Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. « Je dois partir, Gabrielle ». Les mots résonnent dans le vaste salon alors qu’elle essaye de comprendre pourquoi il adopte, depuis le début de la soirée, ce petit air abattu. Il n’est pas comme d’habitude, il semble ne pas être totalement présent, son sourire semblant fade et triste. Elle n’a pas voulu lui demander en plein milieu du dîner quand, pourtant, elle l’a remarqué. Peut-être avait-t-elle conscience des raisons, au fond, et qu’elle a voulu éviter le moment fatidique au maximum ? Parce qu’elle savait que, tôt ou tard, il finirait par lui dire des mots pareils. Parce que c’était prévisible, parce qu’elle savait que sa vie n’était pas ici. Elle n’avait pas envie de se rendre à l’évidence. Mais, maintenant, elle n’en a plus le choix. Elle se retrouve devant le fait accompli et doit affronter cette vérité. Celle qui explique pourquoi il était déjà en partie absent ce soir… Elle aimerait pouvoir se terrer dans un trou, ignorer cette réalité quand, malgré tout, la soirée a été parfaite, une fois de plus. La dernière. La dernière parce qu’elle sait qu’il doit partir. Gabrielle ne lui demande pas mais elle sait que c’est très certainement un appel lié au Walker group, sûrement un appel au secours de sa mère qui n’arrive plus à gérer, qui a réellement besoin de lui pour bientôt prendre la relève dans ce rôle qui ne lui appartient pas pourtant. « J’ai reçu l’appel ce matin et je dois rentrer au plus vite ». Son visage se décompose, son sourire s’évanouit aussi vite qu’il est apparu lorsqu’il a passé le pas de la porte quelques heures plus tôt. Elle ne le quitte pas du regard et cherche peut-être avec espoir qu’il ajoute qu’il ne compte pas y aller. Mais il n’y a pas de suite et c’est ce qui va lui tordre un peu plus le ventre. Se rendre compte qu’ils approchent de la fin de cette relation sur laquelle ils n’ont jamais posé de mots mais qui les rendait heureux… Du moins, pour elle, c’est certain. Elle entrouvre la bouche, comme pour réagir, mais elle n’y arrive pas. Elle le regarde lui tourner le dos, alors qu’elle reste, elle, statique « Je voulais te le dire en arrivant, je n’y suis parvenu » « Tu aurais dû, Chan’… » dit-t-elle dans un murmure triste. Elle prend une inspiration et vient alors à le contourner pour lui faire face « Quand est-ce que tu dois partir exactement ? ». Elle a envie de saisir sa main, elle a envie de sentir cette proximité entre eux qui était encore présente quelques minutes plus tôt, mais elle n’ose pas. Jusqu’à ce qu’elle ne sache pourquoi, un pas de plus la rapprochera de lui, et qu’elle susurrera, sans prendre le courage cependant de le regarder droit dans les yeux, son regard fixant le sol « Ne pars pas… ». Un appel qu’elle lui lance, celui de ne pas partir, de rester à ses côtés. Tant pis, elle prend le risque parce qu’elle ne supportera pas de le voir tourner les talons définitivement. Ils n’ont jamais eu le courage de s’avouer leurs sentiments, mais ce soir lui semble être ce soir ou jamais.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Les mots qui s'échappent de ses lèvres lui coûtent. Ils lui semblent irréalistes quand pourtant, les amants le savaient dès le départ. Leur relation ne serait qu'éphémère, volage, le temps de son séjour à Los Angeles. Dans le meilleur des cas, Channing aurait dû partir dans quelques mois, mais il allait devoir partir quand même. Ils le savaient, et pourtant cela n'était pas plus simple pour autant. Pas quand tous les moindres moments qu'ils passent ensembles sont parfaits, pas quand leurs éclats de rire sont si purs et leurs regards si amoureux. Quand l'héritier a rencontré Gabrielle ce soir là dans ce nightclub, il était loin de se douter des ravages que la brune allait faire sur lui. Il était loin d'imaginer le bonheur qu'elle allait lui apporter, la beauté de la relation qu'ils allaient vivre, l'espoir en l'amour qu'elle allait faire renaître en lui. Comment aurait-il pu le savoir ? Pourquoi y aurait-il cru en posant ses yeux pour la première fois sur cette superbe silhouette seule au bar, celle qu'il a abordé comme il en a abordé bien d'autres auparavant. S'il avait su, Channing aurait sûrement davantage soigné son entrée. et même s'il se dit en la regardant qu'il aurait pu être meilleur, il ne changerait pourtant pas le moindre détail de leur histoire. Non, parce-que les quelques imperfections sur leur chemin ont contribué à leur manière à faire de cette réalité la leur, et qu'il ne regrette rien. Il n'a pas une once de remord en la regardant, pas le moindre soupçon de culpabilité. Il a été heureux, et il aimerait l'être encore si seulement elle lui demandait de rester. « Tu aurais dû, Chan’… » Pourtant, elle lui fait un reproche. Celui de ne pas lui avoir dit ce matin en toquant à sa porte que ce serait la dernière fois. La dernière fois qu'elle verrait son visage sur son seuil, la dernière fois qu'il l'attendrait sur son lit en la regardant se préparer, la dernière fois qu'ils s'embrasseraient un peu plus tard dans la soirée. « Quand est-ce que tu dois partir exactement ? » Son regard est attiré par l'ombre de la demoiselle alors qu'elle vient à le contourner pour lui faire face. Il s'hydrate lentement les lèvres avant de relever son regard vers le sien. « J'ai un avion dans quatre heures. » souffle t'il tristement alors que leur proximité lui donne envie de la serrer contre lui. De ne pas la laisser partir, de la sentir au creux de ses bras, de la garder égoïstement pour lui. Il la regarde en silence, cherchant ses yeux, entrouvrant les lèvres avant qu'elle ne l'interrompe dans son élan. « Ne pars pas… » Un moment d'absence. de réalisation. Il ne bouge pas tout de suite, percutant, les quelques mots résonnant en écho dans ses pensées. Soudainement, ses épaules s'allègent et s'affaissent, le soulagement détend ses muscles et son visage s'égaye pour chasser la tristesse et la résignation. Ses mains viennent se poser sur les joues de la brune, prenant son visage en coupe et le lui redressant pour plonger son regard dans le sien. Il ne dit rien alors qu'il sourit avec bonheur en la regardant, venant l'embrasser tendrement sans lui laisser le temps de rajouter quoique ce soit. Ses lèvres sont chastes mais rassurantes sur les siennes alors qu'il se recule légèrement à nouveau pour pouvoir la regarder. « Je ne veux pas partir. » avoue t'il en caressant sa pommette de son pouce. « Je ne veux pas te quitter, Gaby. J'attendais simplement que tu me demandes de rester. » souffle t'il à voix basse, son regard faiblissant alors qu'il est timide mais honnête. Il parle à coeur ouvert, pour la première fois depuis trop longtemps, avant de l'attirer doucement à lui en lâchant son visage. Ses bras s'enroulent autour d'elle alors qu'il la serre tendrement contre lui, réfugiant sa tête dans son cou. Elle lui a demandé de rester quand lui était trop terrifié pour le faire, elle a fait le grand saut et lui la rattrape. Son coeur tambourine et il a presque peur qu'elle l'entende. Mais le feu d'artifice qui s'orchestre à l'intérieur de lui, Gabrielle en voit le reflet dans ses yeux si elle regarde bien. « Je ne veux pas rentrer à Brisbane, pas si tu n'es pas avec moi. » il se recule pour la regarder à nouveau, ses mains restant sur sa taille. Le Walker Group l'attend en Australie, mais Channing ne le rejoindra pas. Pas si Gabrielle préfère vivre ici, ce qu'il acceptera en se choisissant lui plutôt que l'empire familial.
rainmaker
why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. Gabrielle est incapable de le voir passer le pas de sa porte. Si elle était sûre qu’elle le retrouverait le lendemain ou quelques jours plus tard, comme de nombreux soirs où ça avait été le cas, elle le laisserait s’échapper. Mais pas ce soir. Apprendre qu’il devait rentrer à Brisbane, ville qui se trouve sur un autre continent, quand une responsabilité aussi grande que la direction d’un grand groupe international l’y attendait, l’effrayait car elle savait qu’il ne repasserait jamais le pas de sa porte. Ce soir marquait la fin de leur histoire, une histoire sans nom, une histoire sans étiquette mais une histoire qui comptait. Une histoire dont elle a encore envie d’écrire de nombreuses pages, de nombreux chapitres à ses côtés. Parce que Channing Walker est devenu bien plus qu’une simple histoire sans lendemain et ça depuis des mois. Même si les sentiments ont toujours été bien gardés secrets, ils sont bel et bien réels et présents dans son cœur. Si elle n’est pas du genre à les exposer et à les dévoiler avec facilité, ce soir, pourtant, elle prendra son courage à deux mains pour le faire. Elle ne le clame pas haut et fort mais le message est similaire quand elle a l’audace de lui demander de ne pas partir. Elle espère qu’il comprendra le message subliminal qu’elle lui envoie en lui faisant une telle demande alors qu’il doit prendre un avion dans quatre heures. Elle espère du plus profond de son être que cette requête le fera changer d’avis et surtout, le fera rester à ses côtés. Gabrielle prend le risque, incapable de le regarder dans le blanc des yeux alors qu’elle l’a contourné pour lui faire face alors qu’il lui tournait le dos. Sa demande est à peine audible et pourtant, elle a osé la faire. S’il refuse, elle n’insistera pas. S’il refuse, elle l’acceptera. Elle en souffrira, mais elle ne pourra pas se blâmer de ne pas avoir essayé. Les cartes sont désormais dans les mains de Channing, dont la réaction se fait quelques peu attendre. Elle n’ose toujours pas relever le regard, de peur de l’avoir effrayé par sa demande, lui qui pensait sûrement que leur relation n’était qu’un simple amusement. Il y a eu pourtant beaucoup de gestes de sa part, à défaut des mots, qui lui ont montré qu’elle comptait dans sa vie. Mais les faux semblants sont aussi faciles dans ce monde. Gaby sent alors les mains de Channing sur ses joues, l’obligeant à relever la tête et surtout à trouver son regard. Le sourire qu’elle entrevoit sur ses lèvres fait que son cœur s’accélère un peu plus dans sa poitrine. Non pas de peur, mais de soulagement. Parce qu’elle sent à cet instant, par ce simple sourire et ce simple échange de regard qu’il va rester à ses côtés. Le baiser qu’il lui donne ne fait que le confirmer. L’avocate reste stoïque, le laissant mener la danse, savourant ce baiser, sans rien dire, sans rien ajouter. « Je ne veux pas partir ». C’est enfin sur les lèvres de la jeune femme qu’un sourire fait son apparition, les mots la rassurant davantage. « Je ne veux pas te quitter, Gaby. J’attendais simplement que tu me demandes de rester ». Si tout à l’heure, ses mots ont eu l’effet d’une bombe, désormais, elle se sent plus légère, apaisé. Il attendait un mot, un geste de sa part pour prendre sa décision. Le et si effleure alors l’esprit de la jeune femme : et si elle ne lui avait pas demandé de rester. Serait-t-il parti ? Au point qu’autant l’un que l’autre aurait eu des regrets ? A un point où ils auraient certainement été amenés à se détester ? Elle ne préfère pas y penser pour le moment quand il vient à la prendre contre lui pour lui offrir une étreinte, enroulant elle aussi ses bras autour de sa taille, posant sa tête contre son torse. Elle entend son cœur dans sa poitrine, un battement qui l’apaise même si celui-ci semble battre un peu trop vite, suite à l’émotion de ce moment fort sûrement, l’émotion de ce moment qui marque un tournant certain dans leur relation. « Je ne veux pas rentrer à Brisbane, pas si tu n’es pas avec moi ». Cette fois, c’est sa main à elle qui viendra trouver sa joue, la caressant tendrement, un sourire sincère étirant ses lèvres « Alors reste ». Elle se met sur la pointe des pieds, passant ses bras autour de sa nuque pour lui offrir à son tour un baiser, alors qu’elle se plaque un peu plus contre lui tout en s’exécutant. Comme si elle ne souhaitait plus envisager cette possibilité, comme si elle ne pouvait plus envisager de le voir la quitter. Les quelques secondes, les quelques minutes de doute lui ont suffit pour se rendre compte à quel point elle tenait à lui. Elle se recule, caressant le bas de sa nuque avec son pouce, fermant les yeux quelques instants « Tu en doutais ? », amorce-t-elle d’abord alors qu’elle réouvre les yeux pour trouver son regard « Tu doutais que je puisse te demander de rester ? ». Gabrielle sait qu’elle ne lui a jamais démontré ce qu’elle ressentait, la malice étant son masque, celui qu’elle a utilisé bien de nombreuses fois pour camoufler ses sentiments pour lui, pour détourner les questions dérangeantes, qui l’aurait obligé à se mettre à nue. Mais il en était de même pour lui. D’ailleurs, une certaine malice réapparait dans son sourire « Il semblerait que je ne puisse plus me passer de vous Monsieur Walker… A un point où je suis incapable de vous laisser partir… ». Elle se détache un peu, une main se baladant contre son torse « Mais, la véritable question est : est-ce qu’il en est de même pour vous ? ». Parce que lui demander de rester a déjà été une étape difficile à franchir pour elle, s’en est une autre que de lui avouer la première les réels sentiments qu’elle peut ressentir à son égard. Alors, par la malice et ses questions, elle espère que, cette fois, c’est Channing qui s’ouvrira et osera faire le premier pas…
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
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Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Une seconde durant, il pense avoir rêvé. Il pense tellement vouloir entendre ces quelques mots qu'il les imagine, il redoute que Gabrielle n'ait pas ouvert la bouche et qu'il ait halluciné. Mais la brune les a bel et bien prononcés, la requête a bel et bien été faite à voix haute et elle est bien entrain de lui demander de rester à ses côtés. Ce n'est pas une illusion, et il doit se reconnecter à la réalité alors qu'il laisse involontairement le silence s'installer à la suite de sa déclaration. L'héritier rectifie le tir en lui redressant le visage pour venir l'embrasser, l'attirant à lui pour l'étreindre et plus important encore parler finalement à son tour. Il chasse les doutes et les non-dits, la rassure et la conforte dans son aveu en daignant enfin communiquer. Que se serait-il passé si elle n'avait pas pris le risque ? Channing frisonne à la pensée. Il aurait franchi sa porte et serait monté dans sa sportive sans un regard en arrière, trop terrifié à l'idée de revivre ce scénario qui a laissé une cicatrice indélébile sur son coeur. Il n'aurait pas osé prendre le risque de ruiner ces deux dernières années en voulant prolonger l'idylle, il en aurait été incapable et il aurait laissé la demoiselle derrière lui. Il l'aurait laissée, elle et leur histoire et son coeur tambourine un peu plus fort face à cette inévitable conclusion. Le Walker se résout à fermer les yeux après avoir soufflé ces derniers mots, l'enlaçant et inspirant son parfum pour se calmer. C'est réel, elle est ici et sincère alors arrête de tout gâcher en réfléchissant trop. Il a passé l'âge de réagir de la sorte, et pourtant il a l'impression d'être un adolescent. Celui qu'on a poussé vers la plus belle fille du lycée pour lui demander de l'accompagner au bal de promo, et que maintenant que cette dernière a accepté son coeur s'affole et les mots ne viennent plus. Heureusement pour lui, Channing se reprend assez vite malgré les turbulences qui persistent en son fort intérieur. « Alors reste » Sa main se pose sur sa joue et le contact l'aide à se reconnecter à la réalité. Il sourit doucement alors qu'elle les noue ensuite dans sa nuque, se rapprochant de lui alors qu'il vient la soutenir à la taille. Ses lèvres viennent brosser les siennes à nouveau et il la laisse à son tour guider le baiser, savourant le moment avec gourmandise. et dire que quelques minutes plus tôt, il craignait de ne plus jamais la revoir… Elle se recule, son front s'appuyant sur le sien et l'héritier garde les yeux clos. Il caresse tendrement sa taille, profitant des caresses qu'elle exerce dans sa nuque, avant que sa voix ne résonne à nouveau dans la pièce à vivre. « Tu en doutais ? » La distance qui est réinstauré entre eux est juste suffisante pour leur permettre de se regarder. Ses sourcils s'interrogent, et Gaby reprend pour apporter davantage de précisions. Channing pense à tellement de choses qu'il préfère attendre des éclaircissements sur ce que désigne la brune. « Tu doutais que je puisse te demander de rester ? » Son regard danse dans le sien et ses lèvres se pressent chastement entre elles alors qu'il hoche lentement la tête, sans doute un peu timide. L'avocate a fait un pas énorme vers lui, et c'est la moindre des choses à ses yeux d'en faire à son tour en abandonnant l'idée de se cacher derrière du charme et des taquineries. Channing réouvre prudemment les portes de son coeur. « Oui. J'espérais que tu le fasses, mais je n'avais pas de certitude. » avoue t'il en soutenant son regard. Sa main remonte près du visage de la demoiselle pour chasser délicatement une mèche de son regard, la plaçant doucement derrière son oreille avant de replacer sa main à sa place initiale. C'est étrange pour lui de songer à se considérer à nouveau en couple, pas que cela change quoique ce soit entre eux. Ils se comportent depuis de longs mois comme tel, exclusifs et possessifs l'un avec l'autre. Mais ils sont sur le point de se le dire, droit dans les yeux. « Il semblerait que je ne puisse plus me passer de vous Monsieur Walker… A un point où je suis incapable de vous laisser partir… » Elle s'arme à nouveau de sa malice et de sa séduction, se reculant un peu tout en laissant sa main trainer sur son torse. Son sourire s'amuse et il hausse d'un air faussement nonchalant les épaules. « Mais, la véritable question est : est-ce qu’il en est de même pour vous ? » Son regard l'a fuit une seconde durant, mais il revient rapidement sur elle alors qu'il attrape doucement sa main pour l'attirer à nouveau à lui. Channing a toujours été le premier à se plaire dans ces petits jeux du chat et de la souris, mais dans l'immédiat il la veut près d'elle et pas à quelques mètres entrain de le narguer. « Mademoiselle Strange… trêve de plaisanteries. » Souffle t'il d'un ton amusé et sérieux à la fois. « En doutez vous ? » Il est malicieux mais son regard est clair. Il marque une pause, rassemblant son courage avant de prendre un ton de voix doux et sincère. « Je veux que tu partages ma vie, Gabrielle. Pas uniquement mes nuits ou quelques après-midis. » Il caresse doucement ses doigts des siens. Le moment est important, il pense ses mots et met de côté quelques secondes sa fierté. Celle derrière laquelle il se cache pour se protéger de ses sentiments. « Je ne veux pas rester ici à Los Angeles si c'est pour être ton amant. Je veux être plus que ça Gaby, je veux qu'on soit plus que ça. » Il parcourt son regard avec intérêt, cherchant à y déceler les moindres émotions qui traversent la brune. et par pitié, calme moi ce coeur qui tachycarde Channing.
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Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. Il aurait tous les droits d’en douter quand elle n’a jamais pris la peine de lui montrer ce qu’elle ressentait vraiment. Gabrielle est restée bien trop avare en sentiments à l’égard de Channing alors que, pourtant, ils existaient. Elle ne les a jamais exprimés à voix haute, par peur d’être déçue, par peur que cela ne soit pas réciproque. La peur aussi de le faire fuir quand elle appréciait et apprécie toujours chaque instant passé à ses côtés. Alors, égoïstement peut-être, elle s’est tut et a profité, jusqu’au bout, du temps qui leur restait. Parce que le temps leur était compté. La preuve ce soir quand il lui annonce qu’il doit partir et rentrer à Brisbane. Mais elle n’est pas prête à le voir partir. Gabrielle ne se sent pas capable de le laisser partir et c’est pour ça qu’elle lui demande de rester. Et si elle aurait pu le regretter en se prenant un refus total de la part de Channing, qui aurait pu refuser de rester à ses côtés, c’est l’inverse qui se produit. A son grand soulagement. Il attendait tout simplement qu’elle lui en fasse la demande. Et elle se dit que si elle ne l’aurait pas formulé, ils auraient eu autant l’un que l’autre des regrets. Ceux de se séparer par défaut alors qu’aucun des deux ne le voulait… Ses lèvres viennent trouver les siennes quelques secondes encore alors qu’il hoche doucement la tête, ce qui ne manque pas de la faire sourire « Oui. J’espérais que tu le fasses, mais je n’avais pas de certitude ». Elle ne peut pas le contredire, mais elle aurait aimé aussi qu’il ait à son tour le courage de lui demander de le suivre. Son regard se perd quelques instants dans le sien alors qu’il vient à replacer une mèche de cheveux derrière son oreille, la rendant muette. Ce n’est que de courte durée lorsque la malice vient à reprendre le dessus pour lui demander s’il tient à elle autant qu’elle tient à lui. Parce que c’est ce qu’elle lui démontre ce soir en lui demandant de ne pas partir. Tout est finalement implicite, mais elle aimerait entendre certains mots sortir d’entre ses lèvres pour se sentir totalement rassurée. Elle instaure une certaine distance et pourtant Channing vient à lui attraper la main pour l’attirer à nouveau à lui. « Mademoiselle Strange trêve de plaisanteries (…) En doutez-vous ? ». Elle hausse à son tour les épaules comme il a pu le faire quelques secondes auparavant, son sourire se faisant faussement innocent alors qu’elle plonge son regard dans le sien et qu’elle sent son cœur s’accélérer. La crainte, la crainte des mots qu’il va pouvoir prononcer, la crainte de ce moment qu’elle attend depuis plusieurs semaines maintenant. Et vu l’air qu’il vient à adopter avant de reprendre la parole, elle sait que ce moment arrive, enfin… « Je veux que tu partages ma vie, Gabrielle. Pas uniquement mes nuits ou quelques après-midis ». Sa malice s’estompe, disparaissant pour laisser place à une mine plus sérieuse. Les mots la touchent, bien plus qu’il ne pourrait certainement l’imaginer, à un point où elle sent sa gorge se serrer et les larmes lui monter, mais qu’elle préfère contenir. Son regard ne lâche plus le sien « Je ne veux pas rester à Los Angeles si c’est pour être ton amant. Je veux être plus que ça Gaby, je veux qu’on soit plus que ça ». Ils veulent la même chose et elle se rend compte que pendant des mois, ils ne se sont pas laissé l’opportunité de s’exprimer sur ce qu’il ressentait vraiment. Au point où ils se sont privés de cette possibilité d’être un couple, officiellement, même si leur quotidien ressemblait sans nul doute à celui d’un couple. Gabrielle reste silencieuse quelques instants, se perdant dans le regard de Channing, alors que le sien est brillant. Elle tente de retrouver contenance alors que ses lèvres se délient enfin, resserrant la main du jeune homme dans la sienne « Je le veux aussi » dit-t-elle dans un murmure. Elle s’approche, passe à nouveau ses bras autour de sa nuque « Et je le veux depuis longtemps… Tu me combles de bonheur depuis des mois, Channing. Je veux être celle qui partage ta vie, je veux que tu sois mien… » parce que je t’aime… elle ne dira pas, marquant une pause dans sa phrase à la place « Ce que je ne veux plus ce sont les non-dits qui finiront par nous éloigner… et auront raison de nous ». Ses lèvres viennent trouver les siennes, tendrement, sa langue venant se mélanger à la sienne alors qu’elle se presse encore contre lui, que son étreinte se resserre davantage, le baiser devenant plus passionné. Il dure quelques instants ce baiser, et, lorsque leurs lèvres s’éloignent, elle murmure à nouveau, fermant les yeux « Je ne supporterai pas de te voir partir, Chan… Parce que… je tiens à toi ». Elle s’ouvre, elle ne l’a jamais fait auparavant ou, si elle l’a fait, c’est la déception qui a suivi. C’est peut-être pour ça que ses yeux sont clos, par peur d’affronter la réalité, par peur de la déception même si, désormais, les doutes quant à leurs sentiments réciproques n’ont plus raisons d’être.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
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WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Les mots sont timides mais sincères sur ses lèvres. L'héritier veut se persuader qu'il n'a plus rien à craindre, que Gabrielle ne lui demanderait pas de rester si elle n'était pas certaine de tenir à lui, pourtant la crainte persiste. La peur de faire une bêtise en abandonnant tout pour elle, la peur de regretter dans quelques mois ou quelques d'années d'avoir tourner le dos au Walker Group pour une femme. Mais la brune n'est pas une conquête ou une amourette, Gabrielle est bien plus que cela, et il ne demande qu'à l'entendre de sa bouche. Il ne demande qu'à être rassuré, conforté dans sa prise de décision et son choix. et pour encourager la demoiselle, il s'ouvre, parlant à coeur ouvert sans la quitter des yeux. Pesant ses mots alors qu'il voit la malice disparaître de ses traits et ses yeux s'humidifier, souriant un peu en comprenant la portée de ses paroles. Il la touche, et c'est exactement ce qu'il veut. Il veut la marquer, parler à son coeur, il veut qu'elle comprenne à quel point il ne voit qu'elle et à quel point il est éperdument amoureux. Amoureux au point de venir s'installer définitivement à Los Angeles, amoureux au point de quitter sa ville natale et son empire. Channing est d'un ordinaire réfléchi et sage, mais pas quand ses sentiments s'en mêlent. Il a cette fâcheuse tendance à s'offrir corps et âme dans les relations auxquelles il s'essaie, à être celui qui aime le plus et celui a en payer les frais. Pas que cela l'empêche de céder à l'envie de réessayer, à l'envie de vouloir être heureux. Depuis plusieurs minutes maintenant la californienne est silencieuse, son regardant dansant dans le sien alors qu'il attend qu'elle prenne la parole. Il pourrait la taquiner, faire une remarque quelconque sur le fait qu'elle soit muette mais il n'y songe même pas. Sa main se resserre sur la sienne et il la rassure d'un sourire doux. « Je le veux aussi » Gaby s'approche pour nouer ses bras à sa nuque et il la laisse faire, ses mains se rejoignant dans le bas de son dos. « Et je le veux depuis longtemps… Tu me combles de bonheur depuis des mois, Channing. Je veux être celle qui partage ta vie, je veux que tu sois mien… » Longtemps.. combien de temps ? Depuis quand s'abstiennent-ils de révéler leurs sentiments ? Channing serait sûrement incapable de répondre en y pensant. Mais il peut assurer que cela dure depuis trop longtemps. Elle laisse la fin de sa phrase en suspens et il ferme doucement les yeux pour s'imprégner du moment. Elle veut qu'il soit sien, de la même façon qu'il veut qu'elle soit sienne. Il ne pouvait espérer meilleur aveu de sa part, elle lui dit exactement ce qu'il veut entendre. « Ce que je ne veux plus ce sont les non-dits qui finiront par nous éloigner… et auront raison de nous » Ils auraient pu. Les non-dits auraient pu avoir raison d'eux et la pensée lui donne la nausée. Il aurait pu remonter dans sa voiture et disparaître à jamais de sa vie, et cela aurait été leur perte. Où aurait-il été dans deux mois ou un an s'il était parti ? Il ne veut pas le savoir. Elle interrompt le fil de ses pensées en venant l'embrasser, et le Walker s'adonne volontiers à ce baiser en laissant leurs langues se retrouver. L'instant s'éternise dans une danse pleine de promesses, une qui un peu plus tôt était inespérée, et ils se séparent à nouveau le coeur un peu plus léger. « Je ne supporterai pas de te voir partir, Chan… Parce que… je tiens à toi » Gabrielle est pudique de ses sentiments. Au moins autant que lui, et si leurs paroles échangées peuvent sembler légères face à la puissance de leurs sentiments il en est pourtant tout autre. Ce sont de véritables bombes qui s'échappent de leurs lèvres à chacune de leurs confessions, et le brun recule lentement son visage pour la regarder alors qu'elle garde les yeux clos. Il ne s'est jamais senti autant mis à nu devant elle que ce soir, et il a conscience que la perception de la situation est similaire de son côté. « Tout comme je ne supporterais pas de partir sans toi... Je tiens à toi aussi, Gaby. » avoue t'il alors que sa main est doucement venue à la rencontre de sa joue, en soutenant délicatement le poids alors qu'il caresse sa pommette à l'aide de son pouce. « Je ne vais nul part sans toi. » et, comme pour sceller ses mots, il se penche vers elle pour déposer un baiser sur son front. Baiser synonyme de l'importance qu'il lui accorde, de la tendresse et de l'amour qu'il lui porte, du besoin de la protéger qu'il ressent à son égard. Lorsqu'il se recule lentement, un sourire plus simple nait sur son visage. « et si on allait se reposer ? Je pense qu'on mérite de se mettre à l'aise pour finir cette soirée. » car à ses yeux, finir cette soirée en étant bercé par le son de sa voix est la plus belle fin qu'il puisse espérer.
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. « Tout comme je ne supporterais pas de partir sans toi… Je tiens à toi aussi, Gaby ». Entendre ces mots passer la barrière de ses lèvres la fait frissonner. Elle se rend compte qu’ils se sont retenus pendant tout ce temps alors qu’ils éprouvaient les mêmes sentiments l’un pour l’autre. Gabrielle aurait été incapable de le faire avant, la menace de son départ ayant eu l’effet d’un déclic chez elle qui l’a poussée à avouer ce qu’elle ressent. Enfin. Enfin quand ils se sont bien trop longtemps retenus, sans aucune raison apparente. L’avocate regrette qu’ils n’aient pas eu le courage de le faire plus tôt. Elle repense à ce weekend de juillet passé sur un yacht en sa compagnie, pour son anniversaire. Elle repense à ce songe qu’elle a eu, aux mots qu’elle aurait pu lui dire ce matin-là en se réveillant dans ses bras. Elle se souvient de cette vague de bonheur qui l’avait envahi alors qu’elle avait eu ce songe où elle était madame Walker. Si elle s’était servie de la malice pour lui partager ce rêve, elle aurait aimé lui dire, comme ils venaient de se l’avouer ce soir, qu’elle voulait être celle qui partage sa vie. Les sentiments qu’elle pouvait ressentir à son égard étaient bien trop forts pour ne pas être partagés. Elle s’en rend compte et même si elle ne parvient pas à aligner encore ces trois mots qui la titillent pourtant, elle parvient à lui dire qu’elle tient à lui. C’est une première chez la jeune femme, elle qui a toujours ce masque, celui d’une jeune femme qui ne se livre pas facilement, celui d’une jeune femme qui est d’apparence froide et n’offre pas son cœur à n’importe qui. Le passé l’a forgé de la sorte, le départ et l’éloignement d’avec ses frères l’ayant davantage aggravé. Mais avec Channing, ce soir, elle se laisse aller. Sans l’once d’un regret quand cette vague de bonheur l’envahie à nouveau, bien réelle cette fois. Son sourire s’élargit sur ses lèvres quand elle sent le pouce de Channing sur sa joue « Je ne vais nulle part sans toi » Et c’est tout ce dont elle a besoin d’entendre parce qu’elle ne veut pas le voir partir. Elle serait prête à le suivre s’il le fallait, elle serait prête à reconstruire sa vie à Brisbane s’il lui demandait. La naïveté semble soudainement s’emparer d’elle dans la folie du moment mais depuis des mois, elle se sent heureuse à ses côtés, alors à quoi bon se retenir ? Elle sent ce baiser réconfortant sur son front alors qu’il la serre tout contre lui, un baiser qui l’apaise, qu’il la conforte dans son choix de lui avoir demandé de rester. « Et si on allait se reposer ? je pense qu’on mérite de se mettre à l’aise pour finir cette soirée ». Elle acquiesce doucement alors qu’elle laisse tomber ses bras le long de son corps avant de glisser une de ses mains délicatement dans la sienne pour l’entraîner avec elle en direction de sa chambre à l’étage. Il connait le chemin mais elle le mène vers celle-ci comme au premier jour.
Et alors qu’ils sont dans les escaliers, elle se stoppe, vient à se retourner et avec une certaine fougue, elle vient à passer ses bras autour de sa nuque pour venir l’embrasser de la même façon. Ses mains viennent à descendre progressivement le long de ses épaules puis dans son dos avant de passer sous sa chemise. Elle interrompt le baiser aussi vite qu’elle l’a commencé, trouvant le regard de Channing avec malice « Est-ce que je prends la peine d’enfiler ce pull hideux Monsieur Walker ? », susurre-t-elle à son oreille, laissant ses lèvres déposer un baiser dans son cou. Et puis, ses mains trouvent le chemin des boutons de sa chemise, elle en défait un premier « Ou ce n’est pas… » elle en défait un deuxième mais se stoppe dans son geste « utile ? ». Comme si elle attendait un signal de sa part, elle ne le déboutonne pas, étant en suspens alors qu’elle se mordille la lèvre en regardant son amant, ou celui qui est, désormais, bien plus que ça. En réalité, elle n’attendra même pas une réponse de sa part, le tirant doucement par sa chemise à moitié ouverte pour finir de monter les escaliers et arriver dans sa chambre. Après avoir fermé la porte derrière elle, tout en restant loin de Channing qu’elle contourne, elle se dirige vers la baie vitrée laissant entrevoir une vue imprenable sur la verdure californienne et sa piscine dans le jardin en contrebas. « Alors, tu as fait ton choix ? » demande-t-elle alors qu’elle lui tourne le dos. Elle tourne légèrement sa tête pour le regarder, un sourire toujours présent mais dont la malice s’est évaporée quelques instants car elle se sent combler, heureuse et reconnaissante de l’avoir près d’elle quand elle a cru, pendant quelques secondes, qu’elle ne le verrait plus jamais…
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Ses épaules sont plus légères, son sourire plus large et son regard plus expressif. Il l'admire une seconde durant, l'air sûrement un peu béat tandis qu'elle acquiesce à sa requête. Ce soir, Channing va s'endormir en la serrant dans ses bras. Ce soir, l'avion qui va quitter Los Angeles pour Brisbane ne l'accueillera pas à son bord et l'héritier est terriblement heureux à l'idée de laisser son siège inoccupé. Il a eu l'estomac noué toute la soirée, a franchi la porte de la villa de l'avocate en pensant avoir à la refermer derrière lui quelques minutes plus tard quand elle le mettrait à la porte, et à la place de cela il est comme un idiot à la regarder tendrement. Elle veut qu'il reste, elle veut qu'il fasse officiellement parti son quotidien et qu'il soit sien. et il est ravi d'accéder à sa demande. Ses doigts fins se glissent dans sa paume alors qu'elle le prend par la main pour le guider jusqu'à sa chambre, et il la suit docilement. Il la laisse volontiers lui montrer le chemin, celui de sa chambre qu'il espère pouvoir considérer très prochainement comme étant la leur. Il la suit sans résistance ou malice, bien trop occupé à savourer l'instant avec gourmandise, son regard se baladant sur son dos. Elle est sienne, au même titre qu'il est sien et il réalisera sûrement plus facilement demain matin au réveil. Ils entament les escaliers, et alors que quelques marches les séparent encore de l'étage supérieur le Walker manque de tomber à la renverse sous la surprise. Il est tellement distrait, bêtement sur son petit nuage, que la fougue de la brune le fait redescendre maladroitement quelques marches et il se rattrape in extremis en réajustant son équilibre grâce au mur. Une main sur le mur et l'autre ayant gagnée la taille de la demoiselle, il lui rend son baiser de la même manière sans chercher à cacher l'amusement de son sourire. La sensation de bonheur qui le traverse est si sincère qu'il en frisonne, encouragé par les caresses qu'elle fait onduler sur sa peau. Son corps se rapproche du sien avant que le baiser ne soit interrompu, son souffle venant effleurer son oreille. « Est-ce que je prends la peine d’enfiler ce pull hideux Monsieur Walker ? » Son naturel n'a pas mis longtemps avant de refaire surface, et c'est un rire doux qui s'échappe de ses lèvres alors que sa tête se penche naturellement sur le côté sous le baiser qui s'égare sur sa peau. Gabrielle le connait par coeur, lui et ses faiblesses, et elle en joue à merveille alors qu'il s'abstient de répondre. « Ou ce n’est pas… » et progressivement, il sent ses doigts venir à la rencontre du col de sa chemise, et le premier bouton est lentement défait tandis qu'il plante son regard dans le sien. « utile ? » Ses dents jouent distraitement avec sa lèvre inférieure tandis qu'il la regarde mettre en action son petit numéro, ses doigts s'étant arrêtés en cours de route alors qu'elle semble à présent attendre qu'il se prononce. « don't bother. » souffle t'il, à voix si basse qu'il n'est pas sûr qu'elle l'ait entendu alors qu'elle l'entraîne cette fois-ci jusqu'à sa chambre. Il la suit en partant d'un rire, un qui retranscrit la joie qu'elle lui apporte, et la porte se refermera sur leur passage une fois la chambre atteinte. Elle rompt le contact, s'éloigne de lui comme elle affectionne si bien le faire après s'être joué de ses charmes, et il reste sur le seuil en appuyant son dos à la porte. Les boutons de sa chemise ont dégringolé dangereusement, ses cheveux se sont mal placés et il secoue doucement la tête en levant ses yeux au ciel alors qu'elle s'éloigne d'un pas félin. Cette femme lui ferait faire toutes les folies du monde. « Alors, tu as fait ton choix ? » Il se redresse en silence, enlevant ses chaussures qu'il laisse près de l'entrée. et c'est à son tour à pas de loup qu'il la rejoint, déboutonnant entièrement sa chemise qu'il laissera négligemment rejoindre le sol tout en continuant de marcher. En quelques pas seulement, il arrive dans son dos et lorsqu'elle tourne la tête pour le regarder ses mains se posent sur sa taille. « Est-ce que tu penses pouvoir te passer de lui ? » demande t'il d'une voix douce et sérieuse alors qu'il vient presser ses lèvres dans son cou, tâchant de ne pas laisser son sourire le trahir. « de ce pull que tu affectionnes tellement que j'ai peur qu'il me vole la vedette si tu l'enfiles. » Ses mains remontent le long de ses courbes, venant à la rencontre de la fermeture de sa robe alors qu'il laisse ses lèvres se pencher à son oreille. « J'ai pas envie de te partager, pas même avec ton vieux chiffon préféré. » souffle t'il cette fois sans tenir plus longtemps à dissimuler son amusement. Ses doigts abandonnent à contrecœur la fermeture éclair de la robe, et il vient la faire soudainement basculer dans ses bras dans un rire avant de la porter sur le lit. Il y bascule avec elle, de la même façon que lors de cette nuit inoubliable qu'ils ont passé sur un yacht pour fêter son anniversaire, et son regard vient à danser dans le sien. Il y a un moment de flottement, de tendresse et de simplicité, mais bientôt la ferveur refait surface alors que Channing plonge sur ses lèvres pour un baiser passionné.
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. Le jeu reprend progressivement sa place parce que c’est ce qui les définit le mieux. C’est peut-être ce qui la définit le mieux, elle, qui a revêtue ce masque un nombre incalculable de fois face à lui à défaut de s’être ouverte davantage. Ce soir, pourtant, elle a réussi à le retenir et elle est heureuse. Heureuse de se dire que c’est dans ses bras qu’elle va s’endormir ce soir, heureuse de se dire que leur relation va prendre un autre tournant à partir de ce moment. Ce moment où certains mots, aussi timides étaient-ils, ont laissé entendre qu’ils tenaient l’un à l’autre bien plus qu’ils n’ont pu se l’avouer jusqu’à présent. Et si bien des mots restent encore enfouis, elle espère que, petit à petit, pas à pas, ils parviendront à laisser leur cœur parler davantage. Pour le moment, c’est la direction de sa chambre qu’ils prennent, elle le guide à travers cette villa qu’il connait que trop bien et dans laquelle il risque de s’habituer à vagabonder. « don’t bother ». Bien sûr qu’une fois sa chambre atteinte, il n’y a aucun intérêt qu’elle enfile ce pull qu’elle aime tant mais que lui déteste davantage. Il n’y aura pas besoin d’enfiler quoi que ce soit, de prendre la peine de se changer pour une tenue plus agréable quand il est évident que leurs vêtements rejoindront rapidement le sol. A vrai dire, elle ne prête pas réellement attention à sa réponse, l’entraînant à nouveau avec elle, arrivant enfin jusqu’à sa chambre, dont elle fermera la porte, même si la maison est déserte et que personne ne viendra les déranger. Au lieu de se jeter sur son amant, devenu bien plus que ça ce soir, elle le contourne et se dirige d’un pas lent vers la grande baie vitrée. Au loin, les lumières de la ville, une vue qui l’apaise et peut-être la fait se sentir puissante, quand elle a bataillé pour en arriver là où elle en est désormais. Elle ne cherche pas le pouvoir, juste la reconnaissance et la fierté, celles qu’elle n’a jamais connues avant qu’elle ne finisse par voler de ses propres ailes. Ce n’est pas comme si elle en avait eu le choix et ce soir, alors que Channing s’approche doucement d’elle, qu’elle tourne sa tête vers lui, elle se dit qu’elle a réussi. Elle a la carrière qu’elle voulait et elle a l’impression d’avoir trouvé celui qui la comblera de bonheur, celui en qui elle peut avoir une confiance aveugle quand il a décidé de rester à ses côtés et d’abandonner cette obligation qui lui incombée à Brisbane. Gaby sent ses mains se glisser autour de sa taille, elle a remarqué aussi cette chemise qui a négligemment rejoint le sol, ce qui l’a fait sourire « Est-ce que tu penses pouvoir te passer de lui ? ». Son sourcil s’arque alors qu’elle sent ses lèvres contre son cou et laisse sa tête se pencher légèrement sur le côté, fermant les yeux au point qu’elle en oublie sa question « de ce pull que tu affectionnes tellement que j’ai peur qu’il me vole la vedette si tu l’enfiles ». Elle sourit davantage, laissant échapper un petit rire entre ses lèvres tellement la remarque l’amuse. Elle a envie de le titiller à ce sujet mais les gestes qu’il a à son encontre la perturbe trop. « J’ai pas envie de te partager, pas même avec ton vieux chiffon préféré ». Elle n’a pas le temps de réagir qu’elle se trouve déjà dans ses bras, son regard se perdant dans le sien, ce regard qui la fait frissonner un peu plus ce soir… Ses bras se nouent autour de sa nuque alors qu’il la fait basculer sur le lit, et qu’il se place au-dessus d’elle. Sa main vient caresser sa joue alors qu’ils se dévorent du regard, qu’elle est prête à lui répondre et pourtant, là encore, il ne lui en laissera pas le temps, venant presser ses lèvres contre les siennes lui offrant un baiser qui se veut passionné. Elle y répond à ce baiser, elle presse davantage ses lèvres contre les siennes, son corps se cabrant alors que leurs langues se mêlent et qu’ils sont incapable pendant quelques minutes de se détacher l’un de l’autre. « De lui… oui » commence-t-elle à répondre dans un moment de répit « De toi, en revanche… », ajoute-t-elle avant de retrouver ses lèvres subtilement avant de se reculer pour le regarder dans le blanc des yeux « non ». Sa main vient à nouveau caresser sa joue tendrement alors qu’elle retrouve un air sérieux « Tu n’auras pas à me partager… Je suis à toi, Chan’ ». La tendresse se lit dans ses yeux, et sûrement bien plus qu’elle n’est capable de le dire. Et pour lui prouver, elle se surélève un peu pour joindre ses lèvres aux siennes, avant de l’inviter à s’allonger davantage sur elle. Ses mains glissent le long de ses épaules puis de son dos, savourant ce moment de retrouvailles qu’elle considère comme être une chance ce soir. Progressivement, elle l’invite à se basculer sur le dos pour venir se mettre sur lui et, surtout, lui permettre de se saisir de cette fermeture éclair abandonnée quelques minutes plus tôt afin de lui retirer cette robe qui est de trop désormais.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Le comportement de la belle brune lui arrache un sourire alors qu'il la suit de de bon coeur. Le jeu est leur zone de confort, celle où ils se contemplent le plus souvent et le plus facilement. C'est elle qui est à la source de cette électricité entre eux, celle qui les a porté jusque ici dans les bras l'un de l'autre. C'est cette envie de poursuivre la partie qui force timidement leurs cœurs à s'ouvrir, et ils y cèdent pudiquement. Leurs mots sont timides, trop face à la puissance de leurs sentiments, mais ils sont réels. Ils sont vrais et prononcés à voix haute, et c'est tout ce qui importe l'héritier dans l'immédiat. Les amants gagnent l'étage puis la chambre, et alors que Gabrielle l'abandonne il ne peut s'empêcher de laisser son regard tendre flotter sur sa personne. Sur cette silhouette qui est sienne, sur cette femme qui s'offre à lui. Sur cette âme qui a jeté son dévolu sur la sienne, sur lui parmi tous les hommes qui tueraient pour être à sa place. Il a du mal à comprendre comment il peut être chanceux à ce point. Pourtant, il est temps d'atterrir et de réaliser. Il est temps de savourer l'instant et de faire comprendre à la californienne qu'elle ne regrettera pas de l'avoir abordé lui plutôt qu'un autre mec dans ce fameux bar le soir de leur rencontre. Ses mains se glissent sur sa taille, sa chemise perdue en route, et ses lèvres viennent onduler dans son cou alors qu'il répond à sa question sur cet horrible pull. Sur ce pull affreux qu'il n'admettra jamais, ô grand jamais, affectionner malgré lui. Parce qu'il est beau sur elle au même titre que n'importe quel fringue, parce qu'il provoque des sourires sur ses sublimes lèvres, parce qu'elle se sent bien avec et qu'il adore la voir blottie dedans. et quoique ce soit qui contribue, ne serait-ce une seconde, à son bonheur contribue au sien également. Un rire doux monte dans sa gorge alors que ses lèvres chatouillent sa peau et qu'il sourit à son tour, avant de la faire basculer dans ses bras et de la porter sur le lit. Leurs regards s'ancrent, reflétant leur désir mutuel et l'attraction qui les ronge. Mais aussi l'amour qu'ils se portent, ce qui va au-delà de l'attirance physique et qui les fait vibrer encore davantage ce soir que le fait que Channing soit à moitié nu et Gaby sculptée dans une robe magnifique. Ils basculent sur le lit et elle s'accroche à lui avant de déposer sa main sur sa joue, contact qui étire ses lèvres alors qu'il y appuie son visage avant de venir l'embrasser. Il profite de son silence, fier de le provoquer, certain de lui faire plaisir alors que leurs lèvres se retrouvent avec bonheur. Sa main descend sur son corps, sur le tissu de sa tenue qu'elle porte encore pour quelques minutes alors qu'elle rapproche son corps du sien et qu'ils prolongent le baiser. « De lui… oui » Sa voix est chaude, son souffle brûlant, et il est cette fois-ci celui qui garde le silence. « De toi, en revanche… » Un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu'elle vient lui voler un baiser et qu'il attend la fin de phrase en plongeant à nouveau son regard dans le sien. « non » Sa main revient à la rencontre de sa joue et il ferme les yeux une seconde durant, se laissant faiblement aller à ce contact qu'il apprécie tellement. Celui dans lequel il se laisse fondre un peu davantage à chaque fois, celui qui calme son coeur d'adolescent et dont il a désormais conscience de ne plus vouloir ni pouvoir se passer. « Tu n’auras pas à me partager… Je suis à toi, Chan’ » Il réouvre les yeux pour la regarder, restant muet encore quelques secondes alors que son sourire en dit long. Si l'héritier se voyait, il aurait honte de la regarder avec autant de tendresse. Pas vis à vis des autres, mais vis à vis de l'expression vulnérable qu'il adopte face à elle. Face à cette femme qui est sa plus grande faiblesse et sa plus grande force. « et je suis à toi aussi. » Elle l'incite à basculer sur le dos après lui avoir subtilisé un énième baiser et il bascule docilement sur le côté, l'entrainant au dessus de lui. Ses mains se posent sur sa taille alors qu'elle s'assoit à cheval sur lui, et il vient à se redresser lentement pour glisser ses mains dans son dos. « Tu permets ? » souffle t'il, ayant bien conscience du droit qu'elle lui a déjà accordé mais ayant envie de l'entendre à nouveau. Ses doigts se saisissent de la tirette et il descend lentement la fermeture, ses lèvres à nouveau à l'assaut de son cou et de son décolleté avant que la robe ne se relâche et qu'il soit en mesure de lui enlever. Comme sa chemise un peu plus tôt, elle rejoint négligemment le sol et il admire l'ensemble de lingerie de l'avocate avant de relever les yeux vers elle avec un brin de malice. « Le rouge est vraiment ta couleur. » Il lui vole un baiser, puis revient à la charge sur sa peau mise à nue, ses bras se glissant dans son dos pour la coller contre lui alors que son désir commence à le trahir dans ses moindres mouvements.
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why does my heart cry ☽ you fooled me from the star when you let me start to love you. its like a bunch of broken picture frames, but the photo still remains the same. and i, i thought it'd be easy to run but my legs are broken. all alone, all we know, its hauting me. making it harder to breathe
Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. Elle n’a aucun regret. Aucun regret de lui avoir demandé de rester alors qu’elle se retrouve à nouveau dans ses bras. Si elle ne lui avait pas demandé, l’issue aurait été dramatique pour leur cœur. Car après les mots échangés, il est indéniable qu’ils ressentent quelque chose de fort l’un pour l’autre. Ce quelque chose difficilement exprimé mais, ce soir, les gestes et les regards ne trahissent plus comparés à d’habitude. Même la malice, qui a toujours été la solution de repli face aux sentiments, n’est plus désagréable et frustrante ce soir. Même si Gabrielle s’est dirigée vers la baie vitrée et qu’elle s’est éloignée physiquement de lui, c’est un appel à la rejoindre qu’elle lui lance. Le besoin de le sentir s’approcher d’elle dans son dos, de sentir son souffle dans sa nuque et de sentir ses mains glisser contre sa peau. Elle aime cette sensation, cette proximité avec lui, encore plus quand elle sait qu’il est désormais à elle. Le charme de Channing a eu un effet quasi immédiat sur Gabrielle dès l’instant où leurs regards se sont croisés. Il avait ce petit quelque chose de différent des autres hommes qu’elle a pu côtoyer pour une nuit ou un peu plus et, si c’était à refaire, elle n’y changerait rien. Parce qu’elle se sentait niaisement amoureuse et c’est peut-être aussi pour ça que, lorsqu’ils se retrouvent sur ce lit, l’appel de leurs deux corps ne faisant qu’un étant bien trop fort pour être ignoré, elle se contente de lui dire qu’elle tient à lui plutôt que de prononcer d’autres mots. Ils finiront par passer la barrière de ses lèvres tôt ou tard, mais pour le moment, le désir gagne du terrain et prend même le dessus. « et je suis à toi aussi ». Il y a ce besoin de se rassurer mutuellement après des mois de silence où, à aucun moment, l’un ou l’autre n’a daigné avouer son attachement. Un frisson parcourt son corps à ses mots et elle l’invite à basculer. Il l’entraîne avec lui, elle se retrouve au-dessus, ses jambes de part et autre de ses hanches. « Tu permets ? ». Un fin sourire apparaît sur la commissure de ses lèvres, aimant ce respect qu’il a pour elle malgré toutes ces fois où ils se sont laissés aller à leur désir les plus fous, malgré toutes les fois où elle n’a jamais émis la moindre objection à le laisser faire ce qu’il voulait d’elle. Alors qu’il s’est redressé, l’avocate noue ses bras autour de sa nuque et approche ses lèvres de son oreille droite « Tout ce que tu voudras… », lui susurre-t-elle avant que son regard retrouve le sien. Elle se mordille la lèvre, l’envie de l’embrasser à nouveau présente, comme si ses lèvres ne pouvaient plus se passer des siennes. Mais elle le laisse s’exécuter, sentant sa main dans son dos puis qui vient se saisir de cette fermeture éclair qu’il descend lentement alors qu’elle sent ses baisers brûlants dans son cou puis sur le haut de son décolleté. Sa tête s’est penchée naturellement pour savourer chaque contact puis elle le laisse lui retirer totalement sa robe, dévoilant une fine lingerie. « Le rouge est vraiment ta couleur » « Je sais surtout que c’est la tienne… », répond-t-elle sur le même ton « Tu es incapable d’y résister ». Et quel gâchis cela aurait été s’il avait passé le pas de cette porte définitivement quand elle avait soigneusement choisi son ensemble avant qu’ils ne se retrouvent un peu plus tôt dans la soirée. Il y a un jeu qui s’installe à nouveau, plus fort qu’eux, mais un jeu qui accroît aussi leur désir mutuel. Gabrielle se saisit de ses lèvres avec fougue, une fraction de seconde le temps d’un baiser volé, son corps se mouvant pour se coller davantage à lui avant que sa bouche ne vienne titiller son oreille puis descende dans son cou. Elle s’attarde longuement sur chaque centimètre de sa peau avant que ses mains viennent à se plaquer sur son torse et qu’elle l’incite à se coucher sur le dos à nouveau. « Tu permets ? » réitère-t-elle par mimétisme, le sourire rempli de malice. Elle se saisit de la ceinture de son pantalon, la détachant délicatement, avant de s’attaquer au bouton et à la fermeture éclair de son bas de la même manière. Avec son aide, elle lui retire alors, laissant le jeune homme uniquement vêtu d’un boxer. Gabrielle fait glisser son corps contre le sien, lentement, sensuellement pour que leurs visages se retrouvent à nouveau face à face alors qu’elle est désormais allongée sur lui, toujours à califourchon. Sa main dans ses cheveux accompagne ses paroles « Tu sais ce qui est mieux que cet ensemble rouge ? ». Elle répondra avec une voix à peine audible, qui se perd entre deux baisers dans le creux de son cou « Plus rien du tout… », laissant entendre qu’elle ne veut plus que rien ne les sépare et que les derniers bouts de tissus qu’ils leur restent vont vite devoir rejoindre le sol à leur tour. Comme si elle lui donnait déjà son accord avant qu’il ne puisse lui demander à nouveau si elle lui permettait de la dévêtir totalement.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
TW IN RP : cicatrices, coma GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, voyage aux quatre coins du monde pour le travail › riche héritier de l'empire immobilier le Walker Group › éloquent, droit et calme, il est d'une nature très observatrice › une jambe meurtrie par un accident de la route, il boite fréquemment › d'apparence assez impénétrable, il a en réalité un coeur trop grand pour son propre bien › propriétaire de trois chats › passionné de belles voitures et motardDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #cc0000 RPs EN COURS :
WALKER › thought saw your face last night, hoping that could mean something. and i didn't know what to say, so i was saying nothing. now i'm drowing in the bottle that i couldn't wake and hoping that you'll come and save again.
Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Des mois durant, pour ne pas dire deux ans, ils n'ont pas eu le moindre mot quant à leur attachement. Quant à leurs sentiments, à leur envie mutuelle de plus, à leur désir de faire de l'autre une exclusivité. Ils ont passé tout cela sous silence, et ce soir alors que les mots franchissent enfin la barrière de leurs lèvres, ils sont trop impatients pour les laisser finir. Les trois mots spécifiques ne sont pas encore prononcés et c'est pourtant tout comme, à la manière dont leurs regards ne cherchent plus à se cacher, à la manière dont chacune de leurs caresses laisse son empreinte sur la peau de l'autre. Channing a l'impression de combler ce vide en lui, de se sentir enfin complet et il aurait presque peur une seconde. Il aurait presque peur en réalisant à quel point il tient à elle alors qu'il parcourt son regard, il tremblerait presque sous la puissance de ses sentiments. Il aurait presque une sueur froide en se rendant compte qu'il mettrait un genou à terre sans vraiment hésiter, il aurait presque envie qu'ils adoptent un chien. presque. Mais il ne veut rien ruiner, pas en brûlant des étapes alors que tout est si lent et beau entre eux. Il veut préserver la beauté de leur relation, sa fougue et sa passion. Il veut la préserver elle, Gabrielle, parcequ'il en est niaisement amoureux et qu'il ne veut pas lui faire le moindre mal ou lui causer le moindre chagrin. La bague du rêve d'anniversaire de l'avocate ainsi que le chien attendront. Allongé sur ce lit, il se redresse avec un sourire en glissant ses bras dans son dos, ses doigts venant à la rencontre de la fermeture éclair de sa robe. Il lui demande d'une manière ordinaire l'autorisation de descendre le zip, comme s'il en doutait, juste pour l'entendre lui dire de le faire. « Tout ce que tu voudras… » Son souffle caresse son oreille et il frissonne, les bras de la brune noués dans sa nuque alors qu'elle se recule juste assez pour le regarder. Il plonge son regard dans le sien avec un sourire malicieux, commençant à descendre d'une manière beaucoup trop lente la tirette. Ses baisers s'égarent dans son cou puis le haut de son décolleté et la robe délaisse finalement la peau de la californienne, offrant à l'héritier la vue de son superbe ensemble de lingerie. « Je sais surtout que c’est la tienne… » Un rire doux monte dans sa gorge et il la laisse poursuivre. « Tu es incapable d’y résister » « Je suis incapable d'y résister. » capitule t'il avec un nouveau rire, rire qui se tait contre les lèvres de la brune qui cède à un nouveau baiser. Un qu'il a tout juste le temps de lui rendre avant de tendre le cou à son tour sous ses lèvres qui divaguent près de son oreille puis dans son cou. Il se mordille l'intérieur de la lèvre en profitant de son contact, ses mains remontant dans son dos pour caresser sa peau et s'attarder au niveau de l'agrafe de son soutien-gorge. Gabrielle prend un soin tout particulier à appuyer sur les moindres zones qu'elle lui sait hétérogènes, et il en redemande. Il en redemande, quémandant ses baisers avec gourmandise, jusqu'à ce que les mains de la demoiselle se plaquent sur son torse et l'incitent à basculer sur le dos. Il cède à sa demande et renonce à ses baisers, plantant son regard dans le sien alors que ses yeux noisettes commencent à sérieusement trahir le désir qui l'anime. « Tu permets ? » Elle lui arrache un nouveau sourire, bien plus facilement qu'il ne veut l'admettre, et il hoche la tête. « Si madame veut bien s'en donner la peine. » la taquine t'il avec cette même malice qui s'est réinstallée l'espace de quelques secondes. Channing la regarde faire, l'aidant d'un geste alors qu'elle le débarrasse de son jean désormais de trop. Il rejoint la robe sur le sol et le brun frissonne alors qu'elle fait lentement glisser son corps sur le sien pour revenir ajuster son visage au niveau du sien. Sa main se dépose sur sa joue et il vient lui voler un baiser, la coupant dans son élan alors qu'il se doute qu'elle s'apprête à reprendre la parole. Il la lui vole, l'interrompant en se saisissant de ses lèvres avec passion. Sa fougue est contrôlée un instant durant, le baiser allant au-delà du désir qu'ils ressentent, sonnant plutôt comme une déclaration muette. Il lui rend par la suite ses lèvres et elle glisse ses doigts dans ses cheveux alors qu'il ne la quitte pas des yeux, la laissant bien faire ce qu'elle veut de ses mèches charbonneuses. « Tu sais ce qui est mieux que cet ensemble rouge ? » La question à peine entendue, il secoue lentement la tête. « Plus rien du tout… » Ses mains reviennent dans son dos pour toute réponse, et l'agrafe préalablement délaissée est cette fois-ci vaincue alors qu'il lui retire son soutien-gorge. Channing se redresse tout contre elle, laissant le haut rouge rejoindre le sol, et ses bras enroulent le buste de la brune alors que les positions s'inversent une nouvelle fois. Il est à nouveau au-dessus d'elle, et ses baisers ont tout le loisir de dégringoler sur sa peau alors qu'il appuie à son tour sur les points sensibles de son anatomie. Il se redresse après une douce torture, et prend le temps de l'admirer quelques secondes sans toutefois dire quoique ce soit. Il aurait tellement à lui dire qu'il préfère garder le silence. Il se recule doucement, assez pour libérer les jambes de la demoiselle et les faire passer sur ses bras afin de venir lui retirer le dernier bout de tissu qu'elle porte. Channing est encore trop habillé vis à vis de la jolie brune, même s'il en fait abstraction alors que ses lèvres profitent du fait que ses jambes soient à portée pour presser des baisers à l'intérieur de ses cuisses. C'est désormais à son tour de venir faire glisser son corps contre le sien, laissant ses jambes venir se replacer sur les draps. « Tu me débarrasses de ma dentelle ? » souffle t'il à son tour avec malice au creux de son oreille, désignant par là son boxer noir bien loin d'être en dentelle. « Je peux m’en charger, mais je ne voudrais pas te priver. » continue t’il sur sa lancée, laissant échapper un rire doux et sincère.
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Univers alternatif. Los Angeles, octobre 2018. « Je suis incapable d’y résister ». Gabrielle le sait et si, à propos de ses sentiments, elle a eu des doutes, à ce sujet, elle n’en a eu aucun. Ses regards sur elle l’ont trahi plus d’une fois, tout comme la façon dont ses mains ont pu se balader sur ses courbes un nombre incalculable de fois. Parce que cette attirance, cette attraction physique l’un pour l’autre est indéniable et cela, depuis leur première rencontre. Ce jeu de regards d’abord qu’ils s’étaient lancés à distance avant de se rapprocher davantage et finalement finir la soirée ensemble, faisant abstraction de tout le reste. Une nuit, c’était le deal et pourtant, leur chemin se sont recroisés quelques mois plus tard et le désir, toujours présent, les a fait replonger. Replonger au point où, un an après, ils se trouvent encore dans les bras l’un de l’autre et qu’il s’agit bien plus qu’une simple relation charnelle. Désormais, à la manière dont leurs lèvres se scellent, passionnément, tendrement, il n’y a plus de doute. Gabrielle ne peut plus se passer de sa présence, elle s’en rend compte quand leurs deux corps s’appellent mutuellement et un peu plus ce soir quand il a failli lui échapper. Il y a une certaine impatience dans ses gestes quand elle lui demande l’autorisation de le délester de son jean « Si madame veut bien s’en donner la peine ». Un sourire tout aussi malicieux que sa réponse s’affiche sur les lèvres de la jeune femme alors qu’elle s’exécute. Très vite, elle reprend position sur lui, ne manquant pas de le faire languir en glissant son corps contre le sien. Et alors qu’elle s’apprête à prononcer quelques mots à nouveau, Channing a cette façon particulière de l’interrompre en l’embrassant d’une manière qui la prend au dépourvue. Il est différent, ce baiser, par bien des manières et il la comble d’un bonheur incommensurable qui la fait se coller un peu plus contre lui et répondre à ce doux échange. S’il la perturbe au point qu’un court instant, elle oublie ce qu’elle voulait dire, au point où elle aurait été capable de lui prononcer ces trois mots qui n’ont toujours pas résonner dans la villa de l’avocate, elle se ravisse, la malice refaisant surface parce que le désir est bien plus grand. Elle l’invite, par une question détournée à lui retirer son ensemble en dentelle, et il s’exécute dans la seconde. Ses doigts viennent trouver l’attache de son soutien-gorge alors qu’ils se redressent, le faisant valser au sol avant de venir la serrer contre lui en enroulant son bras autour d’elle. Il la fait basculer, Gabrielle se retrouvant à nouveau sur le dos. Les lèvres du jeune homme viennent s'égarer sur son corps presque dénudé, Gabrielle sentant la chaleur de ses baisers contre sa peau. Elle ferme les yeux pour mieux savourer l’instant, un doux soupir s'échappe d’entre ses lèvres alors qu’il s’égare sur des points qui lui sont sensibles. Elle ouvre les yeux à nouveau alors qu’il semble l’admirer, un sourire malicieux surgissant à nouveau avant qu’il n’ait ce geste maîtrisé et soudain pour venir lui retirer ce qui lui reste comme bout de tissu. L’avocate n’a plus aucun secret pour lui à ce moment-là, et lorsqu’il s’égare à nouveau avec des baisers chauds sur elle, elle se cambre naturellement, son corps frémissant sous l’effet de ceux-ci. Il revient à sa hauteur, Gabrielle mordille sa lèvre inférieure en plongeant à nouveau son regard dans le sien « Tu me débarrasses de ma dentelle ? » la demande ne manque pas de la surprendre lorsqu’il évoque sa propre dentelle, ce qui ne manque pas de la faire rire, un rire qui sonne franc et naturel « Je peux m’en charger, mais je ne voudrais pas te priver ». Il la perturbe, le rire s’estompant immédiatement quand elle sent son souffle chaud à nouveau contre sa peau, penchant sa tête sur le côté. Il a un pouvoir bien trop grand sur elle, celui de la faire flancher, celui de la rendre vulnérable, prête à tout pour lui. Et si la demande est loin d’être un supplice, c’est l’effet qu’elle ressent quand il est contre elle, que leur regard se croise à nouveau alors qu’elle l’incite à basculer à nouveau et qu’il est celui qui se trouve sur le dos. Gabrielle reprend le dessus, assise à califourchon sur lui, prenant son mal en patience dans la volonté de le rendre vulnérable à son tour alors que le désir est brûlant. Son index parcourt alors son torse, son regard s’attarde sur le chemin qu’il emprunte, jusqu’à arrivée à son bas du ventre. Et alors qu’elle entame ce petit mouvement qui laisse penser qu’elle va s’exécuter, elle se stoppe soudainement, relevant son index en l’air « Ton souhait était qu’on monte pour se reposer n’est-ce pas ? ». Elle plonge son regard dans le sien, restant assise sur lui « Peut-être devrions nous reste sage pour ce soir… Cette journée a été riche en émotions, on l’aurait mérité » Elle se recule doucement, comme si elle allait s’enfuir « On a tout le temps, désormais, pour… ça » fait-t-elle en désignant son corps et le sien. La malice reprend place naturellement, indéfiniment alors qu’elle attend une réaction de sa part pour pouvoir céder à cette attraction intenable, étant loin de vouloir se reposer, ayant envie que leurs deux corps dansent à l’unisson. Le corps du jeune homme le trahit tout autant quant à son envie d’elle, elle est persuadée qu’il peut entrer dans son jeu comme se montrer impatient en retirant lui-même son boxer pour qu’ils puissent enfin se retrouver. Son index revient à parcourir son torse et cette fois, elle le laisse vagabonder sur son anatomie, se mordillant la lèvre sans honte, guettant la moindre réaction physique de Channing. « Je sais que c’est dur de résister… » ajoute-t-elle en murmurant, alors qu’elle se glisse à nouveau contre lui, ses lèvres s’égarant en remontant, sur son intimité encore prisonnière, sur son bas ventre puis sur son torse « mais il faut parfois se montrer raisonnable… ». Ses lèvres atteignent alors les siennes, pour lui voler un baiser puis s’égarent à nouveau dans son cou « Alors, quel est votre choix, Monsieur Walker », susurre-t-elle en arrivant à hauteur de son oreille. Elle joue ouvertement avec lui, s’en amuse et lorsqu’il prend sa décision, elle le laisse mener la danse, celui de se libérer lui-même de ce dernier vêtement qui est définitivement de trop.
ÂGE : trente huit ans (26.08.1986) SURNOM : chan par ses proches, souvent monsieur Walker ou Walker tout court STATUT : célibataire, il n'a rien d'autre à offrir que la chaleur de ses draps - et encore MÉTIER : héritier et président-directeur général du Walker Group, entreprise de renom dans le domaine de l'immobilier LOGEMENT : (ça arrive) POSTS : 2608 POINTS : 0
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Los Angeles, fin 2018 (except this time it ends well) @Gabrielle Strange & Channing
Ce regard qu'ils ont échangé le soir de leur rencontre, leur premier, Channing y repense souvent. Il y repense quand il la regarde endormie à ses côtés, quand il l'écoute lui raconter sa journée de travail ou quand elle rit aux éclats. Il y repense maintenant qu'il scelle ses yeux aux siens une seconde durant, le sourire aux lèvres. Il se sait chanceux de l'avoir gravé en mémoire et prend soin de l'entretenir régulièrement en le ravivant, terrifié à l'idée de l'oublier un jour. Car des regards échangés dans un bar, ce n'est pas ce qui manque dans une vie. Ce n'est pas quelque chose qui se fait une place facilement dans une mémoire, et pourtant l'héritier se souvient très nettement de son sourire ravageur. Il se souvient de sa sublime robe rouge, celle faite pour capter l'attention et qui avait capturé la sienne. Il se souvient de ses cheveux en cascade sur ses épaules dans lesquels il avait glissé ses doigts en l'embrassant un peu plus tard dans la nuit, il se souvient de son maquillage dégringolant au petit matin qui au lieu de mettre mal à l'aise la brune l'avait faite rire en disparaissant dans la salle d'eau. Il se souvient de ces petites choses, celles qui ont continué de faire la différence au fil du temps, et il ne peut s'empêcher de se demander si Gabrielle s'en souvient elle aussi. Se souvient-elle de l'amour incommensurable qu'il lui a avoué porter pudiquement aux fraises au chocolat ? Il avait perdu un pari stupide ce soir-là, et avait promis de lui avouer quelque chose qu'il n'avait jamais dis à personne. Pas même à sa sœur Lexie, pas à qui que ce soit. C'était son plaisir coupable, et Gabrielle avait ri en le taquinant. Se souvient-elle de ça ? Il se surprend à espérer que non, s'imaginant déjà rougir en étant confronté au fait. C'est stupide d'ailleurs, de rougir d'aimer certaines douceurs.
Leurs baisers poursuivent leur course, inarrêtables et brûlants, et Channing s'amuse en voyant la jolie brune lui faire des yeux surpris quand il mentionne sa propre dentelle. Un rire sincère et spontané s'échappe d'entre ses lèvres pour se joindre au sien, et le moment représente à lui seul tout ce dont il a besoin. Tout ce dont il a besoin ce soir et les autres à venir. Du rire et de la tendresse, de la passion et du sérieux, de l'électricité et de l'écoute. Sans compter, sans réfléchir, et il est comblé alors que ce bonheur a un goût tout particulier. Gabrielle le fait basculer à nouveau sur le dos, s'asseyant à califourchon sur lui, et il se mordille la lèvre un instant. Il la regarde faire, déposant ses mains sur ses hanches, la peau de son ventre se tendant sous la traînée invisible que laissent ses doigts sur sa peau. Il laisse l'impatience le gagner, juste avant que la demoiselle ne se stoppe et relève son index en l'air. Il bat des paupières, silencieux en la regardant. « Ton souhait était qu’on monte pour se reposer n’est-ce pas ? » Il ne répond pas, ahuri, ne la quittant pas des yeux. « Peut-être devrions nous rester sages pour ce soir… Cette journée a été riche en émotions, on l’aurait mérité » Elle commence à se reculer et sa prise sur sa taille se resserre légèrement, un air de défi apparaissant lentement sur ses traits. « On a tout le temps, désormais, pour… ça » Elle se joue de lui, il reconnaît la malice dans ses yeux et proteste dans une moue que la brune lui connaît bien. « J'ai bien peur qu'on ait pas été très... sages, ces dernières minutes. » souffle t'il en descendant lentement ses mains sur ses fesses, son corps à la merci des caresses de l'avocate qui le connaît sur le bout des doigts. « J'ai plus envie de dormir, soudainement. C'est bizarre, tu ne trouves pas ? » Il entre dans son jeu, pas pour longtemps mais y cède malgré tout par gourmandise. Son sourire s'efforce de ne pas s'élargir davantage alors qu'elle reprend la parole. « Je sais que c’est dur de résister… » Elle ondule contre lui, venant le torturer et cette fois elle l'empêche de reprendre la parole. Il tait son impatience en se mordillant l'intérieur de la lèvre inférieure, Gaby le mettant à fleur de peau car il n'éprouve pas la moindre résistance. Pas réelle toutefois. Son corps le trahit depuis un moment maintenant, même s'ils en font abstraction. « mais il faut parfois se montrer raisonnable… » Il l'écoute d'une oreille, lui rendant son baiser tandis que ses mains remontent dans son dos pour la garder tout contre lui lorsqu'elle se penche. « Alors, quel est votre choix, Monsieur Walker ? » « Pas celui d'être sage, madame Strange. » murmure t'il d'une voix désireuse à son oreille, avant de réinverser les positions, ses mains déjà en position dans le dos de la brune. Il se défait de son boxer, Gabrielle trop lente à son goût pour le faire à sa place, et son corps se rapproche de celui de la demoiselle. La dernière barrière de tissu n'est plus, le poids de la menace de son départ à Brisbane non plus, et plus rien n'empêche à présent les amants de profiter l'un de l'autre aussi longtemps qu'ils le souhaitent.
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