendrais avec lui ? Puis si je n’ai pas envie de te partagé comment on fait hein ? » je prends un petit air boudeur, mais il n’y a que de la taquinerais dans mes paroles. Je n’allais pas refuser ça en faite. Puis, après tout, je ne suis plus l’horrible Sean de Los Angeles qui aimait personne ou presque… Mais je sais que ça allait te faire doucement raller c’est pour ça que je fais ça, mais au fond de moi j’accepte volontiers !

Après cette petite taquinerie vint le sujet de ta mère, et je remarque je viens de faire une boulette si énorme que moi en voyant que toute la tristesse revient directement, je pouvais le voir sur ton visage. Quand tu m’annonces la nouvelle, je viens doucement entre-ouvrir mes lèvres. C’était affreux, je n’aurais jamais pensé ça. C’était une femme si gentille, adorable, agréable qu’à chaque fois que je venais chez toi j’avais l’impression d’être aux anges limites avec elle. Je dépose a la suite ma tasse sur la table pour rapidement prendre ta main dans la mienne, je la caresse doucement en te regardant, je voulais te prendre dans mes bras, mais je ne sais pas si ça te ferais du mal ou du bien, si ça te fera fondre en larme ou non… « Je suis un boulet de première Gaby… Je suis désolé, ma puce, je… je suis désolé… » a ce moment présent je me sens tellement mal, mal d’avoir poser cette question, de voir cette tristesse dans t’es yeux mais aussi se sourire qui montre que tu arrives a vivre avec. Je ne pouvais pas comprendre la souffrance que tu dois avoir au fond de toi car je n’ai jamais vécu ça. J’aurais tellement aimé être près de toi pour cette épreuve ci…

Puis vient les souvenirs, un par de bonheur qui arrive au bon moment. Mais il est vrai aussi que je te raconte mes mésaventures et aventure avec mon chien. Tu acceptes qu’il ait comme moi, qu’il a peur de personne. Après je laisse échapper un rire, un rire amusé. Tu me connaissais, mais si tu savais a quel point j’ai peur de personne mais surtout se qu’il se passait a Los Angeles, tu me prendrais plus pour un fou. Puis vient le sujet de mon frère, mais je souris à nouveau quand tu me tire la joue. J’avais perdu cette habitude puis je frotte ma joue en prenant un air d’enfant vexer « Meeeeuh ! » mon petit grognement sort enfin après cette action. Mais je reviens rapidement a mon frère « Moi triste ? C’est plutôt lui l’emmerdeur avec ça, j’en ai tellement entendu parler ! » je rigole doucement, un mariage forcé. C’est comme ça. C’était une leçon à lui donner en faite. Puis l’accord d’un certain monsieur vient, je plisse doucement les yeux, tu dois me cacher quelques choses mais je ne cherche pas plus, j’allais bien pouvoir t’embêter plus la dessus plus tard !

Mais tu viens alors me demander se que je suis devenu, a ta réaction, quand tu répètes que je suis huissier de justice je souris, ça surprends beaucoup de monde. Avocat de père en fils et même en fille et bien non moi j’ai voulu faire autre chose. Je me racle fortement la gorge a ta question « Bien sur que non, je leur mets un coup de pied aux fesses c’est plus rapide pour les virés ! » bon c’est vrai qu’en était huissier on a ce petit problème mais pas que. Je suis aussi régulièrement aux audiences pour les jugements, familiale, criminel et bien d’autre. Je ne m’ennuie pas dans mon métier. Je secoue la tête en souriant quand tu dis t’es paroles, mais mon sourire disparaît rapidement quand tu parles de mon père. Je baisse doucement le regard, reprends ma tasse pour boire une gorgé de cette boisson. Je reviens encore sa tête, mais aussi j’en ai encore des douleurs dans le dos quand je lui ais avouer que je ne voulais pas être avocat mais huissier… Il ma maudit, a nouveau, pour cette décision…  J’ai la mâchoire qui se serre doucement, c’était comme si on voulait m’énerver, me mettre en colère, mon père. L’homme dont je ne veux pas parler. Quand on se connaissait ce n’était pas bien grave se que je subissais mais, si tu savais le reste tu deviendrais folle… Mais tu peux remarquer que je ne prends même pas la peine de répondre a ta question, j’ai toujours autant de différences avec lui. Mais tu rattrape juste derrière comme toujours. Un petit sourire s’affiche aux coins de mes lèvres en répliquant. « Oui on s’en fout de lui et de ses pensés. Je fais un parfait huissier je te rassure je suis presque le meilleur ! »
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