AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Besoin d'un coup de main pour t'intégrer ?
Clique ici pour trouver un parrain et relever les défis du nouveau !
Le forum a besoin de vous
N'oubliez pas de voter autant que possible.
Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal

 le billet de trop (Andhra)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyMar 26 Oct 2021 - 18:27

Qu’est ce que tu aurais envie que je te réponde ? c'était là une excellente question, malheureusement Andhra ne nourrit pas la curiosité du politicien, dont les mains baladeuses perturbaient le fil des ses pensées. Y avait-il seulement une réponse à fournir, que voulait-elle entendre, c'était le fond de sa pensée ? Il la prenait pour ces femmes qui ne veulent entendre que ce qui leur font plaisir ? Un joli mensonge bien emballé dans du papier de soie plutôt que la vérité nue ? Non. C’est juste que je n’ai pas envie de laisser cet incident entacher toute… elle prit une profonde inspiration, doucement l'air emplit ses poumon, gonfla sa cage thoracique alors que son ventre se creusait sous la pulpe des doigts de Blake. Leva le nez vers lui au point d'en coller sa tempe contre la mâchoire du quadragénaire, ouïe aiguisée, elle attendait la chute. … l’amitié que j’ai pour toi. Elle entre ouvrit les lèvres en arquant les sourcils, restée sur sa faim. L'amitié, voilà ce que l'on donne aux gens moches, naturellement, la libanaise eut l'envie de le lui faire remarquer, mais s'en abstint, glissant ses mains fines sur les poignets du politicien. [...]Tu m’as clairement fait comprendre que tu voulais passer la nuit chez moi. Pourquoi ? "Oui, enfin, j'ai aussi comparé tes prouesses sexuelles à la durée d'un coup de téléphone, ça ne t'a pas empêché de me ramener chez toi." Visage qui se détourne à l'opposé du sien alors qu'un sourire amusé étirait ses lippes. Pourquoi répondait-il a ses questions par de nouvelles interrogations, pourquoi s'évertuait-il toujours à faire en sorte d'obtenir des réponses sans daigner en donner à Andhra ? Fier coq au torse bombé qu'il est. Était-ce là de l'égoïsme ? Et alors qu'elle ne lui fournit aucune réponse concrète il ajouta : J’avais envie de passer la nuit avec toi. envie partagée, à croire que celle de Siede était si forte qu'il se moquait profondément de l'affront qu'elle lui avait fait des jours plus tôt, s'en foutait d'avoir été insulté durant la soirée et oui, ces détails aussi minimes et stupides soient-ils, pesait lourd pour la jolie brunette. Jamais elle n'aurait laissé passé de qui que ce soit qu'on lui dépose un billet sur sa table de chevet.

Il la quitte brutalement, index et majeur qui viennent caresser son front avant qu'elle ne croise les bras contre sa poitrine pour l'observer s'éloigner d'elle. La Martel, plantée au milieu de la pièce en sous vêtements de dentelle. Stupide petite créature vulnérable, parce que c'est ainsi qu'elle se sent alors que la chaleur que lui apportait Blake s'estompe presque aussi rapidement qu'il s'en vas se servir un verre. Le calme avant la tempête vous dites ? Peut-être... Qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi Andhra Martel ? Si, elle se sentit perdue pendant un bref instant durant lequel la chargé de relations publiques est restée planté là, le dos voûté, elle s'est rapidement ressaisie, ramassant l'amas de tissus rouge au sol pour le jeter dans le canapé au passage, d'un geste sec, alors que, d'un pas assuré, la belle se décidait à le rejoindre esquisse de sourire sur le visage. Qu'allait-il faire d'elle ? hm. Une myriade de choses étaient possibles, lui fallait-il les énumérer ? Elle s'installa gracieusement sur le plan de travail le plus proche, jambes croisées, la brunette observait son amant à bonne distance, c'est à dire : à portée de main de la bouteille de whisky et du verre qu'il lui a sorti. "Tu pourrais commencer par me réchauffer," empoignant la bouteille, elle remplit le fond de son verre avant de le lever pour le porter à ses lèvres sans en boire une goutte. "Tu pourrais, aussi, avouer qu'avec toute l'amitié que tu me portes, tu ne sais pas me dire non," bout de sa langue qui glisse sur ses gencives avant qu'elle ne prenne une petite gorgée de l'alcool ambré. Elle n'en a pas fini, non. "D'ailleurs, combien sommes-nous à nous partager ton amitié, juste par curiosité." t'as vraiment envie de le savoir, ne crains-tu pas que la réponse te déplaise ? s'est léché les babines en observant le fond de son verre avant de lever ses prunelles brunes vers Blake. Pourquoi se risquait-elle à poser une question à laquelle, il y avait 50% de chance qu'il mente. Non, il ne mentirait pas, après tout, ils ne se sont rien promis. Mais s'il ment quand même ? Est-ce que tu viens réellement demandé ça, Andhra ? Un bref instant l'assurance de la libanaise s'envole et pour se donner plus de courage elle termine d'une traite le contenant de son verre avant de le faire claquer contre la surface près d'elle. Si elle a savourer son breuvage ? Absolument pas non. Alcool qui lui brûle la trachée, lui réchauffe les joues et tout le corps.



@blake siede :l:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyJeu 28 Oct 2021 - 3:19



Alors qu’elle s’était avancée pour se hisser sur son plan de travail, il put apprécier au mieux la délicate dentelle qu’elle portait. Il l’observait alors qu’elle lui rappelait l’appréciation qu’elle s’était faite de ses prouesses sexuelles, la bouteille de whisky hors de prix en main qu’elle avait ensuite portée avec impertinence à ses lèvres, soutirant au passage un léger sourire à l’homme. « Je t’avoue que j’ai un peu de mal à te croire. » Sa confiance en ses capacités et son égo n’étaient certainement pas assez fragiles pour que sa comparaison ne parvienne à l’atteindre. Puis depuis le temps,  il en aurait certainement déjà eu vent si c’était vrai. « Tu ne m’as pas laissé cette impression la dernière fois ». Puis il se plaît à croire qu’il savait tout particulièrement s’occuper de ses dames. 


Ses yeux sur la demoiselle qui avait désormais empoigné son verre. Tu pourrais commencer par me réchauffer. Blake s'avança pour lui faire pleinement face, ses paumes rencontrèrent à nouveau ses jambes. […] Tu ne sais pas me dire non. « Si je me rappelle bien, tu t’es infiltrée dans la voiture de mon chauffeur et tu as demandé… Que dis-je ? Ordonné que je te ramène. Évidemment que face à autant de ténacité je ne pouvais que dire oui. ». Bien Sûr qu’il pouvait lui dire non, seulement qu’il avait décidé de ne pas le faire. « Et donc tu aurais fait tout ça pour la durée d’un coup de téléphone ? » finit-il par conclure.


Il l’écoutait parler avec attention jusqu’à ce que ses sourcils se froncent légèrement à l’entente de sa question. Pas tant qu’elle l’avait outré, il lui en faudrait bien plus, simplement qu’il s’interrogeait quant à la motivation qui se cachait derrière. Rien n’est gratuit, tout particulièrement lorsqu’il s’agit de la demoiselle. D’où venait cette soudaine curiosité ? Est-ce l'alcool qui déliait les langues ? Il n'avait pas droit à autant de questions d’habitude, qu’est ce qui avait changé ? Prenant conscience que cette interrogation lui donnait surtout l’occasion de la lui retourner, il y répondit. « Je ne sais pas, je ne compte pas. » Son regard se posa sur ses doigts qui se baladaient sur ses jambes, « En ce moment ? » pour mieux le planter dans ses yeux une fois qu’il eut réfléchi quelques secondes. « Entre une et cinq, sûrement », avait-il répondu simplement. Aucune raison ne le poussait à mentir, de toute façon, il n’y a pas de bonne réponse à cette question, si ? Des amis de ce genre, il en avait plusieurs mais déjà qu’en temps normal ça n’était pas une priorité, depuis qu’il bossait sur sa campagne ça l’était encore moins. «  Je suis pas sûr d’avoir envie de connaître la réponse mais puisqu’on est sur ce registre.  Je me permets de te retourner la question. » Pas sûr que sa réponse le satisferait, ses jambes avaient été touchées par d’autres ? Il n’était même pas sûr de savoir pourquoi il lui retournait la question, l’ignorance ne l’avait jamais dérangé jusqu’à maintenant. Il suréleva une de ses jambes déposa un baiser au niveau de sa cheville et un autre à l'intérieur d’une de ses cuisses. Puis il la tira vers le bord du comptoir pour la rapprocher de lui car la distancée t’ait de trop. « Pourquoi toutes ces questions soudainement ? ».



@Andhra Martel le billet de trop (Andhra) - Page 2 873483867
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyLun 1 Nov 2021 - 11:19

[...] tu aurais fait tout ça pour la durée d’un coup de téléphone ? Regard en biais qu'elle lui adresse la tigresse, esquisse d'un sourire qui lui pince les lèvres, elle s'était montrée mauvaise et il avait démonté ses dires d'un simple claquement de doigts. Pourquoi s'entêtait-elle à le piquer pour le faire réagir, pourquoi tentait-elle de changer de mécanique, celle qu'ils avaient adoptée semblait leur convenir à tous les deux, alors pourquoi maintenant, pourquoi vouloir bousculer les règles du jeu, qu'est-ce qui avait changé ? Rien, rien n'avait changé pourtant. La libanaise avait cru bon de pimenter le tout en testant les limites, appuyant sur tous les boutons qu'elle avait à sa disposition et n'avait rien trouvé de mieux que de déposer un vulgaire billet sur la table de chevet de Blake pour voir s'il allait quand même revenir après cet affront, que dis-je, après cette insulte. Culottée dites-vous ? Moi je n'ai pas les mots pour décrire son geste.

Vient alors le moment pour le politicien de répondre, homme loup au regard d'acier qui s'était approché, avait simplement répondu à la requête de la petite brune assise sur son plan de travail en sous-vêtements de dentelle à un prix exorbitant, glissant ses doigts sur l'épiderme chaud de cette dernière. Je ne sais pas, je ne compte pas. Ca pourrait valoir un haussement de sourcil ça, mais la jolie Andhra ne régit pas, reste impassible, consciente que la réponse ne lui plaira pas quelle qu'elle soit. En bonne joueuse de poker, la trentenaire ne dévoile pas son jeu, se contente de lui tendre oreille attentive tout en savourant les caresses de son amant. En ce moment ? et ça se présente mal, si elle s'affairait à afficher sa plus belle poker face, la question du beau brun la chiffonnait plus que ce qu'elle ne put s'imaginer. Alors mentalement elle lui répondit que Bien sur en ce moment, pas ces vingt dernières années, mais d'extérieur elle se permit de battre lentement des paupières, envolé le petite sourire, non, visage inexpressif qui dissimulait un sentiment d'amertume peu appréciable au point qu'elle en secoua la tête pour s'en défaire. Que le glas sonne, allez... s'impatientait-elle silencieusement alors que Siede relevait le nez vers la Martel, iris d'opale se plantaient dans celles ébènes de la libanaise. Enfoiré, se dit-elle, convaincue que quelque part, tout au fond de lui, il cherchait à la sonder, voir sa réaction quand à la réponse qu'il lui fournit : Entre une et cinq, sûrement.

Mâchoire légèrement crispée, elle souffla un léger rire, sec, par le nez en levant le menton, regard au plafond un bref instant. Il n'y a aucune bonne réponse, jamais dans de telles conditions. Alors non, ils ne se sont rien promit, après tout ils sont adultes et ont bien le droit de faire, voir, fréquenter et coucher avec qui ils veulent sans rendre de compte à personne. Mais, et si elle avait envie de rendre des comptes Andhra ? Ses désirs font désordre. "Et tout ça en gérant une campagne," commença t-elle en hochant lentement la tête, faussement impressionnée. "C'est ce que j'appelle avoir le sens de l'organisation." ajouta t-elle caustique, sourire ironique au bord des lèvres. Ce n'est donc pas la campagne qui l'empêche de téléphoner, et puis, merde à la fin, pourquoi s'accroche t-elle à ce détail, elle s'en fout non ? Qu'est-ce qu'elle en a à foutre qu'il en fréquente d'autres ? Je suis pas sûr d’avoir envie de connaître la réponse mais [...] Je me permets de te retourner la question.

Alors Andhra, maintenant qu'il te retourne la question, que vas-tu lui répondre hm ? Sa cheville est capturée, elle, se penche légèrement en arrière, prenant appuie sur ses bras pour l'observer y déposer un baiser, palpitant qui s'emballe au contact de ses lèvres sur sa peau dorée, simple geste qui, l'espace d'un instant lui fait oublier la contrariété qu'elle a pu ressentir, qui l'a gagnée comme on rate une marche, sans s'y attendre. "Tous genres confondus ?" a demandé la jeune femme plus pour elle-même qu'à celui qui l'interrogeait, une manière de gagner du temps, de réfléchir à une réponse convenable à laquelle, l'espace d'un instant Andhra se dit qu'elle allait mentir. Parce que la vérité pourrait effrayer le politicien. Mais qui sait, peut-être qu'il ne la croirait pas. "En ce moment..." lèvre qu'elle mordit quand les lèvres brulantes de Blake se posaient à l'intérieur de sa cuisse. "Juste toi." lâcha t-elle brusquement alors qu'il l'attirait à lui. Mâchoire serrée, la fierté de la Libanaise la somma de mentir, de garder la tête haute et de s'inventer une tripotée d'amants prestigieux, mais la raison, elle, souhaitait qu'elle reste franche et honnête, quitte à faire fuir le politicien. Pourquoi toutes ces questions soudainement ?

"Techniquement, je n'ai posé qu'une question depuis que nous sommes arrivés chez toi, donc, je ne suis pas plus curieuse que d'habitude..." a t-elle commencé en s'approchant de lui, glissant le bout de sa langue sur les fines lippes du grand brun, retrouvant une certaine contenance, ses doigts eux, s'amusaient à défaire les boutons de la chemise blanche un à un quand le regard de la brune ne lâchait pas celui de Siede. "Mais si tu veux plus d'action..." mains finement manucurées qui écartent les pans de sa chemise pour glisser doucement sur son torse, index qui dessine des cercles sur son abdomen alors que ses lèvres s'en vont s'écraser dans son cou. Mordille la peau parfumée du quadragénaire, y dépose quelques baisers avant de souffler : "Et ainsi t'éviter la corvée d'entretenir une conversation avec moi..." Non Andhra, il ne t'a pas amenée là pour faire la conversation, tu es une belle plante et accessoirement, un bon coup alors fais ce qu'il attend de toi et ferme-la. Pourtant celle pensée là la dérange un peu, lassée de n'être considérée que comme un joli physique. Après tout, il l'avait dit lui même, il avait envie de passer la nuit avec toi, il n'a pas parlé de longues conversations, pas question de martini et de ses faire des tresses, non, tu n'es pas venue ici pour tailler le bout de gras. Pantalon qu'elle a entement ouvert pour s'y introduire, passer outre la barrière de la décence, jouer avec lui tout en plantant ses prunelles ébène dans celles de Blake. Geste qui lui réchauffa le corps tout entier, chaleur agréable qu'elle sentit la gagner à mesure qu'elle s'amusait avec lui.



@blake siede le billet de trop (Andhra) - Page 2 873483867
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyMer 3 Nov 2021 - 13:08



La distance qui les séparait était bonne, elle lui permettait d’être assez proche pour saisir la moindre micro expression de son visage qui la trahirait  ; mais face à ses déclarations, il n’avait droit qu’à un visage impassible et imperturbable. Il crut un instant à de l’indifférence, du moins, jusqu’à ce qu'elle laisse s’échapper un rire sec entre ses lèvres, après avoir levé les yeux au ciel. Here it is. « Avec un peu d’organisation, on peut faire beaucoup de choses » avait-il répondu sans trop de conviction, trop occupé à étrangement se contenter intérieurement de voir que la belle n’était pas aussi insensible qu’elle avait tenté de le faire croire. 

Vînt alors son tour de patienter pour connaître la multitude de personnes avec qui elle passait régulièrement ses nuits quand elle ne les passait pas avec lui. L’homme s’attendait à un grand nombre, face à la libanaise dont il avait conscience que les charmes laissaient difficilement de marbre la gente masculine. Ses sourcils s’étaient aussitôt froncés quand elle s’était demandée à haute voix si tous les genres devaient être comptés ; ce n’était pas tant le fait qu’il apprenait que les courbes féminines ne lui résistaient pas, mais bien le fait qu’il ait dû revoir une fois de plus à la hausse ses estimations. Ce fut comme l’effet d’une petite chute libre quand elle lui confia qu’il était le seul « Juste toi. ». Son regard s'était planté dans ses prunelles, dans lesquels il cherchait à y décrypter quelque chose sans vraiment savoir quoi, sûrement les explications de sa réponse brève pour autant impactante. Mais la brune s’était déjà affairée à autre chose, lui laissant à peine le temps d’assimiler ce qu’il venait d’entendre qu’une main glissait déjà sur son torse et que ses lèvres s’étaient liées à nouveau aux siennes. Elle devait avoir décidé que l’heure n’était plus à la discussion, peut-être de crainte d’entendre ce qu’il pourrait lui répondre. “[…] Mais si tu veux plus d’action…” Puis ses lèvres rouges quittèrent les siennes pour errer contre la peau brûlante de son cou. Et ainsi t’éviter la corvée d’entretenir une conversation avec moi…”. Sa main était arrivée à un niveau qui l’empêchait de réfléchir. L’espace sous le tissu s’était restreint face à son entrejambe qui répondait au toucher de la libanaise auquel il se laissait aller. Malgré tout, résonnaient toujours, dans son esprit, les quelques mots qu’elle avait prononcés plus tôt. Aurait-elle pu mentir ? Bien sûr qu’elle aurait pu. Elle lui aurait dit ce que toute personne aurait voulu entendre. Peut-être même qu’elle avait dit cela dans le seul but de pouvoir mieux l'offenser quand elle lui laisserait à nouveau un billet à son chevet. Mais face à ses nouvelles déclarations, il se demandait si au-delà de l’insulte, il ne fallait pas y voir là une provocation, un électrochoc, ou même un moyen de tester ses limites ? Ses deux paumes s’appuyèrent contre le plan de travail pour mieux rester composer face aux sensations que la trentenaire lui provoquait, c’est que cette femme lui faisait perdre toute la perspicacité dont il faisait habituellement preuve. Plus d’action ? Ok. ” avait-il finit par répondre en se débarrassant enfin de son pantalon dévoilant la bosse qui s’y était formée. 

Il ne remettait pas sa parole en doute, mais avait du mal à croire. Il avait du mal à croire que cette femme prisée, objet de nombreuses convoitises, ne multipliait pas les amants. Ne serait-ce que dans son milieu où elle côtoie beaucoup d’hommes importants qui pensent que tout leur est dû et qui ne manquent jamais de le faire savoir, il les connaît bien ces hommes puisque c’est avec qu’eux qu’il va prendre des verres après le travail dans l’attente de trouver en eux un quelconque soutien politique. Il avait du mal à croire que malgré la tripotée de personnes chez qui elle suscitait de l'intérêt, il était le seul. Il lui était difficile de s'imaginer que cela pouvait aussi résulter d’une véritable volonté de sa part.
Quoiqu'il en soit, il en ressentait un sentiment de contentement. Contentement d'être le seul, mais aussi qu'elle accepte de se placer dans une certaine position de vulnérabilité que ce soit vrai ou non. Il connaissait bien la fierté dont pouvait preuve la demoiselle puisqu’il avait la même à la maison. Confier une telle chose, quand elle aurait pu s'inventer une ribambelle d'amants, nourrissait davantage son exultation. 
Ses mains avaient disparu sous ses cuisses pour mieux la soulever du plan de travail et la reposer sur ses pieds face à lui, afin de pouvoir la sonder au mieux. « C’est vrai ce mensonge ? » lâcha-t-il d’un air taquin alors que ses mains étaient passées sous sa lingerie pour agripper les pêches de son fessier  "Juste moi ?” répéta-t-il parce qu'il l'entendrait bien le dire à nouveau. Il fit glisser sa dentelle le long de ses courbes jusqu’à la laisser s'échouer à terre, et à cette vue, il s’en sentit échauffé. Il souleva la libanaise à nouveau pour la mener jusqu’à la chambre car Blake aimait les choses simples, et le lit en faisait partie.



@Andhra Martel le billet de trop (Andhra) - Page 2 873483867 :l:
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyMer 3 Nov 2021 - 18:29

Plus d’action ? Ok. esquisse d'un sourire qui étire ses lippes, se demande si pour lui l'action se résume à se débarrasser de son pantalon à pinces pour passer aux choses sérieuses, s'amuse à imaginer que la fantaisie pour le politicien se résume à ce geste, que l'impulsion pour lui équivaut à coucher avec quelqu'un la lumière allumée ou les rideaux ouverts. Des classiques diriez-vous, mais il existe en ce bas monde des personnes qui ne connaissent pas les plaisirs simples et pour qui le brin de folie se trouve dans ce genre de petits trucs. Bien vite, elle redescend sur terre, en même temps que les bras de fer de Blake lui font quitter le plan de travail sur lequel, la libanaise avait posé son gracieux fessier. Entre une et cinq, hm. songe silencieux qui lui semble bien amer, se sent stupide et en colère d'avoir osé lui raconter la vérité, mal à l'aise à l'idée d'être en position de vulnérabilité. D'où peut bien être sorti son besoin de lui donner des pierres pour qu'il la lapide, autant immédiatement lui tendre un bâton pour se faire battre. Stupide, stupide, stupide petite fille riche. Alors qu'elle a levé le nez vers lui, main libre posée sur sa joue, la pulpe de son pouce caressait ses lippes, Andhra cesse son geste quand l'insidieuse petite taquinerie de Siede fut prononcée.

Le bâton pour se faire battre, tu vois ?! Espièglerie qui l'a mitigée au point d'en déglutir bruyamment sans même battre des paupières, narines qui tressaillent. Soupir qu'elle a soufflé dans un sourire figé, hochant la tête, la petite brune se servit du plat de son bras qu'elle plaqua contre son buste pour le repousser, sans réelle force alors que lui glissait ses mains plus au sud de sa taille. Juste moi ? Se réjouissait-il égoïstement de la nouvelle, était-ce une forme de fierté qu'il affichait librement de savoir qu'elle ne fréquentait personne d'autre quand lui s'envoyait la moitié d'une équipe de soccer. La petite voix dans sa tête lui dit simplement qu'elle l'avait bien cherché, que la curiosité était un vilain défaut quand sa raison lui intimait de garder son calme, qu'il n'y avait pas là de quoi pester, que ce serait mal venu, qu'il ne lui devait rien. Jalousie n'a pas sa place ici, pas entre eux. "Mh... Entre un et cinq." lui répondit-elle narquoisement en haussant les épaules avant de se laisser porter, entièrement nue, par le politicien.

Il s'agissait là d'une grande première dans l'histoire de leurs petites entrevues nocturnes, Blake avait effectivement soulevé un point essentiel : jamais autant de questions, ni même de confessions n'avaient été faites en ces lieux. A peine eurent-ils passé le seuil de la chambre qu'elle regagnait la terre ferme, ou le parquet ciré d'ailleurs. La petite libanaise se glissa derrière lui pour fermer la porte d'un simple geste avant de se jeter littéralement sur le grand brun, ce qui, lui fit perdre l'équilibre et tous deux s'écrasèrent sur le magnifique et gigantesque lit qui se trouvait au milieu de la pièce. Le surplombant, la belle ne put s'empêcher de rire doucement, à cheval sur son bassin elle s'était redresser pour chasser ses cheveux en arrière avant de ne se pencher sur Blake. "Invite moi à dîner." inexpressive, calme, la Martel lâcha ces mots comme ils étaient venu, lui avaient échappés comme de la gerbe finalement. Bien sur qu'une forme interrogative de cette phrase aurait pu être envisagée, malheureusement bien trop tard, puis, naturellement, parce qu'il s'agissait là du meilleur moment, un tas d'idées farfelues l'ont assaillie. Pensées qu'elle souhaitait chasser d'un simple battement de cil, mais l'un d'elle persistait. S'il le faisait, ça aussi, avec ses conquêtes, si Blake, l'homme qui n'a littéralement pas le temps de téléphoner, mais d'avoir des 'fréquentations', prenait le temps de les emmener au restaurant. Elle n'en revenait pas elle même d'en arriver là, quémander à Siede. A mesure de sa réflexion, son regard se perdit quelque part dans le vague, amenée à se demander qu'est-ce qu'elle faisait, que racontait-elle, qu'est-ce qui pouvait bien lui arriver. "J'en ai envie..." la fierté qui la somme de fermer sa grande gueule avant qu'il ne soit trop tard, peut-être était-ce le fait de se retrouver nue dans ses bras qui aidait à faire tomber certaines barrières, mais combien de temps ?



@blake siede le billet de trop (Andhra) - Page 2 873483867
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptyJeu 4 Nov 2021 - 22:13


La belle avait fermé la porte derrière eux, les enfermant dans la chambre avant qu’elle ne l'entraîne dans sa chute sur son immense lit. Alors qu’il l’observait s’installer sur lui, il pensait que le temps des questions était révolu, qu’ils pouvaient reprendre leurs habitudes et passer à davantage d’actions ; du moins, jusqu’à ce qu’elle brise le silence par une suggestion.. particulière "Invite-moi à dîner.” À l’attente de ces mots, Blake s’était comme raidi, le calme avec lequel elle l’avait dit, l’avait tout particulièrement décontenancé. Un sourcil qui se hausse. C’était donc ça ? Depuis le début, il avait senti que quelque chose avait changé, et ce quelque chose ne venait pas de son côté. La façon dont elle avait quitté le balcon, et cette manie d’être accroché à chaque mot qu’il prononçait. La curiosité sur ses amants, la réponse qu’elle avait eu. Mais surtout le billet qu’elle avait déposé qui hurlait de lui prêter davantage attention. 


Le politicien avait appris de ses relations, et habituellement, ce genre de demande sonnait l'alarme d'arrêter tout avant que quelqu’un ne se blesse. « Ce qu’on a ne te satisfait plus ? » Pourquoi ce désir soudain d’avoir plus ? Est ce que c’était l’alcool qui avait eu raison d’elle, qui l’aurait déridé au point qu’elle ne s’aventure dans un terrain dans lequel ils n’étaient jamais allés ? Ou était-ce les mains du politicien qui n’avaient pas quitté son corps depuis qu’ils étaient arrivés, qui avaient participé à changer les règles de leur jeu ? Nue dans ses bras, elle y avait sûrement trouvé une forme de safe place le temps d’un instant, puisqu’elle ajouta “J’en ai envie...”. Ce sont ces mots qui le coupèrent dans son élan. La vulnérabilité dont elle faisait preuve l’avait pris de court qu’il en restait presque sans mots. Et une fois de plus elle s’était mise dans une telle position de vulnérabilité qu’à ce stade, ça ne le faisait même plus rire. Quelques secondes s’étaient déjà écoulées alors que les mots lui manquaient toujours. Tiraillé, son regard s’était détourné du sien. “C’était ça, alors, qui te préoccupait ?” lâcha-t-il pensif avant de se pincer les lèvres, en secouant légèrement la tête de gauche à droite, l’air ébranlé. Éreinté comme s’il avait tout fait pour éviter ce moment, comme s’il avait redouté qu’elle ne prononce ces mots un jour. Ils ne s'étaient jamais rien dit clairement, mais il pensait qu’il avait été communément accepté implicitement que leur relation se limiterait qu’à ces entrevues nocturnes. “Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée..." Son regard était toujours porté ailleurs, sur ses pouces qui glissaient sur ses cuisses, en fait n’importe où vraiment, du moment qu'il ne croisait pas ses yeux. Il n’emmenait aucune de ces fameuses amitiés au restaurant, jamais, car c’était le bon moyen d’en brouiller les frontières. Ça commençait ainsi, puis ça se terminait mal. Bien sûr, il ne se l’avouerait jamais, mais tout ça l’effrayait car il n’avait pas envie que ce qui avait toujours été simple entre eux devienne compliqué. 


Tiraillé, entre la crainte de ce que ce dîner signifiait pour la libanaise, et son incapacité à le lui refuser. Son regard s’était détourné tout ce temps, mais quand il avait finit par se raccrocher au sien, c’est comme si toute la réflexion qu’il s’était faite venait de s’évaporer. Alors qu’elle était nue, assise à cheval sur lui, à quelques centimètres de son visage, les pupilles plantées dans les siennes, tous ses principes avaient comme perdu en consistance. Il hocha doucement la tête en observant celle qui le surplombait. “ ... mais si tu le souhaites, je t'emmènerais dîner, oui." il lui sourit légèrement alors que sa raison l'assassinait de pas avoir décliner, de ne pas avoir trouver un moyen d'esquiver. Maintenant qu’il l’avait dit, il n’y avait plus de retour en arrière. De toute façon, qu’est ce que c’est un dîner, hein ? Puis merde, Andhra n’est pas une petite fille, ce dîner ne l’engage pas plus que leurs entrevues habituelles, se disait-il parce qu'il ne s'avouerait jamais que ce dîner ne l’embêtait pas autant qu’il aimerait le croire. 




@Andhra Martel :keur: le billet de trop (Andhra) - Page 2 873483867
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 EmptySam 6 Nov 2021 - 17:16

Flou gaussien qui s'estompe alors qu'elle retrouvait ses esprits, pensées infinies qui la torturaient s'évaporent, bulle qu'il fait éclater en ouvrant simplement la bouche, prunelles brunes qui se concentrent de nouveau sur le faciès de Siede. Ce qu’on a ne te satisfait plus ? Atmosphère de la chambre qui changea, devenue plus électrique, tout aussi chargée, mais d'une manière différente. Elle eut envie de lui faire remarquer qu'ils n'avaient rien à proprement parler, qu'ils faisaient plus qu'ils ne possédaient. Des moments volés par-ci par-là, ce n'était pas ce qu'Andhra qualifiait de possession, pas vraiment. Elle était donc là sa réponse, la libanaise qui sent la vexation la gagner, comme la moutarde monte au nez. Qu'était-elle allée lui demandé cette fois, sentiment d'en attendre trop de la part de quelqu'un qui se contentait de prêter plus que de donner quoi que ce soit. Elle était donc là la mésentente ? Elle avait donné quand le politicien s'était contenté de prendre. Songe aigre qui la fait légèrement grimacer, avant qu'elle ne réalise que sa demande faisait prendre une drôle de tournure à leur soirée. La honte, véritable, complète et totale.

C’était ça, alors, qui te préoccupait ? Elle bat à peine des cils en déglutissant, dans une profonde inspiration qu'elle aimerait discrète, parce qu'elle a comprit que quelque part elle enfreignait les règles d'un accord qui semblait être tacite pour Blake, seulement pour lui. Non, elle ne s'attendait à rien en se lançant là dedans, mais... Rien n'était scénarisé et le problème aura sans doute été que ni l'un ni l'autre n'a pensé bon d'évoquer la question à un moment donné, non, ils y trouvaient, tous les deux leur compte d'une façon ou d'une autre, pour sur. Sentiment de marcher sur des œufs alors que ses mains s'enfonçaient dans le matelas, entre elle, le visage du grand brun. Voilà qu'il évitait son regard et ça Andhra l'avait immédiatement noté, se permit de se redresser, ramenant ses bras contre sa poitrine, nouvelle inspiration profonde prise alors qu'elle jetait sa tête en arrière. Je ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée... Oh, mais elle n'en pensait pas moins, elle était même d'accord avec cette réponse, pourtant... Pourtant elle le voulait, victime de ses envies, coupable petite brune, de n'écouter que son instinct.

Baissant le nez sur lui, elle finit par capter le regard acier de son amant, frisson qui lui parcouru l'échine. Elle aurait dû se douter que sa proposition provoquerait quelques vagues, mais ne s'était pas attendue à une telle réaction de la part du quadragénaire, qui, d'habitude savait faire preuve d'éloquence et se retrouvait littéralement con face au malaise que son amante venait de provoquer. .. mais si tu le souhaites, je t'emmènerais dîner, oui. léger sourire qui étire ses lippes à l'entente de ces mots, belle qui s'est penchée sur lui pour embrasser lentement ses lèvres tout en lui caressant la joue de son pouce. "Tu vois, tu ne peux rien me refuser." plaisanta t-elle contre ses lèvres, dérivant légèrement sur la courbe de sa mâchoire, dans son cou, laissant glisser son corps au rythme des déplacements de ses lippes pour lui ôter le seul vêtement qu'il portait encore.





@blake siede :keur: le billet de trop (Andhra) - Page 2 2279683226
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty
Message(#)le billet de trop (Andhra) - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

le billet de trop (Andhra)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
30 YEARS STILL YOUNG :: 
écrire son histoire
 :: nouer des contacts :: mémoire du passé
-