| hit me with your best shot || morientry #2 |
| | (#)Jeu 28 Oct 2021 - 23:57 | |
| Il est deux heures de l'après-midi et tu as la gueule de bois. Jusque là, tout va bien. Rien d'anormal au programme. La file d'attente pour un café n'en finit plus de finir. C'est à croire que tu ne l'auras jamais ce liquide sur qui tu mets tous tes espoirs pour te redonner un minimum de rigueur. Tu regardes le bout de tes pieds, soupire bruyamment comme si ton impatience allait donner aux autres l'envie de te laisser passer devant eux. Non, ça ne marche pas. Quand tu lèves légèrement le regard, tu tombes sur un truc relativement fascinant. Ah bah tiens, c'est qu'il est invitant ce portefeuille qui ne demande qu'à être sauvé. À moitié ressortie du veston du type en face de toi, honnêtement, si tu ne fais rien, il va tomber au sol. Par chance, il y a une bonne âme charitable derrière lui - c'est de toi que tu parles au cas où c'était pas clair. Tu jettes un rapide coup d'œil derrière toi. Merci à la nouvelle génération accro au téléphone. Personne ne s'occupe de ce qui se passe autour d'eux, ils ont tous les yeux braqués sur leur écran. Ça te prend moins de dix secondes pour aller fouiller dans sa poche, en retirer l'argent et le remettre à sa place. Et bah voilà, on dirait bien que t'es capable d'avoir les sens aiguisés quand tu veux. L'truc c'est que rendu à la caisse, il va pas comprendre pourquoi son argent a soudainement disparu. Et que t'es sûrement le mec le plus louche de la place. Mieux vaut prévenir que guérir à c'qui paraît. Parce que c'est pas suspect du tout que tu quittes momentanément la file d'attente alors que c'est presque ton tour.
Tu fais profil bas en te dirigeant vers la sortie, au point où tu bouscules un type qui entre, alors que toi tu sors. La politesse veut qu'on s'excuse. C'est quoi ça la politesse ? Tu te contentes de lever un œil peu intéressé au connard qui vient de te rentrer dedans - sa faute bien sûr, pas la tienne. Et, et … et merde. Qu'est-ce qu'il fout là cet idiot de Coventry ? Peut-être qu'il t'a pas assez regardé pour te reconnaître ? Ah. Ah oui, ce regard qui s'assombrit à une vitesse éclaire te confirme qu'il a bien reconnu ta tête de con. Oh quoi il est encore fâché de cette vieille histoire ? Le passé, c'est le passé. C'est pas bon pour la santé la rancune. « Ah, Arthur. Ça va mon pote ? » que tu lui demandes en lui donnant une tape amicale (?) sur l'épaule, comme si hier encore vous alliez crever les pneus de ce gars qui avait l'audace d'exister - toutes les raisons sont bonnes vous voyez. « C'est dégueulasse ici. Tu devrais aller ailleurs. Conseil d'ami. » Oui, oui, bien sur, ami. T'as déjà fait deux pas derrière, comme si t'allais ailleurs. Enfin, pas seulement comme si, tu comptes pas vraiment t'éterniser devant ton vieil ami. Tu tiens à ta belle gueule. T'es sur le qui vive. Tu sens déjà la boost d'adrénaline parcourir tes veines - c'est essentiel pour courir vite. Ce connard fait un seul micro mouvement vers toi et tu te sauves en bon lâche que tu es.
@arthur coventry |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
(2022) rory #1 › murphy #2 › seth #3 › swann #3 › vivian › eleonora #2 › swann #4 › greta #1 (2013) › channing › malone #1 › swann #5
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Jeu 2 Déc 2021 - 19:59 | |
| « Les actions mise en place commence à porter leurs fruits, cependant, il faudrait… » Un long soupire m’échappe faisant alors tourner la tête de tous les collaborateurs actuellement présents à cette réunion qui ne cesse de s’éterniser pour des broutilles. « On s’emmerde Alfred. » Le mot est encore faible tant, il ne cesse de me prendre la tête depuis le début de matinée à pinailler sur des chiffres tandis que les autres s’auto congratule des quelques merdes qu’ils ont été capables d’accomplir en sept jours. « On vous paye pour atteindre les objectifs n’est-ce pas ? » L’homme debout face à moi hoche la tête de manière fébrile. « Bien sûr Monsieur Coventry. » Je ne me lasse pas de cette façon qu’il a de mes lécher les bottes dès que je lui fais une remarque, de tous, ce bon vieil Alfred semble bien être le plus docile. « Alors on va cesser la branlette cérébrale et vous allez tous retourner bosser pour me présenter quelque chose qui en vaille la peine. » Je réprime le sourire qui voudrait se dessiner au coin de mes lèvres tant, je prends un malin plaisir à jouir de la situation. Mon paternel m’ayant transféré les pleins pouvoirs, ou presque, ils savent qu’en un claquement de doigts, je peux décider de me passer de leur service et certains ne sont pas tranquilles. Depuis mon arrivée, les réunions de cet acabit se sont enchaînées sans jamais réveiller mon intérêt. Tout est d’un ennui profond, d’une complaisance qui n’amène qu’à des résultats bien trop médiocre. « Je déteste que l’on me fasse perdre mon temps ainsi. » Cela sera bien suffisant pour aujourd’hui.
Ma présence au bureau n’excède que rarement les deux ou trois heures, comme si j’avais le temps à tourner en rond dans cette tour de verre tout en prétendant m’intéresser à un quelconque projet. Un rendez-vous avec le Maire de la ville a été convenu pour la semaine prochaine, c’est bien là que sera centré mon intérêt, au creux du seul projet immobilier qui en vaille réellement la peine. Le reste peut bien attendre quand ils m’ont tous refiler un mal de crâne insupportable. C’est bien dans ce genre de moment que le manque de substance se fait le plus ressentir, quand tout m’emmerde et que j’aurais bien besoin de m’échapper autrement. Dans l’idée de rester raisonnable, dieu que c’est chiant, je me dirige vers le premier café de la rue pour réclamer une dose de caféine tout ce qu’il y a de plus inoffensive.
L’endroit semble populaire, mais ma flemme prend le dessus et je décide de pousser la porte, le nez plongé dans mon téléphone portable. Murphy s’amuse à pourrir ma messagerie et me distrait assez longtemps pour me faire entrer en contact avec un autre être humain. Je déteste que l’on me touche. « Ah, Arthur. Ça va mon pote ? » C’est pire encore lorsque je reconnais sa voix bien avant de poser mes yeux sur son visage. Sans gêne, comme s’il retrouvait un vieux camarade de classe, Seth vient serrer mon épaule entre ses doigts. « Si tu tiens à tes phalanges, retire ta main, de suite. » Les mots sont sifflés entre mes dents serrées tandis que le gamin se met à l’aise comme jamais. « C'est dégueulasse ici. Tu devrais aller ailleurs. Conseil d'ami. » Mon sang ne fait qu’un tour quand je rêve d’éclater sa petite gueule de jeune premier depuis des années. Chance pour moi, malchance pour lui, en me bousculant, il nous a décalés vers un couloir étrangement vide menant probablement à un débarras quelconque. Trop simple pour le coincer. Je prends tout de même le soin tout particulier à venir empoigner son entrejambe pour le faire reculer et surtout lui passer l’envie de s’échapper. « J’avais promis de te castrer, il me semble, non ? » Il s’était fait la malle avant que je ne puisse lui mettre la main dessus, très largement aidé par ma mère qui était encore bien trop éprise de son jeune amant. Je resserre mon empoigne juste ce qu’il faut pour le faire couiner comme un bébé sans trop nous faire repérer. « Une dernière parole à prononcer, peut-être, l’ami ? » Je vais le tuer, qu’importe si on se trouve en public, qu’importe ce qu’il pourra dire. Il est venu à moi sans prévenir et je vais me faire un malin plaisir de faire de sa vie un enfer désormais. |
| | | | (#)Ven 10 Déc 2021 - 3:30 | |
| « Si tu tiens à tes phalanges, retire ta main, de suite. » Ça ne prend pas une seconde que tu retires ta main avant de lever tes deux paumes de mains vers lui en signe de paix. Pas certain que ce soit suffisant pour ne pas t'attirer d'ennuis. T'aimerais te dire que l'eau a coulé sous le pont, que le temps lui a permis d'oublier qu'il avait envie de te tuer, qu'il est nostalgique du bon vieux temps. Toi, tu pourrais facilement l'être. T'as baisé sa mère pour emmerder son père. Pas pour l'emmerder lui. Tu imagines que ça a éclaté tout un scandale dans sa famille. Tu te demandes si ses parents ont divorcé. Ils ont plutôt l'air d'être du genre à étouffer l'affaire et faire comme si ce n'était jamais arrivé. Quoi qu'il en soit, au vu de l'attitude peu amicale de ton ancien ami. Tu fais un premier pas derrière. T'es déjà prêt à prendre tes jambes à ton cou. T'es déjà en train de réfléchir à quelle ruelle prendre pour te sauver le plus facilement possible. Le gosse de riche qu'il est ne connaît sûrement pas les ruelles lugubres par coeur comme toi. Tu sauras t'évader facilement. Le problème, c'est que Arthur n'est pas si con. À peine tu fais un mouvement de recul que sa main vient empoigner ton entre-jambe. Non, non, c'est pas de manière très sympa. Ton visage se crispe très légèrement sous la douleur soudaine qui te prend directement au cœur. Tu confirmes; les couilles et le cœur, c'est vraiment relié. Il fait quelques pas vers toi t'obligeant à reculer à ton tour. Ça va, ça va. Tu peux encore te sortir de ça. « J’avais promis de te castrer, il me semble, non ? » C'est un rire qui s'échappe d'entre tes lèvres. Autant parce que t'es assez con pour le provoquer davantage que parce que tu ne veux pas que ton visage se crispe de douleur. « Si tu penses que j'écoute toutes les conneries que tu racontes… » Tu n'as ni écouté ni lu aucun de ses messages aka ses menaces de mort ou de castration si on se fit à ce qu'il dit. A des milliers de kilomètres de lui, qu'est-ce que tu en avais à chier de ses menaces qu'il ne mettrait jamais à exécution ? Tu t'es foutu un doigt dans l'œil. Et ta respiration se fait plus difficile quand il resserre sa prise. Personne n'a pitié de toi ici ? Personne ne vous remarque.
« Une dernière parole à prononcer, peut-être, l’ami ? » Le mode survie. Voilà ce qui embarque au même moment. Il ne sait sûrement pas c'est quoi Arthur. Tu le savais pas avant d'atteindre le fin fond du trou de misère dans lequel tu te trouves. Premièrement, faut qu'il relâche sa prise sinon tu ne peux pas te sauver. T'es toujours partant pour une bonne bagarre, mais quand tu sais que tu vas te faire éclater la gueule, ça te plaît un peu moins. Aucune dernière parole, parce que t'as pas fini d'ouvrir ta sale gueule encore. C'est violemment que tu viens écraser son pied du tien. C'est suffisant pour qu'il te relâche et que tu puisses te sauver carrément. Tu cours, sans jamais te retourner pour voir s'il suit derrière toi. Il suit. Tu sais. T'es persuadé de connaître mieux le coin que lui. Tu tournes dans la première ruelle que tu croises. Et merde, merde, merde. Tu sais ce qu'il y a au bout de cette ruelle. C'est bloqué. Ça tourne à cent milles à l'heure dans ta tête. Quand tu arrives devant la clôture, tu te donnes un élan pour sauter par-dessus la benne à ordure et passer de l'autre côté de la clôture. Il est pas assez souple pour faire pareil avec son costume de connard. Enfin, ça, c'était le plan. En réalité, il a un peu mouillé ce matin. Le couvercle est glissant. Tu passes jamais de l'autre côté. Tu viens lamentablement t'écraser au sol. Le coup sur ta tête fait un mal de chien. Il te sonne assez pour que tu sois incapable de te relever. Et tout ce que tu réussi à faire c'est de te mettre en boule et de cacher ton visage pour éviter le plus de coups possibles. T'es mort. Putain t'es mort. Et dans ce coin reculé de tout le monde y'a personne qui va t'aider. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| Jamais je n’aurais pu imaginer tomber sur sa sale gueule à l’autre bout du monde. Lui qui avait fui le pays comme un queutard dès l’instant où il s’était fait prendre la main dans le sac. Ou ailleurs, mais la simple idée que la main qui soit actuellement sur mon épaule est pu toucher ma mère, me provoque de multiple pulsion qui par tous les extrêmes finiront par entraîner sa mort. C’est bien la seule fin qui soit envisageable pour un mec de son espèce. À vivre dans l’une des villes les plus dynamiques du monde, emplis de jeunes femmes à la moralité légères, il avait fallu qu’il jette son dévolu sur une femme mariée et inaccessible. Si je comprends le challenge, je ne vais tout de même pas lui jeter la pierre pour une action que j’avais entrepris bien avant lui, je respecte beaucoup moins le choix de la personne. De toutes les femmes mariées adultère présente dans cette putain de ville, il avait fallu qu’il choisisse ma mère. « Si tu penses que j'écoute toutes les conneries que tu racontes… » Grave erreur de jugement, à croire que c’est bien la seule chose dont il est capable, quand ma main est capable de broyer le peu de virilité qu’il lui reste. Resserrer mon emprise semble bien trop simple, pour le simple plaisir de voir son visage se tordre de douleur. Je m’étais juré de le faire payer, ce n’est que le début.
La cohue des clients derrière nous me déstabilise un court instant, juste assez pour qu’il prenne une brave décision me faisant relâcher mon emprise. C’est que je prends presque plaisir à le laisser détaler, maintenant que je sais qu’il est en ville, je vais pouvoir m’amuser. Il est trop simple de le frapper pour extérioriser la colère. Oh, l’envie est bien présente, encore plus lorsqu’il détale à nouveau comme un lapin. Mais l’idée même de pouvoir faire durer la souffrance s’installe petit à petit dans mon esprit. S’il est venu dans cette ville, c’est que quelque chose l’y a amené, peut-être même que ce quelque chose le retient dans le coin. Il ne sera pas bien difficile de trouver des informations qui pourront me permettre de faire durer le plaisir. En attendant, je décide de tout de même de le suivre. Sans courir, il manquerait plus que je m’essouffle pour un con dans son genre. Je me glisse dans la rue, m’attendant à le voir se glisser dans un véhicule qui rendrait mes recherches plus aisées, mais le couillon préfère s’engager dans une ruelle. Quel cliché.
Le timing se veut excellent quand j’arrive sur les lieux pile au moment où il s’étale telle une merde sur le sol. Je soupire, levant les yeux au ciel, avant de lisser ma veste de costume pour me rapprocher de lui. Un coup d’œil par-dessus mon épaule m’indique que personne ne pourra nous voir depuis l’avenue principale. Parfait. Sans même hésiter, alors qu’il est allongé sur le côté, je prends l’élan suffisamment nécessaire pour venir décrocher un coup de pied sur ses côtes. « Tu me facilite trop la tâche Seth. » Du bout du pied, je le pousse afin qu’il roule sur le dos, appréciant la grimace qui déforme son visage. Ma chaussure parfaitement cirée vient se poser avec force sur la main qu’il laisse traîner contre le sol. D’un mouvement léger, j’abaisse tout mon poids sur ma jambe. Je pourrais presque sentir ses os craqués dans une douce mélodie. « Je parie que jamais tu pensais me revoir un jour. » Mes mots planent dans le silence de la rue, laissant place à toutes les possibilités et surtout celle que ma présence dans cette ville n’a rien d’un hasard. À nouveau, j’exerce une pression sur son bras, me délectant de ses gémissements. « Arrête de geindre. » Et le deuxième coup de pieds part sans prévenir avec toute la force dont je sais faire preuve. |
| | | | (#)Ven 7 Jan 2022 - 12:30 | |
| Et ta tentative de fuite est un échec total quand tu te casses la gueule tout seul comme un con en tentant de sauter par dessus la clôture. C'est une lamentable chute au sol que tu récoltes plutôt que la liberté. Arthur arrive comme le parfait gentleman qu'il est. Il a l'air d'hésiter à te casser la gueule par peur de faire une tâche de sang sur son costume à cinq milles dollars. Putain d'connard de riche - oh ouais t'es jaloux du temps que c'était toi le connard de riche. Quelque chose qui n'arrivera probablement jamais. Aussi bas que tu l'es, les chances de remonter au sommet sont très très minces. Encore plus alors que tu es allongé au pied du Coventry qui se donne à coeur joie pour enfoncer son pied directement dans tes cotes. Tu retiens un grognement qui siffle entre tes dents. Putain c'que ça fait mal. Et t'es pas con. C'est que le début. « Tu me facilite trop la tâche Seth. » « Va t'faire foutre. » Il est mieux d'cogner plus fort que ça s'il veut te faire fermer la gueule. Tu comptes pas la fermer tant que tu respires encore.
Il te pousse du pied comme si tu étais un vulgaire déchet pour te retourner dos au sol. Ton regard se lève vers ton agresseur alors que ton sourire réussit tout de même à s'élargir. « Je parie que jamais tu pensais me revoir un jour. » Non, effectivement. Séparé à des kilomètres l'un de l'autre, comment aurais-tu pu penser qu'il viendrait en Australie ? Enfin, est-ce vraiment un hasard ? T'as sûrement déjà échappé dans une conversation que la tarée qui t'sert de mère s'était sauvée ici avec ta soeur. Enfin, si c'est pas le hasard, il en a mis du temps à te retrouver. Sa chaussure vient se poser contre ta main sur laquelle il vient mettre tout son poids. C'est un rire nerveux qui s'échappe de tes lèvres au même rythme que ta main se broie en des millions de petits morceaux. Un rire qui se retrouve entrecoupé de gémissements de douleur. C'est beau vouloir jouer les fier que la douleur n'atteint pas, mais même le corps à ses limites. Et ces limites arrivent plus tôt que l'arrogance. « Arrête de geindre. » C'est con que le fait qu'il le demande, te fasse serrer les dents si fort pour tenter d'arrêter. Et le voilà qui reprend son élan… « C'est c'que j'disais à ta mère pour pas qu'on s'fasse choper. » Et un nouveau coup beaucoup plus brutal t'arrive directement dessus. Ton rire se retrouve coupé au même moment où l'air semble incapable de se rendre jusqu'à ses poumons. Tu sens le goût de fer te monter à la bouche. C'est un beau crachat mélangé à du sang qui se retrouve directement sur son beau petit pantalon tout propre. C'est tout ce que tu peux faire: tâcher ses vêtements. Parce que tu sais déjà que t'es incapable de remonter sur tes deux jambes même si tu en aurais très très envie. Ça y'est. Tu vas crever tout seul au beau milieu de cette ruelle. Les Moriarty ne pourront même pas afficher ton corps au service funèbre puisque tu seras méconnaissable quand Arthur en aura fini de toi. Quel idée de merde d'aller dans une ruelle. Au moins, dans le grand chemin, quelqu'un aurait sûrement eu pitié de toi. |
| | | ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7482 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
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| « Va t'faire foutre. » Oh que non. Il serait bien trop simple que de lui laisser le plaisir de s’échapper aussi facilement alors qu’il est venu se jeter dans la gueule du loup comme un grand garçon. À croire qu’il a la mémoire courte Seth quand il a souvent été témoin ou complice de certains passages à tabac. Il a vite oublié, que même sans courir, je finirais toujours par le rattraper. Il agit comme un con à se faufiler dans une ruelle sans issue, qu’il en prenne les conséquences désormais. Le sourire aux lèvres, je prends un malin plaisir à écraser son poignet tout en douceur. C’est qu’il cherche à faire bonne figure alors que son visage se tord de douleur. Je m’ennuie presque de la situation quand il a tout rendu trop simple sans me donner la moindre occasion de prendre un peu de plaisir à devoir le retrouver.
Du moment où il avait fui Londres comme un lâche, je m’étais fait à l’idée que je ne le reverrais sans doute jamais. Je me demande ce qu’il doit être en train de s’imaginer pour que la coïncidence de notre présence dans la même ville, à l’autre bout du monde, puisse faire sens pour son cerveau atrophié. Souvent, je me suis imaginé me servir de sa gueule de camé comme punching-ball, désormais, il ne s’agit plus d’un rêve. « C'est c'que j'disais à ta mère pour pas qu'on s'fasse choper. » Et en plus de cela, il souhaite mourir. Le coup part sans que je n’aie à réfléchir. Avec ses airs de jeune premier, il était venu détruire notre famille, balayant tout sur son passage avant de se barrer la queue entre les jambes. Alors le premier coup est pour venger mon père, le second, le troisième et les suivants n’ont plus réellement besoin de raisons pour exister. Je frappe pour extérioriser, je frappe sur lui pour tout un tas de raisons qui dépasse ce qu’il a bien pu faire. Je cogne et ce connard crache son sang sur mes chaussures. « Crève Seth. » Emprisonné dans mes pensées, obnubilé par l’envie de faire mal, je ne maîtrise plus la force de mes coups, mais ce connard dois avoir une bonne étoile quelque part lorsqu’un homme me hurle d’arrêter. « Vous allez le tuer. » C’est le but. Mon regard plongé dans celui du perturbateur, je viens assener un dernier coup de poing à un Seth complètement sonné, mais qui bouge encore. Il est coriace le lascar. « T’as de la chance pour cette fois. » Ma voix ne s’apparente qu’à un murmure glacial à quelques centimètres de son visage tuméfié. « Il vaudrait mieux pour toi que l’on ne se croise plus jamais. » Je ne serais pas aussi clément, une seconde fois.
Et tandis que le pseudo sauveur du dimanche appelle la police, je me redresse, passe une main dans mes cheveux, réajuste mon costume et m’en vais sans laisser le temps à qui que ce soit de m’interpeller. Seth est con, mais il est probablement assez intelligent pour ne pas porter plainte. |
| | | | | | | | hit me with your best shot || morientry #2 |
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