ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
Les bras croisés sur le torse, le regard de Sergio se perdait sur la vue qui s’offrait à lui. Brisbane River, la roue scintillante au loin, les buildings illuminés, l’eau qui semblait couleur azur avec les lumières nocturnes. Tout paraissait si serein, alors que la ville était en réalité en train de s’animer pour accueillir la vie nocturne. Ce n’était pas la première fois qu’il venait dans cet hôtel ou même dans cette salle de réception, mais il fallait admettre que le choix était judicieux. Quelques semaines plus tôt, il avait recruté la jeune Edwards pour s’occuper de cette soirée qu’il avait en tête. Un événement privé sur papier, un concert officieux pour quelques invités de marque, le tout autour de bouteilles de champagne et de petits fours préparés par un traiteur de renom. Evidemment, les dons de cette soirée seraient reversés à une association caritative. S’il comptait tirer des bénéfices de cette soirée ? Bien évidemment. Les photos seraient vendues à des journaux, une partie de la performance d’Elie serait affichée sur les réseaux sociaux pour la rappeler à l’esprit du public. Quant à lui, Sergio avait des attentes bien différentes de cet événement. C’était une parfaite occasion pour appâter ces pseudos âmes bien pensantes et pour cultiver son réseau. Acteurs, journalistes, écrivains, grandes fortunes, philanthropes en tout genre. Les invitations étaient déjà parties pour un gratin trié sur le volet.
Il était presque vingt heures désormais et officiellement, sa présence ici était afin de vérifier l’avancée des préparatifs. Il ne restait plus que deux jours avant la soirée, la décoration était terminée, les caisses de champagne avancées, les barmans, sommeliers, traiteurs étaient déjà sur le qui-vive, prêts à faire face au moindre imprévu. Sergio n’avait rien trouvé à redire, jusqu’ici. L’unique erreur de mauvais goût était cette moquette bariolée, mais qu’y avait-il à faire ? Pour ce qui était du réalisable, Lena avait bien assuré. Assez pour faire mentir sa réputation souillée. Quand bien même son choix pour la personne en charge de l’événement avait été très spécifique et avec des arrière-pensées bien existantes, il n’aurait pas pu se permettre que ce moment soit fichu en l’air. Il ne s’agissait pas de l’événement de l’année, mais il contiendrait des invités qu’il ne fallait pas décevoir. Ses relations dans le milieu avaient été relativement dures, jugeant la jeune femme être immature, bornée dans son travail, irrespectueuse, avec des problèmes d’addictions diverses et variées. Aucune version ne concordait, aucun de ses contacts n’avait su lui donner d’exemples spécifiques ou de mésaventures leur étant réellement arrivé. C’était suffisant pour qu’il sache à quoi s’en tenir.
Il n’était pas intéressé par ses anciennes relations professionnelles, de toute manière. Seulement par celle qu’elle entretenait avec son fils. Et en entendant des pas dans son dos, ce fut avec un large sourire qu’il se retourna. « Mademoiselle Edwards. Merci d’être venu, je sais qu’il est tard. » Il était à peine le début de la journée dans leur milieu, mais c’était une politesse qu’il pouvait se permettre. « J’ai fait le tour de la décoration et de l’organisation en vous attendant, et pour être franc ? » Il hausse un sourcil, laisse traîner le suspense avec une lenteur sournoise. « C’est rare que je ne trouve rien à redire. » Peut-être avait-il des attentes peu élevées, peut-être qu’elle était juste douée. En règle générale, il était de ceux à ne pas savoir déléguer et à être sur le dos des gens qu’il mandatait en permanence. « L’unique chose que je tiens à faire en personne, c’est de vérifier la qualité de ce qui sera servi à mes hôtes. Je me disais que vous voudriez peut-être m’accompagner ? » Sur le bar, les bouteilles étaient savamment disposées, ainsi que les assiettes du traiteur. Les échantillons, pour ainsi dire. Du sacré au salé, assez de choix pour constituer un festin. Autant qu’il les passe en revue en bonne compagnie.
GASMASK
Lena Edwards
le roman-photo
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
Se noyer dans son travail, telle était la résolution de Lena. Si sa relation avec Rudy avait sans conteste était un échec de plus - et le dernier avec lui, elle se l'était promis, Lena refusait de se laisser aller comme à chaque fois que quelque chose ne tournait pas rond avec lui. Jusque là, elle tenait bon, bien que son état relevait plutôt d'un déni profond que d'une réelle page tournée. Qu'importe, c'est sur de nouveaux projets qu'elle préférait se concentrée, d'ailleurs prise ce soir pour rencontrer l'un de ses nouveaux clients. Elle ne mit pas bien longtemps avant d'arriver sur le lieu de la réception, presqu'aussi apprêtée que lors de toutes ces soirées mondaines - il fallait bien montrer qu'elle allait parfaitement avec tous ces gens importants qui seraient invités. Sergio se retournait, un large sourire sur le visage. « Mademoiselle Edwards. Merci d’être venu, je sais qu’il est tard. » Il n'était pas si tard que ça en réalité, et la blonde avait l'habitude de ces rendez vous professionnels en soirée, depuis le temps. Aucun soucis Sergio, vous savez que je suis là pour ça. Qu'il lui était plaisant de reprendre son masque de la parfaite organisatrice polie et organisée, celui que trop de personnes estimaient faux alors qu'elle aimait réellement ce qu'elle faisait. Oh, et appelez moi Lena, je vous en prie. Qu'elle lançait, notant qu'elle n'appelait son interlocuteur que par son prénom, de son côté. « J’ai fait le tour de la décoration et de l’organisation en vous attendant, et pour être franc ? » Lena ne connaissant pas encore très bien son interlocuteur, elle s'attendait à tout : aux critiques comme aux compliments. Mais les émotions sur son visage étaient imperceptibles et elle n'arrivait pas même à deviner ce qu'il pensait réellement, une frustration énorme pour celle qui aimait tant analyser chaque frémissement ou crispation sur les visages qui l'entouraient. « C’est rare que je ne trouve rien à redire. » Un sourire de soulagement remplaçait désormais le sourire professionnel et trop parfait que Lena s'était collé au visage en entrant dans la pièce. Je vous remercie, je suis bien contente que tout vous plaise. Car ils n'étaient plus si nombreux, ces derniers temps, les nouveaux clients à venir frapper à sa porte et pour cause : ces rumeurs sur la blonde ne cessaient d'être alimentées par des concurrents jaloux. Elle songerait à remercier Bailey pour lui avoir envoyé Sergio, car elle en était sûre, pour la recommander à un agent d'artistes, il n'y avait que lui. « L’unique chose que je tiens à faire en personne, c’est de vérifier la qualité de ce qui sera servi à mes hôtes. Je me disais que vous voudriez peut-être m’accompagner ? » Le buffet était déjà servi et l'écossaise n'avait pas encore dîné, rien ne l'empêchait d'accepter cette offre alléchante. Comment refuser une coupe et des mets si délicieux ? Ses yeux fixés sur ceux de l'homme qui lui faisait face un peu trop longtemps, elle le fuyait du regard, préférant partir à la recherche de la bouteille qu'elle voulait lui faire déguster en premier. Vous allez voir, ce champagne est vraiment le meilleur sur le marché. Sans attendre plus longtemps elle s'avançait vers le bar, servant deux coupes d'une bouteille qui se trouvait là. La galanterie aurait voulu que Sergio s'en charge, toutefois, le contexte et le fait qu'il soit son client donnait tout particulièrement envie à Lena de gérer les choses du début à la fin. Elle lui tendait son verre, l'invitant à trinquer. A votre soirée qui s'annonce réussie.
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
Pour un homme qui s’était tenu loin de ses enfants pendant autant d’années, il y avait une curiosité assez morbide à ce partenariat qui servait de prétexte à une rencontre. Tout ce que Sergio avait entendu, c’était du bruit, des rumeurs, des on-dit. Il s’était fié aux avis de ses pairs et à ce qui était affiché sur les réseaux sociaux pour se faire une première idée, même en étant conscient du côté bancal de la chose. Alors cette soirée, Sergio l’avait attendue avec impatience. Evidemment, l’événement avait assez d’importance pour qu’il ait laissé son professionnalisme s’exprimer en premier, vérifier que le travail avait été réalisé à la hauteur de ses attentes. Dans tous les cas, la blonde avait happé toute son attention dès la seconde où elle avait mis les pieds dans cette pièce. Jolie, souriante, polie, douce. Le genre de bout de femme qui laissait une impression positive, bien loin de tout ce qui pouvait se dire sur elle. Elle n’était pas le genre de copine qu’il aurait imaginé Rudy avoir. Peut-être était-ce pour le mieux, d’ailleurs. Une réflexion que l’homme ne comptait pas partager, bien trop satisfait de se cacher derrière le prétexte professionnel. Qui, ce soir, se révélait être pour le moins distrayant. « Je n’utiliserai le mot ‘délicieux’ qu’après avoir vérifié par moi-même. » Le ton se veut léger, désireux de détendre l’atmosphère. Il peut dire que la blonde est encore tendue par ce rendez-vous. Il suffit de voir son pas rapide en direction du bar, les gestes fébriles mais agiles. En règle générale, il aurait préféré garder la bouteille à portée de main, mais ils avaient du choix. La soirée n’avait pas besoin de s’éterniser, mais il n’y avait pas non plus de raisons de se précipiter. « Ce sera parfait, c’est tout ce que cette clientèle attend… Quoique de vous à moi, une fois le champagne dans la flute, ils seraient bien incapables de reconnaître un grand cru d’une marque moyenne de supermarché. » Les personnes influentes et leur avidité pour ce qu’il y a de plus cher. Cela arrache un léger sourire à l’agent alors qu’il saisit le verre, trinque avec Lena. « A cette soirée qui semble avoir été savamment préparée. » Il vient tremper les lèvres dans le liquide, savoure les bulles, jauge le goût et l’odeur. C’est un bon champagne, l’un de ceux qui se laisse boire sans problèmes. « Ce sera certainement très satisfaisant. » Son regard se pose sur la jolie blonde, la dévisage quelques longues secondes. Il aurait bien un tas de questions à lui poser, un certain nombre d’entre elles lui démangeant les lèvres. Mais il se devait de profiter de son « anonymat » tant que cela durerait. Il n’avait pas besoin de bien la connaître pour se douter qu’elle se ferait méfiante si elle venait à apprendre pour le lien de parenté entre Rudy et Sergio. Dehors, le soleil s’est couché depuis un moment déjà, les lumières se sont allumées à travers Brisbane, illuminant le fleuve et ses rivages. D’où ils sont, la vue est prestigieuse, force le désintéressement chez l’homme. « On a ici ce que je préfère dans ce métier. On se retrouver à fréquenter des endroits transpirant le luxe, le tout en dégustant ce que les clients payent. Cela fait oublier qu’on se décarcasse pour organiser même les pires caprices, non ? »
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
La soirée était belle et pourtant ce n'était qu'un test. Celle qui se tiendrait d'ici quelques jours le serait plus encore, et Lena était fière de pouvoir se tenir devant Sergio avec de tels résultats. Il allait être surpris de ses choix, dans le bon sens, elle en était déjà convaincue - après tout, elle n'avait ces temps ci plus que sa confiance en elle pour la porter. Je n’utiliserai le mot ‘délicieux’ qu’après avoir vérifié par moi-même. Ce sera parfait, c’est tout ce que cette clientèle attend… Quoique de vous à moi, une fois le champagne dans la flute, ils seraient bien incapables de reconnaître un grand cru d’une marque moyenne de supermarché. La remarque fit rire Lena, mais il avait totalement raison. Le monde dans lequel elle évoluait était fait d'apparences, de belles bouteilles et de relations. Triste parfois, elle s'y était fait pourtant et collait bien dans le décor. Sergio semblait y être encore plus à l'aise et elle était impressionnée pour ça. Nombre d'hommes seraient devenus imbus d'eux mêmes et insupportables : pour une raison qu'elle ignorait, il ne lui semblait pas l'être devenu - mais elle se trompait sans doute, n'ayant pas assez de recul pour le connaître assez. Et pourtant si on apprenait qu'un champagne peu cher était servi à une telle soirée, ce serait un coup à ruiner une carrière. Elle avait eu des difficultés pour bien moins que ça. A cette soirée qui semble avoir été savamment préparée. Les flutes tintaient entre elle dans un son clair qui résonnait dans cette pièce trop grande pour juste deux personnes. Ils menèrent tous les deux le champagne à leurs lèvres. Ce sera certainement très satisfaisant. Et si lui l'était, les invités le seraient aussi, elle en était certaine. On a ici ce que je préfère dans ce métier. On se retrouve à fréquenter des endroits transpirant le luxe, le tout en dégustant ce que les clients payent. Cela fait oublier qu’on se décarcasse pour organiser même les pires caprices, non ? Leur vue était merveilleuse, les mets qu'ils s'apprêtaient à partager délicieux, la compagnie était agréable. Elle ne comprenait que trop bien où il voulait en venir. C'est sûr qu'on a plus d'avantages que d'inconvénients dans nos trains de vie et dans nos métiers. Ils étaient enviés mais si peu égalés, ça laissait rêveur une bonne partie du monde, en réalité. Mais même les pires caprices ont quelque chose de poétique à être exaucés. Après tout, ce sont eux qui nous font relever des défis, non ? Qu'elle ajoutait, un air de défi dans la voix. Si on ne se dépassait pas pour rendre ces soirées merveilleuses, on s'ennuierait à reproduire toujours les mêmes évènements moyens avec des gens moyens. Cette satisfaction là, c'est de loin ce que je préfère personnellement. Même si j'admet que ce champagne est vraiment bon. Et qu'il constituait une satisfaction non négligeable à la vie qu'elle menait. Mais pardon, je parle beaucoup trop, je vais finir par vous ennuyer. On devrait goûter les plats, vous ne croyez pas ? Parce que s'ils ne le faisaient pas, Lena risquait de se perdre encore dans des explications un peu trop vaseuses ou spirituelles qui risquaient de ternir l'attention que Sergio lui portait.
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
Avant ce rendez-vous, Sergio n’avait pas su à quoi s’attendre avec la jeune femme, celle qui apparemment avait donné son cœur à Rudy. Il s’était retrouvé partagé entre ce qu’il imaginait et ce qui se disait sur son cas. Pourtant, et contre toute attente, la jeune femme lui plaisait bien. Son approche du métier, son regard entendu, ce n’était pas de la simple politesse ou une bête aptitude à obtempérer. Elle semblait imaginative, réfléchie, extrêmement maligne. Bien loin de ce qu’était son fils. « Mais la carrière de qui, après tout ? » Il lui lance un clin d’œil entendu. Ils ne font qu’organiser une soirée. La réputation salie en cas d’incident n’était pas la leur, pas directement du moins. Eux pouvaient s’en remettre, bien qu’il faudrait un peu de temps pour retrouver des contrats intéressants dans le milieu. Il suffirait de renouveler quelque peu ses contacts… et avoir de la chance. Après tout, c’est ce qu’elle avait eu pour qu’il fasse appel à elle. Pour l’instant, il ne le regrettait pas. Peut-être que cette collaboration marquerait le début de quelque chose de plus grand. Il se demandait ceci dit quel genre de défis elle avait pu affronter à son âge. A part fréquenter l’aîné Gutiérrez, de toute évidence. « Disons qu’il faut savoir déterminer quand un caprice irréalisable. Il n’y a rien de pire que faire des promesses que l’on ne peut pas tenir. » Il trempe les lèvres dans le champagne. Pour cette soirée, rien de ce qu’il avait demandé n’était impossible. « J’ai certainement mis la barre trop basse pour cette soirée. Mais si vous aimez le défi, je suis certain que je pourrais trouver quelque chose qui en appellera davantage à votre imagination. » Car le concernant, il avait toujours trouvé les défis dans les événements qui manquaient d’instructions, de supervision. « Mais je ne doute pas que le champagne est à la hauteur des plats. Essayons donc. » Les plats ainsi disposés offraient un large choix de variété, ressemblant davantage à un buffet dinatoire qu’à un repas en sept plats. Sergio avisa l’un des couverts pour piocher dans l’un des premiers mets, destinés à être une entrée certainement. Un mélange de riz, très certainement, à la fois sucré -était-ce de la mangue ?-, pimenté, acidulé par il ne savait quel miracle. Et était-ce de la betterave ou des baies, sur le dessus ? La dégustation est sceptique, et cela doit se lire sur son visage. « Du grand art culinaire. Je n’ai strictement aucune idée de ce que c’est, ni même si j’apprécie, mais je suis certain que c’est socialement très élaboré. » Pour la première fois de la soirée, un rire lui échappe. Probablement face à l’absurdité de la chose. « Vous êtes surprenante, Lena. »
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Lena Edwards
le roman-photo
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
L'homme qui se tenait face à Lena n'avait rien de spécial à ses yeux. Elle avait appris à les cerner, ceux qui comme lui se sentaient au dessus du monde. Un bel homme avec son compte en banque et ses goûts raffinés n'était rien de plus qu'une homme. Et même si leurs attentes augmentaient avec leur statut social, ce genre d'hommes ne demandait pas bien plus qu'un joli sourire et quelques courbettes pour se sentir comblé. C'est en tout cas ce qu'elle pensait, Lena, de son regard sur la société qui avait perdu tout espoir d'une quelconque beauté. Malgré toute l'envie qu'elle avait eu de croire en l'humanité, ses multiples expériences l'avaient bien trop souvent menées à la même conclusion : on a beau essayer d'être honnête, il n'y a bien souvent que l'image qui compte, au final. Alors elle s'était accordée sur cette nouvelle vérité, tentant de faire toujours au mieux pour plaire, puisque c'était visiblement tout ce qui comptait. Exercice difficile alors qu'elle essayait, à la fois, de rester elle même : ça paraissait mine de rien moins compliqué face à Sergio qui semblait être d'une nature plus intéressante que la majorité de ceux de "son espèce". « Mais la carrière de qui, après tout ? » Son ton était un brin trop sérieux à son goût même si le clin d'œil qu'il affichait prouvait qu'il n'en pensait pas moins. La mienne, sans doute. Qu'elle lançait d'un ton rieur, comme pour détendre l'atmosphère. Car s'il ne le savait pas encore, il était de notoriété publique que Lena avait déjà traversé cette épreuve. « Disons qu’il faut savoir déterminer quand un caprice est irréalisable. Il n’y a rien de pire que faire des promesses que l’on ne peut pas tenir. » Elle acquiesçait vivement. « J’ai certainement mis la barre trop basse pour cette soirée. Mais si vous aimez le défi, je suis certain que je pourrais trouver quelque chose qui en appellera davantage à votre imagination. » Lena était toujours un peu surprise de voir que certaines personnes n'avaient pas de doutes sur elle malgré tout ce qui pouvait se dire dans le milieu. Elle ne pouvait s'empêcher de songer que sans ce genre de personnes prêtes à prendre des risques, elle n'aurait jamais pu rebondir. Croyez moi, trouver des caisses de ce champagne n'était pas si facile. Mais je ne refuse jamais un défi. Son air était toujours aussi rieur. Elle était joueuse Lena et ne s'en cachait pas. « Mais je ne doute pas que le champagne est à la hauteur des plats. Essayons donc. » Ils gouttèrent le premier plat, dont elle était incapable d'énumérer les ingrédients. « Du grand art culinaire. Je n’ai strictement aucune idée de ce que c’est, ni même si j’apprécie, mais je suis certain que c’est socialement très élaboré. » Ils se mirent à rire tous les deux de cette remarque et de l'absurdité de la chose. Le traiteur que Lena avait débauché pour ce travail faisait parti des meilleurs de la ville, et c'était sans doute ce qui comptait le plus aux yeux des invités prestigieux. Le but de l'art n'est il pas justement de rester mystérieux ? Elle prenait un air faussement intrigué, commençait à se détendre face à cet homme d'affaires qui lui paraissait soudain plus abordable, un sourire calé sur ses lèvres. « Vous êtes surprenante, Lena. » Elle fut surprise de sa remarque et vint se réfugier une seconde dans sa coupe, prenant une gorgée du liquide doré. Dans le bon sens du terme, j'espère. Ou sinon, ce ne serait pas bon signe pour la suite. Je suis certaine que la suite saura vous séduire. Qu'elle lançait, son ton un peu plus chargé de sous entendus qu'elle n'aurait bien voulu l'admettre. Elle s'empressa d'approcher les bouchées suivantes, pressée d'avoir l'avis de Sergio.
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
Ils avaient l’air incroyablement professionnels à ce moment précis, à se moquer des gens avec qui ils travaillaient tout en se lançant dans une dégustation de champagnes et de mets de traiteur hors de prix. Le prétexte du travail était parfaitement tombé mais cette soudaine confiance sortie de nulle part aurait probablement dû mettre la puce à l’oreille de la jolie blonde. Elle ne se méfiait pas assez. Elle faisait bien son boulot ceci dit et maintenant que toutes les inquiétudes de Sergio concernant l’organisation de cette soirée étaient éloignées, il pouvait se concentrer sur son but premier : apprendre à connaître Lena. Essayer de voir quel genre de jeune femme elle était, pourquoi est-ce que c’était d’elle dont Rudy s’était entiché. Ou plutôt, pourquoi est-ce qu’elle lui avait retourné cette attention. Une curiosité qui risquerait d’avoir un prix si jamais son fils aîné apprenait cette soudaine proximité. Il ne croirait pas à la coïncidence, lui. « Je pense que l’art est un domaine libre à toute interprétation. Certaines sont juste moins bien acceptées que d’autres. » Ironiquement, il avait beau être agent artistique, l’art dans sa forme la plus pure le dépassait complètement. Il ne s’y intéressait que pour la forme, pas pour la signification. Son point de vue était souvent très simple ; il aimait une œuvre ou non. C’était tout.
« C’était un compliment, oui. » Elle était loin de tout ce qu’il aurait pu imaginer, forçant encore davantage son incompréhension. Qui plus est, plutôt que de prendre le compliment, elle semblait déterminée à redoubler d’efforts pour lui montrer qu’il avait bien fait de l’engager. S’il l’avait embauchée par simple envie de travailler ensemble, il aurait été comblé. Dégustant encore un peu de champagne avant, il s’intéressa ensuite au met suivant. Facile à identifier cette fois, des soufflés fourrés à la mousse de citron et d’aneth, du saumon, une légère crème de concombre. « Un classique toujours appréciable. » commenta-t-il simplement avec un léger sourire. « A propos de séduction… » lança-t-il finalement en reportant son regard sur Lena, jaugeant ses réactions. « Vous avez un petit-ami, Lena ? Quelqu’un qui vous attend ce soir ? » Il ne saurait jamais rien s’il ne se décidait pas à la faire parler un peu, lui dire ce qu’il souhaitait entendre. « Je sais que ce travail peut être prenant et pas mal empiéter sur la vie personnelle. » Le ton se veut bienveillant, pas opportuniste. Elle n’était pas supposée trouver la moindre interprétation, le moindre sous-entendu à sa question après tout. C’était simplement de la curiosité naturelle, après tout. Inutile que cela ne lui suscite l’envie d’en parler à Rudy quand elle le retrouverait.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Lena Edwards
le roman-photo
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
Lena devait bien admettre que parler à Sergio était à la fois simple et agréable. Elle n'avait pas à se forcer comme face à de riches blancs se sentant supérieurs au monde entier et c'était un bon point. Quoi que dans le cas contraire elle n'aurait rien fait de différent, c'était son travail d'agir ainsi avec ses clients. Mais ne dit-on pas qu'à compagnie agréable, les résultats sont toujours meilleurs ? La blonde ne se laissait pourtant pas aller à de quelconques frivolités, restant concentrée sur son objectif de se reconstruire une image. Un client et une professionnelle, voilà tout ce qu'ils étaient à cet instant précis. Je pense que l’art est un domaine libre à toute interprétation. Certaines sont juste moins bien acceptées que d’autres. A cela elle acquiesçait en hochant la tête. Elle ne pouvait qu'admettre que peu importe le domaine, artistique ou pas, toutes les interprétations n'étaient pas bonnes à partager. C’était un compliment, oui. Lena baissait les yeux un instant, prit une gorgée de champagne. Elle était habituée aux compliments sur sa personne, s'en amusait parfois lorsqu'elle les sentait peu sincères ou intéressés. De manière surprenante, les bonnes manières de Sergio ne lui laissaient avoir aucun doute sur de possibles intentions cachées à son encontre. Ils continuaient simplement la dégustation. Un classique toujours appréciable. Elle acquiesçait une nouvelle fois. Contente de l'entendre. Elle était sur la bonne voie, elle le voyait bien. La décoration était réussie, le champagne et les amuses bouches plaisaient à l'hôte de la soirée. Elle n'avait rien laissé au hasard et s'en remerciait intérieurement : visiblement elle avait réussi son coup et fait son effet. A propos de séduction… Un peu trop d'effet, peut-être ? Lena ne réagit pas sur le coup, se cachant une nouvelle fois derrière son verre de champagne alors qu'elle vidait sa coupe. Vous avez un petit-ami, Lena ? Quelqu’un qui vous attend ce soir ? Son regard était ancré dans celui de Sergio. Elle ne voyait pas où il voulait en venir, ne comprenait pas en quoi sa vie personnelle pouvait bien l'intéresser. Je sais que ce travail peut être prenant et pas mal empiéter sur la vie personnelle. En cela il était loin d'avoir tort. Je n'ai personne dans ma vie. A vrai dire je n'ai pas le temps de penser à ce genre de choses pour l'instant. Elle déglutis, agacée de ne savoir gérer ses pensées pour ne pas penser à Rudy. Entre deux scandales à gérer, Lena n'avait ni l'envie ni le temps de penser à lui. Elle travaillait d'autant plus pour ça, préférant éviter de songer à sa tromperie et à ses manigances. Mieux valait pour elle qu'elle passe à autre chose, et si elle aurait pu le faire en trouvant des hommes à mettre dans son lit, elle n'en avait pas le cœur ; sa carrière serait son seul objectif désormais. Mais vous devez comprendre ça, je suppose que votre emploi du temps ne vous laisse pas de temps pour une vie personnelle non plus. De ce qu'elle avait entendu, on avait rarement vu la même femme aux bras de Sergio pour deux soirées de suite.
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
La jolie blonde ne doutait de rien quant à sa présence ici et d’une certaine manière, c’était quelque chose que Sergio appréciait particulièrement. Il avait eu peur en la choisissait elle plutôt que n’importe quelle relation plus expérimentée, plus recommandée ou plus familière, que Lena pose certaines questions gênantes. Du genre pourquoi elle, qu’est-ce qui l’avait décidé à lui donner sa chance, s’il était sûr. A la place, la blonde affichait une détermination féroce à bien faire son travail, à ne laisser aucune décision au hasard. Elle était compétente et son absence de questions ne semblait en rien liée à de la naïveté, juste à une volonté bien prononcée de montrer ce qu’elle valait. Et jusqu’ici, c’était un sans-faute. Si la réception se passait effectivement sans accrocs, il réfléchirait probablement à la réembaucher pour d’autres événements. Le mexicain restait néanmoins méfiant. Il savait que le concernant, ses activités n’étaient pas exactement les meilleures qui soient. Lena n’aurait pas à beaucoup creuser pour découvrir ce lien de parenté qui dépasserait très probablement la coïncidence. Aussi curieux pouvait-il être, Sergio n’avait aucune intention que le lien soit fait entre Rudy et lui. C’était pour cette raison qu’il devait se montrer prudents quant à ses propos, surtout en s’engageant sur un sentier aussi privé. Il sentit l’attitude de la jeune femme se raidir quelque peu à l’évocation d’un possible couple. Si elle tentait de rester stoïque, il pouvait percevoir la suspicion dans son regard. Comme si elle s’attendait nécessairement à une demande ou à une avance déplacée. Ce qu’il avait visiblement réussi à esquiver dans une élégante tentative de justifier sa pensée. Mais le fait qu’elle lui réponde n’avoir personne le fit tiquer immédiatement. Il venait de toucher une corde sensible. Le ton de sa voix venait de radicalement changer, bien loin des tonalités douces qu’elle avait pu lui offrir un peu plus tôt. Qu’est-ce qui avait donc pu se passer ? Sara lui aurait parlé d’une rupture. Il doutait ici que ce soit un mensonge, ou quelque chose de temporaire. Elle en parlait comme si elle venait de tirer un trait définitif sur une histoire et préférait occuper son esprit à tout, sauf à la pensée de son couple. Si peu pour la pêche aux informations ici. Pourtant, Sergio ne laissa rien paraître, se contentant du même sourire bienveillant et d’un hochement de tête compréhensif. « Je ne saurais me plaindre d’avoir toute votre attention concentrée sur la soirée pendant encore trois jours. » Il préfère prendre le sujet sur le ton de l’humour, plongeant ses lèvres dans la coupe de champagne pour alléger un peu l’atmosphère. Qu’elle retourne la question est un coup traître, pour autant il ne s’en offusque pas. Elle méritait au moins un peu d’honnêteté ce soir. Il aurait aimé pouvoir nier, mais il fallait admettre que sa vie personnelle n’avait jamais été au beau fixe depuis son divorce. Il n’avait jamais refait sa vie, jamais fréquenté la même femme plus de quelques mois. Il était de ces hommes qui ne se poseraient probablement jamais car le cœur encore obnubilé par une seule et unique femme. Avec le temps, Sergio s’en était acclimaté. Son travail prenait tout son temps, tout son énergie. Il lui suffisait pour se faire sentir comme un homme accompli. Il n’avait plus rien à prouver. « Un divorce m’a suffi. Je suppose que je ne vois pas l’intérêt à poursuivre des projets de vie qui ne collent pas à mes aspirations. » Il n’avait jamais été un mari ou un père exemplaire, ce n’était probablement pas aujourd’hui que cela changeait. « Mais selon mon expérience, le temps est quelque chose qui se trouve toujours. Il faut juste se montrer stratège. Par exemple, je suis certain que vous pourriez mêler le professionnel à l’agréable durant la soirée. J’ai bien en tête quelques partis étonnamment agréables. » Il pourrait faire des présentations. Ils avaient eu beau cracher sur le type d’invités qui s’y trouveraient, Lena avait le profil de la jeune femme capable de se fondre parfaitement dans ce genre de foule. Elle pourrait être surprise de voir le genre d’hommes qui existaient ici, certainement aux antipodes de tout ce que Rudy avait pu lui offrir.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Lena Edwards
le roman-photo
ÂGE : 29 ans. (22/03/1995) SURNOM : lenny est son pseudo sur instagram, c'est sous ce nom qu'on la reconnaît la plupart du temps. lena est un prénom bien assez court sinon, mais elle ne se vexera pas peu importe le surnom qu'on lui donne. STATUT : son faux couple avec micah est en fausse pause et elle se demande quand sa vie amoureuse retrouvera un peu de vrai. MÉTIER : fondatrice d'eclipse events, son entreprise d'organisation d’événementiel qu'elle développe depuis 2020. sa réputation n'est plus à faire dans le milieu. en parallèle elle est payée pour partager sa vie sur les réseaux sociaux. LOGEMENT : elle vit depuis plusieurs années dans un loft moderne et trop grand pour elle au dernier étage du n°404 beachcrest road, dans le quartier de bayside. POSTS : 5588 POINTS : 500
TW IN RP : cyberharcèlement, deuil, consommation de drogue (cocaïne) et d'alcool. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : a subit plusieurs vagues de cyberharcèlement depuis qu'elle est influenceuse et a disparu des réseaux pendant presque un an › élevée dans une école catholique intégriste › ne reste jamais sans lumière, même la nuit, car elle est phobique du noir › investie dans le monde associatif : elle a été bénévole au rspca shelter et a participé à des actions pour manzili › ses principaux passe temps sont le surf et le violon, quand elle a le temps de s'y consacrer › ancienne consommatrice de cocaïne › boit un peu trop régulièrement de l'alcool mais expliquera toujours que ça va de paire avec son métier.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkcyan. RPs EN COURS :
edwards › you must leave everything that you cannot control. it begins with your family, but soon it comes around to your soul. well i've been where you're hanging, i think i can see kow you're pinned : when you're not feeling holy, your loneliness says that you've sinned.
mina › i never meant to call you out, i've always seen behind your smoke and mirrors. oh sweetheart, please don't yell at me, it really isn't hard to see the truth that's rotting underneath.
On dit que le coeur n'aime qu'une fois. Qu'il peut s'émouvoir souvent à la rencontre d'un autre être et créer des amitiés, des envies, des ardeurs et des caprices mais pas un amour véritable, car celui là est unique. C'est ce dont Lena avait rêvé toute son enfance et adolescence, alors qu'elle pensait à son prince charmant et à cette vie qu'il lui offrirait un jour. Une vie heureuse, pleine d'émotions, pleine de joies, de soutien. Aujourd'hui, elle est persuadée de l'avoir trouvée, à la différence prêt que cet amour là lui avait apporté plus de douleur que de joies, plus de solitude que de soutien. Qu'importe, elle avait décidé que se concentrer sur l'amour n'était plus une option pour elle, que compter sur soi même était la seule et unique solution pour se rendre heureuse, être épanouie un jour. Expliquer tout ça à Sergio n'aurait eu aucun intérêt. Ça n'en aurait eu pour personne, d'ailleurs, aussi, elle avait répondu le plus simplement du monde à la question qu'il venait de lui poser sur sa situation amoureuse. Je ne saurais me plaindre d’avoir toute votre attention concentrée sur la soirée pendant encore trois jours. Un sourire et elle acquiesçait ses paroles d'un simple geste de la tête avant de s'intéresser à lui. A son tour de répondre à ses questions et de s'exposer sur sa vie privée, si c'était sur ce terrain là qu'il voulait aller. L'écossaise refusait d'être la seule à devoir se dévoiler ici. Un divorce m’a suffi. Je suppose que je ne vois pas l’intérêt à poursuivre des projets de vie qui ne collent pas à mes aspirations. Un divorcé. Voilà sans doute pourquoi il n'était pas vu plus de deux fois au bras d'une même femme lors des soirées mondaines, pourquoi il paraissait si libre et même indomptable. Il misait sur sa propre personne et sur sa carrière et en cela elle ne pouvait que le comprendre : dans ce domaine on ne peut se fier qu'à soi même, aux contrats à son travail. Je ne peux que comprendre. Quelques mois en arrière encore, Lena n'aurait pas compris. Elle aurait vu les choses différemment, nuançant plus ses propos. Aujourd'hui elle était convaincue que tout n'était qu'une question de choix et qu'en faisant celui de se concentrer sur son travail, elle n'avait plus le temps de songer à quoi que ce soit d'autre. Mais selon mon expérience, le temps est quelque chose qui se trouve toujours. Il faut juste se montrer stratège. Par exemple, je suis certain que vous pourriez mêler le professionnel à l’agréable durant la soirée. J’ai bien en tête quelques partis étonnamment agréables. Voir Sergio poser des questions sur un homme qui pourrait partager sa vie suscitait plusieurs questions dans la tête de la blonde. D'abord méfiante sur ses intentions, elle n'y prêtait bien vite plus attention lorsqu'elle pensait avoir compris qu'il était simplement coincé dans les standards patriarcaux de la société. Une femme devait se trouver un homme et fonder une famille avec, voilà ce qu'on attendait d'elle aussi - ce qu'elle s'en disait, tout du moins. Mais cette vision là de la vie était désormais à l'opposée de celle qu'elle se faisait de son avenir. Elle ne se braquait pas pour autant, s'amusant plutôt des réflexions de son client. Je n'ai aucun doute sur le fait que vous avez des invités de qualité, mais promettez moi de ne pas jouer les entremetteurs. Qu'elle lançait sur le ton de l'humour pour ne pas le vexer mais en étant tout à fait sérieuse en réalité. Il était hors de question qu'elle ne laisse Sergio faire des présentations avec des hommes, peu importe à quel point ils pouvaient être des bons partis. Même si elle était à la recherche d'une moitié, elle ne se serait jamais laissée guider par une situation sociale ou l'image de quelqu'un. En dehors d'un manque de temps évident pour m'intéresser à ma vie amoureuse, c'est aussi par manque d'intérêt que je n'ai personne. Qu'elle finit par avouer. Des détails, il n'en aurait pas. Mais les sous entendus étaient assez présents dans le ton de sa voix pour que Sergio ne comprenne qu'elle avait traversé certains obstacles et mis son cœur à rude épreuve. Vous qui avez divorcé, je suppose que vous ne pouvez que trop bien comprendre que les relations de couple ne sont pas toujours faciles à gérer. Elle estimait qu'il pourrait compatir mais se trompait peut-être. Après tout, elle ne connaissait rien de cet homme qui lui faisait face ou de son passé. Je préfère me concentrer sur mes propres aspirations - pour reprendre ses mots - et sur des liens moins.. contraignants. Son ton taquin soulignait la multitude de sous entendus que cachait cette phrase. Si elle ne pouvait pas garantir qu'il pouvait la comprendre sur la complexité de l'amour, elle avait le sentiment qu'il avait l'habitude de côtoyer des femmes sans attaches. Que pensez vous de terminer la dégustation ? Il fallait bien se remettre à travailler après cette digression. A moins que Sergio n'ait autre chose en tête ?
i'm not asking for a lot just that you're honest with me. my pride is all i got. please have mercy on me, take it easy on my heart even though you don't mean to hurt me, you keep tearing me apart. would you please have mercy ?
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
There's two sides to every story but I don't know how this one ends. You want fire and you want glory but there's a struggle that lies within
S’il s’était rapproché de Lena initialement, c’était à cause de cette curiosité morbide qui lui faisait se demander ce qu’elle pouvait bien faire avec Rudy. Quel genre de jeune femme elle était, pour réussir à faire vivre ce couple improbable. Un moyen maladroit d’en savoir plus sur son fils ou un élan de méfiance, Sergio n’aurait su dire. Dans tous les cas, cet argument tombait à l’eau. Les deux jeunes gens n’étaient tout simplement plus ensemble, avaient fait route à part. Et alors qu’il creusait subtilement pour essayer de connaître davantage la blonde, le mexicain réalisait combien tout ceci était insensé. Lena ne l’intéressait pas pour sa faculté à avoir supporté l’aîné Gutiérrez, à un moment donné. Mais surtout pour sa forte tête, cette conscience professionnelle qui restait dans un coin de son esprit et faisait qu’elle ne se démontait face à rien. Sans même parler de son travail qui semblait avoir été accompli à la perfection, chaque mot, chaque réaction, chaque attitude semblaient savamment réfléchis. Elle était bien plus maligne que ce qu’il aurait pu attendre de prime abord, et lentement, l’esprit du patriarche se retournait vers leurs carrières respectives et ce qu’il pourrait potentiellement apporter à la jeune Edwards. Après tout, même si son choix de prestation avait été influencé cette fois-ci, Sergio continuait d’avoir besoin de personnes à qui faire confiance dans le monde de l’événementiel. Il était bien capable d’organiser de telles soirées, possédant déjà cette expérience de sa carrière passée. Mais il n’avait juste plus le temps à consacrer à ces activités. Ce n’était pas pour rien que l’organisation en événementiel était un travail à temps plein.
Il eut un rire en secouant la tête à la mention de son rôle d’entremetteurs. Il captait parfaitement ce qu’elle voulait dire derrière ; elle n’avait pas en tête d’être casée par qui que ce soit. A vrai dire, ce serait même insultant de présenter l’organisatrice de la soirée comme une jolie poupée célibataire. Il ne ferait pas cela. « Ce n’était pas ce que je voulais dire. Disons juste que ces soirées peuvent être d’un ennui mortel si vous tombez sur le mauvais groupe. A moins que vous soyez une grande amatrice de golf et ayez envie d’écouter des riches prétentieux vanter leurs derniers parcours, vous aurez envie de tomber sur les invités un peu plus… modernes et divertissants. Ceux qui admettront volontiers avoir passé leur soirée précédente devant Netflix, ou qui ont déjà pris un bus dans leur vie par exemple. » Le mexicain avait bien conscience d’aller directement au cliché. Mais la vérité n’était jamais loin. Les concours d’ego étaient extrêmement fréquents à ces événements. Ce qui sonnait terrible n’était malgré tout rien en comparaison des conversations féminines, où la réussite se résumait aux efforts de leur progéniture. Les mensonges étaient toujours plus simples à déterminer ici. Il suffisait d’écouter ; l’enfant qui avait obtenu la meilleure note, accédé à l’université la plus prestigieuse ou fait ses nuits le plus tôt était certainement un tissu de mensonges. « L’autre raison, c’est que l’un des meilleurs conseils que j’aurais pour percer dans le milieu, c’est de vous créer un réseau professionnel. Croyez-moi, certains invités pourraient vous être utiles. Et donc, puisque nous ne sommes pas en compétition, je ne perdrais rien à vous les présenter. Vous ne devez rien à personne, dans tous les cas. » Ce n’était pas une offre avec condition.
Dans ces circonstances, il était compréhensible que la vie amoureuse ne trouve guère de place, et Sergio ne put que hocher la tête en signe d’assentiment. Combien de fois avait-il reculé face à la perspective d’une relation sérieuse, juste car il savait pertinemment ne pas être prêt pour ce genre d’engagement ? Maritza occupait toujours son cœur. Elle était probablement la raison qu’il sortirait jusqu’à la fin de ses jours pour reculer face à ce genre de responsabilités. Mais l’autre argument était surtout qu’il était un homme occupé, obnubilé par ses propres activités. Il n’avait pas assez d’heures dans une journée pour accomplir tout ce que ses projets en cours lui demandaient. Il ne serait pas capable d’entretenir un couple dans cette configuration. Se lancer dans une relation vouée à l’échec serait une perte de temps. Pour lui, pour elle, pour tous leurs efforts en vain. « Je pense que les liens moins contraignants sont un bon compromis. » Il s’en amuse en plongeant à nouveau les lèvres dans sa flute de champagne, admettant volontiers son goût pour ce genre de relations éphémères. Lena avait trop de potentiel pour le gaspiller avec les mauvaises personnes. Sergio ne poserait pas davantage de questions à ce sujet ; il avait eu ce qu’il voulait savoir. Quoiqu’il se soit passé avec Rudy, c’était terminé, ne valait plus la peine d’être ressassé. Alors il hocha la tête, se retournant vers le buffet qui n’attendait qu’à être terminé par leurs soins. « Faisons cela. Inutile d’y passer la nuit. » Ils subiraient la soirée de plein fouet dans trois jours. Ce serait déjà bien assez suffisant.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.