— le cri résonne et les lumières s'éteignent. soirée si spéciale qui se transforme en jeu d'horreur. ton rythme cardiaque qui s'accélère, et la piste de danse que tu laisses tomber plus vite que ton ombre. la panique s'empare du gymnase, ta silhouette qui court pour partir le plus loin possible. tu ne veux pas mourir, n'est-ce pas ? qui voudrait finir ses jours dans le gymnase pourrave du lycée du coin ? personne. absolument personne. tes pas brusques résonnent dans le couloir, tu pousses les portes des salles de classes pour trouver de quoi te défendre. cette épée moisie exposée dans la salle d'histoire. des produits chimiques qui ne tueraient pas une mouche, et un scalpel émoussé. les poches bien pleines, tu t'aventures dans les couloirs du lycée. les issues fermées ? tu n'es pas du genre à abandonner. tu te diriges vers le bureau du directeur avec une cadence soutenue. après tout, il doit bien avoir une quelconque clé de planquée dans ce foutu bureau, n'est-ce pas ? tu connais la route pas cœur, pour y avoir été convoqué bien trop de fois. mais ce n'est pas de ta faute, si tu n'arrives pas à rester tranquille en cours. c'est au-dessus de tes moyens. un soupir s'échappe de tes lèvres, tu ne perds pas de vue ton objectif. tes doigts tremblent légèrement, et au croisement d'un couloir, tu manques de percuter quelqu'un d'autre. un cri t'échappe et tu tombes à la renverse, les yeux grands ouverts. putain, tu m'as fais peur ! tu souffles en fermant brièvement les yeux. rassure-moi, tu vas pas essayer d'me tuer hein ?
Une nuit de novembre 1982 alors que j'avais 17 ans... J'étais sortie du gymnase pour aller aux WC, juste deux minutes et... Tout s'était éteint. Bordel, j'étais le cul collé à la cuvette froide des chiottes et maintenant j'étais plongée dans le noir total à tâter sur ma gauche pour trouver du PQ. J'y parvenais avec un peu de mal puis me torchais l'entrejambe avant de remettre ma culotte. En ce soir de bal, j'étais restée fidèle à moi-même, toute vêtue de noir. Une robe bustier assez courte et un blazer avec quelques rayures blanches côté droit. Un maquillage assez voyant et des bouches d'oreilles presque aussi discrètes. Helen m'avait balancé des remarques sans la moindre pertinence et Max n'avait pas bronché. La routine. Mais revenons à nos moutons...
Une fois rhabillée, je me lavais les mains et constatais que personne d'autre n'était là. Aucun bruit, toutes les portes ouvertes, personne de caché. J'ouvrais alors la porte qui menait au couloir, pas une seule lumière, pas un chat qui rôdait. Le lycée aurait oublié de payer ses factures ou j'étais restée si longtemps que ça sur le trône ?
Soudain, j'entendais du bruit venant du gymnase et un cri. Je n'étais donc pas seule dans le lycée, alors pourquoi ce noir complet ? J'avançais alors à tâtons, me demandant ce qu'il pouvait bien se passer alors qu'avant que je ne m'éclipse pour une pause pipi, la fête battait son plein. Mais alors que j'étais perdue dans mes réflexions, je percutais quelqu'un.
" Quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ? " lui répondais-je dans l'incompréhension la plus totale
Pourquoi semblait-il effrayé et surtout pourquoi me demandait-il si je comptais le tuer ? Il devait être harcelé au lycée pour avoir des réactions aussi disproportionnées.
Dernière édition par Nicole O'Connor le Lun 11 Oct 2021 - 22:08, édité 1 fois
Des cris, c’est tout ce dont Ethan se souvient. Il était au gymnase, il était sorti deux minutes, le temps de souffler un peu car c’était étouffant là-dedans. D’autres avait eu la même idée que lui mais également pour fumer ou certains pour s’embrasser toridement d’après ce que voyait le blond. Cela le faisait sourire. Mais à peine était-il rentré que tout s’était éteint. Cela n’était jamais bon signe. Il courut entre les cris des personnes paniqués, des professeurs essayant de calmer tout le monde et surtout entre les personnes qui se bousculaient. Pour une raison qu’il ignore, il s’était retrouvé dans les couloirs. Le blond avait juste essayé de trouver un passage sans se faire écraser et au lieu de l’emmener à l’extérieur, cela l’avait mis encore plus en danger. Il avait bien de la veine. Comme si cela allait l’aider, Ethan s’était baissé, se mettant sous les fenêtres des classes car c’est bien connu, s’il y a un tueur, il sera dans les classes et non dans les couloirs. Mais en réalité, cela pouvait l’aider car ça pouvait l’aider à passer en inconnu.
De salles en salles, de couloirs en couloirs, tous aussi silencieux les uns que les autres, le blond traversait l’école en recherche de quelqu’un. Il devait partir. Il n’avait pas amené d’amis donc, il n’avait personne qu’il laissait derrière. Juste lui. Et il aimerait survivre.
Alors qu’il allait commencer à déprimer, il entendit des voix. Cela le stoppa et il s’approcha doucement. Deux personnes, l’une terrifié, l’autre ne comprenant rien. Mais semblant être sûre. Du moins, aucune des deux personnes n’avait d’armes ou un masque d’hockey. Ethan s’approcha donc doucement. Arrivé proche des deux, il chuchota :
- Vous savez ce qu’il se passe ou non ?
Même lui ne le savait pas. Dans les films, cela n’était jamais bon, mais Ethan n’était actuellement pas dans un film et la rêverie d’un tueur n’était réellement qu’une rêverie, non ?
— ouais, sans doute que t'es lâche. mais pour l'instant, t'en as absolument rien à faire de ce que les gens peuvent bien penser de toi. tu veux juste sauver ta peau, et te barrer le plus rapidement possible de cet enfer sur terre. ton corps en percute un autre dans la foulée et tu tombes à même le sol, sur les fesses. et tu te retrouves face à une jeune femme de l'établissement. tu fronces un peu les sourcils. quoi ? qu'est-ce que tu racontes ? mais ou elle était il y a quelques minutes encore quand ce coup a retenti ? tu en frissonnes encore, bien malgré toi. et tu sursautes quand une troisième voix vient se mêler à l'équation. un garçon cette fois. tu fronces les sourcils, prenant enfin le temps de te relever en l'observant de haut en bas. vous savez ce qu’il se passe ou non ? tu secoues la tête et tu recules un peu. S'ils ne savent pas ce qu'il se passe, c'est qu'ils sont dans le coup, n'est-ce pas ? tu fronces un peu les sourcils. putain mais, vous étiez ou quand le coup de feu a été tiré ?! tu siffles, sur la défensive. et quand on a retrouvé cette pauvre fille morte ?! tu questionnes ensuite. ils dormaient ou quoi ? pourquoi est-ce qu'ils n'ont rien entendu ? ton sang est toujours glacé et le coup résonne au fond de ton esprit depuis de longues minutes. moi j'veux juste me barrer. et que vous ne sachiez pas ce qu'il se passe ça me rassure pas vraiment hein. qui sait, qui me dit que vous n'êtes pas dans le coup vous aussi ? tu marmonnes en secouant la tête de gauche à droite.
alors vous me fichez la paix ou ce que vous voulez, mais moi, j'compte bien entrer dans le bureau du proviseur pour récupérer une clé. tu ajoutes simplement. bon, ce n'est peut-être pas très intelligent de dire ça si tu les suspectes d'être dans le coup, mais ... après tout, personne n'a dit que tu étais capable de réfléchir correctement dans ce genre de situation.
J'étais sur le cul. Un coup de feu tiré, une fille morte ? Y'avait-il un passage vers une autre dimension dans ces foutues toilettes ? Et ce sombre abruti qui nous soupçonne moi et le gars qui vient d'arriver vers nous d'être dans le coup... Ça devait être un cauchemar, ça ne pouvait pas être possible autrement.
" Attends attends... Tu peux pas nous annoncer la mort de quelqu'un, nous accuser et reprendre le cours de ta vie comme si de rien n'était. Tu te fous de nous là ? C'est quoi ce bordel ? "
J'étais en panique et dans l'incompréhension la plus totale. Sauf que... Pas le temps de prendre mon souffle et d'écouter les deux gars me répondre que je vis une nana nous foncer droit dessus.
" Qu'est-ce que... ? "
Ce n'était qu'une fois qu'elle était à un mètre de nous que je la reconnaissais. Il s'agissait de la meuf d'un gars avec qui j'avais flirté et plus si affinités. Mais ce goujat ne m'avait prévenu qu'après m'avoir tripoté qu'il avait une copine et depuis, non seulement il lui avait dit mais elle était restée avec lui, préférant ne maudire que moi.
" Le tueur c'est toi ! J'en suis sûre ! AAAAAAAAAH ! " hurla-t-elle avant de se jeter sur moi les mains sur mon cou pour le serrer avec rage
J'étouffais, je tentais de me débattre mais je perdais le souffle de plus en plus et mes mouvements se faisaient de plus en plus lents. Je me sentais m'affaiblir. Elle ne m'avait laissé aucune chance de lui répondre, elle aussi m'avait accusée mais si elle me pointait du doigt, c'était juste un prétexte pour se venger.
Personne n’aurait le fait qu’Ethan était quasiment soulagé lorsqu’il avait vu les deux personnes presque accroupis. Il avait trouvé du monde pour l’aider et peut-être lui expliquer. Enfin, ça, c’était avant sa question un peu rhétorique et la réponse cinglante de l’homme. Un coup de feu ? Il était donc réellement ? Ce n’est pas vrai. Ethan devint encore plus blanc qu’il ne l’était déjà. Et il avait tendance à fuir le soleil trop fort. Il essaya de se justifier.
- Je pensais qu’il était faux. Qu’on nous faisait une blague.
Le blond se muta dans un silence quasiment mortel. C’était le cas de le dire. Il n’entendit absolument pas ce que continuait de lui dire l’homme devant lui. Il ne voyait que des mouvements de bouche et de bras. Jusqu’à ce qu’une phrase le percute. Ils auraient été avec le tueur ? L’anglais rigola.
- On ne serait pas venu te parler comme ça si c’était le cas.
D’ailleurs la femme semblait d’accord avec lui. Elle lui criai dessus comme c'est pas permis et elle devrait se taire sinon, ils allaient tous y passer. Ethan la regardait sans rien dire en espérant qu'elle comprenne vite la situation et qu'elle se taise. Ou du moins, qu'elle chuchote. Bon sang de bonsoir, elle faisait trop de bruit. N'empêche, l'idée de l'homme, à savoir le fait de vouloir aller dans le bureau du proviseur était une bonne idée. Ethan hocha la tête pour dire qu’il comptait le suivre. D’ailleurs, les deux commencèrent à s’en aller quand une quatrième personne courut vers eux et se jeta sur la femme. Le blond regarda cela choqué et quand il voulut intervenir, ce fut trop tard. Il regarda la personne tueuse puis, le cadavre. Il fit ça deux-trois fois avant de prendre la main du gars et de courir.
— je pensais qu'il était faux. qu'on nous faisais une blague. tu fronces un peu les sourcils face au jeune homme, et tu secoues la tête de gauche à droite, écoutant silencieusement le discours de la brune par le même temps. tu hausses un peu les épaules, tu ne sais pas quoi leur dire, quoi faire réellement. tu soupires un peu : tu n'as qu'une envie, c'est de rentrer chez toi. tu te mords l'intérieur de la joue un instant. non ... tu te pinces les lèvres de longues secondes. quoi leur dire réellement ? von ne serait pas venu te parler si c'était le cas.[/color][/b] tu hausses les épaules et tu soupires un peu. il n'a pas tort, mais bon. tu ne contrôles pas tes émotions, tu ne contrôles pas ce qu'il se passe dans ton esprit, et bien souvent tes mots dépassent ta pensée. tu te grattes la joue du bout des doigts, tu fronces un peu les sourcils.
tu as bien du mal à comprendre ce qu'il se passe, quand cette tierce personne arrive en criant, s'en prenant à la jeune femme par la même occasion. tu écarquilles les yeux, incapable de réagir. et quand le corps retombe, inerte, sur le sol ... tu sens un frisson te parcourir de part en part. tu geins tout bas et tu fronces un peu les sourcils, jusqu'à ce que le blond n'attrape ta main avant de se mettre à courir. fuyons, je ne veux pas y passer aussi. tu déglutis lentement et tu secoues la tête de gauche à droite. faut trouver les clés dans le bureau du dirlo ... mais faut y entrer avant. tu ajoutes en l'attirant cette fois avec toi pour te diriger vers le fameux bureau. vous devez trouver un moyen d'entrer, quoi qu'il arrive. tu ne veux pas mourir. pas ce soir. pas maintenant. tu es trop jeune pour ça, n'est-ce pas ? bien trop jeune pour mourir.
L’autre gars avait l’air ailleurs et honnêtement, c’était très certainement l’adrénaline qui tenait Ethan en ce moment même. Mais même si le brun avait l’air à l’ouest, le blond pouvait lui pardonner. Cette situation était vraiment irréelle. Cependant la suspicion d’être avec le tueur avait fait tiquer Ethan. Et peut-être qu’il avait surréagit. Il s’en voulu un peu. Surtout quand il vit le visage, fatigué de l’autre homme. M’enfin, ils allaient tous partir maintenant. Il allait s’enfuir et tous irait pour le mieux pour tout le monde. La police, les secouristes, tout ça.
Mais tout cela, c’était avant que la femme qui les accompagnait se fasse étrangler devant leurs yeux. Le visage colérique de la tierce personne la tuant et les yeux désormais vide de la femme ne quitteront jamais Ethan, il en était sûr. Mais son tour n’avait fait qu’un sens et il avait dépêché de s’enfuir emportant son camarade avec lui. Mais ce dernier l’avait arrêté un peu plus loin pour lui parler du bureau du directeur. Le blond resta choqué. Bien sûr, il devait y avoir un moyen de sortir.
- Okay, mais il est où ce bureau?
Ethan ne savait pas spécialement où il était, n’y était jamais allé. Il savait qu’il était dans le couloir de l’administration mais c’est tout. Cependant le jeune homme, lui, semblait savoir cette information. Enfin, le blond l’espérait. Il le regarda avec intensité pour se donner du courage.
- Je te suis.
Ethan lança un regard en arrière pour savoir s’ils avaient été suivis par l’autre barjo. Apparemment non.
— pas que tu n'ai pas d'empathie pour cette pauvre fille à présent morte, mais tu ne veux qu'une chose : fuir. fuir le plus loin possible, fuir et ne jamais te retourner. ne plus revenir ici, ne plus croiser personne de ce foutu lycée. peut-être bien quitter la ville, quitter la région. ouais, c'est ce qu'il y a de mieux à faire, n'est-ce pas ? ton esprit est en ébullition, tu ne sais plus quoi penser, ni quoi faire face à tout ça. tu fermes les yeux de longues secondes, avant que l'autre garçon ne t'embarque avec lui pour courir. okay, mais il est où ce bureau ? tu hoches la tête et tu prends la le commandement des opérations. tu serres la main du brun dans la tienne pour pouvoir bifurquer et te diriger vers l'administration, puis le bureau du proviseur. je te suis. tu connais le chemin par cœur. tu n'as même pas besoin de regarder ou tu es réellement.
tu prends une lente inspiration avant de regarder derrière toi pour tenter de savoir si quelqu'un vous suit. tu te pinces les lèvres et tu arrives rapidement face au bureau du proviseur. tu glisses tes mains contre ton visage. c'est là. tu souffles simplement. tu te diriges pourtant vers le bureau de sa secrétaire, retournant les tiroirs pour trouver la clé du bureau. je suis arrivé super tôt un jour, je sais qu'elle range les clés dans un tiroir ... tu ajoutes en fronçant un peu les sourcils, trouvant finalement ce que tu cherches. ton cœur bat la chamade. plus que ce qu'il ne devrait réellement. mais tu n'arrives pas à te calmer. pas dans cette situation. tu as peur. sincèrement peur de ce qui peut t'arriver. et tu veux juste sauver ta peau, quoiqu'il arrive par la suite de la soirée. tu secoues un peu la tête de gauche à droite, tu trouves finalement les clés et tu te diriges vers la porte, déverrouillant cette dernière avant d'enfoncer les clés dans la poche de ton pantalon. trouvons un moyen de sortir d'ici. tu souffles simplement en jetant un coup d'oeil à ton camarade.
Ethan n’était pas sportif pour une raison, il n’aimait pas spécialement ça courir. Mais bon, quand on a une déboulé du cerveau qui étrangle tout le monde comme si de rien n’était, on peut retrouver une forme olympique. Bizarrement. Après coup, le blond avait agi sous le coup de la panique et peut-être qu’attraper la main d’un autre homme et la serrait pour qu’il le suive pouvait être bizarre. Mais ce n’était pas le moment de repenser à ça. Surtout quand à présent, il fallait trouver le bureau du directeur. L’anglais se demanda pourquoi il n’avait pas eu l’idée avant. Bien sûr, les clés pour sortir. Bref, maintenant, il avait un camarade qui semblait savoir où allait alors Ethan le suivit.
Arrivé devant le bureau, le brun poussa la porte tout doucement et commencer à fouiller dans les affaires. Il expliqua son geste devant un Ethan un peu déboussolé. Après l’explication, le blond se baissa pour se cacher et commença à faire de même. Il ouvrit tous les tiroirs qui pouvait lui tomber sous la main. Mais il ne trouva rien et poussa des gros soufflements énervés.
- Je ne trouve rien.
Heureusement, malgré sa frustration et sa panique grandissante, il avait chuchoté. Mais au final, ce fut son camarade qui les trouva les clés et qui ouvrit le bureau du directeur. Ethan hocha la tête face à sa réflexion. Ils entrèrent dans le bureau et surprise, il était sans dessus, dessous. Quelqu’un était venu ici. Mais ce n’était pas le moment de se prendre pour Valérie Damidot et il devait trouver un moyen de sortir. Passer par la fenêtre, risquait de faire mal. Peut-être quelque chose pour se défendre au pire. Ethan regarda partout. Regarda sous chaque feuille quand d’un seul coup, il trouva une note.
Codage par Libella sur Graphiorum
Spoiler:
WIN : C’est un moyen de sortie FAIL : C’est une note du tueur leur déclarant qu’il les aura tous. SO CLOSE : C’est un message du directeur déclarant qu’il faut vite fuir.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014