Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €

 (penisy #7) under this avalanche with you

Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyDim 31 Oct 2021 - 14:50



PENNY STRINGER & @ISAAC JENSEN ☽ You and I, maybe we'll disappear like ghosts. Intertwined, in a couple of years they'll write our stone. Here lies a lucky man who was losing all hope. A real life and a beautiful soul who never let go. I just never see the warning. Under this avalanche with you. I feel the world collapsing down. But after all that I've been through. Long as I'm with you. Nobody can hurt me now. It's been breaking me. Tired to the bone. You're saving me, say to me: I'm not alone (c)pinarrdeniz & harley

Les deux derniers mois avaient été complètement épuisants. Depuis le tournage au début de l’année, tu n’avais rien vécu d’aussi physiquement et mentalement drainant que cette tournée de promotion. Si tu retrouvais un plaisir que tu avais longtemps cru disparu à enchaîner les entrevues, à pousser autant que possible la série qui se retrouvait désormais disponible sur Netflix, tu ne te souvenais toutefois pas avoir un jour été aussi fatiguée par le rythme pourtant souvent abusé de ton métier. Les derniers jours ont été particulièrement pénible et tu mets le tout sur la venue de ce tapis rouge qui s’est pourtant déroulé sans anicroche. Tu étais tellement contente d’avoir Isaac à ton bras, de pouvoir assister à cette soirée de grande première avec lui, de pouvoir le voir découvrir ton dernier projet en date et y lire la fierté dans ses yeux. Tu t’étais sentie si bien ce soir-là, mais les contre-coups étaient puissants alors que tu ne semblais plus en mesure de retrouver la moindre énergie. Il ne vous restait qu’une journée complète devant vous avant votre retour à Brisbane et tu voulais vraiment en profiter avec Isaac. Pour la première fois depuis qu’il était venu te rejoindre en terre américaine, tu n’avais absolument aucune obligation professionnelle à l’agenda. Vous aviez discuté d’aller vous promener sur le Hollywood Boulevard, d’aller admirer le grand signe d’Hollywood et de simplement profiter de cette journée pour être tous les deux, vous qui n’aviez pas eu l’occasion de le faire depuis ton départ, il y a de ça presque un mois déjà. Si les engagements t’ont gardé bien occupée, tu as tout de même trouvé ça cruellement difficile d’être si loin de ton amoureux pendant si longtemps et tu espères sincèrement que ton prochain projet, si prochain projet il y a, se déroule complètement (ou du moins en grande majorité) à Brisbane, pour que tu puisses rentrer tous les soirs et dormir près du Jensen dont la présence t’est de plus en plus essentielle.

Les plans de la matinée semblent pourtant être légèrement compromis alors qu’une fois encore, tu peines à te réveiller et puisque tu n’as aucune obligation, il semblerait que le cadran qui a pourtant déjà sonné à trois reprises ne suffisent pas à te tirer du lit. Tu grognes légèrement alors que tu tournes dans le grand lit de votre chambre d’hôtel, à la recherche du corps d’Isaac qui ne se trouve pourtant pas à tes côtés. Tu mets quelques secondes à le réaliser et le comprendre, ouvrant finalement les yeux pour voir qu’il est bien dans la chambre, simplement assis dans l’un des fauteuils. « Bon matin. » que tu souffles alors qu’un sourire s’étire sur tes lèvres. Ce sont les rayons du soleil qui remplissent pleinement la chambre qui te fait comprendre qu’il est sans doute bien plus tard que l’heure à laquelle tu avais prévu de te réveiller. Un simple coup d’œil sur le cadran te permet de comprendre qu’en effet, il est déjà passé 10h et vous avez perdu quelques heures de votre visite parce que tu n’arrivais pas à t’extirper du lit. « Oh mon dieu Isy, je suis désolée, t’aurais dû me réveiller! » Peut-être qu’il a essayé aussi, tu ne pourrais dire. Tu n’es pas une si grosse dormeuse normalement, mais il semblerait que ton corps avait bien du sommeil à rattraper après les deux derniers mois bien occupés. Tu t’assois dans le lit et invite Isaac à s’approcher de toi en tendant les bras. Il s’approche de toi, café en main et tu ne peux t’empêcher de faire une grimace alors que l’odeur de son breuvage te cause un haut le cœur que tu ne saurais réprimer. « Qu’est-ce que t’as mis dans ton café? » que tu demandes en riant, alors que tu mets une seconde et puis une autre à faire passer la nausée soudaine. Une fois que tu es certaine que ça va, tu rapproches ton visage de celui de ton petit-ami et vient poser tes lèvres sur les siennes, bien que le goût du café que tu y trouves te fait grimacer à nouveau. Tu secoues la tête légèrement, tentes d’ignorer tout ça alors que tu te lèves enfin. « Donne-moi une demi-heure et je vais être prête à aller déambuler dans Hollywood avec toi, c’est promis. » Isaac te connaît assez pour savoir qu’une demi-heure veut réellement dire une heure, mais c’est l’intention qui compte, pas vrai?



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyDim 14 Nov 2021 - 19:21

Penny Stringer adore ce message


Te trouver à Los Angeles présentait des teintes de surréalisme, toi qui jamais n'avait considéré un jour mettre les pieds sur le territoire américain. La présence de Penny dans ta vie ajoutait d'innombrables et somptueuses couleurs au canevas de ta vie, te surprenant toujours par des éléments, des conversations, des réflexions et des événements que tu n'avais jamais soupçonnés s'apparenter au véridique. C'était une vie totalement différente que tu savourais auprès de l'actrice, une histoire mouvementée et riche en émotions, que tu choyais plus que jamais et espérais sincèrement voir continuer indéfiniment. En attendant, votre humanité condamnée à l'éphémère, tu profitais de chaque instant avec elle, et les précédents et suivants se déroulaient sous le soleil éclatant de la Californie.

Cela t'avait été très intriguant de percevoir d'un œil extérieur les aléas de la dernière ligne droite promotionnelle et la sortie d'une série à budget au sein de laquelle Penny était hissée en tête d'affiche. Tu étais assez ignare du monde de cinéma et c'était aussi curieux qu'intéressé que tu avais absorbé tout ce dont tu avais la chance d'être témoin, exponentiellement impressionné par le travail sans relâche que menait ta petite amie. Tu la jugeais si forte, mentalement et physiquement, d'assumer autant de labeur sous un œil public parfois critique et cruel. Cela t'échappait comme Penny pouvait être aussi dotée de bonté et de patience quand souvent, il y avait aisément de quoi perdre son sang-froid. Peut-être était-ce la passion ou sa vocation qui la maintenaient si naturelle, si juste ?

Le tapis rouge, bien que très appréhendé, s'était déroulé apparemment plutôt sans encombres. Tu avais redouté causé le moindre impair et finalement, Penny semblait être satisfaite de ta prestation, ce qui te réjouissait. Mais surtout, tu étais excessivement fier et comblé d'avoir pu partager ce moment à ses côtés, votre couple rendu par ailleurs officiel par la même occasion. Vous aviez prévu profiter de votre dernière journée à Los Angeles sur un tempo plus touristique, les obligations professionnelles de la Stringer dorénavant levées. Néanmoins, lorsque tu constatais que malgré les alertes du cadran, ta petite amie demeurait profondément dans les bras de Morphée, tu optais pour stopper le réveil et la laisser récupérer du sommeil assurément pas volé. Discrètement, tu sortais de la chambre d'hôtel pour aller récupérer de quoi prendre un petit-déjeuner à son réveil. Si les denrées demeuraient sagement sur le bureau, tu n'avais toutefois pas résisté à siroter ton café, tuant le temps entre un livre et ton smartphone.

« Bon matin. » Penny t'extirpa de ta concentration et tu levais les yeux sur son portrait, les rayons du soleil dardant à travers les fibres des rideaux pour caresser son visage. « Bon matin, » tu lui souhaitais avec un large sourire, abandonnant tes affaires. « Oh mon dieu Isy, je suis désolée, t’aurais dû me réveiller! » Ton regard passa de ton interlocutrice à l'heure affichée sur la table de chevet. Penny s'assit sur le matelas, ses cheveux en bataille te faisant sourire, la trouvant irrésistible. « Tu dormais si bien, je n'ai pas osé te réveiller. Et je me suis dit que tu avais bien mérité de te reposer un peu. » Tu justifies et l'australienne tend ses bras dans une invitation à la rejoindre. Tu ne te fais pas prier pour t'exécuter, bien que stoppé dans ton élan en l'apercevant grimacer. « Qu’est-ce que t’as mis dans ton café? » Tu observes le liquide sombre, incrédule, ne le trouvant pas différent des précédents que tu avais avalés durant votre séjour. Tu sens les lèvres de Penny se poser tendrement sur les tiennes, avant qu'une nouvelle grimace s'invite sur son minois, ce qui te fait doucement rire. « Okay, je mets le café de côté, » tu promets, effleurant affectueusement le bras de la jeune femme qui se fraie un chemin hors du grand lit. « Donne-moi une demi-heure et je vais être prête à aller déambuler dans Hollywood avec toi, c’est promis. » Tu hoches la tête. « Prends ton temps, je bouge pas, » tu prononces avec un rictus malicieux. « J'ai pris de quoi déjeuner si jamais ça te dit, pour la route ou avant la route, » tu désignes d'un geste de la main les quelques vivres, dont une partie sélectionnée selon les précédentes commandes de Penny que tu avais mémorisées. Tu suis du regard ton amoureuse, qui te paraît légèrement pâlir et ralentir. « Ca va ? » Tu t'inquiètes.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyLun 15 Nov 2021 - 7:10

Les rayons du soleil que tu captes au travers du rideau devraient être un premier indice quant à l’heure qu’il est désormais, mais tu mets encore quelques secondes avant de te réveiller pleinement, l’esprit toujours embrumé et le corps étonnamment encore fatigué malgré les nombreuses heures de sommeil que tu viens d’enfiler. Un sourire habite tes lèvres dès l’instant où la voix de ton petit-ami résonne dans la chambre d’hôtel, et tu dois presque te pincer pour te souvenir que les évènements des derniers jours sont bel et bien réels. « Bon matin. » Oui, il est bel et bien là, ici avec toi dans cette chambre luxueuse d’un hôtel de Los Angeles. Oui, il était bel et bien là, à tes côtés, sur ce tapis rouge d’une série Netflix pour laquelle tu tiens la tête d’affiche. Oui, il a bel et bien passé son bras autour de ta taille ce soir-là, t’embrassant sous le flash de dizaines de photographes tous avides de se procurer un cliché de cette exclusivité. Des semaines que tu appréhendais ce moment précis et tout s’était déroulé sans anicroche, Isaac semblant parfaitement à l’aise de t’accompagner au travers chacune des étapes de la soirée et toi, tu ne pouvais qu’être reconnaissante de cette chance que tu avais enfin de partager cette partie de ta vie, de ton univers avec lui. Les obligations désormais derrière toi, le temps de quelques jours du moins, tu voulais vraiment profiter de cette dernière journée en sol américain pour visiter et découvrir la ville auprès du Jensen qui en était à sa toute première visite. Le temps file bien plus vite que tu ne l’aurais cru toutefois quand déjà, l’avant-midi vous échappe et que tu as passé la grande majorité de cette dernière endormie. « Tu dormais si bien, je n’ai pas osé te réveiller. Et je me suis dit que tu avais bien mérité de te reposer un peu. » Tu fais une légère moue, reconnaissante qu’il t’est laissé te reposer, bien que légèrement déçue de toutes ces heures perdues. « Ça doit être toute la pression qui redescend enfin, j’me souviens pas la dernière fois que j’ai été aussi fatiguée. » que tu lui relates avec un rire, légèrement gênée de ce nouveau statut de marmotte que tu es sûrement en train de te construire.

Il te rejoint, café en main, pour t’embrasser mais tu ne peux t’empêcher de grimacer à l’odeur du liquide foncé qui se tient dans son verre jetable. Tu ne pourrais expliquer le haut le cœur, simplement que l’arôme te semble bien plus puissante et putride qu’à l’ordinaire, toi qui es pourtant une avide buveuse de café sous toutes ses formes (avec du chocolat, de préférence mais certes.) Isaac remarque tes grimaces et recule son breuvage aussi loin de ton visage que possible alors que tu t’extirpes finalement du lit. « Okay, je mets le café de côté. » Tu ne peux t’empêcher de rire doucement alors que tu remarques le deuxième verre en carton sur le bureau et la simple idée qu’il soit pour toi te provoque une nouvelle vague de nausées. « Je t’offre le mien. » que tu suggères d’avance, n’ayant même pas besoin de le sentir pour savoir que dans le moment présent, tu n’en as pas du tout envie. « Prends ton temps, je bouge pas. J’ai pris de quoi déjeuner si jamais ça te dit, pour la route avant la route. » Tu le remercies d’un léger baiser sur ses lèvres alors que tu t’approches du bureau, ton regard se perdant sur les différentes options qu’Isaac a rapporté sans qu’aucune d’elle ne soit tentante. « Peut-être plus tard, j’ai pas très faim. » Même que c’est plutôt le contraire, tu as l’impression d’avoir l’estomac complètement retourné, au bord des lèvres alors que ça fait plus d’une dizaine d’heures depuis le dernier moment où tu as avalé quoique ce soit. « Ça va? » Isaac s’inquiète, son regard guettant chacun de tes mouvements, chacune de tes réactions. Tu t’efforces de hocher de la tête, affichant un sourire bien peu convaincant sur tes lèvres alors que tu te retournes pour lui faire face. « Oui, oui, j’ai dû me lever trop vite, c’est tout. » Entre les nausées, la fatigue et les aversions, il devrait y avoir une cloche qui sonne dans ta tête, mais tu refuses tout simplement d’y penser alors que tu viens caresser la joue de ton amoureux une dernière fois avant de t’éclipser dans la salle de bain. « Je me dépêche. »

Mais la tâche pourtant simple de te préparer n’a de cesse d’être mise à mal quand les nausées continuent de te marteler en vagues et que le simple fait de te brosser les dents te rend finalement malade. Encore à moitié vêtue, ayant abandonné l’idée de te coiffer, tu finis par ressortir de la salle de bain, un air dépité sur le visage. « Ça va pas finalement. » que tu annonces d’une petite voix de gamine qui fait la moue, ayant l’impression que tout ton corps se soit décidé à te trahir alors que tout ce que tu voulais, c’est de profiter de cette journée avec ton amoureux. « Je suis désolée Isy, je voulais tellement aller visiter avec toi. »



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyJeu 18 Nov 2021 - 0:48

Penny Stringer adore ce message


Ta Belle au Bois Dormant s'extirpe de ses songes, sa voix douce te renseignant de son réveil. Spontanément, tu portes un regard tendre sur la jeune femme qui se redresse dans le lit de la chambre d'hôtel luxueuse, les traces de son sommeil perdurant sur ses traits et mêlant légèrement ses cheveux bruns. Un sourire s'installe sur tes lippes et tu justifies l'heure tardive par ta volonté de l'avoir laissée se reposer considérant toutes ces semaines que tu juges de dur labeur et d'intensité émotive qu'elle a essuyées vaillamment. « Ça doit être toute la pression qui redescend enfin, j’me souviens pas la dernière fois que j’ai été aussi fatiguée. » Tu l'observes attentivement, t'égarant au cœur d'une déformation professionnelle au sein de laquelle tu recherches des indices autres expliquant sa fatigue. « C'est que ta trentaine approche, aussi, » tu taquines gentiment, réduisant progressivement la distance entre vos deux corps, répondant à l'appel de ses bras.

Tu poses affectueusement tes lèvres contre les siennes, puis la perçois grimacer. Le café incriminé, tu le mets de côté et remportes le sien en prime, la situation te paraissant de plus en plus interrogative - bien que bénéficiaire pour ton compte. Il ne te semble pas avoir commandé de cafés différents de ceux que vous aviez choisis les matins précédents et tu t'es rendu au même endroit pour les obtenir. Tu acquiesces, songeur, alors lorsqu'elle t'annonce nécessiter une demi-heure pour se préparer afin que vous arpentiez les fameuses rues d'Hollywood comme vous l'aviez initialement prévu. Tu lui indiques avoir apporté de quoi déjeuner mais ces vivres-là ne paraissent pas non plus charmer la Stringer : « Peut-être plus tard, j’ai pas très faim. » Elle te réplique avec un air sur son visage qui semble révélé davantage qu'un état rassasié. Tu ne la quittes pas du regard, ayant l'impression de la voir pâlir, ce qui t'inquiète derechef. « Oui, oui, j’ai dû me lever trop vite, c’est tout. » Elle t'offre un sourire qui ne te convainc pas. « Je me dépêche. » « Prends ton temps, » tu répètes, soucieux. Tu ne souhaites pas qu'elle se blesse dans la salle de bain.

Seules quelques minutes se sont écoulées avant que la porte de la salle de bain ne glisse de nouveau sur ses gonds. Surpris, soupçonnant que Penny avait peut-être oublié quelque chose dans la chambre, tu remarques toutefois que l'australienne semble encore plus accablée qu'à son réveil. « Ça va pas finalement. » Tes épaules s'affaissent et tu te redresses, prêt à la rejoindre. « Je suis désolée Isy, je voulais tellement aller visiter avec toi. » Tu hoches la tête en signe de dénégation, dans le but de lui assurer qu'elle n'avait assurément pas à s'excuser de ne pas se sentir en forme. « Ne t'inquiètes pas pour ça, on aura d'autres occasions, la vie est longue. Et c'est bien aussi, les journées chill, sans compter que je t'avouerais également beaucoup aimer les moments en petit comité, soit seul avec toi. En plus, vu la chambre, je pense qu'on aura largement de quoi passer une excellente journée. » Tu offres un léger rictus malicieux puis te rapproches de ta petite amie pour poser doucement tes mains sur ses épaules et caresser ses bras dénudés, le sérieux se réinvitant sur tes traits. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu te sens comment ? » Tu questionnes, ton rôle de soignant désormais totalement endossé. « Tu as quoi comme symptômes ? Tu as mal quelque part ? » Sauf qu'au centre hospitalier, tu évites de formuler un interrogation frisant l'étourdissant. Tu prends délicatement la main de ton amoureuse et l'invites à s'installer sur le lit.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyJeu 18 Nov 2021 - 10:12

Ce n’est pas toi, d’accumuler les heures de sommeil de cette façon et de toujours te sentir aussi fatiguée, alors que tu es normalement une vraie pile électrique qui ne manque jamais de jus. C’est ton corps en entier qui te semble te trahir au pire des moments quand tu n’as qu’une seule envie : profiter pleinement de cette dernière journée à Los Angeles avec Isaac. Isaac qui t’examine, qui a changé ne serait-ce que légèrement le regard qu’il pose sur toi alors que tu l’imagines déjà en train de t’analyser de la tête aux pieds pour être certain que ta fatigue ne cache rien de plus grave. S’il s’inquiète, il ne te le laisse pas savoir alors qu’un sourire se pose au coin de ses lèvres. « C’est que ta trentaine approche, aussi. » Tu prends un air faussement outré, la main qui vient se placer dramatiquement sur la poitrine alors que tu le regardes avec des grands yeux. « Je te permets pas! » que tu t’exclames tout en te levant pour t’approcher de lui. « Monsieur plus proche de 40 ans que de 30! » que tu lui lances avant d’éclater de rire. Oh que tu ne t’y sentais pas prête, à ce cap de la trentaine qui approchait plus vite que jamais. Tu avais l’impression que les mois du calendrier défilaient à toute vitesse depuis ton dernier anniversaire, et cela coïncidait sans grande surprise avec la présence du Jensen dans ton quotidien, son rôle prenant de plus en plus d’importance au fil des semaines. Rôle que tu n’aurais voulu offrir à personne d’autre tant tu te sentais bien avec lui, malgré les longues semaines où votre relation avait dû se vivre par écrans interposés vu la distance entre vous. Tu profites de la chaleur de ses bras, de la douceur de sa peau, de la sensation de ses lèvres sur les tiennes pendant quelques secondes, tentant tant bien que mal d’oublier les nausées qui te prennent à l’odeur pourtant familière du café, cherchant simplement à grappiller quelques instants avant d’aller te préparer pour la journée, préférant ne pas prendre au sérieux tes aversions soudaine et ton estomac qui te semble à l’envers sans que tu ne puisses t’expliquer pourquoi. « Prends ton temps. » te souffle ton amoureux alors que tu disparais dans la salle de bain sans ajouter un mot de plus.

Tu ne mets pas longtemps toutefois à te rendre à l’évidence : les nausées ne subsistent pas, bien au contraire et tu n’as pas du tout l’énergie d’aller te promener dans les rues d’Hollywood avec Isaac, malgré tout ton bon vouloir. Tu as l’impression de vivre un très mauvais lendemain de veille, sans même avoir eu le plaisir d’abuser de l’alcool. Tu passes de l’eau sur ton visage, cherche à reprendre un certain calme avant de sortir de la salle de bain pour aller rejoindre ton petit-ami, ne réalisant pas à quel point ton teint semble encore plus translucide qu’à l’habitude. Isaac s’approche dès qu’il réalise que tu as repris place dans la chambre, et tu es tentée de le tenir à l’écart, ne serait-ce que par précaution, au cas où ce qui te rend si mal en point serait potentiellement contagieux, bien que tu ne le repousses pas lorsqu’il vient poser ses mains sur tes épaules, son regard investiguant sans aucune subtilité tout ton être. « Ne t’inquiètes pas pour ça, on aura d’autres occasions, la vie est longue. Et c’est bien aussi, les journées chill, sans compter que je t’avouerais également beaucoup aimer les moments en petit comité, soit seul avec toi. En plus, vu la chambre, je pense qu’on aura largement de quoi passer une excellente journée. » Tu souris doucement, reconnaissante de la compréhension qu’il t’offrait alors que tu changeais une fois de plus vos plans à la dernière minute. « Je te promets que c’est pas la dernière fois que tu mets les pieds à Los Angeles. » que tu souffles avec un sourire alors que tes yeux trouvent les siens et que tu te perds dans l’intensité de son regard, comme tu aimes si souvent le faire. Ce n’était qu’un premier voyage outre-mer pour vous deux et tu demeurais persuadée que ce n’était que le début. Tu ne savais pas si vous auriez l’occasion de revenir pour ton travail ou simplement pour un voyage, mais il y aurait une prochaine fois.

« Qu’est-ce qui se passe? Tu te sens comment? » Pour toute réponse, tu lui offres une énième grimace. La vérité c’est que tu ne comprends pas trop ce qui se passe. « Je sais pas, j’ai mal au cœur. J’ai peut-être mangé quelque chose qui n’était plus frais hier? » Tu tentes de te souvenir de ce que tu as ingéré la veille, mais rien de ce que tu as mangé pourrait vraiment avoir créer une intoxication quelconque. Et puis une indigestion n’explique pas la fatigue que tu traines depuis plusieurs jours. « Tu as quoi comme symptômes? Tu as mal quelque part? » Tu ne peux t’empêcher de rire doucement devant l’importance qu’Isaac accorde à ton malaise, tes doigts venant caresser sa joue. « Non, non, j’ai mal nulle part. Juste des nausées et de la fatigue. » Et elle semble s’allumer tranquillement, la lumière dans ton esprit alors qu’un flash de panique s’installe dans ton regard et que tu viens passer une main sur ta poitrine qui semble plus sensible depuis quelques jours. « J’ai mal aux seins mais je… ça veut rien dire. Ça peut pas être ça. On a toujours fait attention. Et puis j’ai pas de retard, je pense… » Ça remonte à quand, la dernière fois que tu as eu tes règles? Tu ne t’en souviens pas, et tu mets encore quelques secondes à réaliser que depuis que tu prends la pilule en continue, tu ne peux plus vraiment te fier sur ça puisque tu n’as tes règles qu’une fois tous les trois mois. Tes yeux sont toujours aussi ronds alors que tu échappes un rire nerveux, tentant déjà de te convaincre que ce ne sont que des coïncidences, tout ça. « J’suis juste épuisée de la promo, c’est tout. » Pas vrai?



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyDim 21 Nov 2021 - 23:04

Penny Stringer adore ce message


La fatigue qui prend sournoisement possession du corps de Penny ne semble pas s'estomper malgré les heures de sommeil enchaînées par la jeune femme. Soucieux, ton regard la décrypte, à la recherche du moindre signe pouvant expliciter cette exténuation tenace. Taquin, tu te permets toutefois une boutade sur l'approche intransigeante de la trentaine de ton amoureuse, ne souhaitant pas non plus causer davantage d'inquiétudes qu'il n'en est nécessaire. « Je te permets pas! Monsieur plus proche de 40 ans que de 30! » s'offusque faussement ton interlocutrice et un rire file entre tes lèvres avant que tu ne presses tendrement tes lèvres contre les siennes, complice. « Bientôt, ce sera la maison de retraite, pour moi, » tu enchéris, te délectant de son odeur précieuse, de la chaleur comme de la douceur de sa peau qui composent entre autres bijoux inestimables son être que tu chéris tant « Ca va, tu ne pâtis pas trop d'être avec un vieillard comme moi ? A moins que je sois ton sugar daddy ?! » Tu plaisantes, espiègle. Avec la Stringer, votre quotidien s'apparentait à tes yeux à l'intemporel, comme l'amour que tu lui vouais était inconditionnel. Ton seul regret reposait sur la connaissance que l'infini était incompatible avec l'humanité qui vous décrivait.

Tu te distances doucement face à sa désapprobation énigmatique du café résidant encore sur tes lèvres et dans ta main, puis déposes le gobelet un peu plus loin au vu des grimaces étirant les traits de la brune. Cette dernière t'informe qu'une demi-heure lui suffira pour se préparer à ce que vous arpentiez les rues de Los Angeles et tu l'invites à prendre son temps, nullement pressé, surtout que tu te soucies de la voir pâlir en s'orientant avec dynamisme vers la salle de bain.

Penaude et blême, Penny réapparaît dans la chambre quelques minutes plus tard et t'informe ne pas être assez en forme pour visiter la ville californienne. Derechef, tu la rejoins et poses tes mains sur ses épaules dénudées, navré qu'elle soit souffrante, bien que relativisant : les conditions exceptionnelles de la pièce pourraient, tu l'espérais, l'aider à se sentir mieux. De plus, tu valorisais chaque instant que tu passais en tête à tête avec la jeune femme. « Je te promets que c’est pas la dernière fois que tu mets les pieds à Los Angeles. » Tu souris doucement, vos regards se perdant l'un dans l'autre comme pour offrir la plénitude à vos âmes de s'enlacer. « Je vais prendre goût à ces voyages. Peut-être qu'on pourrait profiter de cette journée pour se faire une liste des endroits qu'on aimerait visiter ? » Tu suggères avant de déposer précautionneusement un baiser sur son front, stratagème te permettant également de vérifier si ton amoureuse n'était pas fiévreuse. Tu te permets ensuite une rafale de questions pour tenter d'élucider l'origine de son mal-être physique. « Je sais pas, j’ai mal au cœur. J’ai peut-être mangé quelque chose qui n’était plus frais hier? » Un rictus interrogatif creuse ta joue. « Peut-être. » Il y avait tellement de mets de toutes sortes que les invités à cette célébration cinématographique n'étaient probablement pas à l'abris d'une intoxication alimentaire. Même si tu restais dubitatif, tu n'excluais pas cette option, bien que la fatigue de Penny persistait depuis bien avant la veille ; mais encore : cette dernière pouvait potentiellement être expliquée par son rythme effréné - bien que ta petite amie y était tout de même habituée en règle générale ? « Tu as quoi comme symptômes? Tu as mal quelque part ? » Tu poursuis, ne te satisfaisant définitivement pas de l'hypothèse de l'alimentation. Penny en rit doucement, ses doigts venant effleurer ta joue. Tu viens attraper délicatement sa main pour y déposer un baiser puis l'invites à s'asseoir sur le lit avec toi. « Non, non, j’ai mal nulle part. Juste des nausées et de la fatigue. » Tu glisses ta main autour de sa taille. « J’ai mal aux seins mais je… ça veut rien dire. Ça peut pas être ça. On a toujours fait attention. Et puis j’ai pas de retard, je pense… » Tu hausses les sourcils et ton regard fuit en arrière-plan, tes méninges s'activant. Vous avez certes pris vos précautions, mais un mal aux seins était, sauf erreur de ta part, généralement significatif d'une grossesse, surtout lorsque celui-ci se voit accompagné de nausées matinales et d'une fatigue récalcitrante. Sans compter qu'il n'existait pas de risque zéro. La contraception était certes efficace, elle n'était pas à 100% garantie. Ta conclusion s'apparente possiblement à celle de ton interlocutrice qui t'offre des yeux ronds. « J’suis juste épuisée de la promo, c’est tout. » Tu oses un léger sourire, davantage nerveux. « Peut-être que je peux aller te chercher un test, juste pour être sûr ? S'il est négatif, on pourra mettre cette possibilité entre parenthèses et se concentrer sur l'intoxication alimentaire. » Bien que tu n'y croyais plus, et que tu étais entièrement conscient qu'un test pouvait être faussement négatif. Cependant, tu ne voulais pas alerter ni paniquer Penny : une grossesse était loin d'être dérisoire. D'autre part, vous trouver à l'autre bout de votre foyer ne présentait pas non plus des conditions optimales pour un tel possible bouleversement, bien que tu étais entièrement prêt à te repérer dans Los Angeles pour accompagner Penny et l'aider à se sentir mieux. « A moins que tu préfères aller consulter un médecin ? » Tu proposes, n'excluant pas non plus cette option. Aussi, le praticien pourrait peut-être offrir un traitement à Penny si grossesse il n'y avait pas. Tu caresses doucement son dos, si focalisé sur l'état physique et psychique de ton amoureuse que tu mets complètement en sourdine tes propres émotions, Penny composant ta totale priorité. « Une chose à la fois, rien ne presse, on a le temps. Puis je suis là, je ne bouge pas, tu n'es pas seule. Je vais t'aider à te sentir mieux. » Tu promets sincèrement avant de déposer un baiser sur sa tempe. Inutile de céder à la précipitation ou à l'énervement. Même si les circonstances généraient un fort vecteur de chamboulement, tu voulais être le soutien inébranlable sur lequel Penny pourrait se rattacher en tous temps. L'une de tes principales priorités étaient qu'elle se sente bien et tu ne lésinerais absolument pas à déployer les moyens nécessaires pour cela.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyLun 22 Nov 2021 - 13:19

« Bientôt, ce sera la maison de retraite, pour moi. » Tu ris un peu plus fort entre deux baisers, oubliant momentanément les nausées, la fatigue et même le goût désagréable du café sur ses lèvres alors que tu profites tout simplement de ce petit moment de rien du tout qui pourtant fait toute la différence. C’est l’effet qu’il a sur toi, Isaac, quand la plus triviale des conversations devient un de ces moments qui te semble plus que précieux, de ceux que tu grappilles et dont tu souhaites mémoriser le moindre des détails, de l’éclat dans ses yeux jusqu’à la manière dont son sourire prend forme au coin droit de ses lèvres, à l’odeur de sa peau et même le goût amer du café qui te plaît normalement. « Ça va, tu ne pâtis pas trop d’être avec un vieillard comme moi? À moins que je sois ton sugar daddy?! » « Merde, tu m’as démasqué! » que tu t’esclaffes, vos rires faisant échos contre les murs de cette chambre luxueuse d’un hôtel renommé de Los Angeles. « Ça va, t’es plutôt en forme, pour un vieux. » que tu rajoutes, usant d’une voix mielleuse et enfantine alors que tu lui tires la langue, tes doigts glissant sur son torse défini. Votre différence d’âge ne se voyait pas, et elle ne se ressentait pas vraiment non plus quand il y avait bien d’autres aspects de vos vies qui étaient complètement différents sans que ses quelques années d’expériences de vie supplémentaires ne viennent vraiment créer un fossé. Vos modes de vie différents auraient pu, quant à eux, creuser un fossé entre vous et pourtant, l’opposé semblait se produire quand vous cherchiez constamment à vous faire une place dans le monde de l’autre. Isaac l’avait démontré une fois encore en te suivant sur ce tapis rouge pas plus tard que la veille, mettant un pied dans un monde devant la caméra qui pouvait être parfois cruel et éprouvant.

Tu es véritablement déçue de ne pas avoir l’énergie pour aller visiter avec Isaac comme vous l’aviez pourtant prévu. Tu sais toutefois que ce n’est pas la meilleure des idées quand tu as encore l’estomac à l’envers et que tu as à peine l’énergie nécessaire pour te traîner d’un bout à l’autre de votre chambre d’hôtel. Tout ira mieux demain, tu en es convaincue, mais demain il sera trop tard puisque vous serez à nouveau dans un avion, à traverser l’Atlantique pour votre retour à la maison. Malgré tout, tu le penses sincèrement, quand tu lui fais la promesse que ce n’est pas la dernière fois qu’il vient ici, oubliant de spécifier que ce n’est pas la dernière fois qu’il vient ici avec toi, même si c’est très fortement sous-entendu. Isaac, fidèle à lui-même, se concentre plutôt sur ton état et te rassure que tu n’as pas à t’en faire pour les plans avortés de la journée. « Je vais prendre goût à ces voyages. Peut-être qu’on pourrait profiter de cette journée pour se faire une liste des endroits qu’on aimerait visiter? » Tu hoches la tête sans hésitation, l’idée te plaît grandement. Tu as envie de rêver grand avec lui et puis dans l’immédiat, dresser une liste n’est pas quelque chose qui demande trop d’énergie et en plus, tu peux rester allongée si tu le souhaites, ce qui rend l’activité encore plus parfaite pour le planning de la journée. « Est-ce que c’est beaucoup trop cliché si je dis que j’ai envie de découvrir le monde entier avec toi? » que tu murmures doucement, tes lèvres toujours contre les siennes. « Parce que c’est la vérité. » Tu ne voulais pas imposer la moindre limite à vos futurs plans de voyage, tu voulais voir grand, excessivement grand même si telle chose était possible. Tout comme tu voulais profiter de toutes les petites choses du quotidien avec lui, chose que tu aurais l’occasion de faire à votre retour à Brisbane puisque tu étais désormais presque complètement installée dans sa maison. « Mais si je devais choisir qu’une seule destination pour commencer, je dirais… New York. J’y suis jamais allée et j’ai toujours rêvé de découvrir la grosse pomme. »

Tu sens ses lèvres se poser sur ton front alors que tu fais ton possible pour mettre de côté ces nausées qui ne te lâchent pas depuis le réveil. Tu penses directement à une intoxication alimentaire, bien que ça ne semble pas convaincre Isaac qui se contente d’un « Peut-être. » avant de t’interroger un peu plus sur tes symptômes. Tu le trouves adorable de s’en faire autant, te prêtant tout de même au jeu alors que tu listes d’abord tes nausées et ta fatigue, avant que des doutes ne viennent finalement s’installer dans ton esprit qui n’avait pas pris la peine d’analyser la situation sous un œil différemment. Peut-être que tu n’es pas malade après tout, peut-être qu’il ne s’agit pas non plus seulement d’une accumulation de stress. Non, ça ne se peut pas et pourtant, dès que l’idée se fait un chemin dans ta tête, tu es incapable de t’en défaire, quand bien même tu clames à voix haute que ce n'est pas possible. Tu évites le regard de ton petit-ami pendant quelques instants, quand bien même tu sens ses mains qu’il a installé sur tes hanches lorsqu’il t’a invité à prendre place à ses côtés sur le lit. Tu reposes ton regard dans le sien seulement pour mieux le convaincre (sans grande conviction toutefois) que tu es seulement épuisée par la tournée de promotion et rien d’autre. « Peut-être que je peux aller te chercher un test, juste pour être sûr? S’il est négatif, on pourra mettre cette possibilité entre parenthèses et se concentrer sur l’intoxication alimentaire. » Et s’il est positif, vous faites quoi? Tu ne poses pas la question verbalement, mais elle se lit facilement sur ton visage alors que tu as l’impression d’être de plus en plus nauséeuse. Tu prends une longue inspiration, tout va bien trop vite et tu ne sais pas quoi répondre que déjà Isaac enchaîne avec une autre option. « À moins que tu préfères aller consulter un médecin? » « Non, non. Peu importe ce que c’est, c’est rien de sérieux. » Vraiment Penny? Tu ne veux pas mêler de médecin pour une simple intoxication alimentaire et puis si ce n’est pas ça, tu as l’impression que ça ne peut être qu’une seule autre chose et il n’y a pas besoin de médecin, du moins pas tout de suite, pour le confirmer. « C’est okay pour le test. Juste pour la paix d’esprit. » Parce que maintenant que l’idée est plantée dans ta tête, tu as besoin de t’assurer que tu te fais des films. Tu prends la pilule après tout. Tu fais attention. Vous faites attention. Oui, oui, mais… « Une chose à la fois, rien ne presse, on a le temps. Puis je suis là, je ne bouge pas, tu n’es pas seule. Je vais t’aider à te sentir mieux. » Tu hoches la tête à plusieurs reprises sans même t’en rendre compte, te mordillant les lèvres, tes doigts jouant nerveusement avec les siens alors que tu tentes toujours de faire le tri dans tes pensées qui partent dans tous les sens. « J’ai vu une pharmacie au coin de la rue. Si tu veux aller chercher ça et peut-être quelque chose pour aider avec les nausées? » C’est à peine si tu as le temps de finir ta phrase que tu t’es relevée en trombe du lit pour courir jusqu’à la salle de bain, claquant la porte derrière toi, avant qu’une nouvelle vague de nausées ne l’emporte sur ton estomac pourtant vide.

Tu ne ressors de la salle de bain qu’une dizaine de minutes plus tard, quand tu entends la porte de la chambre s’ouvrir et se refermer à nouveau et qu’Isaac réapparaît avec un sac provenant de ladite pharmacie à quelques pas de votre hôtel. Tu hésites quelques secondes avant de t’emparer du sac, incapable toutefois d’en sortir le contenu. Ton regard papillonne sans cesse du sac jusqu’au visage de ton amoureux, refaisant le même chemin encore et encore avant que le regard d’Isaac ne t’accroche finalement. « Qu’est-ce qu’on fait, si le test est pas négatif? » que tu oses enfin lui demander en lâchant un long soupir, bien incapable de penser par toi-même dans l’immédiat. C’est vite, bien trop vite, et si tu sais qu’il veut des enfants éventuellement, vous n’êtes pas du tout au stade où vous avez ne serait-ce que discuter de la possibilité de fonder une famille ensemble. Qu’est-ce que vous faites, si la discussion n’est plus un sujet que vous pouvez remettre à plus tard? Si vous devez avoir la discussion ici et maintenant?



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptySam 27 Nov 2021 - 3:23

Penny Stringer adore ce message


La douce mélodie que forme le rire cristallin de Penny emplit, avec un irrésistible charme, la chambre d'hôtel. Il fait naître impétueusement un sourire sincère à la commissure de tes lippes, et tes lèvres viennent se presser amoureusement contre les siennes. Tes mains caressent précautionneusement ses cheveux défaits, en harmonie avec ses traits tirés et cette sournoise marque d'oreiller, ces coutures qui te confirment que peu importe sous quel aspect se montrera Penny, tu la trouveras toujours indéniablement belle. « Merde, tu m’as démasqué! » Elle te rétorque alors que la plaisanterie se poursuit et tu laisses échapper un bref rire, tes mains caressant ses bras dénudés. « Ça va, t’es plutôt en forme, pour un vieux. » Tu pinces tes lèvres et acquiesces solennellement. « Merci bien. Je suis rassuré de ne pas encore être croulant. » Ses doigts vagabondent sur ton torse et tu finis par les attraper pour les embrasser. A défaut de ta santé mentale, ta forme physique se portait globalement et généralement bien. Ton passé sportif avait façonné un corps que tu ne cessais jamais de mettre à contribution que ce soit dans le cadre de ton métier, de ton volontariat ou encore de tes loisirs. Tu n'y prêtais pas une importance extravagante, l'essentiel pour toi était d'être en capacité d'accomplir les missions que tu te fixais ; toutefois, tu ne crachais absolument par sur le fait que ton allure extérieure, constituée entre autres de ta musculature, puisse plaire à ta petite amie.

Vos plans de visite de Los Angeles sont reportés à une date ultérieure face à la fébrilité de l'actrice, dont tu scrutes sans vergogne les symptômes, inquiet. Derechef, tu priorises le bien-être de ton amoureuse et ne lésines pas à lister les points positifs à passer cette journée en petit comité dans cette chambre d'hôtel luxueuse afin que l'actrice puisse obtenir un repos plus que mérité, considérant les dernières semaines écoulées, avec le moins possible de culpabilité ou de remords. Suite à la promesse de l'actrice que ce ne soit pas la dernière fois que tu mets les pieds dans la ville californienne, tu soumets que vous mettiez à profit votre journée tranquille pour lister vos futures destinations, ce qui enchante ton interlocutrice et t’attires une certaine fierté. « Est-ce que c’est beaucoup trop cliché si je dis que j’ai envie de découvrir le monde entier avec toi? » Ton sourire se niche contre les siennes et tu hoches doucement la tête en signe de dénégation. « Parce que c’est la vérité. » Tu embrasses tendrement la jeune femme. « Je veux découvrir le monde entier avec toi aussi. On pourra s'acheter une carte où il faut gratter les pays qu'on a visités avec une pièce pour les colorer, » tu suggères, bon consommateur. « Mais si je devais choisir qu’une seule destination pour commencer, je dirais… New York. J’y suis jamais allée et j’ai toujours rêvé de découvrir la grosse pomme. » Un sourire en coin apparaît sur ton portrait, ton regard pétille de la voir animée. « New York sonne comme un incontournable, » tu juges, la ville si populaire par la multitude d'opportunités qu'elle exposait dans d'innombrables domaines, dont artistiques. « Tu préfères un New York enneigé ou un New York estival ? » Tu questionnes, te laissant guider sur ces projets d'avenir avec elle, délicieuse diversion dont l'ambition était de voir Penny se porter mieux.

Tu invites la vingtenaire à s'asseoir sur le lit et percevant des grimaces étirer ponctuellement son visage, tu la questionnes sur ses autres symptômes, soucieux et désireux de tout mettre en œuvre pour que ses maux s'amenuisent. La conjecture d'une intoxication alimentaire est formulée mais dès que Penny t'évoque ses seins douloureux, tu ne peux plus chasser dans ton esprit la possibilité que la brune soit enceinte, ce qui te coupe quelques secondes le souffle. Ce constat la happe également, son regard devient fuyant, ses traits démontrent une expression que tu interprètes comme de la panique - avec raison vu tout ce qu’incombe une possible grossesse. Précautionneux, tu lui proposes d'aller acheter un test de grossesse, ou même de consulter un médecin, juste pour que vous en sachiez davantage sur la situation et que la Stringer puisse possiblement mieux se porter. La dernière chose que tu souhaites est de la brusquer ou la pousser dans une direction. Tu ne veux pas non plus imposer une hypothèse qui l'effraie, surtout que vous n'avez nullement besoin de vous précipiter dans un sens comme dans l'autre. Tu es peut-être maladroit, mais une chose est certaine : tu veux être présent pour ta petite amie. « Non, non. Peu importe ce que c’est, c’est rien de sérieux. » Tu la couves du regard.  « C’est okay pour le test. Juste pour la paix d’esprit. » Tu acquiesces et tes doigts entremêlés aux siens, tu lui garantis ton indéfectible soutien quoi qu'il advienne, tout comme le fait que même si le sujet est très important, que la surprise peut-être gigantesque et vous changer la vie, Penny n'est ni isolée, ni démunie. Ca te serre le cœur de la lire si chamboulée mais tu reconnais toute sa vaillance lorsqu'elle t'informe : « J’ai vu une pharmacie au coin de la rue. Si tu veux aller chercher ça et peut-être quelque chose pour aider avec les nausées? » Tu as à peine le temps d'accepter ce plan que la silhouette frêle de l'australienne se précipite vers la salle de bain.

Tu attrapes ton porte-monnaie et ton blouson et après t'être assuré que Penny se sentait assez bien pour que tu t'absentes le temps d’effectuer les achats convenus, tu sors de la chambre d'hôtel pour arpenter les rayons de la pharmacie américaine. Tu optes pour deux tests de grossesse différents ainsi que des remèdes naturels pour les nausées, question d’éviter toute incompatibilité de substances avec une grossesse. Lorsque tu refais le chemin arrière et reviens dans la chambre d'hôtel, Penny t'accueille en sortant de la salle de bain. Son teint te semble plus blême qu'auparavant et son regard joue du ping pong entre ton visage et le sac en papier que tu détiens. Ton cœur se serre doucement, peiné de la voir ainsi. « Qu’est-ce qu’on fait, si le test est pas négatif? » Tu inspires profondément, t'appuyant sur l'encadrement de la porte. « On avisera, » tu promets sur un ton posé. Tu es armé de la déterminée volonté de signifier à Penny que peu importe ce que ce test dévoile et la décision qui sera prise si celui-ci est positif, tu demeureras coûte que coûte à ses côtés. Tu veux lui exprimer que vous pouvez franchir cette étape à deux, quelle que soit son dessein. Même si ce n'était pas un secret au sein de votre couple que tu désirais être père, tu avais conscience que le timing était périlleux. Cet embryon, s'il s’était fait un nid au creux de la chaleur de Penny, n'était pas planifié. Tu savais aussi que le choix revenait ultimement à Penny, car si cette grossesse lierait infailliblement encore plus vos destins, il s'agissait aussi en priorité de son corps et de prochains mois possiblement mémorables. Tu priais toutefois d'être inclus dans ces conversations, dans cette décision, et de ne pas être informé une fois le fait accompli, comme tu l'avais été à deux reprises dans le passé. Tu priais aussi pour qu’elle fasse le test sans imposer de la distance entre vous deux, comme tu l’avais également connu dans une précédente romance, ce qui t’avait donné l’impression de n’avoir aucun rôle dans une grossesse dont tu étais le père. D’autre part, tu priais pour que ce vœu que tu lui avais indiqué lors de sa soirée d’anniversaire ne soit pas un poids néfaste dans sa prise de décision. Bien heureusement, Penny était totalement différente de tes dernières petites amies et tu étais intimement convaincu que sa promesse d’être honnête avec toi ne faiblirait pas, que le respect composait une valeur indétrônable, malgré les circonstances drastiques. Tu avais entièrement confiance en elle, ce qui expliquait ton calme malgré les expériences douloureuses du passé qui te revenaient pernicieusement en mémoire par de puissantes déferlantes. « Si le test est positif, on s'assura que tu ailles bien, dans un premier temps, en dehors des nausées et compagnie, » tu poursuis avec un léger sourire rassurant. Tu prends doucement sa main. « Si le test est positif, on parlera de ce que tu veux, de ce qui te semble le mieux, si tu le veux bien. » Tu enlaces tendrement ses doigts des tiens. « Si le test est positif, peu importe de quoi sera fait la suite, tu pourras toujours compter sur moi. Je serais toujours là pour toi. » Qu’elle décide de garder l’enfant ou pas, qu’elle décide de réfléchir davantage car ce n’était pas spécialement une décision qui s’imposait dans la seconde non plus, même si parfois elle pouvait également sonner telle une évidence. Ton évidence à toi était que tu souhaitais ta place aux côtés de Penny, autant qu’elle le voulait et l’autorisait, et que ce test et son issue n’y changerait rien. « Peu importe ce que dira le test et ce qui suivra, je t’aime et je t’aimerai. » Tu affirmes, sincère. Peut-être que tu ne mesurais pas encore le gigantesque qu’invoquait cette possibilité, en plus que dans cette situation, tu étais quand même le parti le mieux loti, mais dans ta tête, vous pourriez tout affronter à deux, tu en étais convaincu.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptySam 27 Nov 2021 - 12:48

La journée ne prend pas la forme que tu espérais, mais tu fais de ton mieux pour ne pas te laisser abattre par ta déception et Isaac t’aide grandement sur ce point alors qu’il propose déjà de faire constituer une liste de vos futurs voyages. Tu aimes cette conviction qui vous entoure face à un futur plus ou moins rapproché ensemble, rempli d’aventures et de destinations plus exotiques les unes des autres. Tu t’accroches à cette idée et à cette certitude qu’Isaac n’est pas entré dans ta vie pour seulement y être de manière éphémère. Ces pensées-là, elles te feraient presque oublier les nausées et la déception de ne pas avoir l’énergie d’aller explorer la ville qui vous entoure en cette dernière journée de voyage. « Je veux découvrir le monde entier avec toi aussi. On pourra s’acheter une carte où il faut gratter les pays qu’on a visités avec une pièce pour les colorier. » Tu acquiesces d’un hochement de la tête, déjà excitée à l’idée de pouvoir gratter les États-Unis et l’Australie de cette grande carte du monde partagée avec lui. « J’approuve, j’ai même déjà une idée d’où on pourrait l’accrocher. » Les murs de la demeure d’Isaac étaient pour la plupart vides de toute décoration et si tu t’étais déjà fait une note mentale de changer ça dans les semaines à venir, tu pouvais parfaitement visualiser une carte du monde installé derrière le canapé, dans la pièce principale de la maison. Un point de discussion important que dirait ta mère, elle qui avait toujours eu un œil particulier pour la décoration et qui ne s’était d’ailleurs pas gênée pour commenter l’absence de tableaux ou de photos sur les murs. « New York sonne comme un incontournable. » Vous êtes bien d’accords, comme d’habitude. « Tu préfères un New York enneigé ou un New York estival? » Tu te mordilles légèrement la lèvre, réfléchissant quelques secondes à la réponse que tu voulais donner à Isaac. Dans un cas comme dans l’autre, tu ne doutais pas que New York serait incroyable à découvrir, mais tu ne pouvais nier que ton cœur penchait pour une saison en particulier. « Enneigé. Je n’ai jamais vu la neige tomber. » que tu lui admets. Tes parents, adeptes de surf et de sports marins en tout genre, n’avaient jamais eu envie de t’emmener dans les rares coins du pays où la neige se montrait parfois, et aucun de tes voyages outre-mer n’avait été dans un endroit ou une période de l’année où la neige était de sortie. Ça demeurait pour toi un rêve de gamine que de vivre un Noël blanc, ou même plus simplement de voir la neige tomber du ciel. « Toi, tu préfères quoi? » Dans un cas comme dans l’autre, tu savais que tu serais tout simplement ravie de découvrir New York, ou n’importe quelle autre ville ou pays, avec Isaac. La destination t’importait bien moins que la compagnie si tu étais honnête, et tu ne doutais pas que ça, l’infirmier le savait, simplement à la manière dont tu le regardais et à la façon dont ton corps cherchait toujours à être en contact avec le sien.

Les plans de voyages sont toutefois rapidement mis de côté alors qu’Isaac s’attarde à analyser les différents symptômes de ton malaise et que la réponse qui apparaît comme une évidence en est une que tu refuses de considérer sérieusement. Tout semble pointer dans cette direction toutefois alors qu’Isaac propose différentes façons de procéder dans le moment. La prise d’un test de grossesse semble être l’étape logique, bien que tu sois terrifiée de penser que ce dernier puisse s’avérer positif alors qu’une grossesse ne faisait pas le moindrement parti de tes plans avant la fin de cette année, pas plus que dans la suivante. Quand Isaac propose d’aller consulter un médecin toutefois, tu sais d’avance que tu préfères un simple test ici, dans cette chambre d’hôtel, plutôt que d’importuner le personnel-soignant pour ce que tu espères encore simplement être une pauvre intoxication alimentaire. Toutefois, plus tu y penses, moins cette théorie fait du sens dans ton esprit et la panique s’installe peu à peu sur tes traits, jusqu’à ce qu’une nouvelle vague de nausées te fasse courir jusqu’à la salle de bain. Après s’être assuré que ça allait, tu entends la porte s’ouvrir et se refermer et tu restes seule pendant plusieurs minutes. Elles semblent éternelles, ces minutes, alors que des dizaines d’interrogations te martèlent sans que jamais tu ne sois en mesure de répondre à la moindre de tes questions. Qu’étiez-vous censés faire si le test s’avérait positif? Si ce n’était pas une intoxication alimentaire comme tu t’efforçais de t’en convaincre? Voulais-tu seulement d’un enfant, à ce stade-ci de ta vie? Considérais-tu ton couple avec Isaac assez fort, bien que récent, pour prendre un tel tournant si rapidement? Qu’est-ce qui adviendrait de ta carrière, si tu décidais de porter la vie pour les neuf prochains mois? Qu’est-ce que ton entourage allait en penser, quand beaucoup apprenait tout juste la présence d’un homme dans ta vie? Oh que ça tourne vite dans ta tête et les vagues d’anxiété n’aident en rien les nausées qui perdurent pendant tout le temps où Isaac est absent, alors que tu ne sors de la salle de bain qu’au moment où tu sais que ton amoureux est revenu, sac en main.

Si Isaac a dû gérer avec une Penny particulièrement stressée dans les dernières semaines, la tournée de promotion ayant grandement jouer avec tes nerfs, c’est un tout autre genre de panique auquel il fait face en ce moment alors que tu peines à réfléchir correctement. Tu as besoin de savoir ce qu’il pense dans l’immédiat, besoin de savoir ce qui se passe dans sa tête, de quoi sont constitués les scénarios qui déferlent dans son esprit et s’ils sont moindrement similaires avec les tiens. « On avisera. » C’est loin d’être satisfaisant comme réponse alors que tu as l’impression plus que jamais d’à peine pouvoir tenir sur tes jambes, la distance entre ton amoureux et toi encore bien trop grande sans que tu ne te sentes capable de franchir les quelques mètres qui vous séparent encore. C’est lui qui fini par avancer doucement dans ta direction, son visage reflétant ce que tu considérais désormais être son calme olympien que tu ne pouvais t’empêcher de jalouser, surtout dans un moment comme celui-là où tu te sentais absolument tout sauf calme. « Si le test est positif, on s’assura que tu ailles bien, dans un premier temps, en dehors des nausées et compagnie. » Sa main vient doucement prendre la tienne et ton regard ne lâche pas les siens alors que tu t’accroches au moindre de ses mots, lui qui semble avoir bien plus de réponses que toi dans le moment. « Si le test est positif, on parlera de ce que tu veux, de ce qui te semble le mieux, si tu le veux bien. » Tu hoches déjà la tête de haut en bas, bien incapable d’imaginer un scénario où tu ne discutes pas de tout ça avec Isaac. Au contraire, c’est tout ce que tu cherchais à faire, quand bien même tu étais incapable de dire ce que tu voulais, ni ce qui te semblait être le mieux vite comme ça. « Et ce que toi tu veux, aussi. » que tu spécifies d’une voix rapide et nerveuse, parce que tu avais besoin de savoir, besoin de l’entendre. Oui, il avait dit vouloir des enfants quelques mois plus tôt, mais ce n’était qu’une hypothèse, un souhait pour le futur, sans date et sans partenaire précise. Qu’en était-il si c’était maintenant, avec toi? « Si le test est positif, peu importe de quoi sera fait la suite, tu pourras toujours compter sur moi. Je serais toujours là pour toi. » Tu sens tes yeux qui se mouillent et tu es bien incapable de retenir les larmes alors que ses doigts pressent plus fermement les tiens, Isaac faisant preuve d’une éternelle douceur face à toi. « Peu importe ce que dira le test et ce qui suivra, je t’aime et je t’aimerai. » Tes lèvres tremblotent alors que tu laisses ta tête tomber contre son torse. Tu t’accroches à lui pendant plusieurs secondes, minutes peut-être, silencieuse alors que tu cherches en toi tout le courage de faire face à ce qui pourrait être. Tu relèves doucement la tête, viens poser tes lèvres contre sa mâchoire et souffle un léger « Je t’aime aussi, peu importe. » alors que tu viens prendre le sac d’entre ses doigts et disparaît à nouveau derrière la porte de la salle de bain.

Tu passes encore plusieurs minutes à simplement regarder les deux boîtes distinctes des tests qu’Isaac a acheté, te demandant s’il y a une marque meilleure que l’autre. C’est bien une information des plus triviales quand tu doutes que le résultat change d’une marque à l’autre, et tu te décides enfin à ouvrir l’une des boîtes et à procéder, ton cœur battant la chamade. Tu déposes le test sur le comptoir à côté du lavabo, de manière à ce que tu ne puisses pas voir le résultat alors que tu sors les instructions même si vraiment, c’est presque impossible de ne pas en comprendre le fonctionnement. Une barre, tu n’es pas enceinte. Deux barres, tu es enceinte. Et les trois minutes qui doivent filler jusqu’à ce que tu retournes le bâton semble s’éterniser alors que tu crains d’être malade à nouveau. Incapable de faire face au résultat toute seule, tu attrapes le bâton, ta main camouflant le carré où se trouve désormais une ou deux barres, et tu sors une dernière fois de la salle de bain pour faire face à ton petit ami, lui tendant le test. « Je peux pas regarder. » que tu lui avoues dans un murmure. « Est-ce que tu peux le faire? S’il-te-plaît. »

Regarde le en premier, dis-moi ce qui en est, je suis pas certaine d’être prête à savoir, encore moins certaine de savoir quel résultat je souhaite vraiment.



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyLun 29 Nov 2021 - 4:23

Penny Stringer adore ce message


Penny approuve d'un vif hochement de tête ton idée d'acquérir ces fameuses cartes du monde où vous pouvez mettre en exergue les pays que vous avez visités en les grattant d’une pièce de monnaie. Le sourire qui se dessine sur ses lippes vaut à tes yeux tout l'or du monde et tu pries qu'il puisse chasser les effets indésirables des nausées qui malmènent ta petite amie à l'en causer la déception de ne pouvoir arpenter les rues de Los Angeles ce jour. « J’approuve, j’ai même déjà une idée d’où on pourrait l’accrocher. » Ton sourire s'élargit alors que tes mains ne quittent pas sa peau, caressant suavement ses bras, à défaut de l'étreindre tendrement. « Ah oui ? » Tu t'enquières, intéressé, appréciant fortement ces touches que la Stringer ajoutait à ta maison très sobre, frisant presque l'impersonnel, avant qu’elle ne te fasse le plaisir inestimable de son emménagement. Mis à part les quelques dessins collés à ton frigidaire à l'aide de quelques aimants, vestiges d'enfants qui avaient marqué ton histoire en te faisant ce présent de leur art et de leur temps, ta demeure aurait pu frôler l'unanime auprès des réguliers d'AirBnB qui cherchaient à s'approprier un endroit. « Ce sera le prochain achat, alors. J'en ai vu sur Amazon, » tu t'engages. Ton interlocutrice te confie convoiter une visite de New York, que tu commentes d'incontournable. Tu te plais déjà à vous imaginer là-bas, dans cette ville que tu ne connais que via des représentations cinématographiques, des reportages télévisés ou encore quelques clichés illustrant des manuels touristiques voire scolaires. Pour solidifier ton imaginaire, tu t'intéresses à la saison durant laquelle Penny préférerait visiter la ville américaine. « Enneigé. Je n’ai jamais vu la neige tomber. » Tu souris doucement, bien que surpris que la célébrité de la Stringer ne lui ait pas permis cette expérience. « Moi non plus, » tu avoues. « Toi, tu préfères quoi? » « Découvrir la neige avec toi, » tu annonces spontanément. « Je veux cette autre première fois avec toi, » tu complètes malicieusement, souhaitant saisir cette chance que vous ayez d’ajouter une autre découverte simultanée à votre palmarès.

Les nausées laissent des traces du malaise que ressent ta petite amie sur son portrait et tu poses précautionneusement tes lèvres sur son front, gage de ton soutien indéfectible, de ton amour indubitable, et sournois stratagème pour déceler si la brune est fiévreuse. Tu l'interroges sur ses autres symptômes et il ne lui suffira que de te stipuler avoir mal aux seins pour que le tableau se dessine assez clairement dans ton esprit. Tu soumets les options qui se présentent à vous, armé du désir de soulager ton amoureuse mais également que vous en sachiez potentiellement plus sur la nature de son état. Vous optez pour l'acquisition de tests de grossesse à la pharmacie du coin ainsi que d'un remède contre les nausées. Après t'être assuré que Penny se portait assez bien pour que tu t'absentes de la chambre d'hôtel, tu emboîtes un pas rapide vers la boutique. Tu reviens quelques minutes plus tard muni d'un sachet contenant deux tests et une boîte de gélules naturelles contre les nausées et vomissements, rapidement accueilli par la Stringer offrant une piteuse mine.

Tu lui souris, compatissant et encourageant, en lisant sur son minois la panique, la fatigue, l'inconfort. Dieu que tu aimerais effacer tous ses maux, les lui dérober. Lorsqu'elle te questionne sur les conséquences d'un test positif, tu te sens mitigé, confus. Incertain du rôle que tu peux t'autoriser à endosser, effaré d'être repoussé une nouvelle fois dans les pages d'une grossesse. Votre avenir est plus assombrit que jamais d'un inconnu qui réveille pernicieusement tes démons du passé, mais tu chasses ces derniers sans cérémonie, te focalisant exclusivement sur le bien-être de celle que tu aimes. Méthodique, tu lui proposes un plan de match : s'assurer qu'elle aille bien, discuter de ce qu'elle veut. « Et ce que toi tu veux, aussi. » Tu te sens perdre pied intérieurement de sa réplique si instantanée, de cette manière qu'elle a de t'inclure naturellement dans cette possible décision qui changerait indéniablement votre vie. Tes épaules s'affaissent, expiant ton soulagement, ton regard brille de l'affection exponentielle que tu lui avoues et de ta vaillance pour l'accompagner à chaque étape, quoi qu'il t'en coûte. Tu acquiesces et tu poursuis, promettant ton inlassable présence peu importe ce que l'avenir vous réservait et sur quoi sa volonté - ou votre volonté - reposait. Ton cœur se serre douloureusement à la vision de ces perles qui roulent sur les joues pâles de ta petite amie et tu entremêles plus solidement ses doigts des tiens, lui promettant ton amour inconditionnel, avant d’effacer avec une délicatesse inouïe ces larmes crève-coeur.

Penny sombre contre ton torse, sa mâchoire tremblante d'émotions. Tu viens doucement caresser ses cheveux, étreindre son corps fébrile. Tes lèvres se posent sur le sommet de sa tête, tes paumes tentent de la réconforter en effectuant des mouvements de va et vient sur son dos. « Ça va aller. Je te promets que ça va aller, » tu t'engages. Tout ne sera peut-être pas rose, mais vous êtes résilients, vous saurez y faire, tu en étais convaincu. « Je t’aime aussi, peu importe, » te souffle la Stringer avant d'attraper le sac de papier et faire demi-tour dans la salle de bain.

Tu t'adonnes à une contemplation singulière de la porte fermée qui te fait face. Figé, la sensation que le monde s'est soudainement arrêté de tourner t’envahit alors que tu perçois faiblement les quelques bruits que fait Penny de l'autre côté de la porte. Tu penses à ces innombrables tests de grossesse que Lucy avait pris et ceux que Love et Ginny ont pris sans toi. Tu te ressasses ces tests qui se sont avérés positifs et pour lesquels tu n'as jamais été associé, ou alors après d'autres hommes. Tes dents se creusent dans ta lèvre inférieure, l’émotion s’amplifiant telle l’océan gonflant ses vagues aux promesses dévastatrices. Avec Penny, tout semble naturel, tout est sain, tout va de soi. Elle t'offre spontanément ce que tu as été conditionné à considérer privilèges car tes anciennes relations te l’ont refusé et tu en restes marqué, quand bien même tu as tourné la page sur ces chapitres révolus de ta vie. Tu soupires doucement, constatant que même si seule Penny compte pour toi, ces romances que tu as vécues définissent encore, pernicieusement, tes doutes actuels, ton ignorance quant à la position qui est de droit tienne, ta crainte de faire mal et causer la douleur à celle que tu chéris.

Tu te rappelles ces conversations à cœur ouvert que tu t'étais autorisées à avoir avec Noa, en qui tu fais entièrement confiance. Ta meilleure amie compose en quelque sorte ta boussole, bien qu'elle fasse également office de radar dans tes choix de relation. Si tu n'écoutais jamais ses conseils et en faisais toujours qu'à ta tête, impertinent cœur d'artichaut, elle était celle qui te ramenait à la réalité et te rappelait tes droits, quand tu te détestais tant que tu jugeais ne rien mériter, pas même le respect. Noa avait été furieuse envers tes exs, ce qui t'avait frappé alors que sa tolérance l'aidait d'ordinaire à ne pas prendre partie et à excuser les failles de tout un chacun. Noa avait déploré ces secrets et ce rejet, elle t'avait rappelé que quand bien même la décision d'un enfant revenait à la mère, le père n'avait pas à en être étranger et ignoré. Finalement, Noa aimerait sans doute Penny, car elle appliquait toutes les normes qu'elle t'avait décrites, dans le brouillard persistant de tes déceptions amoureuses.  

***

2019. « Je crois que je suis enceinte. Ça me terrifie. » Les paroles de ton ex ricochaient, récalcitrantes, contre les parois de ta boîte crânienne. Tu devinais pourquoi la jeune femme se disait terrifiée, tu connaissais l’histoire de sa précédente grossesse qui avait receuilli les éléments nécessaires à former un profond traumatisme. Tu constatais aussi que le regard que t’adressait l’australienne à ce moment-là divergeait totalement de celui que t’offrait Penny aujourd’hui. Tu y lisais en commun de la peur, mais elle était enrobée de bien d’autres facteurs différents, la rendant totalement étrangère l’une à l’autre. Tu te rappelles clairement avoir garanti ta présence comme ton amour, avant de t’enquérir sur la possibilité de faire de cette croyance qu’elle t’exposait une certitude - ou pas.

Tu n’as jamais voulu comprendre pourquoi ton ex n’a jamais souhaité faire ce test avec toi. Tu n’as jamais accepté qu’elle l’ait fait avec l’homme avec lequel tu soupçonnais qu’elle te trompait, même si avec le recul, tu assimilais aisément ce deuxième fait.

Finalement, aujourd’hui, tu savais que c’était son enfant qu’elle devait porter, et non le tien. Tu portais toutefois encore le deuil de ce petit être qui n’avait jamais eu la chance de voir le jour, tout en te consolant qu’il n’était douloureusement pas dans vos cartes. Elle n’était pas dans vos constellations, Stella, elles ne se liaient pas ainsi. L’étoile de ton ex brillait pour une autre depuis sa création-même te semblait-il. Ils étaient faits pour être ensemble et votre amour n’était, simplement, pas juste.


***

Lorsque la poignée de la porte s'abaisse, tes dents se délogent de ta lèvre rendue livide de tes bandes du passé, creusée. Tu lèves les yeux sur la silhouette de la Stringer qui te rejoint et te tend le test, le résultat voilé par sa paume. « Je peux pas regarder. » Tu déglutis, ton regard passe du dispositif à ta petite amie. « Est-ce que tu peux le faire? S’il-te-plaît. » La politesse de Penny dans ce moment si exceptionnel te ferait presque rire nerveusement. Ta main saisit le test qu'elle relâche dans ta main, tu t'efforces que le résultat ne soit pas dévoilé dans ce transfert quand l’actrice t'a indiqué ne pas pouvoir en prendre connaissance de suite. Espère-t-elle que tu le lui exprimes ? Plutôt qu'un morceau de plastique ingénieux le lui clame ? Tes yeux sont probablement interrogatifs et tu l'invites à venir s'asseoir sur le lit, avant que ses jambes branlantes ne succombe à son poids plume.

***

2020. Tu n’avais pas remis les pieds dans le secteur psychiatrique de St Vincent’s depuis que tu t’y étais fait toi-même soigner. Tu arpentais les couloirs immaculés tel un robot, le vague à l'âme, le cœur en berne, la gorge nouée de peur. La nouvelle que Love ait attenté à ses jours t’emplissait d’une culpabilité innommable. Tu te sentais en partie responsable de la jeune femme et tu t’en voulais cuisamment de ne pas avoir été présent pour elle, alors toujours en compétition pour Race of Australia. Peut-être que ta présence n’y aurait rien changé, ou pire, elle aurait aggravé la situation ; cependant, tu persistais à te considérer égoïste. Cette course avait été ton idée, tu l’avais invitée à s’y inscrire également. La jeune femme avait été éliminée avec son binôme et toi, tu avais conitnué de t’adonner à cette aventure télévisée, sans savoir ce qu’elle était advenue. Désormais, la réalité te mordait puissamment et c’est hospitalisée que tu retrouvais ton amie d’enfance, que tu savais pertinemment fragile.

L’échange se positionna sous l’égide des montagnes russes, tanguant entre une colère qu’elle te déversait et des excuses injustifiées. Tu te maudissais de ne dénicher les mots pour apaiser ses maux, tu t’abhorrais de faillir encore face à elle et finalement, elle t’articulait un aveu que jamais même tu n’avais su soupçonner, pour lequel en aucun cas tu n’aurais pu te préparer.

«Il y a quelque chose que je ne t'ai jamais dit… Je ne voulais pas te le cacher, mais suite à ce drame, je ne voulais pas te faire souffrir pour rien, alors j'ai enfoui tout ça au fond de mon être à double tour pour que tu continues d'être heureux… Le problème c'est qu'aujourd'hui ça me ronge que tu ne sois pas au courant, car j'estime que tu as le droit de le savoir… Tu sais...Le bébé que j'ai perdu suite à mon viol… C'était… Le nôtre... » Les questions s’étaient alors bousculées au sein de ta tête suffoquée d'une brume âpre, tes cordes vocales souverainement incapables d'en formuler une seule. Ta poitrine se contractait sévèrement, tu te sentais désespérément oppressé par la survenue de ce drame comme de son origine et de ton indiscutable relation avec ce dernier. Avant même que ton visage ne puisse se dérider ou que ton regard ne démontre l'impact de cette annonce, les sanglots de Love emplirent la pièce dans une symphonie des plus déchirantes. Il n'y avait guère pire chagrin que celui d'une mère qui pleure son enfant. Ce n'était pas la première fois que tu l'entendais et à chaque fois, tu te sentais brisé par cette peine inénarrable issue des entrailles même de celle qui eût porté la vie qui l'endeuillait. Ce jour-là, ton âme s'émiettait, ton esprit s'écroulait et ton corps défaillait car tu partageais, de nouveau et désormais, cette perte, ce rêve brisé, ce monde arraché, ce fruit d'amour bafoué.


***

Tu te poses en face de Penny, appuyé contre le bureau. Le mieux est-il vraiment que tu prennes conscience du résultat du test avant elle ? Ou que tu la convaincs que vous regardiez ensemble ? Tu n'as pas envie de polémiquer avec ton amoureuse et encore moins de ne pas obtempérer à ce qu'elle t'a demandé si clairement ; néanmoins, tu ne souhaites pas non plus lui retirer un geste que peut-être elle regretterait plus tard ? Tu t’affirmes que dans tes mains repose également un résultat incertain. Tu inspires profondément, lui adresses un regard comme pour y chercher confirmation, puis glisses ton doigt de sur le carré pour découvrir le nombre de barres dessinées.

***


2017. « Lucy ? Tu es là ? » Tu appelles en ôtant ton blouson que tu ranges dans l’armoire de l’entrée de la maisonnée. Tes yeux suivent la rangée de chaussures appartenant à ta petite amie, qui ne t’indiquent pas très clairement si la jeune femme est présente ou pas. Cependant, la porte déverrouillée t’incite à songer que l’assistante sociale se trouve sous le toit. « Lucy ? » Tu appelles de nouveau dans l’escalier, après avoir vérifié que les pièces du rez-de-chaussée soient désertes. Tu passes devant les chambres et finalement, tu remarques la porte de la salle de bain fermée. Ta main reste en suspens entre ton buste et la poignée, les sanglots qui te parviennent te retenant de tenter d’accéder à la pièce privée. Ton être se fige, ton cœur se serre. Un sentiment d’impuissance te happe douloureusement : ça te brise incommensurablement de l’entendre si malheureuse, si désemparée, si défaite. Durant de longues minutes, tu ignores si tu dois porter une halte à l’accablante symphonie de son chagrin. Durant ces interminables secondes, tu espères presque qu’un répit s’installe progressivement, comme l’enfant qui finit par se consoler de sa désolation. Mais les pleurs ne cessent, ils opèrent en dents de scie. Son désarroi t’est insupportable, tu les haches de ta voix : « Lucy, c’est moi, » tu indiques, un peu stupidement. « S’il-te-plaît, je peux entrer ? » Ta sollicitation est préface d’un nouveau silence. Les secondes agonisent, les minutes sont des heures, et la porte grince enfin sur ses gonds, te dévoilant le portrait défiguré de ta petite amie. Tu soupires doucement, ses prunelles noyées de mélancolie comme d’ire te frappent. Rageuse, ses ongles crissent sur le meuble de la salle de bain sur lequel reposait le test, qu’elle rejette puissamment vers toi, comme s’il lui brûlait ardemment les mains. Le morceau de plastique à la seule barre indiquée glisse sur le sol, tu l’aperçois à peine du coin de l'œil, tes pupilles concentrées sur le désespoir de l’australienne, hypnotisées par l’intensité de sa tragédie. Tu ne prends pas sa violence pour toi, tu sais à quel point elle est excédée d’essuyer ces échecs, vos échecs. Le projet que vous aviez aspiré concrétiser semble rimer avec l’impossible, mais Lucy est coriace, elle est déterminée, et ça lui brûle les ailes comme le cœur, tu le vois clairement. « Ce n’est pas grave, Lucy. » « Mais si, ce l’est. » Des sillons de peine creusent ses joues, tranchées d’éplorement. Tes sourcils se froncent. C’était une ambition si commune, qui épousait même le traditionnel pour vous ; comment peut-elle causer tant de mal ? Tu regrettes de ne pas avoir su prédire ces maux-là. Tu te chagrines de ne savoir trouver les mots pour la consoler. « J’suis pas capable. Ça me tue. » Tu n’oses pas l’approcher, l’animal sauvage et blessé que tu reconnais dans son tempérament rendu explosif par les sentiments décuplés qui la tiraillent sans merci aucune. Elle te hurle ensuite sa douleur, explose et implose ce sentiment d’injustice qui la range, cette souffrance de ne se croire “bonne à rien”, que vous soyez privé d’un vœu qui vous était pourtant cher. Elle en veut à la terre entière et tu la laisses excommunier ses aigreurs, impuissant, peiné, coupable. La brune finira par s’asseoir sur le carrelage de la salle de bain, démunie, désemparée, exténuée ; et tu la rejoindras, la tempête passée, ses ravages retentissant encore entre vous, dans une sinistre cacophonie, assombrissant votre présent. « On a pas besoin de faire un enfant pour être heureux, Lucy. » Ta main se pose sur son épaule, glisse doucement sur son bras avant de couvrir sa main. « S’il-te-plaît, il faut qu’on arrête, d’accord ? Il faut qu’on cesse d’y penser. Ça nous détruit. Je ne veux plus te voir comme ça. » Tu dégages une mèche plaquée à sa joue humide. Tu ne souhaitais pas d’enfant à ce prix-là. « Laissons-nous porter par ce que le futur a prévu pour nous, » tu proposes, plein d’espoir. Lucy fulmine, peu opportuniste, peu opitmiste. « Je t’aime et je veux que tu sois heureuse, c’est tout ce qui compte pour moi. » Tu affirmes, ton regard ne la quittant pas. Elle s’écroule finalement contre ton flanc, tu la serres chèrement contre toi. « Tu m’aimes ? » Elle émet dans un couinement frisant l’inaudible, tant que tu n’es pas sûr d’avoir correctement entendu ses termes. « Bien sûr que je t’aime, » tu confirmes spontanément, déposant un baiser sur sa joue alors que son visage s’enfouit dans ton t-shirt. « Épouse-moi, » tu susurres, tel un secret, bien que ta demande soit assurée.
Tu l’aimais éperdument, tu lui aurais décroché la lune si elle te l’avait requise. Ce bébé ne rimait à rien s’il signifiait sa déchéance et l’essentiel reposait à tes yeux sur votre amour. Lucy était le fuel de ta vie, elle composait ton avenir ; tu faisais une croix allègrement sur tout projet qui la peinerait car seul son bonheur n’avait de valeur.
Tu reconnais aujourd’hui tes torts et tes faiblesses au sein de cette relation incisive et t’appliques à ne pas répéter les mêmes erreurs, quand bien même tu évolues encore sur certains aspects à l’aveuglette.


***

Ton visage reste de marbre alors que le résultat du test t’est flagrant, indétrônable. Il est celui que ni Love, ni Ginny désiraient. Il est celui que Lucy espérait tant. Il est le vôtre, il est votre histoire, et tu t’animes enfin pour venir mordiller ta lèvre inférieure, nerveux. Tes doigts serrent précieusement le bâtonnet, tu déglutis, tu lèves les yeux vers Penny, celle que tu aimes, que tu aimeras. Celle qui fait encore plus tambouriner ton cœur présentement, alors que tu crois deviner le sien battre aussi très fort dans sa poitrine.

Voilà le tournant que prenait votre histoire, un virage abasourdissant. Voilà l’étape que votre couple confronterait fatalement. Tu ignorais encore ce qui découlerait de cette information, mais tu ne pouvais nier le fait que c’était la première fois que tu étais heureux en lisant le résultat d’un test de grossesse, la première fois que tu étais serein en apprenant que l’amour que tu partageais avec une autre femme avait fait germer la vie. Le fruit de votre hisotire, de votre complicité, de votre destinée toute singulière et chaque jour si surprenante.

Tu rejoins Penny sur le lit, bâton en main. Tu couves du regard les traits tirés de ta petite amie puis annonces avec toute la tendresse que tu lui voues : « Il est positif. » Avant que la nouvelle fasse écho en elle, tu viens prendre délicatement sa main, témoin de ta présence envers et contre tout ce que l’encre de votre existence a écrit en votre nom.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyLun 29 Nov 2021 - 12:42

Le moment est surréaliste. Isaac et toi à Los Angeles, à faire des plans de voyage plus grand que le monde lui-même, avec absolument rien sur votre chemin pour vous empêcher de rêver autant que vous le désiriez. C’était encore plus précieux que tout ce que tu aurais pu t’imaginer, les sentiments partagés, les émotions éprouvées étaient venues chambouler tout de ton quotidien, de ta vie et pour la première fois, tu accueillais sans trop de crainte l’ouverture et la place que tu offrais à Isaac dans ta vie, acceptant l’immensité des sentiments que tu lui dédiais tout en étant intimement convaincue que ton amour était réciproque sur une échelle similaire. L’évidence était telle que tenter de la nier aurait été inutile. Tu étais bien avec Isaac, même dans le moment présent, nausées et fatigue incluses, et tu n’aurais pu t’imaginer meilleur compagnon pour les prochaines aventures qui se dessinaient petit à petit dans vos futurs, lointains comme rapprochés. Ton déménagement officiellement dans sa maison marquait une nouvelle étape rapidement franchit dans votre relation, mais tu savais que cette dernière n’avait pas besoin d’être déterminante si la colocation ne se déroulait pas aussi bien que vous vous l’imaginiez. Ton loft, certes à vendre, serait toujours à disposition et sans doute sur le marché pour plusieurs mois encore et même si tu savais que tu n’aurais pas besoin d’y retourner, confiante de ta décision, c’était toujours rassurant de savoir que l’option était présente, la porte ouverte, comme une échappatoire que tu ne voulais pas utiliser mais qui calmait tes angoisses, quoique tu en dises. « Ah oui? » Tu hoches la tête doucement alors que tes doigts continuent de se balader sur le torse de ton amoureux, avant que ce dernier n’interrompe le mouvement pour venir embrasser ces derniers. « Derrière le divan, dans le salon. Il y a peut-être bien une ou deux photos que j’aimerais faire agrandir et accrocher aussi, juste à côté. » Comme une photo de votre périple à Moreton Island, et certainement une photo de ce voyage-ci. Le mur pourrait devenir une exposition de vos élans de spontanéités, ceux qui décrivaient si bien l’essence même de votre relation, de votre amour qui grandissait jour après jour. « Moi non plus. » t’avoue Isaac alors que tu lui confies n’avoir jamais vu la neige tomber du ciel, tel un tour de magie seulement vu dans les films. « Découvrir la neige avec toi. » Un large sourire étire tes lèvres à cette idée et tu t’imagines déjà vivre un Noël blanc New-Yorkais à ses côtés, l’année prochaine peut-être, si la vie demeure clémente avec vous dans vos envies de libertés, sachant tout de même que vos travails respectifs pouvaient rapidement mettre un frein à ces voyages, surtout ces voyages à l’autre bout du monde qui demandaient une certaine planification et plusieurs jours de congé de suite, chose difficile à obtenir dans le domaine de la santé au sein duquel Isaac évoluait depuis longtemps maintenant. « Je veux cette autre première fois avec toi. » Tu viens retrouver ses lèvres, tes doigts caressant ses cheveux. « Je veux toutes mes premières et dernières fois avec toi, et toutes les fois entre aussi. » que tu lui admets avec un léger rire, consciente de la lourdeur de ces mots, bien qu’entièrement sincère dans l’évocation de ce souhait.

Tu étais bien loin de t’imaginer que tu t’apprêtais à vivre une très grande première fois avec lui, ce matin.

La scène semble se jouer au ralenti alors que les pièces du casse-tête se placent une à une, bien que tu refuses de nommer l’image qui prend pourtant forme sous tes yeux. Isaac demeure aussi calme qu’humainement possible alors que tu sembles bouillir de l’intérieur, devenant une panique sur deux pattes à la simple idée de devoir faire un test de grossesse pour confirmer ou infirmer ce qui est toujours, selon toi, impossible. La panique ne fait qu’augmenter quand Isaac part, même s’il ne s’absente que pour quelques minutes à peine. La salle de bain semble soudainement tourner sous tes yeux fatigués et le carrelage sous tes jambes est froid et inconfortable. Ce n’était pas le plan du jour. Ce n’était pas le plan du voyage. Hell, ce n’était pas dans le plan de vos vies tout court, à ce stade-ci, de voir une telle possibilité émergée. Vous n’en aviez pas sincèrement discuté et même si vous étiez à ces âges (lui plus que toi, mais quand même) où fonder une famille était la prochaine étape logique, tu avais l’impression que vous aviez sauté plusieurs chapitres, passant potentiellement à côté de tout ce temps juste vous deux, à simplement apprendre à vous connaître par cœur et profiter d’une liberté qui s’effrite quand des enfants sont ajoutés au tableau. Chaque fois que tu penses avoir repris le dessus sur le sentiment de panique, ce sont des nouvelles vagues de nausées qui te rappellent que non, tu n’as plus le contrôle de rien. Quand Isaac revient, tu sembles mettre une éternité avant de formuler la seule question que tu es en mesure d’assumer : Qu’est-ce qu’on fait si le test est pas négatif? Tu finis par craquer sous tous les bons mots et toute l’attention que ton amoureux t’offre dans le but ultime de calmer la tempête qui rage dans ta tête et tu t’accroches comme tu peux à la sensation de ses doigts qui flattent ton dos, son souffle contre ton oreille alors qu’il te souffle : « Ça va aller. Je te promets que ça va aller. » Et quand bien même tu restes terrifiée de passer le test, d’en voir le résultat, tu le sais qu’il a raison, quand il te souffle de tels mots. Parce que tu lui fais confiance. Parce que tu l’aimes. Parce que tu n’es pas toute seule et que peu importe ce qui se passe, il restera. Il t’aimera. Il t’épaulera. Il te l’a promis, et tu le crois.

Isaac demeure silencieux alors que tu lui tends le test, incapable d’en regarder le résultat par toi-même. Son regard t’interroge sans qu’il n’ait besoin de dire le moindre mot, et tu hoches doucement la tête, tel un encouragement qui se veut de lui dire que oui, tu veux qu’il regarde en premier, que oui, tu veux qu’il annonce si le test est positif ou négatif à voix haute, la nouvelle risquant de faire bien plus de sens venant de lui que lu sur un bout de bâton. Isaac t’invite à reprendre place sur le lit, chose pour laquelle tu lui es reconnaissante, toi qui peinais encore à tenir sur tes jambes. Il s’appuie contre le bureau à quelques mètres à peine de toi et tu guettes chacun de ses mouvements, chacune de ses réactions alors qu’il se décide enfin à bouger légèrement les doigts afin de découvrir ce qui en est. Son visage reste neutre, aucune trace de joie ou de tristesse, aucune colère ni surprise ne se lit et tu te dis que même si c’était le cas, tu n’aurais pas su interpréter ce que ces émotions voulaient dire puisque tu demeurais encore dans le flou quant à ce qu’il souhaitait face à l’éventualité qui se plaçait sous vos nez. Tu as l’impression que ton cœur risque de lâcher d’une seconde à l’autre alors que tu attends toujours un mot, une réaction de la part de ton amoureux. Il s’approche finalement de toi, sa main libre venant trouver la tienne alors qu’il annonce finalement : « Il est positif. » Ton regard ne lâche pas le sien alors que les mots mettent plusieurs secondes avant de faire du sens dans ton esprit. « Oh. » Oh. Sans t’en rendre compte, tu délivres tes doigts du contact d’Isaac, tes deux mains venant se placer contre tes lèvres. La surprise est grande, le choc immense alors que tu ne peux t’empêcher d’essayer de comprendre comment s’est possible. « T’es sûr? » Évidemment qu’il est sûr, ça ne prend pas un doctorat pour être capable de lire un test de grossesse, mais voilà que tu as besoin de t’en assurer toi aussi et tu viens chercher le test d’entre ses doigts pour le ramener plus proche de tes yeux. Les lignes sont bien là en nombre de deux et elles sont foncées, éradiquant toute forme de doute. « Je comprends pas comment ça se fait, je… » Et puis tu fermes les yeux, ton visage se transformant en une nouvelle grimace qui n’a rien à voir avec tes nausées pour une fois. « Pendant mon premier voyage à LA, je crois que ça m’est arrivé d’oublier de prendre la pilule, un matin ou deux… » Mais c’était au tout début de ton périple, tu étais persuadée qu’après quelques semaines à la reprendre en continue, elle serait de nouveau efficace à son maximum. Faut croire que tu avais eu tort sur ce coup-là. « Je suis tellement désolée Isy… » Désolée de ne pas avoir fait plus attention. Désolée de vous avoir mis dans une telle situation. Désolée de ne toujours pas savoir quoi dire ni quoi faire, alors que la vérité se trouvait juste là, sous vos yeux sous forme d’un + que tu n’avais même pas eu le temps de vouloir ou de rêver avant qu’il n’apparaisse. « Je sais pas si je suis prête, si on est prêts… » Tu déposes le test sur tes genoux avant de repasser tes mains sur ton visage, toujours en choc complet face à la scène qui se jouait entre vous. « Ça fait même pas six mois qu’on est ensemble, je veux dire… C’est ridicule, non? » Tu voudrais rire, tu voudrais pleurer, tu voudrais faire tous les temps mais tu es figée sur place alors que tu n’arrives toujours pas à penser clairement. « À quoi tu penses? » Qu’il dise quelque chose, qu’il t’éclaire, qu’il trouve un moyen de partager son calme olympien parce que toi, tu es à deux doigts de perdre tous tes moyens.



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyDim 5 Déc 2021 - 21:42

Penny Stringer adore ce message


Tu considères Penny avec tendresse, votre proximité retrouvée suite à son extirpation de Morphée, et te plais à t’adonner à ce jeu du futur. Tu avais longtemps repoussé l’avenir, ton esprit le craignait et l’abhorrait tant que te l’imaginer rimer purement avec torture et désolation. Cependant, depuis que ta destinée s’était jumelée à celle de la Stringer, tu favorisais ces plans et accueillais avec enthousiasme tous ces audacieux projets. Penny ne t’avait non seulement procuré un goût pour chaque matin, mais elle t’inspirait aussi confiance à apprécier toute suite, à mesure que tu la chérissais chaque instant de ton quotidien. Elle composait ce soleil qui te rassurait immanquablement sur toutes les parts d’ombre pouvant obstruer ton dessein, elle insufflait cet irrémédiable bonheur qui apportait une sérénité d’ordinaire méconnue à ton être. Peu à peu, tous les mécanismes et armes que tu avais construits et érigés pour survivre chaque jour s’amenuisaient, gommés par un caractère obsolète assigné par la présence salutaire de Penny qui t’apprenait à vivre plutôt qu’exister, tout simplement.

« Derrière le divan, dans le salon. Il y a peut-être bien une ou deux photos que j’aimerais faire agrandir et accrocher aussi, juste à côté. » Tu saisis suavement les doigts de la jeune femme qui vagabondent sur ton torse pour venir les baiser. « Ah oui ? Lesquelles ? » Ta bouche se pose précautionneusement sur sa joue, sans s’éterniser, de peur de créer de nouvelles nausées chez l’actrice, mais ne pouvant résister à lui démontrer ton affection. « J’ai très hâte à cette nouvelle déco. J’aime beaucoup ce que tu as fait de la maison. » Parce que les touches personnelles de Penny en faisait pas simplement une demeure mais bien un foyer, racontant votre histoire, résumant vos goûts, créant votre nid douillet. Tu te sentais mieux chez toi aussi, maintenant que la vingtenaire y avait élu domicile avec toutes ses lueurs et ses couleurs qu’elle diffusait par sa seule présence. Tu lui confies être charmé par l’idée de découvrir New York comme la neige en sa compagnie lors d’un de vos prochains voyages, désireux d’ajouter cette première fois à votre inestimable palmarès. « Je veux toutes mes premières et dernières fois avec toi, et toutes les fois entre aussi. » L’australienne t’admet dans un rire qui te fait largement sourire, ton cœur pulsant d’un irrévocable amour dans ta poitrine. « Encore un point commun que nous avons, » tu exposes avec ravissement.

Tes traits s’étirent en une expression sérieuse tandis que vous investiguez sur la potentielle raison explicitant les symptômes désagréables qui tiraillaient, récalcitrants, Penny. Si une intoxication alimentaire est supposée, dès que l’actrice t’expose ses douleurs aux seins, le tableau te semble bien plus clair sur les motifs de son mal-être. Selon toi, la survenue d’une grossesse surprise est à considérer fortement et tu l’invites à faire un test ou prendre un rendez chez le médecin, au moins pour la soulager de ses maux. La première option est actée et tu t’absentes l’espace de quelques minutes pour réaliser les achats convenus en pharmacie. Lorsque tu reviens, Penny ne tarde pas à engager le processus pour infirmer ou confirmer votre hypothèse et tu patientes silencieusement derrière la porte de la salle de bain, étreint par de nombreux souvenirs, fantômes et vestiges du passé.

Tu te ressasses douloureusement le calvaire vécu avec Lucy dans le but de fonder une famille, le secret lancinant gardé des années durant par Love quant à cet enfant qu’elle avait porté et perdu, la fausse couche de Ginny suivant votre rupture, et tous les aléas de ces chagrinantes histoires d’amour qui jurent prodigieusement avec celle que tu vis présentement avec Penny. Si tu angoisses intérieurement de devoir possiblement essuyer un nouveau drame, toutes les actions de la Stringer te confirment qu’elle est en tous points diamétralement différente des précédentes femmes que tu as aimées et qu’elle est celle qui est, à tes yeux, faite pour toi. Par chaque fibre de son être, via chacune de ses réactions, de tous les mots qu’elle articule et tous les choix pour lesquels elle opte, Penny est sans nul doute la personne avec qui tu désires passer le reste de ta vie. Elle est celle avec qui tu veux partager tes expériences, avec qui tu veux grandir et vieillir. Elle est celle que tu veux soutenir, épauler et aimer indéfiniment.

Tu t’extirpes de ta torpeur lorsque ta petite amie te rejoint dans l'exiguë couloir, bâtonnet fatidique en main. Elle te tend le dispositif et tu le lui prends à sa demande, sans pour autant en dévoiler tout de suite le résultat. Une nouvelle déferlante de souvenirs te happe violemment et alors que tu chasses peu à peu ce révolu, tu convies ton amoureuse à s’asseoir sur le lit. Tu prends place en face d’elle, appuyé sur le bureau, et impassible, inspirant profondément, cœur battant à tout rompre dans ta cage thoracique, recevant un dernier aval de la Stringer pour être celui qui prend connaissance en premier de ce test comme elle te l’a requis, tu ôtes ton doigt de la part chimiquement coloré du bâtonnet.

Sans que tu ne puisses derechef l’expliquer, ton rythme cardiaque se normalise face aux deux barres inscrites. Comme si ce résultat, à la même image de Penny, retentissait au sein de ton âme telle une évidence et ne pouvait apporter que sérénité. Tu as conscience que si un petit être croît réellement sous le nombril de l'actrice et que vous décidez de devenir parents, vos vies en seront totalement bouleversées et modifiées. Tu ignores encore quelle sera la position de la Stringer quand elle connaîtra la nature du résultat du test, bien que tu en aies des soupçons. Tu quittes le bureau pour te placer à côté d’elle, ta main vient délicatement prendre la sienne et tu lui déclares sur une intonation aussi douce que calme : « Il est positif. »

Le prunelles étincelantes d’émotions de Penny ne te quitte pas, tu as l'impression de pouvoir y dresser des constellations sensationnelles de ses états d'âme si le cœur t'en disait. Le jade de tes yeux la soutient, l'enlace, comme si tu espérais que ton être vienne réconforter la sienne par ces vitres symboliques. Tu y lis la multitude de sentiments qui traversent ta petite amie et sa main se dérobe de la tienne tandis qu’elle verbalise, entre les doigts portés à sa bouche, d’un « Oh » soufflé, son inénarrable surprise. « T’es sûr? » Tu acquiesces doucement et ouvres ta main pour qu’elle récupère le test reposant dans ta paume. Tu l’observes considérer le résultat, la couvant de tes pupilles : c’est à ton tour de ne pas la quitter des yeux. « Je comprends pas comment ça se fait, je… Pendant mon premier voyage à LA, je crois que ça m’est arrivé d’oublier de prendre la pilule, un matin ou deux… » Un rictus apparaît sur ton portrait, cet élément n'appuyant selon toi que la nouvelle que ce test annonce. « Je suis tellement désolée Isy… » « Eh, ne t’excuse pas, Penny, jamais. On l’a fait à deux. » Tu la rassures spontanément, souhaitant ardemment chasser toute once de remord ou de culpabilité qui pourraient pernicieusement habiter ta petite amie. Vous étiez tous les deux responsables de l’arrivée de ce bébé et tu étais totalement prêt à endosser tout rôle qui suivrait cet événement selon le choix que vous emploierait. Vous aviez opté pour changer de contraception et tu avais conscience qu’il n’existait assurément pas de risque zéro, tout comme cette option-là reposait totalement sur Penny qui avait eu un emploi du temps déjanté ces derniers mois. Sur cette voie-là, tu pourrais aussi t’en vouloir de ne pas avoir proposé d’ajouter des précautions. Toutefois, l’essentiel reposait à ton sens sur le fait que vous ne pouviez guère changer le passé et qu’aujourd’hui, il y avait de forte chance que vous aviez créé la vie, un petit miracle révolutionnaire et imprévu qui en faisait déjà voir de toutes les couleurs.

« Je sais pas si je suis prête, si on est prêts… » La jeune femme repose le test sur ses genoux et passe ses paumes sur son minois tiré par la fatigue. Tu inspires posément, emmagasinant silencieusement ses réactions. « Ça fait même pas six mois qu’on est ensemble, je veux dire… C’est ridicule, non? » Ton attention se porte finalement au test, non pas parce que tu n’as pas saisi son résultat qui s’est instantanément gravé en toi, mais pour y greffer l’ensemble du cadre entourant cette surprise. Tu te fais la remarque que des années plus tôt, tu aurais été abasourdi de devenir père si tôt au sein d’une relation, pour ensuite réaliser qu’il ne s’agissait pas, à ton niveau, d'une question d’âge ni d’expérience, car en réalité, même avec Ginny, la nouvelle t’avait choqué. La vérité reposait sur le fait que ce jour, avec Penny, six mois sonnaient bien plus qu’un simple début. Tu avais conscience que vous ne vous connaissiez pas encore énormément, que si vous vous étiez confié les lignes les plus importantes de votre histoire, des éléments manquaient encore. Tu n’avais par exemple pas rencontré les meilleurs amis de Penny, et elle n’avait toujours pas échangé avec tes parents. Votre romance évoluait à une vitesse grand V, fréquemment sous l’égide de l'inopiné et des bouleversements. Vous ne viviez sous le même toit que depuis une poignée de semaines et en réalité, bien que tu sois en amour avec le canevas de votre relation que vous colorez à mesure des événements passés ensemble, tu savais que seul le noyau était découvert. Tous les tenants et aboutissants étaient encore en suspens, invisibles, méconnus de l’un comme de l’autre, et cela n’était pas faute de confiance, mais bien uniquement de temps.

Etiez-vous finalement des inconnus ? Tu connais le refrain traditionnel des romances : l’on se rencontre, quelques années de fréquentation aboutisse à un mariage, puis on fonde une famille. Avec Penny, il n’y avait rien de coutumier, vous étiez délicieusement hors clous, bénis par l’audace, le téméraire et l’imprévu. Selon toi, vous ne risquiez pas de faire grand-chose comme la majorité du monde et honnêtement, tu t’en fichais souverainement. Parce que Penny n’était pas ordinaire, parce que tu estimais que votre couple n’avait rien de normé. Même votre rencontre ne vous ressemblait pas, et il était fort possible que votre futur vous déroute plus d’une fois. Mais une certitude rendait à tes yeux tout surmontable : l’amour que tu lui vouais et surtout, cette sensation indétrônable que vous étiez fait pour durer.

« À quoi tu penses? » te ramène à la réalité ton amoureuse. Tu plonges de nouveau tes yeux dans les siens, t’y noies temporairement. Les secondes se faufilent avant que tu ne prennes la parole, instants durant lesquels tu réfléchis à ce que tu lui diras, sans pour autant être capable d’assimiler le moindre plan. Alors, ta raison déraisonnée, tu laisses parler ton cœur assuré : « Il y a plein de choses que je ne sais pas. Et d’autres que je peux dire qu’en mon nom, » tu commences. Tu ne voulais pas influencer la Stringer que tu soupçonnais encore sous l’effet du choc de ce résultat. Il t’était vital que la décision que vous prendriez soit ultimement sienne, et peu importe son choix, tu étais certain de rester à ses côtés. Un océan d’inconnus se présentait, intransigeant et intimidant, devant toi et pourtant, tu n’avais pas peur, tu restais confiant. « Je sais que six mois c’est peu, très peu. On a encore plein de choses à apprendre l’un de l’autre, on a encore des personnes à se présenter. Une grossesse est loin d’être dérisoire, et un bébé encore moins, si on va jusque là. C’est nos vies qui changent à jamais, pour passer de deux à trois. » Et ça te subjuguait encore de songer qu’il y avait en Penny un être qui était à la fois elle et toi. Même si tu n’osais pas le lui formuler, tu sentais déjà ton cœur grossir d’amour pour ce bébé, ce fruit magique de votre union, cette merveille dont le cœur ne battait probablement même pas encore. « Je sais aussi que non seulement je t’aime, je n'ai aucun doute sur le fait que je veux rester avec toi, que tu es celle avec qui je veux vivre ma vie. Elle a bien meilleure goût depuis que tu y es rentrée, tu lui as donné tout un sens, et je te chérirais toujours pour ça. » Tes épaules s'affaissent, la sincérité de tes propos brillant dans ton expression. « Tu es mon évidence, Penny, bébé ou pas. Dans toutes tes manies, dans tous tes petits détails, dans toutes tes ambitions, dans toutes tes réactions, dans toutes tes larmes et tes éclats de rire, tu es celle avec qui je veux être, celle avec qui je veux tout partager. Et ça, je l’ai su bien vite et les mois derniers n’ont fait qu’accentuer ce sentiment et confirmer à quel point tu t’imposes en moi. » Tu lui avais promis aisément, lors de son anniversaire, qu'elle pourrait toujours compter sur toi, à chaque étape de son chemin, pour qu'elle s'épanouisse. Ces paroles étaient plus valables que jamais et elles n'avaient jamais perdu de leur franchise. Il relevait d'un jeu d'enfant de formuler un tel engagement, quand ton propre bonheur résidait auprès d'elle et de la voir heureuse. « Je sais que six mois ne sont pas grand-chose, ça peut même paraître déraisonnable d’avoir un enfant si tôt dans une relation. Mais je sais aussi que dans six autres mois, dans six autres années, dans seize autres années et tout autant que j’en ai à vivre, mes sentiments pour toi ne risquent pas de s'amoindrir. Tu es comme ma vérité générale.  » Tu lui souris, timoré. « On aurait pu avoir ce bébé après trois ans, dix ans de relation ou ne jamais avoir d’enfant ensemble, ça n’aurait rien changé, à mon niveau. Six mois c’est peu, mais à mes yeux, le temps ne change rien parce que je sais que je veux passer tout le temps que j’ai en couple avec toi. Et même si on a chacun l’un pour l’autre des parts d’ombre et sans nul doute des surprises en réserve, des possibles squelettes dans nos placards, ça ne me fait pas peur. Rien n'ébranlera ce que je ressens pour toi. »

Tu marques une pause. Ton discours pouvait presque sonner comme une demande en mariage, maintenant que tu en prenais du recul, et bien entendu, tu n’irais pas jusque là ce matin au risque de provoquer un AVC à Penny. Toutefois, tes paroles en demeuraient totalement véridiques, tout comme ce sentiment de confiance qui jamais ne t'abandonnait, en aucun cas ne tarissait. « Je t’aime et comme je t’ai dit, je serais toujours là pour toi. Je te soutiendrais en tout temps, tu pourras toujours compter sur moi. Je suis partant pour qu’on ait cet enfant ensemble, mais je comprendrais aussi que tu préfères qu’on en ait pas maintenant. On n’est pas obligé de prendre une décision tout de suite non plus, je pense qu'on a encore du temps devant nous. Quel que soit la voie vers laquelle on s’oriente, je ne bouge pas et je te soutiens. Je veux aussi qu’on fasse ce qui te paraît le mieux pour toi, ce qui te semble la bonne et juste décision. Ce qui te rendra ultimement plus heureuse. »



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
  
(penisy #7) under this avalanche with you MTtf4TM Absent
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras.
LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu.
(penisy #7) under this avalanche with you Tumblr_inline_o5ze1jFrlN1rifr4k_250
POSTS : 13982 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)anguschrisethel.

+ the one and only (03)isaac #23isaac #24isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you?
RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you Ezgif-6-b1a1ae75cc
penisycause baby, the best part of me is you.
#1#2#3#4#5#6#7#8#9#10#11#12#13#14#15#16#17#18#19 #20#21#22#23#24.


cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #7) under this avalanche with you Wqmp
AVATAR : elizabeth bb olsen.
CRÉDITS : (av. nedorametoris) › (sign. siren charms) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton) + samuel wellington (ft. charlie hunnam) + willow storm (ft. lili reinhart)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t55355-penny-stringer-instagram

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyDim 12 Déc 2021 - 14:46

« Ah oui? Lesquelles? » Tu lui offres une moue qui se veut mystérieuse, ne voulant pas révéler d’avance quelle photos tu avais envie d’afficher dans le salon, dans votre salon. « Surprise. » que tu souffles avec amusement avant de reposer tes lèvres contre sa joue, te jouant de la situation et te plaisant devant l’intérêt qu’Isaac porte à tous ces petits changements que tu as effectué dans la maison depuis que tu as officiellement accepté d’y emménager. Tu n’as pas encore eu l’occasion d’entreprendre de gros travaux de décoration puisque tu as été majoritairement absente en vu de cette tournée de promotion qui tire enfin à sa fin, mais tu as tout de même pu laisser ta marque ici et là avant ton départ, chose qui n’est pas passée inaperçue selon les dires de ton amoureux. « J’ai très hâte à cette nouvelle déco. J’aime beaucoup ce que tu as fait de la maison. » Ton sourire s’élargit, tu ne peux t’empêcher d’être rassurée de l’entendre, même si tu ne doutais pas du fait qu’Isaac te l’aurait dit bien avant, si quelque chose ne lui convenait pas. Ton intention n’était pas de tout changer de son environnement, tu aimais le côté simple de la maison et tu savais qu’Isaac y était bien et ce point demeurait essentiel à tes yeux. Tu voulais simplement y ajouter un peu de ta couleur, un peu de ta personnalité et rajouter un peu de vous deux sur les murs semblaient être un bon point de départ. « Encore un point commun que nous avons. » Tu ris doucement, ce commentaire semble être un des préférés de l’infirmier chaque fois que vous vous découvrez des intérêts communs et il fallait admettre que la liste se faisait toujours un peu plus longue après chaque journée passé ensemble. Presque six mois et clairement, vous n’étiez pas près d’arrêter de vous en trouver, des points communs.  

Les prochaines scènes semblent se jouer sur un ton d’impossible tant tu n’aurais jamais pu croire à un tel revirement de situation. Ta fatigue et tes nausées deviennent rapidement des symptômes que tu ne peux pas négliger et toi qui étais prête à mettre tout ça sur le dos de semaines stressantes et épuisantes, voilà qu’une autre explication semblait prendre toute la place au point que bientôt, il sera impossible de le nier. Tu ne pensais pas faire un test de grossesse de sitôt, certainement pas pendant votre premier voyage ensemble outre-mer, et pourtant, vous voilà tous les deux dans cette chambre d’hôtel, à regarder le résultat d’un bâton couvert d’urine qui s’apprête à changer vos vies telles que vous les connaissez d’un bout à l’autre. Positif. C’est bien ce qu’il a dit Isaac. Le test est positif et toi, tu peines à y croire, à t’accrocher à cette vérité qui s’étend pourtant juste là, sous vos yeux. Tu mets plusieurs secondes avant de réagir et tout sur ton visage cri à la surprise. Tu ne peux pas y croire, tu n’as même pas envie de penser que cela puisse être possible, mais voilà que tu te souviens d’un petit détail qui fait toute la différence : tu n’avais pas été aussi vigilante avec ta contraception, quand tu étais toute seule à Los Angeles il y a un peu plus d’un mois de ça. Quelques journées sans pilule avaient suivi à ce qu’un petit être vienne se loger sous ton nombril. Elle est immense, la vague de culpabilité qui t’englobe soudainement et tu peines à retenir les larmes qui menacent de couler sous tes yeux d’une seconde à l’autre. « Eh, ne t’excuse pas, Penny, jamais. On l’a fait à deux. » Tu te mords légèrement la lèvre inférieure pour te distraire assez longtemps et t’empêcher de te mettre à pleurer alors que les pensées et les questions filent à vive allure dans ton esprit. Jamais tu n’avais pensé te retrouver dans une telle situation, et la vérité c’est que tu n’avais pas osé penser aussi loin dans un couple. Pas seulement celui que tu formais avec Isaac, mais même dans toutes tes relations passées, jamais tu n’avais pris la peine de te projeter aussi loin dans un engagement quelconque. Tu avais toujours privilégié les relations éphémères, jouissant d’une liberté que tu n’avais jamais voulu laisser derrière avant de plonger tête première dans cette aventure avec Isaac. Alors tu n’avais aucun dialogue prévu pour cette scène, tu ne te l’étais jamais imaginée et maintenant que tu étais en plein milieu, tu étais bloquée, complètement perdue, incapable de décider quelle tournure tu voulais véritablement donner à la situation.

Isaac semble aussi perdu que toi, les silences s’additionnent et s’accumulent entre chaque commentaire de ta part, entre chaque petite bribe bien peu précise que tu lui offres de tout ce qui se joue dans ta tête. Ton regard se perd un instant dans la pièce, puis sur le test de grossesse toujours entre tes doigts avant de s’arrêter sur ton amoureux qui a un air bien plus sérieux qu’à l’habitude. Tu sens son corps qui est si près du tien et pourtant, tu as l’impression que son esprit est à des kilomètres de là. Tu poses ta main sur sa cuisse alors que tu lui demandes à quoi il pense, ressentant le besoin de savoir où il se situe lui, par rapport à cette grosse surprise. « Il y a pleins de choses que je ne sais pas. Et d’autres que je ne peux dire qu’en mon nom. » Tu hoches doucement la tête. Tu veux surtout savoir comment lui il se sent. À quoi il pense. Ce qu’il veut surtout parce que tu te sais bien incapable de faire un choix ou de prendre une décision sur tout ça par toi-même, sans prendre en considération comment lui vit la nouvelle. « Je sais que six mois c’est peu, très peu. On a encore pleins de choses à apprendre l’un de l’autre, on a encore des personnes à se présenter. Une grossesse est loin d’être dérisoire, et un bébé encore moins, si on va jusque là. C’est nos vies qui changent à jamais, pour passer de deux à trois. » Une nouvelle vague de panique s’empare de toi à cette simple idée. Passer de deux à trois. Si rapidement? Ça te semble tout simplement insensé. « Je sais aussi que non seulement je t’aime, je n’ai aucun doute sur le fait que je veux rester avec toi, que tu es celle avec qui je veux vivre ma vie. Elle a bien meilleure goût depuis que tu y es rentrée, tu lui as donné tout un sens, et je te chérirais toujours pour ça. Tu es mon évidence, Penny, bébé ou pas. Dans toutes tes manies, dans tous tes petits détails, dans toutes tes ambitions, dans toutes tes réactions, dans toutes tes larmes et tes éclats de rire, tu es celle avec qui je veux être, celle avec qui je veux tout partager. Et ça, je l’ai su bien vite et les mois derniers n’ont fait qu’accentuer ce sentiment et confirmer à quel point tu t’imposes en moi. » Tu ne peux pas les retenir plus longtemps, les larmes qui mouillent tes yeux et qui viennent silencieusement couler sur tes joues alors que tu écoutes attentivement chaque mot qu’Isaac t’offre, un accès direct à son cœur qu’il t’offre si honnêtement depuis le tout début de votre histoire. Tu restes silencieuse, incapable de trouver le moindre mot qui pourrait ne serait-ce que faire justice à tout ce que tu ressens face à tout ce qu’il te partage. Oh que tu aimerais pouvoir lui en dire tout autant, parce que tu le penses, parce que tu le sais, mais tu ne fais que le regarder avec toute la tendresse que tu possèdes, en espérant silencieusement que ce soit suffisant pour l’instant, avant qu’il n’enchaîne. « Je sais que six mois ne sont pas grand-chose, ça peut même paraître déraisonnable d’avoir un enfant si tôt dans une relation. Mais je sais aussi que dans six autres mois, dans six autres années, dans seize autres années et tout autant que j’en ai à vivre, mes sentiments pour toi ne risquent pas de s’amoindrir. Tu es comme ma vérité générale. On aurait pu avoir ce bébé dans après trois ans, dix ans de relation ou ne jamais avoir d’enfant ensemble, ça n’aurait rien changé, à mon niveau. Six mois c’est peu, mais à mes yeux, le temps ne change rien parce que je veux passer tout le temps que j’ai en couple avec toi. Et même si on a chacun l’un pour l’autre des parts d’ombre et sans nul doute des surprises en réserve, des possibles squelettes dans nos placards, ça ne me fait pas peur. Rien n’ébranlera ce que je ressens pour toi. » Ton cœur bat à la chamade contre ta poitrine, si fort que ça en est presque douloureux. Tes lèvres viennent retrouver les siennes, parce que c’est ainsi que tu t’exprimes le mieux. Tu n’as pas cette facilité à parler avec les mots comme il le fait, pas une aisance à décrire tous les sentiments qui t’habitent quand tu penses à lui et pourtant, c’est une évidence : Isaac a tout changé dans ta vie aussi, pour le mieux.

« Je t’aime et comme je t’ai dit, je serais toujours là pour toi. Je te soutiendrais en tout temps, tu pourras toujours compter sur moi. Je suis partant pour qu’on ait cet enfant ensemble, mais je comprendrais aussi que tu préfères qu’on en ait pas maintenant. On n’est pas obligé de prendre une décision tout de suite non plus, je pense qu’on a encore du temps devant nous. Quel que soit la voie vers laquelle on s’oriente, je ne bouge pas et je te soutiens. Je veux aussi qu’on fasse ce qui te paraît le mieux pour toi, ce qui te semble la bonne et juste décision. Ce qui te rendra ultimement plus heureuse. » « Toi. C’est toi qui me rends le plus heureuse. » Tu sembles soudainement retrouver la capacité de parler, alors que ton regard toujours mouillé se perd dans celui de ton amoureux. « Y’a jamais personne qui m’a dit de telles choses avant, jamais personne qui m’a aimé comme toi tu m’aimes. Et moi non plus, j’ai jamais aimé personne comme je t’aime et je te mentirai pas Isy, ça me fait un peu peur tout ça. » Peur de l’immensité de vos sentiments et de la vitesse à laquelle tout s’est placé sous vos yeux. Peur que le fait que ce soit arrivé si vite puisse vouloir dire que tout pourrait disparaître du jour au lendemain, même si le Jensen est une évidence dans ta vie que tu ne pourrais te permettre de perdre, peu importe les circonstances. Tes mains viennent maladroitement prendre possession des siennes et tu prends une grande inspiration, tentant de faire du sens de toutes tes pensées pour lui offrir une réponse ne serait-ce qu’à moitié aussi cohérente que la sienne. « T’es mon évidence à moi aussi, je pensais pas que c’était possible d’aimer quelqu’un comme ça, si rapidement, si intensément et d’être si certaine de moi. Je veux pas imaginer ma vie sans toi, je veux pas penser que notre histoire pourrait avoir une fin parce que je sais au fond de moi que c’est seulement le début et je suis impatiente de découvrir ce qui nous attend. » C’est ça, la vérité dans le fond. Le bébé est une surprise, oui. Un choc, sans aucun doute. Mais peut-être que c’était une autre évidence, pour laquelle vous n’auriez jamais cru être prêts si rapidement et qui pourtant, allait de soi maintenant qu’elle se plaçait devant vous. « Cette grossesse, ça change rien de tout ça à mes yeux. » Tu as besoin qu’il le sache. Que les doutes qui t’habitent, que les peurs qui te tiraillent le ventre, ça n’a rien à voir avec l’amour que tu lui portes et cette certitude que vous êtes faits pour durer, malgré votre relation que l’on pourrait toujours qualifier de naissante. « La vérité c’est que je pensais avoir encore quelques années devant moi, avant de vraiment me poser la question à savoir si j’étais prête à devenir mère ou pas. Mais j’ai pas le moindre doute dans mon esprit que tu vas être un père merveilleux. » Tu peux déjà te l’imaginer avec une telle facilité, Isaac avec un tout petit-être, à moitié lui et à moitié toi. « Je hm… Je pense pas que je serai capable de me faire avorter. » que tu finis par lui avouer, dans une vérité qui te choque au fur et à mesure que tu l’admets à voix haute parce que tu réalises que ça n’avait jamais vraiment été une option dans ton esprit. « Tu me jures que c’est ce que tu veux vraiment, toi aussi? D’avoir ce bébé? De brûler toutes les étapes logiques d’un couple? D’aller à contre-courant? » Tu échappes un léger rire entre tes pleurs qui se font de plus en plus nombreux, tes mains n’ayant toujours pas lâcher les siennes. « Je suis désolée, je dois tellement pas faire de sens en ce moment. » Tu es mêlée, tu es partout et nulle part à la fois, mais surtout, tu es juste là avec lui et tu penses bien l’avoir prise, ta décision, malgré la peur et la panique qui persistent. « Y’a personne d’autre avec qui je voudrais vivre tout ça. »



(penisy #7) under this avalanche with you P0rWgDf(penisy #7) under this avalanche with you J36iNh6(penisy #7) under this avalanche with you FyMeElc (penisy #7) under this avalanche with you Rght3UW
(penisy #7) under this avalanche with you Y2qJLbW
(penisy #7) under this avalanche with you Vd7qr7j
(penisy #7) under this avalanche with you YlMyvG3
(penisy #7) under this avalanche with you HZjB4DU
(penisy #7) under this avalanche with you 872289volunteer
(penisy #7) under this avalanche with you Sdo13d7
(penisy #7) under this avalanche with you 2XVRHDx
(penisy #7) under this avalanche with you FLBDXxB
:l::
Revenir en haut Aller en bas
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
  
(penisy #7) under this avalanche with you FQgUS3L Présent
ÂGE : 34 ans (13.05.90)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021)
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour
POSTS : 28708 POINTS : 0

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
Spoiler:

RPs TERMINÉS :
(penisy #7) under this avalanche with you LNatll2

(roa, juin 2020)
(penisy #7) under this avalanche with you Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Will Higginson
CRÉDITS : cheekyfire (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), (gif may0osh (gif olivia), stairsjumper (starter pack)
DC : /
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you EmptyJeu 30 Déc 2021 - 18:02

Penny Stringer adore ce message


Ton portrait demeure de marbre alors que ton regard lit le résultat du test de grossesse que vient de prendre ta petite amie. Celui-ci confirme qu'un être croît sous son nombril, que malgré vos précautions, le début de votre été s'amorce sur une indétrônable surprise. Tu as conscience de ce que cette annonce invoque, cette réponse positive que tu soumets à ton amoureuse avec calme et délicatesse, soupçonnant l'impact qu'une telle conception puisse générer, en particulier considérant les circonstances dans lesquelles vous vous trouviez. Tu mesures les changements drastiques incombant à la survenue d'une grossesse puis d'un enfant qui sera vôtre. Tu assimiles comment ce simple petit trait a la capacité de définir le restant de vos jours, peu importe la décision que prendra ta petite amie sur l'évolution de cet embryon. Tu sais que cette arrivée inopinée n'est pas optimale et que si vous aviez brièvement évoqué une parentalité, celle-ci n'était pas prévue avant plusieurs années ; ou dans tous les cas, vous n'étiez pas pressés d'accueillir sous peu un poupon au sein de votre foyer, que vous commenciez tout juste à bâtir.

Tu comprends la mine déconfite de Penny, sa difficulté à avaler cette nouvelle réalité si bouleversante. Tu compatis avec son minois dont les pupilles brillent de larmes qui menacent de rouler le long de ses joues pâles, malmenées par l'exténuation et ces signes avant-coureurs qui pourraient faire d'elle une mère, l'an prochain. Tu la couves du regard, ta main vient chèrement prendre la sienne. Tu chasses du mieux que tu peux la culpabilité qui peut sournoisement s'immiscer en la Stringer, affirmant que vous étiez autant responsables l'un que l'autre de cette grossesse. Tu rejettes également tes douloureux souvenirs du passé, te focalisant sur la vérité que ton histoire avec Penny n'avait pas à ressembler à tes précédentes romances. En tout point, elle y était diamétralement opposée.

Penny pose sa main sur ta cuisse et tu cilles, loges tes pupilles contre les siennes. Tu l'as bien entendu douter, avec raison, de ce timing des plus atypiques. Tu ne veux pas te risquer à imposer ton point de vue ni l'influencer dans une quelconque direction, quand bien même tu sais que Penny est dotée d'une personnalité assez forte pour écouter sa raison. Tu redoutes aussi être exclus dans cette aventure, parce qu'aussi courte puisse-t-elle être, tu désires ardemment demeurer aux côtés de ta petite amie à chaque étape pour laquelle elle optera. Mais comme si elle lisait dans tes pensées, comme si elle te connaissait déjà tellement, l'australienne te conforte dans ton rôle au sein de votre couple et précautionneux, tu laisses parler, sans filtre aucun, ton cœur.

Tu lui expliques à quel point tu mesures que cette situation est loufoque au début de votre relation où vous avez encore tant à apprendre l'un de l'autre et à vous partager. Vous n'aviez pas encore eu le temps de faire ce qui te semblait être un dixième de vos projets et cet enfant, s'il venait transformer votre duo en trio, changera forcément la dynamique de votre union.
Cependant, tu lui exposes ce qu'elle représente dans ton cœur, dans ton âme, dans ton quotidien. Penny est ton évidence, tu lui voues déjà un amour incommensurable et chaque jour, tu t'estimes chanceux de l'avoir rencontrée. Tu sais que cette surprise peut s'accorder avec folie, mais tu peux aussi conjuguer avec cette dernière : tu es prêt à tout assumer avec la Stringer car ton plus grand souhait est de passer ta vie auprès d'elle. Six mois sont certes peu, mais l'affection que tu lui portes dépasse l'entendement et tu es convaincu que les années n'y changeront rien. Tu es persuadé que si vous décidiez d'avoir ou non cet enfant, tu chériras de la même manière exponentielle l'actrice. Tu es aussi convaincu que lorsque vous décideriez d'être parents, vous parviendrez à assumer ce rôle avec brio.

Tu perçois des perles étinceler sur la peau de Penny, créant des sillons sur ses joues. Tu viens les effacer délicatement avec ton pouce, confirmant que tu étais prêt à braver toutes les tempêtes de votre futur et lever le voile sur tous les mystères qui vous composent avec elle. Penny était indubitablement celle avec qui tu voulais faire ta vie, celle avec qui tu voulais tout partager ultimement. Six mois étaient courts mais ce délai sonnait dérisoire à tes oreilles quand tu ne voyais que toute l'existence que tu voulais partager avec elle. Six mois étaient brefs mais ils t'avaient convaincu sur l'importance de Penny dans ta vie et à quel point elle t'était inestimable, à quel point elle était la plus belle chose qui t'était jamais arrivée.
Penny est celle qui te donne envie de vivre, qui t'a inoculé le désir d'exister et de saisir toutes opportunités. Elle est celle qui éloigne mieux que personne tes démons et apaise naturellement tes maux, sans peut-être même le réaliser. La Stringer a métamorphosé ta vie et a fait de toi un meilleur homme ; un être heureux. Tu sais que votre futur ne sera pas rose, mais pour la première fois depuis beaucoup trop longtemps, tu aspires à connaître l'avenir, avec elle.

Ses lèvres viennent trouver les tiennes et tu prends le temps de l'embrasser d'un tendre amour, tes doigts effleurant ses joues blêmes. Vos souffles se mêlent, les tambours de vos cœurs tonnent en harmonie. Alors que tes doigts s'entremêlent aux siens, tu lui rappelles ce soutien indéfectible que tu lui voues tout comme l'amour grandissant que tu nourris à son égard. Tu lui promets qu'elle pourra toujours compter sur toi, peu importe ce dont votre avenir sera fait. Tu lui indiques pouvoir accepter une alternative comme l'autre, comme tu lui soumets que vous n'avez pas à vous décider aujourd'hui non plus. En priorité, tu veux son bonheur et son épanouissement, celui qu'elle t'avait expliqué en chercher la voie le jour de son anniversaire. « Toi. C’est toi qui me rends le plus heureuse. » Tu lèves les yeux vers elle, à la fois surpris et touché. Tu te doutais que tu étais capable d'apporter de la joie dans la vie de ta petite amie, mais en aucun cas ne pensais tu la rendre si heureuse, ce qui t'emplit d'une fierté innommable, ricochant avec cette même plénitude que Penny invoque en toi. « Tu es celle qui me rend le plus heureux aussi, » tu souffles, caressant délicatement son dos. « Y’a jamais personne qui m’a dit de telles choses avant, jamais personne qui m’a aimé comme toi tu m’aimes. Et moi non plus, j’ai jamais aimé personne comme je t’aime et je te mentirai pas Isy, ça me fait un peu peur tout ça. » Tu acquiesces, en accord et compréhensif. Votre relation était étourdissante, si riche en émotions et événements. Tout semblait décuplé au sein de cette vie que vous érigiez à deux et rien ne semblait vouloir s'apparenter réellement au commun ni au coutumier. Tout tendait à vouloir épouser l'inexplicable, comme si vous aviez si longtemps nié l'existence de telles possibilités que l'univers se vengeait en vous adressant un lot intégral de surprises de choix. « T’es mon évidence à moi aussi, je pensais pas que c’était possible d’aimer quelqu’un comme ça, si rapidement, si intensément et d’être si certaine de moi. Je veux pas imaginer ma vie sans toi, je veux pas penser que notre histoire pourrait avoir une fin parce que je sais au fond de moi que c’est seulement le début et je suis impatiente de découvrir ce qui nous attend. » Tu souris faiblement, amenant précautionneusement Penny vers toi dans une étreinte. « Cette grossesse, ça change rien de tout ça à mes yeux. » Tu poses doucement un baiser sur son front, ton cœur battant la chamade que vous soyez, une énième fois, sur la même longueur d'ondes. « La vérité c’est que je pensais avoir encore quelques années devant moi, avant de vraiment me poser la question à savoir si j’étais prête à devenir mère ou pas. Mais j’ai pas le moindre doute dans mon esprit que tu vas être un père merveilleux. » Et tu ne doutais assurément pas que Penny ferait une mère formidable. « Je hm… Je pense pas que je serai capable de me faire avorter. » Les mouvements de ta main dans son dos se stoppent le temps de quelques secondes, le temps que ton cœur se remette du battement qu'il vient de manquer. Tu n'es pas certain si tu as bien entendu, si tu as bien compris. Ton imagination t'aurait-elle joué des tours ? Une décision s'augurait-elle déjà ? Était-ce là le pouvoir de l'évidence ? Tu inspires profondément, discrètement, et Penny se détache légèrement pour te faire face. « Tu me jures que c’est ce que tu veux vraiment, toi aussi? D’avoir ce bébé? De brûler toutes les étapes logiques d’un couple? D’aller à contre-courant? » Tu ne peux t'empêcher de rire doucement, nerveusement, rire qui se mêle au sien teinté de larmes, et tu acquiesces. « Je suis désolée, je dois tellement pas faire de sens en ce moment. » Tu devines que ces larmes sont nouées de tant d'émotions que tu n'es pas certain de pouvoir les décrypter dans toute leur composition. Tu prends tendrement Penny dans tes bras, l'enlaçant. « Ne t'en fais pas, ne sois pas désolée. Je crois qu'il n'y a même pas vraiment de sens à proprement parler à faire dans nos circonstances. » Tu conjectures alors que tu frottes son dos. « Y’a personne d’autre avec qui je voudrais vivre tout ça. » « Moi non plus. Tu feras une mère formidable. Ce petit être a de la chance de t'avoir. » Tu assures. « Je te jure que c'est ce que je veux vraiment aussi. Je te propose même que notre devise soit l'illogique et le contre-courant, maintenant. » Tu embrasses chèrement la joue de ta petite amie, continuant le mouvement de ta main dans son dos. « Les points communs, l'audace, les surprises, l'illogique, le contre-courant et l'évidence. C'est pas ça, la recette du bonheur, finalement ? » Tu presses amoureusement tes lèvres contre les siennes. « Je t'aime, Penny. Tu es mon bonheur et mon évidence. » Et ce bébé, ce petit être à la fois elle et toi, sera votre trésor, tu le prédis avec tout ton cœur.



(penisy #7) under this avalanche with you BKa2n3B
(penisy #7) under this avalanche with you 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé
  

(penisy #7) under this avalanche with you Empty
Message(#)(penisy #7) under this avalanche with you Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

(penisy #7) under this avalanche with you