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 Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyVen 7 Jan 2022 - 18:38



Jordan Fisher
Le RP prend place en Juillet 2015 à Brisbane, chez Byron, Jordan a 24 ans. Rosa est dans le coma depuis 5 ans.
(avatar © invité bazzart)
Juillet 2015
Tu as tenté. Tu savais pas s’il allait être opérationnel ou quoi, mais tu as tenté. Tu étais super chaud tout seul dans ton lit une place que tu occupes chez Maria depuis quelques années maintenant. Celui ci que tu avais l’habitude d’investir avec ta copine avant qu’elle n’ait cet accident qui a bien bousculé tout ton monde. Tu ne travailles pas aujourd’hui et tu as décidé de rester allonger et essayer de dormir toute la journée. Sauf que tu as toujours bien du mal à t’endormir, ce qui est triste quand on sait que tu veux surtout mettre ton cerveau en veille. Et puis tu glisses ta main jusqu’à ton caleçon et tu prends ton téléphone portable. Tu cherches qui serait disponible pour que tu puisses profiter de la chaleur d’un corps plutôt que de faire ça tout seul. Trent a un copain en ce moment et t’es franchement pas habitué à ça. Il a passé la plus grande partie de sa vie - depuis que tu le connais - célibataire et c’est étrange de ne pas pouvoir juste passer chez lui. Tu es bien loin d’être jaloux mais tu es aussi super flemmard à trouver des partenaires et tu n’as pas envie de sortir dans un bar du côté du quartier gay pour trouver quelqu’un en plein milieu d’après midi. Et puis tu retombes sur le numéro de téléphone de Byron que tu avais pris soin de lui demander avant de le quitter il y a quelques semaines de ça. Un mois a dû passer depuis que vous vous êtes donné l’un à l’autre et tu lui envoies un message simple et efficace pour savoir s’il est dispo et s’il veut ton cul.

C’est comme ça que tu te retrouves dans son lit, la vague de plaisir vient de t’envahir et tu restes allongé sans trop bouger, sur le ventre. Un léger sourire aux lèvres car c’est exactement ça que tu voulais quand tu étais tout seul dans ton lit. Tu apprécies toujours quand tu arrives à avoir ce que tu désires. C’est pas souvent. T’as eu de la chance qu’il soit disponible et qu’il t’invite chez toi. Tu reprends ton souffle, ta cage thoracique qui se gonfle et dégonfle au rythme de ta respiration. Tu tournes ensuite la tête vers Byron qui se trouve à présent à côté de toi dans son lit deux places à lui. Tu fantasmes toujours sur ce futur jour divin où tu pourras avoir un chez toi. Mais pour l’instant, tu es assez bête pour mettre bien trop d’argent dans soit du matos pour ton boulot, soit des substances illicites. Tu peux pas tout avoir et il faut avouer que tu n’es pas si mal loti chez Maria. Ca devient un problème simplement quand tu veux un endroit pour ramener des gens. Tu ne l’as jamais fait chez elle et tu ne le feras jamais. Tu as un plutôt très beau sourire aux lèvres parce que cette journée a pris un virage bien moins déprimant que celui que tu avais emprunter depuis que tu t’étais réveillé bien trop tôt dans la matinée. Ses beaux yeux sont un plaisir et tout le reste de son corps également. Y’a ton téléphone qui vibre. Tu l’entends, tu ne le vois pas, mais tu ne cherches pas à bouger de toute façon. Tu es trop bien là pour couper ce moment de plénitude. Tu verras plus tard de quoi il s’agit.

@Byron Oberkampf
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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptySam 8 Jan 2022 - 20:13




Can we fly, can why fly away
Un texto. De Jordan. Je n'espérais plus de nouvelles de sa part. Après sa rencontre au bar, cet extra dans l'arrière salle et cette nuit torride. Dans ma tête, il ne s'agissait rien de plus qu'un coup d'un soir. Une rencontre inopinée avec pour seul point d'orgue une partie de jambes en l'air, sans lendemain.

Quelle surprise de lire son message. Clair. Efficace. Sans équivoque. Pour seule réponse : un smiley clin d’œil. Et trois mots agrémentés d'un point d'exclamation. [Je t'attends !]. Le jeune homme n'a pas traîné. La sonnette n'a pas tardé à retentir. L'excitation est montée. La porte s'est ouverte. Je lui ai sourit. Je l'ai attrapé au col pour l'attirer à l'intérieur. Et le jeu a commencé. Sans attendre, je l'ai poussé vers la chambre. Je l'ai accompagné jusqu'au lit. Je lui ai retiré ses vêtements. Je l'ai emprisonné dans mes bras. Puis j'ai honoré son cul.

Et, après nos ébats, mes draps s'en souviennent tandis que nous nous octroyons un petit moment de repos, lovés l'un dans l'autre. Je respire sereinement alors qu'une de mes mains caresse les courbes de son corps. Sa cage thoracique se gonfle par intermittence. À proximité de nous j'entends les vibrations d'un téléphone. Ce n'est pas le mien. Mais il ne réagit pas. Il reste impassible. Je souffle dans le creux de son cou. Je respire son odeur. Avant de lâcher, avec une bonne dose d'humeur. « Je crois que votre prochain rencard s'impatiente Monsieur le tatoué ! ». Mais je ne veux pas qu'il s'en aille. J'aime effleurer sa peau marquée à l'encre, le sentir frissonner tandis que mes caresses se veulent hardies, déposer mes lèvres dans son cou. Avant de lui demander naïvement. « Pourquoi tous ces tatouages ? Ont-ils tous une signification ? » Je scrute ceux qu'il m'offre à voir à l'instant. Tel un enfant, mon index virevolte à droite, à gauche, au gré des volutes, des courbes et autres formes géométriques parsemant son corps. À côté, toutes mes cicatrices, tout aussi indélébiles, sont immondes. Toutes ont une forme si particulière. Toutes rappellent à mon bon souvenir un moment douloureux, un moment de souffrance. À cause d'un contact sauvage avec une lame de couteau ou l'extrémité rougeoyante d'un mégot de cigarette. Je tente d'oublier ces sévices en serrant dans mes bras le corps sec mais si joliment ornementé de Jordan. « Ton corps est si beau à regarder ! » Comme si j'avais un livre ouvert sous les yeux. Une bande dessinée à même la peau.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyLun 10 Jan 2022 - 11:10



Jordan Fisher
Le RP prend place en Juillet 2015 à Brisbane, chez Byron, Jordan a 24 ans. Rosa est dans le coma depuis 5 ans.
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Il reste sur ton dos et tu n’as aucun problème avec ça. S’il a envie de retrouver ton intérieur dès qu’il a rechargé, tu es totalement opérationnel. Son nez dans ton cou, tu espères qu’il n’est pas en train d’aimer un poil trop ce qu’il y a sous lui, car tu n’es là que pour la partie physique, pas la partie romance. « Je crois que votre prochain rencard s'impatiente Monsieur le tatoué ! ». Il te fait rire avec ses mots. « Il attendra encore un peu. »  Parce que tu es bien trop installé là. Les moments où tu planes sans substances sont précieux. Si tu pouvais envoyer un message à Maria à chaque journée où tu n’as pas besoin de consommer tu le ferais. La seule raison qui t’en empêche c’est la honte des jours où tu ne lui enverras pas. En attendant, tu fais bonne figure à tous les instants entre les murs de sa maison.

Les lèvres de Byron sur ton cou, ses mains encore sur toi, il a l’air de ne pas avoir envie de faire une pause nette. Ses attentions te font du bien. Te voilà en train de fermer les yeux. « Pourquoi tous ces tatouages ? Ont-ils tous une signification ? » Tu ne t’attendais pas à une telle question mais il est vrai que c’est peut être la première fois où la lumière est toujours bien présente et où vous avez le temps de penser au lieu de juste baiser. Tu sens le bout d’un de ses doigts te parcourir la peau comme si il était en train de lire un livre. « Presque tous. »  Tu réponds qu’à moitié. Tu ne veux pas faire face au ‘pourquoi’ à voix haute. Tu n’en as pas parlé ouvertement avec grand monde. « Ils sont tous un souvenir. »  Car ceux qui ont été fait par défi, ceux qui ont été fait sans que tu t’en rendes compte car tu étais trop high, ceux qui ont été juste parce que tu t’ennuyais, ceux qui cachent les endroits où tu te coupais quand tu étais plus jeune et puis y’a ceux que tu as pensé plus ou moins longtemps avant de les marquer à jamais sur toi.

« Ton corps est si beau à regarder ! » Tes yeux qui s’ouvrent à ses mots car encore une phrase que tu ne t’attendais pas. Une phrase que tu ne comprends pas car tu ne vois pas la même chose que lui quand il s’agit de ton corps. Tu es beaucoup trop maigre pour ne mentionner que ça. « Le tiens aussi… »  Car lui c’est un fucking apollon, mais s’il trouve que tu es beau grâce à tes tatouages, tu comprends un peu plus l’attrait. C’est aussi pour ça que tu les as fait. Pour te trouver plus joli. Tu te décides à te tourner afin de pouvoir le regarder, tu te débrouilles pour qu’il reste sur toi et tu passes ta langue sur tes lèvres aussitôt que tes yeux sont sur son corps. « Tu pourrais être mannequin. » Ca pleut des compliments. « Tu fais de la muscu? » Que tu demandes. C’est bien une chose que tu n’as jamais fait car pas le temps ni la motivation, mais c’est super agréable à observer un corps si bien sculpté. Tu vas d’ailleurs passer ta main sur son torse que tu ne quittes pas des yeux. Tu préfères te concentrer sur son corps que ses yeux.
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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyLun 10 Jan 2022 - 22:25




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Je me nourris de la vision de son corps. Des centaines de tatouages qui le couvre, le mettent en valeur telle une tenture murale. Ils cachent des secrets. Probablement. Je ne cherche pas à lire en lui comme un livre ouvert. Je m'interroge simplement. Et lui. Il reste évasif. Je le comprends. En aucun cas, je ne veux le troubler. En aucun cas, je ne veut le mettre mal à l'aise. Je ne souhaite pas lui tirer les vers du nez. Néanmoins, il finit par m'avouer, à demi-mot, que chacun est rattaché à un souvenir. Je ne préfère pas insister. Et simplement regarder chaque parcelle de son corps, m'extasier devant certains tatouages et, malgré les couches d'encres, je remarque la trace de scarifications. Je ne dis mot. Je continue simplement à laisser ma main voguer sur son corps que je considère comme une œuvre d'art. Je me délecte avant de le complimenter. Je perçois un léger frissonnement de sa part. Comme si mes mots l'étonnent. « C'est vrai ! » Je dépose un baiser sur son omoplate. Pour seule réaction, il me retourne le compliment. Je ne le crois pas. Comment peut-il dire une chose pareille. Mon corps est strié de cicatrice, de l'omoplate à la plante des pieds. Marques de mon tortionnaire. Il ne peut ne pas l'avoir remarqué. Aucun tatouage ne les dissimule. Je tente de les assumer. J'essaie de faire abstraction. En serrant les dents. Il se retourne. Nos jambes continuent à s'entremêler. Quel plaisir d'entrevoir son visage, même si sentir les courbes de son fessier était particulièrement agréable. Son regard est fuyant. Je tente de l'attraper au vol, sans succès. Il a sa préférence. Il se satisfait de passer mon corps aux rayons X. Avant de me souffler une idée. Tellement saugrenue que je n'ose la prendre au sérieux. « Arrête de dire des conneries ! » J'essaie de le faire taire en posant mes lèvres sur les siennes un instant... « Tu sais, je ne serais absolument pas à l'aise ! » Je trouve les photographies parfois tellement intrusives. Et, sauf en me photoshopant, il serait impossible de dissimuler éternellement mes cicatrices. J'ai tenté, à plusieurs reprises, de jouer au modèle, pour des amis, pour des inconnus. Sans succès. Je n'aime vraiment pas être mis à nu. Toujours déstabilisé par l'objectif. « Je préfère être derrière un bar... Surtout lorsqu'il y a des extras ! ». Ma main glisse le long de son corps. Elle effleure son sceptre et le titille. Avant de se retirer. Il faut savoir retenir ses pulsions. Pour mieux les exploiter plus tard. En attendant, je me soumets à ses interrogation. Après vouloir me voir me reconvertir dans le mannequinat, il me demande si je me confronte aux altères. Il profite de sa question pour poser sa main sur mon torse et le dévorer des yeux. « Je m'entretiens. Sans plus... » Silence. Pas sûr qu'il se satisfasse de ma réponse. « Je fais de la boxe ! » Ajoute-je dans un souffle. « Histoire de me dépenser un peu ! » Tandis que ses yeux continuent à fuir les miens, je glisse mes mains au dessous de son cou et l'oblige à me regarder. « Et toi ? Tu fais du sport ? » Silence. Avec un sourire aux lèvres, je précise. « Hors sport de lit ! » Avant de le gratifier d'un clin d’œil.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyJeu 20 Jan 2022 - 19:46



Jordan Fisher
Le RP prend place en Juillet 2015 à Brisbane, chez Byron, Jordan a 24 ans. Rosa est dans le coma depuis 5 ans.
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« C'est vrai ! » Et il est bien trop gentil d’insister sur une chose qui te touche autant que te désoriente car tu as toujours du mal à croire les compliments sur ta personne. Il a ses lèvres de nouveau sur ton corps et vraiment, tu pensais pas qu’il serait aussi tendre mais tu prends tout. Tu en as besoin et tu ne vas pas te défaire de lui s’il ne le fait pas en premier. « Arrête de dire des conneries ! » Au moins il comprend que toi aussi y’a bien des conneries qu’il a dit à propos de ton corps. Tu le trouves beau malgré les défauts et visiblement, c’est de même pour lui. Il veut sûrement te faire taire en venant t’embrasser et tu prends le baiser avec grand plaisir. Vraiment, tu ne regrettes pas une seconde d’avoir envoyé ce message pour le voir. « Tu sais, je ne serais absolument pas à l'aise ! » Justement non, tu ne sais pas. Il a l’air si à l’aise dans sa tête et son corps. Il est en train de te faire comprendre que c’est beaucoup de bluff. Tu sais ce que c’est car tu es comme ça aussi. Quand on commence à te connaître y’a bien des choses qui se mettent en lumière que tu cachais sans effort. Car tu ne parles pas de ta vie aux premiers venus. « Je préfère être derrière un bar... Surtout lorsqu'il y a des extras ! ». Tu penses à l’alcool en premier. Il doit en avoir gratuit souvent, mais quand sa main est bien sur toi tu comprends de quel genre d’extra il parle. Du genre que tu lui as donné l’autre fois. Y’a un sourire amusé sur ton visage. Il ne fait pas durer son geste et tu laisses s’échapper une légère plainte entre tes lèvres.

« Je m'entretiens. Sans plus... » Tu aimerais bien avoir un corps comme le sien en faisant des trucs sans plus. Mais pour l’entretient y’a forcément quelque chose derrière qui indique du travail. Chose que tu ne fais pas. « Je fais de la boxe ! » Tes yeux qui passent de son torse à son visage. Surpris mais agréablement.

« Histoire de me dépenser un peu ! »
« Et de pouvoir casser des gueules un peu. »  

Tu commentes avec un sourire aux lèvres. Tu trouves que c’est pas con de faire ce genre de sport. Ça ne sert pas juste à faire joli. Tu sais te battre toi ouais, malgré toi, malgré toutes les fois où tu t’es retrouvé au milieu de coups. La rage de ton corps et ton adrénaline qui ont toujours fait tout le travail. Rien à voir avec un entrainement quelconque. Tes yeux qui retournent sur son corps et il remonte ton visage vers le sien. « Et toi ? Tu fais du sport ? » La question te fait rire. « Hors sport de lit ! » Nouveau rire alors qu’il te fait un clin d’oeil et que tu glisses ton bras autour de lui. « Non je fais pas de sport. » C’est d’ailleurs pourquoi tu es aussi maigre. Y’a pas de muscle. Tu es grand et fin. Rien d’agréable à la vue à ton avis. « Je me tape des sprints pour fuir les méchants… » T’es amusé de ce que tu lui dis. Tu vas le faire basculer sur le dos pour te mettre à califourchon sur lui. « Je peux faire de la lutte aussi… Si c’est demandé gentiment. » T’es con. T’es amusé. Tu aimes bien trop te retrouver en position de force au dessus de lui. Surtout que tu sens bien toute son anatomie contre ton corps.
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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyJeu 3 Fév 2022 - 7:07




Can we fly, can why fly away

Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan 3180130893

Nous sommes allongés, l'un à côté de l'autre. Il me complimente. Il m'imagine mannequin. Je rougis. Être sous les feux des projecteurs. Très peu pour moi. Malgré ce qu'il peut croire, au premier coup d’œil, je suis loin d'assumer mon enveloppe charnelle. Trop marquée, de part en part. Je ressens chaque flash, chaque photographie comme une agression. Et je ne peux, pleinement me laisser aller. Au grand dam des photographes, plus ou moins professionnels, qui tentent juste de faire changer mon regard sur moi-même.

Je préfère la discrétion d'un bar. Être une petite main, prête à satisfaire les moindres désirs de clients parfois exigeants. Caché, derrière ma casquette de barman. Et celle-ci, parfois, m'aide à assouvir quelques pulsions sexuelles. Auprès d'hommes et de femmes venus s'égarer au comptoir. Comme Jordan une nuit. Après un préambule appréciable. Et largement apprécié. Ma main serpente jusqu'à son intimité avec laquelle elle joue. Quelques instants. Suffisamment longs pour provoquer chez le jeune homme tatoué un râle de satisfaction.

La question qu'il me pose ensuite m'étonne. Je ne fais pas de musculation. Quelques pompes. Quelques abdos. Parfois le matin, en me levant. Rien d'intensif. Néanmoins, je finis par avouer faire de la boxe. Je vois son regard passer de mon torse aux traits de mon visage. Il ne peut cacher sa surprise. Même si je ne vois dans ce sport qu'un moyen de me dépenser, oublier mes tracas quotidiens et me vider la tête. Malheureusement pour le sac qui me sert d’exutoire. Ou l'humain qui décide de s'entraîner avec moi. La remarque de Jordan me fait rire. « Effectivement ! Ça aide... Aussi à esquiver les coups ! » Avant de prendre ses jambes à son cou.

À mon tour de savoir s'il fait un sport quelconque pour entretenir sa carcasse. Il rit et glisse un bras autour de moi. Il admet ne faire aucun sport. Juste des sprints pour se préserver des problèmes avec la racaille. Un sourire aux lèvres je lui réponds : « Je vois bien le genre ! » Accessoirement, cette attitude permet d'éviter de finir le crâne fracassé sur l'angle d'un trottoir, dans le coma puis six pieds sous terre en cas de mauvaise chute. « Du coup, tu dois être un professionnel du resto-basket aussi ? » Demande-je en esquissant un sourire. Sans que je puisse présager de la suite. Si soudaine. Je bascule sur le dos. Le souffle coupé. Je le vois se dresser au dessus de moi. À califourchon. Dominateur. Il dévoile un autre sport dans lequel il excelle. La lutte. Il se penche en avant. Il se frotte à moi. À un endroit stratégique. Je retiens ma respiration, tandis qu'il pose ses mains autour de mes poignets. Pour garder le contrôle. « Monsieur est plein de surprise ! » Dis-je sans bouder mon plaisir. J'aime que l'on prenne des initiatives. Tandis qu'il glisse sur moi, je sens la sève monter et mon pénis reprendre du poil de la bête. En accord avec ses va-et-vient. « A croire que tu n'es pas rassasié ! » Ajoute-je, en tentant de me débattre, sans une réelle conviction, appréciant la situation et cette sensation d'être à sa merci. « Je suis tout à toi ! » Conclus-je, pour voir ce qu'il avait dans le ventre. Par défi. Par envie de le laisser prendre les choses en main. Tenir la barre. Au sens propre. Comme au sens figuré.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyLun 7 Fév 2022 - 23:20



Jordan Fisher
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« Effectivement ! Ça aide... Aussi à esquiver les coups ! » C’est drôle comme tu n’as pas pensé à l’esquive mais à l’attaque directement. Si tu te retrouves au milieu d’une bagarre tu comptes bien frapper plus qu’éviter. Ça fait même du bien d’une certaine façon de ressentir les coups que tu prends. T’es maso ouais. Tu penses que tu mérites. « Je vois bien le genre ! » Parce que tu n’es pas non plus désireux d’en finir avec la vie malgré que la pensée te traverse l’esprit au moins une fois par jour. L’option pour mettre fin à tout ça c’est toujours la fuite. Ta grande taille aide a courir rapidement. Ca te sauve et c’est bien un des rares trucs que tu aimes à propos de ton physique. Tes grandes jambes. « Du coup, tu dois être un professionnel du resto-basket aussi ? » Mais tu ne réponds pas à cette question, tu préfères reprendre l’ascendant sur son corps. « Monsieur est plein de surprise ! » Ca te fait rire parce qu’il ne connait pas grand chose à ton propos au fond mais il parle comme si c’était le cas. Cute. Tu prends le temps sur lui, tu n’as pas l’intention de filer sous peu car t’es bien là. Tu le sens bien. Tu le sens même de plus en plus et ça fait s’agrandir le sourire en coin qui est affiché sur son visage. « A croire que tu n'es pas rassasié ! » Tu fais une tête qui veut dire ’Peut être, peut être pas’. Tu apprécies fortement la position, le moment et surtout l’effet que tu lui fais. « Je suis tout à toi ! » Lui qui annonce ça, confessant que lui non plus n’est pas rassasié. Tu lèches tes lèvres alors que tu vas t’occuper de son érection car nope, tu ne vas pas le laisser souffrir. Tu n’es pas si cruel. Bien sûr Jordan, tu es en train de lui rendre service, tu fais ça dans un acte de générosité on y croit tous.

Après ce deuxième round où tu as inversé les rôles, tu serais presque sur le point de t’endormir contre son torse. Tu es bien là encore enveloppé du bien être qu’il t’a fait ressentir. Tu gardes les yeux fermés, fatigué des efforts que tu as fourni. T’es pas un sportif nope. Nouvelle preuve. Tu n’es pas non plus dans la meilleure place mentalement ces derniers jours. La fatigue s’abat sur toi plus rapidement et facilement de ce fait. « Je vais m’endormir si je reste comme ça… » Tu te décolles et te retournes pour te retrouver sur le dos. Tu te frottes les yeux avant de faire pivoter ton visage vers lui. « Je vais pas tarder… » Mais s’il te dit de rester, t’auras pas de problème. Juste, tu demandes pas en premier lieu. T’as un lit qui t’attends et maintenant que tu as pris ton pied par deux fois, il sera - tu l’espères - plus facile pour t’endormir jusqu’au lendemain.


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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyMar 8 Fév 2022 - 23:12




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En pleine chevauchée de mon corps, je lui donne le feu vert. Pour repartir au galop. Vers une nouvelle session de plaisir. Ou le garçon prend les devants. D'autant plus que, mon phallus en érection, n'attend qu'une seule chose. Entré en lui, une nouvelle fois. Il ne se fait pas prier. Doucement, il se frotte à lui, pour commencer de nouvelles préliminaires. Avant de recommencer une folle partie de jambes en l'air. Comme si nous étions des drogués du sexe. Insatiables, tant l'un que l'autre, à notre niveau. Heureusement que nous étions seuls car les grincements du lit, nos gémissements voire nos rugissements de plaisir ne pouvaient porter à confusion. Nous étions en pleine baise. Ni plus, ni moins.

Nous revoilà retourner au point de départ. Essoufflé, je suis étalé de tout mon long dans mon lit. La silhouette de Jordan est recroquevillé contre moi. La tête posée sur mon torse. Elle s'élève. Elle se rabaisse. Au gré de ma respiration. Le silence s'installe, tandis que nous récupérons de nos exploits. J'aime sentir son corps sur le mien. Son souffle sur ma peau. Apaisant. Un plan cul vivifiant. Il brise la plénitude de l'instant, craignant de sombrer dans le sommeil, nu comme un ver, enchevêtré avec moi. « Ça ne me dérange pas ! » Dis-je dans un léger soupir. Néanmoins, afin de ne pas succomber à cette tentation, il bascule sur le côté et à mon image, il s'étend de tous son long à mes côtés. Les yeux rivés au plafond. Machinalement, il se frotte doucement les yeux avant de pencher sa tête vers la mienne. Pour m'annoncer qu'il compte tirer sa révérence. Après tout, l'un comme l'autre, avions obtenu ce que nous voulions. Un moment de détente, d'égarement, de lâcher-prise. En toute simplicité. Pourtant, je n'ai pas envie qu'il parte. Pas encore. Nous sommes bien. Côte à côte.

« Nous pourrions recommencé ! » Propose-je, les yeux brillants d'excitation. J'aime trop son cul pour le laisser partir ainsi. Nous pouvons simplement attendre un peu. Avant de remettre le couvert. Je me redresse, remonte l'oreiller contre la tête de lit. Je me penche, offrant à la vue de mon amant les formes arrondies de mon fessier, et je saisis mon jean au bas du lit. Dans l'une des poches j'en extirpe un paquet de cloques. Je me réinstalle confortablement. Je sors un clope, je la glisse entre mes lèvres. Je tends le paquet à mon acolyte « T'en veux une ? » Lui propose-je avant de faire glisser le briquet du paquet pour embraser ma cigarette. D'habitude, je m'astreins à ne pas fumer dans ma chambre. Par principe. Pour ne pas que l'odeur de la fumée imprègne mes draps. La charmante compagnie de Jordan me pousse à enfreindre cette règle. « Tu m'as épuisé... Mais tu maîtrise ton sujet ! ». Je tire une taf en regardant en face de moi. « Mais je suis persuadé que tu as encore des choses à me faire découvrir ! » Je l'observe, avec un regard pénétrant. J'ai quelques jouets qui pourraient agrémenter nos petits moments. Pourtant, je ne dis rien, malgré les idées qui traversent mon esprit. Pour ne pas lui faire peur et passer pour un obsédé. Je tire une nouvelle fois sur ma cigarette.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyMar 15 Fév 2022 - 19:57



Jordan Fisher
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« Ça ne me dérange pas ! » Ca c’est vraiment très généreux de sa part. Te laisser champ libre pour rester à t’endormir sur lui. Il n’a rien de prévu ? La vérité c’est que tu ne sais pas quel heure il se fait. La nuit est sûrement là. Vous avez pris du bon temps et justement, tu ne sais pas combien de temps ça a pris tout ça. Tu n’es attendu nul part jusqu’au lendemain après midi et tu le verrais par contre si le jour était déjà en train de se lever. Tu es stupide parce que tu ne profites pas de cette proposition tout à fait claire qu’il vient de faire. Tu te retrouves sur le dos quand tu dis que tu vas peut être partir sous peu. « Nous pourrions recommencé ! » Mais voilà qu’il parle également de quelques plans d’un futur proche qui anéantiraient ton départ hâtif. Ton visage qui se tourne vers lui car t’es doucement en train de réaliser que tu ne le déranges réellement pas.

Il se redresse et se prend une clope. « T'en veux une ? » Tu hoches la tête pour confirmer que oui, tu dis pas non. Tu en prends une dans le paquet qu’il t’offre et récupère son briquet quand il a fini de s’en servir afin d’allumer ta propre clope à ton tour. Tu t’es également redressé dans le lit, le dos contre la tête de lit. « Tu m'as épuisé... Mais tu maîtrise ton sujet ! » Un léger rire file entre tes lèvres en même temps que la fumée que tu expires. « Mais je suis persuadé que tu as encore des choses à me faire découvrir ! » Nouveau rire alors que tu fais non de la tête avec ton joli sourire aux lèvres. « Ouais c’est ça… » Parce que tu es sûr qu’il en sait tout autant que toi vu ses beaux yeux. « Essaie pas de me charmer. » Que tu ajoutes toujours avec ton visage éclairé des jolis mots qu'il dit à ton encontre. Ca fait toujours plaisir mais tu préfères ne pas le laisser se faire des films. Vous avez beau avoir baisé quelques fois ensemble déjà, c’est bien différent des sentiments et une véritable relation ça. « Mon coeur est déjà pris. » Que tu ajoutes alors que ton sourire se fait bien plus mélancolique après cet aveu. Tu tires sur ta clopes en partant quelques peu dans tes pensées. Ca a beau faire cinq années que Rosa est dans le coma tu n’as jamais ne serait-ce qu’une seule seconde penser à te remettre avec quelqu’un de manière romantique. Elle a été la seule et l’unique. Tu n’as encore jamais trouvé quelqu’un avec qui tu vibres autant qu’elle. Tu es persuadé que tu ne trouveras plus jamais ça.
 

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyVen 11 Mar 2022 - 7:45




Can we fly, can why fly away
Après une nouvelle séance de galipettes, une pause s'impose. Je reprends mes esprits. J'observe mon amant d'un jour. Je suis en sueur. J'ai besoin d'un remontant. Pas de bière, pas de whisky, pas d'alcools forts. J'ai besoin d'une dose de nicotine. J'attrape mon jean, laissé au bas du lit, afin de sortir d'une poche un paquet de cigarettes. Tout en retrouvant ma place à ses côtés j'en sors une que je coince entre mes lèvres. Et je l'invite à en prendre une, s'il le souhaite. Il ne refuse pas. Avec mon briquet, j'allume ma cigarette avec de lui tendre le briquet pour qu'il en fasse de même. Le silence s'installe quelque seconde, le temps que nous respirions un bon coup et nous tirions chacun une taffe. Avant que je ne brise le silence. Dans un premier temps, je lui reconnais certaines capacités. Il est doué. Indéniablement. Il ne dit rien. Je l'entends simplement rire. Peut-être est-il gêné ? Pourtant, je ne fais que reconnaître ses talents. Et je poursuis sur ma lancée. J'ai la sensation qu'il ronge son frein, qu'il ne m'a pas montré tout son savoir-faire en la matière. Il en a encore sous le coude. Il dit non de la tête. Instinctivement. En affichant un sourire. Et il ne me prend pas au sérieux. Et il croit que je le charme. Je tire sur ma clope avant d'éclater de rire. « Te charmer. Je ne vois pas ce que tu veux dire. Je ne sais pas charmer les gens ! » Ajoute-je en badinant et en plongeant mes iris dans les siennes. Chose totalement fausse. Je sais jouer de mes charmes, de mon regard profond. Hypnotique. Pour arriver à mes fins. D'ailleurs, j'ose l'imaginer, si nous nous retrouvons dans mon lit, à baiser ensemble, c'est que la magie a opéré. Et qu'il est tombé dans mes filets. Surtout, il s'est rendu utile à un moment opportun. La réserve du bar s'en souvient encore. Moi aussi. Je tire sur ma cigarette lorsqu'il glisse dans la conversation que son cœur. Je ne suis pas dupe. Le son de sa voix est révélateur. Il tente de noyer mes espoirs. Pourtant, je ne tente pas d'atteindre son cœur. Je veux le rassurer mais je vois son sourire resplendissant perdre de sa superbe. Son regard fixe le mur devant lui. Il est dans le vague. Perdu dans ses pensées. Seule la fumée de sa cigarette vient tourmenter son champ de vision. Je ne dis rien. Je le contemple. Son regard est mélancolique. Une personne habite ses pensées. Et l'atmosphère s'en ressent. Une nouvelle taffe avant de briser le silence. « Ce n'est pas ton cœur qui m'intéresse ! » Souffle-je. Je déglutis. Mes iris balaient son corps tatoué. Elles s'attardent sur ses bijoux de famille avant de retourner scruter son visage. « Mais plutôt ton cul ! » Et sa bite. Je ne recherche rien de sérieux. Contrairement à ce qu'il pense. Juste du cul. De la détente. Rien de plus. Je veux que notre relation se résume en deux mots : légèreté et plaisir. Ni plus. Ni moins. Aucun sentiment. Juste un sexfriend. Pour oublier les tourments de la vie et évacuer la pression.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyMar 15 Mar 2022 - 18:12



Jordan Fisher
Le RP prend place en Juillet 2015 à Brisbane, chez Byron, Jordan a 24 ans. Rosa est dans le coma depuis 5 ans.
(avatar © invité bazzart)

Vous vous faites mutuellement rire avec vos phrases coup à coup. Au moins c’est mieux que de pleurer. « Te charmer. Je ne vois pas ce que tu veux dire. Je ne sais pas charmer les gens ! » Toi non plus. Enfin, tu as mis du coeur pour charmer Rosa car elle était tenace, mais après ça, tu cours après personne. Tu trouves toujours assez facilement chaussure à ton pied pour le temps d’un bon moment. C’est facile de trouver des mecs qui sont d’humeur à prendre leur pied avec toi d’une façon ou d’une autre. Parfois t’en as pas réellement envie, c’est juste une façon pour toi de te sentir désiré et de t’oublier quelques instants. Mais pour ce moment ci tu en as eu très envie, c’est même toi qui a osé le contacter en premier. Tu n’as pas peur de te manger un non dans les dents. Tu ne le prends pas personnellement car tu en as rien à cirer au fond. Tu passes au prochain disponible.

Quand tu mentionnes que ton coeur est pris, tu sais pas s’il le fait consciemment mais tu apprécies le silence qu’il laisse après ça. Toi dans tes pensées à te remémorer ta copine quand c’était avec elle que tu fumais appuyé contre la tête de son lit. « Ce n'est pas ton cœur qui m'intéresse ! » Au moins vous êtes sur la même longueur d’ondes à ce niveau là. Tu es sorti de tes pensées alors que tu tires de nouveau sur la clope en tournant les yeux vers Byron.  « Mais plutôt ton cul ! » Un sourire amusé se forme sur ton visage, appréciant ses mots. T’as l’impression d’avoir une certaine valeur qu’il dise vouloir ton cul. Ton estime de toi est si basse yep. « Appel moi dès que tu as besoin d’un cul. » Comme tu l’as fait cette fois ci. Tu le prendras comme un compliment qu’il revienne vers toi pour son plaisir. « Je suis pas toujours en ville mais si je suis dispo je répondrai toujours présent. » Ça c’est une certitude mathématique. Byron a une des plus belles queues dont tu as pu profiter. Tu es encore en train de débattre dans ta tête si tu restes ou non, commençant à peser les pour et les contres. Tu fais ça en posant tes yeux sur son corps et ça penche sérieusement sur le pour.
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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyMer 16 Mar 2022 - 7:37




Can we fly, can why fly away

Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan 3180130893

J'aime lorsque l'on me dit ça. Je ne suis pas habitué. Ça change. Généralement, je suis à sa place. J'offre mes services. Je donne mon cul. Je donne mon corps. Je donne tout. À condition d'aligner les billets verts sur la table. « Je n'hésiterais pas ! » Souffle-je en lui envoyant un clin d’œil. Quand c'est si gentiment demandé. Et avec le sourire. Néanmoins, il m'apporte une légère précision. Il n'est pas toujours en ville. Pendant un laps de secondes, je suis un peu déçu, mais mon visage s'éclaire. Mon regard perçant fait un saut de l'ange dans le sien. « Je vais finir par croire que je suis ta drogue. Meilleur qu'un rail de cocaïne ! » Glisse-je en esquissant un sourire qui se transforma en rire tandis qu'un de mes index se promène, solitaire, sur son corps, sur son torse. En toute indépendance.

Connaissant mieux son corps que sa vie, je m'interroge sur ce qui l'attire en dehors de Brisbane. La vie professionnelle, sans aucun doute. J'ignore ce qu'il fait. Contrairement à lui qui m'a vu sur mon lieu de travail. Du moins l'un des officiels. « Qu'est-ce qui t'attire loin d'ici ? » Demande-je, tout en basculant sur lui, en position de domination, la clope au bec. Je tire une dernière fois dessus, avant de jeter le mégot dans le verre, à côté de ma lampe de chevet. Je sens sous moi le plaisir revenir en lui, tandis que je fais quelques mouvements de va-et-vient pour l'échauffer et jouer avec son corps. « Tu fais le tour de tes plans cul dans les grandes villes australiennes ? » Dis-je, amusé, en transposant ma vie sur la sienne. Contrairement à moi, il a certainement des raisons plus légitimes que d'offrir des services sexuels pour sortir de la ville. Pour voyager. Il n'est pas appâté par une belle somme d'argent pour sauter dans un jet privé et faire le tour des plus beaux hôtels du pays. Juste pour les bons plaisirs de Monsieur le magnat de l'immobilier ou Madame la PDG d'une entreprise spécialisée dans le développement durable.

Toujours en le regardant de haut, je sens de plus en plus sa bite gonfler d'excitation tandis que mes va-et-vient se font de plus en plus intense au point de sentir de la pression aux portes de mon anus. Je ferme les yeux et je profite de ces attouchement très agréables. Avant de lui demander, dans une fausse innocence. « Viens te glisser en moi ! » Parce que moi aussi je peux offrir mon cul.

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Message(#)Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan EmptyMer 23 Mar 2022 - 20:53



Jordan Fisher
Le RP prend place en Juillet 2015 à Brisbane, chez Byron, Jordan a 24 ans. Rosa est dans le coma depuis 5 ans.
(avatar © invité bazzart)
Can we fly, can we fly away? - Byron&Jordan 3180130893

« Je n'hésiterais pas ! » Tu es tellement pessimiste que tu ne le crois pas tant que tu ne le verras pas faire. Tu n’attendras pas après lui non plus. La vie continue, les jours passent les uns après les autres. Toujours un jour de plus avec Rosa dans le coma. Tu as beau être habitué depuis toutes ces années, ça te frappe et te fait mal toujours autant quand tu y penses. Et tu y penses très souvent. T’as beau voir un psy, ça reste pas simple à naviguer dans toutes tes émotions. « Je vais finir par croire que je suis ta drogue. Meilleur qu'un rail de cocaïne ! » Tu vas pas le contredire parce que clairement tu l’as contacté aujourd’hui pour avoir un fix d’une certaine façon. Tu n’attendras pas après lui mais tu n’hésiteras pas à retenter ta chance auprès de lui si l’envie te reprend et que tu es seul. Tu continues de tirer sur la clope mais tu es surtout bien réceptif à sa main sur toi. « Qu'est-ce qui t'attire loin d'ici ? » Il vient carrément se placer sur toi et t’es bien en train de comprendre qu’un nouveau round est au coin de la rue. « Tu fais le tour de tes plans cul dans les grandes villes australiennes ? » Il te fait marrer avec sa suggestion. « Nan c’est le boulot. » Mais il n’a pas tout à fait tort, tu connais quelques personnes friandes de ton corps quand tu te retrouves ici et là. Tes voyages te mènent toujours aux mêmes endroits. Là c’est les mouvements de Byron sur toi qui t’emmène vers boner-land de nouveau. Pour ton plus grand plaisir. Tu te lèches les lèvres en le regardant faire alors que tu vas mettre ton mégot terminé sur la table de nuit.

Tu ne cherches plus à faire la conversation, profitant des sensations qu’il te procure. Tes yeux sont fermés et ton souffle plus en plus court. « Viens te glisser en moi ! » Ton coeur bat plus vite d’anticipation. Si en plus il est versatile comme toi, Byron vient de passer plus haut encore dans ta liste de mec à appeler en cas de besoin. Tu hoches la tête alors que tu vas doucement commencer à le préparer pour répondre à sa requête pour ton plus grand plaisir, et le siens aussi.

Spoiler:
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