| illicit affairs (franprix #1) |
| ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
(2021) swann #1 › murphy #1 › maisie › martin › seth #2 › eleonora #1 › swann #2
(flashback) greta #12 (fb)
(ua gothique) greta #7 › swann #11 › ruben #1 › itziar › ruben #3 › corey #1 › greta #8 › ezra #1 › ezra #2 › ruben #4 › cesar #1 › tessa › ruben #6 › corey #2 › cesar › ruben #7 › itziar #2 › abe › corey #4
(ua space) swann #12 › ruben #2 › ruben #5 (ua space)
(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Lun 11 Oct 2021 - 22:16 | |
| « Un pied devant l’autre Rowe, t’sait encore faire ? » Elle n’a bu qu’un seul verre de champagne la brune, mais dieu qu’il la trouve lente. Il s’exaspère d’un petit rien l’anglais quand la jeune femme semble vouloir prendre son temps pour arranger sa tenue ou retracer un trait de rouge sur ses lèvres ou n’importe quoi encore qui lui demande de squatter la salle de bain éternellement. Elle jongle avec sa patience, dans le fond, il le sait pertinemment, lui qui a toujours détester attendre. Depuis le premier soir, elle joue, à souffler le chaud et le froid tandis qu’il se laisse entraîner dans la danse. Elle avait su capter son attention, au milieu de toutes les autres pimbêches écervelées, elle ne pouvait que détonner. Il avait besoin de la distraction quand dans cette ville son nom ne résonnait pas avec assez d’importance à son goût. Il devait se montrer et s’exposer en charmante compagnie se présentait alors comme un bonus qu’il ne fallait en rien négliger. Ainsi une soirée, c’était transformer en deux, puis trois et désormais la mécanique semblait parfaitement huilée. Elle avait ses intérêts, il avait les siens. Ceux de la jeune femme restaient un mystère qu’il se voulait d’éclaircir.
Malheureusement, pour le moment il se complet à attendre, appuyer contre la colonne qui orne l’entrée de son salon. Voilà qu’il replace le nœud papillon qui écrase sa pomme d’Adam avant de s’assurer que ses boutons de manchettes sont parfaitement en place. L’événement de ce soir avait tout son importance, un gratin de personnalités influentes trié sur le volet réuni dans l’un des plus beaux musées de la ville. Arthur n’avait rien eu à faire si ce n’est ouvrir l’invitation qui l’attendait sur son bureau l’autre matin. Petit à petit, il s’en venait à laisser sa marque auprès des meilleurs pions de la ville. À chaque événement, il venait à se forger une réputation, tout en bâtissant autour de lui une cour qui ne connaissait rien de lui, mais dont il perçait déjà tous les secrets. Il se devait de rester cet étranger dont personne n’avait eu vent, celui qui faisait naître les rumeurs les plus bénéfiques à son image de valeur. « J’étais sur le point de penser que tu avais filé par la fenêtre. » L’exercice tend vers l’improbable, mais elle avait passé une éternité à le faire poireauter. L’invitation annonçait le début des festivités pour vingt-et-une heures, ils avaient déjà près d’une heure de retard. Arthur déteste être en retard. « Tu connais quelqu’un ce soir ? » La question est un piège lancé sur un ton innocent, alors qu’il finit par leur servir un autre verre. Pour la déstabiliser, pour mieux la cerner, il était prêt à quelques concessions.
@murphy rowe
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| | | | (#)Mer 13 Oct 2021 - 23:14 | |
| Ses ongles sont couverts d'un rouge Chanel - volé dans une parfumerie - et ses poignets sont ceints de bracelets aux fausses perles convaincantes. Elle ne les a pas volé, ceux-là. Elle se les ai fait offrir. Ce type n'a plus des nouvelles de Murphy depuis qu'il a osé lui offrir une paire de bracelets comme celle qu'elle porte. « Un pied devant l’autre Rowe, t’sait encore faire ? » « Oh, ta gueule. » Les yeux levés au ciel, Murphy se fait aux chaussures à talons qu'elle porte pour la soirée. D'une main, elle tire sur la robe pailletée qu'elle porte - et dont la couleur lui va si bien au teint. Ensuite, de l'autre, Murphy remet en place des cheveux déjà parfaitement en ordre. Ce soir, elle n'a pas le choix de se montrer sous son meilleur jour. Si elle espère taper plus haut que d'habitude, il faut bien ça. « J’étais sur le point de penser que tu avais filé par la fenêtre. » « Tu plaisantes ? Tu sais combien m'a coûté ma robe ? » Les paillettes vertes reflètent la lumière de toutes les lampes qui ornent le salon dans lequel ils se trouvent.
D'un oeil, Murphy surveille Arthur et son impatience. Elle le fait poireauter mais ce n'est jamais pour rien. Elle apprécie beaucoup le jeune homme mais ces derniers temps, il ne se montre plus... assez. Bien sûr, il reste la clef du paradis, celui qui ouvre à l'Australienne des sommets dont elle a toujours rêvé. « Tu connais quelqu’un ce soir ? » D'un mouvement, elle se tourne vers lui pour aller réajuster son nœud papillon. « Ouais, un vieux gars qui ne sait pas mettre de nœud papillon. » Le verre servit par Arthur termine sa course dans la main de Murphy. L'alcool l'a un brin échevelée ma de son point de vue, tout est parfait. « Pourquoi ? On va rencontrer des gens sympas ? » Ses cils battent la mesure alors qu'elle avale une nouvelle gorgé de champagne. Bien sûr qu'elle rencontrera des gens supers, à cette soirée. Elle connaît déjà la liste de tous les invités - officiels comme officieux - et son ton innocent n'est qu'une façade. Pourtant, quelque chose la chiffonne. D'habitude, Arthur ne pose pas de telles questions. « Le fils du président des Etats-Unis ? Mais nooooon. » Ses yeux semblent se remplir d'étoiles alors qu'elle part d'un rire cristallin dont elle seule a le secret. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Mer 20 Oct 2021 - 21:01 | |
| « Oh, ta gueule. » Toute une élégance qui émerge de ses propos jurant honteusement avec l’allure qu’elle se donne jucher sur ses hauts talons qui font balancer ses hanches à chaque pas qu’elle effectue pour le rejoindre dans le salon. Murphy met un point d’honneur à relativiser avec les femmes du monde quand, depuis le premier jour, il paraît évident aux yeux d’Arthur qu’elle n’appartient pas aux hautes sphères de la société. Qu’elle jure comme une charretière n’était qu’un indice parmi tant d’autres s’ajoutant à la pile de mystère qui semblait trôner autour de sa personne telle une aura savamment maîtriser. « Tu plaisantes ? Tu sais combien m'a coûté ma robe ? » Il serait tenté de deviner qu’elle n’avait pas déboursé un seul centime pour s’offrir cette pièce, il préfère encore hausser des épaules nonchalamment. « Tu crois que j’en ai quelque chose à faire ? » Elle pourrait bien lui annoncer que sa robe à coûter des millions, il n’en aura que faire. L’important reste qu’elle ne soit pas vêtu de guenilles pour se présenter à son bras. Personne n’a nécessairement besoin de savoir qu’il la trouve particulièrement attirante dans cette robe, malgré sa couleur peu chatoyante.
« Ouais, un vieux gars qui ne sait pas mettre de nœud papillon. » Il soupire tandis que les doigts froids de la jeune femme viennent frôler sa peau. Son nœud était parfaitement en place, il en était persuadé, mais la promiscuité permet un jeu de regard déjà bien trop rôder. Arthur ne doute pas que le jeu ait déjà bien trop souvent pris sur des gars bien plus crédules que lui. Murphy a pleinement conscience de ses atouts physiques et semble savoir en jouer avec force. Bien sûr qu’il ne reste pas indifférent à cela même s’il est amusé de la voir parler à toute vitesse pour mieux compenser. « Pourquoi ? On va rencontrer des gens sympas ? » Le battement de cils se veut de trop pour s’avérer convainquant, comme si elle cherchait à l’hypnotiser d’une manière fort ridicule, il devait l’avouer. « Personne n’est sympa dans ce genre de soirée. » Il faudrait surtout se méfier de ceux qui voudraient jouer sur ce penchant, la gentillesse ne vous amène nulle part dans le monde des affaires. « Le fils du président des Etats-Unis ? Mais nooooon. » Son éclat de rire lui provoque quelques aigreurs alors que dans un mouvement fluide, il s’échappe d’entre ses griffes. « Tu serais déçue, il n'a rien d'intéressant. » Jamais il n’a été impressionné par le statut de qui que ce soit et selon lui, le fils du président n’était qu’un abruti à qui on servait tout sur un plateau. Il ne voyait pas vraiment l’ironie de son jugement. « Qu’est-ce que tu cherches vraiment ? » Un coup d’œil à sa montre lui apprend qu’il serait temps d’appeler le chauffeur s’il souhaite se présenter au Maire, mais la question avait toute son importance. |
| | | | (#)Mar 9 Nov 2021 - 19:29 | |
| Arthur est soupe au lait. Il a visiblement décidé de torturer Murphy avec ses questions sans queue ni tête mais la jeune femme ne se laissera pas faire, pas alors qu'elle compte passer une excellente soirée - comme cela était prévu. Il doit y avoir tout un tas de gens très intéressants là bas et ça, Murphy ne peut pas le laisser passer. Son absence ne sera pas remarquée. Elle n'est personne dans leur monde. Mais pour s'y faire une place, il faut déjà s'y montrer. « Personne n’est sympa dans ce genre de soirée. » « Toi t'es sympa, monsieur le rabat-joie. » Et qu'espère-t-elle ? Se trouver un autre Arthur ? Non, des types comme lui, il n'y en a pas des tas. Il est probablement un exemplaire unique, mais elle n'en prendra conscience que lorsqu'elle l'aura perdu - et cela, je ne le lui souhaite pas. Il faudra encore un moment à Murphy pour se rendre compte de sa chance, qu'elle ne mesure que sur le ton de la rigolade. Bien sûr, elle prend le sujet de son intégration dans le grand monde très au sérieux, mais elle n'a aucune envie de partager avec qui que ce soit ce qu'elle en pense vraiment. Quiconque de sain d'esprit partirait alors en courant. Faire fuir Arthur, c'est la dernière chose dont à envie la jeune femme.
Peut-être qu'il prendra de lui-même ses jambes à son cou. Elle le sens tendu, depuis tout à l'heure. Le voilà qui s'échappe de l'emprise de Murphy, n'appréciant visiblement pas sa plaisanterie au sujet du fils du président des Etats-Unis. « Tu serais déçue, il n'a rien d'intéressant. » Dans le dos du jeune homme, l'intéressée lève les yeux au ciel. Ce qu'il est pénible, lorsqu'il est comme ça. « Qu’est-ce que tu cherches vraiment ? » « A avoir tes faveurs pour que tu me présentes à tout le gratin de la ville, évidemment. » qu'elle lâche, un sourcil haussé, le ton caustique. « C'est un interrogatoire ? Parce que je pourrais le passer dans la voiture. » Son ton est tout à fait dénué d'humour, soudain. Quelque chose a fait clic dans son esprit pas toujours très réactif. « Qu’est-ce que tu cherches vraiment, toi ? Moi aussi je peux le demander. T'aimes bien être vu au bras d'une fille, non ? Alors on est quittes. » Et sur ces mots, Murphy attrape sa veste et file jusqu'à la porte d'entrée.
Dehors, il fait délicieusement bon. Le vent est très léger bien qu'un peu frais. Sur le trottoir, Murphy compte les secondes avant que Arthur ne se montre à nouveau. Parce qu'il va revenir, n'est-ce pas ? Tapant du pied, la jeune femme guette l'hypothétique taxi que Arthur est censé avoir commandé pour eux. Mais cela non plus, elle n'est pas certaine de le voir arriver. Non, vraiment, Arthur a tout gâché. Sur le trottoir, Murphy attend, et elle prie pour que son prince charmant de la soirée arrive sur son cheval blanc avec des excuses toutes trouvées. Ils passeront alors une soirée exceptionnelle et le petit accrochage vécu plus tôt sera tout oublié. |
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| « Toi t'es sympa, monsieur le rabat-joie. » Il ne sait pas vraiment si c’est le ton employé ou tous les efforts qu’elle semble mettre sur sa nonchalance, mais il accepterait presque cela comme un compliment. Qu’importe ce qu’elle veut bien laisser entendre, pour le moment aucun d’entre eux ne semble s’être lassé de la mascarade qui découle depuis leur première rencontre. Ce n’est pas qu’il cherche à se débarrasser de la compagnie de la brune, mais il s’interroge tout de même sur les motivations de celle qui flirt sans jamais entreprendre un mouvement de plus. La tension est palpable, sans jamais s’avouer pleinement explicite et voilà qu'Arthur en perd son latin. Avouer que la petite danse de Murphy le trouble serait bien une étape quand jamais il n’irait prétendre avoir un quelconque intérêt autre que physique pour sa personne. Et pourtant, le voilà à poser des questions qui ne pourraient rien amener de bon.
Tout le feu ardent qu’il sait reconnaître dans le regard de la brune lui donne alors l’envie de relever le défi, qu’importe ce qu’elle pourrait bien dire. La question n’a plus de sens tant la compétition qui semble s’installer au milieu de son salon. « À avoir tes faveurs pour que tu me présentes à tout le gratin de la ville, évidemment. » Arthur n’est pas surpris. Il l’avait flairé depuis un temps sans jamais entrevoir la possibilité qu’elle puisse être aussi directe. « C'est un interrogatoire ? Parce que je pourrais le passer dans la voiture. » Il hausse les épaules, pas le moins du monde impressionné, absolument pas dans la volonté de lui laisser entrevoir la moindre émotion qu’importe soit-elle. « Ce n’était qu’une question. » Il commence à avoir l’habitude le Coventry, que l’on s’intéresse à sa personne pour son statut social plutôt que pour un quelconque intérêt franc envers sa personne. La routine se veut lassante, mais va-t-il prétendre en être affecté ? Pas le moins du monde, il trouve bien son intérêt à laisser Murphy virevolter autour de lui plus longtemps, après tout. « Qu’est-ce que tu cherches vraiment, toi ? Moi aussi, je peux le demander. T'aimes bien être vu au bras d'une fille, non ? Alors on est quittes. » Un gloussement lui échappe tandis que c’est elle qui s’éloigne telle une brise passante, elle file par la porte d’entrée sans même lui accorder un regard.
La raison aurait voulu qu’il reste dans sa tour d’ivoire tel le riche homme d’affaires qu’il s’efforce d’être. L’homme implacable, trop sûr de lui et bien trop égoïste pour s’attarder sur l’opinion de chacun. Il aurait pu s’amuser à l’observer de loin depuis le hall d’entrée, mais lorsque la voiture de luxe se gare devant Murphy, il se décide à sortir de sa cachette. L’air de rien, qu’importe si son esprit lui hurle que tout cela n’est que pure folie. « Tu n’es personne dans ce monde. » Son monde, celui impitoyable des hauts de la société qui s’auto-congratule conjointement à coup de couteau dans le dos et de sourire impassibles. Il vient lui ouvrir la porte tel un pur gentleman, nœud papillon parfaitement noué autour de sa gorge et sourire resplendissant d’une soirée qui s’annonce fortement intéressante. « La compagnie d’une femme à ses avantages dans cette société. » Il est plus aisé de faire confiance à un homme accompagné, qu’au vieux loup solitaire. « Si tu m’aides à marquer quelques points ce soir. » qu’il annonce alors sans grande élégance, mais d’une sincérité résonnante. « Je pourrais considérer tout ça. » A défaut de trouver des mots qui feront sens, il se contente d’agiter sa main libre entre eux. « Comme un partenariat intéressant. » |
| | | | (#)Jeu 23 Déc 2021 - 20:41 | |
| Finalement, c'est elle qui attend dans la nuit. Persuadée qu'il reviendra, Murphy se plante sur un trottoir. De là, elle est probablement visible de l'ingrat qui est resté bien tranquillement dans son donjon. Tant mieux. Qu'il l'admire prendre la voiture qu'il a commandé pour eux, qu'il l'admire grimper comme si les moteurs ne vrombissaient que pour elle. Mais Murphy n'a le temps que de glisser une mèche derrière son oreille; Arthur est de retour. « Tu n’es personne dans ce monde. » Lentement, la portière s'ouvre. Murphy gratifie Arthur d'une moue boudeuse et grimpe en voiture. Réajustant sa robe, elle ne jette qu'un regard en biais à l'homme qui daigne finalement l'accompagner. « La compagnie d’une femme à ses avantages dans cette société. » « T'es d'un romantisme. » L'accord tacite qu'ils ont conclu n'a rien de romantique. Murphy a l'habitude d'être usitée comme une escort, ne lui en manque que le nom. Elle a cela de différent qu'elle choisit toujours ceux qu'elle accompagne et qu'ils se croient être pour elle de proches amis - ou au moins des compagnons agréables, ce qui n'est pas toujours le cas. Arthur fait partie des compagnons qui se savent en position de force et à juste titre: elle ne peut pas aller où elle le souhaite sans lui alors qu'il peut aisément se défaire de sa compagnie sans en subir de conséquence. Voilà de quoi est faite leur relation.
« Si tu m’aides à marquer quelques points ce soir. » Un sourcils haussé, Murphy lui lance un regard sincèrement mauvais. Elle n'aime pas beaucoup la sincérité avec laquelle Arthur met en lumière son jeu. Il est bien le seul à avoir cette audace. « Je pourrais considérer tout ça. » Si elle avait été aussi idiote qu'elle le laisse parfois paraître, Murphy aurait peut-être pu demander ce que "tout ça" signifiait. Il est désormais inutile de feindre la naïveté. Arthur sait et a compris pourquoi elle est là. L'avait-il saisi avant ce soir ? « Comme un partenariat intéressant. » « Je suis pas ta pute. T'as pas de partenariat à me proposer et t'achèteras pas mon obéissance en agitant ta jolie montre et ton portefeuille. » Elle pourrait le lui voler tout ça sans qu'il ne s'en rende compte. Alors, pourquoi t'es là Murphy ? Mâchoire serrée, c'est à son tour d'agiter entre eux un index menaçant. « Si jamais tu sous-entends auprès des gens de ce soir que je suis ta conne de petite-amie, je te tue. T'as compris ? » Sans se départir de sa mine rageuse, Murphy se tourne vers le chauffeur pour donner l'adresse.
Quelques minutes plus tard, les deux lurons se retrouvent dans un ascenseur rempli de gens trop âgés qui puent l'eau de Cologne. « T'as oublié de me faire des fiches. » qu'elle accuse en chuchotant alors qu'il atteignent l'étage des réjouissances. Lorsque les portes s'ouvrent sur le monde, les yeux de Murphy se mettent à briller. Sa main se glisse dans celle d'Arthur - juste pour faire vrai - et la voilà en piste. La plus grande scène, le plus grand théâtre, la plus grande pièce. On tend aux nouveaux arrivants des verres remplis de champagne que Murphy s'empresse de goûter. « C'est lequel qu'on doit ridiculiser devant sa femme ? » Jouer les maîtresses, elle sait le faire, Murphy. Mais Arthur n'est pas supposé le savoir. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
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| « T'es d'un romantisme. » Dans l’effort ultime de n’employer aucune grossièreté, il s’en convient à rouler des yeux de manière bien trop dramatique. « Comme si cela avait de l’importance. » Aucun des deux ne cherche le romantisme, mais bien plus l’intérêt à tirer d’une relation qui ne fait guère sens, mais qui jusqu’à présent semble avoir prouvé quelques bienfaits. Il ne s’ennuie plus, lâcher au milieu du cirque, elle s’enivre de toute la lumière qui s’abat sur elle dès qu’elle virevolte à son bras. Le duo se veut gagnant-gagnant sans que jamais l’un d’entre eux ne cherche à céder l’ascendant. Alors, Arthur tente une maigre négociation qu’il se fiche bien de perdre tant cela n’influera en rien dans son quotidien. Elle restera la grande perdante, quoiqu’il arrive. Autant se délecter du jeu présent. « Je suis pas ta pute. » - « Je n’ai pas employé ce terme. » Pas avec elle. Il agit bien souvent comme le dernier des connards auprès de le gente féminine, mais Murphy a su retenir son attention autrement qu’en se mettant à genoux dans les toilettes d’un hôtel guindé. « T'as pas de partenariat à me proposer et t'achèteras pas mon obéissance en agitant ta jolie montre et ton portefeuille. » Il pourrait relancer la partie en lui proposant de payer sa prochaine robe, mais quelque chose le retient. Pour qu’elle reste ? Foutaise. Il préfère simplement la voir s’agiter pour quelques mots adroitement balancés. « Si jamais tu sous-entends auprès des gens de ce soir que je suis ta conne de petite-amie, je te tue. T'as compris ? » Un rire lui échappe tandis qu’il laisse son dos s’écrouler contre la banquette en cuir. « Je n’emploie jamais ce terme. » Les signes d’affections ne démontrent que de la faiblesse. Au mieux, elle sera une amie. Au pire, l’escort dont il a eu pitié.
Son attitude se modifie dès l’instant où ils pénètrent dans l’ascenseur. Regard fixe, dos droit, il se récite déjà les discours à prononcer auprès des bonnes personnes. Il possède un avantage dans cette ville, il sait tout d’eux, ils ne savent absolument rien de lui. « T’as oublié de me faire des fiches. » Il ne se soucie guère de ce détail quand elle s’adapte en un clin d’œil à la foule qui les entoure. Les deux jeunes gens se retrouvent comme des poissons dans l’eau, de ceux qui vogue en silence. Il sent la main de la jeune femme se glisser dans la sienne et lui jette un regard. « Au diable les sous-entendus ?! » Arthur se veut taquin quand la jeune femme observe les alentours tel un prédateur prêt à se jeter sur sa proie. « C’est lequel qu’on doit ridiculiser devant sa femme ? » L’homme à abattre de la soirée celui expressément identifier un bon nombre de fois par Alfred. Il faudra un instant à Arthur avant de deviner la bonne chevelure grisonnante. Dans son rôle, il se colle à la silhouette de Murphy pour mieux venir murmurer à son oreille. « Le grand à droite. » Il jette un nouveau coup d’œil rapide pour confirmer ses soupçons. « Celle en rouge à ses côtés, c’est sa femme. La petite blonde juste derrière avec une robe noire, sa maîtresse. » Le bougre semble ne pas avoir froid aux yeux.
Une pression de ses doigts contre ceux de la brune et que le jeu débute. Il s’agit de s’adresser à l’ancien laissant Murphy discuter chiffon, mise en beauté ou qu’importe avec ces dames. Le tout s’orchestrant de faux-sourire, d’éclats de rire cherchant à chasser le malaise et quelques coupes de champagne supplémentaires. « On discute et j’en oublie de me présenter à votre femme. » En pleine maîtrise, Arthur se dirige vers la blonde qui discutait avec Murphy. Le malaise est grandissant au point que la véritable épouse préfère s’enfuir et que le dirigeant se confonds en excuse avant de lui courir après. Arthur se contente d’un sourire envers la pauvre maîtresse avant de s’échapper vers un autre coin de la salle.
Les conversations s’enchaînent au point qu’il en perde de vue sa coéquipière. Il finit par la retrouver près du buffet lorsqu’il échange son champagne contre un whisky de renommer. « On s’emmerde. » |
| | | | (#)Mer 5 Jan 2022 - 18:36 | |
| Ils vont rapidement s'ennuyer, les deux hyperactifs du crime qui s'apprêtent maintenant à faire sauter un couple. S'ils n'ont pas encore mis à l'épreuve leurs compétences en temps que couple d'enfer, ils savent déjà qu'ils ont la capacité de faire imploser n'importe quelle relation en moins de deux. Un claquement de doigts, voilà ce que prendra la mise en place de leur prochaine mission. « Le grand à droite. » Le regard de Murphy se pose automatiquement sur le type désigné par Arthur. Un grand monsieur à la jolie cravate. Il est plus pomponné encore que sa femme qui a l'air d'une grande gourde. Une girafe ou un méchant poisson, voilà de quel ascendance elle doit être issue. « Celle en rouge à ses côtés, c’est sa femme. La petite blonde juste derrière avec une robe noire, sa maîtresse. » Robe noire est bien plus jolie, plus à propos que sa comparse féminine. Elle a aussi l'air plus jeune, bien plus jeune. Bien trop jeune pour ce vieux plouc. Et en n regard, Murphy se voit en elle. Traînant au pied d'un vieux type louche pour quinze minutes d'attention par jour - par semaine - épuisant sa jeunesse pour les beaux yeux d'un vieux grigou... ce n'est pas là qu'elle se voit dans quelques années, ni dans quelques jours. Auprès d'Arthur, c'est déjà très bien. Pas forcément très valorisant, mais assez pour ne pas se lasser.
Pendant que Murphy s'atèle à la tâche de son côté, Arthur s'occupe d'humilier l'homme de la soirée. Quand il sera parti, Arthur et Murphy pourront s'amuser. en attendant, Murphy essaie de discuter cinéma avec les dames. Elles sont plus cultivées en matière d'économie que d'art, mais la plus jeune mène tout de même la discussion d'une main de maître, moins idiote qu'elle n'y paraît. La femme en robe noire est tout de même moins perdue que la femme officielle, ce qui a pour effet de grandement contenter Murphy. La femme a la robe noire est définitivement sa préférée. « On discute et j’en oublie de me présenter à votre femme. » Murphy ne peut s'empêcher de lâcher un rire face au malaise de la situation. Lorsque la femme s'en va, Murphy distribue une petite tape sur l'épaule de la femme à la robe noire, qui sait qu'elle vient de perdre sa place. La pauvre. L'instant d'après, Murphy retrouve la sienne auprès d'Arthur, lequel est déjà en discussion avec un autre.
Et les chaussures commencent tout juste à faire mal aux pieds de Murphy qui soupire à l'énième regard en direction de son décolleté. Un énième vieillard lui fait du gringue au bar. Cette soirée n'est décidément pas aussi divertissante que ce que prétendait Arthur. « On s’emmerde. » Elle le retrouve justement au bar, entre deux boissons. « Ta faute. » qu'elle lâche, sourire aux lèvres. La coupe de champagne lui monte doucement à la tête. La brune a soudain une idée de génie. Elle attrape la bouteille de champagne et le bras de son ami, qu'elle tire à travers la pièce sans délicatesse.
Lorsqu'ils sont seuls dans un des couloirs du musée, la jeune femme hésite. Où devraient-ils aller pour s'amuser ensuite ? Une salle de conférence s'offre à eux, au fond du corridor. Bouteille en main, Murphy appuie sur la clenche de la porte et cette dernière s'ouvre sans mal. « J'ai trouvé un endroit où mettre ton trône, regarde ! » Une grande salle impeccable avec une table ovale centrale. Sourire aux lèvres, Murphy ferme derrière eux avant de quitter ses chaussures. Elle grimpe ensuite sur la table et pose la bouteille à ses pieds. Farfouillant dans son sac à main, c'est à Arthur qu'elle s'adresse. « Monte, on va faire un truc super. » Branchant ses écouteurs, elle tend ensuite la main à son ami. Dans les écouteurs, elle joue Can't Stop des Red Hot Chili Peppers. S'ils ne vont pas en boîte de nuit, la boîte de nuit viendra à eux. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Lun 10 Jan 2022 - 23:30 | |
| On lui avait promis une liste d’invités digne de ce nom et non pas la représentation botoxé d’un club du troisième âge guère digne d’un quelconque intérêt. Au milieu, des œuvres d’art se pavanent des femmes d’âge mûres à la recherche d’un peu de frivolité au bras d’un jeune héritier tout juste tomber du nid quand eux sont venus chercher l’approbation des maris, les anciens de ce monde qui s’auto-congratule d’être encore un nom dans cette société. Arthur ce complet à croire qu’il n’est que spectateur du manège, si brillamment huilé, qui l’entoure. Son intérêt propre se concentre dans le jeu de la rumeur, celui voulant que son nom se promène de lèvres en lèvres sans que jamais un invité soit dans la pleine capacité de pouvoir livrer un portrait savamment étudié de sa personne. Il est le dernier arrivé, l’étranger qui s’aventure sur des plates-bandes autrefois terriblement démarquées dans un consensus de bienséance voulant à ce que chacun s’occupe de sa prochaine conquête immobilière. Son nom se mêle au qu’en dira-t-on lié à la dernière parcelle acquise le long de la baie, il répond aux interrogations dans un sourire courtois jouant la carte de l’hésitation.
Mais le jeu ne l’intéresse qu’une poignée de minutes, dans quelques maigres conversations. Le champagne ne suffit en rien à l’entraîner dans une volonté de se prendre plus sérieusement à l’exercice des courbettes et autres joyeusetés pourtant cruellement imposé par son paternel. Arthur s’ennuie. « Ta faute. » Tout comme sa partenaire de crime semblant prête à griffer le visage du prochain qui s’approchera d’un pas supplémentaire. Il allait lui proposer de fuir, elle s’en charge bien avant lui, emmenant quelques souvenirs pour mieux l’entraîner au loin, dans les couloirs du musée.
Ils prétendent s’émerveiller devant un tableau ou deux, tape la pose aux côtés du sculpture douteuse avant de s’effacer loin des regards. « J'ai trouvé un endroit où mettre ton trône, regarde ! » La pièce est aussi spacieuse que sobre, n’abritant qu’une immense table de réunion entourer de chaise éparse dont une devient l’illustration même du trône évoqué par la brune. « La décoration laisse à désirer. » qu’il soupire étalant ses jambes croisées sur la table, le regard perdu sur le vide de l’endroit. « La sculpture aurait été parfaite pour une salle de trône. » Aussi étrange et déplacée que peut l’être la prochaine action de Murphy à grimper sur la table tel un félin. « Monte, on va faire un truc super. » Il s’inquiète de la définition, perd son temps à retirer sa veste avant de la rejoindre, bouteille à la main. Une gorgée pour se donner l’illusion parfaitement sucrée que les bulles remplaceront, dans l’usage, la substance qui semble tant lui manquer. « Je ne danse pas. » Trop tard, elle lui colle déjà un écouteur dans l’oreille et il se fend d’un sourire en reconnaissant les premiers accords mêlés à cette voix presque familière. « Bon choix. » Dans un automatisme presque étrange, voilà qu’il se met à marmonner en rythme sur l’air de la chanson à mesure que le corps de Murphy semble se rapprocher du sien. Arthur ne sait s’amuser qu’avec l’interdit, de la poudre plein le nez et un taux d’alcoolémie frôlant le coma éthylique. Alors, il prend une nouvelle gorgée, continue à chantonner, prenant le temps de remonter les manches de sa chemise, à défaire quelques boutons. Devant lui, elle se laisse porter par la musique et parce qu’elle a accepté de venir, parce que visiblement, elle veut danser, percher sur cette table, voilà qu'il laisse ses hanches chalouper en synchronisation avec les siennes. Sa technique est grotesque et maladroite, mais les corps se rapprochent toujours dans le cadre de ce fameux partenariat. Emmené par le rythme, il tend sa main libre vers la brune, dans une tentative de chorégraphie rock’n’roll, tant est soit-il que cela est, un jour, existé. « Tu pourrais au moins faire semblant d’apprécier mon sens du rythme. » Il pouffe face au regard de la brune. « Ou au moins proposer quelque chose de plus fort que des bulles pour enfants. » Il lui faut plus que du champagne pour être fun. |
| | | | (#)Mar 11 Jan 2022 - 18:48 | |
| « Je ne danse pas. » Oh si Arthur, tu vas danser. Murphy laisse échapper un rire alors qu'elle se met elle-même à bouger dans tous les sens. Sa "danse" se constitue de mouvements désynchronisés dont elle seule a le secret. On l'a toujours qualifiée de mauvaise danseuse alors qu'elle est très consciente de son corps, ancienne théâtreuse qu'elle est. « Bon choix. » « Je sais. » qu'elle lance par dessus la musique. Donner des cours de danse, elle a déjà essayé de le faire pour des gamins. C'était un poste mal payé mais tranquille en Angleterre. Murphy avait falsifié des diplômes australiens pour parvenir à obtenir le poste. La supercherie ne s'est vue qu'au spectacle de fin d'hiver, près de trois mois après le début des cours. Les parents se sont bien rendus compte que quelque chose n'allait pas avec leurs gamins et leurs mouvements plus désynchronisés que d'habitude. Elle a été payée, Murphy. Bon, elle n'a plus le droit d'aller dans ce studio, ce qui est normal. Ils ont au moins eu la gentillesse de ne pas la poursuivre en justice, ce qui était clément de leur part.
Des cours de danse, elle en donnerait bien à Arthur si ça veut dire pourvoir se moquer de son manque de rythme et de son absence de talent pour la danse. « Tu pourrais au moins faire semblant d’apprécier mon sens du rythme. » « Tu veux peut-être qu'on danse la valse ? » Oh elle est certaine qu'il sait la danser. Même elle en a certaines notions, juste au cas où l'occasion devait se présenter. Rien de bien sérieux, juste histoire de. « Ou au moins proposer quelque chose de plus fort que des bulles pour enfants. » Elle le traiterait presque d'alcoolique si elle n'avait pas elle aussi envie d'une boisson un peu plus forte. Haussant les épaules, elle se décroche d'Arthur dont elle s'était dangereusement approchée. « Doit bien y avoir un truc à boire par ici. » Il y a toujours des minibars dans les salles de conférence. Après avoir confié son écouteur à Arthur, elle se dirige vers le meuble le plus suspect de la pièce. C'est en fait un véritable petit frigo accompagné de son minibar à alcool plus forts. « Ouh bingo. » Une bouteille de vodka finit bientôt sans bouchon alors qu'elle se sert un verre - et qu'elle en sert un à Arthur, bien évidemment.
« A nous ? » Et le contenu du verre finit directement dans son estomac.
Sans avoir mangé, l'alcool montera vite. La musique change mais Murphy se déhanche toujours autant. Après quelques minutes, elle s'est rapprochée de son comparse pour attraper des deux mains sa chemise. « Ecoute Arthur, je- » « Y'a quelqu'un ? Tu vois, y'a personne dans les couloirs. » C'est le type de tout à l'heure, accompagné de sa maîtresse qu'il embrasse à pleine bouche sans honte. Murphy a l'attention détournée, mais elle pense à attirer Arthur alors qu'elle descend de la table pour aller se planquer dans un coin de la pièce, derrière le meuble préalablement fouillé. « Filme, tu pourras le faire chanter ! » Ils ne sont pas encore dans la pièce où Murphy a éteint les lumières mais dans le couloir où Arthur et Murphy peuvent les apercevoir derrière les stores. Une planque idéale, pour les deux comparses. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| Elle part avec bien des avantages quand il est incapable de suivre le rythme d’une chanson plus de trente secondes. Les gestes sont flous, il prétendra que c’est sa signature, son style complètement unique. En réalité, cela ne cache en rien la misère de son pauvre déhanché qui souffre de bien trop de rigidité. « Tu veux peut-être qu'on danse la valse ? » Serait-ce complètement dramatique d’admettre que ce type de danse pourrait bien plus s’accorder à ses capacités ? L’enfant matricé par les exigences familiales, contraint de connaître ce qui se veut acceptable dans le haut de la société, maîtrisant les pirouettes et autres baise-main comme personne d’autre au sein de sa génération. « Je pourrais te surprendre. » Est-ce bien une chose sur laquelle se vanter ? Il en doute fortement, mais au moins, il crée la diversion, que l’on oublie qu’il ne sait que faire de ses quatre membres pour mieux s’enivrer. « Doit bien y avoir un truc à boire par ici. » C’est presque comme si elle avait un radar quand elle saute de la table pour fouiner dans la pièce. Il aurait probablement ouvert tous les placards, elle se fixe sur un seul. « Ouh bingo. » Et touche le gros lot. Arthur est intrigué, perché sur la table, il observe la curiosité que représente Murphy. Tout chez elle s’entoure d’un certain mystère et peut-être que la curiosité de l’anglais est bien plus piquée qu’il ne le laisse paraître.
« A nous ? » Verre à la main, les yeux dans les yeux. « A nous ! »
À cette soirée au déroulement étrange qui comprend bien des musiques inconnues et un déhancher qui rapproche les deux compères d’un soir. Arthur se laisse emmener au rythme qu’elle impose sans se soucier de son manque de coordination. Il en oublie l’extérieur, le musée et la soirée pour mieux se laisser happer par la mélodie et les mains de Murphy qui glissent sur sa chemise. « Ecoute Arthur, je- » « Y'a quelqu'un ? Tu vois, y'a personne dans les couloirs. » Il se déséquilibre totalement à s’éloigner de la table dans un mouvement aussi rapide. Voilà qu’il trébuche presque, retiens un rire, alors que Murphy les transforme en espions de première catégorie. Sous leurs yeux, se joue l’acte d’adultère le plus primaire. « Filme, tu pourras le faire chanter ! » Sa veste est restée sur la chaise, mais pour une fois, il avait pensé à glisser son téléphone dans la poche de son pantalon. L’esprit tirailler entre la présence de la brune et le spectacle qui se joue plus loin, Arthur se joue de la ruse, pour venir caler son torse contre le dos dénudé de Murphy. L’épaule de la jeune femme est la parfaite excuse pour se transformer en un semblant de trépied nécessaire à la capture de quelques clichés dont il se délectera plus tard. « Max, je te dis qu’il y a quelqu’un ici. » Elle n’est pas à l’aise la blonde, quand bien même l’ancien a déjà une main glissée sous son jupon. Arthur retient un rire à l’image qui se déroule sous leurs yeux, le cliché que représente l’homme d’affaires trompant sa femme allègrement, ne jamais se marier, c’est bien la solution.
Et si cela paraissait amusant il y quelques minutes, voilà qu’il s’emmerde Arthur. « T’allais dire quelque chose. » qu’il murmure à l’oreille de la brune. Juste avant l’interruption, elle avait prononcé son prénom. Sa curiosité est piquée, bien plus que par la scène devenue incroyablement banale qui se déroule dans le couloir. Mais quelque part, au loin, une porte claquante effrayant la blonde. « Non, on peut pas faire ça. » Il soupire Arthur, assez fort pour manquer de les faire repérer. « Il faut pas que mon père l’apprenne. » Elle a dit quoi ?! Dans la seconde, elle s’est rhabillée, réajuster la coiffure et a filer loin laissant son amant bien penaud avec sa braguette ouverte. Il file lui aussi et Arthur en oublie bien ce qu’il venait de demander à Murphy. « Son père ? Mais c’est qui son père ? » Il a besoin de savoir, cela pourrait se transformer en un élément clé. « Tu te souviens de son prénom toi ? » Parce que lui, ça fait bien longtemps qu’il a oublié. |
| | | | (#)Sam 5 Fév 2022 - 18:58 | |
| « Max, je te dis qu’il y a quelqu’un ici. » Et effectivement, il y a quelqu'un. Ils sont même deux à observer de loin, planqués dans un coin de la pièce. Les deux protagonistes qui font leur entrée en scène ne les ont pas repérés. Ils sont pourtant là, Arthur a son téléphone en main. Calé contre le dos de Murphy, il donne à la jeune femme, de quoi soupirer un grand coup. Peut-être que s'il étaient repérés, personne ne leur en voudrait au vu de leur fâcheuse posture. « T’allais dire quelque chose. » « Nan. » qu'elle grogne. « Chut. » Si, elle allait lui dire combien elle aime passer du temps avec lui. Ca ressemble à l'amorce pour aller vers un je t'aime interdit entre eux et ce malgré leurs sorties récurrentes. Rien ne ressemble au temps passé aux côtés d'Arthur, pour Murphy. Rien ne ressemble à cette soirée passée à espionner des couples d'infidèles se tirer la bourre pour savoir où et quand se rejoindre.
« Il faut pas que mon père l’apprenne. » « 'Faut pas que mon père l'apprenne non plus. » que Murphy marmonne, certaine qu'il la tuera s'il sait ce qu'elle est en train de faire. Non, il ne l'a pas élevée comme ça. Dans le mensonge oui, certes, mais pas dans l'espionnage d'autrui. La brune souffle, Arthur est trop appuyé sur son dos. Elle ploiera bientôt, comme un roseau sous le vent. « Son père ? Mais c’est qui son père ? » « Qu'est-ce que j'en sais, moi ? » Pourquoi ça l'intéresse ? Ce que ce plan devait faire, c'était les rapprocher un peu, pas lancer Arthur sur une nouvelle piste. Le jeune homme s'est visiblement trouvé une nouvelle passion pour le crime d'adultère commis en sa présence, ce qui agace proprement Murphy. Pourquoi est-ce qu'il ne s'occupe pas plutôt d'elle ? « Tu te souviens de son prénom toi ? » « Y'a quelqu'un ? » Oops.
Et ni une ni deux, sans attendre de comprendre, Murphy attrape la main d'Arthur et le mène dans le couloir derrière eux. « HEY ! » « COURS ! » Le type se met à courir, lui. Peut-être qu'il n'était pas tout à fait parti. Peut-être qu'il a entendu Murphy qui, agacée, a grogné sa réponse comme un chien enragé. Ce qu'il ne verra pas en revanche, c'est le visage de Arthur. Bien résolue à protéger son identité, la brune pousse son acolyte devant, dans l'ascenseur qu'ils investissent à deux. Le type prendra les marches, c'est sûr. Fort heureusement, il doit avoir le cardio d'un hippopotame et les deux comparses parviennent à s'en sortir. Au dernier étage, la réception bat son plein. Murphy tient toujours la main d'Arthur et l'entraîne à travers la foule, où la gamine et le type de tout à l'heure a visiblement retrouvé son cher papa. Murphy le montre du menton à Arthur et la course continue. Elle continue jusqu'à la sortie de secours, qui mène au toit du musée, juste au dessus des festivités.
D'ici, la ville est magnifique. Murphy lâche enfin la main d'Arthur. Après la course, elle tremble maintenant de froid, sa peau exposée au possible à tous les courants d'air. « Il nous trouvera pas ici. On a qu'à attendre que cette foutue soirée soit terminée. » Un grand sourire barre son visage d'un côté à l'autre, quand elle se rapproche d'Arthur en sautillant. « T'as vu sa gueule ? Il avait l'air dégoûté. » Ca oui, ils l'ont bien eu. Un regard un peu plus sérieux passe soudain sur le visage de la jeune australienne. « T'as une autre idée que danser jusqu'à ce que mort s'en suive, pour tuer le temps ? » Parce qu'elle, oui. Mais elle ne le dira pas à voix haute, ça serait tricher. Trahir la promesse qu'ils se sont faite il y a quelques temps, à savoir ne pas commencer à essayer de jouer aux amants. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7481 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
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| L’échappatoire ne se devait être qu’un entracte dans le déroulement de leur soirée, rien qu’un instant à l’abri des regards, là où les masques d’apparat n’ont plus de grande utilité. La séance de danse entrecoupée par des paroles à demi achevé, c’est transformer en une session d’espionnage aux premières loges. Arthur est attentif aux moindres détails, que ce soit la manière dont la jeune femme semble terriblement gêner, au fait qu’elle évoque un paternel qui pourrait se retrouver effaré de connaître l’identité de ses affinités. « Faut pas que mon père l'apprenne non plus. » Un instant, son regard s’attarde sur la silhouette de la brune à ses côtés, surpris d’une telle confession quand il aurait juré que son nom n’engendrait pas la moindre influence. Il s’intéressera au sujet plus tard, après avoir réuni toutes les pièces du puzzle qui se joue sous ses yeux aiguisés. Il faut dire qu’il a toujours eu un faible pour les rumeurs, fondées ou non, d’adultère et cela a toujours été bien trop simple de démasquer les histoires des uns et des autres. Depuis son arrivée en Australie, il se retrouve néanmoins déstabilisé par son manque de connaissance au sujet des allégeances des uns et des autres. Qui est le père de cette fille ? « Qu’est-ce que j’en sais, moi ? » Elle aurait pu faire un effort, retenir un simple nom, ce n’est pas la tache la plus compliquée qui lui soit incombé. Il soupire, Arthur, certain qu’un coup magistral semble lui filer entre les doigts, agacé entre la proximité du corps de Murphy et cette envie de mieux comprendre ce qui se déroule sous ses yeux.
« COURS ! » Il n’a guère le temps de s’attarder sur les détails. Elle lui déboîte presque l’épaule à tirer ainsi sur son bras, l’entraînant dans son sillage au rythme d’un éclat de rire qui lui provoque un léger sourire. En quelques enjambées, il prend la tête de la course, sa main toujours liée à celle de la brune. Leurs pas résonnent sur les dalles en marbre, en écho aux insultes profanées par l’ancien à leur poursuite. Projeter dans la cabine de l’ascenseur, Murphy manque de l’écraser, il sait la retenir d’un bras autour de ses hanches. Souffles coupés, ils apprécient la pause accorder par l’ascension des étages dans une simplicité qui leur accorde un dernier tour au milieu des festivités. Du père de la maîtresse, il n’aura que le profil qu’il s’empresse de graver dans un coin de sa mémoire avant de filer à nouveau. L’échappée se termine aux limites du possible, sur le toit du musée, loin de toute l’agitation. « Il nous trouvera pas ici. On a qu’à attendre que cette foutue soirée soit terminée. » Un coup d’œil à sa montre lui indique que l’heure se trouve déjà bien avancée. « Au vu de la moyenne d’âge, on devrait pas en avoir pour longtemps. » Encore un peu et ils s’efforceront tous de gagner le concours de l’originalité pour l’excuse qui les tirera hors d’ici. « T’as vu sa gueule ? Il avait l’air dégoûté. » Leur rire se mêle à l’instant où leur regard se croise. « Tu lui as probablement fait cracher un poumon à courir comme ça. » Il remarque la chair de poule sur ses bras et procède à retirer sa veste de costume pour la passer sur les épaules de la brune. Arthur n’a pas en tête d’écouter Murphy ou bien même d’utiliser son geste comme un rapprochement. Sa main glisse dans la poche de la veste pour simplement en retirer son téléphone. « T’as une autre idée que danser jusqu’à ce que mort s’en suive, pour tuer le temps ? » Des idées, il en a des tas, toutes impliquent un certain rapprochement physique qui s’en viendrait à trahir bien des limites qu’ils se sont interdits de franchir. Il se dérobe plutôt auprès de son téléphone, le regard vissé sur l’écran plutôt que sur le corps de la jeune femme, il envoie quelques messages relatant ses trouvailles. Un texte pour son père, à la recherche d’une approbation qu’il n’oserait admettre, et d’autres pour certaines de ses connaissances dans cette ville, à la recherche de l’identité des amants et de tout ce qu’il pourrait en tirer. Un instant, Arthur est tenté de jouer avec le feu, retourner un étage en dessous pour parader dans la foule, mais Murphy s’est éloigné et son sourire s’est effacer.
« Tu fumes ? » A défaut de danser, il s’est déjà bien assez ridiculisé la première fois. D’une main agile, il fouille à nouveau la poche de sa veste contre les hanches de la brune, à la recherche de son précieux paquet. La flamme du briquet s’en vient valser entre leurs deux visages avant qu’il ne relève les yeux vers ceux de Murphy. Mais son téléphone émet une légère sonnerie et déjà, son attention se détourne pour tenter de glaner quelques informations supplémentaires sur les amants qu’ils avaient surpris. « Tu rentres avec moi ? » Il pose la question, le regard alternant entre son écran et le visage de la jeune femme. Ce soir, il se sent puissant, capable de tout et il ne s’interdit rien. |
| | | | (#)Jeu 4 Aoû 2022 - 3:43 | |
| Murphy a toujours adoré courir. Pas sans but, mais pour échapper aux autres. Elle s'est toujours bien débrouillée, même quand cette peste de Vanessa voulait lui casser la figure au secondaire après que Murphy ait collé des chewing gum dans ses cheveux. Cette petite conne posait des soucis à la seule copine de la petite blonde, une immense rouquine répondant à un nom depuis longtemps oublié. De toute façon, ce n'est pas tant que Murphy tenait à cette fille. Depuis petite, elle a besoin de se battre. De taper du poing et des pieds. De coller du chewing gum dans les cheveux de ses camarades, si cela peut leur porter peine - et surtout, s'ils le méritent. Arthur ne mérite pas une telle attaque, non. Il mérite qu'on l'attrape par la main pour l'entraîner dans le sprint de son existence. Il n'y a rien qui rende Murphy plus vivante - sinon, peut-être, la poudre blanche qu'elle coupe parfois avec de vieilles cartes bancaires volées.
Ils sont tous les deux sur le toit du musée et l'adrénaline ne redescend pas tout de suite. Le froid mord pourtant la jeune femme. La chaleur de la journée s'est atténuée au profit d'un léger vent. « Au vu de la moyenne d’âge, on devrait pas en avoir pour longtemps. » Murphy lâche un rire et jette un regard à l'horizon. Ils attendront que les choses se tassent et que le vieux monsieur se sente assez humilié pour rentrer chez lui. Il se battra avec sa femme, aura une dispute ayant pour sujet "mais tu ne me touches plus, voilà pourquoi je prends une maîtresse" et le couple se cassera la figure juste comme le font tous les couples de bourgeois : dans les larmes. La blonde ne songe plus beaucoup à ces gens là. Elle n'a soudain d'yeux que pour Arthur, que la nuit - et l'alcool précédemment ingéré - rend étrangement attirant. Brillant. Lumineux. « Tu lui as probablement fait cracher un poumon à courir comme ça. » Et s'il est mort d'une crise cardiaque, Murphy n'en mourra pas de culpabilité pour autant. Ce vieux connard a eu ce qu'il méritait. La jeune femme accueille le geste d'Arthur d'un regard étonné. Elle lui connaissait de bonnes manières, mais pas au point de se préoccuper du froid qui s'insinue lentement sous la peau de sa partenaire. La curiosité s'instille au compte-gouttes dans l'esprit de Murphy, qui ne lâche plus son ami des yeux.
Il sort un paquet de la veste qu'il vient de poser sur les épaules de Murphy et cette dernière évalue le bénéfice-risque d'actions telles que "lui sauter au cou" "le pousser du haut du toit" ou encore "s'en aller avant que les choses ne prennent une tournure inattendue". « Tu fumes ? » Silencieusement, alors qu'il guette son téléphone, Murphy prend des lèvres de Arthur la cigarette. Elle s'accroche, de sa main libre, au tissus qui recouvre ses épaules. L'intimité de la scène est devenue plus criante à mesure que la jeune femme a cessé de piailler dans tous les sens. Il y a des tas de façons de finir cette soirée, mais pas une qu'elle ait vraiment envie de concrétiser. Qui sait ? A la seconde où ils quitteront le lieu de leur méfait, l'étincelle de magie qui s'est glissée entre eux s'évaporera peut-être. Elle regrettera certainement le fait de lui proposer de rentrer avec elle. « Tu rentres avec moi ? » Mais heureusement, Arthur est là pour mettre les pieds dans le plat. Un sourire dissipe la mine pensive de Murphy. Le visage mutin, elle vient se planter sous le nez d'Arthur, qui la dépasse de dix bons centimètres. « 'Faudrait pas. » Et où en est leur promesse, alors ? « Je veux bien. » Et, sans autre forme de procès, elle lui rend sa cigarette avant que les choses ne dérapent un peu trop. |
| | | | | | | | illicit affairs (franprix #1) |
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