| (jolie #2) you can't fight fire with fire |
| | (#)Mar 30 Nov 2021 - 22:47 | |
| Si elle était honnête, elle avouerait qu’elle ne s’attendait pas réellement à voir Jo le jour du mariage. Pour autant, sa peau brune a parfaitement contrasté celle du reste des invités, et c’est bel et bien en sa direction que la jeune mère a lancé quelques coups d’oeils curieux. Pour autant, faire l’animation au mariage de Damon est la dernière chose qu’elle aurait désiré, raison pour laquelle elle a toujours repoussé à plus tard sa discussion avec Jo. Elles n’ont sans aucun doute rien de bien intéressant à se dire, leurs mots se résumant à des reproches ou de la fausse drague, selon le moment où vous vous intéressez à la discussion. Pourtant, Charlie trouve toujours la jeune femme intrigante et amusante et puisqu’elle n’est pas du genre à reculer face à quoi que ce soit, surtout pas la curiosité, elle savait par avance qu’elle ne repartirait pas du vignoble sans lui avoir touché quelques mots. Il faut dire qu’elle l’avait finalement presque vexée, la jolie brune, à la fin de leur première discussion. Bien que Charlie n’attende pas la moindre excuse de sa part, elle se contente pourtant bien volontiers de se montrer curieuse face à ce qui pourrait être l’issue de leur discussion à venir.
Le mariage était beau, parfait. Charlie adore les mariages ; est ce qu’il y a réellement besoin de le préciser ? Siobhan a regardé Megan tout du long avec d’aussi grands yeux que peut en avoir un enfant. Aaron, lui, a préféré jouer avec toutes les cravates à portée de ses doigts potelés et Dieu sait qu’il y en a eu. Les deux enfants se sont montrés sages comme des images, chacun étant sans doute aujourd’hui habitué aux mariages malgré leur jeune âge. Ils rendent leur mère fière, à n’en pas douter, mais ce n’est pas pour autant qu’elle cherche à constamment garder un oeil sur eux. Assise à la table des proches des mariés, elle sait qu’elle peut faire confiance à ses membres et c’est bien la raison pour laquelle elle n’a pas de mal à laisser la prunelle de ses yeux sous la vigilance d’une parfaite inconnue devenue amie. Après tout, si elle n’a pas eu Léo à qui faire la discussion pendant la journée, ce n’est pas pour autant qu’elle s’est laissée se morfondre: elle a simplement étendu son cercle d’amis, voilà tout.
Pourtant, s’il y a justement une personne qui ne fait pas partie de son cercle d’amis en ces lieux, c’est bel et bien Jo. Elle est curieuse, intrigante, particulière, elle est l’actrice principale de son plan contre Léo, mais Charlie n’est pas naïve au point de voir en elle une amie. Ce sera le cas un jour, peut-être, qui sait, mais pour le moment encore ce n’est pas pour parler à son amie qu’elle fait quelques pas en sa direction, profitant de l’air frais de la nuit tombée. Damon l’a emmenée dehors pour discuter un peu avec elle, ce qui a permis à la blonde de le féliciter d’un baiser contre sa joue, entre deux étreintes. Maintenant qu’il est sûrement en train de retrouver sa femme, elle en profite pour fumer une cigarette supplémentaire, dodelinant joyeusement de la tête, comme si elle avait une idée derrière la tête. “Tu as détesté chaque seconde à quel point ?” déjà, elle se moque et s’amuse d’un rien, décidant de passer outre les formules de politesse puisqu’elles ne servent à rien et ne sont pas intéressantes. Jo n’a pas l’air d’être une romantique, raison pour laquelle Charlie ne croyait pas en sa venue aujourd’hui. Sa fidélité pour Megan l’emporte sans doute sur son dégoût pour ce genre de cérémonie ; elle n’en sait rien, elle ne les connaît pas réellement, l’une ou l’autre. “Pas de manigances ce soir, j’ai promis de pas t’embrasser. Promis.” Megan a de bien meilleures choses à faire que de rester à l'affût, voilà sans doute la seule raison à cela. Plutôt que de la préciser avec des mots, Charlie se contente d’un large sourire amusé.
@jo carter
Dernière édition par Charlie Ivywreath le Ven 31 Déc 2021 - 6:43, édité 1 fois |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 15 Déc 2021 - 20:51 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath Difficile de s’y retrouver dans ce joyeux bordel. Entre sa haine viscérale pour le plan foireux de Megan et de sa désormais clique, et l’impression d’avoir mis les pieds dans une commedia dell’arte de grande qualité, la Josephine avait tout de même réussi à faire bonne figure. Non sans se provoquer un ulcère au passage, ses yeux mi-clos se posant tour à tour sur les invités et sur les mariés. Connerie que ce mariage, qu’elle ne cessait de se dire au moins une fois par minute, un sourcil en accent circonflexe pour repousser quiconque serait assez sot pour venir l’accoster. Elle serait bien partie plus tôt à dire vrai, mais c’était comme avec les accidents de voiture sur la voie rapide : impossible de détourner le regard du massacre, elle espérait sans doute apercevoir un bout d’intestin pour se donner l’impression d’avoir fait partie d’un truc spécial. Elle n’avait observé que de la douceur, elle devait l’admettre, le tableau qu’offrait Ken et Barbie reflétant une perfection qui l’avait fait sourire sous cape et enfiler quelques verres, la tête en arrière. Elle ne connaissait pas grand-monde ici, elle n’était venue que pour Megan. Megan qu'elle avait encouragé a ne pas faire marche-arrière, putain. L’espace d’un instant, recluse dans un coin du vignoble, elle avait caressé l’idée d’aller chasser l’orchestre médiocre de scène pour offrir un spectacle digne de ce nom à la populace morne qui composait la liste des invités. Elle avait même une idée de chanson à interpréter, et le piano lui semblait bien accordé. Mais elle avait lâché l’affaire quand son regard avait croisé celui de Charlie. Elle avait fini par pêcher son téléphone portable dans les méandres de son décolleté pour presser Nicholas de venir la rejoindre à la fête, s’en foutant comme de sa première cuite qu’il ne soit pas compté parmi les convives et lui faisant miroiter son kiffe ultime ; un mariage comme il les aimait. Peut-être qu’à lui, elle lui raconterait ce qu’elle savait sur ce qui se tramait en vérité, mais elle n’en était pas tout à fait certaine. Elle voulait simplement se sentir un peu moins seule sur le coup et quand il arriva, elle l’accueillit avec un verre qu’elle lui conseilla de boire le plus rapidement possible s’il ne voulait pas qu’elle crache dedans. Il était de bonne compagnie, encore qu’elle aurait pu s’accompagner de quelqu’un de plus fun, mais son cercle était limité, et elle n’avait pas le luxe de faire la fine bouche ce soir. Au moins, il connaissait sa musique, et ça avait été une bonne surprise de l’entendre se montrer critique à propos de celle qui était jouée sur scène. Il faisait une bonne distraction, pas assez bonne cependant pour qu’une nouvelle fois au cours de la soirée, son regard ne tombe pas sur Charlie. Elle s’était attendue à la voir, elle avait jugé que ce n’était pas nécessaire de s’y préparer. Tout à l’heure, elle l’avait saluée d’un signe de tête, sans trop en faire, et puis s’était discrètement juchée sur la pointe de ses escarpins pour voir de qui elle était accompagnée. De personne. Si ce n’était de deux gamins baveux qu’elle couva d’un regard peu amène, le dégoût la faisant grimacer. Jo ne s’était pas posée plus de questions que ça, elle avait vaqué à son occupation principale qui consistait à se remplir le gosier au frais de McMafia Williams, mais elle avait laissé un sourire en biais remonter ses jolies pommettes quand elle avait fait le calcul toute seule et en comprenant que ce ne serait pas en cette occasion si particulière qu’elle ferait la connaissance du mec adultère de Morticia. Trop. Bête.
Elle laissa Nicholas décompter les fausses notes du pianiste le temps de s’échapper pour quelques secondes salutaires dehors, là où l’air était plus frais qu’au centre du ballet qui se jouerait encore quelques heures sous la houlette d’un plan bien établi par les magouilles d’un égomaniaque. Il fallait peut-être qu’elle félicite les principaux concernés. Elle y penserait, mais pas tout de suite ; tout de suite, elle accentua l’arc de son sourcil quand Charlie s’approcha d’elle. "J’adore les mariages." qu’elle lui répondit d’abord, pince-sans-rire "C’est juste celui-là qui me donne de l’urticaire." Le mot était faible "Et j’imagine que t’as pas envie de savoir à quel endroit." Battements de ses faux-cils accentués lui donnant des airs d’ingénue. Glamour, Josephine, toujours. Mais en même temps, elle ne transpirait pas la classe non plus, Charlie, à dévaler sa cigarette à grandes goulées. Il n’y avait que dans les films noirs que c’était sexy. Dans le monde réel, ça piquait les yeux et ça puait le cendrier "Ça ferait mauvais genre de voler la vedette aux vraies stars du jour, c’est important de bien se tenir." Elle était à deux doigts de lui dire de ne pas faire de promesse qu’elle n’était pas capable de tenir, surtout quand elle portait cette tenue-là. Seulement, elle se réserva pour lui dire à la place, les reins posés contre le bord d’une table ronde, bordée de cadavres de flûtes de champagne et les bras croisés sur sa poitrine, toute en décolleté fleuri "Tu fais du baby-sitting ?" Une façon de lui faire comprendre qu’elle avait remarqué son escorte, et que ça la faisait doucement rigoler de l’imaginer contrainte et forcée de s’occuper de ses petits-frères, qu’elle pensait, bien loin d’avoir la capacité de la fourrer dans la case maman de laquelle elle faisait pourtant partie. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Ven 31 Déc 2021 - 6:52 | |
| "J’adore les mariages." C’est faux, bien sûr, mais il n’en faut déjà pas plus à Charlie pour avoir oublié sa question et simplement se contenter de penser que ce qu’elle adore, elle, c’est Jo. Oh, elle le lui aurait sans aucun doute dit frontalement, si la jeune femme face à elle n’était pas aussi rapide dans son débit de paroles et aussi douée pour les mensonges. La vérité, c’est qu’elle a détesté chaque seconde de ce mariage à un niveau aussi élevé qu’il lui est impossible de lui donner un nom, ou même une description. "C’est juste celui-là qui me donne de l’urticaire." Parce que c’est vrai qu’ils sont sans doute un poil irritants, les mariés, à être aussi parfaits, beaux, amoureux, riches, et sûrement parents dans l’année à venir simplement parce que 2021 touche déjà trop vite à sa fin. lls vivent un conte de fée, tant dans les circonstances de leur rencontre que de leur couple et, aujourd’hui, de leur mariage. Charlie est incapable de voir la moindre ombre au tableau, elle trouve des circonstances atténuantes à toutes les poussières et des explications abracadabrantesques à tout ce qui ne fait pas de sens, justement, dans ce si joli et brillant tableau. Ils sont les assistants du magicien, occupés à détourner l’oeil du public pour qu’ils n’entrevoient pas les rouages du véritable tour de magie. Et ça fonctionne diablement bien avec la blonde, déjà occupée à boire le moindre mot de Jo simplement parce qu’elle est elle, justement. "Et j’imagine que t’as pas envie de savoir à quel endroit." - “La délicatesse, c’est le terme que je t’associe dès que je te vois.” Comme si elles se connaissaient vraiment, comme si elles s’étaient déjà vues à plusieurs reprises. C’est à peine si elle connaît la chanteuse, en réalité, mais elle a envie de croire le contraire, sachant pourtant très bien qu’après cette soirée il existe peu de chances pour que leurs chemins se croisent de nouveau.
La fumée s’échappe d’entre les lèvres souriantes de Charlie dont les yeux ne quittent déjà plus Jo. "Ça ferait mauvais genre de voler la vedette aux vraies stars du jour, c’est important de bien se tenir." Elles n’auraient qu’à se trouver un lieu un peu moins éclairé et elles diront qu’elles ont fait de leur mieux pour ne pas voler la vedette à qui que ce soit - comme si cela avait la moindre importance, surtout alors que la blonde vient de promettre qu’elle n’a aucune intention de l’embrasser. Dans le fond, c’est la vérité. Dans les faits, la jeune femme n’a plus rien à perdre et, surtout, n’en a plus rien à faire de rien. Ce n’est pas parce que personne ne les prendra en photo ce soir qu’elle ne peut pas profiter pleinement de sa soirée. “Je ne t’imaginais pas être une amie aussi prévenante.” Elle l’imaginait plutôt du genre à choisir la pire anecdote et voler le micro pour être certaine que toute la salle l’entendre. Mais soit. "Tu fais du baby-sitting ?" Le sourire de la jeune mère s’anime d’une façon bien différente, désormais. Nul besoin de lui demander de préciser ce dont elle parle tant les choses semblent évidentes, tant le quiproquo est devenu quotidien pour Charlie. Ses yeux quittent ceux de Jo sans le moindre mal, aussi envoûtants puissent-ils être, pour se reposer un temps en direction de sa table, près de laquelle elle a abandonné ses jumeaux à la garde d’autres femmes. Son sourire grandit encore un peu, fier d’un rien, comme n’importe quelle mère le serait à sa place. “J’aimerais être payée pour ça.” A raison de vingt-quatre heures par jour, la paie serait sûrement conséquente. Pourtant, il n’en est rien, et elle se retourne déjà en sa direction, curieuse de pouvoir observer sa réaction face à sa réponse. “Ce sont mes enfants.” Jo s’en fout de savoir l’âge qu’ils ont autant qu’elle s’en moque de connaître leurs prénoms, raison pour laquelle Charlie ne s’attarde pas sur le sujet. Elle est prête à s’amuser de bien des choses mais certainement pas de sa progéniture. “Tu m’espionnais ? On aurait pu manger ensemble, au moins, t’aurais pas été pire que les personnes à ma table.” Elle aurait détesté écouter les gazouillis des bambins, ce qui aurait bien sûr été une raison supplémentaire pour Charlie de s’imposer à ses côtés. “Je te demanderai pas si tu faisais du baby sitting, il semblait un peu trop vieux pour ça.” Pourtant, en retour, Charlie a bien vu qu’elle a passé la soirée avec un autre homme, ce qui la laisse désormais la questionner sans la moindre retenue, éternel sourire aux lèvres. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 12 Jan 2022 - 23:45 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath Et elle, quel terme associait-t-elle à Charlie quand elle la voyait ? Difficile à dire. Jo aurait aimé avoir un avis tranché à son sujet, c’était sa spécialité après tout. Elle en était plus que capable d’habitude, de se montrer incisive dans sa manière d’envisager la personnalité de ceux qu’elle avait en face d’elle, de les nicher dans les tréfonds les moins reluisants de la race humaine juste parce que ça l’arrangeait de ne pas être la seule à souffrir d’une réputation pourrie. Puis ça la faisait marrer aussi, de prendre tout le monde en porte-à-faux et de jouer avec leur tares comme un chat joue avec une souris par pure velléité de sortir de l’ennui. Ce serait facile, de l’associer au mauvais tant elle ne lui avait pas donné une image très reluisante de ses valeurs. Et pourtant, il y avait quelque chose chez la jeune femme qui la rendait presque pure à ses yeux. Son esprit refusait de la voir autrement qu’une princesse à qui sauver la mise, victime de la fureur d’une marâtre maléfique — ou d’un prince mal intentionné. Plus cliché tu meurs, mais elle faisait avec ce qu’on lui donnait aussi et il fallait la voir, la blonde, avec ses longs cheveux blonds et son nez aquilin. Megan avait vanté ses mérites, et l’idée qu’elle soit quelqu’un de bien, elle était tentée d’y croire, Jo. Le problème, c’était qu’elle était si férocement têtue qu’elle s’évertuerait sans cesse à lui trouver les pires défauts du monde seulement pour avoir la satisfaction d’avoir raison sur une chose au final : personne n’est parfait, tout le monde a ses petits secrets. Charlie ne dérogeait pas à la règle. Elle les lui avait dévoilé en partie, ou du moins elle avait consenti à partager avec elle les raisons du plan à la con qu’elles avaient eu avec Megan et ça, c’était l’une des causes de sa volonté à ne pas se laisser berner par son aura angélique. Ces tartes de blondasses, toutes à jouer les ingénues et à la faire tomber dans le panneau comme si elle ne s’était déjà pas fait carotter par l’innocence de traits parfaits, taillés dans la pierre.
Elle la regardait fumer sa cigarette avec l’indolence des grandes actrices, et elle ne pensait qu’à ça, à ses efforts de ne pas se laisser avoir par le ballet de ses gestes gracieux et par la perfection de la goguenardise qu’elle lisait sur son visage, baigné d’une lueur sommaire à cause de l’endroit où elles se trouvaient. Elle aurait pu détourner les yeux, mais elle ne le fit pas, haussant les épaules en se calant sur le rythme de la conversation que Charlie avait initié et qui lui plaisait assez pour qu’elle réussisse sans trop se forcer à s’imprégner de l’eurythmie du rapport qu’elles entretenaient depuis qu’elles s’étaient rencontrées. A croire que sa virtuosité pour la musique lui permettait ce genre de choses, de ne pas dénoter quand on lui imposait un tempo, encore qu’elle le ferait rapidement monter crescendo puisqu’elle n’appréciait pas qu’on la guide, qu’on la force. Charlie avait déjà eu l’occasion de s’en apercevoir et dans le fond, Jo était curieuse de savoir si elle tenterait de nouveau de la faire céder à sa vengeance. Elle en était où, d’ailleurs, avec tout ça ? La question lui traversa l’esprit, mais elle la repoussa tandis qu’elle laissait un sourire fendre son visage quand Charlie reprit la parole "J’en suis pas une. Mais je tiens mes promesses, ça me perdra." qu’elle lui avoua en songeant à celle qu’elle avait faite à Megan de bien se tenir, de ne pas faire de vague et de se mordre assez longtemps la langue pour ne pas faire de bourde. Là encore, une question lui traversa l’esprit quand elle se demanda si Charlie était elle aussi au courant de ce qui se jouait vraiment ici. Mais elle décida en dernier recours qu’elle ne prendrait pas le risque de ruiner les efforts de Megan d’alimenter le conte de fées qu’elle écrivait à quatre mains avec Damon, quand bien même il était mauvais et pompé sur tous les grands classiques du genre. Elle arqua un sourcil lorsqu’elle crut l’entendre répondre à sa question à propos du baby-sitting, un mouvement qui s’accentua quand elle eut enfin la vraie réponse et qu’interdite, Jo rentra le menton avec une grimace qui ne laissait aucun doute sur l’effet qu’avait sur elle cette révélation en particulier "Tu te fous de ma gueule ? Deux en plus ?" Vu la fierté qu’elle voyait onduler dans ses yeux bleus, même à cette distance, elle n’avait pas besoin de lui répondre. Elle balaya ça d’une main leste, laissant un soupir digne d’un ébrouement lui échappant en même temps "Putain, mariée et maman, t’es le cliché parfait de la nana qui enchaîne les mauvais choix à un trop jeune âge. Pas étonnant que tu t’entendes si bien avec Meg, vous faites la paire." Elle aurait pu en sourire, elle n’en fit rien. Elle se contenta juste de chasser l’expression renfrognée de son visage et d’expliciter le tout en se décollant de la table ronde à laquelle elle s’était appuyée pour replacer, du bout de ses doigts, la courbe d’une mèche qui encadrait son visage "Megan m’a dit que t’étais mariée." Elle n’en dit pas plus, ne montrant même aucune espèce d’émotion à ce propos en comparaison à ce qu’elle venait d’apprendre sur la maternité de la jeune femme. Elle s’avança vers elle et prenant tout de suite le coche pour contredire ce qu’elle lui disait avec l’aisance des grands habitués, elle lui fit "T’aimerais bien que je te réponde que oui, que j’ai accepté de venir juste parce que je savais que tu serais là, hm ? C’est con pour toi, je mens mal", qu’elle lui mentit impudemment, sachant très bien qu’elle avait laissé son regard se perdre plusieurs fois dans sa direction simplement parce qu’elle voulait voir la gueule de son mari "et j’ai pas envie de nourrir tous tes espoirs. Je suis une amie prévenante, tu te souviens ?" Trop d’égard de sa part. Un égard qui disparut vite fait, bien fait, lorsqu’elle s’arrêta sur ce que Charlie ajoutait. Un doigt se dressa au milieu de ses bras qu’elle avait croisé sur sa poitrine pour la désigner "Attends, tu serais pas un peu jalouse ?" Elle ne l’était pas, mais l’éventualité que la présence de Nicholas titille sa curiosité, c’était assez pour qu’elle fasse tout comme, et qu’elle fasse perdurer le tout avec un entrain puéril. Ses paupières se plissèrent "Tu m’espionnais ?" qu’elle lui demanda en retour, retenant un sourire en biais, ses yeux, réduits par le pli de ses paupières, s’accrochant aux siens dans l’éclat amoindri des guirlandes de lumières dressées au-dessus de leurs têtes. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Ven 14 Jan 2022 - 6:17 | |
| Les réactions sont généralement bien plus nuancées lorsque Charlie en vient à révéler l’existence de ses deux enfants au fil d’une discussion. Pour autant, ce n’est bien sûr pas ce à quoi elle s’attendait de la part de Jo et une retenue de sa part l’aurait sans aucun doute déçue. Ce n’est pas pour être caressée dans le sens du poil qu’elle cherche tant la présence de la jeune femme non loin d’elle. "Tu te fous de ma gueule ? Deux en plus ?" - “Tu pensais que j’allais t’en parler entre les London Night et Moscow Mule ?” Le ton de Charlie révèle son état d’esprit uniquement amusé, bien loin de vouloir tenir rigueur à Jo de sa réaction. Elle lui en veut d’avoir gardé le secret, les reproches ne sont pas directement tournés vers les enfants, et tant mieux. D’un soupire, la chanteuse semble déjà abandonner tout combat de coq. "Putain, mariée et maman, t’es le cliché parfait de la nana qui enchaîne les mauvais choix à un trop jeune âge. Pas étonnant que tu t’entendes si bien avec Meg, vous faites la paire." Si c’est un sourire que son visage angélique affiche derrière la fumée de sa cigarette, n’en sortent pas moins des interrogations de son esprit, en venant à se demander ce qu’elle sous-entend au sujet de Megan. Megan est belle, intelligente et mariée à un mari répondant à autant de qualités en plus d’être la personne la plus gentille que Charlie connaisse ; rien de tout ceci ne ressemble à un mauvais choix de près ou de loin à ses yeux. Pour sa part, cependant, elle serait bien incapable de se défendre de quoi que ce soit. “Et encore, t’as pas eu le droit à l’histoire complète. que la blonde se contente de répondre, consciente qu’elles n’en parleront sans doute pas davantage ce soir-même mais cherchant encore et toujours à entretenir sa curiosité. Si Jo ne sourit pas à sa propre remarque alors ce n’est pas un problème, Charlie le fera bien pour deux. “Ils ne te voleront pas la vedette du haut de leurs deux ans, ne t’en fais pas.” Elle reprend finalement, largement amusée par la situation autant que la réaction de Jo, inédite. Personne n’ose se plaindre ou même critiquer le fait qu’elle soit mère et elle a bien plus l’habitude des sourires et félicitations d’apparat plutôt que de quoi que ce soit d’autre.
Les yeux de la jeune mère ne veillent pas beaucoup sur sa progéniture, pourtant, sans doute bien trop occupés à ne pas rater un seul des mouvements de la chanteuse. "Megan m’a dit que t’étais mariée." Charlie n’avait pas relevé la première utilisation du terme, elle fait sans doute bien de le souligner maintenant. Dans sa robe d’occasion, la blonde hausse les épaules, n’ayant rien de bien plus intéressant à ajouter. Elle porte toujours l’anneau à son doigt mais ne sait pas combien de temps cette mascarade pourra encore durer, mentir n’a jamais été son fort. “C’est vrai.” Elle aurait pu le lui dire si elle avait posé la question frontalement mais apparemment, personne ne pense réellement à ça lors d’un vrai-faux (mais surtout faux) premier date. Étonnant, tout de même. Tout ça pour dire que c’est un fait et non un secret, Charlie serait heureuse de lui parler de son mariage, pour autant elle doute que Jo ait envie d’entendre parler de son petit-ami-et-mari adultère plus en détails. Tant mieux, Charlie n’a pas réellement envie d’en parler non plus. “Tu m’aurais pas envoyé paître si je te l’avais dit ? L’attrait de l’interdit ?” Oh, elle ne serait pas égale à elle-même si elle ne se montrait pas piquante de temps à autre, surtout si elle le fait dans un immense sourire angélique dénotant parfaitement avec la teneur de ses paroles.
"T’aimerais bien que je te réponde que oui, que j’ai accepté de venir juste parce que je savais que tu serais là, hm ? C’est con pour toi, je mens mal et j’ai pas envie de nourrir tous tes espoirs. Je suis une amie prévenante, tu te souviens ?" On lui a toujours dit que lorsqu’un personne répétait plusieurs fois la même chose, c’était souvent signe de mensonge. Ce soir, elle n’a même pas besoin de se servir de ces outils de psychologie à deux balles pour le savoir. Tout est un jeu avec Jo, cela permet au moins à Charlie de garder au loin sa susceptibilité presque enfantine et préférer rire de tout ou d’un rien, selon le point de vue. “T’as pas idée de ce que j’aimerais que tu me dises.” Le sujet n’est pas là, elle parle déjà d’autre chose et s’en amuse, gommant la distance avec la chanteuse pour retrouver moindrement la proximité qu’elles avaient connu, ce soir là. Si elle peut sentir son souffle contre sa peau dénudée, la policière se retient encore largement de toute forme d’intimité. Elle aussi est une amie prévenante et elle ne voudrait pas risquer de voler la vedette aux mariés. “Tu vas me briser le coeur, Josephine.” Il n’y a pas qu’à elle que Megan confie des choses, Charlie a même gagné le droit de connaître son prénom dans son ensemble, information qu’elle avait jugé bon de garder pour elle jusque-là. Elle se fait appeler Jo. Mais si tu veux la mettre en rogne, appelle la Josephine. Elle est plus marrante quand elle est en rogne. Megan aussi est une amie prévenante.
Peut-être que Charlie n’aurait pas dû évoquer le sujet de l’ami entraperçu aux côtés de Jo, d’ailleurs. Mince alors. Pour peu, elle éprouverait réellement des remords, si elle n’était pas bien trop amusée pour s’abaisser à ce genre de sentiments. "Attends, tu serais pas un peu jalouse ?" Le sourire de la plus jeune s’anime en coin. “Tu voudrais que je te réponde que oui ? Moi non plus je suis pas très douée pour mentir.” Elle n’est surtout pas très douée pour afficher ses failles de façon aussi évidente en publique, voilà tout. Leur relation n’est pas basée sur les confidences, encore moins sur la confiance, et Charlie ne se risquerait pas à lui avouer qu’elle l’intrigue autant qu’elle la fascine alors qu’elle est déjà mariée. Ce n’est pas le genre de chose que font les personnes ayant une vie posée, ce genre de vie qu’elle aspire à avoir. Ce genre de vie qui ne laisse aucune place pour une possible jalousie envers un homme qu’elle ne connaît pas et à cause d’une femme dont elle ne connaît rien non plus, si ce n’est son caractère de feu et sa beauté sans pareil. "Tu m’espionnais ?" Ses yeux clairs s’accrochent en retour à ceux de la jeune femme dans un élan naturel. “Tu ne passes pas inaperçu, c’est tout.” Et ce n’est pas parce qu’elle parle fort (ce n’est pas le cas), ce n’est pas parce qu’elle parle avec tout le monde (ce n’est pas le cas), ce n’est pas parce qu’elle fait parler d’elle en monopolisant la piste de danse (ce n’est pas le cas). La majorité des invités n’ont même pas dû la remarquer, elle qui semble se faire anormalement discrète. Charlie, elle, l’a remarqué dès qu’elle est entrée dans son champ de vision, sans doute parce qu’elle la cherchait depuis la première seconde. Rien à voir avec de l’espionnage, donc. Non ? |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Sam 15 Jan 2022 - 23:31 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath Charlie, elle jouait à la grande. C’était une conviction qu’elle avait eu dès leur première rencontre. Ce soir, lui collant au train comme le plus motivé des morpions, elle ne faisait qu’entériner ses impressions en lui révélant les entrées — pas si scandaleuses que ça en fin de compte — de son journal intime. Elle était mariée, avec deux gosses, et son mariage battait de l’aile en plus de ça, c’était pas de veine. Tu parles d’un trope original, qu’elle pensa Josephine en se mordant l’intérieur de la joue pour mieux retenir un sourire moqueur, la bouche tordue en une moue qui la rendait malicieuse. Une vie de quarantenaire alors qu’elle n’avait même pas la trentaine, c’était d’une tristesse sur laquelle elle n’avait pas le temps de chialer puisqu’au fond, malgré le fait qu’elle l’intriguait et que ce qui se dégageait d’elle avait assez d’effet sur sa chimie pour qu’elle ne l’envoie pas bouler pour de bon, la reléguant au rang des gueux qui avaient osé l’approcher pour voir si elle fleurait aussi bon le vice qu’elle en avait l’air, qu’est-ce qu’elle en avait à battre des états d’âme torturés de la blonde ? Ses choix, ils craignaient la mort, il faisait sans doute partie d’un plan précis toutefois, et elle respectait ça à défaut de le comprendre pour de bon. Chacun sa vision de la vie. Elle, elle avait tendance à vouloir enfoncer de force la sienne dans les principes de ceux qui l’entouraient, seulement c’était par pure caprice de passer pour ce qu’elle n’était pas, plutôt que par vraie volonté. De fait, vraiment, ce que Charlie faisait de sa vie, plan ou pas, ça la regardait, et elle ne pouvait faire que juger pour amuser la galerie. Elle, elle savait assez de choses sur son sujet pour ne pas vouloir en savoir d’autres, quand bien même elle lui vendait les détails d’une histoire qui était la sienne et qui aurait brisé le stéréotype dans lequel elle l’avait enrubannée par commodité. Charlie par Charlie, ça avait moins de valeur que Charlie par Jo, et il faudrait qu’elle s’en satisfasse, parce qu’elle n’avait pas envie d’avoir pitié quand elle lui raconterait avoir été molesté dans son enfance, parce qu’elle ne voulait pas la trouver sympathique quand elle lui dirait que sa mère avait rendu l’âme en lui donnant naissance, parce qu’elle ne voulait pas la plaindre quand elle lui avouerait que son père était un connard… parce qu’elle ne voulait pas avoir de raisons supplémentaires de la voir comme la demoiselle en détresse qu’elle était sûre qu’elle était, c’était tout. Son attitude était différente des niaises de chez Mickey. Ça, c’était factuel, et le contraste était assez marqué pour qu’elle se dise que c’était elle qui avait un problème et qu’elle avait beaucoup trop fantasmé pour être capable de faire la part des choses, s’étant laissée fourvoyer par l’esthétique surannée de contes auxquels elle n’avait jamais cru. Elle lâcha un rire, plus à cause de ses propres pensées qu’à cause de la répartie de Charlie qu’elle lui renvoya sans détour, les sourcils dansant en rythme avec le mouvement mélodique de sa voix rauque et chaude "Je m’en fais pas. J’espère juste pour eux qu’ils savent que c’est moi qui remportera la gagne en fin de match. T’as pas idée de ce que je suis capable de faire quand on me pique ma lumière." Elle était en train de proférer des menaces à l’encontre de gamins de deux ans dans l’optique de provoquer leur mère qu’elle avait en face d’elle, et qui ne prenait même pas la peine de leur accorder ne serait-ce qu’un regard, trop occupée à rouler du cul sous les yeux de la nana qu’elle avait dans le viseur pour tromper son mari en retour. Tu parles d’une princesse.
Encore une fois, elle rit "L’attrait de l’interdit ? Tu te donnes trop d’importance, ma chérie." qu’elle lui lança, tentant de cacher à quel point ça l’emmerdait de savoir qu’elle était mariée. Elle avait dit à Megan que, si elle l’avait su, elle aurait davantage compris pourquoi elle voulait tant se venger de la crasse que son mec lui avait faite. Mais dans sa perception des choses, dans son intime perception des choses, c’était un putain de coup dur à encaisser. Ça expliquait pourquoi ça avait autant d’importance pour elle, de rendre les coups avec au moins autant de force que lui ; elle l’aimait assez pour lui retourner le mal qu’il lui avait fait au centuple… et ça, elle le comprenait mieux que quiconque. Elle aurait aimé le lui dire, sauf que c’était mettre les doigts dans un engrenage qui l’aurait forcé à révéler trop de choses sur elle, du coup elle la boucla pour mieux la regarder s’avancer vers elle et réduire l’espace qui les séparait. Autant elle ne supportait pas qu’on lu pique sa lumière, autant elle se laissa troubler par la façon dont elle lui piqua son air avec cet aplomb qu’elle lui enviait peut-être un peu. Elle ne le montra pas cependant, se redressant de toute sa petite taille pour ne pas plier face au charisme de la blonde "Je sais ce que t’essayes de faire. Mais tu diras à Megan qu’il m’en faut plus pour me mettre en boule." qu’elle lui rétorqua, lèvres près des siennes, et son propre air s’amalgamant à celui de Charlie quand elle précisa, changeant un chouïa la ligne de la phrase qu’elle prononça tout bas, les yeux marquant un stop sur chaque détails du visage de Charlie dont elle s’approcha encore un peu "Il me faut plus qu’un Josephine pour que j’accepte de me faire sauvagement sauter contre un mur, Charlie." Encore que, rien n’était moins sûr, car le Josephine qu’elle lui avait servi, il lui avait trop hérissé le poil pour qu’elle puisse prétendre dans le fond que ça n’avait pas d’effet sur elle. Putain. Le bout de sa langue pointa entre ses lèvres quand elle sourit, et que la tête penchée, et les sourcils froncés par défi, elle lui demanda en affrontant ses yeux cette fois, reprenant la main comme si de rien n’était "Il est pas là, ton mari ?" Et l’emphase qu’elle fit sur ce mot en particulier, il illustra la volonté qu’elle avait de la titiller pour qu’elle recule, pas à l’aise avec l’éventualité d’être la première à le faire — plutôt crever que de le faire, d’autant qu’elle connaissait déjà la réponse à sa question, Megan le lui ayant donné l’info avant le début des festivités. Sa main trouva le col de la robe que Charlie portait tandis qu’elle lui renvoyait sa défense en pleine figure avec une impudence qui fit grouiller quelque chose dans son ventre. A son contraire, elle n’avait pas idée de ce qu’elle aimerait qu’elle lui dise, mais qu’elle tente de minimiser ses défauts en prétendant ne pas savoir mentir, ça en disait davantage sur ses intentions, et elle décida de ne pas pas prendre ce qu’elle lui disait pour argent comptant. Elle n’avait pas confiance en ce qui sortait de la bouche de la jeune femme à moins que ça ne l’arrange, et ce qu’elle ajouta, ça l’arrangeait clairement au point qu’elle lui fit, avec pointe de défi "Dis-moi quelque chose que sais pas déjà. J’avais promis à Megan de pas lui faire de l’ombre, mais t’as vu cette robe…" Elle fit jouer le volant de son jupon en ondulant des hanches, faisant un léger pas en arrière, mais en ne brisant pas le pacte qu’elle avait fait avec elle-même qui lui interdisait de battre la première en retraite ; elle avait toujours une main posée sur Charlie. Relevant le menton après avoir cessé de se trémousser, elle finit par se concentrer de nouveau sur elle, et chassa une mèche de ses cheveux blonds qu’elle avait sur l’épaule en lui disant "A d’autres. A la seconde où je suis sortie, t’étais derrière moi. Mais je comprends." Évidemment "Il s’appelle Nicholas au fait." qu’elle ajouta sur l’air de ne pas y toucher, mentionnant son voisin juste pour avoir la certitude et observer, à cette distance-là, que ses soupçons étaient justes et que si : elle était bien jalouse, la Charlie. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Ven 21 Jan 2022 - 7:01 | |
| Josephine rassurée face à l’absence de toute compétitivité entre elle et les jumeaux, cela ne l’empêche pas pour autant de toujours trouver réponse à tout, attitude que Charlie trouve aussi fascinante qu’agaçante. Fascinante, tant que Jo continue à l’encenser ; agaçante, ce sera pour la seconde même à laquelle Charlie sera déjà lassée de tout ce petit jeu qui ne mènera jamais nul part. "Je m’en fais pas. J’espère juste pour eux qu’ils savent que c’est moi qui remportera la gagne en fin de match. T’as pas idée de ce que je suis capable de faire quand on me pique ma lumière." La blonde ne cache pas son amusement face à une telle réplique, ne sachant garder pour elle ses pensées. Du coin de l'œil, elle jette un regard sur ses enfants qu’elle n’a pourtant pas en visuel. Elle a au moins l’impression d’avoir essayé et qu’ainsi, personne ne pourrait rien avoir à lui reprocher - comme s’il suffisait de si peu d’efforts pour devenir une mère modèle. “Qu’est-ce que tu comptes gagner au juste ?” Elle demande, immense sourire accroché à ses lèvres fines. L’idée du concours était évidente à mentionner pour la jeune femme mais elle ne s’est jamais aventurées à évoquer le possible prix à gagner ; après tout, elle était la seule à avoir demandé par deux fois à rendre les choses plus intimes avec elle, jamais l’inverse. Quel genre d’autre récompense pourrait exister, sinon ? Les fausses menaces à l’encontre des jumeaux sont oubliées à peine une fois entendues, Charlie ne sachant que trop bien qu’elle ne leur fera pas le moindre mal, même si elle ne porte sans doute pas les enfants dans son cœur. Entre les deux, un fossé existe.
S’auto qualifiant d’interdit, c’est une idée qui ne manque pas de faire rire la brune, une fois de plus. Charlie aurait peut-être dû s’imaginer une carrière dans le stand up, finalement. "L’attrait de l’interdit ? Tu te donnes trop d’importance, ma chérie." Ne croyant pas un seul instant faire fausse route, la jeune femme ne lâche pas son interlocutrice des yeux, s’attendant à tout instant à ce qu’elle lui concède avoir raison - en vain, bien sûr, nul besoin de connaître Jo depuis des années pour savoir que cela n’arrivera pas. “Comme si tu étais du genre à faire amie-amie avec la première venue.” Joséphine ne lui parle pas par politesse, elle ne le fait sûrement pas par dépit non plus. Joséphine joue avec le feu et ça lui plait, ce qui est facilement reconnaissable pour Charlie parce qu’elle passe le plus clair de son temps à en faire de même, à propos de tout et n’importe quoi. "Je sais ce que t’essayes de faire. Mais tu diras à Megan qu’il m’en faut plus pour me mettre en boule." Puisque ce n’était pas l’effet escompté non plus, Charlie n’a aucun mal à se remettre de ces quelques mots. Au fond, elle est simplement amusée que la jeune femme soit aussi réactive à l’entente de son prénom entier, se demandant dans le même élan ce que ce raccourci peut bien signifier pour elle - et, surtout, pourquoi est-ce qu’il semble si important. Ce seront des questions et une enquête pour plus tard, pourtant, la simple proximité de la chanteuse suffisant à faire perdre à Charlie toute envie de l’analyser. Ses priorités se trouvent ailleurs. "Il me faut plus qu’un Josephine pour que j’accepte de me faire sauvagement sauter contre un mur, Charlie." - “Je suis pas une sauvage, je t’aurais au moins proposé ma voiture et peut-être même mon lit si t’avais été sage.” Elle rétorque, éternellement amusée par la situation, la discussion et les mots crus de la jeune femme, n’hésitant pas à replacer une de ses propres mèches derrière ses oreilles parsemées de bijoux. Pourquoi ne sont-elles pas les témoins, au juste ? La règle veut qu’ils couchent ensemble, tout aurait été bien plus simple ainsi.
Mais Josephine n’aime pas les jeux qui s’étalent dans le temps, alors la voilà qui sort un as de sa manche pour reprendre la main. Heureusement que Charlie est bien plus attachée à sa présence qu’à l’idée de gagner. "Il est pas là, ton mari ?" - “Il n’a même pas eu besoin qu’on l’appelle par son prénom complet pour se faire sauvagement sauter contre un mur.” Elle rétorque donc comme si de rien n’était, apprenant avec le temps à ne plus s’attacher au sujet ‘Léo’ parce qu’elle l’imagine déjà voué à quitter sa vie, tôt ou tard. Au moins, elle n’aura pas le temps de faire d’enfants avec lui et c’est finalement une très bonne chose qu’elle ne soit pas allée au bout de ses idées. Faux sourire, faux détachement ; elle est presque au niveau de Léo et de tous ses mensonges.
"Dis-moi quelque chose que sais pas déjà. J’avais promis à Megan de pas lui faire de l’ombre, mais t’as vu cette robe…" Nul besoin de préciser que la blonde n’avait pas besoin de ce petit défilé pour reconnaître les qualités de la robe et, surtout, de celle qui la porte. Faussement intéressée par la chose, elle se prête pourtant au jeu des volants au vent et de son sourire d’enfant soudainement amusée d’un rien. A ses yeux, elle vole sans aucun mal la vedette à Megan, mais il faut bien avouer que Charlie n’a absolument rien d’une personne objective, surtout pas alors que Jo se montre moindrement tactile avec elle, dégageant son épaule d’une mèche blonde qui ne la gênait pas le moins du monde. "A d’autres. A la seconde où je suis sortie, t’étais derrière moi. Mais je comprends." S’approchant de son oreille, elle déclare donc sur le ton de la confidence. “Qui est-ce qui surveille qui, Jo ?” Elle ne cherche pas à nier les faits tant ils sont d’une évidence folle. "Il s’appelle Nicholas au fait." Oh, oui, lui. “Il est mignon. Tu choisis tes fréquentations selon un certain niveau de critères.” Promis, elle n’essayera même pas de lui faire des avances, courant déjà bien assez de chevaux en même temps: Jo, et son fantôme de mari qui aime bien plus un autre homme qu’elle. Ils lui demandent bien trop de temps, chacun à leur façon. “Il est qui pour toi ? Personne n’emmène qui que ce soit d’autre que son petit-ami ou son futur petit-ami à des mariages.” Et pourtant, elle ne semble pas animée de sentiments à son sujet, ce qui pourrait tendre à prouver que son cercle social se veut finalement bien restreint. Ce ne serait pas une surprise non plus, à en juger par ses paroles empoisonnées et son assurance déconcertante. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mar 25 Jan 2022 - 21:05 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath Qu’est-ce qu’elle comptait gagner ? Ça la ramenait à quelques années en arrière, et elle cligna des yeux, revoyant passer sur son écran mental les bribes d’une vie de strass et de paillettes passée aux côtés d’hommes qui avaient toujours eu l’audace de lui chiper les honneurs à quelques pourcentages près sous le prétexte que quoi, ils étaient meilleurs qu’elle ? Sûrement pas. Roman avait toutes les qualités du monde, mais il avait eu en plus la chance de son côté, c’était tout. Et merde. Elle s’en voulut de penser à lui tout de suite, de l’imaginer se tenir exactement à la place de Charlie, à la couver du regard simplement parce qu’il était un gentil géant et qu’elle était un vilain lutin qui avait su attirer son attention en se montrant plus aimable avec lui qu’avec n’importe. Il ferait ce qu’il savait faire de mieux, il lui pincerait le nez en la traitant de grincheuse, et ses bras finiraient par l’envelopper pour la faire disparaître dans les couches de vigueur que son enfance à la ferme lui avait permis de développer pour le faire devenir aussi beau qu'il était doué pour chanter. Bizarrement, alors que le ton n’était rien d’autre que malicieux entre elles, Jo eut la sensation de partager un peu trop son intimité avec Charlie. Elle cligne de nouveau les yeux, mettant fin à la séance de souvenirs en Périscope qui s’étaient mis à lui tourner dans la tête. Elle n’avait pas envie de palabrer sur la capacité à remporter le pompon de la fête foraine, encore que celui qu’elle avait perdu à l’époque, il avait déterminé la déroute totale d’une vie qu’elle s’était imaginée bien plus faste et excitante — peut-être aux côtés du gentil géant, qui pouvait le lui reprocher. Elle ne voulait pas qu’elle se rende compte que, tout ce qu’il y avait d’à peu près excitant dans son monde désormais, c’était sans doute bien elle et que si elle n’était pas aussi farouchement butée, elle donnerait tout pour la tenir entre ses mains et la pavaner à qui bon voulait lui donner une tape sur la tête pour appeler la chance. Du coup, elle réserva sa réponse, mal à l’aise avec l’idée de s’ouvrir sans vraiment le faire pourtant, et s’en lançant dans d’autres, teintées de provocations parce que ça l’arrangeait de tourner en dérision le malheur conjugale de la belle blonde, au lieu de s’attarder sur le sien. La blonde qu’elle ne voyait pas comme une amie, qu’elle ne voyait pas comme autre chose non plus, c’était une vérité qu’elle n’avait pas besoin de détourner, mais qu’avec une moue faussement perplexe, elle se permit de revoir et corriger "De là à dire que tu représentes un interdit. J’ai jamais été très attirée par les nanas vengeresses, je te l’ai déjà dit… et je te rappelle que c’est toi qui es venue me chercher, alors qui représente un interdit pour l’autre ?" Avec Charlie, ce n’était que ça. Des baballes qu’elle lui renvoyait avec le désir profond de toujours avoir le dernier mot et de parader avec cette satisfaction enfantine sur le visage "T’as réussi au fait ? Je suppose que la photo de Megan a dû faire des dégâts." Elle s’en foutait. Mais elle voulait rester ici, et comme le jeu de baballe, elle s’en lasserait rapidement, elle en entama un autre. Jo, elle n’avait jamais été très patiente, et même si la jeune maman cocufiée ne manquait pas une occasion de rentrer dans le tas, il y avait quand même une certaine forme d’hésitation qui se dégageait d’elle et ça ne lui plaisait pas.
Cette hésitation, elle venait probablement de l’anneau qu’elle portait au doigt. Ou pas. Elle n’avait même pas eu le réflexe de vérifier ce que Megan lui avait dit à propos du statut de la jeune femme, comme quoi dans le fond, elle pouvait aussi bien enchaîner les coups d’un soir comme une pute alcoolique que ça lui ferait le même effet. Mais quand même, elle ne put s’empêcher, par provocation seulement, d’aussi l’interroger sur la présence de son mec. La réponse qu’elle lui donna, elle lui fit pencher la tête sur la côté tandis qu’elle l’observait par-delà la barrière de ses faux-cils "Pourquoi tu restes avec lui s’il te rend aussi malheureuse ? C’est pas en lui faisant du mal en retour que tu vas arranger quoi que ce soit. Quand c’est voué à l’échec, faut se rendre à l’évidence." Et elle ne sut pas pourquoi ça la touchait autant que Charlie fasse comme si de rien n’était quand elle parlait de lui. Sans doute parce qu’elle faisait la même chose quand on lui parlait de Roman, à la différence qu’il n’avait jamais rien été d’autre qu’un concurrent à abattre. Sa main qui chassa la mèche de cheveux blond qu’elle avait sur l’épaule, et qui ne gênait personne, elle avait plus vocation à la réconforter qu’à faire épaissir la tension qui régnait déjà entre elles. Et qui régna pour de bon quand elles furent plus proches l’une de l’autre encore, et que sous l’enthousiasme enfantin de Jo à se voir décerner la palme de celle qui attirait le plus d’attention à la cérémonie de mariage de sa copine, il y avait invariablement une effervescence plus mutine qui la poussait à agir comme elle le faisait. Elle s’aperçut un peu trop tard qu’elle souriait trop, aussi quand elle mentionna elle-même Nicholas, elle profita de ce moment pour cesser ses risettes de gamine attirée par la perspective de tenir une nouvelle poupée dans ses bras et marqua une observation rapide par-dessus son épaule en direction du jeune homme, toujours assis à la même place, à marmonner dans sa mâchoire ciselée au fusain comme un putain de psychopathe "J’imagine qu’il l’est si on aime les grands bébés." Elle haussa les épaules, retourna à Charlie en posant son regard sur elle et en tachant de ne pas sourire de nouveau même si dans sa poitrine, elle sentait que sa manière de s’intéresser au jeune homme n’était pas seulement un moyen de faire la conversation. Elle l’avait accusée d’être jalouse et elle y croyait dur "Pourquoi il devrait quelqu’un pour moi ? Je suis pas comme toi, j’ai pas la capacité de m’attacher aux gens à la seconde où ils croisent mon regard." Elle se mordit très brièvement la lèvre après avoir terminé sa phrase, et finit par se pencher sur elle pour capturer ses lèvres avec les siennes. Parce qu’elle en avait envie, mais surtout parce qu’elle n’avait pas envie de s’éterniser sur la question qu’elle venait de lui poser. Elle aurait pu simplement être franche, comme elle l’était habituellement, et lui répondre que Nicholas n’était que son voisin demeuré, qu’elle l’avait fait venir parce que les mariages, c’était le seul truc qui le faisait jouir, et qu’autant elle appréciait qu’il soit là, autant ça lui faisait mal au bide de songer que ça lui faisait aussi plaisir qu’il accepte de venir lui tenir compagnie… mais non, c’était rentrer dans des approfondissements qu’elle n’avait pas envie de mener, c’était admettre qu’elle n’avait pas grand-monde vers qui se tourner quand elle se sentait engloutie par ses propres émotions, par son propre ennui, par sa propre solitude. Alors elle s’en voulait déjà, de répondre à ce que voulait vraiment Charlie en raffermissant la pression de ses lèvres sur les siennes, et en tenant son visage entre ses mains, mais c’était toujours mieux que de l’autoriser à voir que son cœur n’était pas fait que de pierre. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Ven 28 Jan 2022 - 11:18 | |
| "De là à dire que tu représentes un interdit. J’ai jamais été très attirée par les nanas vengeresses, je te l’ai déjà dit… et je te rappelle que c’est toi qui es venue me chercher, alors qui représente un interdit pour l’autre ?" Je me suis contentée de suivre le conseil avisée d’une amie en commun.”
Le problème avec Charlie, c’est qu’elle a beau crier sur tous les toits qu’elle est devenue une mère de famille respectable, avisée et rangée, il faut bien avouer que ce n’est pas le cas. Elle cherche toujours à transgresser les interdits avec lesquels elle peut jouer sans risquer son travail, et à ce jeu là Jo semble toute désignée. Elles auraient pu se contenter d’un baiser, d’une photo, et de ne plus daigner s’échanger le moindre regard à la suite de ça. Pourtant, la blonde n’est pas la seule ayant précipité le reste de leurs discussions, et Jo est bien loin d’être stupide, surtout pas au point d’elle-même croire à la réalité alternative qu’elle décrit de ses lèvres pulpeuses. “J’ai pas vraiment des airs de Kill Bill, trouve toi une autre excuse pour expliquer que je sois toujours avec toi.” Elle n’est pas déjà amoureuse, Charlie, c’est au moins une erreur qu’elle a appris à ne pas reproduire aussi rapidement et sincèrement, mais elle apprécie la présence insolente de Jo à ses côtés. Ce ne sont que des moments éphémères, de toute façon, et il n’y a absolument rien de mal à cela. Pas vrai ? Oh, ce besoin d’éternelle approbation de la part d’autrui. "T’as réussi au fait ? Je suppose que la photo de Megan a dû faire des dégâts." Les yeux clairs de Charlie dévient avec défi dans ceux de sa comparse. Elle est naïve, mais pas au point de croire que Jo en a quoi que ce soit à faire de son mariage, et encore moins qu’elle souhaite que les choses s’arrangent avec Léo. “Il a essayé de m’en faire le reproche, jusqu’à ce que je lui annonce être au courant pour son infidélité.” Et pour la première fois, Charlie conte l’histoire avec un mince sourire aux lèvres, presque fière de ne pas avoir joué le rôle de la cocue épleurée face à une personne au moins - et pas des moindres. Alors oui, on peut dire que la photo de Megan a fait quelques dégâts, mais aucun qu’elle n’avait pas anticipé. Quitte à voir son couple s’effondrer sur ses fondations, autant le faire de loin et ne pas en pâtir. "Pourquoi tu restes avec lui s’il te rend aussi malheureuse ? C’est pas en lui faisant du mal en retour que tu vas arranger quoi que ce soit. Quand c’est voué à l’échec, faut se rendre à l’évidence." Jo a raison sur toute la ligne, mais cela tuerait Charlie que de l’avouer. Elle est partisane de la loi du talion, œil pour œil et dent pour dent, à la seule différence qu’elle ne peut que multiplier par deux les dégâts des vengeances qu’elle orchestre. Égo bien trop important, elle ne peut accepter qu’on se joue d’elle de façon aussi évidente. Pour autant, c’est l’amour qu’elle lui porte qui dicte ses réactions les plus importantes, notamment celle de ne pas lui envoyer le moindre papier de divorce. “On en est pas encore au moment des confessions sur l’oreiller, Jo, ne va pas trop vite.” Elle finit par assurer dans un mince sourire. De façon évidente, Charlie n’a tout simplement aucune envie de tenir une conversation au sujet de son petit-ami et encore moins avoir à lui expliquer à elle à quel point il est nécessaire à sa vie. Ce serait pathétique et malvenu.
Sa curiosité largement piquée, la blonde ne tarde pas à l’interroger à propos de l’homme l’ayant accompagnée jusqu’ici, celui qu’elle semble pourtant aisément délaisser pour discuter avec elle - non sans que cela ne flatte quelque peu son ego. De façon tout à fait factuelle, elle relève donc la beauté naturelle de son +1, non sans attendre ce que Jo aurait à dire à ce sujet à son tour. "J’imagine qu’il l’est si on aime les grands bébés." Elle ne sait pas si les mots ont été choisis avec précision ou s’ils ne sont que le reflet d’une réflexion rapide, mais dans un cas comme dans l’autre ils ont le mérite de faire sourire la plus jeune. “Je m’y connais en bébés.” Pour autant, elle ne sous-entend pas penser à se mettre en chasse de Nicholas, même Charlie comprendrait que cela n’aurait rien d’une bonne idée. Et les mauvaises idées, elle n’en suit qu’une seule à la fois, c’est la règle. Celle du moment se prénomme ‘Jo’ et sourit bien plus que de raison. Ne voulant pas voir une autre expression s’afficher sur son visage, Charlie ne le dénote pas, se contentant d’observer de ses yeux brillants et amusés. "Pourquoi il devrait quelqu’un pour moi ? Je suis pas comme toi, j’ai pas la capacité de m’attacher aux gens à la seconde où ils croisent mon regard." Elle aurait sans mal trouvé de quoi lui répondre si Jo ne l’en avait pas aussitôt empêchée, capturant ses lèvres dans un baiser que la blonde ne sait que prolonger, jugeant n’avoir jusque-là eu droit qu’à de trop maigres aperçus de la chose. Peu importe qu’elles soient au mariage de Megan et Damon, peu importe que d’autres invités puissent les voir, peu importe. Elle jouait avec le feu dans l’espoir que Jo cède la première, ce qui finit par se réaliser. Ce qu’elle n’avouera pas, c’est que si Jo n’avait pas cédé alors elle l’aurait sans aucun doute fait elle-même, ne sachant résister à ses lèvres auxquelles elle a déjà pu goûter. Lorsqu’elle sent les mains de la jeune femme se poser contre ses joues, elle entreprend de reproduire le même chemin avec les siennes, quelques minuscules secondes avant d’être la première à rompre le contact de leurs lèvres. “Rentre avec moi.” Sa voix douce, presque suppliante, demande en même temps qu’elle relève ses yeux vers elle, sans s’éloigner de son visage pour autant. Elle ne sait pas jouer à la femme forte bien longtemps, Charlie. Elle n’a jamais su. “C’est pas un plan foireux, le canapé est confortable.” Ce n’est pas pour la sauter qu’elle lui fait cette proposition (demande), mais bien parce qu’elle ne veut pas avoir à supporter le silence abyssal de son appartement lorsqu’elle sera rentrée. “S’il te plaît.” Son pouce continue de caresser sa joue, ayant déjà oublié l’existence de son +1 dont elle doutait il y a peu encore de l’aspect purement amical de leur relation. Après tout, cela ne la regarde pas. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 2 Fév 2022 - 20:30 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath Pour les confessions, c’était déjà un peu trop tard, qu’elle pensa Jo, le visage à quelques centimètres à peine de celui de Charlie. Mais grand bien lui faisait si elle ne voulait pas s’épancher sur les raisons pour lesquelles elle préférait être torturée par son adultère de mari, elle n’avait pas envie de jouer à la psy. De toute façon, il y avait des ressorts romantiques qu’elle ne comprenait décidément pas, mais elle ne pouvait pas non plus prétendre avoir assez d’expérience pour faire comme si ça ne la laissait pas perplexe, tout ce cirque au milieu duquel Charlie paradait comme la nouvelle jument sur-entraînée du directeur. Elle savait, pour en avoir chanté des milliers, que les plus belles chansons parlaient d’amour et d’infidélité, seulement de là à adhérer à l’un et à l’autre, il y avait un pas qu’elle n’était pas prête à faire. Elle souffrait assez de ne pas avoir ce qu’elle avait toujours voulu pour s’attirer d’autres ennuis, et l’amour, ce n’était que ça au fond: des ennuis qu’on était prêt à encourir juste parce que, parfois, ça en valait le coup. Alors c’était ça, il en valait le coup, monsieur Charlie ? A en juger par la détermination de sa dame à le garder alors qu’il méritait d’être foutu à la porte, l’anneau qu’ils avaient échangé enfoncé profondément là où vous pensez, sans doute que oui. Et franchement, ça la faisait bien chier de s’imaginer qu’au-delà de sa manie à aller planter son dard dans tous les arrières-trains de la ville, il pouvait être quelqu’un d’assez bien pour convenir à celle qui lui faisait les yeux doux depuis qu’elles s’étaient rencontrées. Ce n’était pas de la jalousie, c’était qu’un peu de dépit de songer à l’éventualité que de nouveau, elle ne valait pas mieux que quelqu’un qui avait un truc qui pendouillait entre les jambes. Putain de patriarcat, ouais.
Au moins le temps de quelques minutes, elle pouvait s’attirer cette lumière dont elle pensait avoir tant besoin, et qui ce soir, émanait d’une seule et unique source — différente de celle qu’elle avait connu à une autre époque, moins martiale sur la forme, mais toute aussi aveuglante. Charlie, elle était un puits de lumière dans lequel elle ne savait pas très bien s’il était prudent de plonger, mais qui avait assez d’éclat pour la pousser jusqu’à son bord pour y tester l’écho avec l’hésitation d’une enfant peu téméraire .Le souci, c’était que Jo, elle était beaucoup trop téméraire pour craindre vraiment ce que ça signifiait d’être baignée par l’éclat de quelqu’un comme la jeune femme. Et elle s’en mordrait les doigts, c’était toujours comme ça "Je te le laisse volontiers." qu’elle lui murmura contre ses lèvres quand, volontairement, elle avait laissé de côté le sujet Nicholas de côté pour éviter de mettre des mots sur ce qu’il représentait à ses yeux et que d’une certaine façon, elle avait cherché à chasser de la tête de Charlie les frasques de son mari en faisant preuve de trop d’impatience. Elle s’en voulait d’avoir été si peu capable de se contenir alors qu’elle s’était jurée de ne pas flancher, mais si la patience n’était pas une vertus à laquelle elle croyait, céder à ce qui lui faisait envie lui paraissait souvent comme le meilleur moyen de s’amender de cette boule d’elle ne savait quoi qu’elle sentait naître en elle chaque fois qu’elle était tentée par quelque chose — ce soir, ce quelque chose prenait la forme d’un quelqu’un à qui elle souda son visage le temps d’un baiser qu’elle sentait de plus en plus intense à mesure que les secondes s’écoulaient et que leurs mains frôlaient la peau de l’autre pour y laisser une trainée ardente qui fit s’approcher encore plus Jo de la jeune femme, et se jucher sur la pointe des pieds pour être sûre de ne rien manquer de ce qu’elle lui donnait. Et elle rit contre sa bouche quand, les mains encadrant son visage, elle rompit brièvement leur baiser pour lui demander de rentrer avec elle. Elle ne lui répondit pas tout de suite, elle prolongea le moment par un baiser furtif, un peu moins sûr tant elle souriait face à sa proposition, et que la considérant en un instant, elle finit par lui chuchoter contre sa bouche "Et puis ? Je vais rentrer avec toi, et qu’est-ce qu’on va faire ? Surveiller tes gosses jusqu’à ce qu’ils tombent de sommeil ? J’ai l’air d’avoir la patience pour jouer à la baby-sitter ?" Elle n’avait pas de patience du tout, mais c’était inutile de le préciser à voix haute ; Charlie s’en était sans doute rendue compte en la voyant céder à son caprice comme la plus conne des débutantes. Elle fit bondir le bout de son nez contre le sien, la bouche entrouverte en entendant l’accent suppliant dans le son de sa voix. Il n’y avait pas à dire, elle savait comment faire, mais ça n’avait pas tellement de prise sur elle… ou elle aimait le faire croire. Ce qu’elle aimait vraiment, c’était être désirée, aussi si elle répondait à sa requête maintenant, si elle acceptait de laisser Nicholas marmonner tout seul dans un coin en s’échappant avec Charlie, il lui resterait quoi par la suite ? Elle mettait en doute la sincérité de la jeune femme sur le coup, simplement parce qu’elle avait une vision assez nette de ce qu’elle mijotait et de ce que ça lui procurait de jouer avec le feu ; elle ne représentait rien d’autre à ses yeux qu’une façon alléchante de remettre à zéro les compteurs de son mariage. L’ego de Jo était assez gros pour qu’elle n’accepte pas le rôle de lot de consolation que Charlie voulait qu’elle joue jusqu’à ce qu’elle retrouve le chemin du lit conjugal. Elle retint son souffle une poignée de secondes, probablement pour recouvrer ses esprits pendant qu’elle ne bougeait pas d’un iota, toujours aussi près d’elle. Enfin, elle lui dit tout bas "T’oublies que j’ai promis à Megan de rester jusqu’à la fin. Ça aussi, je te l’ai dit… Elle s’arrêta au milieu de sa phrase juste pour se laisser le sentiment de bien agir quand elle savait au fond que c’était sa dernière chance, et que Charlie aussi, se lasserait d’être éconduite plus de fois qu’à son tour "Je tiens toujours mes promesses." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Dim 6 Fév 2022 - 1:37 | |
| "Je te le laisse volontiers." Il n’est pas le sujet. Elles jouent, c’est tout ce qu’elles savent faire. Si Jo était venue avec quelqu’un d’autre, c’est de lui dont il aurait été question. Si Charlie en avait fait de même, c’est de cet autre John Smith dont elles auraient parlé. Peu importe. La blonde n’a pas menti, elle le trouve véritablement mignon, mais elle n’est pas désespérée au point de vouloir sauter tout ce qui ne ressemble pas à un tableau de Picasso. Croyez-le ou non, mais même elle a un minimum de morale, et que Jo le lui laisse ou non, elle ne fera rien d’autre que d’avoir en sa direction quelques sourires en coin, aussi amusés que peinés de ne pas savoir s’il est le dindon de la farce ou un petit chanceux ayant eu le droit incroyable de se pavaner auprès de Josephine. Peu importe, rien n’a plus la moindre importance quand, déjà, elle retrouve le chemin de ses lèvres comme s’il n’y avait rien de plus logique en ce monde. Mais embrasser n’est pas tromper, pas vrai ? Embrasser ne peut pas être tromper quand, en parallèle, son mari est occupé à faire bien pire.
Ce n’est pas de lui non plus dont elle veut parler, la blonde. L’instant présent l’attire bien plus, il le passionne énormément lui aussi. Elle la passionne énormément, cet interdit qu’elle veut atteindre et domestiquer, comme si c’était une chose réellement possible. Le rire de Jo lui rappelle que tout ne peut pas être aussi simple, avec son élévation s’envolent les espoirs de la jeune femme de pouvoir la ramener chez elle. Le baiser qu’elle prolonge a un goût amer, maintenant. "Et puis ? Je vais rentrer avec toi, et qu’est-ce qu’on va faire ? Surveiller tes gosses jusqu’à ce qu’ils tombent de sommeil ? J’ai l’air d’avoir la patience pour jouer à la baby-sitter ?" Si elle avait ses lèvres encore près des siennes, nul doute que les dents de Charlie les auraient malencontreusement prises en otage. Il n’est pas question de ses enfants, elle ne peut pas les utiliser comme argument simplement parce que c’est facile et arrangeant pour elle. S’il te plaît, Jo. Tout pourrait être simple, si elle arrêtait de temps à autres de vouloir tout contrôler d’une main de fer. Charlie n’est pas son ennemie, elle n’est pas marionnettiste non plus. Elle veut le beurre et l’argent du beurre, c’est une chose, mais cela ne justifie pas l’éternel caractère renfermé de la jeune femme. “J’ai l’air de vouloir faire de toi une baby sitter ?” Elle ne veut pas approcher les jumeaux à moins de dix mètres, même Charlie le voit, même Charlie ne pourrait pas être assez aveugle pour passer outre une telle évidence et vouloir la faire rencontrer la chair de sa chair. Joséphine n’en a rien à faire des grands yeux bleus de Siobhan et des mèches blondes d’Aaron.
"T’oublies que j’ai promis à Megan de rester jusqu’à la fin. Ça aussi, je te l’ai dit… Je tiens toujours mes promesses." Elle serre les dents, la jeune policière qui accepte toujours aussi difficilement qu’on lui refuse des choses. Pourtant, elle ne s’énerve pas non plus, s’accrochant à l’espoir stupide que la brune puisse changer d’avis avec le temps. “Viens après. Reste jusqu’à la fin, tiens tes stupides promesses, et viens après.” Elle peut se montrer patiente lorsque c’est nécessaire, Charlie. Elle peut, lorsque le jeu en vaut la chandelle, et bien sûr que la jolie Jo vaut toutes les peines du monde ; preuve en est, se brûler à son contact une première fois n’a pas été suffisant et la voilà qui recommence. “Les jumeaux dormiront déjà, comme ça.” Elle n’aura pas à les voir, elle n’aura pas à mimer être une baby sitter misérable. Il ne restera plus qu’elle, lorsque Jo rentrera. Elles seront deux, nombre bien plus raisonnable à en juger par la taille déraisonnable de l’appartement pour une jeune femme vivant seul (avec des +2 de temps à autres uniquement). “Arrête de croire que le monde veut uniquement te sauter.” Charlie ne dirait pas non, c’est un fait, mais elle cherche surtout à gagner la chaleur de son corps pour une nuit, rien de plus. C’est sans doute déraisonnable (ça l’est certainement, à vrai dire) mais Jo ne pourrait pas lui faire croire qu’elle est du genre puritaine. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Mer 9 Fév 2022 - 21:47 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @Charlie Ivywreath "T'es en rogne contre moi?" qu’elle lui lança, les yeux toujours rivés sur le visage de Charlie, à voir chacun de ses muscles se carrer pour mieux accepter le refus qu’elle venait de lui donner. Encore une preuve que dans le fond, Charlie n’était rien de moins qu’une gamine qui cherchait un nouveau jouet. C’était presque cette preuve-ci qu’il lui fallait pour qu’elle ne flanche pas davantage, pour qu’elle n’oublie pas qui elle était, et ce qu’elle méritait vraiment; clairement pas d’être celle qu’on jetterait une fois qu’on l’aurait usée de jeux et de manigances. Et parce qu’elle ne savait tellement agir autrement, boule de rancœur et d’amertume, elle se mit doucement à en vouloir à Charlie de chercher à la prendre par les sentiments juste pour obtenir ce qu’elle voulait; qu’importe ce que c’était, elle prétendait sans le dire qu’elle avait besoin d’elle alors que ce dont elle avait vraiment besoin, c’était d’être réconfortée de s’être laissée bafouer par celui qui lui avait mis la corde au cou. C’était difficile, de retenir la marrée de sentiments qui faisaient qu’elle était si imprévisible, Jo, et parce que Charlie faisait naître en elle plusieurs choses à la fois, dont certaines qu’elle s’obstinait à garder loin de sa conscience immédiate, elle mit du temps à comprendre que si elle continuait à la regarder, là, c’était simplement parce qu’au-delà de sa volonté à ne pas accepter son offre, elle ne voulait pas la braquer trop longtemps — pour la revoir encore, et se laisser manier comme la poupée de chiffon qu’elle semblait être à l’instant où elle posait son regard sur elle.
Stop. Elle avait cessé d’être de ce genre, à se laisser dominer par la volonté des autres, et ce n’était pas de beaux yeux comme les siens qui la feraient déroger à sa conduite. Mais c’était difficile, de juste lui tourner le dos, surtout quand elle avait la certitude qu’elle se sentait seule, même si elle avait de beaux enfants auxquels donner assez d’amour pour combler les parties de son cœur abîmés par son mari "Charlie…" qu’elle murmura, elle aussi presque suppliante, quand elle recommença à lui demander de ne pas l’éconduire, lui exposant un plan alternatif qu’elle n’avait aucune vraie raison de refuser cette fois-ci. Qu’est-ce qu’elle ferait après le mariage de toute façon? Elle se repasserait cette conversation — oui, conversation — dans la tête, un sourire carnassier remontant l’une de ses pommettes, se satisfaisant d’avoir remporté une autre manche? Elle pila devant Charlie, à ne pas savoir si elle résisterait encore longtemps, une main revenant trouver son épaule pour mieux équilibrer ses doutes qui dansaient dans son esprit, pas sûrs du rythme à suivre tandis qu’elle était scindée en plusieurs états d’âme; quand Charlie vint écorcher la plus grosse partie d’elle, celle qu’elle ne supportait pas qu’on atteigne, et qui lui fit lui répondre avec les sourcils froncés "Pourquoi, c’est pas pour ça que tu m’as appelée la première fois? Arrête de croire que je suis assez conne pour pas me rendre compte que c’est la seule chose qui t’intéresse et que quand t’aurais réussi, le seul truc qui te reliera à moi, c’est de pouvoir t’en vanter auprès de ton mari." Brusquement, peut-être un peu trop si on s’arrêtait sur la manière dont ses doigts effleurèrent la joue de Charlie sous son mouvement, ses longs ongles devenant menaçants, et qui ne ressemblait en rien à une autre caresse, elle récupéra sa main, l’ego aussi palpitant que son coeur dans sa poitrine "Ça te va bien de jouer les donneuses de leçons, quand t’es à deux doigts de te foutre à genoux pour que j’accepte de rentrer avec toi." Elle laissa un rire lui échapper, un rire ressemblant davantage à un soupir expulsé par le nez, et elle profita de ça pour enfin s’éloigner d’elle en prenant le temps d’ajouter tout de même, la tête se balançant de gauche à droite "C’était bien parti, mais y a fallu que t’ouvres ta grande gueule, putain." Et si ça ce n’était pas l’expression d’un regret aussi amer que le regard qu’elle posa sur elle… i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | | (#)Dim 13 Fév 2022 - 10:42 | |
| "T'es en rogne contre moi?" “Tu voudrais que je réagisse comment, au juste ?”
Bien sûr que Charlie commence à être en rogne contre la brune, sa patience ayant toujours été plus que limitée et sa capacité à accepter les refus tout autant. Son visage ne s’éloigne pas de celui de Jo, elle continue de garder une étincelle d’espoir au fond de son cœur, mais son parfait visage de porcelaine semble déjà se craqueler morceau par morceau. "Charlie…" Ce ton, elle l’emploie de l’exacte même manière lorsqu’elle veut refuser les énièmes avances d’un Trent qui pense encore avoir sa chance, pour une raison ou pour une autre. Elle ne le connaît que trop bien, ayant elle-même bien trop l’habitude de laisser traîner la dernière syllabe du prénom, comme si cela allait suffire pour que la personne face à elle devine, comprenne et surtout accepte toute la suite de la phrase. Pourtant, elle n’apprend pas de ses propres expériences et continue de parler, de s’obstiner dans son entreprise vouée à l’échec. Charlie lui imagine un plan rien que pour elle, elle lui imagine une arrivée tardive à l’appartement qui rimerait avec calme et silence ; elle lui imagine une place entre ses murs comme s’il n’y avait rien de plus normal, alors que tout aurait dû les décider à s’embrasser une fois pour la photo et surtout ne plus jamais se parler à nouveau ensuite. Mais Charlie est têtue, et on ne se refait pas.
"Pourquoi, c’est pas pour ça que tu m’as appelée la première fois? Arrête de croire que je suis assez conne pour pas me rendre compte que c’est la seule chose qui t’intéresse et que quand t’aurais réussi, le seul truc qui te reliera à moi, c’est de pouvoir t’en vanter auprès de ton mari." Et voilà la blonde qui dérape et la brune qui démarre au quart de tour, c’est le moment du film où les protagonistes ne se comprennent plus et où tout vole en éclats. Cette fois-ci, pourtant, il n’existe nulle assurance de happy ending ou de quoi que ce soit de positif suite à cet échange. La jeune mère est fatiguée, trop peu habituée à être la seule à vouloir passer davantage de temps avec la personne face à elle, trop peu habituée à ne pas représenter un objet de désir qu’il faut se battre pour mériter, aussi. “J’ai jamais eu à faire à quelqu’un d’aussi borné que toi, et c’est clairement pas un compliment.” Elle n’essaye même plus de lui faire entendre raison: Jo ne veut pas l’écouter. Elle s’imagine être le dindon de la farce et rien de plus, tout ce qu’elle se contente de faire c’est de goûter aux lèvres de la blonde avant que, selon sa perception des choses, son mari ne revienne déjà en trombe dans le tableau pour réclamer son dû. Léo ne risque pas de revenir de si tôt mais Jo, elle, aurait pu se faire sa propre place à ses côtés si elle osait simplement lui faire moindrement confiance. La mine de la blonde est renfrognée, renfermée ; elle comprend qu’elle n’aura pas ce qu’elle désire et que, pire encore, elles ne sauront pas se quitter en bons termes puisqu’aucune ne souhaite désormais la désescalades des tensions.
Charlie repousse les ongles de l’artiste d’un geste de la main agacé, ne voulant plus le moindre contact avec elle. "Ça te va bien de jouer les donneuses de leçons, quand t’es à deux doigts de te foutre à genoux pour que j’accepte de rentrer avec toi." Josephine rigole à ses propres mots, Charlie n’en est qu’un peu plus vexée encore - bien sûr. “Tu fuis parce que t’as pas le courage de croire que ce que je te dis puisse être vrai.” qu’elle s’intéresse à elle, à Jo, et pas simplement à la jeune femme qui a permis à ces clichés d’être publiés sur internet et à son mari de voir rouge. C’est la Josephine brûlante qui l’intéresse, pas celle qui a participé à un télé-crochet dont Charlie n’a que faire. Mais elle ne veut pas la croire, elle qui se pense éternellement être un bout de viande offert au plus offrant, passant de main en main pour satisfaire les besoins de chacun. Jamais elle ne l’a vu de la sorte, pas même au premier coup d’oeil. Elle existe pour elle-même, Jo, bien avant d’être une personne enrôlée dans un plan de vengeance. Mais elle est sourde, aveugle, et pourtant malheureusement pas muette. "C’était bien parti, mais y a fallu que t’ouvres ta grande gueule, putain." Elle se targue d’être franche, mais quand Charlie l’est à son tour, ses mots lui sont reprochés. Tant pis. La blonde ne change pas pour plaire à autrui, elle ne sait pas faire ça. Elle est elle-même, entière, véritable, peu importe que cela plaise ou non - et tout réside justement dans le fait qu’elle plait toujours, avec ses longs cheveux blonds, ses grands yeux clairs, son nez aquilin et sa langue bien pendue. Ça aurait dû suffire à Jo aussi, mais elle en demande trop. “Va te faire foutre, Jo. T’es d’accord pour être la petite star d’une photo et d’un baiser volé mais dès qu’on te parle comme une adulte, tu fuis.” Il n’a jamais été question de Léo, aujourd’hui. Il n’a jamais été question de témoin, il n’a jamais été question de blesser qui que ce soit non plus - et surtout pas la brune, première concernée. Elle voulait être à ses côtés et l’avoir auprès du sien, comme s’il n’y avait rien de plus logique. Aux yeux de Charlie, ça l’était. Pour ceux de Jo, cela ne le sûrement jamais, et la blonde n’est pas d’humeur à se battre lors du mariage d’un de ses meilleurs amis. Jo peut retourner voir son ami-peut-être-plus-on-sait-pas, sans doute que lui a eu plus de chances pour avoir le droit à son attention. Charlie, elle, tourne déjà les talons, n’affichant qu’un sourire de façade lorsqu’elle approche de ses enfants auprès de qui elle ne laissera pas paraître la moindre émotion négative. |
| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 08/02/2020 | (#)Dim 20 Fév 2022 - 20:43 | |
| ≈ ≈ ≈ {you can't fight fire with fire} crédits gif & code fiche/(maurawrites & malibu) ✰ w/ @"Charlie Ivywreath" Lorsque Charlie souligna qu’elle n’avait jamais eu à faire à quelqu’un d’aussi bornée qu’elle, Jo la regarda sans les yeux, et ce sans ciller, même pas une fois, alors que ses paupières étaient lourdes de faux-cils et de sommeil. Elle l’était, bornée, elle ne s’en été jamais cachée, et ce n’était sûrement pas maintenant qu’elle arrêterait de l’être comme par magie. Il fallait que ce soit une récompense, l’attention qu’elle portait à autrui. Qu’est-ce qu’elle croyait, Charlie? Qu’elle serait logée à meilleure enseigne que tous les gueux de la ville parce qu’elle avait le privilège de la beauté et qu’à la seconde où leurs lèvres s’étaient rencontrées, elle avait su comment s’y prendre pour l’embrasser comme elle aimait qu’on le fasse? Elle avait des défauts, Josephine, une liste longue qui comblait les centimètres qui lui manquaient en hauteur, mais elle n’avait pas celui d’avoir le cœur entre les cuisses. La promesse d’une partie de jambes en l’air n’avait pas la moindre espèce d’influence sur elle et sur sa perception d’elle-même; dans tous les cas, elle savait qu’elle valait toujours beaucoup mieux que ça. Elle ne marchait pas à l’appât du gain, ce n’était pas comme ça qu’elle fonctionnait, et autant elle appréciait être en la compagnie de Charlie, autant elle n’était pas idiote au point de croire que les moments de ce genre qu’elles partageaient à la dérobée resteraient un rituel sur le long terme. Ce n’était qu’un feu de paille auquel elle préférait échapper avant que le tout ne se mette à craquer et que les braises soient emportées par les rafales de la discorde qui faisait déjà irruption dans le dialogue qu’elles échangeaient à ce moment-là. Elle n’était pas courageuse, Jo, surtout pas quand il s’agissait de s’ouvrir à l’expression de ce qu’elle ressentait ou de ce qu’elle ne ressentait pas. Il fallait que ça reste manichéen, c’était essentiel. Il fallait qu’elle soit capable de trancher vite et de ne pas hésiter ou de de ne pas regretter quand elle s’en remettait à son impulsivité. Elle ne se laissait pas le luxe de réfléchir à ses pulsions, encore moins de les rendre rationnelles parce que ça la rendait humaine et qu’elle avait arrêté de l’être dès l’instant où elle avait compris que si elle l’était trop, ça la rendait vulnérable et surtout malléable. On pouvait lui reprocher d’être bornée en effet, mais on ne pouvait pas lui reprocher de vouloir se protéger quand elle sentait qu’elle n’était là que pour colmater les brèches d’un amour-propre écorché. Elle avait déjà assez à faire avec le sien pour se sentir responsable de celui des autres. Chacun ses putains de problèmes.
Celui de Charlie n’était que passager, elle s’en remettrait. Elle avait beau lui conter le bien-fondé des paroles qu’elle lui adressait, le cœur en bandoulière, Jo n’avait confiance en personne et surtout pas en quelqu’un qui lui avait déjà prouvé que la seule chose qui lui venait à l’esprit quand elle était blessée, c’était de faire en sorte de faire plus mal encore. Elle ne la jugeait pas, elle était de ce genre-là, elle aussi, et c’était peut-être pour cette raison d’ailleurs qu’elle préférait se carapater avant que ça ne tourne au vinaigre. Elle ne donnait pas l’impression d’avoir beaucoup à perdre, mais ce n’était pas le cas: il ne lui restait que quelques agrafes qui la rattachaient à l’estime qu’elle se portait, elle ne tenait pas à ce qu’une blonde aux grands yeux brillants d’expectative soit celle qui les fasse sauter pour que son cœur se déverse en gelée informe à ses pieds. Elle avait assez morflé il y avait quatre ans, elle avait assez pris sur elle quand Roman s’était pointé la bouche en cœur il y avait près de neuf mois de ça — merde, pourquoi elle en revenait toujours à lui alors qu’il n’était pas le centre du monde, qu’il avait arrêté de l’être à la seconde où il lui avait lâché la main pour tenir son trophée? Elle carra les mâchoires à son tour, ne préférant pas s’attarder sur ça non plus, préférant se concentrer sur la manière dont Charlie l’envoya se faire foutre, lasse de faire la roue devant un public aussi difficile à convaincre; et là encore, elle savait combien ça pouvait faire mal de tout donner et d’être reléguée à une place peu enviable, alors elle la laissa se barrer sans tenter de la retenir. Pour quoi faire? Elle avait toujours préféré souffler le froid, le chaud elle le laissait à ceux qui étaient assez désespérés pour compter sur le mariage de leur pote pour lever le ou la première venue. Même si Charlie n’était pas la première venue, elle n’était pas non plus autre chose, pas maintenant qu’elle venait de lui montrer une nouvelle facette de sa personnalité qui ressemblait un peu trop à la sienne d’ailleurs tandis qu’elle se braquait parce qu’elle n’avait pas obtenu son dû. C’était peut-être ça la vrai problème au fond, elles se ressemblaient sans doute un peu trop pour que Jo se sente à l’aise à l’idée de passer à la casserole, mais loin d’elle l’idée dans faire la psychanalyse à la con. Elle ne jeta pas de regard à Charlie quand elle passa devant elle sans la toucher, et elle resta un instant à méditer tout de même sur ce qu’elle lui avait lancé en s’en allant sans s’en sentir plus blessée que tout à l’heure; elle ne se demanda pas si elles se reverraient, elle ne se demanda pas non plus si elle avait eu tort de réagir comme elle l’avait fait, elle roula simplement ses lèvres l’une sur l’autre pour chasser les traces de Charlie qui restaient et elle prit une profonde inspiration pour retourner à la table à laquelle Nicholas était toujours installé.
rp terminé. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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