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 Work hard but be kind (Amalia #1)

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Message(#)Work hard but be kind (Amalia #1) EmptySam 24 Avr - 17:18


Work hard but be kind.
Septembre 2020. Gabrielle a eu l’audace. Celle de se rendre dans ce cabinet d’avocat dont la réputation n’est plus à faire ici à Brisbane. Elle s’était renseignée un peu à ce sujet et a pu découvrir que le cabinet était connu pour avoir les meilleurs avocats dans tous les domaines de la branche juridique. Dans sa détermination et sa curiosité, elle avait cherché d’anciennes affaires qu’ils avaient défendues et elle avait été passionnée par leur méthodologie et leur efficacité. Il n’en fallu pas plus à la jeune Strange pour passer le pas de la porte du cabinet. Elle avait rencontré Mary Sherman avec qui elle avait discuté une bonne heure, et Gabrielle n’avait pas manqué de parler des raisons qui la poussait à vouloir travailler avec eux. Bien sûr, elle s’était vendue à son tour, mettant en avant quelques affaires qu’elle avait pu résoudre lorsqu’elle était à Los Angeles. Mais elle due faire abstraction du dernier procès qu’elle avait défendu bec et ongles qui était aussi la raison pour laquelle elle avait subitement quitté la côte ouest américaine. Elle ne voulait pas que cela se sache ou puisse s’ébruiter. D’ailleurs, quand la question qu’elle redoutait lui fut posée, à savoir, pourquoi avait-elle quitté Los Angeles pour Brisbane, elle inventait un mensonge, prétextant avoir toujours eu un attrait pour l’Australie et qu’elle avait jugé bon de sauter le pas avant qu’il ne soit trop tard. Une excuse pas des plus crédibles mais qui suffit à la redoutable avocate qui se trouvait devant elle. Mary lui proposa alors une place au sein du cabinet mais l’invita aussi à suivre une formation pour obtenir l’équivalence de ses diplômes.

Voilà quelques jours que Gaby travaille dans le cabinet. Elle vient de terminer un rendez-vous avec un client et se dirige vers la salle commune pour se servir un café. Alors qu’elle approche de la machine, elle se rend compte de la présence d’une de ses acolytes avec qui elle n’a pas encore eu le temps de faire connaissance « Amalia c’est bien ça ? » fait-t-elle alors qu’elle vient à attraper une tasse pour la déposer sous la machine. « Gabrielle » ajoute-t-elle en lui tendant la main. L’avocate n’a pas eu de mal à retenir le nom de la jeune femme à ses côtés puisqu’il s’agit de la fille d’Antonio Mancini, créateur de ce cabinet. Jusqu’à présent, elle n’a fait que la croiser dans les couloirs. La rencontrer ici est un bon moyen de faire le premier pas et de briser la glace. Gaby reste plantée devant la machine, sa capsule à la main mais ignore en réalité comment fonctionne l’appareil « Je dois vous avouer que je ne suis pas très douée avec ces bêtes-là » Elle grimace car elle se sent un peu stupide sur le moment. Disons que le café n’est pas vraiment ce qu’elle préfère, elle s’accommode juste de cette boisson de temps à autre, uniquement au travail. Sinon, elle préfère largement aller se chercher un smoothie au café du coin pour se donner davantage de force, surtout après avoir passer une nuit blanche, chose qui arrive très souvent chez la Strange.
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@Amalia Burke
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Message(#)Work hard but be kind (Amalia #1) EmptyMer 5 Mai - 6:24

Work hard but be kind
Gaby & Amalia

Ce matin j’avais quitté le lit conjugal à cinq heure du matin, bien trop tôt. Mon mari Nicholas dormait paisiblement et je n’avais pas pu m’empêcher de l’observer quelques secondes dormir. Comment pouvait-il être si serein dans son sommeil en faisant un métier comme le notre ? Comment faisait-il pour laisser le boulot hors de la maison en rentrant la soir ? Nous étions très diffèrent là-dessus et cette différence créait souvent des disputes au seins de notre couple. Je n’étais pas capable de le rejoindre sur le canapé pour regarder un film sans y emmener tout mes dossiers et des fois je les trainais même jusqu’au lit. Il dormait paisiblement et je ne pouvais pas me retenir de me poser des dizaines de questions sur lui, sur sa fidélité, un sujet qui me tracassait énormément depuis quelques temps et que je n’arrivais pas à élucider. J’ai toujours eu l’œil et je le connaissais suffisamment bien pour savoir qu’il me cachait quelque chose, mais je ne comptais pas lui faire face, pas avant d’avoir des preuves. Je soupirai légèrement avant de rejoindre la salle de bain ou comme chaque matin je pris une douche bien chaude avant de m’habiller convenablement pour la journée. Classe tout en étant à l’aise. J’attachais mes cheveux et me perdais dans la cuisine ou ma pile de dossier m’attendais. Je tenais à revoir l’affaire sur laquelle je travaillais avant de me rendre au cabinet pour rencontrer mon client. Les minutes passaient et c’est à sept heure après avoir dit au revoir aux enfants que je quittai la maison pour rejoindre le cabinet Sherman et Mancini. Après deux rendez-vous, je rejoignais la salle commune pour y prendre un café et tomba sur la nouvelle recrue.

Je posais mes yeux sur la brune avec un sourire accueillant. « L’Américaine ! » M’exclamais-je. Je n’avais pas eu l’occasion de lui adresser la parole depuis son arrivé, mais j’avais entendu parler d’elle, une Américaine recrutée par Mary avec beaucoup de potentiel. Je ne remettais jamais en question les choix de recrutement de Mary ou de mon père Antonio, ils avaient fait de ce cabinet, LE cabinet d’avocat qu’il est aujourd’hui et étaient les mieux placés pour avoir le flaire pour trouver les talents qui feront prospéré la réputation du cabinet. « Amalia, ravie de faire ta connaissance. » Je marquais une petite pause pour prendre une gorgée de mon café qui était encore brûlant tout en l’observant avec sa capsule en main. « Je vais te montrer comment cette machine du futur fonctionne. » Plaisantais-je en saisissant la capsule d’entre ses doigts pour lui faire une démonstration. Si je ne tenais pas à ma carrière comme à la prunelle de mes yeux je pourrais toujours me reconvertir dans la vente de machines Nespresso, je ferai sûrement une bonne vendeuse. « Et voilà ! Tu verras après deux trois café tu pourras l’utiliser les yeux fermer ! » Un clin d’œil accompagnant mes dires je me concentrait sur mon café à nouveau en prenant le soin de boire doucement pour ne pas me brûler la langue. « Tu prends tes marques depuis ton arrivée ? J’espère que ça reste à la hauteur du cabinet ou t’exerçait à Los Angeles. » Lui demandais-je, curieuse d’en savoir plus sur son ressenti au sujet du cabinet. Je m’étais un peu informé sur elle après son arrivé, non pas que je me méfiais d’elle, au contraire. J’aimais juste avoir une longueur d’avance sur tous le monde et ça m’avait bien aidée dans la vie en général même si mon père ne manquait pas de me traiter de fouineuse quelques fois.



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Message(#)Work hard but be kind (Amalia #1) EmptyDim 9 Mai - 16:05


Work hard but be kind.
Septembre 2020. « L’Américaine ! ». L’appellation la fait un peu tiquer, une étiquette qui va sûrement lui coller un petit temps, du moins le temps qu’elle se fasse sa place dans le cabinet. En tout cas, les gens semblent avoir retenu plus son origine que son prénom ou son nom. Il est clair que Gabrielle compte bien vite changer la donne et prouver qu’elle n’est pas ici juste pour une courte période. Elle est déterminée à durer, de toute manière, sa vie à Los Angeles, elle doit désormais y tirer un trait dessus. Elle ne pourra jamais retrouver son ancienne vie, celle dans laquelle elle se complaisait pourtant, ayant réussi à se faire une place de choix dans son ancien cabinet tout comme dans le milieu juridique. Son train de vie était aussi rangé, avec sa maison sur les hauteurs de la ville, ses habitudes prises depuis des années dans la ville des anges. Pourtant, du jour au lendemain, elle n’a eu d’autres choix que de partir, quitter cette vie qu’elle aimait pour atterrir ici en Australie. Un choix cependant loin d’être anodin quand on sait que ses deux frères s’y trouvent. Elle n’est pas encore prête à les confronter, pas prête à leur dire qu’elle est ici quand elle n’a pas envie de leur expliquer les réelles raisons de sa venue. Surtout, elle cherche peut-être à fouiner un peu plus sur ses frères pour savoir ce qu’ils mijotent réellement quand elle a en tête le dossier d’Alex, ou plutôt Mitchell, qui l’a suivi jusqu’ici, celui qui montre qu’il a été arrêté en 2015 et a passé un an en prison. Bien sûr, ni lui ni Finn n’a eu l’obligeance de lui en parler. Elle sent qu’ils lui cachent des choses mais elle a besoin de découvrir quoi avant d’aller les interroger. En attendant, ses frères sont bien loin d’être le centre de ses préoccupations, du moins pour aujourd’hui. Ce qui l’importe, c’est de faire ses marques ici dans ce nouveau cabinet qui lui laisse une chance de faire ses preuves et de prouver qu’elle a les compétences pour être une excellente avocate pénaliste ici aussi à Brisbane. « Amalia, ravie de faire ta connaissance ». « Enchanté également » répond-t-elle alors qu’elle se tourne ensuite pour essayer de faire marcher cette foutue machine à café. Mais il semblerait que celle-ci ne soit pas très conciliante, ou est-ce plutôt Gaby qui n’est juste pas très douée avec ce genre d’engin, elle qui n’est pas une grande fan de café. « Je vais te montrer comment cette machine du futur fonctionne ». Un petit rire s’échappe d’entre les lèvres de Gabrielle alors qu’elle s’écarte pour laisser la place à Amalia. Elle l’observe faire pour pouvoir se débrouiller la prochaine fois « Et voilà ! Tu verras après deux trois cafés tu pourras l’utiliser les yeux fermer ! ». Gaby sourit alors qu’elle saisit la tasse désormais remplie du liquide noir « Merci, je pense que la prochaine fois, j’apporterai mon propre thermos, ce sera plus sûr » fait-t-elle avant de porter la tasse à ses lèvres, soufflant doucement sur le café avant d’en prendre une gorgée. Elle prend appuie contre le comptoir alors qu’Amalia l’interroge « Tu prends tes marques depuis ton arrivée ? J’espère que ça reste à la hauteur du cabinet où t’exerçait à Los Angeles ».  Gabrielle appréhende toujours de devoir parler de son ancienne vie, surtout si la personne en face d’elle commence à creuser pour connaitre les réelles raisons de son départ. Pareil, elle ne souhaite pas dire exactement pourquoi son choix s’est porté sur Brisbane, ce qui la pousse à devoir mentir. « Progressivement mais sûrement. Et je suis persuadée d’avoir fait le bon choix, les affaires que vous avez défendues sont impressionnantes. Ce n’est pas pour rien que je suis venue frapper à la porte du cabinet ». Elle marque une pause, portant à nouveau sa tasse à ses lèvres « Le seul hic est que je dois repasser une équivalence pour pouvoir obtenir officiellement le titre d’avocate pénaliste ici. Mais cela ne devrait prendre que quelques mois, je me payerai quelques nuits blanches pendant ce laps de temps », elle relativise en haussant les épaules tout en souriant. « Tu travailles ici depuis longtemps ? ». Elle sait qu’elle est la fille d’Antonio Mancini mais elle ne se permettra pas de la juger à ce propos ou de lui poser des questions à ce sujet. « J’ai lu quelques-unes de tes affaires, ta défense est implacable. J’admire ton audace ».
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@Amalia Burke
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Message(#)Work hard but be kind (Amalia #1) EmptyDim 18 Juil - 12:57

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Gaby & Amalia

« Si tu as le talent voulu, tout devrait bien se passer ! » c’était une façon de la rassurer à ma façon. J’estimais que pour réussir dans ce métier, l’intelligence n’était pas la meilleure arme. C’était facile de réussir les examens, mais c’était plus difficile de tenir sur le long terme après avoir obtenu le droit d’exercer. La pression psychologique que pouvait fournir le métier d’avocat était bien réelle et sans un mental d’acier c’était impossible de perdurer, mais surtout impossible de réussir et d’être le meilleur. Je savais que Gabrielle était doué, j’avais lu quelques affaires qu’elle avait gagnée sans grand mal, mais je ne restais pas sur ces acquis. Elle avait tout à prouver en débutant dans le cabinet qui l’avait accueilli et même si nous sommes alliées, je la considérais tout de même comme une concurrente redoutable. Je n’étais pas prête à lui laisser la gloire que je m’étais donné du mal à obtenir au fil de toutes années. Mon nom de famille ne favorisant pas l’opinion à mon sujet. Quiconque avait quelque chose à me reprocher, mettait sur la table le nom de mon père, n’hésitant à me faire comprendre que si j’étais là aujourd’hui c’était grâce à lui et non à cause de mon talent. Pourtant je me donnais beaucoup de mal pour réussir chaque jour, je travaillais bien plus que les autres et ne résignais pas sur le fait de mettre ma famille de côté pour ma vie professionnelle et ce depuis de nombreuses années. « J’ai l’impression d’y travailler depuis toujours. » Dis-je en riant. C’était comme si, bien avant d’obtenir le barreau et tout ce qui s’en suit, je suivais les affaires que mon père défendait. Il apportait toujours son travail à la maison et je n’hésitais jamais à fouiner dans les dossiers pour en savoir plus. Je me demandais même des fois si je faisais ce métier par passion ou plutôt par obligation, une manière de satisfaire mon paternel pour qu’il soit fier de moi. « Je suis ici depuis ma sortie d’études, je ne te cache pas que j’avais l’interdiction formel de bosser pour un autre cabinet. » ça aurait rendu mon père dingue si j’étais allé chez la concurrence. « J’imagine que tu sais déjà qui je suis, la fille de ton employeur et je préfère préciser que je déteste en parler.» Je refusais tout commentaire au sujet de mon père tout comme je refusais d’être traité avec des pincettes par peur d’être dans le collimateur d’Antonio Mancini. Je ne manquais pas de sourire lorsqu’elle complimenta mon travail. L’audace faisait partie intégrante de ma vie, au travail, dans la vie de tous les jours. Une qualité qui pouvait facilement devenir un défaut. Je prenais une gorgée de mon café que j’avait presque oubliée. « Merci. Ce n’était pas toujours facile, mais j’aime me battre pour y arriver. J’ai également pu apercevoir quelques unes de tes affaires, tu te débrouille plutôt bien ! » Je marquais une petite pause avant de très vite reprendre. « Qu’est-ce qui t’as poussé à faire ce métier ? »



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Message(#)Work hard but be kind (Amalia #1) EmptyDim 8 Aoû - 7:18


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Septembre 2020. « Si tu as le talent voulu, tout devrait bien se passer ! ». Gabrielle ne doute pas de ses capacités. Si au début de ses études, elle n’était pas sûre d’elle, pas sûre de mériter sa place au milieu des nombreux étudiants en droit de l’université de Californie de Los Angeles et surtout, craignant ne pas être à la hauteur et se planter royalement, ses peurs s’étaient vite estompées avec le temps. Parce qu’elle a su tirer son épingle du jeu, elle a su faire ses preuves et parce qu’elle a été bien souvent félicitée par ses professeurs. Et après l’obtention du barreau, elle a été recrutée par un des meilleurs cabinets d’avocat de la ville et a vite fait sa réputation dans le milieu. Celle d’une avocate redoutable, de celle qui ne baisse pas les bras face à une affaire perdue d’avance et qui se donne corps et âme dans les affaires qu’elle défend. Le talent, elle était certaine de le posséder, il n’y avait plus de doute à ce sujet désormais pour elle. Si elle pourrait se permettre de répondre du tac au tac que le talent voulu, elle le possède, elle s’abstient. Elle n’est là que depuis quelques jours et elle ne veut pas paraitre imbu de sa personne quand ce n’est pas ce qu’elle est. Ce n’est qu’une question de confiance en elle, difficilement acquise et pourtant bien ancrée désormais. Gabrielle se contentera alors d’hocher doucement de la tête sans rien ajouter de plus. « J’ai l’impression d’y travailler depuis toujours ». Gabrielle l’imagine sans mal puisque son père est à la tête de ce cabinet. Amalia devait surement y baigner depuis petite « Je suis ici depuis ma sortie d’études, je ne te cache pas que j’avais l’interdiction formel de bosser pour un autre cabinet » A ça, Gabrielle laisse apparaitre un sourire, se doutant que son père n’aurait sûrement pas apprécié que sa fille aille travailler pour la concurrence « J’imagine que tu sais déjà qui je suis, la fille de ton employeur et je préfère préciser que je déteste en parler ». L’américaine acquiesce d’un signe de tête « Message reçu », répond-t-elle non sans sourire. « Mais oui je le sais. Le plus important est que tu te sentes bien ici et que tu t’épanouisses pleinement ». Et là encore, Gabrielle n’en doute pas une seconde quand ce cabinet est l’un des plus réputée de la ville et que les affaires dont ils héritent sont les plus intéressantes. Elle s’y était penchée longuement avant de faire son choix pour ce cabinet. D’ailleurs, elle avait pu voir un petit peu le travail remarquable d’Amalia dans certaines affaires et manquent pas de la complimenter à ce sujet « Merci. Ce n’est pas toujours facile, mais j’aime me battre pour y arriver. J’ai également pu apercevoir quelques-unes de tes affaires, tu te débrouilles plutôt bien ! » Sa remarque l’étonne un peu, du fait qu’Amalia ait pu s’intéresser à elle et faire des recherches à son sujet. Mais elle en faisait tout autant quand une nouvelle recrue débarquée à son ancien cabinet à Los Angeles, donc elle n’allait pas lui reprocher. « Toi et moi sommes similaires, je ne lâche pas l’affaire aussi facilement, au grand dam de ce qui se trouvent en face ». La confiance en elle et surtout en ses compétences dans son travail transparaissent aisément au détour de cette phrase. « Merci, je trouve que je m’en sors pas trop mal aussi » ajoute-t-elle avec ce sourire amusé alors qu’elle porte son gobelet de café à ses lèvres. « Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce métier ? ». C’est une question de plus à laquelle elle n’aime pas spécialement répondre car elle doit parler de son passé. Un passé peu glorieux, qui a pu lui rendre ses débuts difficiles dans ses études, du fait du nom de son père. « Ma curiosité enfant avant que ça ne devienne presque une obsession, à vouloir lire davantage sur le sujet, à m’intéresser aux affaires que l’on pouvait entendre à la télé ou dans les journaux. J’ai su très tôt ce que je voulais faire, devenir avocate était presque un rêve devenu réalité ». Surtout quand on connait son passé, encore une fois, un passé où elle a grandi dans un environnement peu propice à réussir, quand elle n’avait finalement aucun exemple à suivre. Hormis, son grand frère Alexander, même si, désormais, elle en doute de plus en plus « Est-ce que j’ai besoin de te retourner la question ou ta réponse tombe sous le sens ? ». Il est certain qu’Amelia a dû choisir cette voie parce qu’elle a été baignée petite dedans. Finalement, elles auraient presque ça en commun mais si son père à une certaine renommée, il n’en est rien de Nick Strange. Et c’est peut-être par honte qu’elle n’en parle pas aujourd’hui aussi.
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