« quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
le seul constat que tu es capable de faire en ce moment est le fait que tu es gelé. assez littéralement gelé. tu commences à ne plus sentir tes orteils et le bas de ton corps. sans compter le fait que ... tu as l'impression d'avoir été amputé d'un certain organe, sous le coup du froid. tu gémis dans les bras de maverick. je m'occuperai de toi alors si tu tombes malade, j'suis gentil hein ? tu arques un sourcil aux mots du blond et tu ris tout bas, une moue tout de même présente sur ton visage. quel bon prince tu fais. tu murmures simplement. après tout, c'est de sa faute si tu en es là, alors il a plutôt intérêt à venir t'aider si tu tombes malade comme un chien. vous sortez finalement de l'eau. enfin, tu commences à le faire et tu termines blotti dans ses bras alors qu'il te porte jusqu'à vos maigres affaires. tu as envie de rester là un peu plus longtemps encore, mais tu te retrouves planté sur le sable, frottant tes bras pour tenter de te réchauffer un petit peu. tu geins tout bas de froid. et maintenant, c'est certain, tu vas tomber malade. j'aurais peut-être dû te mettre tout nu alors, tu aurais préféré ? tu hausses les épaules avec un petit rire sur les lèvres à ses mots, alors que tu le laisses essayer de sécher tes cheveux. tu apprécies ça, malgré tout. tu soupires un peu et tu secoues la tête de gauche à droite. j'aurais préféré ne pas terminer dans l'eau. tu te contentes de souffler avec une moue sur les lèvres. à choisir réellement ... tu étais bien sur le sable. tu retiens un petit soupir. et tu te détournes finalement un peu pour pouvoir retirer ton boxer trempé et enfiler ton pantalon. tu taquines un peu mav, bien conscient qu'il ne se prive pas de te regarder. je ne regarde pas promis, même si c'est tentant de regarder tout ça. tu lèves les yeux au ciel, amusé. tu parles, avec le froid, ce n'est pas bien intéressant... tu marmonnes en terminant de t'habiller avec un soupir. à moins que tu trouves ça intéressant aussi. tu ricanes en l'observant du coin de l'oeil.
et tu demandes simplement à rentrer. tu veux rentrer te réchauffer. te débarrasser du sel sur ta peau et dans tes cheveux. tu veux te blottir sous tes plaids. tu retiens un petit soupir. ouais, allons y je te ramène. tu hoches la tête à ses mots et tu laisses un petit sourire se dessiner sur le coin de tes lèvres. tu es content qu'il te ramène chez toi. et pourquoi pas, te suivre jusqu'à l'intérieur ? tu n'en sais rien. tu retiens un petit soupir du coin des lèvres. tu esquisses un sourire quand tu remarques une fossette sur ses joues. tu penches un peu la tête sur le côté. okay, allons profiter de tous tes plaids. tu ris un peu et tu le suis jusqu'à sa moto. tu restes silencieux quand mav glisse sa veste sur tes épaules en plus de ta propre veste, et tu serres ses doigts dans les tiens. tu grimpes derrière lui sur la moto et tu le serres dans tes bras. donne ton adresse, comme ça tu évites de me faire les indications comme un GPS. tu ris un peu avant de lui souffler cette dernière, le laissant ensuite te conduire jusqu'à chez toi. tu profites du voyage même si tu as un peu froid à cause du vent et de ta peau encore humide. tu soupires lourdement et tu es bien heureux d'arriver. tu descends de la moto et tu retires la veste de mav pour le lui tendre. merci. tu souffles avec un sourire, avant de te diriger vers l'entrée. tu viens ? tu demandes avec un sourire, parce que pour toi, ça semble évidemment qu'il vienne avec toi. tu glisses tes doigts dans tes cheveux et tu te dépêches d'ouvrir la porte pour retrouver la chaleur de ton petit studio. tu retires tes chaussures dans l'entrée avant de laisser mav te rejoindre. tu te grattes la joue. bon bah ... voilà. tu souffles avec une moue. c'est moins spacieux que chez toi. tu ajoutes en haussant les épaules. l'espace délimité par un simple meuble. ton lit dans un coin de la pièce entouré de rideaux et de plaids pour te tenir chaud. et le reste de l'espace : une petite cuisine ouverte, un canapé d'appoint et une télévision qui ne fonctionne qu'une fois sur deux. tu t'avances un peu et tu retires tes vêtements humides. une douche ça te dit ? ne serait-ce que pour le sel de la mer ... je peux toujours fouiller voir si j'ai pas des vêtements un peu grand qui pourraient éventuellement t'aller. tu souffles dans un petit soupir. vous n'avez pas vraiment la même morphologie, mav et toi. mais pour l'instant, tu t'en fiches. tu balances tes vêtements dans la panière de linge sale avant de te diriger directement vers la salle de bain, nu. tu te glisses sous l'eau que tu allumes : chaude. et un soupir de contentement t'échappe.
« Quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
Farceur ou simple moyen de l’avoir contre lui plus facilement ? À présent qu’il avait goûté à cette proximité avec Nicky, son corps et son cœur en demandaient plus à chaque fois qu’il en avait l’opportunité. Bien qu’il ne s’en rendait pas compte si rapidement, Mav ne pouvait pas non plus se dire que ce n’était que des choses normales qu’il faisait avec lui, il n’était pas si proche de quelqu’un si facilement, et surtout, il n’avait pas constamment envie de l’embrasser et de connaître plus sur cette personne. Nicky était certainement ce qu’on pouvait appeler une attirance physique, ou juste un coup de foudre, mais ça serait trop difficile pour Maverick de se mettre à réfléchir sur quelque chose qu’il ne connaissait pas tellement dans la vie. Il n’avait jamais eu de longues relations, ni même quelque chose de sérieux qui pourrait l’aider à comprendre ce qu’il était en train de vivre en ce moment même avec le blond. Il allait certainement en parler avec Maeve, voire Zach, même s’il serait certainement aussi stupide que lui dans cette situation. « Quel bon prince tu fais. », il savait très bien qu’il y avait peut-être une petite touche d’ironie dans ce que le jeune homme venait de prononcer, mais c’était tout à fait normal pour lui de se préparer à devoir s’occuper de lui, il allait peut-être rater quelques jours de boulot pour une petite ânerie de la part de son aîné… Enfin, est-ce qu’on pouvait dire aîné comme on l’utilisait pour parler d’un grand frère en Corée… ou c’était autre chose qu’il devait dire ? Certainement. Ce n’était pas pour rien que baby sortait de sa bouche si facilement en présence du jeune homme. Il le disait toujours dans une autre langue que sa langue natale, et il se disait que l’impact serait peut-être plus puissant s’il se mettait à le dire en coréen. « Ouch, moi un prince ? Tu as vraiment une très grande estime pour me donner ce genre de titre. », il se mit doucement à rire. « J’aurais préféré ne pas terminer dans l’eau. », est-ce que la solitude pouvait être l’excuse de son acte qui n’avait pas plu au plus jeune ? Après tout, Mav allait certainement refaire la même chose, mais en été, et il savait très bien que Nicky serait peut-être un peu plus d’accord, ou qu’il se mettrait encore une fois à hurler en disant que l’eau n’était toujours pas assez chaude pour lui. Il était réellement un frileux, et Mav lui avait toujours chaud, certainement pour ça qu’il ne portait pas toujours de vêtements quand il était chez lui. « D’accord, d’accord. Je ne le referai pas. », il roula des yeux pendant un instant alors qu’ils étaient tous les deux en train de se débarrasser de l’eau au maximum. Bien qu’il ne pouvait pas s’empêcher de le regarder, comme s’il ne le trouvait pas attirant, que ce soit avec ou sans vêtement, mais il voyait aussi et surtout une brindille qui ne faisait que de se tortiller dans tous les sens pour avoir un semblant de chaleur que l’eau avait enlevé en un clin d’œil. « Tu parles, avec le froid, ce n’est pas bien intéressant… », il se voyait ? Il leva les yeux au ciel à ses paroles. « À moins que tu trouves ça intéressant aussi. », il se mit à sourire en coin pendant un court instant. « Peu importe, je trouve toujours tout intéressant. », il lui fit un petit clin d’œil.
Il n’était pas du genre à donner ses affaires si facilement que ça, ni même à prendre la main de quelqu’un, mais il trouvait ça chouette sur le coup. Il le ferait certainement encore une fois, et encore, et encore. Sans jamais se priver à chaque fois que tout lui était clairement possible. À l’annonce de son adresse, il se rendait compte qu’il n’habitait pas très loin de chez lui, une bonne information pour lui si jamais il avait envie de venir le voir, ou inversement si le jeune homme derrière lui sur la moto avait retenu l’endroit où il habitait depuis la dernière fois. Pour éviter d’aggraver le froid que pouvait ressentir le blond, Mav ne se gênait pas pour accélérer un peu plus que d’habitude, mais il faisait quand même attention néanmoins, il était hors de question d’avoir un accident non plus. Il ne faisait jamais de trop grosse pointe de vitesse avec quelqu’un derrière lui, les seules fois étaient sur les longues lignes droites avec seulement lui sur sa bécane, et le plus souvent sa sœur n’était pas très loin et se mettait à lui hurler dessus pour qu’il arrête de faire le fou. « Merci. », il récupéra sa veste qu’il enfila pour ne pas l’avoir dans ses mains. Même s’il était plutôt mignon avec sa veste sur ses épaules. « Tu viens ? », il posa son regard sur le blond avant de descendre de sa moto et de le suivre dans son fameux studio. « Je te suis. », il n’avait que son sac avec lui qu’il laisserait dans un coin du studio de Nicky. Il enleva ses chaussures à l’entrée et la première chose qu’il remarqua était certainement l’odeur de peinture qui lui venait au nez, un artiste entre ses mains ? Il était bien curieux de savoir s’il avait raison. « Bon bah… voilà. », le Néo-zélandais observait alors le cocon de l’australien, souriant doucement en coin en voyant le nombre de plaids qu’il pouvait avoir. « C’est moins spacieux que chez toi. », et alors ? C’était assez pour une personne, puis c’était chaleureux au moins, son appartement était presque vide pour une seule personne. « Au moins ça n’a pas l’air vide chez toi. », de toute manière, il était persuadé qu’il allait en passer du temps ici, ou du moins si Nicky finissait par l’inviter à plusieurs reprises ici. « Une douche ça te dit ? Ne serait-ce que pour le sel de la mer… Je peux toujours fouiller voir si j’ai pas de vêtements un peu grand qui pourraient éventuellement t’aller. », est-ce qu’il pariait qu’il ne trouverait rien ? Déjà cette fameuse chemise devait être trop grande pour lui et il avait fini par se demander tout le long de la soirée aux Canvas si un bouton n’allait pas sauter entre temps. Il haussa les épaules, de toute manière, il n’habitait pas loin, il ne pourrait pas mourir sans fringue propre. Il sortit de ses pensées en regardant les vêtements partir du corps de Nicky sous ses yeux et entendre l’eau dans la salle de bain. Il n’avait pas envie d’attendre visiblement. C’était à son tour de tout enlever avant de se glisser dans la douche avec lui, n’étant pas étonné de l’eau bien chaude qu’il venait d’enclencher. Néanmoins, est-ce qu’il devait se gêner pour poser ses mains sur les hanches du jeune homme et venir déposer un baiser contre son cou en murmurant un simple bébé en coréen contre son oreille ? Il restait doux dans ses gestes, pour une première. Ses lèvres en quittèrent que très peu la peau marquée par quelques bleus dû au match qu’il avait eu, chose qui ne plaisait guère à Mav. Puis les marques qu’il avait laissées, lui, n’étaient plus présentes sur l’épiderme du jeune homme, une occasion en or pour y laisser au moins une dans le cou de celui-ci. « Tu penses que j'aurais réellement besoin de vêtements ? Je suis du genre à préférer ne rien avoir une fois chez moi, c'est gênant si je fais la même chez toi ? », un sourire en coin, ce n'était pas de la provocation... ou peut-être un peu ? De toute manière, il continuait ses baisers dans le cou du jeune homme, dans une douceur qu'il connaissait très rare chez lui.
« quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
tu ne lui en veux pas. ou peut-être un peu quand même. parce que les températures ne se prêtent pas à l'idée qu'il a eue de te jeter à l'eau. tu aurais préféré qu'il garde ça pour le plein été, sous le soleil. un soupir t'échappe et tu essayes de te réchauffer tant bien que mal, sous le regard visiblement amusé du blond. ouch, moi un prince ? tu as vraiment une très grande estime pour me donner ce genre de titre. tu ris un peu, te contentant de tenter de te rhabiller comme tu peux. tu as froid, tellement froid que ça te glace jusqu'au sang. d'accord, d'accord. je ne le referai pas. tu esquisses un petit sourire. ou alors au soleil en plein été. tu te contentes de souffler avec un petit sourire sur les lèvres, te déshabillant totalement pour espérer être au sec dans tes vêtements propres. enfin, espérer seulement. parce que ta peau est loin d'être sèche. tu tournes un peu la tête vers mav. peu importe, je trouve toujours tout intéressant. tu lèves les yeux au ciel. content de savoir que tu me trouves intéressant même si j'ai l'impression d'avoir perdu mes couilles dans l'eau. tu marmonnes simplement avec un petit sourire en coin. tu arrives à rigoler de la situation, mais tu as hâte de retrouver la chaleur de ton appartement.
tu te sens bien, installé derrière mav sur sa moto. tu te fiches de la vitesse, tu savoures les sensations même si tu te retrouves rapidement transit de froid. tu soupires un peu, lui rendant sa veste avant de te diriger vers les portes de ton appartement. je te suis. tu hoches la tête avec un petit sourire et tu retrouves rapidement ton univers. l'odeur de peinture ne te choque même plus quand tu entres dans les lieux. tu soupires un peu d'aise en retirant tes vêtements humides. tu n'as pas beaucoup d'espace, mais tu aimes te retrouver dans ton espace, dans ton univers. tu t'y sens bien. assez petit pour que tu ne sois pas effrayé par le monde extérieur, et assez grand pour que tu n'étouffes pas tout seul entre quatre murs. au moins ça n'a pas l'air vide chez toi. tu observes tout autour de toi pendant quelques instants, et tu retiens un soupir. tu manques parfois de place, mais tu aimes le charme de ton appartement. tu glisses tes doigts dans ta nuque et tu secoues un peu la tête de gauche à droite. ouais ... je déborde même un peu partout. tu souffles avec un petit rire. tu termines de retirer tes vêtements et tu te diriges vers la salle de bain. tu es certain que maverick va te rejoindre.
tu soupires lourdement d'aise quand l'eau chaude frappe ta peau et tu ne te fais pas prier pour mouiller tes cheveux et - enfin - te réchauffer. tu fermes les yeux un instant, souriant quand tu sens mav te rejoindre et que sa silhouette s'appuies dans ton dos. tu tournes un peu la tête, lui laissant de la place dans ton cou. tu profites de son toucher doux et léger, et tu frissonnes un peu à son baiser, au simple mot franchissant la barrière de ses lèvres. et s'il te le demande, tu justifieras la rougeur de tes joues par la chaleur de l'eau coulant contre ta peau. tu penses que j'aurais réellement besoin de vêtements ? je suis du genre à préférer ne rien avoir une fois chez moi, c'est gênant si je fais la même chez toi ? tu hausses un peu les épaules, gémissant tout bas quand il laisse une marque dans ton cou. tu fais comme tu veux. tu souffles simplement. tu ne veux pas au moins un boxer ? ça va être dur de résister sinon. tu ris un peu à ses mots. tu secoues un peu la tête de gauche à droite. tu glisses tes doigts contre ton visage et tu attrapes le shampoing pour le glisser entre ses doigts. tu me laves les cheveux ? tu demandes avec un petit sourire en coin. s'il te plaîîîît tu souffles en riant un peu. et tu soupires d'aise sous ses attentions, quand il lave soigneusement tes cheveux. tu quittes rapidement la douche, t'enroulant dans un peignoir doux, et tu tends à mav une serviette avec un petit sourire. tu sèches tes cheveux et tu pars chercher une tenue confortable à enfiler. tu sors un boxer pour mav au cas où. je peux faire chauffer des nouilles si t'as faim. mais j'suis pas très doué pour la cuisine. tu souffles en haussant un peu les épaules en te laissant tomber sur ton lit dans un lourd soupir. tu fermes les yeux. ça fait longtemps que tu ne t'es pas trouvé aussi calme. longtemps que tu n'as pas été aussi posé durant plusieurs heures de temps. tu enfouis ton visage contre ton oreiller et tu soupires un peu. tu te contorsionnes pour attraper un plaid et tu t'enroules dedans à la manière d'un sushi, riant un peu en posant ton regard sur mav. fais comme chez toi. tu souffles simplement en observant le blond dans ton studio. c'est un peu bizarre, mais tu apprécies plutôt bien de le voir ici. puis fais pas gaffe aux trucs qui traînent genre ... toiles, pinceaux tout ça. tu ajoutes en te redressant, toujours enroulé dans ton plaid. tu retiens un petit soupir et tu penches un peu la tête sur le côté en l'observant, un sourire tendre sur les lèvres. ouais, tu pourrais définitivement t'habituer à le voir dans le coin. tu peux ouvrir une fenêtre si t'as trop chaud. moi j'suis bien dans mon plaid. tu te contentes de murmurer, conscient qu'il est plutôt à ton opposé, style radiateur humain, comme il l'a déjà dit.
« Quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
« Ou alors au soleil en plein été. », ce qui sous-entendait qu’ils allaient faire la même chose, sur la plage, tous les deux, quand la chaleur serait présente pour les laisser s’amuser tous les deux ensembles. C’était une vision bien plaisante pour le jeune homme, d’un sens il ne pouvait pas se cacher le fait qu’il allait amener Nicky avec lui sur la plage assez souvent, il avait bien vu son regard et la manière dont il était bien, il partageait ça avec lui. En attendant, il se contenta de faire oui de la tête à ce qu’il venait de lui dire et puis, ils ne seraient pas en boxer à ce moment-là, parce que ce n’était pas pratique d’être dans la mer dans cette tenue, il commençait un peu à regretter le fait de ne pas avoir pensé à prendre un maillot de bain, une connerie du genre. Enfin, c’était comme ça et puis c’était fait, ça lui avait fait un bien de fou de plonger la tête la première et il finirait certainement par faire du surf une prochaine fois. « Content de savoir que tu me trouves intéressant même si j’ai l’impression d’avoir perdu mes couilles dans l’eau. », il ne pouvait pas cacher le fou rire qui lui venait en entendant les paroles du blond, bien qu’il pût comprendre cette fameuse sensation. « Tu veux que je te dise si elles sont encore là pour que tu sois sûr ? », il se mit encore à rire à sa connerie avant de le laisser tranquille pour qu’ils puissent aller chez lui et qu’il ne se transforme pas en glace humaine par sa faute. Il se sentait plutôt bien dans son appartement, à Nicky. Bien que celui de Mav pouvait laisser l’odeur du sport ou même de son chat, là il y avait une signification à l’odeur de la peinture qu’il avait eu dès son entrée dans la demeure. « Ouais… je déborde même un peu partout. », et il trouvait ça adorable sur le coup. Au moins, il y avait quelque chose qui ressortait d’ici. Lui, il n’était même pas sûr de ce que son appartement pouvait faire ressentir à part la grandeur et la solitude qu’il vivait assez souvent. Il était souvent seul même s’il avait son meilleur ami qui venait de temps en temps. Mais ce n’était pas la question ni même le moment de penser à ça. « Je trouve ça plutôt mignon. », il se mit doucement à sourire en regardant Nicky s’échapper vers sa salle de bain, et bien sûr qu’il n’allait pas le laisser y aller seul, trop facile.
Il l’avait vu légèrement et brièvement, cette petite teinte sur ses joues quand une parole en coréen venait de passer le bout de ses lèvres. Ce surnom allait rester si c’était pour avoir une réaction de la sorte, et il ne disait rien pour ne pas rater d’autres miettes de ses nombreuses réactions à ce qu’il pouvait lui dire et pouvait lui faire. Il était bien là, contre son dos, les mains sur un corps qu’il commençait clairement à connaître du bout de ses doigts à faire de le toucher. « Tu fais comme tu veux. », il releva la tête pendant un instant du cou du jeune homme en l’entendant parler. « Tu ne veux pas au moins un boxer ? Ça va être dur de résister sinon. », il haussa un sourcil en entendant les paroles de celui-ci, qui serait celui qui aurait du mal à résister à l’autre, dans cette situation. Un petit rire passa la barrière de ses lèvres alors qu’il continuait son aventure dans son cou. « Résister ? À quoi ? Je suis bien curieux d’un coup… Mais va pour le boxer, afin de lutter contre cette fameuse attraction dont quelqu’un doit résister. », il fit claquer sa langue contre son palais après ses quelques paroles. Et le voilà en train d’observer le blond faire ce qu’il voulait faire, c’est-à-dire attraper le shampooing, et bien sûr que le plus âgé comprit rapidement ce que le plus jeune allait lui demander. Tout cela devenait une petite habitude visiblement, bien qu’il ne pouvait cacher le fait qu’il aimait toucher aux cheveux de Nicky.« Tu me laves les cheveux ? », il se mit doucement à rire en l’entendant lui demander. « S’il te plaîîîît. », il attrapa alors la bouteille entre ses mains. « J’en étais sûr… Allez, faisons ce que baby boy demande. », un clin d’œil, et voilà que Mav se mettait à laver les cheveux de l’australien comme il l’avait déjà fait auparavant. Une bonne habitude qui n’allait pas en rester là, certainement. Fin de cette douche, il le suivit en dehors et attrapa la serviette qu’il lui tendait pour pouvoir s’essuyer. Ses cheveux blonds, il ne faisait pas trop attention, mais il les sécha un minimum, laissant le reste se boucler naturellement. Il attrapa aussi le boxer en se disant que ça n’allait certainement pas passer, mais il testa, au moins s’il n’était pas à l’aise il trouverait une excuse pour l’enlever à un moment. « Je peux faire chauffer des nouilles si t’as faim. Mais j’suis pas très doué pour la cuisine. », Mav passa une main dans ses cheveux décolorés, il n’avait pas trop faim alors il ne pensait pas que c’était nécessaire pour le plus jeune de faire l’effort de faire à manger pour lui. « Nan, j’ai pas faim, t’inquiètes. ». Il le regarda faire son contorsionniste pour avoir son plaid, puis il regardait un peu tout ce qu’il pouvait avoir sous les yeux. Pinceaux, toiles, on voyait que Nicky avait une certaine passion pour l’art, un moyen de se calmer pour son TDAH comme lui l’avait avec la boxe pour son TEI ? Certainement, et il était bien curieux de ce qu’il pouvait faire avec tout ce matériel. « Fais comme chez toi. », il regardait alors encore un peu sans trop fouiller non plus, certains artistes n’aimaient pas montrer leurs œuvres. Compréhensible d’un sens. « Puis fais pas gaffe aux trucs qui traînent genre… toiles, pinceaux tout ça. », il se mit à rire, il l’avait bien remarqué avant qu’il ne lui dise sur le coup, alors il ne faisait pas trop attention à tout ça. Il posa son regard sur le jeune homme et ce fameux plaid dont il faisait l’éloge depuis plusieurs minutes. « Tu peux ouvrir une fenêtre si t’as trop chaud. Moi j’suis bien dans mon plaid. », il le regarda pendant un instant, il pouvait peut-être avoir chaud, oui, mais il n’était pas trop d’accord de le laisser sous ce plaid, seul. Il en profita alors pour sortir Nicky de ce plaid et pour s’y glisser avec lui sur son lit. « Partage un peu non ? Peut-être que j’ai froid, moi aussi ? », un sourire en coin qui se transforma en un joli petit sourire pendant un instant, alors qu’il en avait profité pour poser une main à nouveau sur la hanche du jeune homme, la caressant avec son pouce. Il le regarda pendant un instant, mais il regarda surtout ses lèvres. « Tout à l’heure, c’était toi qui avais une envie irrésistible de m’embrasser. J’crois que maintenant, c'est moi. », il passa une main dans la nuque de Nicky afin de glisser ensuite dans ses cheveux, mais surtout pour le rapprocher et ainsi déposer ses lèvres contre les siennes. Son autre main était toujours sur la hanche du jeune homme, il ne voulait pas le lâcher, assez pour qu’il le rapproche vers lui. Le radiateur humain pouvait aussi faire son taf, en plus des plaids non ? Peut-être qu’il pouvait être un peu plus efficace ? Il éloigna légèrement ses lèvres, mais pas trop non plus, il n’avait pas envie de les quitter de toute façon à présent. « Jagiya... », un simple mot coréen, murmuré du bout des lèvres, presque à bout de souffle.
« quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
tu veux que je te dise si elles sont encore là pour que tu sois sûr ? tu ne peux tempêcher de rire aux mots du blond, et tu secoues la tête de gauche à droite. ça devrait aller, mais ta dévotion me touche. tu souffles simplement avec une petite moue sur les lèvres en terminant d'enfiler tes vêtements. tu as hâte de retrouver la chaleur de ton appartement. il ne faut quelques minutes pour rejoindre ce dernier, et tu es plus qu'heureux de retrouver ton cocon. ça sent la peinture et cette bougie que tu as allumé il y a quelques jours. des odeurs qui t'apaisent et t'aident à te sentir un peu mieux dans ta peau. même si ce soir, aux côtés de maverick, tu te sens étrangement bien et calme. tu as l'impression que tout va bien, que tu n'as pas besoin de t'engouffrer dans l'alcool ou les combats pour te sentir bien. je trouve ça plutôt mignon. tu penches un peu la tête vers mav, ne sachant pas totalement quoi penser de ce qu'il vient de te souffler. mignon ? le bordel dans ton appartement ? n'importe lequel de tes proches te crierais d'essayer de ranger ou de changer d'appartement ... un maigre soupir passe la barrière de tes lèvres et tu abandonnes la discussion pour pouvoir rejoindre la salle de bain. l'eau brûlante qui glisse sur ta peau te fait beaucoup de bien et te réchauffe enfin. tu as proposé un peu plus tôt d'essayer de trouver des vêtements pour mav, mais ça n'a pas l'air d'être son truc d'être à moitié nu. alors bon ... résister ? à quoi ? je suis bien curieux d'un coup... mais va pour le boxer, afin de lutter contre cette fameuse attraction dont quelqu'un doit résister. tu lèves les yeux au ciel, amusé face au discours du blond. arrête, après j'vais devoir dire premier degrés à quel point t'es bandant et tes chevilles vont tripler de volume. tu souffles avec un petit sourire en coin, avant de lui coller une bouteille de shampoing entre les doigts pour qu'il puisse te laver les cheveux. j'en étais sûr... allez, faisons ce que baby boy demande. tu ris un peu et tu soupires d'aise sous ses attentions, accentuant peut-être un peu trop les bruits qui s'échappent de tes lippes. juste pour l'embêter un peu.
nan, j'ai pas faim, t'inquiètes. tu te laisses tomber dans ton lit avec un soupir d'aise aux mots du blond, bien content de pouvoir t'enrouler dans un de tes plaids, bien au chaud. tu fermes les yeux quelques secondes, esquissant un petit sourire d'aise. tu poses finalement ton regard sur le blond qui pose son regard tout autour de lui. et tu ne rates pas son regard qui se pose sur tout ton matériel de peinture. tu peux regarder si tu veux. tu souffles en désignant quelques toiles et dessins affichés un peu partout. mais n'ouvre pas le carnet noir sur mon bureau. c'est tout. celui confié par ta psychologue il y a quelques mois déjà. tu peins aussi à l'intérieur, pour lui montrer. en plus du chaos qui règne dans ton esprit sans cesse. toujours enroulé dans la couverture, tu ne comptes pas bouger de ton lit. tu te redresses néanmoins en t'étirant un peu, ton regard ne lâchant pas la silhouette du blond. tu souris quand il s'approche de toi et tu geins un peu quand il récupère le plaid sous lequel tu étais si confortablement installé. partage un peu non ? peut-être que j'ai froid, moi aussi ? tu arques un sourcil à ses mots. tu passes ton temps à dire que t'as chaud et que j'suis frileux. permet moi de douter de cette information. tu souffles avec un petit rire amusé sur les lèvres. tu le laisses pourtant te rejoindre et vous recouvrir du plaid. tu t'approches de lui pour glisser une jambe entre les siennes et profiter de la chaleur de sa peau. tout à l'heure, c'était toi qui avais une envie irrésistible de m'embrasser. j'crois que maintenant, c'est moi. tu esquisses un petit sourire. j'aurais pas utilisé le mot irrésistible mais bon ... tu soufflles pour le taquiner, répondant lentement à son baiser en fermant les yeux. tu remontes tes mains le long de son torse et tu soupires un peu d'aise. tu te sens bien, là. tu te colles contre lui, tes mains passant dans son dos. ta peau est si chaude. tu souffles simplement, sans arrière pensée. une constatation que tu apprécies. tu soupires un peu d'aise. jagiya... tu fermes les yeux en rougissant un peu, enfouissant ton visage contre son torse. tu glisses tes mains dans son dos et un soupir d'aise s'échappe de tes lèvres. mmh. tu souffles en glissant tes lèvres dans son cou. arrête de dire ça. tu murmures simplement en remontant tes phalanges jusqu'à sa nuque, jouant avec les petits cheveux que tu y trouves. et ne le dit pas en coréen non plus. tu ajoutes avec un tout petit rire. parce que tu ne mérites pas tout ça, n'est-ce pas ? jamais personne ne t'as appelé de cette manière ... c'est un peu étrange pour toi, et tu ne sais pas encore si ça te plaît ou si c'est définitivement trop étrange. j'ai pas l'habitude ... tu avoues simplement en haussant les épaules. tu profites de la chaleur douce qui t'entoures, alors que tu es enfoncé sous les plaids et contre son torse. tu secoues un peu la tête de gauche à droite. les gens ne veulent pas m'appeler comme ça, d'habitude. tu soupires avec une petite moue. le coréen te vient naturellement avec mav, et tu le laisses simplement franchir la barrière de tes lèvres sans te limiter. tu ne pensais pas que ça pouvait te faire tant de bien, de le parler. c'est étrange aussi parce qu'habituellement, ce n'est qu'avec tes parents et ta famille, que tu échanges dans cette langue.
« Quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
« Ça devrait aller, mais ta dévotion me touche. », un rire passa la barrière de ses lèvres, ce n’était pas tellement pour une raison pareille qu’il le ferait, mais ça, c'était une tout autre histoire. En attendant, il était très observateur de l’appartement du jeune homme, parce qu’il se disait qu’il pourrait en apprendre plus sur lui s’il savait où regarder. Pourquoi était-il autant obsédé avec le fait qu’il voulait en connaître plus sur le blond qui était présent avec lui ? Certainement parce qu’il avait fini par trouver quelqu’un qui pouvait le comprendre sur plusieurs points et qu’il pouvait à présent se retrouver dans quelqu’un, s’attacher à quelqu’un sans qu’on lui répète sans cesse, tous les jours, à quel point il pouvait devenir dangereux pour cette personne. Enfin, il était persuadé qu’on allait lui dire, encore et encore, sans jamais s’arrêter, mais il ne pourrait jamais lâcher le plus jeune, c’était une idée qui ne voulait pas rentrer dans son crane, ce n’était pas pour rien qu’il l’avait emporté avec lui après ses combats alors qu’il aurait très bien pu continuer sa route, non ? Nicky commençait à avoir un certain impact sur le jeune homme visiblement, encore plus quand il était contre lui et qu’il avait l’occasion de pouvoir le toucher, pouvoir l’embrasser, pouvoir faire ce qu’il voulait si c’était pour entendre les quelques bruits que le jeune homme pouvait faire à son contact. « Arrête, après j’vais devoir dire premier degrés à quel point t’es bandant et tes chevilles vont tripler de volume. », il laissa échapper un rire de ses lèvres en entendant les paroles de Nicky sur le fait qu’il pourrait être nu dans son appartement. Ses mains étaient encore sur le corps du plus jeune en entendant tout cela. « T’es d’humeur taquin après avoir passé la tête sous l’eau froide visiblement. », nouveau rire passa la barrière de ses lèvres avant qu’il ne s’occupe de ses cheveux, et qu’il finisse par se retenir de faire quelque chose en entendant les bruits qui pouvaient s’échapper de sa bouche, tout ça pour le rendre dingue.
Il n’allait jamais y toucher sans son autorisation, il n’était pas du genre à se mettre à fouiller dans la vie des gens sur le coup, alors il ne faisait que de poser un regard furtif et rapide sur tout ce qui pouvait l’entourer et tout ce qui pouvait être Nicky. « Tu peux regarder si tu veux. », il les regarda, rapidement, il le ferait quand il n’aurait pas l’envie de prendre Nicky dans ses bras en ce moment même. « Mais n’ouvre pas le carnet noir sur mon bureau. C’est tout. », à ses paroles, son regard trop curieux se posa sur ce fameux carnet, et il n’irait jamais s’y aventurer, surtout à la demande de Nicky. C’était compris, il n’allait pas fouiller dans quelque chose qui pourrait toucher le plus jeune. Même s’il était beaucoup trop curieux de savoir ce qu’il pouvait cacher dans ce carnet. « Je regarderai plus tard, pour tes toiles, je suis curieux de voir ce que tu peux faire, monsieur l’artiste. ». À présent, il s’était glissé sous le plaid avec Nicky, bien sûr qu’il avait chaud sans même avoir besoin de cette protection de tissus, mais c’était surtout pour avoir Nicky contre lui sur le coup qu’il venait de s’y glisser. « Tu passes ton temps à dire que t’as chaud et que j’suis frileux. Permet moi de douter de cette information. », un rire passa la barrière de ses lèvres, parce qu’il n’avait pas tort et que Mav n’avait pas tellement cherché à rendre son mensonge très crédible sur le coup. Une main dans le bas du dos de Nicky pour le garder contre lui, il se mettait à l’admirer tranquillement alors qu’il était là. C’était peut-être ça qui lui avait donné envie de l’embrasser. « J’aurais pas utilisé le mot irrésistible mais bon… », un soupir passa la barrière des lèvres du jeune homme en entendant les paroles du blond, tandis qu’il était plus tentant de s’occuper de ses lèvres que des taquineries qu’il était en train de lui faire. Les choses étaient tendres, simples, sans trop d’artifice, assez pour que son cœur s’accélère inconsciemment. « Ta peau est si chaude. », comme s’il ne l’avait pas déjà dit, à force. C’était un radiateur, il avait même chaud là, enfin, est-ce que c’était à cause des plaids ou du blond en lui-même ? En prononçant un simple mot en coréen, voilà qu’il avait un blond qui se collait contre lui comme s’il cherchait à se cacher de la réaction qu’il pourrait avoir face à ce que le jeune homme venait clairement de lui dire. « Mmh. », il se mit à caresser le bas du dos du blond pendant un instant, doucement, assez pour continuer dans cette atmosphère qui était en train de se mettre en place entre eux. Ce n’était pas souvent qu’il avait envie d’être aussi doux envers quelqu’un. « Arrête de dire ça. », il baissait son regard sur Nicky qui s’était mis à jouer avec ses cheveux au niveau de sa nuque, alors qu’il lui disait de ne plus l’appeler ainsi. Pourquoi donc ? Était-il trop embarrassé qu’une personne l’appelle de cette manière, surtout dans une langue natale qu’ils pouvaient partager tous les deux ? « Pourquoi donc ? J’adore t’appeler ainsi. », un sourire sincère sur les lèvres prit place. « Et ne le dit pas en coréen non plus. », son attention était plus présente quand cette langue prit place dans une conversation entre eux, c’était en coréen que la suite de la soirée allait certainement se dérouler, c’était même sûr et certain. « J’ai pas l’habitude… », il posa son regard sur le plus jeune alors qu’il continuait son speech sur le fait qu’il ne devait pas l’appeler ainsi. « Les gens ne veulent pas m’appeler comme ça, d’habitude. », à ses dernières paroles, Mav attrapa doucement le menton de Nicky pour mettre son visage au moment niveau du sien, alors qu’il lui souriait doucement, pas en coin, normalement. Son front vient se coller au sien pendant un instant avant qu’il laisse échapper un soupir. « Je suis pas ses gens, Nicky. Je veux pas que tu me mettes dans la même catégorie de ses gens. Je t’appellerai comme ça autant que je le souhaite, parce qu’il te va merveilleusement bien ce surnom, et que j’adore tes réactions quand je te le dis. », il se mit à frôler ses lèvres contre celle du blond, pendant un court instant. Sa main faisait son chemin dans son dos, du bout des doigts, de simples caresses pour détendre encore plus l’atmosphère. Un nouveau baiser contre ses lèvres, doux, lent, alors que Mav appuyait contre le bas du dos de Nicky pour le rapprocher à nouveau de lui, contre lui. Il lâcha ses lèvres pour venir les déposer contre son cou, alors qu’il entoura sa taille de ses bras pour le câliner calmement. Des baisers rapides, contre son épiderme, mais doux. « Jagiya… jagiya… jagiya… », lentement, avec des temps d’espacement entre chaque mot, il n’allait plus se gêner de lui dire, tout le temps, dès qu’il pouvait lui dire. Il se retenait d’avoir les mains baladeuses sur un corps qu’il avait entre ses bras, mais il ne pouvait pas non plus s’empêcher de descendre ses baisers un instant contre les clavicules de Nicky. Ses clavicules, ses épaules, son cou, sa joue et puis encore une fois ses lèvres, celles qui l’appelaient à chaque fois. Un sourire sincère avant qu’il ne vienne l’embrasser à nouveau dans cette douceur du moment.
« quelqu'un qui accepte la folie de quelqu'un, est nécessairement fou, c'est étrange dans cette société hein ? »
tu profites de cet instant. de l'eau chaude qui coule sur ta peau. enfin de quoi te réchauffer réellement. tu es peu habitué à prendre ta douche avec quelqu'un d'autre, mais ... ça ne te dérange pas forcément. simplement parce que tu peux envisager que mav te laves les cheveux. et ça, c'est parfait. t'es d'humeur taquin après avoir passé la tête sous l'eau froide visiblement. tu ris tout bas, tu hausses les épaules. mh. c'est pas une raison pour me remettre dans de l'eau froide. tu te contentes de souffler avec un petit sourire en coin. tu profites de ses doigts dans tes cheveux et tu le taquines en laissant quelques bruits appuyés sortir de tes lèvres. bien rapidement, vous vous retrouvez enroulés dans un plaid, sur ton lit. enfin, avant ça, tu ne rates pas le regard de mav qui se pose sur tes toiles, sans oser aller réellement les voir. tu lui donnes simplement l'autorisation, s'il a envie de regarder, de le faire. tu te pinces les lèvres en lui parlant brièvement du carnet. ton carnet. celui que personne ne doit jamais lire. et tu sais qu'il a compris que c'était important pour toi, même si son regard s'est posé sur l'objet en question. je regarderai plus tard, pour les toiles. je suis curieuse de voir ce que tu peux faire, monsieur l'artiste. tu esquisses un petit sourire amusé et, enfin, tu te retrouves blottis dans ses bras.
et puis, il y a ce surnom qui s'échappe des lèvres de mav. bébé. tu enfouis ton visage contre ton torse, pas forcément très à l'aise avec cette idée. tu n'as pas l'habitude que l'ont veuille t'appeler de cette manière. tu n'as pas l'habitude qu'on soit si doux avec toi. tu te pinces les lèvres de longues secondes, tu restes contre lui et tu lui murmures simplement d'arrêter ça. tu n'es pas totalement à l'aise, personne n'a jamais voulu prendre soin de toi comme ça. pourquoi donc ? j'adore t'appeler ainsi. tu hausses les épaules, ton visage toujours enfouit dans son cou. et c'est le coréen qui prend place sur tes lèvres, parce que c'est facile pour parler de choses qui te tiennent réellement à cœur, ou qui sont importantes. tu soupires un peu, tu joues avec les cheveux de mav dans sa nuque pour penser à autre chose et pour occuper tes doigts. cet incessant besoin de bouger et de faire quelque chose des membres de ton corps. tu soupires un peu. je suis pas ces gens, nicky. je veux pas que tu me mettes dans la même catégories que ces gens. je t'appellerai comme ça autant que je le souhaite, parce qu'il te va merveilleusement bien ce surnom, et que j'adore tes réactions quand je te le dis. tu gesticules un peu contre lui, soupirant tout bas d'aise à ses doigts dans le bas de ton dos. pression légère contre ce dernier alors que ton bassin se retrouve coller au sien. tu te cambres lentement, ta tête en arrière alors que les lèvres de mav sont partout sur ta peau. jagiya… jagiya… jagiya… tu gémis tout doucement à chaque baiser, à chaque mot qui s'échappe de ses lèvres. tes mains serrent lentement ses cheveux entre tes doigts, tu gémis lentement, glissant tes jambes autour de son bassin. vos deux corps un peu plus proches encore l'un de l'autre, chassant chaque molécule d'oxygène pouvant se glisser entre vous. tu soupires lourdement d'aise, frissonnes à ses lèvres contre ton cou et jusqu'à tes clavicules. ta peau sensible. bien trop sensible. ne le dis pas. tu ris un peu, tout doucement, fermant les yeux un instant, le serrant contre toi de longues secondes. tu baisses la tête pour venir l'embrasser lentement, soupirant d'aise. pas comme ça. tu ajoutes simplement contre ses lèvres. et tu profites simplement, de la chaleur de son corps, de ses baisers et de ses mains sur ton corps. tu profites de cet instant entre vous, de ton corps qui se dénude de nouveau pour profiter de tout ce qu'il a à t'offrir cette nuit.
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