«  comme une lueur dans la nuit, elle est sortie de l'ombre »    dylane bradford & elias sanders

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Ce monde-là n’est pas fait pour le flic, il ne se sent pas totalement à l’aise dans toute cette foule, et il serait bien mieux à même d’être entouré de vrais bolides que de chars. Pour autant, la soirée ne se termine pas encore, alors que cela fait des heures qu’il erre en présence de l’ambulancière, elle s’émerveille devant les costumes, quand lui, préfère lui voler un baiser devant son regard presque désapprobateur, on fête pas l’amour non ? C’est pourtant pas un sujet dont arbore Elias avec facilité, loin de là. C’est pas un sujet où il se sent particulièrement à l’aise, il n’y à qu’à voir le nombre de fois dont leur disputes/conversations se sont finit dans un plumard pour ne pas en douter une seconde. Mais elle tient bon, Dylane. Dans la vie tourmentée du flic, elle s’accroche, et peut-être lui aussi sans s’en rendre compte. Sans jamais vouloir l’admettre à haute voix, prétextant avoir mieux à faire que discuter de choses importantes. Et c’est un peu vrai, la routine, les sentiments c’est pas pour lui. Ca l’effraie alors même qu’il ne l’avouera jamais comme tel. Mais il pense avoir en main, la bonne recette pour que ça perdure. Et ils n’ont certainement pas besoin de ce qui les entourent pour se le prouver l’un à l’autre. Dylane lui arrache la bouteille des mains, elle vient le porter à ses lèvres alors même qu’il fronce ses sourcils, et se met à sa poursuite. C’est qu’elle court vite. C’est qu’il n’a plus de souffle. C’est qu’il a légèrement dû abuser sur la nourriture et l’alcool ses jours-ci… Et ça la fait rire, elle le nargue, elle se retourne même parmi la foule, se prêtant une joie de vouloir le semer juste le temps de quelques secondes : le temps de finir la bouteille. Et de l’entendre râler. Il râle déjà quand il la perd de vue. Il espère qu’elle l’entend de là, où elle est. Qu’elle le voit aussi. Mais c’est sans détour qu’il aperçoit la silhouette de la Bradford se faufiler dans la chapelle à quelques mètres de lui. Elias se fraye un chemin, poussant volontiers ceux qui s’accaparent de son territoire pour finalement la rejoindre, ouvrant la lourde porte de la bâtisse. Jamais, l’idée d’y rentrer ne l’aurait frôlé. Il déteste cet endroit, il a horreur des bâtiments croyants, Elias. Mais parce qu’elle est là, qu’elle se cache dans un recoin, sous un banc ou que sais-je, il doit aussi y aller, se plonger corps et âme. Pourquoi ? Il n’en sait rien lui-même, l’endroit n’est pas très grand, ça lui facilitera la tâche, et son regard se pose sur l’affiche collée au mur, un potentiel mariage ici, de suite. « C’est ta façon de me demander en mariage ? » Qu’il nargue, rigolant à outrance pour qu’elle sorte de sa cachette, s’abaissant vers quelques bancs prit au hasard avant de voir une chevelure brune qui dépasse légèrement. Il s’avance, lentement, sans bruit, un sourire en coin. « Non parce que j’avais une autre idée… » Et ce serait sûrement pas celle de lui passer une bague au doigt, mais pas certain qu’elle soit fraichement disposée à comprendre.

@dylane bradford

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Soutenir la cause LGBTQ est une chose à laquelle l'ambulancière tient particulièrement. Certains de ses amis font partie de cette communauté et elle s'est vite aperçue qu'ils sont bien trop jugés par les autres. Car, soit disant, ce n'est pas la normalité, car soit disant, ils sont différents ... Foutaises que tout cela. Ce sont des êtres humains à part entière et ils sont comme tout le monde avec leurs qualités et leurs défauts. Dylane se fout pas mal de qui aime qui tant que l'amour gagne. Elle s'est d'ailleurs toujours dit que si un jour elle a la chance d'avoir des enfants, elle les soutiendra quoiqu'il en soit tant qu'ils sont heureux. Bien sur, elle est loin de tout ça et ce n'est qu'une phypothèse car rien ne dit qu'elle goûtera un jour aux joies de la maternité.
Bien entendu, elle aurait du se douter que tout ce cortège et cette fête ne sont pas la tasse de thé du flic et qu'il ronchonne d'être là et pourtant, sa main est dans la sienne et rien que pour ça, elle sourit. Il est certe rustre pour beaucoup de chose mais dans le fond, elle sait qu'il cache ce coeur qui ne demande qu'à s'ouvrir. Beaucoup de barrières sont encore présentes. Mais peut-elle le blâmer alors qu'elle en a autant que lui en ce qui concerne l'amour ?! Non, absolument pas. L'alcool se mêle vite à la fête. La brune n'est pas à son coup d'essai concernant les breuvages en tout genre alors c'est avec malice qu'elle lui pique la bouteille pour en boire une bonne gorgée le narguant par la même occasion. Elle court la brune se retournant par moment le voyant la courser. Zizaguant entre les gens, elle arrive à ne pas se faire avoir et ça la fait rire. Sans s'en rendre compte et sans n'avoir rien calculer, elle se retrouve dans la chapelle ayant été mise en place pour les festivités. Son regard se porte sur l'endroit alors qu'elle cherche une cachette mais le bruit de la porte lui fait manquer de temps alors elle se baisse d'un coup et roule sous un des bancs posant ses mains sur ses lèvres pour étouffer ce rire voulant se déployer de sa gorge. « C’est ta façon de me demander en mariage ? » Cette idée ne lui avait même pas traverser l'esprit à vrai dire vu que l'endroit n'a pas été choisi mais c'est imposé à elle dans cette course folle. « Non parce que j’avais une autre idée… » La curiosité prend place et elle a du mal à résister quant au fait de lui répondre. Elle n'a plus besoin de résister quand il l'attrape et la fait sortir de là en la prenant contre lui. «  Oops trouvée » Dit-elle en le regardant et lui montrant la bouteille vide de tout spiritueux. «  Toute façon, tu serais pas capable de te marier » Lance-t-elle tel un défi pour ensuite se mordre la lèvre pour aller lui voler un baiser. «  C'était quoi ton autre idée ? » Demande-t-elle trépignant telle une gosse devant un paquet cadeau à Noël.

@Elias Sanders

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Jamais, il n’avait cru qu’un jour, il viendrait dans ce genre d’endroit, il n’est jamais venu les autres années, pas que ça le dégoûte, mais disons qu’il n’est pas quelqu’un d’intéresser par ce genre de choses, et que ce qui l’intéresse pas, Elias ne force pas les choses, encore moins quand c’est le contraire de ses principes. Cela dit même si il n’est pas à l’aise, dans ce genre d’endroit, il n’a pas vraiment refusé à Dylane quand elle lui en a parlé. Il a bien tenté de faire oublier cette journée à sa chérie, ne pas vraiment répondre quand elle lui demandait de l’accompagner, mais fort est de constater qu’elle ne l’a pas lâché, il a finalement décidé de s’y rendre un pas en avant, deux en arrière. Et comme si elle semblait comprendre que c’était pas sa tasse de thé, elle le tient par la main comme si elle avait peut-être peur qu’il s’envole, qu’il s’en aille loin. Elias avait bien l’intention de boire pour oublier dans quoi on l’avait emmené, ainsi que se réfugier loin de tout ce beau monde qui ne l’attire pas du tout, d’ailleurs il évite soigneusement de trop regarder autour de lui. Ca le gêne, c’est pas dans son principe même. Lui il aime les nanas, et même si il a rien contre eux, c’est pas dans son idéalisme de vie. Mais il n’y avait bien que Dylane pour le faire sortir de nouveau de sa zone de confort, d’affronter la vraie vie, celle où on n’est pas tous identique. Très vite, elle se met à lui échapper, et il se retrouve un peu désemparer autour d’un monde qui le ferait fuir, dont il a un peu peur comme si ça pouvait lui apporter une maladie. Comme si c’était contagieux, un jour il changera peut-être mais pour l’heure il n’est pas encore tout à fait prêt à s’y confronter. Dylane avait encore beaucoup de boulot avec le flic, de tolérance sur le sujet. Ni une ni deux, il court jusqu’à la chapelle où elle s’est réfugiée. « Oops trouvée. » Il finit enfin par la trouver, par l’attirer vers lui, un air taquin sur le visage. Alors qu’elle lui montre la bouteille vide, il fait les gros yeux. « Miss Bradford, vous avez tout bu ! » Il s’en offusque avant de reprendre, « vous méritez un châtiment ! » Le pire de tous, quand sa main attrape le bras de la brune pour l’attirer contre lui, la collant contre lui pour embrasser tout autour de ses lèvres sans jamais les déposer sur les siennes. « Toute façon, tu serais pas capable de te marier… » Qu’elle lance alors qu’il en perd son sourire, fronçant les sourcils, elle avait sans doute raison. Il ne serait jamais vraiment capable de se marier, de dire oui devant tout une assemblée, et pourtant, il n’admet pas vraiment la manière dont elle en est sûre, dont elle avance la chose. Il ne sait pas si il le prend comme un défi, ou comme une réalité des choses, mais son silence semble répondre à cette question en tout cas, il ne cherche pas à démentir, juste à gagner du temps et finalement elle change de sujet – ce qui l’arrange peut-être au fond. Il est pourtant joueur, Elias. Il aime surprendre, aussi. « C'était quoi ton autre idée ? » Elle demande sérieusement ? Elle pose la question devant l’évidence ? « On est seuls… » Qu’il annonce sans même hésiter une seconde, regardant pourtant autour de lui, il n’y a même pas le pantin qui est censé les mariés. « On pourrait… » Il ne finit pas sa phrase alors qu’il l’attire à lui, il ne sait pas ce qu’il y a d’excitant réellement de le faire là où n’importe qui pourrait les surprendre. Ses lèvres heurtent sans un danger les siennes, et sa main glisse dans la chevelure de l’ambulancière. Il ne pouvait pas s’en empêcher, c’est inutile de vouloir parler des heures avec Elias, les actes c’est bien plus son dada. « Avant que le type débarque… » Pour les mariés, parce que si elle pense qu’il est susceptible de se volatiliser, elle a tort ! Après tout, c’était pas un vrai mariage, rien de particulier, il n’y aurait même pas leur proche, ni même de buffet après. Rien de cela, juste elle et lui, et ça lui suffisait amplement.

Spoiler:

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Se retrouver dans une chapelle était pas du tout prévu. D'aussi loin qu'elle se souvienne, Dylane est pas entrée dans ce type de lieu depuis le drame. En dehors de ça, elle y va car c'est pas son truc de montrer ses croyances en publiques. L'alcool a fait qu'elle est entrée ici sans se rendre compte de ce qu'elle faisait et elle s'en fout pas mal. Cachée sous ce banc, elle se retient de pouffer de rire et encore plus quand les pas du flic résonnent sur le plancher étant à sa recherche. Il la trouve bien trop vite car elle s'est mal cachée. L'alcool bien trop présent dans son organisme, elle réfléchit plus très droit la Bradford. C'est avec un grand sourire qu'elle lui montre la bouteille vide une fois remise sur ses pieds. « Miss Bradford, vous avez tout bu ! » Sa main se pose sur ses lèvres comme si elle avait une bêtise et elle pouffe de rire. Si Elias ne la tenait pas contre lui, elle serait sûrement en train de tituber. « vous méritez un châtiment ! » Elle le regarde avec une mini innocente. «  Non non je suis sage moi » Sage et Dylane ne vont pas ensemble et tous ceux qui la connaissent un tant soit peu peuvent le dire. Le flic s'amuse à poser des baisers sans toucher ses lèvres. Une frustration ultime pour la demoiselle qui fait une moue et lui lance alors qu'il est pas capable de se marier. Juste pour le faire chier, juste pour le mettre au défi se disant qu'il sera pas capable de le relever. Seulement une phrase la détourne de ce jeu qu'elle établit. Elle veut savoir ce qu'il passe dans la tête de Sanders. « On est seuls… » Son regard se pose autour d'eux et elle hoche la tête ne voyant personne à l'horizon. « On pourrait… » Il ne va pas oser tout de même. Pas dans un lieu sacré ?! Pourtant il l'attire contre lui sans aucune gêne et prend possession de ses lèvres. «  Pas dans un lieu comme ça «  Dit-elle en premier lieu. « Avant que le type débarque… » Mais elle est faible Dylane, trop faible face à lui et l'attirance qu'elle lui porte. » Puis merde, c'est pas un vrai lieu » Vu que ça a été mis là pour l'occasion et que c'est pas une église à part entière. Ses lèvres se reposent sur les siennes et sa langue vient jouer avec la sienne alors que ses mains se baladent sous le bas de son-tshirt. Ils sont partis ... ou étaient vu que l'ambulancière quitte ses lèvres en haussant un sourcil entendant des voix. «  C'est moi ou l'alcool qui fait que des gens parlent ? » Dit-elle tout en regardant à nouveau autour d'elle. Faudrait pas que l'alcool lui ait trop monté à la tête non plus.

Win : Les voix s'en vont et ils peuvent reprendre où ils en étaient
So close : Les voix se rapprochent et elle ne veut pas tenter le diable
Fail : Des personnes entrent pour se marier et cherche le fameux Elvis.

@Elias Sanders

 «  comme une lueur dans la nuit, elle est sortie de l'ombre »    dylane bradford & elias sanders

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C’est léger, c’est tout ce qu’il a besoin Elias. Il évite soigneusement son appartement depuis quelque temps, il faut dire qu’il se retrouve plus facilement dans la villa de sa petite copine quand son coloc est en vadrouille, que chez lui. Quelques tensions avec Erin, et même si elle est essentielle à son équilibre, il est bien trop fier pour vouloir faire le premier pas, encore faudrait-il qu’elle vienne dormir. Il n’allait pas lui courir derrière, il avait attendu sa sœur pendant des jours sans qu’elle pointe le bout de son nez, et ça le mettait en colère qu’elle soit plutôt avec un vieux, que lui. Il avait finis par lui aussi, quitter l’appartement, et n’y passait que quand lui était en repos et Dylane au travail. Ellie faisait aussi beaucoup de va et vient, les voisins devaient sérieusement s’inquiéter. Il n’avait donc pas recroisé Erin depuis des jours entiers, peut-être même qu’on pouvait les compter en semaine désormais, il n’en savait rien. Pour autant, il voulait profiter de chaque occasion avec Dylane pour rire, se détendre, la titiller. Il avait besoin d’elle et ça sonnait aujourd’hui, comme une évidence. Evidence qu’il a longtemps fuie. « Non non je suis sage moi, » qu’elle dit quand elle se relève, prenant la main du flic pour s’aider, plongeant son regard dans le sien. Un sourire en coin demeure sur les lèvres du flic. Il vient à poser ses lèvres contre celles de la Bradford, voulant la tenter sans rompre ce jeu, « sage comment ? » Qu’il murmure, ses lèvres collées aux siennes, soufflant le chaud. « Tu me montres ? » La température monte d’un cran et franchement ça gêne absolument pas le flic de se retrouver dans une chapelle pour s’amuser avec Dylane, rigolant à outrance, profitant de ce calme pour vouloir la faire réagir. « Pas dans un lieu comme ça… » Il lève les yeux au ciel, et pourquoi pas ? Qu’est-ce qui les en empêche ? « Chochotte ! » Qu’il s’exclame, provoquant, rigolant. « Petite joueuse… » Il poursuit, sans même savoir pourquoi il lui lance ce défi con. « Puis merde, c'est pas un vrai lieu, » elle se plaque contre lui, collant ses lèvres contre les siennes, en général les gens commencent par le mariage et le baiser ensuite. Chez la Bradford et le Sanders c’est tout l’inverse, faut croire. Elle glisse sa main sous son tee-shirt quand lui, fait en sorte de la porter par les hanches, le dos de l’ambulancière qui touche la pierre. Les baisers sont plus intenses, plus langoureux, et peu importe ses voix qui avancent vers eux. « C'est moi ou l'alcool qui fait que des gens parlent ? » Ca l’arrête pas le flic, il continue dans sa lancée, et tant pis si on le découvre, il s’en fiche bien. « C’est toi, ou l’alcool je sais pas… » Entre deux baisers, et là, le raz de marée, le cataclysme. Un couple entre dans la chapelle, Dylane cesse les baisers, obligeant Elias à la lâcher. Il se retourne dans la même direction où Dylane regarde, les traits tirés, soupirant. « Vous cherchez quoi ? » Ce qui signifie, ‘vous n’pouvez pas dégager la place est prise’ ! « Elvis ! » Génial, manquer plus que ça ! « On était là avant vous ! » Ouais il comptait se marier voilà !

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Actuellement la vie de Dylane se résume à trois choses. Son boulot, son canapé et Elias. Ce n'est pas qu'elle a changé en soi. Juste que ces derniers temps, elle n'a plus le goût de faire aussi souvent la fête. Pourtant, elle ne compte pas le nombre de soirées qu'elle a, précédemment, passé à sortir pendant que le flic était au boulot. Sûrement que toutes les guerres se passant dans sa famille l'atteigne plus qu'elle ne voudra l'admettre. Elias n'est au courant de rien et c'est mieux ainsi. Ils ne parlent pas souvent de ce qu'il se passe dans leurs vies. Profiter du moment présent voilà ce qu'ils font. Un jour, ils devront sans doute le faire mais pas aujourd'hui, ni demain ... Qui plus est, Dylane a envie de profiter de cette journée avec lui, de se vider l'esprit et de remplir son corps d'alcool. Une chose qu'elle a réussi avec excellence en lui piquant la bouteille pour courir vers cette chapelle. Se relevant de sa cachette, lui montrant ladite bouteille vide, elle estime être sage. Cela sonne très faux sorti d'entre ses lèvres et encore plus quand elles se retrouvent contre celles du flic. « sage comment ? » (...) « Tu me montres ? »  Comme réponse, elle vient lui mordiller la lèvre inférieure jouant avec le feu ou plutôt le feu ardent d'Elias. Seulement, elle a un moment infime de lucidité et le regarde pour lui signaler l'endroit. « Chochotte ! » Une moue boudeuse de pose sur son visage de poupée. « Petite joueuse… »  Il a gagné. Elle se fout de l'endroit, enfin surtout car il est faux. Pas certain qu'elle aurait réagit de la même façon dans un réel endroit de culte. Quoique avec l'alcool coulant dans ses veines ... Ils sont bien partis pour avoir une étreinte des plus chaudes. Les mains de l'ambulancière frolant sa peau alors qu'il la tient contre la froideur de la pierre. Seulement des voix se font entendre et la brune décolle ses lèvres pour s'assurer qu'elle rêve car c'est ce qu'elle aurait envie là de suite et qu'on les laisse tranquille. « C’est toi, ou l’alcool je sais pas… » Ouais elle aurait aimé mais non, des gens arrivent. Elle soupire Dylane tout en se remettant correctement pensant que ce n'est que partie remise. « Vous cherchez quoi ? » Le flic est contrarié et ça s'entend. Elle aussi mais elle fait semblant de rien. Les gens venus les déranger cherche Elvis et donc à se marier. « On était là avant vous ! » La bouche de Dylane s'ouvre mais elle n'a pas le temps d'en placer une qu'un réel Elvis s'amène. «  J'ai entendu ta prière mon fils «  Dit-il à l'encontre d'Elias. «  Venez vers moi que je comble votre souhait «  Non mais elle était pas sérieuse tout à l'heure Dylane. Seulement, si elle se dégonfle, il dira qu'elle a peu peur. Du coup, elle s'avance de quelques pas tout en regardant Elias pour être certaine qu'elle a bien entendu. Se marier ? C'était pas prévu du tout. Ils n'ont pas de mots sur leur relation qu'un mec dont le costume lui serre va les déclarer Mari et Femme, elle aura tout vu. Merci l'alcool ... Ou juste leur caractère de joueurs ne sachant pas mettre de limites.  

Les déééés:

@Elias Sanders

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Il vivait le bonheur avec Dylane, lui qui n’a jamais réellement prêté attention à ses sentiments autrefois, souvent pas aidé de sa meilleure amie, qui a toujours tout détruites ses relations, désormais qu’elle est partie de la sienne, il est vraiment heureux auprès de Dylane. Bien qu’il ne sait pas vraiment le dire, encore. Bien qu’il n’arrive pas vraiment à mettre de mots là-dessus. Pour autant, Dylane fait partie des personnes essentielles à sa vie, mais il n’est pas certain de pouvoir le reconnaître un jour. C’est léger leur histoire, sans encombre. Mais c’était sans compter sur cette escapade, et se retrouver dans cette chapelle. Absurde, dirait le flic, mais il joue le jeu. Il joue si bien le jeu qu’il ne supporte pas qu’elle lui échappe des griffes, et qu’il part à sa recherche dans le lieu, lorsqu’on vient les déranger, le flic n’aurait qu’une envie : qu’ils se cassent. Ce couple n’a rien à faire là, ce couple n’aura pas sa peau, si bien qu’il entame le dialogue avec eux, pour les faire partir. Et c’est pas si bien dire puisque l’homme qui rentre les entend, et s’exclame envers le flic, avec une intonation un peu trop joyeuse, laissant Elias perplexe et sans vraiment de réaction de sa part. C’était juste un égo, une fierté, et non une envie soudaine et particulière de passer la bague au doigt de Dylane. « J'ai entendu ta prière mon fils. Venez vers moi que je comble votre souhait, » les yeux globuleux de Elias à cet instant et son soupire n’inspire rien de bon, mais Elias suit le mouvement, en passant devant l’autre couple, une question d’honneur qui prend le dessus, plus que tout le reste. Il ne sait pas à quoi s’attendre, de toute évidence, il n’y aura aucune conséquence, puisque c’est un faux papier, un mariage qui n’existe pas vraiment. Peut-être même qu’ils l’auront oublié le lendemain non ? Elias passe son regard entre l’homme, et Dylane. Mais Dylane est absente, inexistante, hésitante. « Euuuuh. » Elias se crispe, se raidit. Ca sent rien de bon. Il recule d’un pas, puis d’un autre, un sentiment contraire s’empare de lui, il réalise peut-être son geste ou est pris d’une fierté mal place en voyant la non-réaction de l’ambulancière. « J’me casse ! » Il laisse ni Elvis en placer une, encore moins sa petite amie. Ou son ex petite amie, parce que là, franchement, il n’sait plus rien Elias. Et ça le saoule ! En tout cas, il fait demi tour, et ressort par là où il est entré en rigolant quelques minutes plus tôt. Peut-être que l'alcool lui permettra d'oublier, de repartir sur de bonne base, peut-être qu'elle le rattrapera ou qu'elle le laissera partir, fuir.