ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
La journée a été particulièrement mouvementée, sans aucun doute l’une des plus éprouvantes que tu as vécu depuis que tu as commencé à faire du bénévolat pour le Royaume Enchanté. Tu te souvenais de la veille de Noël, quand tu avais fait la connaissance du docteur Addelson et que ce dernier t’avait apporté avec lui dans les chambres de ces enfants plus gravement malades et que tu avais été confronté pour la première fois à une réalité plus sombre, bien plus déstabilisante de ton nouveau rôle de bénévole auprès de cette clientèle si jeune et pourtant si touchée par des maladies qui détruisaient silencieusement leurs petits corps encore si fragiles. Si vous aviez l’habitude de passer plus de temps avec les enfants qui étaient assez en forme pour se déplacer, ceux qui étaient assez réveillés et actifs pour réellement profiter des différentes activités proposées par le Royaume, tu tentais, depuis cette visite émouvante, de toujours passer au moins quelques minutes ici et là dans les chambres de ses enfants qui eux n’avaient pas la même chance. Dont le corps était plus fatigué, nécessitant parfois d’être brancher ici et là à toutes sortes de machines qui aidaient à les maintenir à vie, à combattre les maladies qui s’attaquaient sans cesse à eux. Tu ne connaissais pas grand-chose en médecine, tes connaissances s’arrêtant à tes cours de biologie à l’école secondaire, mais tu étais toujours attentive et respectueuse des soins que les différents infirmiers sur l’étage de pédiatrie prodiguaient aux petits humains jour et nuit, avec d’éternels sourires et une bonne humeur sans pareille bien que trop souvent, ils devaient gérer avec des réalités bien trop lourdes à porter. Tu es occupée à raconter l’histoire de la petite sirène à une petite fille couchée dans son lit, à moitié endormie mais qui s’efforce tout de même à écouter chaque mot que tu racontes avec tout l’entrain et l’énergie que tu possèdes. C’est une infirmière que tu as vu plusieurs fois qui est là, pas loin, occupée à vérifier que toutes les machines autour de la gamine sont bien fonctionnelles quand soudainement, la petite se met à convulser dans son lit. Tu ne peux faire qu’une chose, te reculer et laisser toute la place à la blonde qui prend la situation en charge rapidement alors que tu t’effaces, bien que troublée et inquiète de se retournement que personne n’aurait pu prévenir.
Ça te fait toujours quelque chose de voir le médical soignant à l’œuvre, et tu restes d’ailleurs quelques minutes à l’extérieur de la chambre sans toutefois réellement voir ni comprendre ce qui est en train de se passer. C’est avec un soupir que tu finis par quitter le corridor, à la recherche du petit stand à café que tu as trouvé, celui où le café n’est pas aussi infect que lui qui est servi à la cafétéria. Sans trop savoir si tu vas ne serait-ce que recroiser l’infirmière qui s’est occupée de la petite fille, tu prends la décision de commander deux cafés, te disant qu’un membre du personnel médical aura bien envie de le boire si tu ne retrouves pas celle pour qui tu l’as pris. Tu ne te souviens plus de son nom, même si tu es certaine qu’elle a dû te le dire dans les nombreuses fois où vos chemins se sont croisés. Tu croises tellement d’infirmiers, de médecins et de préposés différents toutefois que tu as arrêté d’essayer de te souvenir de la plupart des noms. Tu portes toujours cette perruque rousse avec laquelle tu deviens automatiquement une princesse aux yeux des enfants. Tu fais toujours attention de rester déguisée même quand tu n’es pas avec les enfants, au cas où tu en croiserais en te promenant dans les corridors. Tu veux préserver la magie autant que possible, même si ça veut dire te promener avec une perruque qui irrite ta tête et une robe bien trop bouffante qui prend beaucoup de place. Tu longes le corridor, ton regard s’arrêtant dans chacune des chambres pour voir si tu ne trouverais pas l’infirmière blonde qui s’est occupée de la petite fille qui convulsait il y a de ça une quinzaine de minutes maintenant. Tu avances jusqu’à cette petite salle où tu sais que les infirmiers peuvent prendre leur pause et tu l’aperçois assise à l’une des tables. Tu hésites un peu, mais tu finis par te faire un chemin jusqu’à elle et vient déposer le café devant elle, lui offrant un sourire au même moment. « Je me suis dit que tu en aurais peut-être besoin. » que tu souffles d’une voix pleine de compassion. « Est-ce qu’elle est correcte, la petite fille? » Tu ne sais pas trop si tu as le droit de demander, mais tu ne sais pas non plus si tu vas parvenir à retrouver complètement ton calme sans savoir dans quel état elle est désormais.
Juliana avait toujours été fascinée par les enfants. Ils étaient d’une force incroyable et ne se prenaient pas la tête avec des choses inutiles. C’était plus facile comme ça et elle admirait ça. Elle tentait de rester une enfant le plus possible car cela lui permettait alors de rester de bonne humeur et de voir la vie en couleurs et pas en noir et blanc. Bien que souvent, lorsque l’on est un enfant, les avis sont très tranchés. Le blanc est pour le bien, le noir est pour le mal. Il n’y a que rarement des justes milieux. Juliana savait bien évidemment que la vie était plus compliquée que ça et que le gris l’emportait sur tout le reste. Pourtant, elle désirait rester positive et imaginait donc plutôt les décisions en couleurs ce qui à la fin de la journée lui donnait un arc en ciel dont elle était contente. Il fallait bien trouver de la positivité dans le monde et encore plus lorsque vous travaillez dans le service de pédiatrie d’un hôpital. Chaque jour était différent. Il y avait les bons et les moins bons quand ce n’était pas entièrement des mauvais jours. Elle tentait bien évidemment de toujours trouver quelque chose de positif même dans la noirceur totale.
On pouvait donc la retrouver comme d’habitude à son poste d’infirmière. Elle était présente depuis plusieurs heures déjà mais la journée ne semblait pas se terminer. Bonne ou mauvaise chose ? Elle ne le savait pas vraiment. Ce n’était pas comme si elle avait un mari qui l’attendait mais ses chiens étaient sûrement pressés de la voir. Elle sourit en pensant à eux. Elle avait une forte envie de les caresser mais il fallait qu’elle pense à son prochain petit patient qui était d’ailleurs devant elle à lui demander quand est-ce qu’il pourrait goûter à nouveau les cookies qu’elle préparait plusieurs fois par semaine. Elle alternait avec d’autres friandises et gâteaux en tout genre. Certains enfants ne pouvaient pas en profiter à cause de leur condition et dans ces cas là, elle faisait toujours quelque chose d’autres pour eux. Elle ne voulait pas qu’ils se sentent mal parce qu’ils ne pouvaient pas faire comme les autres. Elle promit à son patient que s’il était sage, il y aurait droit bientôt. Il fallait dire que la cuisine était sa seconde maison et généralement là où on pouvait la trouver si elle n’était pas à l’hôpital. Elle fit alors la tourner des chambres et se retrouva dans la chambre d’une fillette qui n’avait vraiment pas de chance dans la vie. Juliana n’était pas persuadée qu’elle s’en sorte mais elle préférait quand même garder espoir. C’était ce dont ces enfants avait besoin, de l’espoir qu’un jour ils iraient mieux. Ce n’était pas la peine de les déprimer plus qu’ils ne l’étaient déjà. Après tout, ça ne les aiderait pas à se battre et c’était ce dont ils avaient besoin. Elle est donc en train de vérifier que tout se passe bien. Elle évite de se faire trop présente. Une bénévole est présente pour la Adélaïde, cette adorable fillette qui tente de rester éveillée pour entendre l’histoire qu’elle a déjà entendu plusieurs fois mais qu’elle aime toujours autant. Les princesses font toujours leur effet. Alors que tout semble aller bien, la fillette commence à convulser. Elle appelle un docteur pour qu’il vienne l’aider tout en tentant de faire son maximum pour que l’enfant ne passe pas de l’autre côté du voile. Ses gestes sont contrôlés, automatiques depuis les années passées. Elle ne s’occupe pas de Penny qui comprendra bien assez vite qu’elle est de trop. Après plusieurs minutes, la fillette est enfin stabilisée. Elle reste un instant à ses côtés pour s’assurer que ça ne se reproduira pas. Elle sait que même si elle restait des heures, ce serait toujours au moment où elle ne serait pas là que ça recommencerait. Elle ne peut s’empêcher de rester quand même à ses côtés. Ce petit visage angélique qui ne semble pas d’être rendu compte de ce qui se passait.
Juliana se décide enfin à quitter la chambre. Elle laisse un message spécifique à sa collègue pour surveiller l’enfant encore plus intensément tandis qu’elle va prendre une pause dont elle a vraiment besoin. Elle a beau être habituée à tout ça, ce n’était jamais évident. La fillette a à peine sept ans et risque de ne pas atteindre son prochain anniversaire. C’est dur à supporter, trop dur mais elle cache ses émotions. Elle trouve enfin une table un peu isolée tandis où ne viendra pas lui demander tout de suite comment va la petite. Enfin c’était ce qu’elle espérait. « Je me suis dit que tu en aurais peut-être besoin. » Elle relève la tête. A l’odeur, elle sait que c’est du café. Elle n’a jamais aimé ça mais elle ne ferra pas la difficile. C’est le geste qui compte après tout. « Merci. C’est gentil. » Elle ne sait pas vraiment quoi dire mais Penny semble vouloir savoir comment va Adélaïde. Elle est bénévole et s’intéresse. C’est souvent le cas. Elle pense que Penny n’a pas eu de change. Peu de bénévoles voient ce genre de choses. Ca arrive mais ce n’est pas le plus fréquent. « Est-ce qu’elle est correcte, la petite fille? » Elle lui fit un sourire timide. « Pour le moment oui. » Elle ne veut pas trop s’étendre sur le sujet. Elle ne veut pas démoraliser la jeune bénévole plus qu’elle ne doit déjà l’être. « Tu peux t’asseoir si tu veux. Je suppose que toi aussi tu as besoin d’un peu de temps pour te remettre. C’était ta première fois non ? » Elle se doutait de la réponse mais peut être avait-elle tord.
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
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Tu ne sais pas vraiment comment ils font, ceux qui travaillent dans le domaine de la santé. Tu ne comprends pas comment Isaac peut effectuer correctement son travail jour après jour sans être profondément affecté par toutes les horreurs auxquelles il doit faire face avec chaque nouveau quart de travail. Si tu comprends la compassion qui l’anime, qui le pousse toujours à donner un peu plus de lui-même, tu ne parviens pas à t’imaginer être en mesure de ne pas prendre sur tes épaules le poids de la maladie, des accidents, des blessures de tous ces gens qui passent à l’hôpital, que ce soit une visite de courte durée ou pour du long terme. Ton rôle de bénévole te permet de voir la situation de plus près, bien que tu ne sois pas trop émotionnellement investie, bien que tu demeures éternellement touchée par les histoires, les petites victoires et parfois les défaites que les petits humains que tu fréquentes en tant que princesse de l’océan peuvent expérimenter pendant leurs séjours dans l’établissement aseptisé. Tu te demandes parfois, si c’est parce que tu n’es pas assez forte pour faire face à une réalité qui est laide et pourtant inchangeable : beaucoup de gens, beaucoup trop d’enfants surtout, sont malades et ce n’est pas tout le monde qui sort vainqueur de leur combat. La scène à laquelle tu as assisté il y a quelques minutes ne prouve qu’une chose : le chemin est parsemé d’embûches. De moments difficiles, de moments qui remettent tout en question et tu ne parviens pas à te défaire de l’image de son petit corps tremblant, sans que rien ni personne ne soit en mesure d’arrêter la crise. Tu sais que les infirmiers et les médecins présents ont agit rapidement et avec un sang froid que tu admires, allant même jusqu’à imaginer ton amoureux effectuer de telles manœuvres comme tu sais qu’il le fait depuis longtemps déjà. De voir une telle scène ne faisait qu’augmenter tous les sentiments que tu éprouvais pour le Jensen, te rappelant la bonté, la compassion et le dévouement dont il faisait preuve dans la vie de tous les jours, des qualités qui t’avaient sans aucun doute interpellé chez lui dès vos premiers échanges sur Tinder.
Tu penses toutefois à l’infirmière qui était avec toi dans la chambre quand la petite a fait son malaise et tu espères la trouver pour lui offrir un café qui est, selon toi, bien mérité après ce que tu devines tout de même être un moment éprouvant, bien qu’elle n’ait rien laissé paraître. Tu es heureuse de la trouver dans la salle de repos et pose le café devant elle, espérant ne pas la déranger. Elle t’offre toutefois un sourire bienveillant alors que ses doigts entourent le gobelet chaud. « Merci. C’est gentil. » Tu fais un léger signe de tête, osant finalement lui demander si elle est en mesure de t’offrir quelconque nouvelle sur la petite fille. Tu crains qu’elle t’annonce le pire, tu ne sais vraiment pas comment tu gérerais si elle devait te dire que tout ça s’est terminé en fatalité. « Pour le moment oui. » Pour le moment. Ça non plus, tu ne sais pas comment tu parviendrais à le gérer. L’incertitude qui entoure chacun des patients. La conviction que tout va bien un moment simplement pour que tout ne dérape la seconde d’après. Tu avais pour la blonde devant toi, ainsi que tout le personnel soignant, une estime dont tous les mots semblaient trop faibles pour adéquatement la décrire. « J’espère que ça ira. Je repasserai plus tard cette semaine, voir comment elle va. Si c’est correct, évidemment. » Tu ne sais pas trop quel est le protocole. Tu sais que tu n’es sans doute pas censée t’attacher aux enfants, mais c’est plus fort que toi. Et tu t’assurerais de mettre ton costume de petite sirène, même si tu n’étais pas sur l’horaire du Royaume Enchanté avant ton prochain retour de Los Angeles, plusieurs semaines plus tard. Une petite visite surprise ne pouvait faire de tort à personne, pas vrai? « Tu peux t’asseoir si tu veux. Je suppose que toi aussi tu as besoin d’un peu de temps pour te remettre. C’était ta première fois? » Tu hoches doucement la tête alors que tu viens t’asseoir face à l’infirmière. « C’est pas la première fois que je passe du temps avec un enfant mal en point, mais c’est la première fois que je me retrouve au milieu d’une situation de la sorte. » De crise. D’urgence. Où tu sens clairement que tu es de trop dans la pièce, où tu dois t’éclipser le plus rapidement et le plus discrètement possible pour laisser le personnel effectuer leur travail essentiel. « J’espère que ma présence ne t’a pas gêné. J’ai essayé de partir aussi vite que possible. » Quelques secondes à peine, le temps que tu comprennes ce qui était en train de se passer autour de toi. « Ça fait quelques fois qu’on se croise je crois. Moi c’est Penny. » que tu lui dis finalement, trouvant important de te présenter formellement à elle, ton regard louchant légèrement sur son name tag qui indiquait le nom Juliana Jones. Nom qui te semblait familier sans que tu ne sois en mesure d’y rattacher la moindre anecdote dans l’immédiat.
Avec les années Juliana s’était habituée à ce que tout ne soit pas toujours drôle et facile lorsqu’elle se retrouvait dans la chambre d’un enfant. Elle avait choisit sa spécialité parce que les enfants la fascinait. Ils sont toujours vivants, innocents et si amusant à son goût. Bien évidemment, à l’hôpital, les choses ne sont pas toujours aussi faciles et c’est pourquoi elle tente de faire de son mieux pour protéger et procurer autant que possible de la joie à ces petits êtres sans défense. Malheureusement, elle doute que la fillette ne passe encore de longues années sur cette Terre. Elle est triste pour elle et en même temps, elle se dit qu’au moins, elle ne souffrira plus. « J’espère que ça ira. Je repasserai plus tard cette semaine, voir comment elle va. Si c’est correct, évidemment. » Juliana sourit. Il y avait deux sortes de bénévoles. Ceux qui partaient en courant en voyant ce genre de choses arriver. Après tout, ce n’était pas évident de se retrouver nez à nez avec un enfant qui se retrouve dans des conditions si difficile et rend presque son dernier souffle. Et ceux qui au contraire voulaient faire encore plus. Être là pour le petit être ou savoir comment les choses évoluaient. Penny semblait être de la seconde catégorie. Elle semblait vraiment s’inquiéter. « Oui tu peux. Je ne suis juste pas sure que tu pourras rentrer dans la chambre. Enfin elle n’est pas en isolation donc tout est possible. » Pour le moment, Adélaïde n’est pas dans une chambre stérile alors Penny pourrait même tenter de terminer l’histoire qu’elle était en train de lui dire. La petite sirène telle son costume l’indiquait. L’évolution de l’état de santé de l’enfant restait juste incertain. Aujourd’hui, elle était stabilisée. Demain ? Les choses pourraient être différentes.
Elle ne put s’empêcher de lui demander si elle avait déjà vécu ce genre de situation. Elle ne se souvenait pas qu’elle soit bénévole depuis très longtemps mais bien évidemment, cela n’avait rien à voir avec le fait qu’elle se retrouve au mauvais endroit et au mauvais moment lorsqu’un corps fragile commençait à abandonner le combat. Elle propose alors à Penny se s’assoir. Après tout, elle aussi avait vécu l’incident. Peut-être moins longtemps qu’elle mais elle était aux premières loges. « C’est pas la première fois que je passe du temps avec un enfant mal en point, mais c’est la première fois que je me retrouve au milieu d’une situation de la sorte. » Elle réfléchit un instant. Ce n’était vraiment pas de chance pour elle. Si Juliana était habituée, elle préférait que ce ne soit pas le cas des bénévoles. Elle trouvait qu’il était plus facile pour eux de garder leur motivation si tout paraissait aller bien. « Je vois. Ce n’est jamais évident. On espère toujours que les bénévoles ne voient pas ce genre de choses. Malheureusement, on ne peut pas deviner lorsque ça arrivera. » Non, ce serait trop beau pour que ce soit le cas. Eviter ce genre de chose, prévoir ce qui se passera. Si seulement c’était possible, leur métier serait bien plus facile ; quoique pas forcément tous les jours. « J’espère que ma présence ne t’a pas gêné. J’ai essayé de partir aussi vite que possible. » Elle sourit. Elle trouve ça gentil de la part de Penny de s’inquiéter qu’elle n’ait pas été un « poids » pour la procédure. Certains ne s’en soucient que peu. Le passé est le passé pour eux même si c’était il y a moins de trente minutes. « Ne t’en fais pas pour ça. Je suis habituée. Et puis, tant que tu ne tentes pas de faire des gestes médicaux sans savoir ce qui se passe, on peut comprendre si tu es en état de choc pendant quelques secondes. » Bien évidemment, elle ne dira pas à Penny que cela la dérange quand les gens restent bloqués sans savoir quoi faire. Elle le comprend mais cela ralenti les gestes à faire et devoir s’occuper d’un enfant ainsi que d’une personne incapable de bouger, ce n’est pas vraiment son truc. Dans le cas de la jeune femme en face d’elle, pour dire vrai, elle ne lui avait pas prêté attention. Elle était sortie bien avant qu’elle n’ait eu le temps de se demander ce qu’elle faisait encore là.
Elle tente donc d’éviter d’effrayer ou de bousculer d’une quelque manière la sirène qui est vraiment investie. « Ça fait quelques fois qu’on se croise je crois. Moi c’est Penny. » Penny. Elle se disait aussi que la petite sirène devait lui rappeler quelque chose. C’était donc ce joli visage donc Isaac était tombé amoureux. Bon ok, la personnalité semblait avoir joué pas mal dans l’histoire. Le fait es que maintenant qu’elle voyait mieux qui était en face d’elle, elle était prête à poser des questions. Elle tenterait d’éviter l’interrogatoire et de faire ça discrètement. Elle n’était juste pas forcément la meilleure dans ce domaine mais qui sait ? Peut être qu’aujourd’hui serait son jour de chance. « Oui, tu es bénévole depuis un petit moment je crois. Je tente de faire connaissance avec les bénévoles en général. Désolée que ce n’est pas été le cas plus tôt. » Oui car maintenant, elle poserait des questions dont la jeune femme se demanderait surement pourquoi et surtout, elle ne savait pas vraiment si c’était trop l’endroit et le moment idéal pour ça après l’évènement que toutes les deux venaient de traverser. « Je suis Juliana. » Elle se rappela alors un fait. « Tu fais aussi de la télévision ou des films non ? » Voilà pourquoi son visage lui semblait familier ? Elle avait vu un film avec sa sœur dans lequel jouait la jeune femme.
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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« Oui tu peux. Je ne suis juste pas sûre que tu pourras rentrer dans la chambre. Enfin elle n’est pas en isolation donc tout est possible. » Tu hoches doucement la tête. Tu ne doutes pas qu’elle doit en avoir vu souvent, des enfants qui sont stables un instant seulement pour que leurs conditions ne dégénèrent rapidement ensuite. Toi, tu n’étais pas une habituée de telles urgences. Tu les avais vu souvent à la télévision, et puis il t’était arrivé à quelques reprises depuis que tu avais commencé ton bénévolat à l’hôpital de voir des enfants particulièrement mal en point, mais ce n’était certainement pas la même chose d’être ceux en charge de s’assurer que rien de grave ne se produise. Tu écoutais avec attention les anecdotes de Joy d’abord, qui travaillait d’arrache-pied depuis de nombreuses années dans le but ultime de devenir chirurgienne, et puis les anecdotes d’Isaac ensuite qui vouait une passion sans limite pour son travail d’infirmier. Tu avais beaucoup de respect pour la profession que Juliana avait choisit de performer jour après jour. « Je vois. Ce n’est jamais évident. On espère toujours que les bénévoles ne voient pas ce genre de choses. Malheureusement, on ne peut pas deviner lorsque ça arrivera. » « Ça ne doit pas être facile à tous les jours… » que tu ne peux t’empêcher de commenter avant de prendre une nouvelle gorgée de ton café. « Est-ce qu’il y a quelque chose que les bénévoles peuvent faire, pour vous aider, quand ça arrive? » En dehors de se faire aussi petit que possible, évidemment. Tu comprenais parfaitement que ce n’était pas ta place de jouer à l’héroïne dans une telle situation, mais si tu pouvais faire quoique ce soit pour aider, ne serait-ce qu’à l’aide d’un breuvage chaud après coup, et bien tu étais attentive à tout conseils que la blonde pouvait t’offrir. « Ne t’en fais pas pour ça. Je suis habituée. Et puis, tant que tu ne tentes pas de faire des gestes médicaux sans savoir ce qui se passe, on peut comprendre si tu es en état de choc pendant quelques secondes. » Tu échappes un léger rire à la simple idée de vouloir effectuer la moindre procédure médicale. Tu espères que ce n’est pas quelque chose qui arrive souvent avec les bénévoles. « Je n’oserais jamais. » que tu la rassures avec un sourire. « Je laisse ça pour ceux qui s’y connaissent. Je connais quelques personnes qui travaillent ici et je sais que mes connaissances en la matière n’accotent en rien ceux qui ont fait les longues études pour les postes qu’ils occupent aujourd’hui. » Ton sourire s’élargit bien malgré toi sur ton visage alors que tu penses à ton amoureux, te demandant s’il est lui aussi en train d’avoir une journée particulièrement difficile, dans un autre département de cet établissement.
« Oui, tu es bénévole depuis un petit moment je crois. Je tente de faire connaissance avec les bénévoles en général. Désolée que ce n’est pas été le cas plus tôt. » Tu secoues doucement la tête. Tu comprends qu’elle doit en voir passer beaucoup, des bénévoles et que vous n’êtes certainement pas la première chose qui lui vient en tête avec toutes les tâches qu’elle se doit d’effectuer jour après jour. « Tu as sans doute beaucoup plus important à gérer que de faire connaissance avec une sirène. » Tu lui offres un sourire qui se veut une fois de plus rassurant. Tu n’es pas là pour lui mettre la pression à quelconque niveau qui soit. Tu passes une main dans tes cheveux, seulement pour te rappeler à la texture que ce ne sont pas tes vrais que tu découvres au bout de tes doigts. Tu avais presque oublié que tu portais encore le costume d’Ariel, et si tu préférerais faire connaissance sans la fausse perruque qui te presse le crâne de manière désagréable depuis plusieurs heures déjà, tu n’aimes pas te départir du costume au cas où tu croiserais un des enfants sur ton chemin en partant de l’hôpital. « Je suis Juliana. » « Ravie de faire ta connaissance. » que tu annonces de bon cœur. Tu ne pouvais te défaire de cette impression que ce prénom t’était familier sans pour autant te souvenir du pourquoi. « Tu fais aussi de la télévision ou des films non? » Tu hoches doucement la tête, peu surprise qu’elle te connaisse pour ton métier d’actrice. « Oui, je fais les deux, mais surtout de la télévision. » que tu expliques. « Mais quand je ne suis pas en tournage, j’aime m’occuper auprès de différentes associations bénévoles. Je m’implique aussi auprès d’un organisme qui vient en aide aux jeunes autistes. » Tu ne mentionnes pas directement que l'inspiration te vient de ton frère, même si c'est quelque chose dont tu n'as pas honte. Au contraire, tu essayes toujours de faire de la prévention pour cette condition qui rythme ton quotidien depuis la naissance de ton cadet. « Ça fait longtemps que tu travailles ici? » que tu lui demandes, curieuse à ton tour d'en apprendre un peu plus sur Juliana.
« Ça ne doit pas être facile à tous les jours… Est-ce qu’il y a quelque chose que les bénévoles peuvent faire, pour vous aider, quand ça arrive? » LA vie à l’hôpital n’était jamais facile. Entre ce service et un autre, chacun avait son lot de malchance. Avec le temps, Juliana s’était habituée, comme anesthésiée par ce qui se passait autour d’elle. Ce n’était pas vraiment le cas car chaque enfant qui mourraient ou dans des conditions aussi difficile qu’Adélaïde lui faisait mal mais si elle prenait les choses trop à cœur, elle ne pourrait plus se lever le matin. Elle décidait donc que la meilleure solution était de rendre la journée des enfants la meilleure possible. « Oh pas vraiment. Peut être juste éviter que des enfants ne rentrent dans la chambre mais en général, ils sont plutôt bien occupés. » Il lui était arrivé de croiser de temps en temps dans enfants au détour d’une chambre où l’alerte avait été donné et malheureusement, parfois, ils voyaient la dur réalité de la mort en face d’eux. Elle tentait au maximum d’éviter que ce soit le cas et si les bénévoles pouvaient aider là-dessus alors pourquoi pas. Elle lui demanda cependant de ne pas se permettre des actes médicaux. « Je n’oserais jamais. Je laisse ça pour ceux qui s’y connaissent. Je connais quelques personnes qui travaillent ici et je sais que mes connaissances en la matière n’accotent en rien ceux qui ont fait les longues études pour les postes qu’ils occupent aujourd’hui. » Elle sourit, tentant de lancer une petite perche et voir ce que la jeune femme voulait bien lui dire. « Vraiment ? Qui connais-tu ? Je me doute qu’il y a certaines personnes de ce service. » En un an de bénévolat elle avait croisé de nombreuses personnes et Juliana supposait qu’elle avait dû sympathiser avec plus d’unes. Penny semblait gentille au premier abord. Elle espérait que ce qu’elle pouvait apprendre sur elle pourrait lui confirmer sa première « vraie » impression. Elle devait cependant rester prudente. Parfois les apparences sont trompeuses. « Tu as sans doute beaucoup plus important à gérer que de faire connaissance avec une sirène. » Elle sourit. C’était en partie vrai mais pour aider les enfants, parfois il était nécessaire de savoir le planning des bénévoles. « Disons plus différentes tâches mais j’avoue que j’aime savoir qui s’approche de mes petits patients. Je suis un brin protectrice, je l’avoue. » C’était ses petits patients, et depuis qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants, elle était encore plus protectrice de ces petits anges.
Elle finit par se présenter officiellement. C’était quelque peu bizarre après tout ce temps. « Ravie de faire ta connaissance. » Juliana ne put s’empêcher de se demander si finalement elle ne la connaissait pas. Elle regardait bien trop de films et de séries avec sa sœur pour oublier un visage tel que celui de Penny. « Oui, je fais les deux, mais surtout de la télévision. » Elle sourit. « Quelque chose que l’on peut regarder en ce moment ? » [/color]Si Juliana avouait à sa sœur avoir rencontré une des actrices qu’elles regardaient régulièrement, elle sentait la jalousie arriver. « Mais quand je ne suis pas en tournage, j’aime m’occuper auprès de différentes associations bénévoles. Je m’implique aussi auprès d’un organisme qui vient en aide aux jeunes autistes. » Et bah, elle semblait vraiment être une bonne personne. Le faisait-elle pour la pub ? Elle ne pouvait s’empêcher de se le demander. En temps réel, elle ne le ferrait pas mais il fallait qu’elle sache par rapport à son meilleur amie. « Vraiment ? Tu as du temps pour faire tout ça ? Tu n’es pas fatiguée? » Juliana se disait qu’elle, elle avait déjà du mal à tout combiner alors une association lui semblait bien compliquée. Elle imaginait encore moins une actrice pouvoir tout faire. Elle avoir cru comprendre en lisant des interviews ou autre que les journées étaient longues et épuisantes. « Ça fait longtemps que tu travailles ici? » Elle réfléchit un instant. Longtemps ? Elle ne comptait même plus les années. « Ca fait un moment oui. Il y a quinze ans à peu près mais le temps est passé si vite que ça ne semble pas aussi long. » Non, ça semblait comme si c’était hier. Enfin presque parce qu’elle est beaucoup plus expérimentée maintenant et elle a moins peur qu’au début de faire des erreurs. Pourtant, malgré toutes ces années passées, aucun jour ne se ressemble et on espère toujours ne pas vivre au jour comme aujourd’hui bien que ça lui permettait d’apprendre à connaître la petite amie d’Isaac.
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Oh pas vraiment. Peut-être juste éviter que des enfants ne rentrent dans la chambre mais en général, ils sont plutôt bien occupés. » Tu acquiesces d’un mouvement de la tête, comprenant que parfois, la curiosité des autres petits humains dans les environs puisse être dérangeante pendant une situation d’urgence, et tu te fais une note mentale d’être extra divertissante pour les autres si jamais tu devais être présente pendant un tel moment. Tu étais chanceuse, tu n’avais pas eu à gérer avec beaucoup d’urgence depuis la première fois que tu avais enfilé ton costume de la petite sirène, et tu ne pouvais qu’espérer que cela continue de la sorte. La scène d’aujourd’hui te serrait encore le cœur et les images restaient claires dans ton esprit, tu savais qu’elles te suivraient encore quelques temps. Tu étais le genre de personnes qui avaient du mal à se défaire facilement des souvenirs et émotions plus lourdes, bien que tu tentais de ne pas trop le laisser paraître devant l’infirmière que tu ne connaissais pas vraiment. « Vraiment? Qui connais-tu? Je me doute qu’il y a certaines personnes de ce service. » Tu hoches doucement la tête. Tu connaissais quelques-unes des infirmières, de noms et de visages surtout, mais ce n’est pas vraiment à elles que tu faisais référence. « Une de mes amies est interne en chirurgie pédiatrique. Joy Petterson. » que tu expliques d’abord et puis, tu hésites quelques secondes avant d’ajouter « Et je suis très proche d’un infirmier qui travaille aux urgences. Isaac Jensen. » Très proche n’étant certainement pas la bonne appellation pour décrire ta relation avec Isaac, mais comme tu ne connaissais pas la blonde devant toi et que votre relation n’était pas encore public, tu ne souhaitais pas prendre de chance de voir la nouvelle se répandre avant que tu n’aies pris la décision de l’annoncer. « Disons plus différentes tâches mais j’avoue que j’aime savoir qui s’approche de mes petits patients. Je suis un brin protectrice, je l’avoue. » « Je comprends ça. » que tu réponds avec un sourire. « Promis, je n’ai que leur bien-être à cœur. » C’était sincère après tout. Tu voulais créer des sourires sur leurs visages, remplir leurs esprits de beaux souvenirs, le temps d’une heure ou deux. Leur permettre d’oublier l’endroit dans lequel ils se trouvaient, si telle chose était réellement possible.
« Quelque chose que l’on peut regarder en ce moment? » Tu secoues doucement la tête de gauche à droite. « Pas encore, mais très bientôt. Une mini-série sur Netflix qui va paraître à la mi-novembre. Quelque chose d’un peu cliché, pour le temps des fêtes. » que tu lui expliques. C’était une série que tu espérais feel good, pas exactement le genre de projets que tu avais toujours rêvé de faire, mais c’était pour toi une opportunité de te refaire un nom après toutes les rumeurs rattachées à ton nom en 2020 et au début de 2021 donc franchement, tu ne pouvais pas te plaindre. Et puis c’était ton premier pas auprès d’un gros nom tel que Netflix, tu ne pouvais qu’espérer que ce ne serait pas le dernier. « Vraiment? Tu as du temps pour faire tout ça? Tu n’es pas fatiguée? » Tu échappes un léger rire. « Jamais autant que ceux qui font des boulots essentiels comme le tien. » que tu renchéris, bien plus impressionnée par l’horaire des gens travaillant dans le domaine de la santé. « Je n’ai pas beaucoup tourné dans les derniers mois, ça me donne plus de temps pour le bénévolat. » que tu lui expliques toutefois. Tu es habituée à des horaires bien plus chargées, même si le rythme plus lent de la dernière année t’avait fait du bien. Tu n’étais pas encore certaine de savoir si tu souhaitais que les choses restent plus tranquilles comme en ce moment, ou si tu espérais reprendre ton rythme effréné d’autrefois. Ça, c’était la question d’un autre jour toutefois. « Ça fait un moment oui. Il y a quinze ans à peu près mais le temps est passé si vite que ça ne semble pas aussi long. » « Wow. » que tu souffles, impressionnée. « Tu as l’air vraiment à place ici en tout cas, de ce que j’ai vu. » Attentionnée envers ses patients, efficace et au-dessus de ses affaires du peu que tu as pu apercevoir. « Ça te plaît toujours? »
Tant que les infirmiers et médecins n’étaient pas dérangés par les bénévoles, c’était vraiment le plus important pour elle. Elle ne s’imaginait pas être en train de s’énerver contre un bénévole bien que ça lui soit déjà arrivé. Elle était ici depuis bien longtemps maintenant alors il était évident qu’elle avait vu toute sorte de bénévole passer.
Elle se demanda cependant qui Penny connaissait. Elle savait qu’il y avait Isaac bien évidemment mais pour le reste, elle ignorait tout. « Une de mes amies est interne en chirurgie pédiatrique. Joy Petterson. » Oui forcément, Juliana connaissait Joy. Etant dans le même service, ça n’avait rien de surprenant du tout. « Et je suis très proche d’un infirmier qui travaille aux urgences. Isaac Jensen. » Elle s’étonna qu’elle dise qu’elle soit proche d’Isaac. Est-ce que leur relation était bien plus forte encore que ce qu’elle avait imaginé ? C’était probable bien qu’elle en resta quelque peu surprise. Elle fit mine de rien, désirant toujours en savoir plus sur la jeune femme en face d’elle et ne pas éveiller les soupçons sur ses réelles motivations. Enfin ses motivations étaient d’apprendre à connaître l’actrice bien évidemment mais surtout de protéger son ami. « Oh je vois. Je connais Joy bien évidemment mais je suis curieuse d’Isaac. Proche dans quel sens ? Il était dans le service avant. Enfin, il a du faire tout l’hôpital, une vraie célébrité. » Il était passé dans tous les services avant de se diriger vers les urgences. Juliana avait été triste qu’il ne choisisse pas de rester avec elle mais il venait assez régulièrement pour qu’il soit encore connu des petits patients.
Elle avoua donc à Penny qu’elle était très protectrice de ses patients. Ca n’était d’ailleurs un secret pour personne. Etant là depuis longtemps, elle était bien connue pour ça et tout ce qu’elle faisait pour eux. Elle ne voulait donc pas que quelqu’un puisse leur faire d’une mal d’une quelconque manière. « Je comprends ça. Promis, je n’ai que leur bien-être à cœur. » Elle sourit. « C’est gentil. Ils en ont besoin. » Elle regarda le gobelet. Elle avait envie de boire mais la vue du café l’en dissuada.
Juliana s’intéressa alors aux projets professionnels de Penny. Elle savait qu’il faudrait qu’elle dise à sa sœur qu’elle devait regarder tel film ou série pour lui dire qu’elle avait déjà rencontré l’actrice plusieurs fois. Sa sœur serait surement jamais mais ça serait bien drôle pour la Jones de lire ça sur le visage de sa cadette. « Pas encore, mais très bientôt. Une mini-série sur Netflix qui va paraître à la mi-novembre. Quelque chose d’un peu cliché, pour le temps des fêtes. » Elle sourit. Par cette période, elle aimait les films gnangnan et à l’eau de rose. Elle aimait l’atmosphère tranquille qui s’en dégageait. « Oh vraiment ? Tu sais, le cliqué est toujours bien pendant cette période des fêtes. Je vais checker quand ça sortira. » Elle ne savait pas la date mais Netflix montrait généralement ses nouveautés. En espérant que la série de Penny soit dedans. Elle ne savait pas vraiment si la chaine ne montrait qu’une partie de ce qui sortait ou tout le contenu. En tout cas, elle fut intriguée par le fait que la sirène ait autant de temps pour elle. Juliana aurait aimé être bénévole mais entre ses horaires, ses chiens et ses différents hobbies ; elle pas le temps pour et serait surtout incapable de se tenir à tel jour ou telle heure de la semaine. « Jamais autant que ceux qui font des boulots essentiels comme le tien. » Elle sourit. D’après ce qu’elle avait entendu, les tournages pouvaient être aussi très longs et épuisants même si ce n’était peut être pas la même fatigue et le même but. « Je n’ai pas beaucoup tourné dans les derniers mois, ça me donne plus de temps pour le bénévolat. » Effectivement, si son agenda était libre, elle pouvait se le permettre mais ça n’empêchait pas que Juliana soit impressionnée. Penny aurait pu prendre du temps pour elle et faire autre chose mais non, elle dédiait son temps à aider. C’était rare. « Je vois. C’est vrai que c’est plus évident quand on a un agenda moins chargé parce que j’ai entendu dire que les journées pouvaient être très longues lorsque l’on est acteur. » Elle était curieuse de savoir comment se passait la vie professionnelle de la jeune femme. Ce n’était pas la première fois qu’elle rencontrait une actrice mais c’était la première fois qu’elle conversait réellement avec une. Elle savait aussi que souvent elles préféraient parler d’autre chose alors elle ne serait pas étonnée si Penny lui disait la même chose.
La blonde s’intéressa à la vie de l’infirmière et depuis combien de temps elle était ici. Juliana avait su jeune qu’elle voulait aider les enfants alors il n’était pas étonnant qu’elle ait commencé tôt à travailler ici ce qui lui donnait une longue carrière qui impressionnait souvent. « Wow. Tu as l’air vraiment à place ici en tout cas, de ce que j’ai vu. » Au moins, cela voulait dire qu’elle faisait bien son travail bien que depuis le temps, elle savait ce qu’elle faisait. « C’est gentil merci. » « Ça te plaît toujours? » Elle sourit, pensant à ses petits patients qu’elle voyait chaque jour et qu’elle avait la chance de côtoyer. Malgré la dure réalité de la vie, cela lui avait permis de garder son âme d’enfant. « Oui, j’adore ce que je fais. Je ne dis pas que certains jours ne sont pas durs comme lorsque l’on perd un patient ou comme aujourd’hui mais c’est le métier qui veut ça. Je l’ai choisi par passion et cette passion est encore là alors je ne suis pas prête d’arrêter. » Non, malgré les différentes difficultés qu’elle affrontait et le fait qu’elle savait qu’elle devait prendre un peu plus de recul ces derniers temps, elle ne désirait pour rien au monde changer de métier. Et comme l’avait dit Penny un peu plus tôt, son métier lui permettait de se sentir utile.
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Tu ne savais pas si tu avais bien fait de mentionner le fait que tu étais proche d’Isaac. Tu ne connaissais pas grand-chose de Juliana après tout, et tu ne savais pas non plus si elle-même connaissait de près ou de loin ton petit-ami. Tu espères qu’elle se concentra plutôt sur le fait que tu connais aussi Joy, même si les choses sont loin d’être au beau fixe entre vous en ce moment. « Oh je vois. Je connais Joy bien évidemment mais je suis curieuse d’Isaac. Proche dans quel sens? Il était dans le service avant. Enfin, il a dû faire tout l’hôpital, une vraie célébrité. » Eh merde. Ton espoir est rapidement vain quand Juliana fait tout le contraire de ce que tu voulais, ignorant pratiquement ton amitié avec Joy pour se concentrer d’un peu trop près sur les mots que tu avais choisis pour décrire ta relation avec l’infirmier. Un sourire gêné se forge sur tes lèvres, tu pourrais jurer sentir tes joues s’enflammées légèrement alors que tu hésites entre la jouer plus casual ou alors d’être complètement honnête et transparente avec la jeune femme, au risque de mettre l’anonymat de votre relation en jeu. Peut-être bien que tu es trop naïve, mais elle ne te semble pas être le genre de personnes prête à vendre la moindre information à des paparazzis, surtout que jusqu’à maintenant, elle n’a fait aucun commentaire sur ta carrière d’actrice. « Pour être vraiment honnête avec toi, on se fréquente depuis quelques temps. » Tu ris doucement, replaçant l’une des mèches de ta perruque derrière ton épaule. « Tu le connais bien? » que tu lui demandes, curieuse à ton tour. « C’est gentil, ils en ont besoin. » Tu hoches doucement de la tête. Tu prenais très à cœur ton rôle de bénévole, plus encore depuis que tu fréquentais Isaac, comme si d’entendre les histoires des patients, les petits comme les grands, du point de vue de ton amoureux te rappelait un peu plus l’importance et la différence que ton rôle pouvait avoir.
Juliana se fait un peu plus curieuse à ton sujet après que tu lui as appris ce que tu fais dans la vie et tu lui parles de cette mini-série qui va bientôt paraître sur Netflix et dans laquelle tu tiens le rôle principal. « Oh vraiment? Tu sais, le cliqué est toujours bien pendant la période des fêtes. Je vais checker quand ça sortira. » « Tu me diras si ça t’a plu. » Tu ne doutais pas que tu serais amenée à le recroiser tôt ou tard, surtout qu’après la sortie, ton agenda allait se faire encore plus vide et que tu comptais bien consacrer pas mal de temps à ton bénévolat pendant la période des fêtes que tu imaginais déjà occupée pour ton amoureux. « Je vois. C’est vrai que c’est plus évident quand on a un agenda moins chargé parce que j’ai entendu dire que les journées pouvaient être très longues lorsque l’on est acteur. » Ce n’est pas faux après tout, certains tournages peuvent commencer à 5 ou 6h du matin et il n’est pas rare d’enchaîner des douze heures, surtout sur les longs-métrages, mais tu n’avais jamais été le genre à te plaindre de tes horaires chargés, appréciant chaque moment où tu avais la chance de te faufiler dans la peau d’une autre et de donner vie à un tout nouveau personnage. Ça faisait trop longtemps d’ailleurs que tu n’avais pas eu ce plaisir et d’y penser ainsi te faisait réaliser que ça te manquait plus que tu ne le pensais. « C’est vrai que les tournages peuvent être assez intenses, mais c’est souvent l’histoire de quelques semaines, quelques mois tout au plus. » que tu expliques. « Je n’ai pas enchaîné beaucoup de projets cette année donc j’ai eu pas mal de temps pour le bénévolat et ça fait du bien, de donner au suivant. » Tu appréciais beaucoup ce que tu faisais et même si ce n’est pas exactement le chemin que tu rêvais d’emprunter, tu trouvais une certaine satisfaction à la tournure qu’avait pris ta vie dans les derniers mois.
« C’est gentil, merci. » Tu étais sincère. Tu trouvais que les gens qui se décidaient à faire un métier d’aide, comme Isaac et Juliana, se devaient d’avoir la vocation car ce n’était pas un milieu facile, loin de là. « Oui, j’adore ce que je fais. Je ne dis pas que certains jours ne sont pas durs comme lorsque l’on perd un patient ou comme aujourd’hui mais c’est le métier qui veut ça. Je l’ai choisi par passion et cette passion est encore là alors je ne suis pas prête d’arrêter. » « Tes petits patients sont bien chanceux de t’avoir alors. » que tu conclues, réellement impressionnée par la fougue qui dégage de chez la blonde. Tu jettes un coup d’œil à ton téléphone et réalise que l’heure tourne et que tu dois retourner auprès des enfants justement avant de partir, ayant un autre engagement plus tard dans la journée. « Je te laisse profiter de la fin de ta pause alors, j’ai promis à quelques patients de repasser les voir avant de partir. » que tu expliques tout en te levant. « Ça m’a fait plaisir de discuter avec toi, Juliana. » D’autant plus maintenant que tu savais qu’elle jouait un rôle important dans la vie de ton amoureux.
TJuliana était intéressée d’en savoir plus sur Penny et Isaac. Elle savait qu’ils étaient ensemble car Isaac le lui avait dit mais elle n’en savait pas tellement plus ce qui l’intriguait. Surtout qu’elle ne connaissait pas vraiment la jeune bénévole. « Pour être vraiment honnête avec toi, on se fréquente depuis quelques temps. » Quelques temps étaient un peu vague mais en même temps, elle ne voulait pas pousser sa chance et se montrer trop insistante. Surtout que son ami lui avait déjà dis comment les choses s’étaient passées. « Oh vraiment ? C’est intéressant ça. JE pense juste que ça va briser quelques cœurs. » Elle savait que pas mal de ses collègues notamment trouvait Isaac séduisant et très gentil, ce qui aidait beaucoup. Il avait fait tourner bien plus de tête qu’il ne le savait incluant la sienne. Chose sont ils n’avaient jamais parlé ce qui l’arrangeai bien. « Tu le connais bien? » Le connaître bien était un euphémisme. Elle préféra cependant ne pas trop s’attarder sur les détails personnels. « Il est resté pas mal de temps dans le service alors je le connais plutôt bien oui. Surtout qu’il repasse régulièrement. » Selon Juliana, il n’avait jamais vraiment quitté le service bien qu’il ne soit plus listé ici mais aux urgences.
Elles discutèrent alors de la vie de Penny, de ce qu’elle faisait. Juliana découvrit qu’elle pourrait la voir sur écran dans peu de temps. [color=purple]« Tu me diras si ça t’a plu. » Elle sourit. « Avec plaisir. » Elle trouvait ça bizarre de pouvoir dire un jour à une actrice si elle aimait ou pas son travail. C’était un peu surréaliste. « C’est vrai que les tournages peuvent être assez intenses, mais c’est souvent l’histoire de quelques semaines, quelques mois tout au plus. » Juliana trouvait ça un peu surprenant. Elle pensait que c’était encore plus intense que ça mais elle ne connaissait pas assez ce domaine d’activité pour le savoir. « Oh d’accord. JE pensais que c’était souvent il y avait plus ou moins des projets en même temps. » Enfin maintenant qu’elle y pensait, elle ne voyait pas vraiment comment ils pouvaient y avoir plusieurs projets en cours lorsqu’ils filmaient. « Je n’ai pas enchaîné beaucoup de projets cette année donc j’ai eu pas mal de temps pour le bénévolat et ça fait du bien, de donner au suivant. » C’était ce que Juliana appelait s’acclimater. Tout le monde n’était pas comme Penny et souvent, d’ailleurs, elle supposait que les stars se reposaient. En tout cas, elle commençait vraiment à apprécier la jeune femme. Elle semblait réellement faire ça parce qu’elle le voulait, pas parce qu’on l’obligeait. « Oh ça c’est bien. JE te comprends totalement. Je suis du même avis bien que je n’ai pas vraiment de temps. » Juliana aurait aimé pouvoir donner plus de son temps mais elle n’en avait pas vraiment à donner. Une fois terminée ici, elle faisait de la pâtisserie pour ses petits patients et profitait aussi pour prendre du soin pour elle car c’était important pour qu’elle garde la santé et le moral. Et vu qu’elle ne savait jamais lorsqu’elle aurait un moment pour elle, elle préférait éviter de donner de faux espoirs à une association.
Elle expliqua alors à Penny que son métier était sa passion malgré les difficultés. Ses patients étaient vraiment une grande partie de sa vie et elle ne pouvait pas s’imaginer sans eux. Elle les aimait trop pour ça et désormais, ça serait probablement les seuls qu’elle pouvoir avoir à « elle. » Avec la mort d’Ian, ses projets d’adoption étaient tombés à l’eau et elle doutait s’y remettre un jour. « Tes petits patients sont bien chanceux de t’avoir alors. » Elle sourit à nouveau. « Merci, c’est gentil à toi. » Trop intéressée par Penny, elle ne s’était pas vraiment rendue compte que le temps tournait. « Je te laisse profiter de la fin de ta pause alors, j’ai promis à quelques patients de repasser les voir avant de partir. » La rouquine se leva alors. Juliana n’allait pas tarder elle aussi à reprendre le chemin des couloirs pour savoir ce qu’il y avait de nouveau. Surement pas grand-chose mais tout allait tellement vite dans le service que plus rien ne l’étonnait réellement. C’était les rouages du métier. « Ça m’a fait plaisir de discuter avec toi, Juliana. » Elle sourit une dernière fois. « Moi aussi. Je suis contente que l’on ai pu enfin faire mieux connaissance. » Bien évidemment, elle ne connaissait pas encore beaucoup Penny mais elle était contente d’avoir pu enfin discuter avec elle. Elle semblait vraiment gentille.