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 estula (alma)

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Message(#)estula (alma) EmptyJeu 25 Nov 2021 - 17:42

Petit à petit, les décorations d’Halloween disparaissent au profit de cadeaux et de père Noël suspendus. La fête préférée de Jake s’installe en ville, comme tous les ans à la même période, et ça ne peut que lui forcer un grand sourire sur les lèvres. Il sait que les fêtes de fin d'année australienne n’ont rien à voir avec celles décrites dans les films. Il n’y a pas de neige, il n’y a pas de grands manteaux et les chocolats chauds ne sont pas vraiment la boisson idéale au vu des températures. Mais ça ne l’empêche pas d’avoir un amour profond pour ces festivités et de célébrer comme le font les américains dans ces films qui se ressemblent tous. En plein cœur de la ville, dans une rue passante, les yeux de l’infirmier se posent sur tout ce qu’il n’y avait pas il y a quelques jours encore. Les quelques stickers en forme de flocons qui décorent une vitrine, le sapin sur la place centrale qui donne le ton, les guirlandes suspendues qui seront illuminées lorsque la nuit tombera… Tout ça est fait pour que les enfants s’en prennent plein les yeux, mais Jake est autant client qu’eux ; chaque année, il rêve de renaître uniquement pour redécouvrir toutes ces sensations. La magie de Noël, c’est bien ça dont tout le monde parlait, non ? Lui qui vient de rencontrer son fils s’extasie déjà à l’idée de lui offrir un cadeau et de passer le réveillon à ses côtés. Il ne sait absolument pas s’il a déjà prévu des plans ou s’il se réserve pour lui. Évidemment, Vaughan croise les doigts pour que ce soit la seconde option. Il a loupé plus d’une vingtaine de Noël, il refuse d’en laisser passer de nouveaux. Du moins, pas celui de cette année. Son fils est chez lui, en ce moment, trop bouleversé par son Halloween et par tout ce qu’il a vécu ces dernières semaines. Jake est partagé entre la compassion et la joie. Il déteste voir Melchior dans un tel état, mais il est heureux qu’il ait trouvé refuge chez lui, et il est heureux de le retrouver en rentrant chaque soir. Il se rend bien compte qu’en refusant de l’assumer et en donnant tous les droits à Adélaïde, c’est sur cette joie qu’il a tiré un trait. S’il n’en était pas conscient à l’époque, il l’est bien trop aujourd’hui. Et c’est pour ça que, aujourd’hui, il a décidé de visiter une maison. Du moins, il a accepté la visite pour laquelle le tannait un de ses amis. Monsieur est agent immobilier et, depuis qu’il a passé une soirée dans l’appartement de Jake, il cherche à lui trouver son petit nid douillet. Il lui a dit mot pour mot que l’endroit où vivait ne le représentait pas suffisamment et qu’il méritait mieux. En gros : une maison qui vaut beaucoup d’argent, des pièces à n’en savoir que faire et des chambres pour accueillir au moins le tiers de ses amis. Tout ce qui ne correspond pas à Jake, en somme. Car l’infirmier a beau avoir beaucoup de relations et aimer recevoir, il n’en reste pas moins empli de simplicité. Il n’est pas matérialiste pour un sou et n’aime pas posséder lorsqu’il ne pense pas en avoir la nécessité. Déjà à l’époque, quand il a visité son appartement actuel, il avait dit que ça le dérangeait d’avoir une chambre en trop. L’agent qu’il avait embauché lui avait assuré qu’il pouvait en faire un bureau et que si ça ne lui convenait toujours pas, il viendrait lui-même dormir chez lui pour ne pas avoir la sensation d’avoir des mètres carrés inutilisés. Heureusement pour Jake, l’homme n’a jamais tenu parole et ne s’est jamais pointé chez lui avec une valise. Trop gentil, il l’aurait malgré tout accepté chez lui sans rechigner. Il faut dire, quand même, que ce type-là avait finalement raison et que cette chambre a servi plus que Jake ne l’aurait imaginé. Ce qui a rassuré l’infirmier, au fil des mois, même si cet appartement n’était qu’une location et non un achat. Des années plus tard, il s’y trouve toujours et ne pense pas avoir réellement besoin d’en changer. C’est son ami qui lui a forcé la main en lui disant que maintenant qu’il a une famille – un fils majeur qui n’a pas besoin de vivre chez lui – il serait temps de voir plus grand. Alors oui, il a accepté. Et oui, il a visité cette maison. Et… « Qu’avez-vous pensé de cette maison, alors ? » La voix féminine à côté de Jake semble portée en sa direction. Il a passé la rue piétonne depuis un bon moment et se retrouve à attendre à un feu rouge pour piétons, qui a la triste réputation d’être très long. Il jette un regard à la jeune femme à ses côtés, incapable de vraiment se tourner pour la regarder ; il y a beaucoup de monde qui attend pour traverser. Mais il a vraiment l’impression qu’elle lui parlait à lui, et il sort à peine d’une visite, la coïncidence ne peut pas être si grande. « Elle est belle. Elle est grande. Elle est trop. Je ne suis pas capable d’en prendre soin ni de lui donner toute la vie qu’elle souhaite, alors ce sera sans moi. » Il répond, parle assez fort, s’oriente vers elle. Peut-être qu’elle l’a vu quitter la maison avec le panneau « en vente » dessus et qu’elle est également en pleine recherche, qui sait ? Jake n’est pas dérangé par le contact humain et accepte volontiers de parler aux inconnus, sans la moindre méfiance. Il aurait peut-être dû apprendre ça quand il était enfant, même s’il ne court aucun danger. Le ridicule ne tue pas, pas vrai ?

@Alma Gutiérrez :l:
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Mateo Alvarez
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le schtroumpf farceur
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ÂGE : vingt six ans (18/02/1998) et pas encore peur de vieillir.
SURNOM : certains de ses plus vieux amis l'appellent mat, comme quand ils étaient plus jeunes. "ce con d'alvarez" ça marche aussi.
STATUT : sa priorité n'est clairement pas de trouver l'amour mais s'il pouvait comprendre ce qui est en train de se passer avec diego, ça l'arrangerait pas mal.
MÉTIER : assistant conservateur à la qagoma (queensland art gallery and gallery of modern art) depuis la fin de ses études il y a presque deux ans, dans le bâtiment dédié à l'art moderne.
LOGEMENT : il vit depuis septembre 2022 dans un appartement au n°29 hardgrave road, west end, dans une colocation dont il est le seul représentant de la gent masculine.
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POSTS : 2882 POINTS : 670

TW IN RP : consommation d'alcool, mort d'un proche, deuil, état dépressif.
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : ne trouve aucun intérêt aux réseaux sociaux › joueur, il ne refuse jamais un défi surtout s'il croit pouvoir le gagner › n'a presque aucune nouvelle de sa mère depuis qu'il est parti pour faire ses études › son amie d'enfance, lucia, s'est suicidée suite à du harcèlement vécu après son coming-out.
CODE COULEUR : steelblue.
RPs EN COURS :
maego #11maego #12 &maritzaevemaisieizanlewis (ua)maego (zombie)cece (ua slasher)

ua jurassique : diego

(8/8)

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maego › to tell the truth, i'm the fraud in the room and i know that, but you never will. i will be your shoulder to cry on, i will make you laugh if you need, i will play the part if you say so, but you'll never know what's broken inside of me.


AVATAR : aron piper.
CRÉDITS : monoclegraphic (avatar) ellieluncgifs (gif) loonywaltz (ub)
DC : lena edwards & romeo stanford.
PSEUDO : symphonie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 16/09/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t52972-fire-keeps-me-alive-mateo#2774046
https://www.30yearsstillyoung.com/t53173-mateo-being-alive-without-knowing-why

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Message(#)estula (alma) EmptyMar 30 Nov 2021 - 22:26

estula
@Jake Vaughan & Alma Gutiérrez
Les jours passaient sans se ressembler et sans qu'Alma ne le remarque franchement. D'une serveuse dans un café elle était passée à agent immobilier, une carrière bien loin de ses aspirations initiales et des études qu'elle avait entreprises mais bien plus gratifiantes que les petits emplois qu'elle s'épuisait à cumuler pour joindre les deux bouts en fin de mois. Sa formation était belle et bien terminée et la brune avait clairement prit le pli, était devenue une agent digne de ce nom et pouvait être enfin fière d'elle côté professionnel. Si son cv était désormais intéressant, c'est du côté personnel qu'elle semblait avoir prit ses distances depuis son anniversaire et le calvaire que cet évènement était devenu. Elle s'était bien rendue compte qu'elle ne pouvait pas tout gérer : d'une sœur et fille prévenante elle était passée à une professionnelle engagée dans sa mission. Elles semblaient loin, les heures gardées dans son emploi du temps pour passer un moment avec Diego, Sara et Cesar. Plus loin encore celles qu'elle se serait prises pour rendre visite à leur aîné retourné derrière les barreaux. La seule Gutiérrez qui occupait ses pensées ces derniers mois était Maria : la plus fragile, la plus innocente. Celle qui n'avait rien demandé concernant sa maladie ou ses problèmes de famille et qui, même avec son jeune âge, supportait toutes les tensions de manière remarquable. Pour le reste, elle n'était pas très disponible. Ses journées à elle étaient rythmées de visites et de signatures de compromis, d'allers retours entre le bureau et les différents quartiers de Brisbane. Même Maxence était passé au second plan et ceux malgré leur promesse de se revoir. Il fallait dire que l'éviter lui permettait de ne pas se poser trop de questions et d'éviter un énième incident - baiser - inattendu et inopportun d'autant plus maintenant qu'elle avait revu Win. Oui, Alma avait mis longtemps sa carrière sous silence pour se sacrifier à son entourage, mettant tous ses rêves de grandeur de côté sans songer une seconde aux conséquences que ça pourrait avoir sur elle. Mais son séjour aux urgences lui avait clairement fait comprendre qu'elle n'avait plus le choix : c'était sur elle que toute son attention devait se concentrer. Plus de sacrifices, plus de remises en questions. C'est d'un pas décidé et avec une confiance en elle fraîchement retrouvée qu'elle se dirigeait vers son bureau après une visite de plus dans sa journée chargée. Le temps étant devenu précieux pour elle, elle ne perdait pas une minute et passait ses coups de fils au passage. C'est un feu rouge pour piétons qui vint l'arrêter dans son marathon du jour. Qu’avez-vous pensé de cette maison, alors ? Qu'elle demandait, en ligne avec son client du matin. Il recherchait une maison moderne de surface plutôt importante, avec un extérieur au minimum et dans des zones géographiques plutôt restreintes. Un réel défi pour Alma, qui n'avait pas peur d'y répondre et de se lancer dans la quête du bien parfait pour lui et sa famille. La maison qu'elle lui avait fait visiter le jour même, elle en aurait rêvé pour elle si seulement elle avait eu les moyens financiers. De grandes baies vitrées ornaient tous les murs de la pièce à vivre qui, immense, pouvait facilement accueillir une vingtaine de convives pour de grands repas de fête. Un objectif pour quelqu'un venant d'une famille nombreuse. La maison avait beau répondre à tous les critères, l'homme au téléphone lui répondait qu'il n'avait pas eu le coup de cœur et ne se sentait pas d'investir dans ce bien. Elle est belle. Elle est grande. Elle est trop. Je ne suis pas capable d’en prendre soin ni de lui donner toute la vie qu’elle souhaite, alors ce sera sans moi. Une déception pour la mexicaine, qui ne perdait pas espoir après cette première visite. Elle en avait d'autres en stock, elle saurait trouver la perle rare. Oh, c'est dommage mais je comprend tout à fait. J'ai d'autres biens à vous faire visiter si vous le souhaitez. Il semblait d'accord pour d'autres visites et c'était un bon point. Vous pouvez me préciser ce qui vous a fait changer d'avis sur cette maison ? Elle devrait bien réfléchir à ce qu'elle lui proposerait, mais elle n'avait pas peur du résultat, elle avait un certain talent pour toujours finir par déceler la bonne maison pour la bonne personne. Lui semblait avoir eu un problème avec les chambres trop petites à son goût et l'absence de véritable suite parentale. Deux erreurs qu'elle ne reproduirait plus, pour respecter ses critères. Je vois, je ferais en sorte de trouver quelque chose qui vous corresponde mieux. Qu'elle précisait pour que son client garde confiance en elle même après cet échec. Vous pouvez me donner vos disponibilités, qu'on puisse se donner un rendez vous ? Les siennes étaient plutôt très prises aussi, mais elle ferait en sorte de se libérer - elle le faisait toujours.



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Message(#)estula (alma) EmptyMer 1 Déc 2021 - 17:46

La situation est étrange. Jake ne pensait pas que son ami irait jusqu’à créer un dossier en son nom et le refourguer à l’une de ses agentes, mais il a bel et bien l’impression que c’est le cas. En discuter à un feu rouge, au milieu de tout le monde, est-ce réellement professionnel ? Si ça avait été celui qu’il connaît depuis des années, il lui aurait clairement dit que ça ne l’intéressait pas et qu’il ne voulait pas d’autres visites. Mais elle, il ne sait rien d’elle, il n’arrive même pas à distinguer où elle est pour poser ses yeux sur son visage. Jeune, âgée ? Blonde, brune ? Grande, petite ? Il ne sait pas. Il n’ose pas lui refuser quoi que ce soit tant qu’il n’a pas mis des traits sur cette voix, tant qu’il n’est pas sûr des idées derrière cette discussion lancée n’importe comment. « Oh, c’est dommage mais je comprends tout à fait. J’ai d’autres biens à vous faire visiter si vous le souhaitez. » Jake se pince les lèvres. Ses bonnes manières lui crient de ne pas refuser et d’accepter. Si quelqu’un se démène pour lui et lui tend une main, est-il en droit de la refuser, de passer devant ? Certainement pas. « Oui, oui, pourquoi pas. » « Vous pouvez me préciser ce qui vous a fait changer d’avis sur cette maison ? » Il pensait avoir été clair dans sa première réponse. Il regarde la nuque d’un homme en face de lui, en se demandant quand est-ce que ce feu va enfin passer au vert. Quand tout le monde aura commencé à bouger pour traverser, il saura enfin où elle est et pourra apprécier plus convenablement cette discussion. « Elle est trop grande pour un homme célibataire. » Une seule chambre d’amis lui suffit, il n’a pas l’intention d’inviter tout Brisbane dans son salon. « Si j’avais eu quelqu’un avec qui la partager, elle aurait été intéressante. La même chose en plus petit, à la limite, pourquoi pas… » Il ne peut retenir l’air blasé dans sa voix. Il aime son appartement et ne veut pas en changer, pourquoi insister autant ? Il devra avoir une sérieuse discussion avec lui. Ne pas respecter les volontés des uns et des autres, dans un sens, ça peut s’appeler du harcèlement. Certes, il ne fait rien qui le mette dans un piteux état que ce soit physiquement ou mentalement, mais il insiste sur un point où on lui a déjà dit non. En passant par quelqu’un d’autre, qui plus est. Où est passé son courage ? « Je vois, je ferais en sorte de trouver quelque chose qui vous corresponde mieux. » Elle a vraiment l’air sympathique, cela dit. Appliquée est un mot plus approprié, même. « Vous pouvez me donner vos disponibilités, qu’on puisse se donner un rendez-vous ? » Les horaires à l’hôpital sont compliqués, il n’est pas à l’abri de se faire appeler même lorsqu’il est de repos. Mais il peut lui donner une fourchette et ils aviseront, au pire. « Je suis libre vers les seize heures, en général. Enfin, cette semaine. Si ça doit être à un autre moment, je ne sais pas vraiment. Il faudra essayer de trouver un créneau où nous sommes tous les deux disponibles. » Il a eu envie de lui dire de l’appeler au moment où elle trouve ce qui pourrait être la perle rare, mais il ne sait même pas si elle a son numéro. Qu’est-ce que contient son dossier, au juste ? Il va vraiment devoir appeler son ami et s’expliquer avec lui. Le feu passe enfin au vert et les premiers passants commencent à avancer, dégager la vue, s’aventurer au loin en face des voitures qui se sont arrêtées. Jake reste droit comme un piquet, lui, les yeux qui tournent et retournent : il a bien l’intention de voir d’où venait cette voix et de finir cette discussion. Tout ce qu’il voit, autour de lui et qui n’est pas directement en mouvement, c’est une femme avec une poussette et une autre qui tient un téléphone. Il fronce les sourcils, est-ce qu’il est en train de devenir fou ou est-ce qu’elle a traversée sans chercher à finir cette discussion ? Il a du mal à faire le point, c’est pour ça qu’il reste toujours planté là, et que le feu – très rapide pour les piétons – repasse au rouge. Un homme derrière lui le bouscule d’une épaule et s’élance sur le passage en courant pour joindre l’autre bout avant que ça redevienne vert aux voitures. Jake, lui, est toujours bloqué. L’incompréhension est totale.

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Message(#)estula (alma) EmptyJeu 2 Déc 2021 - 18:40

estula
@Jake Vaughan & Alma Gutiérrez
Il y a des instants où, comme à ce moment précis, Alma était bien plus concentrée sur son téléphone que sur ce qu'elle était en train de faire autour. Ça avait déjà failli lui porter préjudice à plusieurs reprises, et elle avait évité quelques accidents en s'en rendant compte à la dernière seconde. Rien de bien grave et heureusement, elle avait simplement failli foncer dans une poubelle ou deux ou trébucher sur un chien, une fois. Il fallait croire qu'elle avait un ange gardien car elle ne s'était jamais blessée elle même et n'avait jamais blessé personne non plus, malgré tout. Passer ses appels au bord de la route de cette manière aurait pu être dangereux alors, mais elle se fiait aux passants autour d'elle. S'ils avançaient, elle avancerait aussi, se calant sur le rythme de leurs pas. Oui, oui, pourquoi pas. La mexicaine reprenait le court de sa conversation sans se fier aux bruits extérieurs des voitures ou aux voix des personnes qui l'entouraient. C'était déjà bien assez difficile pour elle d'entendre ce que son client lui disait, à l'autre bout du fil. A croire qu'il n'avait pas beaucoup de réseau de son côté - et qu'un accès à une meilleure connexion serait un avantage supplémentaire à ne pas négliger pour un nouvel achat. Elle est trop grande pour un homme célibataire. Elle pensait, l'espace d'un instant, qu'elle aurait mieux fait de faire ça assise à son bureau pour prendre des notes, mais elle se concentrait sur les paroles de son client au téléphone pour retenir les informations qu'il lui donnait. Elle n'aurait pas le droit à l'erreur, et proposer une maison qui comportait un des critères rédhibitoires aurait été un grand manque de professionnalisme qu'elle ne pouvait pas se permettre, surtout au début de sa carrière dans l'immobilier. Si j’avais eu quelqu’un avec qui la partager, elle aurait été intéressante. La même chose en plus petit, à la limite, pourquoi pas… Les demandes qu'il formulait lui faisaient immédiatement penser à une énorme maison qu'elle avait fait visiter la semaine passée. Un style plus rustique que moderne, mais elle savait qu'il n'avait pas peur des travaux et que la surface des pièces à vivre lui plairait sans aucun doute. Elle se mordait les doigts de n'y avoir pensé plutôt, quasiment persuadée qu'il craquerait pour ce bien et qu'elle pourrait réussir à conclure la vente sans trop de problèmes. Elle vérifierait cette hypothèse très bientôt, elle en était certaine, si elle réussissait à caser un rendez vous avec cet homme à l'agenda bien rempli - plus encore que le siens. Elle lui demandait donc quelles étaient ses disponibilités, essayant de les retenir au mieux pour pouvoir lui proposer un rendez vous qui l'arrangerait. Je suis libre vers les seize heures, en général. Enfin, cette semaine. Si ça doit être à un autre moment, je ne sais pas vraiment. Il faudra essayer de trouver un créneau où nous sommes tous les deux disponibles. Alors qu'il cherchait une date où il pourrait être disponible et qu'Alma piétinait presque sur place d'impatience, la foule se mit à avancer pour traverser la route au feu vert. Elle fit un pas ou deux en avant mais se retrouvait stoppée au moment où son interlocuteur lui disait être disponible demain matin et seulement à ce créneau là - ou sinon dans plusieurs semaines. Elle n'avait pas plusieurs semaines à attendre, mais n'était plus certaine d'être libre le lendemain. Tant pis, elle se débrouillerait pour l'être. Par contre, elle devrait attendre le prochain feu vert, car il était déjà repassé au rouge. Elle soufflait, énervée d'avoir perdu du temps inutilement, avant de clôturer la conversation téléphonique. Très bien, demain matin sur les coups de 10h. Je vous enverrai l'adresse par sms. Elle le ferait dès qu'ils auraient raccrochés pour être sûre de ne pas oublier. C'est ce qu'elle venait de se répéter plusieurs fois dans sa tête, car elle savait bien que sinon elle passerait à autre chose sans y penser. C'est moi qui vous remercie. A demain, bonne journée ! Le sourire qu'elle s'était forcée à arborer tout le long pour que sa voix paraisse plus sympathique au téléphone s'éteint au moment où son doigt touchait l'icone "raccrocher". En l'espace de quelques secondes elle avait déjà envoyé son message et rangé son portable dans son sac. En levant les yeux, elle se sentait soudain observée par un homme qui se trouvait à deux pas d'elle. Je peux vous aider ?



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Message(#)estula (alma) EmptyMar 14 Déc 2021 - 18:03

Il y a des moments, dans la vie, où on aimerait pouvoir se cacher dans une grotte et n’en ressortir que quelques années plus tard. Jake ne le sait pas encore mais, dans une poignée de secondes, il sera en train de vivre un de ceux-là. Mort de honte, incapable d’articuler deux mots, désorienté face à la nouvelle. Il continue de regarder autour de lui pour essayer de comprendre d’où la voix vient. Il n’y a aucune logique. Premièrement, si son ami voulait lui vendre à ce point une maison, il aurait mieux fait de le travailler au corps de lui-même. Deuxièmement, à quel moment doit-on se pencher vers la folie lorsqu’on entend une voix mais qu’on est incapable de mettre un visage dessus ? Il a beau chercher, il commence à croire qu’elle est dans sa tête. « Très bien, demain matin sur les coups de 10h. Je vous enverrai l’adresse par sms. » Ce n’est pas ce qu’il vient de dire. Il a accepté seize heures, ou de replanifier pour plus tard car il n’est pas encore certain de ses horaires à venir. Il n’essaie pas de la corriger en se rendant compte que ce n’était pas une question mais une affirmation. Elle répondait à quelqu’un. Pas à lui. « C’est moi qui vous remercie. A demain, bonne journée ! » Le silence semble pesant, subitement. Jake regarde à côté de lui et voit la même jeune femme sur laquelle il n’a pas pensé à s’arrêter, cinq secondes plus tôt, raccrocher son téléphone. Un homme derrière eux commence à pouffer. « C’était vraiment un beau spectacle, merci, mec ! » Il dit, en tapant sur l’épaule de Jake, avant de le contourner pour se mettre en face de lui et être dans les premiers à traverser quand le feu repassera au vert. « Je peux vous aider ? » L’infirmier la regarde sans rien dire. Il pince ses lèvres, passe une main dans ses cheveux, puis tire légèrement sur son col pour essayer de respirer un peu mieux. « Il fait chaud, non ? » C’est une question rhétorique, s’il se pose plus à lui-même qu’à quelqu’un d’autre : l’embarras fait rapidement monter la température d’un corps, il paraît. « Je viens d’avoir une conversation très intéressante avec vous, sans que vous ne le remarquiez. » Il le lui dit sans trop le croire lui-même. « J’ai un ami qui me tanne pour que j’achète une maison depuis un petit moment et j’ai cru que… j’ai cru qu’il vous envoyait me parler. Quand vous étiez au téléphone avec votre client, je répondais à vos questions sans réussir à voir d’où venait votre voix. » Plus il raconte, plus il se sent bête, plus il se rend compte que ça n’avait aucun sens, dès le départ. « Rassurez-moi au moins sur une chose. Vous travaillez pour Jacob Copeland ? » Parce que si en plus elle ne travaille pas pour son ami… Il n’arrêtera pas de se moquer de lui quand il lui racontera cette histoire, et il n’a pas envie d’en entendre parler durant des années et des années. L’agent immobilier a beau ne plus vivre à Brisbane depuis quelques mois, ça ne l’empêche pas de revenir par ici de temps en temps. Et Jake n’a pas envie d’être traité de traître lors de ses visites s’il avoue avoir discuté avec quelqu’un d’une autre entreprise. Un quiproquo pareil, ça ne devrait arriver à personne. « Du coup, j’étais presque content, au final, d’avoir une maison à visiter… Je ne vais pas dire que je suis déçu parce que je n’ai jamais voulu acheter en premier lieu, mais je commençais à me prêter au jeu. » Peut-être qu’elle a quand même un bien à lui présenter, s’ils se penchent sur son dossier ? Il n’est pas prêt à investir et risque de ne pas donner suite, mais Jake a du temps à perdre, peut-être qu’elle aussi.

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Message(#)estula (alma) EmptySam 26 Fév 2022 - 23:05

estula
@Jake Vaughan & Alma Gutiérrez
Alors qu'elle venait de raccrocher avec un client, Alma se sentit obligée d'interpeller un homme qui semblait l'observer d'un air plus que sérieux. Il fait chaud, non ? Est-ce qu'il cherchait de l'aide car il s'apprêtait à faire un malaise en pleine rue ? Si c'était le cas, elle ne serait probablement pas d'une grande aide et s'époumonerait à chercher quelqu'un de compétent plutôt que de prendre la responsabilité d'une vie. La question semblait plus rhétorique que résultant d'un réel ressenti physique, aussi, elle fronçait les sourcils, s'intéressant de plus près à l'inconnu. Je viens d’avoir une conversation très intéressante avec vous, sans que vous ne le remarquiez. La brune ne cachait pas sa mine surprise, elle avait bien du mal à imaginer comment ils auraient pu échanger une conversation sans qu'elle ne s'en rende compte. Ah bon? Peut-être aurait elle pu comprendre plus vite, mais il fallait bien admettre que sur ce coup ci, elle avait du mal à savoir ce qu'il était en train de se passer - et ce que cet homme voulait réellement d'elle. J’ai un ami qui me tanne pour que j’achète une maison depuis un petit moment et j’ai cru que… j’ai cru qu’il vous envoyait me parler. Quand vous étiez au téléphone avec votre client, je répondais à vos questions sans réussir à voir d’où venait votre voix. Un sourire se dessinait sur le doux visage de la brune. Oh je vois. Elle regrettait de ne pas avoir assisté à la scène d'un regard extérieur. Elle aurait probablement trouvé ça hilarant. A quel moment avait-il pu croire que quelqu'un l'aurait envoyée le retrouver au beau milieu d'une rue, au bord de la route, et de surcroit sans l'en informer ? Cet homme était visiblement un drôle de personnage et la mexicaine s'en amusait sans devenir moqueuse - ce n'était pas son genre après tout. Rassurez-moi au moins sur une chose. Vous travaillez pour Jacob Copeland ? Son air fut à nouveau surpris : comment l'aurait-il deviné ? Alma ne portait ni badge, ni signe distinctif, à vu d'œil. Les agences Copeland étaient certes les plus connues de Brisbane, mais elles n'étaient pas les seules non plus. Comment vous avez deviné ? Je travaille pour lui, c'est vrai. Elle pouvait en être fière, et ça lui faisait énormément de bien de parler de son emploi de cette façon. Durant des années, ça n'avait pas été le cas. Elle réfléchit un instant, réalisant que l'homme qu'il avait en face de lui était donc un ami de Jacob. Du coup, j’étais presque content, au final, d’avoir une maison à visiter… Je ne vais pas dire que je suis déçu parce que je n’ai jamais voulu acheter en premier lieu, mais je commençais à me prêter au jeu. Était-il en train de lui demander des visites ? Si tel était le cas, elle se ferait une joie de répondre à ses désirs. D'autant plus s'il était l'ami du patron : se faire voir d'un bon œil était toujours bon à prendre, non ? Vous savez, il n'est jamais trop tard, j'ai des maisons que je peux vous faire visiter si vous en avez envie. Si la vie lui avait appris une chose, c'était à ne surtout jamais manquer une occasion. Enfin, il faudrait que je connaisse vos critères, qu'on puisse en discuter. Mais peut-être qu'on ne s'est pas croisés pour rien, au final. Croire en un destin qui ferait se croiser la route de deux personnes dans un but précis n'était pas tout à fait son genre, mais elle voulait bien se laisser tenter si ça lui permettait de faire ses preuves. Vous avez un peu de temps devant vous ?



when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.
make me feel this way so i can breathe again

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Message(#)estula (alma) EmptyMar 22 Mar 2022 - 18:39

« Oh, je vois. » Le sourire qui se dessine sur les lèvres de la jeune femme est très parlant. Si on avouait une telle chose à Jake, lui-même aurait du mal à ne pas se moquer. Il se sent assez gêné mais se rend bien compte qu’il n’y a pas mort d’homme. C’est un moment auquel il repensera quand il aura du mal à s’endormir, comme toutes les autres fois où il a pu embarrasser quelqu’un par sa manière d’être ou de parler. Heureusement qu’on ne meurt pas d’humiliation ou de honte, parce que l’infirmier a de belles histoires à ce sujet. Celle-ci deviendra sans doute l’une de ses préférées, dans un petit moment, quand il l’aura parfaitement digérée. Il lui demande malgré tout si elle travaille bien pour Jacob. Parce que sinon, c’est le pompon. Déjà qu’il a cru qu’elle s’adressait à lui, si en plus de cela elle travaille pour un concurrent… ce ne serait pas très beau. « Comment vous l’avez deviné ? Je travaille pour lui, c’est vrai. » Un coup de chance, voilà tout. « Je ne l’ai pas deviné, je l’ai espéré. » Elle aurait pu être une agente de l’une de ces autres agences, nombreuses et réputées. Il sait que Jacob n’est pas en rivalité constante avec les unes et les autres. Chacune arrive à subsister sans écraser les autres, c’est ce qu’il y a d’agréable dans le marché immobilier de Brisbane – c’est du moins ce que lui a dit son ami. Lui, il n’en sait rien. Il vit dans le même appartement depuis des années et ne s’est jamais intéressé à ces choses-là. Jake lui avoue qu’il se prêtait au jeu et que visiter un bien l’aurait intéressé. Après tout, il n'était pas en train de faire quelque chose en particulier. Il a bien envie de la suivre, si jamais elle a quelque chose dans le secteur à lui présenter. « Vous savez, il n’est jamais trop tard, j’ai des maisons que je peux vous faire visiter si vous en avez envie. » Cette phrase le fait sourire. « Vous avez presque les mêmes mots que lui. » Que Jacob. « Enfin, il faudrait que je connaisse vos critères, qu’on puisse en discuter. Mais peut-être qu’on ne s’est pas croisés pour rien, au final. Vous avez un peu de temps devant vous ? » Il est prêt à dire oui quand il reçoit un message sur son téléphone. Il s’agit de sa supérieure, celle qui gère le service des urgences, qui lui dit qu’il y a eu un gros accident et qu’une paire de bras supplémentaire ne serait pas de refus. Il se pince les lèvres, lève les yeux vers la jeune femme et soupire doucement. « J’avais du temps, on vient de me le retirer à l’instant. Ce n’est que partie remise. Je vais sérieusement réfléchir à si j’ai envie de déménager ou non. Et si jamais je me penche vers le oui, je viendrai vers vous directement. » Et non pas vers Copeland, ça lui ferait trop plaisir – et puis il est encore à Sydney, pour l’instant, il ne peut pas venir que pour lui faire une visite guidée d’un appartement que, de toute façon, il ne finira pas par acheter. Il lui tend la main. « C’était un plaisir… Et une honte, aussi. Je suis Jake Vaughan. » Il se présente pour qu’elle en fasse de même. Comme ça, au guichet de l’agence Copeland, il saura qu’il faudra demander madame Gutiérrez.

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