ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
PENNY STRINGER & @ISAAC JENSEN ☽ Thank you for your smile. It's warmer than the fire. Your gentle laughter is sweeter than a choir. I'll never know the right words to choose. So all I can say is thank you
La journée était extrêmement chaude, tout ce qu’il y a de plus typique pour une veille de Noël à Brisbane. Si tu regrettais de ne pas pouvoir passer la journée de Noël à Torquay avec tes parents et ton frère, tu savais que tu avais prise la bonne décision de rester à Brisbane pour célébrer ce premier temps des fêtes auprès de ton amoureux. Isaac devait travailler le 24 pendant toute la journée, ce qui avait stoppé tes plans de vous prendre des billets d’avion pour Melbourne pour le weekend, mais tu comptais bien profiter de cette veille de Noël à ses côtés, surtout que si rien ne changeait, il ne travaillait pas du tout le 25 ce qui voulait dire que tu pourrais profiter de sa présence pendant toute la journée. Ce temps des fêtes était le premier que tu passais avec le Jensen, en plus d’être le seul et l’unique que vous passeriez seulement tous les deux. C’était surréaliste de penser que l’année prochaine à pareille date, vous allez avoir un petit être de quelques mois dans les bras, à aimer et à chérir. Si on t’avait dit l’année dernière que ta vie aurait pris un tel tournant dans les douze derniers mois, jamais tu ne l’aurais cru. Le temps des fêtes 2020 avait été triste et solitaire et tu ne pouvais qu’être reconnaissante du fait que cette année s’annonçait pour être complètement différent. Le simple fait de pouvoir vivre tout ça auprès d’Isaac était à tes yeux le plus cadeau que la vie avait pu te faire.
Tu avais demandé à Isaac de te rejoindre au marché de Noël après son quart de travail à l’hôpital. Tu voulais profiter de voir la ville pleinement décorée tout en découvrant divers artisans locaux ainsi que quelques petites babioles de Noël que tu pourrais acheter pour agrémenter un peu plus le sapin pourtant déjà bien décoré dans votre salon, tout comme tu n’étais pas contre l’idée de trouver des petits cadeaux à emporter à Torquay. Isaac avait posé quelques jours de congé pour le début de la nouvelle année et vous aviez décidé d’aller célébrer chez tes parents, ce que tu attendais avec impatience. Tu avais déjà trouvé quelques décorations à l’effigie du Père-Noël qui feraient sans aucun doute plaisir à ta mère, mais ce sont sur des ornements artisanales que ton attention est portée. Après quelques minutes de discussion à peine et tout autant d’exécution, tu te retrouves avec un ornement personnalisé et ton cœur s’emballe alors que tu ne cesses d’en lire et relire l’inscription. C’est à peine si tu réalises la présence de ton petit-ami qui s’approche rapidement de toi, et tu n’as pas vraiment le temps de cacher l’ornement que déjà, il te fait face. « Regarde ce que j’ai trouvé. » Comme l’effet de surprise est impossible, tu décides de lui montrer, lui tendant la boule de Noël sur laquelle est inscrite Baby Jensen, coming July 2022. « Je suis à douze semaines aujourd’hui. » que tu annonces d’une voix pleine d’émotion. Ce n’est pas une science exacte et les risques existent toujours, mais passé le premier trimestre, les risques de fausse couche diminuent grandement et tu ne peux t’empêcher d’être soulagée à cette idée. « Je me disais que ça mérite une place particulière sur notre sapin, qu’est-ce que tu en penses? »
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tu n'avais jamais été friand des fêtes de fin d'année, tant que cela te convenait généralement de travailler lors des jours de célébration, ce devoir professionnel t'offrant une excuse parfaite pour faire faux bond à quelconques retrouvailles familiales. Ta stratégie rimait possiblement avec l'asociabilité, néanmoins, elle décelait ta manière - qui pouvait certes être aisément décrite de lâche - de t'éviter un volet de l'angoisse que te généraient sournoisement ces festivités. Tu redoutais toujours d'oublier quelque chose - ou quelqu'un, que le repas se passe de travers, que tu sois confronté à une situation malaisante. Tu craignais qu'un maximum d'énergie soit déployée pour que potentiellement, les réjouissances ne soient qu'amères déceptions. En somme, tu nourrissais un tempérament pessimiste, favorisant toujours l'improviste, car selon toi, on ne pouvait jamais rien lui rapprocher, à celui-là.
Cependant, encore une fois, Penny changeait la donne. Sans que tu ne puisses l'expliquer, elle avait gommé tes appréhensions, elle t'avait inoculé peu à peu le goût pour ces reluisantes fêtes de fin d'année. Tu te sentais tel le Grinch conquis par Cindy Lou Who et dorénavant, la seule chose qui te faisait un peu grimacer était que ton planning de travail sur la journée du 24 avait soumis votre jour de Noël, si vous souhaitiez le passer ensemble, à un comité réduit - soit vous deux. La Stringer avait accepté de rester à tes côtés pour votre premier 25 décembre, ce qui t'enthousiasmait et te laissais même trépigner d'impatience. Tu savourais toutes les nouvelles étapes que vous franchissiez en couple, tu chérissais chacune de vos aventures, et Dieu qu'il semblait qu'une route pleine de surprises vous était destinée.
Tu enfilais tes habits de civil puis prenais la voiture jusqu'au marché de Noël tenu sur Queen Street Mall, où ton amoureuse t'avait donné rendez-vous. Fin sourire aux lèvres, tu parcourais les différentes ruelles inspirant la magie de Noël, passant devant bon nombre de talentueux artisans. Tu reconnaissais la silhouette de Penny près d'un petit chalet boisé exposant des ornements pour les traditionnels conifères et t'orientais de bon train vers elle, remarquant qu'elle détenait elle-même une boule de Noël entre ses mains. « Regarde ce que j’ai trouvé. » Tes pupilles intriguées passent du minois de la jeune femme à sa nouvelle acquisition et tu décris l'ornement au sein duquel est inscrit Baby Jensen, coming July 2022. Ton sourire s'élargit spontanément, un éclat d'admiration et de bonheur s'imposant dans ton regard que tu rediriges vers ton interlocutrice. « Je suis à douze semaines aujourd’hui. » « C'est la fin du premier trimestre, » tu calcules rapidement, avant de prendre précieusement la boule dans tes mains, comme pour t'assurer que tout ceci était bien réel et que tu n'étais pas en plein rêve. Un tiers de la grossesse écoulé, cela te semblait aussi divin que magique. Tu espérais également que le second trimestre chasse les nausées qui malmenaient la Stringer depuis le début de cette surprise. « Je me disais que ça mérite une place particulière sur notre sapin, qu’est-ce que tu en penses? » Tu déposes un baiser amoureux sur la joue de ta petite amie et acquiesces vivement. « Oui, une place de choix. Elle est géniale, merci. » Tu reconnaissais l'ingéniosité de l'actrice qui vous laisserait de surcroît un souvenir précieux pour l'avenir. Tu étais en addition encore épaté de comment Penny avait su donner des airs fiers au vieux sapin que tu avais entreposé dans ton grenier, tant que tu te demandais si elle ne s'en était pas débarrassée en douce pour en acheter un plus valeureux. Dans tous les cas, votre salon avait dorénavant joyeuse allure avec cette pièce maîtresse de décoration et tu étais très impatient que cette boule, que tu tenais tel un trésor dans tes mains, le comble comme l'arrivée de ce bébé t'emplissait de félicité. Baby Jensen coming July 2022, tu relisais, peinant encore à saisir cette heureuse mais drastique réalité. Dans quelques mois, vous seriez parents. Il y aurait ce petit être, issu de votre amour, qui mouvementerait votre foyer et vous ferait démarrer un chapitre indubitablement prometteur, à trois. Tu poses doucement ta main libre dans le dos de ta petite amie, l'interroges sincèrement : « Comment tu te sens ? Tu as passé une bonne journée ? » Tu décris son portrait en lui souriant tendrement, avant de poursuivre : « Tu as croisé d'autres stands intéressants ? » Tu demandes, avant de te mordiller discrètement la lèvre inférieure, considérant de nouveau la boule de Noël. « Je suis tellement curieux de voir à quoi il ressemble, et qu'on le rencontre. » Ton cœur se gonfle à cette optique, d'un amour différent mais tout aussi franc que celui qui le fait battre à tout rompre dès que tu es avec Penny ou penses à elle. Tu caresses précautionneusement le dos de ta petite amie, reconnaissant de ce quotidien passé à ces côtés et de ce que la vie vous apportait jusque là - comprenant ces mémorables montagnes russes sur lesquelles elle vous avait embarqués.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
La fébrilité est grande dans les allées du marché de Noël alors que certains se pressent encore ici et là, probablement à la recherche de cadeaux de dernière minute alors que d’autres, comme toi, profitent simplement de cette belle et chaude journée d’été tout en découvrant les différents stands de produits d’artisans locaux. Tu n’avais pas prévu acheter quoique ce soit, tous tes cadeaux prêts, emballés et déposés sous le sapin que tu as généreusement décoré il y a quelques semaines de ça, mais tu n’avais su résister à l’idée de créer un ornement tout spécial pour votre addition à venir. Tu avais beau lire et relire l’inscription que tu venais d’y faire ajouter, la nouvelle semblait toujours surprenante quand bien même tu en ressentais les symptômes un peu plus avec chaque jour qui passait. Ton ventre s’était légèrement arrondi dans les derniers jours et de voir les changements physiques apparaître tranquillement rendaient le tout un peu plus tangible. Ton sourire s’élargit un peu plus lorsque tu remarques la présence d’Isaac tout près de toi et impatiente, tu lui montres ce que tu as déniché quelques instants plus tôt. L’émotion qui transparaît dans le regard de ton amoureux te fait aussitôt plaisir et tu ne peux que t’émerveiller un peu plus à chaque fois que tu réalises l’ampleur du bonheur qui l’habite face à l’idée de devenir père. Tu sais déjà qu’il sera absolument parfait dans ce nouveau rôle et si la panique a été ta première réaction, tu es désormais impatiente et heureuse face à cette petite vie qui va prochainement pointer le bout de son nez dans vos vies. « C’est la fin du premier trimestre. » Tu hoches doucement la tête. Le tiers de cette grossesse déjà derrière toi et tu espérais sincèrement que les deux tiers restants ne seraient pas aussi difficiles au niveau de tes incessantes nausées. « Oui, une place de choix. Elle est géniale, merci. » « Je suis contente qu’elle te plaise. » que tu soulignes, tout sourire alors que tu sens les lèvres de ton amoureux se poser sur ta joue. Le moment était simple et pourtant, rien ne pouvait égaler le bonheur que tu ressentais à cet instant bien précis, dans ce paysage féérique soulignant le temps des fêtes auprès de la personne que tu aimais le plus sur Terre.
« Comment tu te sens? Tu as passé une bonne journée? » « Elle a meilleur goût maintenant. » Tu passes tes bras autour d’Isaac et vient nicher ton visage contre son torse, retrouvant à ses côtés ce sentiment d’être entière à nouveau, comme s’il te manquait un morceau de toi quand il n’était pas là. « Je suis un peu fatiguée, mais ça va. » que tu le rassures. Tu avais beau passé beaucoup de temps à te reposer depuis quelques semaines, limitant tes engagements de bénévolat et n’ayant pris aucun autre contrat en dehors du projet de vidéoclip avec Jordan, la fatigue était sournoise et semblait toujours te rattraper, surtout en fin d’après-midi. « Ça s’est bien passé à l’hôpital? » Tu te recules légèrement et puis tu viens prendre sa main avant de l’inviter à te suivre le long de l’allée du marché. « Tu as croisé d’autres stands intéressants? » Tu fais signe que oui de la tête, un sourire espiègle sur le visage. « Il y en avait un avec pleins de sucreries, un peu plus loin par-là. » que tu pointes de ta main libre. Le chocolat étant l’un des seuls aliments de ta diète qui ne te rendait pas malade, ta dent sucrée n’avait fait que prendre de l’expansion. « Tu cherches quelque chose en particulier? Des cadeaux de dernière minute à faire peut-être? » que tu demandes, jouant de tes sourcils légèrement avant d’échapper un rire. Tu ne savais pas encore dans quelle catégorie Isaac tombait, s’il était comme toi préparé à l’avance ou s’il était plutôt dernière minute. À en croire le calendrier de l’avent qu’il t’avait fait toutefois, tu penchais plutôt sur le genre organisé. « Je suis tellement curieux de voir à quoi il ressemble, et qu’on le rencontre. » Ton cœur se met à battre plus fort lorsqu’il revient sur le sujet de votre enfant à naître et tu baisses les yeux sur ton ventre, y déposant l’une de tes mains. « Moi aussi. J’ai hâte de pouvoir le sentir bouger là-dedans. » Tu étais consciente qu’il restait sans doute encore deux ou trois mois avant que tu ne puisses sentir des coups, mais tu te faisais de plus en plus impatiente de voir ta grossesse progresser. « Tu penses que ce sera un garçon ou une fille? » Il était encore trop tôt pour dire et tu étais incapable de t’imaginer l’un ou l’autre, mais tu étais curieuse de savoir si Isaac y avait donné la moindre attention, ou s’il avait une préférence quelconque. « Tu aimerais que ce soit quoi, toi? » Tu tournes la tête légèrement pour croiser son regard, ton pouce caressant doucement l’envers de sa main.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Le parfum du rêve éveillé t'envoûte tandis que Penny, minois ravissant, te démontre la boule de Noël personnalisée qu'elle vient d'acquérir. Des lettres gravées renseignent Baby Jensen, coming July 2022, hissant cet ornement festif aux rangs de tes plus beaux souvenirs. Émerveillé de tous ces changements s'opérant dans ta vie depuis que tu as rencontrée la Stringer, comblé de ces émotions et événements améliorant chaque jour drastiquement ton quotidien, tu peines à décrocher ton regard contemplatif de ce futur annoncé auprès de ton amoureuse, que chaque semaine confirme davantage tout en apportant son lot de nouveaux éléments.
Tes pupilles retrouvent celles de l'actrice quand elle te précise atteindre les douze semaines de grossesse aujourd'hui, un sourire purement heureux et amoureux illuminant ton portrait. Tu calcules que le premier trimestre tire ainsi à sa fin et espères pieusement que les nausées qui malmènent Penny depuis le début de cette aventure se dissipent, tout comme lui souhaites que les prochains trimestres se passent aussi aisément que possible. Ne quittant pas la boule de Noël des mains, tu assures que celle-ci détiendra une place de choix sur ce sublime sapin que ton amoureuse a érigé dans votre salon, pièce maîtresse des autres magnifiques décorations dont elle a orné la demeure. Tes lèvres viennent se poser tendrement sur la joue de ta petite amie, valorisant absolument tout ce qu'elle apportait dans ta vie, jusqu'à cette maison qu'elle transformait en votre foyer et ces nouvelles traditions que vous créiez ensemble.
Intéressé, tu demandes à la vingtenaire comment elle se sent et s'est passée sa journée. « Elle a meilleur goût maintenant. » Ses bras entourent ta taille et tu caresses délicatement ses cheveux alors que sa joue se pose contre ton torse. « La mienne aussi, » tu déclares avant que ta petite amie ne t'indique bien aller malgré sa fatigue. Ta mère demeure dans son dos, continuant ses caresses. « Ça s’est bien passé à l’hôpital? » Tu acquiesces et vos doigts s'entremêlent. « Oui, on a terminé de décorer le service, » tu informes. « J'ai fait un plâtre aux couleurs du Grinch, » tu ajoutes, amusé, ressassant la visite d'un brave garçonnet au bras fracturé. Tu balaies le marché du regard, t'enquérant sur les différents stands que Penny aurait peut-être eu le temps d'arpenter avant que tu ne la rejoignes. « Il y en avait un avec pleins de sucreries, un peu plus loin par-là. » Un léger rire entendu file entre tes lèvres, le rictus espiègle affiché sur le visage de Penny ne t'est pas passé inaperçu. « Je serai curieux de voir ça, » tu soumets alors que vous vous orientez vers le petit chalet.
« Tu cherches quelque chose en particulier? Des cadeaux de dernière minute à faire peut-être? » Tu mordilles doucement ta lèvre inférieure, lorgnant avec malice vers Penny. « J'ai peut-être encore quelques surprises à ajouter ici et là... » Tu avoues, joueur, toutefois assez satisfait d'avoir emmagasiné le plus gros des présents. Tu n'étais pas très friand des achats à la dernière minute et étais assez horrifié à l'idée de te retrouver la veille de Noël confronté à des oublis ou des manques. Ton attention se reporte à la boule de Noël personnalisée, conscient que l'année prochaine, vous serez trois à le célébrer. Tu ne pouvais que t'imaginer ce à quoi ressemblerait votre quotidien avec ce petit être qu'il te tardait de rencontrer, ce que tu avouais à ton amoureuse. « Moi aussi. J’ai hâte de pouvoir le sentir bouger là-dedans. » Tu souris tendrement, tes iris se posant momentanément sur le ventre légèrement arrondi de l'australienne. « Tu penses que ce sera un garçon ou une fille? » Tu hausses les sourcils, assez surpris de cette question, tes doigts toujours liés à ceux de Penny. « Tu sollicites mon intuition masculine ? » Tu répliques avec taquinerie. « Il y a pas mal de trucs de grand-mère pour essayer de le deviner, » tu te rappelles, bien qu'ils t'étaient assez peu crédibles. Tu avais aussi déjà entendu des mères expliquer avoir eu différents symptômes lors de leur grossesse selon le sexe de leur enfant. Peut-être cette expérience première vous sera utile si jamais vous avez un second enfant et tentez de deviner à l'avance s'il s'agira d'une fille ou d'un garçon. « Je ne sais pas du tout. Honnêtement, je ne me suis jamais trop imaginé si c'était un garçon ou une fille. » Tu réfléchis quelques instants, comme si des indices germeraient dans ton esprit pour te positionner sur l'une des deux options. « Tu aimerais que ce soit quoi, toi? » Son pouce caresse le dos de ta main et un sourire en coin titille tes lippes. « Est-ce que c'est too much si je te dis que j'aimerais un jour une mini toi ? » Tu te plairais indéniablement à retrouver ces facettes de Penny que tu aimais tant chez votre enfant. « Que ce soit un garçon ou une fille, je ne serai jamais déçu, je l'aime déjà beaucoup trop. Mais j'espère qu'il ou elle héritera de beaucoup de tes traits. » Tu avouais. « Et toi ? Qu'est-ce que tu en penses et aimerais ? » Tu questionnes curieusement.
« Isy ! » une voix fluette t'incite à tourner la tête vers ta droite et tu reconnais spontanément ta nièce, accompagnée d'un jeune homme de son âge. L'adolescente accourt rapidement vers vous, large sourire aux lèvres. « Salut Keila ! Comment tu vas ? Tu fais tes courses de Noël ? » Tu demandes avec complicité. « Je te présente Penny, ma petite amie. Penny, voici Miss Keila, ma nièce, » l'adolescente rit doucement, assurant : « Ravie de te rencontrer. J'ai déjà entendu parler de toi. » Le regard que ta nièce t'offre en dit long sur ce que ta sœur a pu éventuellement relater, ce qui t'incite à interroger, tout en voilant discrètement la boule de Noël, pas convaincu que la collégienne l'ait remarquée et te remémorant que Penny et toi avez décidé d'annoncer que vous attendiez un enfant plus tard : « Ta mère est là aussi ? » « Non, je suis juste avec Ethan. » La brune fait signe à son compagnon de la rejoindre, et tu considères plus sérieusement le garçon alors que Keila le prend par la main. « C'est mon petit copain, » elle chasse tes soupçons et tu t'entends commenter : « Ah oui. » L'étudiante s'esclaffe, faisant : « N'aies pas l'air si surpris. » Tu souris avec sincérité. « Non, c'est pas ça. C'est juste que j'ai encore tendance à t'imaginer comme une petite fille. » tu avoues. « Enchanté, Ethan, » tu prononces machinalement, toujours décontenancé, prêt toutefois à veiller au grain. « On cherche une idée de cadeau pour Adam. Maman s'en va avec lui au Nouvel An. » « Ah oui ? » tu répètes sur un ton tout aussi indécis. Adam ? Tu n'avais jamais entendu parler d'un tel homme et soudainement, tu reconnaissais là un coup de ta cadette pour se venger de la manière inopinée via laquelle elle avait rencontré Penny. « Elle n'a pas encore dit oui. T'es encore au stade où t'essaies de la convaincre, babe, » corrige Ethan, ce qui fait Keila hausser ses épaules, désinvolte. « Vous faites quoi au Nouvel An, vous ? Vous avez fait des achats sympas ici ? » L'adolescente s'enquière à la recherche d'éventuels acquisitions que vous auriez pu faire, puis fixe ta main dissimulée.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« La mienne aussi. » Tu resserres ton étreinte autour de sa taille légèrement, t’imprégnant complètement de son parfum et de sa chaleur, simplement contente de le retrouver après ce que tu devines avoir été une journée occupée pour lui. « On a terminé de décorer le service. J’ai fait un plâtre aux couleurs du Grinch. » Tu ris doucement, trouvant le choix intéressant, bien que tu devines facilement que le grand bonhomme vert soit très populaire auprès des enfants à cette période-ci de l’année. Tu es contente de voir qu’il ne semble pas y avoir eu de grands drames aux urgences en cette journée festive, mais tu l’es encore plus de savoir qu’Isaac t’appartient pour les deux prochains jours afin de pouvoir dignement fêter votre premier Noël ensemble. Tu étais excitée à l’idée de créer de nouvelles traditions à ses côtés, d’autant plus que cette boule qu’il tenait entre ses doigts était un rappel que d’ici quelques mois, vos vies seraient chamboulées à tout jamais et que ce temps seulement vous deux était plus précieux que jamais. « Je serai curieux de voir ça. » Ton sourire s’élargit à l’idée même de le convaincre de prendre un peu de tout à ce stand qui offrait moult friandises sucrées en tout genre. « J’espère que tu as faim. » que tu lances en riant. Comme si tu allais vraiment lui lancer l’occasion de prendre une bouchée de tes sucreries. La vérité, c’est que tu as préparé plusieurs petites bouchées en tout genre (et tu es presque honteuse d’admettre qu’il y en a beaucoup plus que prévu qui sont des desserts) pour agrémenter votre premier réveillon ensemble. Tu es aussi curieuse de prendre un peu de temps pour découvrir tout ce qui est offert au marché de Noël, ambitionnant à faire partie des gens qui sont là pour relaxer et se perdre dans la magie de Noël plutôt que ceux qui sont pressés à la recherche de cadeau à mettre sous leur sapin ce soir.
Ça ne t’empêche pas d’être curieuse sur les intentions d’Isaac alors que tu lui demandes avec malice s’il a terminé ou non ses achats. « J’ai peut-être encore quelques surprises à ajouter ici et là… » Tu secoues la tête, peu surprise de l’entendre. Isaac était ce genre de personnes qui peinait à se mettre une limite quand venait le temps de faire plaisir à ceux qu’il aime. Dès le moment où tu l’avais rencontré, il avait constamment su te surprendre avec des petites attentions ici et là, rappelant à quel point il portait attention à tous les détails que tu lui partageais de ta personne. La dernière preuve en liste se trouvait à être ce calendrier de l’avent fait maison qu’il t’avait offert, chaque jour du mois de décembre t’offrant petite douceur ou petite attention, ne te rendant qu’un peu plus impatiente pour la journée de demain. « Ça me fait penser que j’ai oublié d’ouvrir le cadeau de mon calendrier de l’avent ce matin… » C’était la dernière journée et tu étais curieuse de voir de quoi était composée cette dernière pensée particulière qu’Isaac avait préparé pour toi. « Tu sais que me gâtes trop? » que tu souffles, aussi amusée que reconnaissante. « J’ai peur que notre enfant soit gâter-pourri. » que tu annonces, connaissant ton amoureux assez bien qu’il n’y aurait aucune limite à ce qu’il serait capable de faire pour le plaisir de votre enfant à venir. « Tu sollicites mon intuition masculine? » « Pourquoi pas? » « Il y a pas mal de trucs de grand-mère pour essayer de deviner. » Tu hoches la tête. Il te semble avoir entendu ça quelque part par le passé, mais tu ne peux pas dire que tu te souviennes de quoi que ce soit. « Est-ce que tu en connais? » que tu interroges, curieuse. « Qu’est-ce qu’ils disent pour les futures mamans qui souffrent de terribles nausées et qui ont un penchant marqué pour le chocolat? » que tu rajoutes en riant de bon cœur. Il te fallait prendre ça avec le rire autant que possible, bien que les nausées se faisaient de plus en plus handicapantes dans ton quotidien. « Je ne sais pas du tout. Honnêtement, je ne me suis jamais trop imaginé si c’était un garçon ou une fille. » Tu secoues légèrement la tête. « Moi non plus. » Peut-être parce que c’était encore trop tôt et que ça viendrait avec le temps. Peut-être parce que la nouvelle en elle-même te semblait encore irréelle trop souvent pour que tu puisses te projeter dans le futur, bien que celui-ci s’approchait peu à peu avec chaque nouvelle journée que tu avais la chance de vivre aux côtés d’Isaac. « Est-ce que c’est too much si je te dis que j’aimerais un jour une mini toi? » « Juste un peu. » que tu réponds rapidement en riant, bien que tu puisses sentir tes joues se rougir sous le commentaire touchant de ton amoureux. « Que ce soit un garçon ou une fille, je ne serai jamais déçu, je l’aime déjà beaucoup trop. Mais j’espère qu’il ou elle héritera de beaucoup de tes traits. » « Je peux facilement dire la même chose de toi. » que tu renchéris, ton regard amoureusement posé sur l’infirmier. « J’espère qu’il ou elle sera aussi bon, aussi attentionné et aussi généreux que toi. » Tu pourrais continuer longtemps sur cette lancée, tant tu trouvais que ton amoureux était l’une des plus belles personnes que tu eusses la chance de rencontrer, chose que tu ne cessais jamais de lui rappeler d’ailleurs. « Et puis s’il ou elle pouvait avoir tes beaux yeux, ce serait définitivement un plus. » que tu ajoutes sur une touche un peu plus humoristique avant de venir lui voler ses lèvres une nouvelle fois. « Et toi? Qu’est-ce que tu en penses et aimerais? »
Tu n’as pas le temps de lui répondre à nouveau qu’une petite voix interrompt votre conversation en prononçant le surnom de ton amoureux. « Isy! » Tu tournes la tête en direction de la jeune adolescente qui marche en votre direction, reconnaissant vaguement le visage jusqu’à ce que tu te souviennes l’avoir vu sur des photos de famille d’Isaac. Si tu ne te souviens pas de son prénom vite comme ça, tu es presque certaine qu’il s’agit de la nièce du Jensen. « Salut Keila! Comment tu vas? Tu fais tes courses de Noël? Je te présente Penny, ma petite-amie. Penny, voici Miss Keila, ma nièce. » Tu souris chaleureusement tout en lui offrant un signe de la main, contente de savoir que tu parviens toujours à être perspicace. « Ravie de te rencontrer. J’ai déjà entendu parler de toi. » « Ça me fait plaisir aussi. » que tu renchéris, sans trop savoir si tu devais relever le fait qu’elle ait entendu parler de toi. Ta rencontre avec sa mère n’avait pas été des plus conventionnelles, mais c’était tout de même bien passé à ton avis, vu la situation. « Ta mère est là aussi? » « Non, je suis juste avec Ethan. » Elle fait signe à un garçon de son âge et ce dernier s’approche doucement de votre trio. « C’est mon petit copain. » qu’elle annonce fièrement, tout en lui prenant la main. « Ah oui. » « N’aies pas l’air si surpris. » « Non, c’est pas ça. C’est juste que j’ai encore tendance à t’imaginer comme une petite fille. Enchanté, Ethan. » Tu souris, trouvant ton amoureux drôlement adorable dans son rôle d’oncle protecteur alors qu’il ne peut s’empêcher de dévisager légèrement le jeune homme qui ne lâche toujours pas la main de sa nièce. « On cherche une idée de cadeau pour Adam. Maman s’en va avec lui au Nouvel An. » « Ah oui? » Tu écoutes la conversation sans trop suivre, tes doigts toujours entremêlés à ceux d’Isaac alors que tu remarques qu’il fait de son mieux pour camoufler la boule dans sa main libre. « Elle n’a pas encore dit oui. T’es encore au stade où t’essaies de la convaincre, babe. » Tu te retiens de rire à entendre le petit Ethan appeler sa petite-amie babe, et puis ton regard se reporte sur Keila qui reprend la parole. « Vous faites quoi au Nouvel An, vous? Vous avez fait des achats sympas ici? » Tu vois que son attention est portée sur la main de ton amoureux qui tient toujours la boule maladroitement camouflée, alors tu réponds rapidement à sa prochaine question espérant que cela soit suffisant pour la distraire. « On part quelques jours chez mes parents, et j’ai prévu une petite escapade surprise pour ton oncle. » Mais c’est à peine si la gamine t’écoute, son regard toujours rivé sur ce qu’Isaac tient. Elle finit même par pointer sa main en demandant : « C’est quoi ça? » Tu échanges un regard légèrement paniqué avec Isaac et prétend ne pas avoir attendu la question. « On vient tout juste d’arriver donc on a pas vraiment eu le temps de voir les différents stands, mais j’en ai remarqué un avec pleins de sucreries. » Tu n’es pas du tout obsédée, voyons. Tu es seulement un peu désespérée à changer les idées de Keila, sans succès. « Montre, c’est une boule de Noël? » qu’insiste la jeune fille, tentant de prendre l’ornement des mains de son oncle.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tes mains caressent tendrement le dos de Penny que tu viens de retrouver au sein du marché où règne l'ambiance festive générée par les fêtes imminentes. Tes lèvres se posent délicatement sur sa tempe, bien heureux de terminer cette journée aux côtés de ton amoureuse et d'entamer les célébrations de votre premier Noël ensemble. Tu étais impatient de créer ces nouvelles traditions avec la jeune femme, coutumes qui seraient l'an prochain de surcroît partagées avec la merveilleuse surprise qui croissait sous le nombril de ta petite amie. Tu peinais encore à saisir tout le réalisme des circonstances dans lesquelles vous évoluiez, ayant constamment la sensation d'être en plein rêve. Cependant, tu préférais grandement savourer chaque instant de cette félicité plutôt que craindre un potentiel réveil.
Penny attire ton attention sur un stand mettant en vente plusieurs sucreries et tu avoues ta curiosité aguichée. « J’espère que tu as faim. » Tu acquiesces, sentant ton ventre gargouiller légèrement à cette évocation. « Je n'ai pas trop eu le temps de manger, » tu avoues. Tu avais certes grignoté entre des patients et décorations, la période voulant que vous receviez parfois d'agréables dons de douceurs faites maison, gages de la reconnaissances d'anciens patients et de leur famille, mais tu n'avais pas entrepris de te poser réellement pour avaler ton lunch, priorisant des tâches à accomplir pour le service. Tu perçois Penny s'enquérir sur ton avancée des achats de Noël et tu conserves ton sourire, joueur, te laissant aller au mystère en soumettant que tu étais possiblement en quête de surprises supplémentaires. La vérité était que si tu avais techniquement terminé tes achats depuis deux semaines, tu étais constamment à l'affût de quelques petits ajouts pour surprendre tes proches et leur faire plaisir. Les bas de Noël avaient toute leur magie à tes yeux, tu extrayais un incommensurable plaisir à y glisser des petits présents de toutes sortes, et l'une de tes priorités avait été de t'assurer que la Stringer en possédait bien un. « Ça me fait penser que j’ai oublié d’ouvrir le cadeau de mon calendrier de l’avent ce matin… » Tu poses ton regard sur ton interlocutrice, pas fâché de pouvoir être présent quand elle découvrira la dernière case, clou final de ta création. « Je pourrais t'accompagner, comme ça, » tu suggères avec espièglerie, assez curieux de la réaction de ta petite amie lorsqu'elle prendrait connaissance du contenu de la vingt-quatrième case. « Tu sais que me gâtes trop? » Tu hoches la tête en signe de dénégation, refusant avec jeu cette éventualité. « Non, impossible. » Tu émets avec complicité, fier rictus aux lippes. « J’ai peur que notre enfant soit gâté-pourri. » Tu te mordilles doucement la lèvre inférieure, conscient qu'il était fort possible qu'en effet, votre enfant soit gâté. « Je promets d'essayer fort de le gâter sans le pourrir, » tu t'engages sur une voix s'essayant à des négociations. Lorsque la Stringer t'interroge sur tes prédictions quant au sexe de votre futur enfant, tu demeures quelques temps songeur, réalisant que tu ne t'étais jamais vraiment penché sur cette question, pourtant très pertinente, avant aujourd'hui. Tu évoques les quelques astuces de grands-mères, bien que tu ne leur portais pas une croyance particulière. « Est-ce que tu en connais ? » Tu hoches la tête à l'affirmative, te remémorant la grossesse de ta sœur et des nombreux procédés tentés pour déterminer le sexe de son enfant. « Quand Phoebe était enceinte, beaucoup s'y sont mis à cœur joie pour essayer de deviner si elle allait avoir une fille ou un garçon. » « Qu’est-ce qu’ils disent pour les futures mamans qui souffrent de terribles nausées et qui ont un penchant marqué pour le chocolat? » Tu poses ton regard sur ta petite amie, souriant avec compassion vis-à-vis de ces récalcitrantes nausées qui compliquent sa vie de tous les jours. « Qu’elles feront d'excellentes mères douces et patientes, » tu valorises, tout en espérant toutefois qu'avec le terme du premier trimestre, les haut-le-cœur qui compliquaient le quotidien de ta petite amie s'estomperaient. « J'ai entendu des femmes qui avaient eu plusieurs enfants qui avaient dit avoir eu des nausées lorsqu'elles étaient enceintes de leur fille mais pas de leur garçon ou inversement, » tu remémores. Peut-être que cela vous guiderait si jamais vous souhaitiez avoir un autre enfant et si Penny avait une grossesse sans nausée pour celle-ci.
Tu es rassuré lorsque l'actrice te répond ne pas non plus s'être projetée sur le sexe de votre bébé. A défaut de vous trouver aux étapes où vous investissiez dans les affaires de bébé, préparez une chambre dans votre maison et choisissiez même un prénom, tu te plaisais toutefois à imaginer les qualités que tu aimerais retrouver chez votre progéniture, traits qu'il ou elle hériterait bien entendu de sa mère. « Est-ce que c’est too much si je te dis que j’aimerais un jour une mini toi? » « Juste un peu. » Tu ris doucement. « Mince, tant pis, je maintiens quand même, j'assume. » Tu fais avec plaisir, déposant un baiser sur la joue rosée de ton amoureuse. « J’espère qu’il ou elle sera aussi bon, aussi attentionné et aussi généreux que toi. Et puis s’il ou elle pouvait avoir tes beaux yeux, ce serait définitivement un plus. » Tu ris doucement, les lèvres de Penny se pressent amoureusement contre les tiennes. « Je pensais pas que j'avais de beaux yeux, » tu soulèves avec taquinerie. « C'était un des arguments pour que tu swipes à droite ? » Tu poursuis avec humour. « Je t'aime, » tu glisses avant de lui dérober un autre baiser. « Cet enfant sera vraiment chanceux de t'avoir comme maman. » Tu déclares avec une assurance inébranlable. « Il va grandir avec de très belles valeurs, avec ta bienveillance, ton écoute et ta bonté. Sans oublier ta capacité à te défendre en restant toujours très respectueuse. » Tu admirais le fait que tout en étant doté d'un cœur d'or, Penny savait également ne pas se laisser marcher sur les pieds. Tu n'avais aucun doute sur l'épanouissement futur de votre descendance, quand tu reconnaissais de prime abord à quel point Penny était douée pour apaiser les maux, écouter les peines, et savoir exactement quoi dire ou quoi faire pour résoudre tout chagrin et apporter de la joie. Tu l'avais vue à l'œuvre auprès des petits patients de Saint Vincent's, et elle se montrait également toujours d'un indéniable soutien ou d'une attention sans faille lorsque tu lui parlais dans l'intimité de votre couple. Tu adorais son empathie et ressentais une grande fierté et reconnaissance à l'idée que vous éleviez prochainement un enfant ensemble. « Il sera heureux. » Entouré de cet amour inconditionnel dans ce foyer que vous bâtissiez de vos personnalités et aspirations, tu étais convaincu qu'il ne pouvait être autrement. Votre histoire suivait certes un rythme très soutenu, cela ne s'opposait pas au bien-être que tu prédisais.
Tu t'intéresses aux prédictions de ta petite amie mais celles-ci se voient aveuglées par la présence enthousiaste de ta nièce, Keila. Tu présentes l'adolescente à ta petite amie et inversement, puis découvres que cette première est en couple avec un jeune de son âge et que ta sœur passera possiblement le Nouvel An avec un Adam que tu ne connais, sans mauvais jeu de mot, ni d'Adam ni d'Eve. Tu t'efforces de dissimuler la précieuse boule de Noël qu'a acquis Penny plus tôt, ne voulant pas dévoiler la nouvelle avant le repas de famille imminent, mais tu lis dans le regard de Keila une curiosité exponentielle. « On part quelques jours chez mes parents, et j’ai prévu une petite escapade surprise pour ton oncle. » Tu souris en coin à Penny, trépignant d'impatience vis-à-vis de cette escapade surprise, comme de découvrir où Penny avait grandit et de passer plus de temps avec ses proches, espérant avec appréhension que ceux-ci t'apprécieraient sur ces plusieurs jours. « C’est quoi ça? » Busted, son index accuse ta main dissimulée. « On vient tout juste d’arriver donc on a pas vraiment eu le temps de voir les différents stands, mais j’en ai remarqué un avec pleins de sucreries. » Nice try, Penny, nice try. « Autant tirer profit de ce que les fêtes de fin d'année ont à offrir. » Mais on sait tous que tu offriras des sucreries à l'année longue à Penny si cela lui faisait plaisir et ne nuisait pas trop à sa santé. « Montre, c’est une boule de Noël? » « C'est une surprise pour le repas de Noël chez ta soeur, il te faudra attendre encore un peu pour le découvrir, » tu articules sur une intonation à la fois douce mais sans appel, invoquant un rictus déçu sur le portrait de ta nièce. « Même pas un indice ? » Elle marchande avec espièglerie. « T'es pas loin, » tu accordes, provoquant un large sourire satisfait à Keila. Tu remarques Ethan qui tire discrètement sur sa main, puis l'adolescente indique : « On doit y aller. Ca m'a fait plaisir de vous voir, à la prochaine ! » « Amusez-vous bien, à bientôt. » Tu formules alors que les deux jeunes disparaissent rapidement et tu ne peux t'empêcher de les regarder avec suspicion. « Je serais curieux de savoir ce qu'elle va offrir à ce fameux Adam, au train où ils partent, » tu fais en stoppant toutefois ton imaginaire sur les futures activités de ta nièce avec son acolyte. « Direction les sucreries ? » tu suggères à ta petite amie. « Ce sont lesquelles, tes fêtes favorites dans l'année ? » tu demandes ensuite avec curiosité. Tu avais pour l'instant eu l'occasion de célébrer avec elle son anniversaire, Thanksgiving - bien que dans des circonstances à préférentiellement ne pas renouveler - et bientôt Noël et le Nouvel An, et tu étais curieux de connaître sa position sur les autres festivités rythmant chaque année.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
« Je pourrais t’accompagner comme ça. » Tu hoches la tête, trépignant déjà d’impatience de découvrir cette dernière pensée qu’Isaac avait concocté spécialement pour toi dans le cadre de ce calendrier de l’avent ô combien spécial. Tu n’avais jamais connu quelqu’un d’aussi attentionné qu’Isaac et tu étais constamment étonnée et ébahie de tout le temps et l’effort qu’il mettait pour renouveler les petites attentions offertes, ces dernières toujours un clin d’œil à une confidence faite par le passé ou à un moment passé ensemble. Tu clames être trop gâtée, il réfute sans surprise et tu ne peux que rire doucement alors que tu imagines déjà votre enfant être pourri-gâté pour toutes les attentions d’Isaac, mais aussi par ton incapacité à dire non, même si ça, tu t’abstiens de le mentionner pour le moment. « Je promets d’essayer fort de le gâter sans le pourrir. » Tu hoches la tête doucement, l’air de dire j’ai bien hâte de voir ça, même si tu sais d’avance que tu seras complètement sous le charme d’Isaac – plus que tu ne l’es déjà – quand il aura ce petit bout d’humain que vous avez créer tous les deux dans les bras. Si tu peines à t’imaginer toi-même avec un enfant dans les bras, l’image d’un Isaac papa te vient naturellement, facilement. « Quand Phoebe était enceinte, beaucoup s’y sont mis à cœur joie pour essayer de deviner si elle allait avoir une fille ou un garçon. » Tu ne doutais pas que ce serait bientôt le cas parmi ton entourage. Tu imaginais déjà ta mère faire toute sorte de prédictions, elle qui pensait ne jamais voir le jour où elle deviendrait grand-mère, puisque tu avais très longtemps accordé bien plus d’importance à ta carrière qu’à tes amours. « Qu’elles feront d’excellentes mères douces et patientes. » « Flatteur. » que tu rétorques aussitôt, quand bien même le teint rosi de tes joues et le sourire sur tes lèvres témoignent du plaisir que tu éprouves à l’entendre dire de telles choses. Tu ne sais pas quel genre de mère tu seras, tu espères seulement être à la hauteur de ce rôle à ses côtés. « J’ai entendu des femmes qui avaient eu plusieurs enfants qui avaient dit avoir eu des nausées lorsqu’elles étaient enceintes de leur fille mais pas de leur garçon ou inversement. » Tu secoues la tête avec un rire. « On va commencer par ce bébé-là et on verra plus tard pour des possibles comparaisons. » que tu annonces de suite. Tu te faisais encore à l’idée de cette première grossesse surprise, tu étais loin d’être en mesure de t’imaginer répéter rapidement l’expérience, surtout vu la manière dont les nausées te malmenaient depuis les tout débuts.
« Mince, tant pis, je maintiens quand même, j’assume. » Tu sens les lèvres d’Isaac qui se posent doucement contre ta joue et tu serres ses doigts un peu plus fort contre les tiens, complètement bien et comblée dans ce petit moment simple de votre quotidien qui, tu ne pouvais que l’espérer, représenterait bien des moments dans ce genre à venir dans votre futur. Ce petit jeu dans lequel vous commencez doucement à imaginer ce petit être qui pousse dans ton ventre t’amuse plus qu’il ne t’effraie – un très bon signe à ton avis sur ta panique qui descend de plus en plus – et tu y prends goût, aimant à t’imaginer un petit être aussi doux et généreux qu’Isaac peut l’être. « Je pensais pas que j’avais des beaux yeux. » Tu hoches la tête doucement, un sourire plein de malice sur les lèvres. « C’était un des arguments pour que tu swipes à droite? » Tu éclates de rire, alors que tu secoues la tête de gauche à droite cette fois-ci. « Ce ne sont pas vraiment tes yeux qui étaient mis en valeur sur ton profil Tinder. » que tu lui rappelles entre deux rires. « Mais c’est la première chose que j’ai remarqué lors de notre premier rendez-vous. » que tu te remémores avec affection. « Je t’aime. » « Je t’aime. » Des mots que vous échangez souvent, mais qui ne perdent jamais la moindre parcelle de leur signification, de ceux que tu ne pourrais jamais te tanner de lui dire comme d’entendre. « Cet enfant sera vraiment chanceux de t’avoir comme maman. » Ton regard croise celui de ton amoureux et l’assurance avec laquelle il prononce ces quelques mots te fait du bien. Tu n’as jamais eu peur de ne pas être à la hauteur de quelque chose que depuis que tu sais que tu vas devenir mère dans quelques mois et même si tu fais ton possible pour ne pas te laisser submerger par cette crainte, ça te fait toujours du bien d’entendre la confiance qu’Isaac te porte. « Il va grandir avec de très belles valeurs, avec ta bienveillance, ton écoute et ta bonté. Sans oublier ta capacité à te défendre en restant toujours très respectueuse. » Tu échappes un petit rire à l’entente de ses derniers mots. Tu ne sais pas si c’est tout à fait vrai, tu évites les conflits autant que possible même si tu sais répliquer, parfois sans réfléchir, mais tu préfères la vision que ton amoureux a de toi et c’est d’un énième baiser que tu le remercies pour ses bons mots. « Il sera heureux. » « On fera tout pour. » Et de ça, tu n’avais pas le moindre doute.
La conversation se termine abruptement alors que la nièce d’Isaac et son petit-ami apparaissent dans le décor et force votre silence puisque la nouvelle n’a toujours pas été annoncé dans vos familles respectives et vous n’aviez pas prévu lui annoncer ta grossesse ici et maintenant, mais plutôt le lendemain lors d’un souper chez Phoebe. Mais Keila remarque la boule de Noël que tu viens d’offrir à ton amoureux et tes petites tactiques pour attirer son attention sur autre chose s’avèrent être complètement futiles lorsque la jeune fille ne cesse de questionner son oncle. « C’est une surprise pour le repas de Noël chez ta mère, il te faudra attendre encore un peu avant de le découvrir. » Et pour une surprise, ça en serait une grosse. « Même pas un indice? » « T’es pas loin. » Tu ne sais pas si ça suffit à combler la curiosité de Keila, mais son petit-ami tire déjà sur sa main dans un signe universel qui lui rappelle qu’ils doivent continuer leurs achats et rapidement, le jeune couple disparaît dans la foule aussi vite qu’il n’est apparu. « Je serais curieux de savoir ce qu’elle va offrir à ce fameux Adam, au train où ils partent. » « Moi je suis seulement soulagée qu’elle n’ait pas vu la boule. » que tu lui avoues avec un léger soupir. Tu ne sais pas si vous auriez été en mesure de la convaincre de ne rien dire à sa mère, même pour seulement une journée et tu redoutes déjà la réaction de Phoebe sans avoir à ajouter d’autres variables à cette équation. « Direction les sucreries? » Tu fais un large signe que oui de la tête, ton appréhension rapidement troqué pour une excitation digne d’une petite fille. « Ce sont lesquelles, tes fêtes favorites dans l’année? » « Celles-ci. » que tu réponds sans la moindre hésitation. « Ma mère a toujours fait les choses en grand pour Noël et le jour de l’an, c’est un temps de l’année que j’adore et que j’attends toujours avec impatience. » que tu lui confies alors que vos mains se lient de nouveau et que vous prenez le chemin jusqu’à ce stand de sucreries que tu lui as mentionné un peu plus tôt. « Je suis impatiente qu’on crée nos propres traditions. » Même si tu savais que le travail d’Isaac ne pourrait pas toujours lui permettre d’être complètement présent, que ce soit pour Noël ou pour le premier jour de l’année, tu avais bien l’intention d’adapter certaines de tes traditions préférées pour pouvoir les partager avec lui et votre enfant à venir dès l’année prochaine. « Est-ce qu’il y a quelque chose en particulier que tu aimerais faire aujourd’hui, pour célébrer notre premier Noël? » que tu demandes, sincèrement curieuse alors que vous approchez enfin le fameux stand à l’odeur délicieusement sucrée. « Et toi, c’est quoi tes célébrations préférées? »
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Ton sourire s'élargit indéniablement lorsque Penny acquiesce en réponse à ta proposition que tu l'accompagnes pour l'ouverture du dernier présent du calendrier de l'avent que tu lui avais concocté. Tu avais pris énormément de plaisir à réfléchir et dénicher ces petites attentions pour ton amoureuse, et tu te réjouissais indéniablement - tout en éprouvant une malicieuse fierté - lorsque tu remarquais que les petits cadeaux que tu avais glissés dans les différentes cases plaisaient à ta petite amie. A votre retour à la maison, le contenu de la dernière pochette serait découvert et tu étais aussi nerveux qu'impatient de lire la réaction de la Stringer lorsqu'elle découvrirait le collier que tu avais fait faire avec du sable provenant de Moreton Island, en souvenir de votre première excursion ensemble.
La boule à neige annonçant l'arrivée de votre premier bébé précieusement dans tes mains, tu trépignes également face à ces nouvelles étapes qui se dessinent devant vous, aussi intimidantes certaines puissent-elle te sembler, il s'agit là d'une aventure que tu adores vivre avec Penny. La douzième semaine de grossesse de l'actrice débute et le temps te paraît avoir passé à vive allure. Les doigts de ta main libre s'entremêlent tendrement à ceux de ta petite amie et bien que tu promets de ne pas pourrir cet enfant à le gâter, tu sais pertinemment qu'il sera la prunelle de tes yeux, tout comme tu veilles incessamment au bonheur de ta conjointe. Tu ris doucement lorsqu'elle commente un « Flatteur » lorsque tu tentes de rebondir par des compliments sur les intransigeantes nausées et le penchant pour le chocolat de ton interlocutrice, et tu soulignes avec espièglerie, ne démordant pas du fait que tu pensais bien que Penny serait une mère douce et patiente, entre beaucoup d'autres qualités : « N'est-ce pas. »
Vous ne pouvez que supposer le sexe de votre bébé et à défaut d'avoir une opinion à ce sujet, tu relates les différentes astuces de grands-mères auxquelles ton entourage familial s'était adonné pour tenter de découvrir si ta sœur accoucherait d'une petite fille ou d'un petit garçon, treize ans plus tôt. De ton expérience professionnelle, tu sais aussi que certaines femmes vivent différemment une grossesse selon si elles attendant un enfant de sexe masculin ou féminin, ce que tu exprimes à Penny. « On va commencer par ce bébé-là et on verra plus tard pour des possibles comparaisons. » Un léger rire franchit la barrière de tes lèvres. « Oui. » Bien que tu ne t'opposerais pas à fonder une famille encore plus large avec Penny, tu reconnaissais que vous aviez largement le temps. De plus, l'étape actuelle reposait exclusivement sur le bébé qui croissait gentiment sous le nombril de l'australienne, et qui vous ferez découvrir l'an prochain votre nouveau rôle de parents. Vous vous plaisez par ailleurs à vous l'imaginer et tu découvres que Penny souhaiterait qu'il ou elle hérite de tes yeux, entre autres points. « Ce ne sont pas vraiment tes yeux qui étaient mis en valeur sur ton profil Tinder. » Tu rejoins son rire, avant de taquiner : « C'est peut-être parce que tu n'as pas regardé les autres photos parce que la première t'a trop tapé dans l'œil ? » Tu conjectures avec plaisanterie, avant d'être touché par le prochain aveu de Penny : « Mais c’est la première chose que j’ai remarqué lors de notre premier rendez-vous. » « Tu m'as mis le coup de grâce, lors du premier rendez-vous. J'étais déjà charmé lors de nos échanges Tinder, mais t'avoir en face de moi, c'était juste la preuve que le rêve était réel. » Tu confies, avant de verbaliser l'amour que tu lui dédies. Plusieurs certitudes t'étreignent : Penny fera une excellente mère, tout comme elle te comble au quotidien, et tu es persuadé que votre enfant sera heureux par l'attention bienveillante que vous lui porterez inexorablement.
Vous croisez Keila et son petit ami au marché. Bien vite, vous vous devez de déployer toutes sortes de stratagèmes pour dévier l'attention de l'adolescente sur la boule de Noël que tu détiens dans ton dos qui révèle l'annonce que vous ferez au repas organisé par Phoebe. Bien heureusement, l'association de la promesse que le secret sera dévoilé le lendemain, le don d'un indice, et la contribution d'Ethan qui presse sa copine à poursuivre leurs achats laissent indemne la surprise. Alors que les adolescents vous quittent bras-dessus bras-dessous, tu ne peux t'empêcher d'exposer ta curiosité sur le prénommé Adam qu'a évoqué ta nièce et tu souris doucement en percevant le soulagement de Penny quant au fait que Keila n'ait pas eu de vues sur ce que tu pensais être le plus bel ornement de votre sapin de Noël. Tu proposes que vous appréhendiez ce stand de sucreries duquel la Stringer t'a parlé plus tôt et l'enthousiasme de ton amoureuse semble dominer spontanément. Tu ne te lasseras jamais de voir son visage s'éclairer ainsi. Alors que vous repreniez votre marche, tu t'intéresses aux fêtes favorites de cette dernière. « Celles-ci. Ma mère a toujours fait les choses en grand pour Noël et le jour de l’an, c’est un temps de l’année que j’adore et que j’attends toujours avec impatience. » « Vous fêtiez ça comment ? » Tu questionnes, curieux sur l'investissement de Madame Stringer qui a façonné les souvenirs de cette période de Penny. Peut-être que ta petite amie extraira quelques éléments de ces moments passés au sein de sa famille pour fonder vos propres traditions ? Tu considères ton interlocutrice silencieusement, vos doigts s'entremêlant naturellement. « Je suis impatiente qu’on crée nos propres traditions. » « Moi aussi, » tu glisses sur un ton s'apparentant au soulagement. C'était ce que tu préférais le plus, de ces fêtes de Noël : que vous puissiez créer vos propres coutumes et que vous vous les appropriez, plutôt que vous subissiez les volontés des uns et des autres. De plus, tu étais persuadé que ces moments passés avec Penny, malgré de possibles imprévus que vous paraissiez attirer comme de véritables aimants, te seront toujours agréablement mémorables puisqu'elle en fera partie. « Est-ce qu’il y a quelque chose en particulier que tu aimerais faire aujourd’hui, pour célébrer notre premier Noël? » Ton sourire se fait plus franc, charmé par les mots votre premier Noël articulés. « Le repas... Mettre de la musique... Toi, » tu énumères avec malice. « Je suis juste heureux qu'on puisse faire ce qu'on a envie de faire, et qu'on crée notre version à nous de Noël, » tu confies avec tendresse. « Et toi, c’est quoi tes célébrations préférées? » La réponse s'impose aussi rapidement dans ton esprit, bien que son caractère plus curieux te la fait tarder à l'énoncer. Tu tentes un regard en biais à ta petite amie, avant de répondre : « Ca va paraître peut-être bizarre, mais j'adore Halloween. » Et ce n'était même pas spécialement pour les sucreries, un élément que tu penses plaisait toutefois à Penny. « J'aime bien l'idée de se déguiser et, quand j'étais gamin, j'adorais faire la tournée des maisons qui étaient aussi décorées. Maintenant, ça me plaît de contribuer à la bonne humeur des enfants en leur donnant des bonbons. Je tanne toujours mes collègues pour faire des sachets pour les enfants qui viennent aux urgences quand je suis de service le 31 octobre. » Tu avouais, ayant une pensée pour les gants de latex que vous aviez remplis de bonbons cette année pour remonter le moral de ces petits infortunés. Tu sens Penny ralentir le pas et perçois le stand de bonbons dans votre champ de vision. « Tu as déjà fait ton choix ? Qu'est-ce que tu conseilles ? » Tu fais avec complicité.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Ta première échographie ayant lieu quelques jours plus tard, c’est avec nervosité et excitation que vous abordez le sujet de cet enfant à venir, que vous touchez sans grand sérieux les signes qui pourraient indiquer si tu portes un petit garçon ou une petite fille sous ton nombril. Une certitude que vous ne pourrez pas avoir pour plusieurs semaines encore, mais le simple déjà de pouvoir votre enfant se former sous vos yeux, d’entendre son petit cœur battre allait sans aucun doute rendre les choses bien plus réelles pour toi. Tu voyais et ressentais les effets de cette grossesse, aucun doute là-dessus, mais ça te paraissait tout de même encore bien irréel et tu espérais que cette première échographie aiderait à te faire réaliser l’ampleur de ce qui se produisait. L’idée même de comparer des grossesses t’amuse autant qu’elle te terrifie et tu réalises que tout s’est passé si vite entre Isaac et toi que vous n’avez jamais réellement pris le temps d’avoir une discussion sur le nombre d’enfants que vous aimeriez avoir. Tu savais qu’Isaac avait toujours rêvé d’avoir sa propre famille nucléaire, rêve qui était sur le point de se réaliser, mais en dehors de ça, que s’imaginait-il? Rêvait-il d’une grande famille, un peu comme la sienne, ou seulement d’avoir un enfant ou deux? « Dans un monde idéal, combien d’enfants est-ce que tu aimerais avoir? » Le monde idéal étant évidemment celui où vous seriez automatiquement d’accord sur le nombre, celui dans lequel toutes tes grossesses (si elles sont multiples) se passent bien et sans complication et que vous avez des enfants en bonne santé. Il était évidemment impossible à ce stade-ci de dire si ce serait le cas, mais tu voulais savoir, s’il n’y avait absolument aucune contrainte, qu’est-ce qui le rendrait vraiment heureux?
Les souvenirs de vos premiers échanges et de votre première rencontre ne remontent pas à si loin dans le temps et pourtant, il s’est passé tellement de choses depuis que c’est facile d’oublier qu’il y a un an à peine, tu ne le connaissais pas. Il n’était qu’un visage que tu avais croisé ici et là à l’hôpital sans jamais t’y attarder plus longuement, ignorant complètement à côté de quoi tu passais sans le savoir. « C’est peut-être que tu n’as pas regardé les autres photos parce que la première t’a trop tapé dans l’œil? » « Il y avait d’autres photos? » que tu demandes, feignant un air surpris avant de rire doucement. Tu avais évidemment vu les autres photos de son profil, quelques selfies, des photos de groupe, tout le nécessaire qui était conseillé de mettre sur l’application en somme, mais il n’y avait définitivement rien comme cette première photo pour attirer l’attention. « Je suis certaine que cette première photo t’a apporté bon nombre de matchs. » Non pas que ça ait la moindre importance, combien de dates il a pu avoir avant de te rencontrer. « Tu m’as mis le coup de grâce lors du premier rendez-vous. J’étais déjà charmé lors de nos échanges Tinder, mais t’avoir en face de moi, c’était juste la preuve que le rêve était réel. » Lui seul sait quoi dire pour te faire fondre sur place, alors que tu viens déposer un nouveau baiser sur ses lèvres, touchée par cet aveu. Les premiers rendez-vous s’étaient passés dans l’innocence complète et puis tu étais partie pendant tout un mois à Monaco, rendant vos retrouvailles tout ce qu’il y a de plus spécial puisque c’est aussi à ce moment que les choses ont pris un tournant bien plus sérieux entre vous.
Croiser Keïla est une surprise qui te fait sourire, malgré le fait que vous passez près de dévoiler votre secret avant l’heure. Tu es heureuse que vous parveniez à vous en sauver à la dernière minute, voulant garder l’effet de surprise pour la sœur et la nièce d’Isaac le lendemain. Ce temps des fêtes ne ressemblait en rien à ceux que tu célébrais quand tu étais plus jeune, mais tu étais si heureuse de pouvoir partager la journée avec Isaac et créer vos nouvelles traditions à vous deux que tu ne te formalisais pas trop de la distance avec le reste de ta famille, surtout que tu savais que tu les verrais dans quelques jours à peine pour célébrer le jour de l’an. « Vous fêtiez ça comment? » « On célébrait la veille de Noël seulement mes parents, mon frère et moi. Gamins, on ouvrait les cadeaux au réveil, mais en vieillissant, ma mère aimait qu’on les ouvre à minuit pile. » Il y avait quelques années que vous n’aviez pas eu l’occasion de le faire et sans doute qu’il serait difficile que cette tradition se poursuive maintenant que tu t’apprêtais à avoir ta propre famille, mais tu en gardais de précieux souvenirs. « Et puis le 25 au soir, il y avait toujours un dîner avec mes grands-parents, mes oncles, mes tantes, mes cousins et tout ça. Évidemment, ça aussi ça s’est espacé avec les années, mais quand j’étais petite, c’était un de mes moments de l’année préféré. » Et puis il y avait eu la distance, et la mort de ton oncle, les conflits et le temps qui sépare les familles comme c’est malheureusement trop souvent le cas et plus rien n’était comme avant. Ce qui expliquait d’autant plus cette hâte que tu avais de créer tout un tas de nouvelles traditions avec Isaac. « Et dans ta famille, c’était comment? » que tu lui demandes, curieuse d’en apprendre davantage. « Le repas… Mettre de la musique… Toi. » Tu lui tires la langue légèrement à cette dernière réponse, quoique définitivement intéressée par les plans qui se dessinent. « Je suis juste heureux qu’on puisse faire ce qu’on a envie de faire, et qu’on crée notre version à nous de Noël. » « Tout ce que vous désirez Mr. Jensen. » que tu répliques sur une voix tout aussi malicieuse que la sienne. « Vous le méritez bien. » Et c’était peu dire. Isaac avait réellement su être ton roc dans les derniers mois, une constante dans tout ce que tu vivais, traversais et le seul partenaire que tu voulais avoir à tes côtés pour toutes les surprises que la vie avait encore en réserve pour vous.
« Ça va peut-être paraître bizarre, mais j’adore l’Halloween. » Tu secoues doucement la tête, un peu surprise mais ne trouvant pas ça particulièrement bizarre. L’Halloween n’était pas une fête énormément célébrée en Australie, bien qu’elle semblait de plus en plus populaires dans les dernières années, et était évidemment un must dans la majorité des émissions et des films américains. « J’aime bien l’idée de se déguiser et, quand j’étais gamin, j’adorais faire la tournée des maisons qui étaient aussi décorées. Maintenant, ça me plaît de contribuer à la bonne humeur des enfants en leur donnant des bonbons. Je tanne toujours mes collègues pour faire des sachets pour les enfants qui viennent aux urgences quand je suis de service le 31 octobre. » « Je suis certaine qu’ils sont heureux de tomber sur toi cette journée-là. » Ce n’est certainement pas tous les infirmiers qui mettent autant de cœur dans leur travail, même si tu savais que c’est quelque chose qu’Isaac faisait à l’année longue et pas seulement en temps de célébrations. « Je t’imagine déjà déguiser notre enfant pour l’occasion. Dis-moi, t’es le genre à faire des trucs qui matchent? » Tu t’imagines déjà incarner pleins de personnages iconiques à ses côtés, avec votre progéniture entre vous. Et elle est drôlement douce, cette image. Mais jamais autant que les sucreries qui vous attendent aujourd’hui alors que vous arrivez finalement près de ce kiosque que tu avais remarqué un peu plus tôt. « Tu as déjà fait ton choix? Qu’est-ce que tu conseilles? » « Je suis tentée par les bonhommes de neige au chocolat blanc, j’avoue. » que tu mentionnes tout en pointant la sucrerie. « Mais je suis pas sûre de pouvoir manger tout de suite. » que tu admets ensuite avec une grimace qui confirme le retour toujours des plus inopportuns de ces satanées nausées. « On prend quelque chose pour emporter et on rentre à la maison, s’occuper de cette liste de choses que tu veux faire aujourd’hui? » que tu soumets avec un clin d’œil avant de faire glisser l’une de tes mains dans son dos jusqu’à ses fesses, un sourire explicite au coin des lèvres.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Ton pouce caresse lentement, distraitement, le dos de la main de Penny alors que vous évoluiez au sein du marché de Noël. Entouré de cette magie festive, la sensation de te trouver dans un rêve éveillé te saisit, comme elle a prit coutume de le faire. Les changements drastiques se sont succédés ces derniers mois que ce soit au niveau de ton statut social, de ton domicile, de ton avenir. Tu as l’impression que même ton attitude a évolué, comme tout homme qui s’adapte aux circonstances et acquiert de l’expérience. L’incrédulité menace de t’enlacer quant aux événements qui vous sont de plus en plus imminents, comprenant la naissance même de votre premier enfant, à Penny et à toi. Tu ne peux t’empêcher de te demander si tout ceci est bien réel, si toute cette histoire n’est pas trop belle pour être vraie. Pourtant, l’actrice est aussi authentique qu’est l’enfant qui croît sous son nombril. Vous restez sous le même toit depuis plusieurs semaines maintenant, à ton plus grand plaisir, et l’impatience de la retrouver est plus rapidement annihilée désormais que vous partagiez votre quotidien. La vie est belle, en somme, bien que toujours rythmée par de solides et parfois épineux challenges. Tu n’y changerais absolument rien et ton cœur est immense de tous ces éléments nouveaux embellissant indéniablement ta vie. Tu es reconnaissant envers la destinée et finalement, peut-être qu’il n’est pas si faux de clamer que la roue finit toujours par tourner.
« Dans un monde idéal, combien d’enfants est-ce que tu aimerais avoir? » Tu reportes ton attention sur Penny, croisant son regard curieux. Dans un monde idéal, où le rêve est permis, alors que cela faisait des années maintenant que tu les avais bannis afin de ne pas être déçu. C’est un exercice qui se définit dorénavant difficile pour toi, allant à l’encontre de certains mécanismes de protection que tu avais développés. Pourtant, tu t’y prêtes avec goût, avouant, timoré : « Au moins deux. J’aimerais qu’ils connaissent ce que c’est d’avoir un frère ou une sœur. » En dépit des chamailleries, faire partie d’une fratrie constituait selon toi une expérience inestimable. Tu étais heureux d’avoir tes cadets, bien qu’ils t’en aient fait voir de toutes les couleurs et que tu te sois surpris dans ces temps-là d’envier les enfants uniques. Ultimement, tu adorais ton frère et tes sœurs et pour rien au monde ne les échangerais-tu. Tu souhaitais que tes futurs enfants évoluent aussi dans ce contexte avec ce lien fraternel ou sororal indéniable. « Et toi ? » tu lui retournes la question avec intérêt. Il semblait plutôt valeureux d’avoir ce genre de discussion alors que Penny était enceinte de votre premier enfant, mais sans s’engager à quoi que ce soit ni même positionner des dates dans le temps, il demeurait agréable d’aborder ce topic.
Tu taquines Penny sur l’attention qu’elle a portée à la couleur de tes yeux et ris de bon cœur lorsqu’elle feint ne pas avoir remarqué les autres photos disponibles sur ton profil Tinder, désactivé depuis l’hiver dernier. « Je suis certaine que cette première photo t’a apporté bon nombre de matchs. » Un sourire espiègle apparaît sur ton portrait bien que tu places ton regard sur l’environnement plutôt que ta petite amie, par réserve de ce qu’elle pourrait y lire et pourrait éventuellement lui déplaire. Tu n’as jamais fréquenté qui que ce soit d’autre depuis que tu as échangé avec Penny sur la plateforme, mais tu as bien sûr avant cela eu plusieurs conversations dont certaines se sont soldées par des rendez-vous. La vérité était que tu cherchais plutôt une distraction sur le réseau, ce pour quoi il avait par ailleurs réputation, et en aucun cas ne pensais-tu y trouver l’amour. Tu ne le recherchais même pas, comme quoi, un autre adage que votre relation solidifiait était que celui-ci se trouve lorsqu’on ne le traque pas. « Je n’ose pas imaginer les centaines de matchs que tu pouvais avoir, » je remarque avec un sourire. Penny était belle, connue, talentueuse, il fallait être fou pour swiper à gauche. « J’ai encore du mal à croire que tu m’aies envoyé un message sur Tinder, mais Dieu que j’en suis fier et heureux, » tu confesses. De la marée d’hommes présents à son entière disposition, Penny avait opté pour t’adresser un message privé. Ta photo de profil avait vraiment dû faire un sacré effet, ou tu avais été alors touché par une chance inouïe, sachant que même ta description de profil avait été abstraite et très succincte : tu t’étais contenté de placer quelques emojis représentant ton métier et tes passions. D’ailleurs, vous n’aviez eu que l’emploi d’emoji en commun, a priori. Sans gêne et avec honnêteté, tu relates à ta petite amie à quel point votre premier rendez-vous avait confirmé toute l’attirance que tu lui vouais déjà. Tu chérissais ces sensations que l’australienne te procurait et amoureusement, tu réponds au baiser qu’elle t’offre.
Après une conversation tumultueuse avec ta nièce, accompagnée de son petit copain, vous vous retrouvez de nouveau seuls en direction des stands de sucreries. Penny t’explique les traditions de fêtes de fin d’année avec lesquelles elle a grandi avec son frère. A mesure de ses descriptions, tu ne peux t’empêcher d’imaginer divers scènes, les retranscrivant même à votre sauce, souriant avec tendresse lorsqu’elle t’indique que ces moments étaient alors ses favoris de l’année. « Ce sont de belles traditions, » tu commentes avec franchise, inspiré par celles-ci, tout en demeurant déterminé à ce que vous créiez également vos propres coutumes. « Est-ce que tu as déjà passé des fêtes de fin d’année ailleurs qu’en Australie ? » Tu demandes curieusement. « Et dans ta famille, c’était comment ? » Tu plonges dans tes souvenirs. « On faisait un repas de réveillon le 24 avec la famille très proche ou qui pouvait se déplacer. C’était beaucoup avec mon oncle, ma tante et mes cousins. Puis le 25 au matin, on ouvrait nos cadeaux tous les six et on mangeait les restants de la veille, » tu ressasses, avant d’émettre tes propres propositions pour votre premier Noël ensemble. « Le repas… Mettre de la musique… Toi. » Penny te tire la langue et la malice est criante sur ton minois. Tu déposes un baiser sur sa main, avant d’ajouter avec sérieux : « Je suis juste heureux qu’on puisse faire ce qu’on a envie de faire, et qu’on crée notre version à nous de Noël. » « Tout ce que vous désirez Mr. Jensen. » Tu plisses les yeux, appréciant cette tournure de phrase. « C’est très inclusif, » tu taquines. « Vous le méritez bien. » Tu ne résistes pas à presser discrètement ses lèvres des tiennes. « Je propose aucune restriction à nos prochains désirs », tu glisses à son oreille avant de déposer un deuxième baiser sur sa joue.
Tu avoues et argumentes ton appréciation pour l’Halloween, qui se hisse parmi tes festivités favorites, aussi étrange cela puisse paraître. « Je suis certaine qu’ils sont heureux de tomber sur toi cette journée-là, » te fait sourire avec reconnaissance Penny lorsque tu lui expliques que tu souhaites toujours souligner l’événement lorsque tu es de service également, pour les enfants hospitalisés. « Ils sont déjà peinés d’être à l’hôpital plutôt qu’à célébrer chez eux, la joie ou le réconfort sur leur visage n’a pas de prix quand ils sont surpris de pouvoir fêter un peu à l’hôpital aussi, » tu décris avec empathie, avant de lorgner vers Penny. « Ce que je t’ai pas encore dit, c’est que je les tanne pour quasiment toutes les fêtes. C’est rendu qu’il y a un stock de petits cadeaux planqué dans une réserve. Parfois on reçoit des dons aussi, c’est vraiment génial. Ça peut faire la différence quand l’enfant a une peluche par exemple pour l’accompagner durant son séjour à l’hôpital, » tu livres avec gratitude et passion pour ton métier. « Je t’imagine déjà déguiser notre enfant pour l’occasion. Dis-moi, t’es le genre à faire des trucs qui matchent? » Je ris doucement, l’idée ne t’ayant pas traversé l’esprit mais maintenant que Penny te la présente, tu y adhères éhontément. « Je t’avoue que je n’y avais pas pensé mais maintenant que tu en parles, j’ai vraiment très envie de le faire. » Tu es convaincu par cette option et ton inventivité va bon train sur les possibles déguisements. « Qu’est-ce que je ferais sans tes idées géniales, » je m’interroge. La créativité et la perception de Penny faisaient partie des nombreuses qualités que tu admirais chez ta petite amie et qui te conduisaient toujours à l’aimer davantage.
Le kiosque de bonbons repérés plus tôt par Penny est désormais dans votre champs de vision et tu te remets à son expertise pour vos prochains achats. La vingtenaire opte pour des bonshommes de neige en chocolat blanc, te faisant comprendre par la même occasion un retour de ses nausées. « On prend quelque chose pour emporter et on rentre à la maison, s’occuper de cette liste de choses que tu veux faire aujourd’hui? » Tu acquiesces avec un « Excellent plan, » qui se confirme encore davantage au mouvement de la main baladeuse de ta petite amie. Tu échanges avec elle un regard complice et entendu, ton rictus éloquent.
Munis des sucreries chocolatées, le trajet jusqu’à la maison se fait rapidement et heureusement, sans encombres. Tu prends bien soin d’éviter les éventuels nids de poule et de ralentir dans les virages pour préserver l’estomac de ta petite amie et une fois garés devant le #17 Toowong, vous traversez le chemin jusqu’à la porte d’entrée du domicile. Azrael vous toise en ronronnant avant de filer à l’étage et amusé, tu poses le sachet de bonshommes sur le buffet avant de te concentrer sur ton amoureuse. « Est-ce qu’il y a un ordre des choses spécial à respecter pour ce soir ? » Tu demandes avec jeu, avant de glisser rapidement tes mains sous les fesses de Penny pour l’installer doucement sur le comptoir de la cuisine. Tu mêles vos souffles dans un baiser nouveau, que tu ne réprimes plus désormais que vous n’êtes plus en public. Rapidement, celui-ci remporte en intensité, vos langues entamant une valse bien connue qui ne perd aucunement de ses délices. Tu te délectes ensuite sans vergogne du parfum et de la douceur de la peau de Penny, tes lèvres semant des baisers dans son cou.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
+ the one and only(03) ≡ isaac #23 › isaac #24 › isaac (ff) › isaac (tel). RPs EN ATTENTE : andréa › harleen › micah #6 › riley #2 › rory #12 › you? RPs TERMINÉS :
Vous faites tout à l’envers, Isaac et toi, mais aujourd’hui, sous l’ambiance du marché de Noël, tu préfères t’amuser de la situation plutôt que de voir ça comme un quelconque travers. Vous n’aviez pas vraiment eu le temps de discuter du futur avant que celui-ci ne se fasse une place dans votre quotidien, pas le temps d’imaginer de quoi pourrait avoir l’air votre vie de famille avant qu’un nouveau membre vienne prendre toute la place, mais ça n’empêchait pas la curiosité, ni même d’enfin prendre le temps d’avoir cette discussion, sans attente et sans pression. « Au moins deux. J’aimerais qu’ils connaissent ce que c’est d’avoir un frère ou une sœur. » Tu hoches doucement la tête, appréciant cette réponse. Pour toi aussi, c’est important que votre enfant ait un frère ou une sœur. Tu te souviens encore de tes maintes et maintes plaintes à tes parents pour qu’ils aient un autre bébé, sans savoir à l’époque que cela faisait partie de leurs plans mais que c’était simplement plus difficile que prévu. Et même si tu n’avais pas une relation fraternelle des plus typiques vu la condition de ton petit frère, tu considérais votre lien comme étant l’un de ceux les plus importants dans ton univers et pour rien au monde tu ne voudrais changer ça. « Et toi? » « Pareil. Deux ou trois, je pense. Assez pour bien animer une maison. » que tu lui avoues avec un léger rire. Tu imagines quelque chose de complètement différent à ce que toi tu as connu, tout en conservant cette sensation de chaleur et d’amour qui avait toujours régné au sein de ton foyer, même pendant ces neuf premières années où tu étais fille unique. « J’aimerais bien avoir un garçon et une fille. Et qu’ils aient pas trop une grosse différence d’âge. » Tu réalises que tu avais accordé beaucoup plus de pensées à ta future famille que tu ne l’avais cru, et que c’est particulièrement étrange et déstabilisant de l’avouer à voix haute. « Est-ce que c’est étrange dit comme ça? » que tu lui demandes en riant, pas certaine des règles qui s’appliquent dans votre couple puisque vous n’aviez rien fait selon les normes. Tu veux croire toutefois que peu importe de quoi la suite est faite, vous vivrez le tout ensemble, dans une unité familiale qui ne pourra que se fortifier au fil du temps tant tu sais sans l’ombre d’un doute qu’Isaac est celui avec qui tu as envie de vivre toutes tes aventures.
Tu te demandes parfois si vos chemins auraient fini par se croiser sans l’aide de Tinder, une question à laquelle tu n’auras toutefois jamais de réponses. C’est drôle, de penser qu’une application sur laquelle les gens sont bien plus souvent à la recherche d’attention temporaire ait pu être ce qui te mène à l’homme de ta vie. Un hasard pour lequel tu serais éternellement reconnaissante, évidemment. Ça, et sa photo de profil comme tu t’amuses à le lui faire comprendre. « Je n’ose pas imaginer les centaines de matchs que tu pouvais avoir. » Tu éclates de rire tout en secouant la tête à la négative. « Je sais pas si j’avais beaucoup de gens qui swipaient à droite, mais moi j’étais plus une abonnée de la gauche. » On ne pouvait pas dire que tu avais utilisé beaucoup l’application, tes premiers échanges n’ayant pas été des plus fructueux, tes premiers dates non plus, tu n’avais pas particulièrement beaucoup mis beaucoup d’effort ni d’espoir que cela changerait avec le temps, seulement pour qu’Isaac ne vienne changer la donne complètement. « J’ai encore du mal à croire que tu m’aies envoyé un message sur Tinder, mais Dieu que j’en suis fier et heureux. » « J’ai bien failli ne pas le faire. » que tu lui admets avec un nouveau rire. « Si je t’avais pas reconnu de l’hôpital, je pense que je l’aurais pas fait. J’ai pas initié beaucoup de conversations sur l’application pour être honnête. » Et quelle erreur ça aurait été, que de ne pas initier celle-là tout spécialement. « T’aurais osé m’envoyer un message, si je l’avais pas fait? » que tu lui demandes joueuse, te mordant légèrement la lèvre inférieure. Réécrire l’histoire tel un scénario de film était amusant, surtout que cela ne changeait en rien la finalité : vous étiez bel et bien là ensemble, tous les deux, vos chemins éternellement liés par ce petit être qui poussait désormais dans ton ventre.
Ayant évité une catastrophe avec Keila, vous vous faites désormais curieux sur les traditions entourant cette période de l’année dans vos familles respectives. Tu es prise d’une vague de nostalgique alors que tu lui relates les différents éléments qui ont toujours bercé cette période de l’année qui est sans aucun doute l’une de tes préférées. « Est-ce que tu as déjà passé des fêtes de fin d’année ailleurs qu’en Australie? » Tu fais signe que non de la tête. « Ma famille était à Hawaii l’an dernier, mais moi je voyageais entre ici et Los Angeles, pour le travail. » Un Noël des plus tristes, à l’opposé complet de celui que tu vivais cette année aux côtés d’Isaac. « C’est quelque chose que tu aimerais faire, voyager pour les fêtes? » Tu prenais goût à toutes ses aventures avec lui et tu pouvais facilement t’imaginer aimer cette potentielle nouvelle tradition tout autant, même si l’idée de vivre Noël dans votre foyer, là où tu espères voir vos enfants grandir à quelque chose d’assez réconfortant. « On faisait un repas de réveillon le 24 avec la famille très proche ou qui pouvait se déplacer. C’était beaucoup avec mon oncle, ma tante et mes cousins. Puis le 25 au matin, on ouvrait nos cadeaux tous les six et on mangeait les restants de la veille. » Tu t’imagines facilement la scène, souriant un peu plus grand à simplement t’imaginer un Isaac enfant. Tu avais vu quelques photos dans divers albums qui traînaient dans la maison et tu ne pouvais que craquer pour un mini-Isy. Les plans de votre soirée se dessine et ton amoureux se fait joueur, ce qui ne manque pas de te titiller, tout en te donnant l’envie d’être tout autant joueuse. Tu veux lui faire plaisir autant que tu veux que ce premier Noël ensemble soit des plus mémorables, même s’il l’était déjà à tes yeux. « Je propose aucune restrictions à nos prochains désirs. » Tu frisonnes légèrement alors qu’il murmure les mots à ton oreille avant de déposer un baiser sur ta joue et il est difficile de résister à la tentation de l’embrasser plus passionnément là, tout de suite, au beau milieu de ce marché bondé. Tu prends sur toi toutefois, n’ayant pas envie qu’un léger manque d’inhibition de ta part te vaille une première page dans un magazine de potins quelconque.
L’Halloween n’avait jamais été grandement célébré chez toi en grandissant, mais tu peux comprendre l’engouement que ton amoureux y trouve, surtout dans le cadre de son travail. « Ils sont déjà peinés d’être à l’hôpital plutôt qu’à célébrer chez eux, la joie ou le réconfort sur leur visage n’a pas de prix quand ils sont surpris de pouvoir fêter un peu à l’hôpital aussi. » Tu échappes un léger awh, éternellement charmée par ce côté si compatissant d’Isaac qui cherche toujours à en faire un peu plus pour ses patients. « Ce que je t’ai pas encore dit, c’est que je les tanne pour quasiment toutes les fêtes. C’est rendu qu’il y a un stock de petits cadeaux planqué dans une réserve. Parfois on reçoit des dons aussi, c’est vraiment génial. Ça peut faire la différence quand l’enfant a une peluche par exemple pour l’accompagner durant son séjour à l’hôpital. » « Pourquoi est-ce que ça ne m’étonne pas le moins du monde venant de toi? » S’il y avait bien quelqu’un que tu étais capable d’imaginer mettre en place un tel système, c’était bien lui. « Je suis certaine que le simple fait de t’avoir comme infirmier fait toute la différence pour tes petits patients. Tu as déjà pensé à être assigné à la pédiatrie plutôt qu’aux urgences? » Tu te doutais qu’il ne devait pas toujours être au même endroit, et que peut-être préférait-il le rythme plus soutenu des urgences, mais tu le savais si doué avec les enfants que tu ne peinais pas le moindrement à l’imaginer travailler auprès d’eux de manière plus constante. « Je t’avoue que je n’y avais pas pensé mais maintenant que tu en parles, j’ai vraiment très envie de le faire. » Ton sourire s’élargit, les idées de costumes se multipliant déjà dans ton esprit. « Qu’est-ce que je ferais sans tes idées géniales? » Tu hausses les épaules et penches légèrement la tête, l’air de dire que tu ne sais pas. Fort heureusement, il n’aura jamais à le découvrir. « On va être cette famille agaçante qui sont toujours parfaitement coordonnées pour les grandes occasions. » Oh oui, voilà que tu imagines déjà bien plus qu’Halloween, des habits tendances aux couleurs qui se concordent pour le moindre photoshoot improvisé. Tu ne t’étais jamais vraiment permise de rêver de cette vie et pourtant, voilà qu’elle était plus que jamais à portée de la main.
L’ambiance du marché de Noël est rapidement remplacée par les décorations festives de votre maison, dans laquelle l’odeur des biscuits que tu as cuisiné la veille – triple chocolat, évidemment – plane encore. Isaac dépose les sucreries achetées au marché sur le comptoir et tu mets le nez dans le frigo, à la recherche de quelque chose à te mettre sous la dent, sans que rien ne te fasse réellement envie. Tu refermes la porte du frigidaire sans rien en sortir, et lorsque tu te retournes, tu aperçois la silhouette de ton amoureux qui s’est approché sournoisement de toi. « Est-ce qu’il y a un ordre des choses spécial à respecter pour ce soir? » Les mains d’Isaac se glisse sous tes fesses et il te soulève facilement jusqu’à te faire glisser sur le comptoir à ton tour. Tes bras viennent s’enrouler autour de son cou alors que ses lèvres viennent prendre possession des tiennes avec une envie qui n’est plus retenue, une envie que tu t’empresses de lui témoigner à ton tour alors que tes jambes s’enroulent autour de ses hanches et le pressent un peu plus fort contre toi. La passion l’emporte alors que tes doigts redécouvrent avec autant d’attention que de pression la douceur de la peau de son cou, que vos langues renouent pour dire des mots qu’elles seules connaissent et que ton corps s’enflamme à chacune de ses caresses. Quand ses lèvres se défont des tiennes pour atterrir dans ton cou, tu échappes quelques gémissements qui ne manquent pas de trahir ta seule envie du moment. « Je pense que tu devrais commencer par moi. » que tu soupires dans le creux de son oreille, tes doigts qui s’impatientent déjà sous le tissu de son chandail que tu cherches à lui soutirer. « Et t’assurer qu’il y a beaucoup de ça ce soir, entre chaque étape. » que tu spécifies avant de l’embrasser à nouveau avec fougue une fois son chandail n’étant qu’une histoire du passé, tes doigts dessinant un chemin impatient contre la peau de son torse et de son ventre, éternellement curieux et avides de plus.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Tu t'étais toujours efforcé de faire preuve d'optimisme, drôlement persuadé depuis ton enfance que la vie était tel un équilibre, une balance sous-pesant le positif et le négatif, qui tantôt tendait vers le premier, tantôt vers le second, mais ultimement, en additionnant les deux, se complaisait dans une neutralité. Ainsi allaient les accalmies et les tempêtes, les malheurs et les joies, les contrariétés et les satisfactions. Avec Penny, toutefois, la quête des points positifs au sein des challenges, le recueil des rayons de clarté dans l'obscurité, la recherche des socles stables durant les tumultes, n'avait rien de fastidieux. Chaque instant adhérait à richesses et lumière ; tu n'éprouvais aucune misère à savourer la vie aux côtés de l'actrice et mesurais à quel point votre histoire était belle, en dépit des déconvenues et des difficultés rencontrées. Tu tolérais et aimais tout, épris de cette persuasion inébranlable que tout irait forcément pour le mieux et que cette histoire demeurerait ta favorite de toutes car elle s'écrivait à l'encre de cet amour unissant Penny et toi.
Ton sourire s'élargit lorsque ta petite amie te rejoint sur le souhait d'avoir plusieurs enfants, précisant qu'elle en aimerait assez pour bien animer une maison. La force de caractère et la résilience de la vingtenaire t'époustouflera toujours, sans doute qu'elle aussi, sait voir au-delà de l'adversité pour se projeter vers le doux de votre quotidien. « J’aimerais bien avoir un garçon et une fille. Et qu’ils aient pas trop une grosse différence d’âge. » Tu la considères avec affection. « Est-ce que c’est étrange dit comme ça? » Un rire file entre ses lippes et tu hoches la tête à la négative. En soit, c'était certes singulier que vous ayez cette conversation sur le marché de Noël, durant le premier trimestre de grossesse de votre premier enfant. C'était assez particulier que vous discutiez de vos vœux de famille quand l'arrivée du premier fruit de votre amour s'était installé dans votre quotidien sans invitation formelle. Vous effectuiez la vie dans un sens particulier, sur un drôle de rythme, mais tu n'en changerais absolument rien, car c'était votre tempo, vos couleurs, vos singularités et tu les aimais tant rien que pour ça. « J'aime bien qu'on parle du futur comme ça, » tu confiais. « J'ai un peu les deux, niveau différence d'âge. Phoebe et moi avons seulement onze mois de différence, quand avec les jumeaux, c'est une histoire de plusieurs années. Autant je les aime tous autant les uns que les autres, j'ai pas le même lien avec Phoebe qu'avec les benjamins à cause de cette différence d'âge. Avec Phoebe, c'est plus une relation de complicité et un peu d'égal, parce qu'on a vécu les mêmes premières étapes de la vie ensemble. Avec les jumeaux, c'est plus une relation au sein de laquelle je voulais les guider et les protéger et prendre soin d'eux parce que j'étais plus vieux, » j'expliquais. « Mais j'aimerais bien aussi qu'ils n'aient pas une trop grande différence d'âge. Comme ça, ils vivent les mêmes choses en quelques sortes en même temps avec les mêmes éléments de leur période à eux. » Avoir dix ans de différence n'avait pas du tout le même effet à l'enfance qu'à l'âge adulte selon toi. Le fait d'avoir quelques années de différence avec quelqu'un au sein d'une fratrie facilite de suivre les mêmes modes, les mêmes passions, les mêmes intérêts, avec certes leurs spécificités et goûts personnels, mais il demeurait cette compréhension de vivre sur des âges similaires dans une période de la vie où tout évoluait très vite. « Est-ce que tu as déjà pensé à des prénoms que tu aimerais pour tes futurs enfants ? » Tu oses questionner, curieux, t'imaginant que peut-être que quelques prénoms avaient su interpeller Penny dans le passé, des appellations que la jeune femme aurait pu éventuellement trouver belles à ses oreilles et qu'elle avait pu retenir pour le futur. Qui sait, peut-être qu'il y en avait même que vous aviez tous les deux en tête, ou une proposition qui charmerait spontanément l'autre. Dans tous les cas, il vous faudra d'ici juillet dénicher le prénom de votre bébé. Tu jetais un coup d'œil à la boule de Noël offerte par Penny, te disant que bientôt, ce "Baby" serait remplacé par un prénom, et Dieu que ça te laissait encore stupéfait, bien que tu étais avide de découvrir ce que la vie vous réserverait comme les choix sur lesquels vous vous arrêterez.
Lorsque vous évoquez Tinder et plus particulièrement vos profils, tu ne peux pas t'empêcher de conjecturer la quantité faramineuse de matchs que Penny pouvait avoir, pour découvrir que finalement, si centaines il y avait, peu obtenait le feu vert de sa part. Tu te sens encore plus chanceux d'avoir fait cette sélection, tout en trouvant finalement logique, de ce que tu connais de Penny, qu'elle ait adopté cette stratégie. « Si je t’avais pas reconnu de l’hôpital, je pense que je l’aurais pas fait. J’ai pas initié beaucoup de conversations sur l’application pour être honnête. » Tu souris doucement. Tu n'avais pas non plus été très avenant sur la plateforme, à y réfléchir. « Je suis content que tu m'aies reconnu de l'hôpital, alors, » tu prononçais, laissant presque transparaître ton soulagement. Tu n'aurais pas imaginé attirer spécialement l'attention d'une femme dans le cadre de ta profession, ni même qu'on te reconnaisse sur l'application quand bien même tu avais laissé entendre par un emoji que tu travaillais dans le domaine de la santé, mais tu étais reconnaissant de cette aide du destin. « T’aurais osé m’envoyer un message, si je l’avais pas fait? » La réflexion emprunte tes traits. « Je sais pas, je ne suis pas sûr, » tu confessais. « Si j'avais été d'humeur téméraire, je pense que oui, surtout que du coup ça voulait dire qu'on s'était tous les deux dit "oui" en quelque sorte, et ça m'aurait un peu encouragé. Et j'aurais pu me dire que je n'avais rien à perdre ? Mais sinon, je pense que je n'aurais pas vraiment osé, je me serais dit que je n'avais aucune chance. » tu concédais avec un léger rire. « Je ne pensais pas que ça pouvait accrocher comme ça, avec quelqu'un. Ca m'est jamais arrivé avant toi. Notre conversation, c'était juste... Je sais pas... Chimique ? Plus je parlais avec toi, plus j'avais envie de parler avec toi, et j'ai adoré parler de tout avec toi, comme je l'aime toujours autant, sinon plus. Il y a des gens avec qui on discute, on parle de soi, on parle de nos centres d'intérêt, et ça tourne autour de ces sujets-là. Mais tous les deux, on peut parler de tout, tout a de l'intérêt. Comme si tu apportes un élément chimique et moi l'autre et à chaque fois ça se complète, ça réagit, pour donner quelque chose d'enthousiasmant et de durable. » Tu avais appris une belle leçon de vie, finalement : il ne valait mieux pas juger le potentiel d'une relation avant d'initier une conversation. « J'espère que j'aurais osé, si tu ne l'avais pas fait, parce que je ne veux pas imaginer ma vie autrement, maintenant, » tu prononçais en déposant un baiser sur la joue de ta petite amie.
Après un interlude sponsorisé par Keila et son petit copain qui t'a fait user de promesse et de sang-froid, Penny et toi abordez les coutumes de vos familles respectives. Tu te plais énormément à imaginer l'enfance et l'adolescence de ta petite amie, tu prends un délicieux plaisir à contempler ces traditions qui sont les vôtres que vous élaborez au fil de votre relation. Comme si vous preniez le meilleur de vos expériences pour dresser les coutumes qui conviendraient et plairaient optimalement à votre foyer bien à vous. Tu trépignais de cette vie que vous construisiez au fur et à mesure. Curieux, tu demandes à Penny si elle a déjà célébré les fêtes de fin d'année dans un autre pays que l'Australie et elle te répond que non, en plus que sa profession la fait voyager beaucoup. « C’est quelque chose que tu aimerais faire, voyager pour les fêtes? » Un sourire en coin apparaît sur tes lèvres. « J'y ai jamais vraiment beaucoup réfléchi, parce que j'ai toujours passé Noël ici aussi, et j'ai un peu l'image du Noël en famille gravée dans ma tête, » je révélais. « Mais je ne serais pas contre l'idée. Seulement, ça signifie aussi ne pas voir spécialement ses proches pendant qu'on est ailleurs qu'en Australie. » Et malgré tout, pour beaucoup, Noël représentait une fête familiale. « Tu vois, j'imaginerais plus facilement le Nouvel An dans un autre pays que Noël, par exemple, » j'avouais, avant de hausser une épaule. « Mais ça peut être une chouette aventure aussi, de voir comment Noël se fait ailleurs. » Tu as une pensée pour New York et sa neige, la grande pomme que vous aviez discutée lors de votre séjour inoubliable à Los Angeles. « Genre un Noël sous la neige, ça pourrait faire un beau souvenir, » je présentais. Quoi qu'il en soit, le prochain Noël qui s'annonçait promettait d'être des plus merveilleux, et tu étais impatient de découvrir tes prochains avec Penny, puis votre bébé. Pour ce premier Noël à deux, toutefois, tu te voulais joueur et proposais sans aucun scrupule l'absence de quelconque restriction à vos prochains désirs.
Tu avoues ta forte appréciation pour la fête de l'Halloween, que tu transportes jusqu'à ton poste au centre hospitalier. Tu avais adoré cette célébration en tant qu'enfant : l'idée de pouvoir passer incognito sous un costume et récolter des bonbons en prime t'avait conquis. Depuis que tu exerçais en qualité d'infirmier, tu avais enrôlé quelques collègues à mettre en place une petite tournée de trick-or-treating à St Vincent's lors du 31 octobre. Puis, à mesure des années, tu avais été à l'initiative des petites attentions pour les jeunes patients, en particulier ceux passant par les urgences désormais que tu étais affecté à ce secteur. Tu souris en coin devant le commentaire de Penny qui précise ne pas être étonnée d'un tel comportement de ta part. « Je suis certaine que le simple fait de t’avoir comme infirmier fait toute la différence pour tes petits patients. Tu as déjà pensé à être assigné à la pédiatrie plutôt qu’aux urgences? » Tu es touché par ses propos, bien heureux si tu parviens à ajouter que ce soit une petite pointe de légèreté dans les passages hospitaliers de ces enfants infortunés. « Si ça peut faciliter, j'en suis vraiment heureux, » je prononce, avant de relater : « En fait, ça a faillit être le cas, pour l'affectation en pédiatrie. De 2006 à 2011 je n'avais pas de poste fixe à l'hôpital, j'avais mon contrat mais je faisais des remplacements dans les services où il manquait un infirmier, je tournais beaucoup. J'ai fait bon nombre de remplacement en pédiatrie, tant que lorsqu'il y a eu des vacances de postes, on m'a incité à candidater. J'ai faillit le faire à plusieurs reprises, et j'aime beaucoup la pédiatrie, mais j'ai toujours été plus attiré par les urgences et j'ai l'impression que je suis meilleur là-bas. Alors quand il y a eu un poste ouvert dans ce service-ci, j'ai sauté sur l'occasion. J'ai eu la chance d'être pris et je n'ai pas bougé depuis, sauf pour faire quelques remplacements ici et là en cas de nécessité. Mais bon, il n'empêche que je traîne encore souvent du côté de la pédiatrie, en plus qu'il y a Juliana qui y est. » D'autre part, beaucoup de départs s'étaient succédés dans le service des urgences et désormais, j'avais davantage d'amis du côté de la pédiatrie que des urgences. Il n'en demeurait que tu es totalement séduit par l'idée que tu caractérises de géniale de Penny de déguisements de groupe pour vos prochains Halloween. « On va être cette famille agaçante qui sont toujours parfaitement coordonnées pour les grandes occasions. » Tu ris de bon cœur. « J'accepte ce rôle avec grande fierté, » je fais sur un ton qui se veut solennel. Tu en étais déjà tellement fier, de ta famille.
Munis de sucreries au chocolat blanc, vous abandonnez le marché de Noël pour rejoindre la maison. Penny a fortement amélioré à tes yeux ce domicile qui est devenu vôtre, transformant le logement en véritable foyer. De plus, toi qui n'étais pas nécessairement fan des décorations de Noël, tu es charmé par la manière qu'elle a eu d'inviter la fête chez vous. Tu déposes les bonshommes de neige chocolatés sur le comptoir alors que ton amoureuse investigue le contenu du frigidaire. Tu te rapproches malicieusement de sa silhouette et la questionnes après qu'elle eût refermé la porte de l'électroménager : « Est-ce qu’il y a un ordre des choses spécial à respecter pour ce soir ? » Tendrement, tu glisses tes mains sous ses fesses pour la hisser sur le comptoir de sorte à ce que vous soyez à la même hauteur. Derechef, la jeune femme glisse ses mains dans ton cou, te procurant quelques frissons de satisfaction, et vos lèvres se trouvent enfin dans un baiser passionné et langoureux que tu retenais depuis de longues dizaines de minutes maintenant. Tu caresses doucement l'une des jambes de Penny qui vient s'enrouler autour de tes hanches, t'évertuant à traduire dans ce baiser amoureux à quel point tu aimes Penny est es heureux de faire ta vie avec elle. Elle t'est inestimable, irrésistible, exceptionnelle, et lorsque tes lèvres se défont à contrecœur des siennes, ce n'est que pour baiser sensuellement la peau de son cou, ton avidité de sa chaire, de son parfum, de sa douceur bien présente. Tu ne souhaites pas te distancer d'elle de suite. Tu entends la Stringer émettre quelques gémissements avant de soupirer : « Je pense que tu devrais commencer par moi. » Tu ris doucement contre son épiderme, entre deux baisers. « Et t’assurer qu’il y a beaucoup de ça ce soir, entre chaque étape. » Tu te redresses, croises le regard de ton amoureuse. « Je vois qu'on a le même menu, » tu prononces, armé d'une espièglerie qui s'évapore sous la fougue du baiser que t'offre Penny.
Ses doigts fins glissent sous ton chandail et celui-ci est ôté. Tu aspires envieusement à sentir la peau de ta petite amie contre la tienne, chérir chaque centimètre de sa personne et lui démontrer ton entière affection par tes gestes, tes caresses, tes baisers. Elle était la reine de ton domaine, ton cœur lui était dédié, ton âme pulsait de l'amour grandiose que tu lui vouais. Tu te languis de sentir Penny tout contre toi, de l'embrasser comme un fou, de t'envirer de son parfum. Tes mains caressent ses jambes encerclant toujours ta taille, avant de se faufiler sous son haut pour que tes paumes entrent doucement en contact avec la peau de son ventre, de ses flancs, de son dos. Tes gestes sont tendres et délicats, tu es précautionneux de ne surtout pas faire mal à Penny en abordant une zone devenue plus sensible par la grossesse. Tu l'aides à se débarrasser de son propre haut et reprends possession de ses lèvres avec engouement, ton palpitant battant la chamade. Tes mains caressent suavement ses cheveux et ses joues, tu lui dédies ce regard admiratif qui t'est commun lorsque tes pupilles se posent sur elle. Puis, tu adresses une myriade de baisers sur sa joue, sa mâchoire, son cou et sa clavicule, jusqu'à venir chérir sa poitrine encore couverte de son soutien-gorge. Tes mains descendent dans son dos, avant que tu n'ambitionnes une transition sur le canapé où vous serez certainement plus confortable. Tu y allonges précautionneusement Penny, sans rompre votre proximité, pressant amoureusement ses lèvres des tiennes. Ce Noël, cette vie à venir, seraient merveilleux. Tu en étais intimement convaincu ; il ne pourrait en être différemment avec la Stringer à tes côtés.
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Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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Jamais auparavant tu ne t’étais permise de te projeter ainsi dans le futur. Tu avais toujours préféré garder les deux pieds dans le présent, te concentrer pleinement sur ce que tu pouvais faire maintenant pour t’aider à réaliser les objectifs que tu te fixais. Les objectifs étaient souvent tous en lien avec ta carrière, carrière qui avait pris toute la place dans ta vie pendant une bonne décennie, si ce n’était plus. Carrière qui pourtant, n’avait décidément plus la même incidence qu’il y a quelques années. D’abord suite à ton agression qui avait poussé à un retranchement forcé, puis par manque de passion et d’envie dans les derniers mois, quand ton cœur semblait t’emmener ailleurs sans même que tu ne le réalises pleinement jusqu’à tout récemment. Il y avait aussi le fait que ta vie personnelle avait pris un virage des plus inattendus depuis que tu avais rencontré Isaac, depuis que tu t’étais ouverte à une relation devant laquelle tu aurais normalement fui à toute vitesse. Avec le Jensen toutefois, tu n’avais pas hésité une seule seconde. Toutes tes peurs, tous tes doutes face à l’engagement, face à ta capacité à t’ouvrir de cette façon s’était dissipée naturellement, comme neige au soleil, sans que tu ne ressentes le besoin d’ériger quelconques barrières pour protéger ton cœur. Et la vie s’était chargée de faire le reste, de renforcer un peu plus ce sentiment qu’Isaac était celui avec qui tu voulais faire le reste de ta vie, celui avec qui tu voulais fonder cette famille qui s’était dessinée dans vos quotidiens avant même que vous n’ayez le temps de réaliser que c’est ce que vous vouliez.
Famille que tu imagines déjà s’agrandir après ce premier bébé qui commence à peine à pousser sous ton nombril, mais dont la présence se fait déjà ressentir dans tout ton corps, au travers de ces symptômes plutôt typiques de la femme enceinte. Isaac t’expose la dynamique particulière de sa famille, son lien plus fusionnel avec Phoebe qui est très proche de lui en âge, comparativement à un lien plus protecteur qui le relie aux jumeaux qui sont considérablement plus jeunes. Tu approuves d’un hochement de la tête. Si tu ne peux vraiment te projeter dans le lien plus fusionnel entre Phoebe et lui, tu comprends parfaitement l’aspect protecteur envers un frère ou une sœur beaucoup plus jeune, ta relation avec David étant définitivement de cette trempe, avec l’ajout des besoins particuliers de ton frère qui a fait de toi la première et la plus grande fervente supportrice du garçon. Sans même avoir besoin d’argumenter sur le sujet, vous semblez être tous les deux d’accord sur une petite différence d’âge plutôt qu’une grande et si tu t’attendais à ce que ce constat te fasse tourner la tête un peu, c’est plutôt un sentiment complet de sérénité complet qui t’envahit, persuadée d’être enfin sur le bon chemin dans ta vie. « Est-ce que tu as déjà pensé à des prénoms que tu aimerais pour tes futurs enfants? » La question te fait sourire, mais tu finis par secouer doucement la tête de droite à gauche. « Pas vraiment, je pensais que j’avais encore pas mal de temps devant moi avant d’avoir besoin d’une liste. » que tu lui avoues avec un léger rire. Comme quoi, la vie savait mieux que toi ce qui saurait réellement te rendre heureuse. « J’aime bien les prénoms courts et simples, plutôt traditionnels. » que tu lui admets toutefois, ayant toujours une préférence prononcée pour les prénoms dont les possibilités de surnoms sont limitées. « Et toi? » Tu savais qu’Isy avait été bien plus proche que toi par le passé de fonder une famille avec une autre, et tu te demandais si de cette époque demeurait une liste quelconque de prénoms qu’il aimerait utiliser pour ses futurs enfants, en particulier celui ou celle qui n’était plus si fictif que cela, désormais.
« Je suis content que tu m’aies reconnu de l’hôpital, alors. » Si votre vie de famille n’a plus rien d’hypothétique, tu te permets quand même de poser des questions qui elles demeureront toujours sans réelle réponse, puisque la réalité a voulu que tu sois la première à envoyer un message à Isaac. Un message des plus simples, de ceux qui commencent normalement les conversations les plus banales qui soit, et qui pourtant, aura eu le pouvoir de faire beaucoup plus en bien peu de temps. « Je sais pas, je ne suis pas sûr. » Tu tournes légèrement la tête, curieuse, d’entendre le raisonnement derrière la réponse de ton amoureux. « Si j’avais été d’humeur téméraire, je pense que oui, surtout que du coup ça voulait dire qu’on s’était tous les deux dit ‘oui’ en quelque sorte, et ça m’aurait un peu encouragé. Et j’aurais pu me dire que je n’avais rien à perdre? Mais sinon, je pense que je n’aurais pas vraiment osé, je me serais dit que je n’avais aucune chance. » « T’aurais eu tort. » que tu ne peux t’empêcher de commenter, continuellement impressionnée par tous les petits évènements qui avaient dû se placer dans vos vies communes pour que vous en arriviez à vous trouver sur cette plate-forme, au moment même où vous l’aviez fait. « Je ne pensais que ça pouvait accrocher comme ça, avec quelqu’un. Ça m’est jamais arrivé avant toi. Notre conversation, c’était juste… Je sais pas… Chimique? Plus je parlais avec toi, plus j’avais envie de parler avec toi, et j’ai adoré parler de tout avec toi, comme je l’aime toujours autant, sinon plus. Il y a des gens avec qui on discute, on parle de soi, on parle de nos centres d’intérêts, et ça tourne autour de ces sujets-là. Mais tous les deux, on peut parler de tout, tout à de l’intérêt. Comme si tu apportes un élément chimique et moi l’autre et à chaque fois ça se complète, ça réagit, pour donner quelque chose d’enthousiasmant et de durable. » « Je pensais jamais que quelqu’un pourrait rendre la chimie intéressante à mes yeux. » que tu souffles avec un léger rire, appréciant néanmoins l’analogie de ton amoureux et t’y retrouvant sans la moindre difficulté. « J’espère que j’aurais osé, si tu ne l’avais pas fait, parce que je ne veux pas imaginer ma vie autrement, maintenant. » Tu secoues la tête doucement, ton regard se posant avec tendresse sur Isaac. « Moi non plus. » Tu sens les lèvres de ton amoureux qui se pose sur ta joue et tes doigts viennent se glisser doucement contre la peau de son bras. « J’avais jamais vraiment cru à toutes ses histoires de coup de foudre ou quand quelqu’un me disait que quand j’aurais rencontré la bonne personne, je le saurais sans l’ombre d’un doute. » Tu pensais naïvement que c’était seulement dans les livres et dans les films tout ça, que dans la vraie vie, tout prenait du temps, que l’amour ne te tombait pas dessus par hasard, que ça se cultivait peu à peu et qu’aucune assurance n’existait vraiment. Mais ça, c’était avant lui. « Mais toi, t’es mon évidence, Isaac Jensen. » Une évidence que tu ne saurais renier, une évidence que tu ne voulais pas prendre pour acquis, une évidence que tu aimerais toute ta vie.
« J’y ai jamais vraiment beaucoup réfléchi, parce que j’ai toujours passé Noël ici, et j’ai un peu l’image du Noël en famille gravée dans ma tête. Mais je ne serais pas contre l’idée. Seulement, ça signifie aussi ne pas voir spécialement ses proches pendant qu’on est ailleurs qu’en Australie. » Tu hoches la tête. C’est vrai que le plus grand inconvénient de voyager pendant la période des fêtes, c’est passer à côté de la chance de passer du temps en famille, même si tu te dis qu’il est plus aisé d’organiser des rencontres par la suite que de devoir prendre plus de temps de congé pendant cette période hautement sollicitée. « Tu vois, j’imaginerais plus facilement le Nouvel An dans un autre pays que Noël, par exemple. » Ce qui fait du sens, tu en conviens. « Mais ça peut être une chouette aventure aussi, de voir comment Noël se fait ailleurs. Genre un Noël sous la neige, ça pourrait faire un beau souvenir. » « Et puis il y a rien qui nous empêche de faire quelque chose de différent à chaque année, tout en conservant nos petites traditions au travers. » que tu lui suggères avec un sourire. « Des années qu’on voyage, des années qu’on reste à la maison, selon les projets du moment et tout ça. » Vous saviez tous les deux que la vie pouvait rapidement se remplir d’imprévus et qu’essayer de se projeter trop loin dans le futur n’avait rien d’une garantie. « Mais aujourd’hui, je compte bien profiter de notre premier Noël ensemble. » Parce qu’il est spécial, et il sera unique. Le seul où il n’y aura que vous deux. Le premier et le seul qui sera complètement centré sur votre couple, avec le minuscule interlude de votre bébé à venir sous la forme de cette décoration spécialisée. Isaac t’avoue avec un parti prix pour l’Halloween, ce qui entraîne une discussion sur son poste d’infirmier et cette affinité qu’il semble avoir pour la pédiatrie, malgré son choix de demeurer aux urgences. Isaac t’expose toutefois que sa préférence et sa force se trouve selon lui aux urgences, chose que tu ne peux pas nier, et tu sais qu’il n’a aucun problème à en faire un peu plus pour venir créer des sourires sur les visages des enfants quand le temps lui permet, ce qui ne manque pas de te charmer toujours un peu plus. Tu te considères incroyablement chanceuse et choyée de pouvoir fonder une famille avec un homme si bon, n’ayant certainement pas pu t’imaginer meilleur partenaire de vie.
Le décor change du marché de Noël et l’ambiance aussi, alors que l’intimité de votre maison permet des rapprochements qui se faisaient plus sobres lorsque vous étiez encore en public, jamais complètement à l’abri de photos potentiellement prises par les paparazzis. Ici toutefois, toutes les inhibitions tombent rapidement alors que vous vous laissez guider par vos envies premières, celles de toujours redécouvrir avec ardeur et avidité la peau et la chaleur de l’autre, le goût de vos baisers qui s’intensifient avec chaque nouvelle seconde écoulée. Quand Isaac te demande le menu de la soirée, tu t’assures de lui faire savoir explicitement ce que tu désires, ce qui semble grandement lui plaire. « Je vois qu’on a le même menu. » Toute réponse se fait sous un énième baiser, alors que tes doigts partent à la redécouverte de l’épiderme nouvellement exposée de ton amoureux, avides d’y laisser ta marque. Les mains du Jensen glissent sous ton top, tu frisonnes au contact de ces doigts qui se font plus aventureux à leur tour. Le tissu devient rapidement encombrant et rejoins avec précipitation le chandail d’Isaac déjà oublié sur le sol alors que vos gestes reprennent de plus. Ses doigts glissent dans ta chevelure, contre tes joues alors que vos regards s’entrechoquent pendant quelques secondes, vos yeux criant mutuellement l’amour que vous avez l’un pour l’autre, et ce besoin de le traduire de toutes les façons possibles et imaginables. Ses lèvres viennent trouver ta mâchoire, et tu sens ton corps qui s’enflamme sous ses baisers qui descendent le long de ta nuque d’abord, avant de trouver la naissance de ta poitrine. Tu le sens qui t’attrape avec plus de puissance alors que tu es soudainement transportée du comptoir jusqu’au canapé, ton dos se pressant contre les coussins avant qu’Isaac ne vienne prendre place entre tes jambes qui entourent toujours ses hanches, serrant un peu plus fort pour venir presser son corps contre le tien. Tu te redresses pour venir renverser la vapeur, forçant son dos contre le coussin du canapé alors que tu glisses à genoux, relevant les yeux vers lui avec un sourire qui se veut fort évocateur de tes prochaines intentions. Sans lui laisser le temps de réagir, tu viens défaire le bouton de son jean que tu fais ensuite glisser le long de ses cuisses pour l’en dérober complètement, et tu effectues le même manège avec son boxer que tu trouves déjà bien encombrant. La virilité d’Isaac à découvert, tes doigts viennent entourer son membre contre lequel tu commences un mouvement de va-et-vient, lent et profond d’abord, avant d’accélérer la cadence, suivant les réactions de ton amoureux avant d’y enrouler tes lèvres, pour un maximum de sensations.
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Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
ÂGE : 34 ans (13.05.90) SURNOM : Isy STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur (06.07.2021) MÉTIER : Infirmier au service des urgences, président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023) LOGEMENT : Penny et lui ont quitté Toowong en 2024 pour s'installer avec leurs enfants à Bayside et y créer leur cocon à l'image entière de leur amour POSTS : 28708 POINTS : 0
TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnosticCODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue RPs EN COURS :
Le qualificatif d'impulsif ne s'apparentait pas vraiment à la manière dont tu avais de mener ta vie. Plutôt, tu étais de ceux qui étaient si réfléchis qu'ils en devenaient indécis. Prendre une quelconque décision te nécessitait une quantité de temps proportionnelle à son impact sur ton quotidien, une durée de réflexion souvent jugée affreusement longue aux yeux de tes proches et amis. Tu mettais un point d'honneur à peser le pour et le contre, opter pour ce que tu considérais être la meilleure des orientations parce que tu savais pertinemment que lorsque tu acterais une quelconque direction, tu t'y plierais indéniablement, loyal à ta parole. Tu avais toujours tenu à aller au bout des choses ; s'engager à tes yeux n'était pas dérisoire, ce qui donnait tout son sens à tes longues réflexions. Certes, tu reconnaissais assurément que l'audace, l'imprévu et l'instinct possédaient leur valeur entière et indétrônable dans le tempo d'une vie et sans ces précieux et enthousiasmants éléments, tu ne savourerais notamment pas le bonheur incommensurable qui t'enveloppait auprès de Penny. A ses côtés, tu apprenais à te faire davantage confiance, à écouter tes tripes et ton cœur plutôt que les conseils que tu recueillais jadis à de tierces personnes. Avec elle, tu saisissais toute la beauté des surprises, ces événements bouleversants qui vous secouent sans scrupule aucun mais dont vous ne vous priverez pas une fois la tourmente passée.
Tu aurais pu craindre votre romance qui se déroule à toute allure. Il t'aurait été aisé de céder à la panique parce que soudainement, des éléments qui changent toute votre vie s'imposent dans votre cheminement. Tu aurais pu être effaré de la suite inconnue. Cependant, ce n'est qu'épanouissement et sérénité que tu ressens en bout de ligne au terme de chacune de ces journées que tu chéris en compagnie de ta petite amie. Tout n'est certainement pas tout rose, mais ce sentiment d'évidence, cette sensation indéniable être exactement là où tu devais être, cette impression solide de te trouver sur le bon chemin, te confortaient entièrement sur toutes les décisions que vous avez prises tous les deux. Tu savais que même si votre rythme s'apparentait au hard rock, vous sauriez toujours y danser en harmonie sans vous marcher sur les pieds, tout en en extrayant de la félicité. Pour rien au monde ne changerais-tu quoi que ce soit à ces folies que tu vivais avec Penny, folies qui offraient à votre histoire un sublime et unique camaïeux de couleurs. En aucun cas ne voudrais-tu vivre ces aventures avec quelqu'un d'autre qu'elle. Jamais ne t'étais-tu senti aussi à ta place sur cette planète depuis qu'elle était entrée dans ta vie et que vous fassiez de vos quotidiens des tableaux dont tu étais amoureux.
Tes doigts continuent de caresser distraitement ceux de Penny et tu songes à ce petit être qui croît sous son nombril et qu'il te tarde de rencontrer même s'il ne pointera le bout de son nez que durant l'hiver prochain. Tu as conscience que ce nouveau chapitre s'annonce riche en émotions, mais tu ressens une fierté inénarrable de l'écrire avec ta petite amie. « Pas vraiment, je pensais que j’avais encore pas mal de temps devant moi avant d’avoir besoin d’une liste. » Tu souris, te mords discrètement la lèvre inférieure. Bébé surprise, tu te demandes s'il ou elle vous en réserve en masse à son arrivée parmi vous. « J’aime bien les prénoms courts et simples, plutôt traditionnels. Et toi? » Tu acquiesces, croises le regard de ton amoureuse, ton sourire devient plus franc. « Moi aussi, avec pas mal de voyelles. » Tu ajoutes, précisant : « J'aime bien leurs sons, je trouve que ça égaie un prénom. » Tu réfléchis quelques instants, avant de proposer : « Peut-être qu'à l'occasion, on pourrait se rédiger la liste des prénoms qu'on aime bien puis les comparer. On aura peut-être des prénoms en commun, ou on en découvrira sur la liste de l'autre auxquels on n'avait pas pensé et que finalement, on aime bien. » Tu te souviens d'une conversation que vous aviez eue dans le passé, durant laquelle Penny t'avait appris son deuxième prénom. « Est-ce que tu aimerais qu'il ou elle ait deux prénoms comme toi ? » Tu aimais personnellement cette idée et quelque chose te disait que vous étiez assez facilement sur la même longueur d'ondes pour peut-être parvenir à dénicher deux prénoms qui vous plaisent pour votre enfant.
L'addition des détails, des petits événements, des bifurcations différentes, qui vous a conduit, Penny et toi, à vous rencontrer sur Tinder et entamer une conversation constitue un phénomène époustouflant à tes yeux. Tu as beau ne pas croire en Dieu, tu crois néanmoins en la destinée, en l'univers, en le karma. Peut-être est-ce simplement un mécanisme pour toi pour te rassurer, comme il l'est le cas pour certains pour la religion, mais tu te plais à penser qu'il y a un équilibre dans la vie de chacun et que tout n'arrive pas par le plus grand des hasards. Tu n'irais pas jusqu'à penser que vos histoires sont déjà écrites avant même votre naissance, mais tu penses que le destin a ses jeux dont lui seul a le secret et qui vous poussent inexorablement dans une direction ou l'autre pour que vous accomplissez ce pour quoi vous êtes sur cette Terre. Tu réalises que ton idéologie frise possiblement le candide, mais ces convictions te collent à la peau depuis ton enfance maintenant. Quoi qu'il en soit, tu es heureux que la route de Penny ait croisé la tienne et une partie de toi pense qu'il ne suffisait que de cette petite étincelle par écrans interposés pour que vous vous retrouvez complètement. Il ne vous avait pas fallu vous acharner à vous écrire, vos messages étaient venus naturellement, tout comme vos conversations et votre enthousiasme à converser, vous découvrir. Il ne vous avait pas fallu une histoire toute tracée et sans embûches pour que vous restiez soudés, bien au contraire, l'adversité vous rapprochait toujours plus, que ce soit par un premier date tombé à l'eau ou une grossesse imprévue. Vous étiez différents, Penny et toi, vous aviez des passés divergents, des expériences opposées, pourtant, vous vous retrouviez toujours sur la même longueur d'ondes, et ce pour vous compléter. « Je pensais jamais que quelqu’un pourrait rendre la chimie intéressante à mes yeux, » commente la jeune femme alors que tu vous décris tels deux éléments chimiques s'alliant parfaitement pour créer une réaction spectaculaire. « Mon prochain objectif est de te captiver par le calcul mental, » tu plaisantes avec malice, avouant que si votre rencontre avait été autre, tu espérais ardemment que tu aurais su faire le premier pas, parce qu'en aucun cas ne souhaitais-tu imaginer ta vie autrement désormais que tu la partageais avec ton amoureuse. « Moi non plus. J’avais jamais vraiment cru à toutes ses histoires de coup de foudre ou quand quelqu’un me disait que quand j’aurais rencontré la bonne personne, je le saurais sans l’ombre d’un doute. » Tu souris doucement, songeur. « Moi non plus. Je pensais qu'on avait plutôt une attirance pour quelqu'un et à la force des années, l'affection se solidifiait, » tu avoues. Force t'était de constater que tu avais eu tort et que finalement, toutes ces histoires à l'eau de rose étaient basées sur une heureuse réalité. « Mais toi, t’es mon évidence, Isaac Jensen. » Tu poses un regard amoureux sur ta petite amie, ton coeur battant la chamade, touché par ses paroles. Tu l'embrasses de nouveau sa joue et glisses à son oreille : « T'es l'amour de ma vie, Penny Stringer. »
Vous vous approchez considérablement des bonshommes en chocolat blancs repérés plus tôt par Penny et qui agrémenteront sans nul doute votre premier repas de Noël en amoureux. Tu priais pour que ce dernier soit le précédent de nombreux autres et tu te plais à imaginer vos prochaines festivités. « Et puis il y a rien qui nous empêche de faire quelque chose de différent à chaque année, tout en conservant nos petites traditions au travers. Des années qu’on voyage, des années qu’on reste à la maison, selon les projets du moment et tout ça. » Tu acquiesces, un éclat d'aventure et d'espièglerie dans tes yeux. « J'aime beaucoup cette formule, » tu y adhères, conquis, appréciant cette liberté d'organisation, cette sensation de surprises sans pression car s'accordant à ce qui se passait dans vos vies en ces périodes. « Mais aujourd’hui, je compte bien profiter de notre premier Noël ensemble. » Tu hoches la tête vigoureusement. « J'ai hâte de créer tous ces souvenirs avec toi. » Et tu aimais déjà tous ceux que vous aviez écrits, tu les chérissais tels des trésors. « Quelque chose me dit qu'il y a de forts risques que ce Noël soit l'un de mes favoris ; et j'inclus ici les prochains à venir. »
L'escapade au marché de Noël achevée, vous vous retrouvez au sein de votre foyer. Cette notion du privé récupérée, vos gestes se veulent plus francs et entreprenants désormais que vous vous trouvez à l'abris des regards indiscrets. Tu hisses Penny sur le comptoir de la cuisine, te délectant de ses lèvres, humant son parfum délicat qui te transporte toujours vers la félicité. Tes doigts caressent tendrement ses joues, se mêlent à ses cheveux ondulés et soyeux. Ta bouche s'éprend de son doux épiderme, créant des sillons de baisers dans son cou, sur sa clavicule, à la naissance de sa poitrine. Les vêtements deviennent rapidement de trop et se rejoignent sur le carrelage, avant que tu ne conduises Penny jusqu'au canapé du salon où tu l'y allonges, prenant place au-dessus d'elle. Les doigts d'une de tes mains caressent l'une de ses jambes qui se sont nouées autour de tes hanches, tu prends plaisir à chérir chaque centimètre de peau qui n'est pas recouvert de tissus, adorant le contact de sa chaleur, de sa douceur. D'un geste assuré, ton amoureuse échange les rôles et te surplombe. Le regard éloquent qu'elle te lance fait indéniablement naître des frissons dans tout ton être, frissons qui suivent une courbe exponentielle alors que la jeune femme te défait de ton pantalon puis de ton boxer. Promptement, les doigts de ta petite amie encerclent ton entrejambe, débutant des mouvements qui invoquent des vagues de plaisirs et de désirs en toi, provoquant des soupirs de satisfaction qui franchissent la barrière de tes lèvres. Lorsque les doigts de Penny sont remplacés par ses lèvres, ton souffle se coupe, certains de tes muscles se contractent davantage, les sensations de volupté deviennent électriques. Tes soupirs perdent rapidement leur discrétion et tes mains viennent caresser les épaules et la nuque de Penny dans ses mouvements enchanteurs. Ton cœur au bout des lèvres, tu te redresses légèrement lorsque les sensations de plaisir deviennent dangereusement intenses et tu dévêts Penny de ses derniers habits. Tu l'attires tout contre toi, assisse sur tes cuisses, et prends fiévreusement possession de ses lèvres dans un baiser amoureux et langoureux qui remporte rapidement en passion, au sein duquel vos souffles se mêlent au cœur des caresses de vos langues. Tes doigts se faufilent le long de son dos jusqu'à ses fesses, tes paumes désireuses de couvrir son corps, massant ces premières pendant que vos intimités s'effleurent. Tout ton organisme hurle follement l'amour que tu lui voues et s'érige de le lui faire dans la même mesure que tu te passionnes à lui dire avec tes mots chaque jour combien tu l'aimes. Tu bascules légèrement Penny en arrière, la retenant d'une main dans son dos, pour te délecter de sa poitrine, choyant avec délicatesse ses seins d'une de tes mains, en addition de ta langue qui titille malicieusement une des aréoles rosées, traçant avec chaleur le tour de son mamelon saillant.
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Dernière édition par Isaac Jensen le Jeu 25 Aoû 2022 - 22:38, édité 1 fois
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
ÂGE : trente-deux ans (03.08.1992) SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court. STATUT : trois ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore. MÉTIER : maman à temps plein, elle partage le reste de son temps entre la fondation Run for Judy à l'hôpital, et la fondation Tomlinson, à défaut de se sentir prête à reprendre le chemin devant les caméras. LOGEMENT : nouvellement installée dans une belle grande maison à Bayside, qu'ils ont choisi ensemble avec Isaac et qui répond à tous les besoins de leur petite tribu. POSTS : 13982 POINTS : 0
TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal. RPs EN COURS : (03) ≡ angus › chris › ethel.
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« Moi aussi, avec pas mal de voyelles. J’aime bien leurs sons, je trouve que ça égaie un prénom. » Tu hoches doucement la tête, approuvant silencieusement. De toutes les discussions que tu aurais pu t’imaginer avoir avec Isaac suite à vos premiers dates, celle-là ne faisait certainement pas partie du lot, surtout pas si peu de temps après l’officialisation de votre couple. S’il était facile de craindre la vitesse intensive à laquelle tout se déroulait sous vos yeux ébahis, tu préférais croire que la vie avait un plan bien particulier en place pour vous et tu ne voulais pas en manquer un seul instant. « Peut-être qu’à l’occasion, on pourrait se rédiger la liste des prénoms qu’on aime bien et puis les comparer. On aura peut-être des prénoms en commun, ou on en découvrira sur la liste de l’autre auxquels on n’avait pas pensé et que finalement, on aime bien. » « C’est une bonne idée. » que tu confirmes enthousiaste, ton regard cherchant cette boule de Noël personnalisé que tu venais tout juste de lui offrir, pour te rappeler que c’est bien vrai tout ça, alors que tu caresses ton ventre plat du bout des doigts, toujours aussi incrédule face à l’apparition de cette petite vie humaine sous ton nombril. « Est-ce que tu aimerais qu’il ou elle ait deux prénoms comme toi? » Ce n’est pas quelque chose à laquelle tu avais pris le temps de réfléchir jusqu’à maintenant. Dans ta famille, les deuxièmes prénoms étaient une évidence, quelque chose que tous les enfants recevaient sans que ce ne soit réellement discuté, mais tu n’avais pas oublié le fait qu’Isaac lui, n’en possédait pas. « Est-ce que ça te dérangerait? Que ce soit différent de toi? » Si tu aimais bien le principe, tu n’avais rien contre l’idée que votre enfant ne porte qu’un seul et unique prénom, tant tu savais que vous sauriez le choisir avec précaution et amour, Isaac et toi.
« Mon prochain objectif est de te captiver par le calcul mental. » Tu échappes un rire franc, te délectant de cette conversation pleine de suppositions et de petits détails dévoilés entourant les circonstances de votre rencontre. Si tu savais qu’il était impossible de réécrire et de changer le passé, tu aimais fabuler sur les comment et les pourquoi, sachant que de toutes les variantes, votre histoire actuelle, dans toute sa folie et son imprévisibilité, restait ta favorite de toute. « Moi non plus. Je pensais qu’on avait plutôt une attirance pour quelqu’un et à la force des années, l’affection se solidifiait. » Tu pensais de manière similaire. Tu pensais aussi qu’à force d’épauler et de soutenir quelqu’un au travers des déboires de la vie, cela rapprochait, créait des liens qui s’apparentaient à l’amour. Oh comme tu étais contente que le Jensen soit venu te prouver que c’était bien différent que tout ce que tu avais pu t’imaginer par le passé. Les mots sont forts en signification, et pourtant tu n’en penses pas moins. Tu es certaine que personne ne saurait faire autant de sens à tes côtés que lui, que son chemin était venu croiser le tien pour de grandes raisons, de belles raisons. Que l’histoire de ta vie ne s’écrivait pas aussi bien sans l’encre de sa personne, sans l’inspiration qu’il savait fournir à ton quotidien. Tu sens les lèvres de ton amoureux sur ta joue et tu fermes délicatement les yeux, un sourire se formant sur ton visage. « T’es l’amour de ma vie, Penny Stringer. » Tu ouvres à nouveau les yeux, tournant ton visage de façon à venir croiser son regard, dans lequel tu peux si aisément y lire tout l’amour qu’il te dédie jour après jour depuis plusieurs mois maintenant. Cet amour qu’il sait si bien articuler, celui que tu n’as jamais besoin de demander pour être rassurée, celui que tu n’as pas besoin de marchander, au sein duquel aucun jeu ne se fait. Une évidence, rien de plus. Un lien qui se devait de prendre place, de ceux que l’on peut difficilement expliquer la portée mais qui sont plus forts que tout et n’importe quoi. Tes deux mains se glissent contre ses joues, ton regard amoureusement plongé dans le sien avant que tu ne viennes capturer une énième fois ses lèvres, simplement pour le plaisir de ressentir ces frissons que lui seul savait si délicieusement te procurer.
Cette journée de Noël s’annonce parfaite à sa façon, une première qui marquera les années à venir, tu n’en doutes pas un seul instant. Ce marché était l’endroit parfait pour commencer les célébrations, et tu te tâtes déjà du plan de la soirée, même si dans l’immédiat, les questionnements tournent plutôt autour des différentes traditions et façons de faire que vous aimeriez inclure dans vos Noël à venir, dans ceux qui seront accompagnés en chair et en os par cette petite personne de plus, mélange parfait de lui et de toi. Tu proposes que rien ne soit jamais parfaitement couler dans le béton, d’alterner les années où les voyages priment et celles où rester à la maison semble être la meilleure façon de faire, consciente que vos vies et vos quotidiens risquaient d’être grandement pimentés par vos horaires changeants, n’ayant pas la moindre garantie d’où la vie vous porterait d’ici là. « J’aime beaucoup cette formule. » « Elle est à notre image, je trouve. » Il y a les fondations qui ne changent pas, ces traditions que tu aimerais conserver que ce soit à la maison ou ailleurs, la base qui est solide et puis comme vous, elle est pleine de spontanéité et d’envie du moment, agrémenter par des coups du Destin que vous ne sauriez prédire. « J’ai hâte de créer tous ces souvenirs avec toi. » « Moi aussi. » Tu es tellement impatiente que vous êtes encore seulement au début de ce premier Noël que déjà, tu penses aux différentes façons et différentes choses que tu pourrais mettre en place pour rendre le prochain plus spécial, et celui d’après encore plus. « Quelque chose me dit qu’il y a de forts risques que ce Noël soit l’un de mes favoris ; et j’inclus ici les prochains à venir. » « Ne sous-estime pas mon besoin compulsif de toujours faire mieux. » que tu lances avec malice, glissant tes lèvres tendrement dans son cou.
Et pour mieux faire ce soir, c’est ton corps que tu laisses parler contre celui d’Isaac, que vos mains avides et vos lèvres affamées se cherchent constamment pour mieux se trouver. La cuisine est délaissée pour le salon, les vêtements deviennent rapidement une histoire du passé et c’est sans lui donner le choix que tu prends le contrôle de la danse, tes doigts dansant sur son corps nouvellement nu, redécouvrant les meilleures manières de le faire frissonner, de faire grimper le plaisir en lui sous des gémissements de plaisir qui ne t’incitent qu’un peu plus dans tes façons de faire. Ses mains qui s’accrochent à ton cou et tes épaules t’encouragent un peu plus, tes doigts s’agrippent à ses hanches peu avant qu’Isaac ne se redresse, te forçant ainsi à te relever. Les dernières barrières de tissus couvrant encore ton corps sont rapidement retirées, avant que ton amoureux ne te ramène contre lui. Tes jambes prennent place autour de ses cuisses et c’est avec passion qu’il reprend possession de tes lèvres, dans un baiser qui se fait fiévreux, dans lequel vos langues se retrouvent avec des millions de choses à se dire. Tu sens ses mains qui glissent le long de ton dos, qui attrapent avec force tes fesses alors que tu entreprends un léger mouvement de va-et-vient qui se veut simplement aguicheur, tes doigts perdus à la base de ses cheveux que tu maltraites en douceur. Les lèvres d’Isaac abandonnent les tiennes, descendent d’un chemin fiévreux de ton cou jusqu’à ta poitrine dont il connaît chacun des points faibles, t’arrachant au passage de nouveaux gémissements qui se font de plus en plus bruyants alors que ton envie atteint son maximum. Sa main et sa langue persistent à t’arracher de nombreux frissons de plaisir, et ton impatience grandissant, c’est sans subtilité aucune que tu descends sa main de ta poitrine jusqu’à ton entrejambe. « J’ai envie de toi. » que tu viens murmurer contre son oreille, tes lèvres venant mordiller la peau de sa nuque alors que d’un mouvement de bassin, vos corps ne font plus qu’un, t’arrachant un nouveau soupir au passage. Tu entreprends d’abord un rythme qui se veut lent et profond, d’une danse que tu continues de mener au gré de tes envies, tes doigts glissant d’abord dans sa nuque, puis créant un long chemin dans son dos, dans lequel tu fais constamment des aller-retours au même rythme que les va-et-vient qui s’intensifient.